#éducation à la non-violence
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Nature humaine : Sommes-nous vraiment programmés pour la guerre ?

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#éducation à la non-violence#changement économique et paix#choix ou nécessité de la guerre#compétition pour les ressources#conflits#désarmement#désobéissance civile#dialogue international#Einstein et la paix#Eros et Thanatos#Gandhi#guerre inévitable#Jean-Jacques Rousseau#Léon Tolstoï#logique guerrière#Martin Luther King#mouvements pacifistes#Nature Humaine#ONU et paix#origine des guerres#pacifisme#philosophie et guerre#pouvoir et guerre#résistance non violente#Satyagraha#Sigmund Freud#structures politiques et conflits#Thomas Hobbes#Tian&039;anmen#traités de désarmement
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Ce qui est magnifique c'est que c'est toujours la faute des femmes. Il suffit de voir comment ont été défendus les deux actes affreux qui se sont déroulés en l'espace de 2 semaines en France. Je parle évidemment du père de famille qui jette ses deux gosses par la fenêtre avant de s'y jeter aussi et de la gamine enlevée et tuée par le père hier soir. C'est majoritairement des hommes qui perpètrent des actes immondes et surtout violents. En effet, les hommes agissent et réagissent avec la colère et la violence, en tout cas, bien plus que les femmes et pour différentes raisons. Si on l'avait déjà bien souligné au niveau des manières de mettre fin à leur jour, on le voit maintenant avec leur rapport à l'autre (et par autre j'entends bcp femmes). Je lisais certains avis sur ces deux histoires sordides au possible dont un qui mettait en lumière l'éducation des hommes. Ça commençait très bien, en effet, la manière dont tu traites toi, les autres et les femmes, ta perception de ça, ça vient beaucoup de ton éducation, du contexte familial dans lequel tu as vécu et de tes traumatismes aussi. Et donc la personne disait que ce manque d'éducation venait des femmes qui avaient élevé ces hommes détraqués et donc, au final, c'était plus de leur faute à elles, qu'à eux. C'est marrant ça, là on parle pas du rôle du père, pourtant bcp élèvent leur enfant à deux ou beaucoup d'enfants ont encore leur deux parents, on parle pas de cette non prise en charge de la charge mentale et des tâches diverses. En revanche, le rôle du père on va en parler quand yen a un qui va faire 5 misérables minutes de ménage de sa propre initiative au sein d'un foyer. Ah là, on va l'applaudir même parce qu'il est trop fort, attentionné et responsable. On parle bcp du rôle maternal en mal car c'est tjrs de leur faute si les gosses sont mal éduqués, si l'enfant pleure, si le repas n'est pas fait de heure fixe, par contre, le role paternel on a tendance à le mettre en avant que quand c'est positif. Et du faux positif qui plus est parce que sérieusement j'ai jamais eu envie d'être fière d'un homme parce qu'il avait plié 3 slips et remis la couette sur le lit hm. Donc ça m'a dérangée cet aspect oui on reconnaît que les hommes manquent cruellement de quelque chose (visiblement de l'éducation et du savoir vivre/être mais pas que) et que ça les mène à des actes terribles, par contre, c'est pas vraiment de leur faute. On les déresponsabilise. Comme le fait que la moitié de ces auteurs sont souvent atteint de troubles mentaux, allant de la dépression, à la personnalité narcissique, en passant par la bipolarité et j'en passe et des meilleurs. On se demande encore pourquoi ils ne sont pas pris en charge et bien ya 2 raisons majeures: la psychiatrie est un des parents pauvres de la santé (sachant que la santé est déjà dans un état minable en France) et que les hommes consultent peu. Ils consultent peu parce qu'on a beau dire qu'on est une génération plus libérée/mature et pleine de moyens, on reste sombrement archaïque sur beaucoup de notions notamment le côté émotionnel chez les hommes. Et malgré tout ça, on a encore du mal à frontalement dire que c'est de leur faute, que la femme ne sera pas toujours là pour faire à sa place et lui dire quoi faire, qu'il est responsable de la même manière dans la parentalité, qu'il faut à un moment donné se déconstruire seul et faire les choses. Et ça m'attriste en fait. Je suis pas là pour dire que c'est aucunement la faute de aucune femme sur cette planète ni qu'aucune femme n'a jamais commis d'actes terribles, je dis seulement que les sondages et les excuses trouvées pour défendre des comportements indéfendables sont déjà explicites.
Et quand j'entends parmi ce ramassis nauséabonds d'excuses qu'il y en a à base de "c'est leurs hormones, les femmes n'ont pas les mêmes, "c'est l'éducation de la mère", "la femme a dû le pousser à bout pour en arriver là" (banalisant viol/violence/agression/meurtre + l'éducation n'est donnée que par les femmes etc) bah ca me heurte honnêtement. Ça me donne l'impression que ça ne changera jamais et que les personnes remises en cause seront toujours les mêmes mais pas souvent les bonnes.
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"J’ai plusieurs fois dénoncé le non-sens de l’expression "santé sexuelle", par exemple. La santé désigne la globalité du corps humain en équilibre et en harmonie, et ne peut donc pas être réduite à une partie de ce tout. Il y aurait la santé de la sexualité, dissociée du reste ? De même pour "éducation sexuelle", l’éducation est là pour conduire hors de l’état pulsionnel premier (je fais ce que je veux), et non pas pour susciter une pulsion. Et ces paradoxes ont des conséquences très graves et dangereuses bien entendu. Parce que par exemple avec "l’éducation sexuelle", il ne s’agit plus de lutter contre la violence de la pornographie proposée aux enfants et son empire sur les corps, mais de les aider à supporter l’innommable, l’exploitation du corps de l’homme et de la femme, en les habituant à la pornographie."
Ariane Bilheran, Conférences 2021-2022.
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GRÈVE DE LA FAIM D’UNE USAGÈRE DE LA PSYCHIATRIE EN COLÈRE, EXTÉNUÉE MAIS PAS (DU TOUT) À COURT D’ESPOIRS
REVENDICATIONS
Liste complète sur g1graine.fr !
B/ ️ POUR LA NEURODIVERSITÉ, LA FIN DES DISCRIMINATIONS, L’INCLUSION DE TOUS-TES : “Rien sur nous sans nous”
🔎 Constat : les personnes neurodivergentes / en situation de souffrance psychique sont encore bien trop souvent stigmatisées par la société. Les associations censées défendre leurs droits sont pour une grande partie d’entre elles tenues par des aidant-es et non pas par les personnes directement concernées, Au même titre que les autres oppressions, la psychophobie se cumule avec d’autres systèmes de domination : seule une approche intersectionnelle globale est en mesure d’aider toutes les personnes directement concernées sans distinction, sur des principes d’égalité.
🎯 Objectifs : il faut impérativement changer les représentations et discours sur la neurodiversité pour qu’ils cessent de stigmatiser, voire d’inciter à la haine. Les personnes directement concernées par les problématiques de santé mentale doivent rester unies et solidaires dans les luttes pour leurs droits, malgré les tentatives de séparation entre “bons” et “mauvais” malades, les hiérarchisations, etc. La société dans toutes ses parties et dans tous les domaines doit favoriser l’inclusion des personnes neuroatypiques / en situation de handicap psychique / souffrant de troubles psychiques.
☑️ A mettre en place
Reconnaissance des discriminations psychophobes comme des délits discriminatoires
Sensibilisation de toute la société et tout le corps médical ainsi que la police (avec formations obligatoires) sur les violences exercées sur les personnes en situation de handicap psychique
Création de campagnes de prévention et d’information inclusives sur la santé mentale et contre la psychophobie (faites par les personnes directement concernées elles-mêmes)
Meilleure éducation sur le sujet par les personnes directement concernées à toutes les échelles de la société (école, travail, culture, médias…)
Fin de la pathologisation des personnes queer (trans, non-binaires, homosexuelles, bi, pan, asexuelles, intersexes, etc)
Prise en compte des dynamiques intersectionnelles dans les violences psychophobes et dans la prise en charge en santé mentale en général (par exemple : inégalités quand on est une femme, quand on est racisé-e, etc dans l’accès aux diagnostics et leur attribution)
Prise en compte de la parole des psychiatrisé-es/neuroatypiques lorsque sont signalées des VSS (violences sexistes et sexuelles)
Meilleur accompagnement des personnes psychiatrisées souhaitant devenir parent-es (fin de l’omerta sur cette question de la parentalité chez les personnes psychiatrisées, meilleur accès à l’information et arrêt des entraves plus ou moins implicites dans le processus)
Meilleure représentation des personnes handicapées dans tous les domaines de la vie publique et professionnels (y compris en politique et dans les médias)
Mise en place d’un système scolaire inclusif pour les personnes neuroatypiques ou ayant des problématiques en santé mentale
Abolition de la mise sous tutelle et de la privation de capacité juridique (cela doit être remplacé par un système assisté pour permettre aux personnes directement concernées de faire leurs propres choix)
Gestion plus participative des MDPH, en incluant des personnes directement concernées dans les décisions et les administrations
Arrêt des discours eugénistes sur les handicaps psychiques
Remise en question profonde du diagnostic HPI, des tests de QI, de l’étiquette empruntée à la médecine nazie “Asperger” ; fin des hiérarchisations des personnes sur la base d’une prétendue “intelligence” (toujours très mal définie ou trop restrictive au demeurant) ou sur l’utilité sociale
Arrêt des distinctions plus ou moins tacites entre les “malades légers” et les “malades sévères/profonds/irrécupérables”
Arrêt des représentations édifiantes, fétichisantes, paternalistes, dévalorisantes, déshumanisantes, diabolisantes du handicap psychique
Meilleure aide à l’enfance et prise en compte des violences intra-familiales qui se déploient de manière systémique dans toute la société
Plus d’inclusion des personnes directement concernées dans les processus de soins, les établissements de santé, les métiers de la santé mentale
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Toutes les revendications → https://g1graine.fr/ Signe la pétition → https://www.change.org/p/pour-la-neurodiversit%C3%A9-la-sant%C3%A9-mentale-et-une-grande-r%C3%A9forme-de-la-psychiatrie
#g1graine#psychiatrie folle de rage#sauvons nos folies#antipsy#anti psychiatry#psychiatrie#france#up the baguette#fols#mad pride
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Législatives 2024: choisir la gauche ou la droite.
https://www.aurianneor.org/wp-admin/post.php?post=7895&action=edit
Le gouvernement actuel contrôle presque tous les médias et affirme que ce sont les élections du centre contre les extrêmes. C’est un mensonge qui marche.
La gauche et la droite sont deux idéologies qui reconnaissent l’importance d’avoir des élites. A droite, on considère que certains ont moins de droits que les autres: la femme, le noir, l’ouvrier, etc. L’élite est l’homme blanc catholique. Dans la droite macroniste, le peuple doit sacrifier sur son logement, sa santé et son éducation pour donner aux élites. On prend conseil auprès des plus riches. A gauche, on apprécie d’avoir des élites mais on ne demande pas au peuple de se saigner pour les élites. Les élites sont là pour informer le peuple et l’aider à être meilleur.
A droite, tout le monde doit soutenir son leader et répéter ses idées. C’est le programme de Macron, c’est le programme de Bardella. A gauche, il y a une pluralité d’opinions.
Macron affirme être le rempart de l’extrême-droite. Sa politique a imposé toutes ses réformes alors que la plupart de ses électeurs avaient voté pour lui non pas pour son programme mais pour faire barrage au Rassemblement National. Macron a encouragé la violence des policiers, a dénoncé le séparatisme islamiste, a dit qu’il voulait lutter contre l’immigrationnisme, a dit que la gauche va inciter les enfants à changer de sexe à l’école, dit qu’il y a des gens qui se lèvent tôt et des gens qui ne sont rien, a refusé les soins aux immigrés, a gouverné à coups de 49.3. Depuis 2017, les niches fiscales ont augmenté (pour ne pas payer d’impôts). Macron a augmenté la dette de la France en empruntant aux plus riches: Bolloré, Arnaud, Lagardère, etc. Au lieu de leur prendre l'argent sous forme d'impôts, Macron les enrichit encore plus grâce aux intérêts de la dette. Cette droite macroniste se rapproche du Front National. Elle est loin du centre. Gérald Darmanin, Rachida Dati, Didier Lallement sont des personnes politiques très à droite.
Le Rassemblement National est financé par Poutine. Leur patriotisme ne va pas à la France.
Il n’y a pas un choix entre le centre et les extrêmes mais bien un choix entre la gauche et la droite.
Dans l’histoire, quand la gauche se rassemble, cela a bénéficié au pays: la population a augmenté son niveau de vie sans pour autant sacrifier les dépenses publiques ni la performance de son économie. Le Front Populaire de 1936, l’Union Nationale de 1945 à 1958 et la gauche plurielle de 1997 ont été trois périodes où il y a eu des progrès sociaux pour les citoyens (la sécurité sociale de la santé et de la retraite, les congés payés, l’assurance chômage, la réduction et le partage du temps de travail). Dans chacune de ces périodes, les entreprises étaient très compétitives et se portaient très bien. De plus, la bourse se portait mieux quand la gauche était au pouvoir. Ceux qui en ont souffert, ce sont les ultra-riches qui avaient des biens mal-acquis (niches fiscales, réduction d’impôts, etc). Les ultra-riches n’ont pas besoin que le peuple soit archi-pauvre pour profiter de leur richesse. La gauche ne les saigne pas, elle leur demande une juste contribution.
Le nouveau front populaire veut déposséder les ultra-riches au lieu de s’en prendre aux mauvais pauvres visés par la droite. 500 familles possèdent la moitié de la richesse de la France. Il n’y a pas de problème de financement de la gauche. La France est un pays riche. Il n’y a aucune raison pour que la population se prive. Les inégalités se sont creusées depuis la fin des années 1970.
La droite néolibérale et la droite identitaire désignent des mauvais à qui ils font la chasse: les étrangers, les fainéants ou les inadaptés. Ils font la part belle aux ultra-riches qui ont plus de droits que les autres.
Il faut un état très fort et très démocratique qui protège les Français contre la concurrence déloyale des étrangers mal traités ou du dumping social et environnemental des produits étrangers. Les Français ont besoin d’être plus riches pour pouvoir acheter de la qualité et avoir des services publics de qualité ( santé, retraite, éducation, etc). Cette richesse a été capturé par les ultra-riches, pas par les immigrés ou les “fainéants”. Par exemple, Macron a défiscalisé le transport maritime. Le patron de CMACGM a fait des bénéfices records et est devenu une des dix plus grosses fortunes en France. Avec cet argent, il a racheté des médias sur lesquels on fait maintenant la promotion d’Emmanuel Macron.
Croire que la solution au problème c’est de s’en prendre aux mauvais pauvres (handicapés, personnes de couleur, etc.) en les traitant mal (salaires insuffisants, moins de droits) fait du mal à l’ensemble: des anciennes maladies comme le choléra ressurgissent, acceptation de conditions de travail moins bonnes, etc.
Beaucoup de Français sont en colère et inquiets pour leurs moyens de subsistance, leur santé, l’éducation des enfants, etc. Leur fournir des services publics à tous et partout coûtera très cher. La droite néolibérale de Macron demande aux pauvres de se saigner (diminution des retraites et des services publics) qui ne mériteraient pas assez. La droite identitaire du Rassemblement National demande de sacrifier les mauvais pauvres. La droite détourne la colère des gens vers autre chose que les bourgeois. La gauche du Nouveau Front Populaire demande de sacrifier le ultra de ultra-riche, mais ils restent quand même très riches. Pour redonner la prospérité aux Français, il faut taxer le capital et contrôler les prix.
Encore faut-il que les lois votées par l'assemblée nationale ne soient pas bloquées par le sénat qui n'est pas élu par les citoyens et n'est pas un vrai contre-pouvoir.
Quel dommage que l’on n’ait pas droit au référendum d’initiative populaire et que l’unique voie pour s’exprimer est l’élection de représentants!
Conférence de presse – Chiffrage et financement du programme du Nouveau Front Populaire – 33:36 / 1:08:55: https://youtu.be/4kYYTJoYPW0?t=1682
youtube
Edito du directeur du Monde: Législatives 2024 : préserver notre démocratie - Le Monde: https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/06/28/legislatives-2024-preserver-notre-democratie_6244888_3232.html
Programme du Nouveau Front Populaire: https://yvelines.eelv.fr/files/2024/06/240618-PROGRAMME-FRONT-POPULAIRE_V6.pdf
Julia Cagé : oui, c’est possible, voilà comment…: https://youtu.be/rlF-ol1yZg0?si=P08AvYtTZtKj2r3O
youtube
Le brief éco. Pourquoi la bourse monte quand la gauche est au pouvoir ? – France Info: https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-brief-eco/le-brief-eco-pourquoi-la-bourse-monte-quand-la-gauche-est-au-pouvoir_2161896.html
La Bourse adore la gauche, mais seulement dans les graphiques – Le Nouvel Obs: https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-economie/20130927.RUE9104/la-bourse-adore-la-gauche-mais-seulement-dans-les-graphiques.html
Front Populaire : 80 ans d’avancées sociales en images – France Info: https://www.francetvinfo.fr/culture/arts-expos/photographie/front-populaire-80-ans-d-avancees-sociales-en-images_3390429.html
1945 : après la guerre, un ordre social nouveau – La Vie: https://www.lavie.fr/idees/histoire/1945-apres-la-guerre-un-ordre-social-nouveau-1539.php
Les principales lois votées sous le gouvernement Jospin – Le Nouvel Obs: https://www.nouvelobs.com/politique/20020218.OBS3283/les-principales-lois-votees-sous-le-gouvernement-jospin.html
« C’est à gerber ! » : les propos d’Emmanuel Macron sur les personnes transgenres ne passent pas auprès de Mélanie Vogel – Public Sénat: https://youtu.be/KadEUIFV5EY?si=F0x7usNjokXxQBt6
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Récupérer l'information, la boussole et l'oseille - La chronique de Waly Dia - France Inter: https://youtu.be/5eul6RTwRyg?si=YEVAooP04VwD-5y-
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Rob the poor to feed the rich: https://www.aurianneor.org/rob-the-poor-to-feed-the-rich/
Vivre dignement: https://www.aurianneor.org/vivre-dignement/
Immigration: https://www.aurianneor.org/immigration/
Oui au Référendum d’initiative populaire: https://www.aurianneor.org/oui-au-referendum-dinitiative-populaire-petition/
La part du gâteau: https://www.aurianneor.org/la-part-du-gateau/
Limiter la richesse individuelle: https://www.aurianneor.org/limiter-la-richesse-individuelle/
Le RIC – Référendum d’initiative citoyenne: https://www.aurianneor.org/via-httpswwwyoutubecomwatchv-e2lnzwuy4ks/
Le prix plafond et le prix plancher: https://www.aurianneor.org/le-prix-plafond-et-le-prix-plancher/
Le Sénat, le pouvoir de faire chier: https://www.aurianneor.org/le-senat-le-pouvoir-de-faire-chier/
Les humiliés de la République: https://www.aurianneor.org/les-humilies-de-la-republique/
Nos ancêtres les marrons: https://www.aurianneor.org/nos-ancetres-les-marrons-il-nexiste-quune-seule/
#aurianneor#centre#démocratie#dépenses#droite#économie#éléctions#élite#extrême-droite#extrême-gauche#extrêmes#finance#france#front populaire#gauche#législatives#législatives 2024#performance#politique#pouvoir d'achat#richesse#vote#🇫🇷#Français#colère#misère#Youtube#assemblée nationale#dette
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Oui, mais on peut aussi se référer à mon avant-dernier texte (NDLR : Fb)...Ghali voit la violence comme une fatalité seulement jugulable par la coercition. Or la violence provient d'un mal-être, systématiquement, et d'un manque de travail sur soi. Qui apprend cela à l'école ? En des décennies de dégénérescence de la situation en France, personne n'a pensé dans le public à proposer une éducation scolaire non basée exclusivement sur l'acquisition de savoirs. Au mieux on a de l'éducation civique. Toute autre initiative hormis systèmes parallèles comme Montessori serait considérée comme de l'embrigadement sectaire. La faute aux confos qui sont persuadés que c'est en gavant leurs gosses de connaissances plus ou moins bien enregistrées que ces gosses seront prêts à "affronter" ce que les confos appellent "la vie active", l'ignoble routine excessive du travail tel qu'il est conçu par la quasi-totalité des pans des sociétés.
Basile Pesso, 6 juillet 2 023 (Fb) "Driss Ghali : "Au Maroc il y a plus d'inégalités et moins d'hôpitaux, mais les bus ne brûlent pas. La difference c'est qu''au Maroc, quand je renverse une poubelle je vais en prison pendant 6 mois”"
#basile pesso#driss ghali#écrivains#écrivains sur tumblr#contenu original#france#maroc#éducation#sujets de société#philosophie#journalistes#journalisme#écrivains anti fascistes#fight hate#psychologie#fight extremism#fight male violence#le calvaire français#le cauchemar français#france orange mécanique#yes we are magazine
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Recueil de quatre nouvelles toutes très différentes mais toutes liées par Sainte Rita : la sainte patronne des causes désespérées !
Est-on maître de son destin, peut-on se racheter aux yeux de ceux que l’on a blessés ?
Voici quelques thèmes que l’on pourra rencontrer lors de cette lecture très agréable.
Les nouvelles sont écrites à la manière d’énigmes policières. Les personnages sont complexes et souvent familiers. La lecture de chaque histoire ne laisse pas indemne…
Pêle-mêle :
« La brièveté rend la lecture captive. »
« - Si j'avais parlé plus tôt, si j'avais vite craché ce que j'avais sur le cœur, aurais-je évité le cancer ?
Si je m'étais libérée en paroles, peut-être n'aurais-je pas développé ce mal en moi ?
- Un cancer, c'est un accident, madame.
- Non, c'est une conséquence. Le cancer est parfois la forme que prennent les secrets qui pèsent trop lourd. »
« Il en est des destins comme des livres sacrés : c'est la lecture qui leur donne un sens. Le livre clos reste muet ; il ne parlera que lorsqu'il sera ouvert ; et la langue qu'il emploiera sera celle de celui qui s'y penche, teintée par ses attentes, ses désirs, ses aspirations, ses obsessions, ses violences, ses troubles. »
« La nouvelle est une épure de roman, un roman réduit à l'essentiel. »
« Je n'avais jamais noté combien l'âge nous rend libres. A vingt ans, nous sommes le produit de notre éducation, mais à quarante ans, enfin, le résultat de nos choix - si nous en avons fait. Le jeune homme devient l'adulte qu'a voulu son enfance. Tandis que l'homme mûr est l'enfant du jeune homme. »
«Chris écoutait ce disque comme on regarde un cliché aux couleurs passées, faisant de la musique un support de rêverie. »
« Quand on a la croyance qui flanche, Dieu nous botte le cul pour croire de nouveau. »
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Aperçu de l'éducation sexuelle qui sera faite à vos enfants. Le CESE a rédigé un rapport de 306 pages à ce sujet pour donner ses propositions et recommandations…
Un fil dans le 7ème cercle de l'enfer woke.
La première page donne le ton. Ecriture inclusive++ (option accord de proximité et formateurices) et trigger warning pour annoncer qu'on va parler d'un sujet grave: on fera EXPLICITEMENT référence à des rapports de domination.
L'éducation à la sexualité ne porte pas ce nom. On parle d'EVARS pour éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle. Le dernier point semble se rapprocher de ce qui a toujours été fait (prévention de MST) mais les autres thèmes doivent parler d'égalité et de genre.
L'ambition que se fixe ce cours est donc de "déconstruire les schémas toxiques, aider à enrayer la montée des violences sexuelles, du sexisme, des LGBTIQAphobies et contribuer à une meilleure prévention des maladies sexuellement transmissibles et de la transmission du VIH"
L'ensemble du rapport est teinté d'hallucination paranoïaque. Le Vatican œuvre pour empêcher les cours au collège, les fake news abondent, l'infantisme pèse sur les plus jeunes… Le CESE tape du poing sur la table : l'EVARS est parfaitement scientifique donc inattaquable.
Le CESE envisage donc de financer non seulement des cours, mais encore des espaces de vie dans les écoles/collèges/lycées et même des influenceurs et autres "producteurices" de contenus. Et puis de demander à l'ARCOM de prendre en compte "la diversité des identités de genre".
Le rapport du CESE avec les familles est pour le moins ambigüe. Elles constituent un "incubateur du sexisme" qui propage une éducation inférieure aux standards. Les parents sont même accusés de projeter le genre attendu sur leurs enfants, les empêchant ainsi de s'autodéterminer.
Et le CESE est très gêné que certains parents puissent s'opposer à l'éducation sexuelle, "notamment en la sexualisant" (quelle ironie). Le ton est très dur, il n'est pas possible de censurer ce cours ou de le remettre en question, il faut que chaque parent fasse confiance.
Il propose donc un délit d'entrave à l'éducation sexuelle des enfants. Oui, vous avez bien lu !
Les parents n'ont pas le droit de s'opposer à ce qu'on déconstruise leurs enfants ou qu'on leur explique les joies de la sexualité LGBTQIA+ sinon prison…
Rappel : le CESE est un organisme financé par de l'argent public, avec un budget de plus de 40M€ (chiffre 2019) et employant environ 150 personnes (chiffre 2018 : 146,5 ETP). Le contenu détaillé des cours n'est pas clair, mais le militantisme agressif de ce rapport interroge.
www.lecese.fr/travaux-publies/eduquer-la-vie-affective-relationnelle-et-sexuelle
www.lecese.fr/sites/default/files/pdf/Rapports/2024/2024_13_evars.pdf
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LECTURES DE 2024 : Nêne de Ernest Pérochon
Lecture terminée le 2 septembre 2024 (74/80)
Nombre de pages : 320 pages
Ma 74ème lecture a été le livre Nêne, roman écrit par Ernest Pérochon au début du siècle dernier. C'est ma grand-mère qui m'a offert ce livre pour que je découvre l'auteur ! (et pour se débarrasser de livres qu'elle avait en trop /lh)
Résumé: Madeleine devient la nourrice des enfants de la famille Corbier. Femme forte, solide et sûre d'elle, son cœur fond vite pour ces deux petits sans mère, au point qu'elle se dit pouvoir la remplacer.
CW/TW : violences physiques et psychologiques, sexisme, tentative de viol, agressions, accident au travail et amputation, consommation excessive d'alcool, misogynie intériorisée, pensées suicidaires, religion et haine religieuse, feu, incendie, brûlures, blessures sur mineur, cicatrices, tentative de meurtre, etc...
ALORS.
Je suis toujours content quand on m'offre un livre. Ne serait-ce que parce que j'adore plus que tous les livres. Mais le plaisir d'un cadeau ne m'empêche pas de détester Nêne.
Il n'y a pas UN SEUL personnage de l'histoire qui soit bien. Seuls les enfants sont pardonnables parce que ce sont des ENFANTS. Et je sais que l'histoire veut nous les faire passer pour hypocrites, mais s'ils avaient reçu une bonne éducation, ça ne serait pas le cas ! Bien sûr que c'est frustrant quand la mioche dit "tu pleures? bien fait pour toi, t'avais qu'à dire oui pour ma poupée" mais elle a LITTERALEMENT été élevée à avoir tout avant même qu'elle ne le demande! Evidemment qu'elle le croit, elle n'a pas la maturité émotionnelle de comprendre pourquoi, cette fois-ci, elle n'y a pas le droit. Et le pire, c'est qu'elle est la première victime de l'éducation que lui font les adultes autour d'elle parce qu'elle manque de mourir?? Et son frère aussi, d'ailleurs, mais ça c'est à cause de sa propre naïveté enfantine.
Madeleine est ignoble. Au début, elle est une protagoniste sympathique à suivre, mais plus l'histoire avance plus elle devient chiante. Sous prétexte de son "amour" (sa possessivité) sur les enfants, elle a raison sur tout et tous les autres ont tort. Elle devient irrespectueuse, agressive, imbuvable.
Et les autres personnages ne sont pas mieux. Son frère la manipule pour avoir son argent, son patron est un connard qui ne pense qu'avec son sexe dès l'instant où une femme lui fait les yeux doux - et il y a fort à parier que c'est en partie parce que Madeleine, bien que tendre avec lui, n'est pas amoureuse, de personne d'ailleurs (toxic aro représentation), le connard de religieux dont j'oublie le nom qui utilise sa religion pour justifier le fait qu'il agresse les femmes et les croit inférieures...
Et en fait, ça pourrait passer. Je pourrais accepter que ces personnages soient mauvais s'ils subissaient des conséquences à leurs actions et acceptaient les conséquences mais ça n'arrive jamais. On a un personnage qui se retrouve handicapé à vie, incapable de trouver un travail stable, et qui sait que la femme qu'il aime n'en a rien à faire de lui, mais il dit quand même vouloir voler sa sœur de ses économies pour cette femme... On a Madeleine qui perd tout ce qu'elle aime et qui ne l'accepte jamais, elle ne remet jamais en question sa position, sa condition, pour elle, elle n'a jamais rien fait de mal. Corbier a failli tuer sa propre fille juste pour avoir le dernier mot et faire les yeux doux à une gamine et il reproche quand même tout ce qui lui arrive à Madeleine... Et c'est comme ça, tout le temps. Il arrive des choses horribles aux personnages à cause de leurs actes, et PERSONNE ne se remet jamais en question, je les déteste.
Et j'ai vraiment eu du mal avec le travail éditorial. Il y a non seulement des petites fautes d'orthographes par-ci par-là, mais on a aussi des personnages qui se répondent à eux-mêmes ("Madeleine interrogea" -> "Madeleine lui répondit", par exemple), des mises en forme oubliées, etc... et c'est répété. Ça arrive, qu'il y ait des coquilles, mais là, ça sabote totalement le livre...
Enfin bref, si malgré mon manque complet d'objectivité, vous êtes intéressés, n'hésitez pas! Je ne le recommande pas du tout, mais nous n'avons pas tous les mêmes goûts! Par contre, je ne recommande pas du tout cette maison d'édition-là, en tout cas pour ce roman-ci! (Sait-on jamais, ils ont probablement amélioré leur travail éditorial par la suite)
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Crise anglophone
L’Union européenne au secours des enfants sinistrés
Une somme d’1,7 milliard FCFA a été débloquée par l'Union européenne pour soutenir les enfants affectés par la crise sociopolitique dans les deux régions anglophones du Cameroun.

Des enfants sinistrés dans le cadre de la crise anglophone qui sévit dans le Nord-ouest et le Sud-ouest du Cameroun depuis 8 ans, ont reçu l’aide de l’Union européenne. Cette assistance vise à leur permettre de ne pas abandonner totalement leurs études. L’annonce a été faite par le Fonds des Nations unies pour l'enfance. Cette enveloppe devrait permettre de soutenir la scolarisation de nombreux enfants affectés par la crise anglophone qui date de 2016 : « l’aide humanitaire est en faveur de l'éducation et des opportunités d'apprentissage pour les enfants vulnérables dans les zones touchées par la crise », a indiqué l’Unicef. L’organisme de l’ONU indique qu’environ « 488 000 enfants ne sont toujours pas scolarisés en raison de la crise actuelle, ce qui les prive de leur droit à l'éducation ». Dans un rapport publié au mois de février dernier, le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU notait qu’« au moins 25 incidents violents liés à l'éducation avaient été signalés dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest en 2023 ». Cependant, une « augmentation de plus de 13 % du nombre d'écoles fonctionnelles a été signalée entre 2022 (46 %) et 2023 (59 %) dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest ». Pour autant, « au moins 41 % des écoles ne sont toujours pas fonctionnelles ».
Pour Nadine Perrault, représentante de l'Unicef au Cameroun, « en temps de crise, l'éducation est une bouée de sauvetage pour les enfants. Nous nous efforçons de fournir une éducation ininterrompue à chaque enfant. Nous aidons les enfants à développer des compétences pour faire face au traumatisme de la crise, et nous leur fournissons des espaces d'apprentissage sûrs, adaptés aux enfants et équipés d'eau et d'installations sanitaires ».
Dans ces régions en crise, l’Unicef concentre son action sur l'accès et le maintien dans les établissements d'enseignement, y compris la fourniture de services qui améliorent l'environnement d'apprentissage pour les enfants grâce aux services de protection et à un soutien en matière d'eau, d'assainissement et d'hygiène. Ces interventions aident également les enfants d'âge scolaire qui n'ont pas de certificat de naissance à en acquérir un, garantissant ainsi leurs droits à l'état civil et l'accès à la poursuite de l'enseignement supérieur. « Ce financement supplémentaire de l'aide humanitaire de l'UE nous permettra d'intensifier rapidement notre réponse et d'améliorer l'accès des enfants non scolarisés aux possibilités d'apprentissage », précise la représentante de l’Unicef au Cameroun.
La crise anglophone est véritablement amorcée en 2016 à l’occasion d’une grève d’avocats et d’enseignants s’opposant à la nomination de juges francophones dans les régions anglophones. Les manifestations sont réprimées par le gouvernement camerounais et des violences s’en suivent. Depuis lors, une forte insécurité règne dans les régions anglophones du Cameroun, devenues le théâtre d’affrontements et de violences perpétrées sur les populations civiles par les groupes séparatistes et les forces gouvernementales. Cette crise, qui place de manière macabre les établissements scolaires au centre du conflit, a des conséquences non négligeables sur le droit à l’éducation des enfants.
Panisse Istral Fotso
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Harcèlement scolaire : clés pour protéger votre enfant

Nous vivons dans un monde où le harcèlement scolaire est malheureusement une réalité pour beaucoup d'enfants. En tant que parents, nous voulons tous protéger nos enfants contre le mal, d'où l'importance de savoir comment les préserver du harcèlement scolaire. Comprendre le harcèlement scolaire Le harcèlement scolaire peut se manifester de diverses manières : insultes, moqueries, menaces, violences physiques, ou cyberharcèlement. Il est crucial de reconnaître les signes afin de protéger son enfant efficacement. Signes alerte Parmi les signes d'alerte, on note des changements de comportement, une baisse des résultats scolaires, des troubles du sommeil ou une réticence marquée à aller à l'école. Comment protéger votre enfant contre le harcèlement scolaire Dialogue ouvert Pour protéger son enfant, il est essentiel de maintenir un dialogue ouvert. Encouragez votre enfant à partager ses craintes, ses expériences et ses sentiments. Votre écoute active peut les aider à se sentir soutenus et compris. Éducation émotionnelle L'éducation émotionnelle est aussi un moyen puissant pour protéger son enfant. Apprenez-leur à exprimer leurs sentiments, à dire non et à demander de l'aide quand ils en ont besoin. Lisez aussi : Les différences entre les enfants et les ados : comprendre pour mieux communiquer L'école comme alliée L'école doit être une alliée dans la lutte contre le harcèlement scolaire. Informez l'équipe éducative des problèmes que votre enfant rencontre. Ils peuvent mettre en place des mesures pour protéger votre enfant. Activités extra-scolaires Les activités extra-scolaires peuvent aider à renforcer l'estime de soi de votre enfant, un facteur clé pour se protéger du harcèlement scolaire. Un combat de tous les jours Il ne faut jamais minimiser le harcèlement scolaire. Protéger son enfant est un combat quotidien, mais avec les bonnes armes, il est tout à fait possible de le gagner. Ne restez pas silencieux face à cette situation. Parlez-en, agissez, car chaque enfant mérite de grandir dans un environnement sain et respectueux. Maintenant que vous avez ces clés en main, il est temps de passer à l'action. Protégez votre enfant, ils comptent sur vous ! Read the full article
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Actu trans de novembre 2023
Un tract transphobe de 8 pages évoquant les personnes trans comme étant « une armée de fanatiques » dont l’idéologie menace l’école a été distribué dans des boîtes aux lettres dans le nord, à Villeneuve d’Ascq, en France.
Dedans on peut y retrouver des affirmations indiquant que la dysphorie de genre se « répand par contagion sociale », et que cela menace la « santé physique et mentale des jeunes ». Un « lobby LGBT+ » et les « militants du genre » qui distilleraient une « propagande » à l’école « cautionnée par les pouvoirs publics » apparaît également dedans.
Ce tract provient de l’association « SOS éducation » et était intitulé « Non à l’idéologie transgenre à l’école ». Ce dernier a depuis fait l’objet d’un signalement au parquet de Lille.
À Tarbes, une femme trans a étéagressée par un homme après que celui-ci se soit rendu compte de sa transidentité. Ce dernier a « pété les plombs » car la femme lui plaisait. Deux amis à lui ont également participé à l'agression.
Les trois agresseurs comparaîtront en composition pénale pour violences en réunion et injures publiques en raison de l’identité de genre.
L'association Acceptess-T a publié un rapport des violences et discriminations vécues par les personnes trans qu’elle a suivi pour la période 2022-2023. Ces personnes sont au nombre de 3 289.
Cet observatoire rassemble des données liées aux signalements de discriminations vécues par des personnes trans : discriminations à l’accès au droit commun, à la santé, aux procédures d’expulsion du territoire, mais aussi aux violences vécues au travail, dans l’accès au logement et dans la rue.
L’association a noté une augmentation des demandes d’accompagnement cette année. Je vous invite à lire le rapport dans son entièreté, ce sera dans les sources de la pastilles, mais quelques chiffres comme ça :
- 251 personnes ont été accompagnées dans des démarches juridiques faisant suite à des violences transphobes, pour l’obtention d’un CEC ou d’un droit de séjour (la plupart des personnes suivies par l’association n’étant pas de nationalité française).
- Les femmes trans et personnes transféminines sont surreprésentées (on parle de 84 %) parmi les victimes de violences résultant des conséquences de la transphobie, de la misogynie et/ou de la putophobie lorsque ces dernières sont TDS.
- Dans le cadre du TDS d’ailleurs, l’asso a mis en place des maraudes au Bois de Boulogne pour atteindre les femmes trans migrantes faisant exerçant cette activité pour leur proposer un accompagnement, une offre de prévention, une consultation juridique et plus largement pour rompre leur isolement.
- Il y a également eu un travail de fait dans l’accompagnement des personnes trans incarcérées, via la mise en place d’outils pour venir contrer les discriminations spécifiques rencontrées par cette population. Et également pour les personnes subissant de la discrimination dans l’accès au soin (à cause de refus de prise en charge par exemple) et de la discrimination au travail.
En résumé, les femmes trans et personnes transféminines, les personnes sans-papiers, les personnes précaires économiquement et les personnes vivant du travail du sexe ont été les plus impactées par la violence et la discrimination.
On poursuit avec le Royaume-Uni.
Le gouvernement du Pays de Galles envisage un projet de loi sur les quotas de genre qui vise à instaurer une représentation équilibrée entre hommes et femmes au Senedd en imposant des quotas égaux pour les candidats.
Le projet, révélé par une fuite, propose une mise à jour de la définition de ce qu’est une femme pour y inclure les femmes trans, autoriser l'auto-détermination du genre par les candidat·es et interdire aux responsables de circonscription de contester l'identité d'un ou une candidate.
Bien que salué par la communauté trans et ses défenseur·euses, des groupes opposés, dont des groupes de pseudo-défense des droits des femmes, expriment des préoccupations, affirmant que cela pourrait entraîner une autodétermination abusive et avoir des implications sur les espaces réservés aux femmes.
Le Premier ministre gallois, Mark Drakeford, un défenseur de longue date des droits des personnes trans, a déclaré que l'inclusivité est la priorité dans ce débat potentiellement divisif.
Une fois de plus, un tribunal écossais a statué que la définition de "femme" inclut bien les femmes trans munies d'un GRC - un Gender Recognition Certificate – qui en gros est un certificat de reconnaissance de genre qui permet de faire modifier son acte de naissance -, rejetant ainsi l'appel du groupe anti-trans For Women Scotland.
Cette décision fait suite à une affaire de 2022 où un tribunal confirmait que les femmes trans avec un GRC passent bien sous la classe protégée de "femme" dans le cadre de l'Equality Act.
Sarah Jane Baker, une militante britannique des droits des personnes trans, aurait été contrainte de mettre fin à son traitement hormonal après son arrestation en juillet, malgré son acquittement en août.
Actuellement en prison, elle aurait subi une tentative de détransition médicale, les médecins de la prison masculine où elle est détenue essayant de lui administrer de la testostérone au lieu de son traitement habituel à base d'œstrogènes.
Bien que les autorités médicales de la prison considèrent cela comme une mesure temporaire pour évaluer les bénéfices et les risques des traitements, le mouvement "Free Sarah Jane Baker" dénonce cette mesure comme étant punitive et transphobe, soulignant que Baker souffre de symptômes sévères liés à la ménopause.
Dernière info le procès pour le meurtre de Brianna Ghey a commencé à Manchester et devrait durer encore quelques semaines.
Pour rappel, l'adolescente trans Brianna Ghey avait été retrouvé morte il y a 9 mois dans un parc suite à plusieurs années de harcèlement transphobe. Et 2 ado avaient été appréhendé·es et accusé·es de son meurtre.
Pour l’instant, on sait juste qu’une note manuscrite détaillant le projet de poignarder à mort Brianna a été trouvée dans la chambre de l'un des ado. Donc à voir ce que résultera du procès.
On va clore cette partie britannique avec une info plus légère : l’identité de genre d’Elagabalus (ou Héliogabale) est en train d’être reconsidéré après que des chercheur·euses britanniques aient fait des découvertes intéressantes.
Selon des textes et des artefacts anciens, l’ancien empereur romain du troisième siècle n'était pas un empereur mais une impératrice. Cette dernière se faisait « appeler épouse, maîtresse et reine » et refusait qu’on utilise le masculin. Elle portait des perruques et du maquillage, offrait de « vastes sommes » d’argent à tout médecin capable de lui faire ce qu’on considère aujourd’hui une vagino, et épousa un conducteur de char et ancien esclave, Hiéroclès.
Un musée londonien a donc annoncé qu'il ferait désormais référence à Elagabalus en utilisant des pronoms féminins pour être « poli et respectueux » et « sensible à l'identification des pronoms des personnes du passé ».
En Bulgarie, Gabriela Bankova, une femme trans, a entamé une grève de la faim et un sit-in sur les marches du palais de justice pour protester face au rejet de sa demande de modification de sa mention du genre par un tribunal.
Il faut savoir que presque tous les cas ultérieurs de personnes demandant un changement de leur mention de genre ont été refusés ou simplement rejetés par les juges appliquant les normes de la Cour suprême qui avait statué que la législation bulgare "n'envisage pas" de changements juridiques concernant ce sujet.
La trentenaire affirme que, sans « armes » pour lutter pour les droits des personnes trans bulgares, elle est prête à tout sacrifier.
Jesús Ociel Baena Saucedo, la toute première personne non-binaire occupant le rôle de magistrat au Mexique, a été retrouvé·e assassiné·e aux côtés de son partenaire dans leur maison commune.
On ne sait pour l’instant pas exactement ce qu’il s’est passé. Les autorités évoquent un meurtre sur conjoint suivi d’un suicide mais de nombreux militant·es LGBT+ soupçonnent plutôt un homicide en raison de l’identité de genre au vu des messages à caractère enbyphobe que pouvaient recevoir cette personnalité médiatique.
Quelques milliers de sympathisant·es LGBTQ+ se sont rassemblé·es à Mexico et dans d’autres villes suite à cette annonce.
Iel était entré·e dans l’histoire en mai en devenant la première personne mexicaine à recevoir un passeport non binaire.
L’Argentine vient d’élire son nouveau président. Ce dernier s’appelle Javier Milei. Il est d’extrême-droite et s’affiche comme étant un sympathisant de Donald Trump.
Il a, durant sa campagne, dénoncé le "lobby LGBT", et souhaiterai maintenant qu’il est au pouvoir revenir sur le droit à l'avortement ainsi que sur les cours d'éducation sexuelle, et supprimer le quota permettant aux personnes trans d'accéder à des emplois publics. Autant dire que cela n’augure rien de bon pour les 4 prochaines années…
La marque finlandaise de produits d'hygiène Vuokkoset a suscité des réactions négatives en ligne après le lancement d'un tampon destiné aux hommes trans et personnes non-binaires.
Intitulé "Tampon for Men", le produit, introduit lors de la Semaine de Sensibilisation à la Transidentité, vise à réduire la dysphorie que peuvent ressentir certains hommes trans ou personnes non-binaires autour des menstruations.
Sans grande surprise, la campagne a été confrontée à des attaques de trolls anti-trans sur les réseaux sociaux. Certains commentaires ont minimisé l'expérience des hommes trans ayant des règles, tandis que d'autres ont critiqué la commercialisation de produits spécifiquement destinés aux personnes trans. Malgré cela, de nombreux commentaires ont soutenu le produit et salué l’initiative de la marque.
La vente du produit bénéficiera à l'organisation Trasek ry, qui est axée sur la diversité des genres et la santé sexuelle. Et une distribution plus large du tampon est prévue pour 2024.
Côté Monde, le mois de Novembre marque la journée du souvenir trans, le TDoR.
Cette année 393 décès de personnes trans ont été répertoriés. (Les chiffres continuent d’être mis à jour.) Comme d’habitude, ces derniers sont sous-estimés vu qu’il est impossible de recueillir de manière exhaustive toutes les données de ce type.
Côté statistiques, malheureusement j’ai envie de dire, ça reste stable par rapport aux années passées. La majorité des victimes sont des femmes trans et personnes transfeminines, des personnes trans racisées et des travailleurs et travailleuses du sexe.
Dans un tout autre registre, le Pape a indiqué autoriser le baptême des personnes trans majeures et mineures (sous couvert « qu’il n’existe pas de situation dans laquelle il y a un risque de générer un scandale public ou une incertitude parmi les fidèles »). Il ne faudrait pas brusquer les personnes cis hein… De plus, on apprend qu’une personne trans peut être parrain ou marraine (encore une fois « sous certaines conditions »).
Autre info, un groupe d'expert·es de l'ONU a appelé les pays, les athlètes et les instances sportives à respecter le droit des personnes trans et intersexes à participer au sport.
Apparemment l’appel n’a pas l’air d’avoir trouvé une oreille attentive chez tout le monde puisque le Conseil international de cricket a annoncé que toute personne « ayant traversé une forme quelconque de puberté masculine » ne sera pas autorisé à participer au cricket féminin international et ce « même en étant hormonée et/ou opérée ».
La nouvelle politique repose je dite « sur les principes suivants (par ordre de priorité) : la protection de l’intégrité du sport féminin, la sécurité, l’équité et l’inclusion »…
Et dernière info mondiale, un personnage non-binaire nommé Venture va arriver sur le jeu vidéo Overwatch 2 en 2024.
Et pour terminer, cap outre-Atlantique avec les États-Unis.
Côté lois adoptées, nous avons peu de choses ce mois-ci, mais c’est que du positif donc ça fait plaisir !
- Le plus grand district scolaire du Vermont a approuvé à l’unanimité de solides protections pour leurs élèves trans. Les politiques exigent que les écoles permettent aux élèves trans d'accéder aux installations scolaires, de jouer dans des équipes sportives et d'utiliser des pronoms et prénoms qui correspondent à leur identité de genre sans en informer les parents qui sont (ou seraient) potentiellement peu favorables à bien recevoir cette info.
- Et seconde et dernière news, le droit à l'avortement et les droits relatifs aux personnes trans sont sécurisés dans l’état de Virginie grâce aux démocrates qui ont gagné les élections.
Dans le reste de l’actu USA :
- Une personne non-binaire qui enseigne en Floride a été licencié·e parce qu'iel a utilisé "Mx" (l'équivalent neutre de "monsieur" et "madame") en classe. Personne, que ce soit côté élève ou prof n’a manifesté de plainte à ce sujet. Mais, l’école a quand même déclaré que cette appellation neutre violait un article de la loi « Don’t say gay » de Floride signée plus tôt en mai.
Suite à cette décision, ses élèves ont été répartis dans des classes déjà surchargées… Et une plainte auprès de l'EEOC pour licenciement discriminatoire a été déposée. - On commence à voir et quantifier l’impact des résultats des politiques anti-trans menées par les États transphobes. On observe une affluence significative de "réfugié·es du genre" dans les États sanctuaires. Cet afflux de personne crée des listes d'attente pour les soins d’affirmation de genre, exacerbées par une pénurie de médecins dans ces États.
- PragerU, un groupe de défense conservateur américain, a lancé une campagne de 1 million de dollars avec le hashtag #DETRANS, mettant en avant un court-métrage sur des personnes ayant fait une détransition, affirmant avoir été "manipulées par le mouvement trans".
La principale protagoniste, Daisy Stronglin, a déclaré que personne ne devrait être autorisé à transitionner à tout âge et que tout le monde devrait se convertir au catholicisme.
La campagne, d’abord rejetée par la plateforme YouTube, a finalement trouvé preneur sur X (anciennement Twitter), le réseau social d’Elon Musk, qui s’est lui-même prononcé contre les soins d’affirmation de genre, déclarant qu’il ferait pression pour criminaliser les médecins fournissant des soins d’affirmation de genre aux jeunes trans.
Le récit de Stronglin rappelle le mouvement ex-gay des années 90, mettant en avant des thèmes de guérison religieuse et remettant en question l'identité LGBTQ+.
- L’une des joueuses de billard féminin les mieux classées au monde a refusé de jouer contre toute personne qui je cite « ne serait pas biologiquement féminine ». (Ce qui, au passage, ne veut absolument rien dire hein.)
Elle affirme qu’intégrer des joueuses transfem’ dans les compétitions féminines de billard est profondément injuste car elles ont un net avantage physique sur les compétitrices cis.
Serait-on en train de nous dire que les femmes trans ont un avantage injuste et inné dans l'évaluation des angles et des distances pour mieux taper dans une queue de billard !? Vraiment ? On est rendu·e là !?
- Des centaines d'élèves ont manifesté leur soutien aux responsables de leur école en Floride. Le directeur, le directeur adjoint, le directeur des sports, l'entraîneur de volley-ball et un technicien en gestion de l'information ont été « réaffectés » (entendre « expulsés ») du campus après qu’une information anonyme les ait accusés de soutenir le désir d’une fille trans de jouer au volley-ball.
En vertu de la loi de l’État de Floride, introduite par Ron DeSantis, il est désormais interdit aux athlètes trans de jouer dans des équipes sportives scolaires qui correspondent à leur identité de genre. Du coup, les responsables de l’école ont été accusés d’avoir permis « une participation inappropriée des élèves à des sports ».
- Une nouvelle étude menée par la California State University - Long Beach révèle une préoccupation alarmante concernant les idées suicidaires chez les adultes trans de 50 ans et plus aux États-Unis.
Les résultats indiquent que 25,8 % de cette population a sérieusement envisagé de mettre fin à sa vie, comparé à l'estimation de 4,7 % pour les adultes en général.
Les chercheur·euses soulignent que les défis rencontrés dans différents aspects de la vie, tels que le travail, les interactions avec les professionnel·les, l'utilisation des services publics, la sécurité et les désavantages socio-économiques, augmentent considérablement le risque de pensées suicidaires. Ce risque augmente de 96 à 121% pour celleux qui ont rencontré des difficultés dans l'un des 5 domaines examinés. Et ce risque atteint même 861% (ce qui est énorme) lorsque ces 5 points sont cumulés.
Malgré ces inquiétudes, le risque semble diminuer chez les adultes trans plus âgés, passant à 12 % chez ceux de 70 ans et plus.
- Un nouveau sondage de Data for Progress a montré que la majorité des gens interrogés pensent que les décisions concernant les soins d'affirmation de genre auprès des jeunes trans devraient être laissées aux parents ou aux médecins, et non aux législateur·ices élu·es.
- La Cour suprême est appelée à entendre sa toute première affaire sur les soins d'affirmation de genre. L'Union Américaine des Libertés Civiles a demandé à la Cour suprême de bloquer une loi du Tennessee interdisant les soins d'affirmation de genre pour les mineur·es.
- Et pour terminer, Danica Roem entre dans l’histoire en tant que première sénatrice trans de l’État de Virginie.
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🔗 Les sources :
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Aujourd'hui Journée Internationale contre ...Harcèlement et Violences Sexuelles ... Harcèlement sexuel et incitation à la haine fondée sur le genre
Chaque nouvelle vague de conflit apporte son lot de tragédies humaines, notamment de nouvelles vagues du crime le plus ancien, le plus étouffé et le moins condamné de la guerre : la violence sexuelle. La violence sexuelle liée aux conflits, qu'elle soit exercée contre des femmes, des filles, des hommes ou des garçons dans toute leur diversité, continue d'être utilisée comme tactique de guerre, de torture et de terrorisme dans un contexte de crises politiques et sécuritaires de plus en plus graves, exacerbées par la militarisation et la prolifération illicite des armes.
Les crises se sont multipliées à mesure que les conflits s'aggravaient, entraînant un effritement de l'espace civique et une augmentation des représailles contre les défenseurs des droits humains, les activistes et les journalistes.
Le harcèlement sexuel et les discours de haine fondés sur le genre ont pris de l'ampleur dans l'espace numérique. Si l'utilisation des technologies de l'information et de la communication a contribué à l'autonomisation des femmes et des filles et d'autres groupes en situation de vulnérabilité, elle a également permis la propagation de la violence.
Dans certains cas, des tendances inquiétantes de discours de haine fondés sur le genre et d'incitation à la violence ont alimenté des conflits dans lesquels le viol et d'autres formes de violence sexuelle ont été utilisés pour humilier et déstabiliser des communautés ciblées. Les discours de haine - y compris en ligne - sont devenus l'un des moyens les plus courants de diffuser une rhétorique créant la division à l'échelle mondiale.
Nous devons lutter contre le sectarisme en nous attaquant à la haine qui se répand comme une traînée de poudre sur l’internet.
António Guterres
Les technologies de l'information et de la communication (TIC) - un outil d'autonomisation... et de destruction
Les technologies de l'information et de la communication (TIC) peuvent être utilisées comme un outil pour proférer des menaces numériques et inciter à la violence sexiste, y compris des menaces de violence physique et/ou sexuelle, de viol, de meurtre, de harcèlement en ligne et de communications en ligne non désirées, ou même des incitations à nuire physiquement aux femmes.
Néanmoins, les TIC peuvent être un outil puissant pour améliorer l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes et des filles, contribuer à renforcer leur résilience en temps de crise, améliorer la prévention de la violence sexuelle et sexiste, et aider les survivants à lutter contre l'impunité et à améliorer la responsabilisation.
Le manque d'accès des femmes et des filles à des technologies abordables, accessibles et fiables reste un défi majeur dans de nombreux pays. Tous les efforts doivent être déployés pour réduire le prix et rendre plus abordables les technologies de l'information et de la communication, ainsi que l'accès au haut débit et à son utilisation. Il reste encore beaucoup à faire pour réduire la fracture numérique entre les femmes et les hommes et pour garantir que les technologies sont sans danger et accessibles à tous.
Nous devons garantir un accès sûr et équitable à une éducation inclusive et de qualité, y compris à la culture numérique pour tous.
La coopération internationale doit être renforcée pour lutter contre l'augmentation de la violence sexuelle et sexiste, du harcèlement et des discours de haine, tant en ligne qu'hors ligne, car ils constituent une véritable menace pour la démocratie en affaiblissant la participation des femmes et des jeunes filles à la société.
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Jeudi 29 décembre 2022
Ce que le président ne vous dira pas le 31 décembre
En présentant ses vœux aux français, le président Macron évitera évidemment d’évoquer la fin du progressisme béat et de la mondialisation heureuse.
Et pourtant autour d’Emmanuel Macron et de ses gouvernements se sont rassemblés depuis six ans des progressistes qui comme Alain Juppé veulent croire non sans mal en une mondialisation heureuse reposant sur la théorie du ruissellement.
Quel progrès, quel ruissellement dans l’actuelle crise énergétique, dans le saccage de notre filière nucléaire, dans la perspective de coupures électriques, de délestages et des mirages du remplacement du gaz et du pétrole par des énergies renouvelables ?
Quel progrès, quel ruissellement dans la montée de la violence et de la barbarie, dans l’incapacité d’empêcher des immigrés de venir en France avec le risque d’accueillir des terroristes et des criminels barbares sans pouvoir ensuite les expulser ?
Quel progrès, quel ruissellement dans la tiers-mondialisation d’une partie de la France pour le moment minoritaire mais qui risque fort de s’accroître au cours des prochaines années ? Quel progrès dans les menaces et les vicissitudes des classes moyennes qui vivent mal le déclin et l’appauvrissement ?
Quel progrès dans l’effondrement progressif de notre hôpital public, dans les pénuries de médicaments, dans la dégradation de notre Éducation nationale et de notre enseignement supérieur, dans les atteintes à la la��cité ?
Liste non exhaustive. La culture woke, la cancel culture menace notre vivre ensemble et le principe même de la transmission. Le néo-féminisme discrédite par ses excès les luttes féministes qui font partie de notre héritage civilisationnel.
Tous nos vœux pour la reconnaissance de nos erreurs et l’espoir de réactions conservatrices.
François BAUDILLON *
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Shingeki no Kyojin #139 - L'impossible liberté des Hommes ?
ça y est ... Shingeki no kyojin est fini. Un manga phare du 21ème siècle vient de se conclure dans les larmes, le sang, le deuil, la déception, la frustration... et l'amour.
Tant d'émotions me viennent là à la lecture de ce chapitre final, j'avais besoin de les exprimer aussi maladroitement soit-il.
Je suis sûre que cet article se perdra dans les méandres d'Internet mais qu'importe... il faut évacuer à la fois la joie et la frustration que je ressens pour rendre hommage à Isayama qui nous a offert une œuvre aussi puissante que maudite.
Aussi intense qu'inégale, aussi parfaite qu'imparfaite.. à l'image de son héros tragique Eren Jäger qui nous montre que les Hommes sont si faibles et pitoyables face au temps et à la cruauté du monde. Combien même si ce héros possède dans ses mains le pouvoir d'un Dieu.
Mon analyse sera sûrement maladroite, je m'en excuse.
Et je ne manquerai pas aussi de souligner à la fin l'amertume ressentie sur le développement finale de certains personnages notamment celui de Misaka Ackerman.
Mais faisons les choses petit à petit.

Eren like "CryBaby"
Quelle claque pour le lecteur d'assister à un tel tableau émotionnel.
Oui.. Isayama nous rappelle à quel point Eren n'est pas un preux chevalier, ni un héros charismatique, ni le démon génocidaire de cette histoire mais bien un enfant.. dont le poids du Destin est trop lourd à porter.
Le scan 139 nous rappelle à quel point nous lecteurs, nous nous sommes égarés tout comme Eren dans le chemin, en oubliant l'essence même de l'histoire qui nous a été conté depuis le début.
Ce n'est pas une histoire de guerre géopolitique, d'un parasite biologique, de monstres titanesques, ni d'une divinité nordique, ni un trip philosophique-ésotérique.
C'est l'histoire d'un garçon qui veut s'émanciper, vivre pour lui-même, goûté à la soif d'aventures, à la quiétude de ses proches mais qui né dans un monde cruel et aliénant qui ne laisse la place qu'à la mort, l'abus de pouvoir, la trahison et le désespoir .

Un voyage où l'enfant devient un adulte au prix de sa vie. En apprenant la leçon la plus douloureuse qui soit... être adulte c'est renoncer à ses rêves, c'est plier le genou face à la servitude de sa condition d'homme mortel, c'est de se contenter de sa cage pour profiter du peu qu'on puisse avoir à disposition, c'est aussi faire le deuil de personnes qui peuvent disparaître de nos vies.
Un jeune garçon qui ne rêvait que de liberté, entouré des gens qui l'aiment. Un enfant dont les inspirations aussi impulsives, déraisonnées et immatures soient-elles, le pousseront dans ses retranchements. Un enfant qui a grandit trop vite, qui n'a pas pu faire le deuil de sa mère, conscient de sa faiblesse physique et d'esprit, qui a été confronté à la violence de ce monde qui lui a rappelé sa condition d'être insignifiant, un pion sur l'échiquier du Chemin.
Un enfant dont les pouvoirs digne d'un Dieu lui confère ensuite la possibilité de réaliser l'impensable, presque le fantasme absolu de tout Homme : façonner un monde à son image, être aussi libre qu'un oiseau volant au-dessus des nuages sans souillure rougeâtre pour tâcher le ciel.
Avancer, Avancer quel que soit le prix... avancer pour une illusion de liberté, pour une obsession infantile.
Et en endossant le rôle du méchant "démon" des contes pour que les preux chevaliers puissent libérer ce monde du Mal qui le ronge. Perdu entre le présent, le passé, le futur.. le temps n'a plus de sens. Seule la finalité compte, anéantir ses titans quel en soit le prix. Ils doivent payer.. pour sa mère. Ils doivent payer.... pour ses camarades tombés au combat. Ils doivent payer pour nous avoir rappeler notre pitoyable impuissance d'êtres humains.
Mais le Démon a aussi un cœur, des remords, des sentiments, il y a des gens qui le rattachent à ce monde. De ce fait, que choisir ? Liberté Divine ou Amour Mortel ?
L'impossible équation... Eren aura beau parcourir le chemin à la recherche de la réponse : comment concilier la liberté et l'humanité ? Libérer son peuple et protéger des êtres chers bien qu'imparfaits ?
Il ne trouvera pas la réponse... ni en fouillant le passé de la déesse Ymir, ni en consultant les autres porteurs des Titans, ni en créent les différentes réalités alternatives qui débouchait sur le même constat... seul la mort peut libérer l'oiseau de sa cage, seul la mort de l'Humanité est à même de concilier le sublime et l'hideux.
Ou plutôt, un ennemi commun qui cristallisera tous leurs maux.
Mais qui serait assez fou, courageux pour accepter d'être le bouc émissaire ?
Telle une figure Christique, Eren va endosser ce rôle. Mais pas sans avoir à confier ses dernières volontés, ses derniers secrets qui n'arrivent plus à contenir... car oui, le démon est limité par sa condition d'adulte de 19 ans. Oui.. l'enfant a grandi.
L'insouciance, l'impulsivité, l'audace face à la mort, la toute-puissance de l'enfant laisse place à un adolescent qui a maintenant peur de mourir, qui a succombé à l'amour, qui doute, qui a conscience de sa faiblesse.
Eren est enfin devenu un homme...dans la douleur. Il accepte enfin ses sentiments, sa faiblesse devant la mort qui l'attend. Ce n'est plus un enfant qui fuit.
Les planches ne sont qu'explicites à ce sujet. La puissance de la narration.. on revient au fondamentale de cette histoire qui est la psychologie humain. Les sentiments, les relations qui unissent toutes les personnes entres elles. Amis ou ennemis, hommes ou femmes, enfant ou adulte, Eldien ou Mahr... Malgré nos différences, nos désaccords, nous sommes tous égaux et faibles face à la mort... mais aussi face à l'amour qu'on peut porter à autrui.
Oui, Eren est un héros faible. Oui, il admet aimer Mikasa. Il admet que jusqu'à la toute fin, il ne savait pas comment ça allait se passer. Qu'il était lui-même un pion dans le jeu divin d'Ymir. Un pantin de plus au service d'une petite fille elle aussi aveuglée par sa dualité, par son amour toxique envers son bourreau.
On ne peut rester insensible à ce remarquable développement du personnage d'Eren dont la mort était inévitable. Car, quiconque joue aux divinités ne peut que perdre son humanité, sa liberté aussi. Par l'ultime sacrifice de ses désirs égoïstes et humains finalement.
Eren est devenu à lui seul, le véritable sauveur de ce monde. Il aura aussi tenu sa promesse à ses amis, aux êtres qu'il aime en leur offrant des derniers souvenirs grâce au "Chemin".

L'Amour désintéressé ou la vraie liberté
Comme disait Mikasa : Le monde est cruel, mais aussi ... Très beau.
Quiconque posera un regard sans haine sur le monde, avec compassion, avec amour pour son prochain pourra prétendre toucher du doigt cette Liberté tant cherchée.. un amour désintéressé, non tourné pour assouvir ses propres désirs égoïstes.
Car l'amour, comme la haine, prend différents formes.
L'amour liant deux êtres qui s'aiment, se désirent, se chérissent, se cherchent....

L'amour nous liant à ses camarades, son bataillon, à sa famille de choix, de cœur...

L'amour nous liant à nos racines, notre famille de sang...
L'amour que nous apporte la vie sous toutes ses formes...

L'amour... ce pouvoir aussi imprévisible qu'incontrôlable.
Et qui peut devenir l'obsession d'une vie. C'est en devenant une obsession que l'amour devient aussi destructeur que la haine, et nous renvoie à notre condition d'Homme aliéné... enfermé dans son "Chemin", dans sa cage.
C'est en faisant preuve de résilience, d'auto-sacrifice que l'homme peut goûter à la liberté. On peut trouver la rédemption dans l'amour que lui porte autrui, qu'on lui porte aussi. Pendant quelques heures, quelques années...
Au prix d'un renouveau du cycle de la haine, car l'homme reste égoïste, tous ne sont pas prêts à faire des sacrifices.
De ce fait, Mikasa et Eren ont accompli le plus grand des sacrifices pour la survie de leurs camarades et du monde : ils abandonnent leur chance d'être heureux ensemble, sacrifient leur désir d'être ensemble pour le reste de l'humanité.
Comme dans les tragédies, les héros principaux sont victimes du Destin, sont ceux qui payeront le prix pour que les autres puissent s'épanouir et vivre.
Les enfants sont devenus des adultes.
De même qu'Armin n'est plus le petit garçon pleurnichard à protéger. Contrairement à Eren, il a réussit à apprendre de ses erreurs, à faire le deuil, à affronter ses propres peurs, à avouer son amour à la fille qu'il aime. C'est finalement lui à son tour qui relèvera le petit garçon blessé, qui le réconfortera.
La frustration
Oui, Mikasa est le personnage principale de l'histoire. c'est par elle que l'éveil se fait, c'est par sa main qu'elle clôture ce long voyage. Dans les souvenirs d'Eren, elle est toujours centrale. Elle est la clé, la solution finale.
C'est sa psychologique, son parcours émotionnel qu'on suivra tout au long du manga. Eren n'est qu'un complément, le personnage qui cristallise ses objectifs. Dans un monde où les hommes sont "dominants", la femme doit plier le genou, soutenir son prince pour que la lumière brille sur lui.
Isayama a su parfaitement retourné ce code classique de narration. Qu'on soit d'accord ou non avec la conclusion de certains personnages féminins, l'œuvre met souvent en avant le fait que les hommes ne sont que des victimes de leurs passions et leurs obsessions.
Seules les femmes semblent sortir victorieuses face à la cruauté du monde : elles prennent les armes (Historia), continuent à se battre face au désespoir (Mikasa), savourent la vie et apportent de la joie autour d’elle (Sasha), soutiennent d’autres femmes dans leurs émancipations ( Ymir avec Historia) remettent en question leur éducation (Gaby) désobéissent (Annie), vont à l'encontre des principes “moraux” pour survivre (Ymir Frizt qui continue à aimer son bourreau) , se sacrifient pour le bien commun (Hanzi Zoé)…
Mais évidemment... sans aussi payer le prix du sacrifice et faire des concessions.
Historia porte un enfant d'un homme qu'elle ne semble pas aimée mais endosse le rôle de la mère qu'elle aurait souhaité avoir tout en endossant le lourd attribut de la fonction de Reine dans un pays en proie à des tendances nationalistes guidées par la peur.
Avec l'aide d'Eren, elle n'a pas cédé à la tentation de l'auto-sacrifie mais a décidé elle-même qui elle allait épargner ou non, quel chemin elle a voulait tracé. Son désir était d'être mère, une bonne mère. Qu'importe le père, c'était un amour maternelle indestructible qu'elle voulait offrir à un enfant. Celui qu'elle n'a jamais eu.
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Mikasa accepte de tuer Eren car, si elle lui avait donné une autre réponse, leur vie de fugitifs n'aurait été qu'un fugace rêve et la mort d'Eren était inévitable.
Malgré son puissant amour pour Eren (aussi toxico-dépendant il puisse être, expliqué par le pouvoir des Ackerman ?), elle brisera les chaînes de sa servitude en tuant son seul Amour. Elle est la lumière. Elle a accompli le parcours d'une vraie héroïne en faisant preuve de résilience, en donnant de soi pour le monde.
Elle qui n'avait que des yeux pour Eren.. s'est ouverte aux autres, à montrer de l'empathie, une envie de continuer à vivre pour les autres camarades qui lui sont chers.
Mikasa montre aussi la voie à Ymir... on peut aimer un monstre, on peut être prisonnière d'une relation toxique mais on peut s'en libérer. On peut devenir libre, mais le prix à payer sera de porter cette infinie tristesse, cette frustration d'avoir pu vivre une autre histoire si les choses auraient été différentes. Par son baiser, elle a montré ce qu'est le véritable amour.
Bien que la frustration soit présente, bien qu'on aurait souhaité qu'elle tourne la page et qu'elle est reconstruit sa vie, elle doit aussi payer le prix de sa "liberté", de sa "survie" : hantée par le sacrifice d'Eren, gardienne de ses souvenirs, de sa tombe comme pour préserver son existence aussi long qu'elle puisse encore vivre.
Encore une fois, les Femmes montrent qu'elles sont plus fortes qu'on ne le croit. Ymir a donc pu se libérer aussi de son lien toxique avec le Roi en faisant disparaître les Titans.
A l'image de la fin douce-amère du chapitre qui nous montre que la disparition d'un monstre, d'une force divine "responsable" des horreurs, n'est pas le salut tant attendu.
Les vices, les peurs humaines resteront le poison, empêchant à atteindre cette liberté si illusoire. Les hommes n'ont pas besoin de divinités pour creuser leur propre route vers la mort.
Si on adopte le point de vue occidental, il est un vrai que c'est un coup dur pour les femmes "fortes" de l'œuvre encore en vie. Réduites à être des victimes collatérales de l'Amour, aussi toxique que puisse être ce lien (Ymir-Mikasa). Réduites à s'attacher à des figures romantiques gagnantes ou perdantes en fonction si leur love-intérêts est le méchant de l'histoire (Mikasa-Annie). Réduites à leur rôle de mère-bienfaitrice (Historia-Gaby).
C'est maladroit mais je pense qu'Isayama a voulu montré que personne n'est épargné. Qu'aucun personnage ne peut prétendre complètement la quiétude et la douce liberté. Chacun a du sacrifié quelque chose pour survivre.Et les femmes et les hommes sont égaux face à ce jugement. Les femmes restent aussi des victimes dans un monde qui reste dominé aussi par la cruauté des Hommes (la race humaine en général). Elles ne sont pas complètement libres, elles sont aussi coincées dans des rôles. Chacun porte le poids de ses choix. Que les personnages ont un devoir de mémoire, de transmettre aux générations futures les horreurs qu'ils ont vécu pour tenter de ne pas reproduire les mêmes erreurs. Même si leurs nouveaux choix de vies sont imparfaits, décevants pour ceux qui sont à l'extérieur.
Chacun porte le poids de ses choix. Que les personnages ont un devoir de mémoire, de transmettre aux générations futures les horreurs qu'ils ont vécu pour tenter de ne pas reproduire les mêmes erreurs. Même si leurs nouveaux choix de vies sont imparfaits, décevants pour ceux qui sont à l'extérieur.
Levi a sacrifié a un bon nombre de ses camarades pour accomplir sa promesse envers Erwin dans sa quête de vérité et pour continuer le combat vers la liberté des Eldiens.
Armin et Mikasa ont sacrifié Eren : leur ami, leur amour, l'être le plus cher pour accomplir leur promesse de découvrir le monde extérieur et toucher à cette liberté.

Comme pour Levi Ackerman et son amour pour ses camarades du bataillon. Comme pour Mikasa et son amour pour Eren (car elle a vu l'humain derrière le monstre). Elle attends un signe depuis 3 ans pour le revoir afin de donner suite à " à plus tard Eren".
Finalement un oiseau vient lui remettre son écharpe. Pour l'encourager de nouveau à aller de l'avant. Pour continuer à vivre...
Il n’y a pas de liberté sans sacrifice. Il n’y a pas de liberté sans amour.
Les gens les plus libres sont ceux qui aiment honnêtement et sincèrement quelqu’un.
Ceux qui sont capable de voir la beauté du monde malgré sa laideur. Qui donnent sans attendre de retour.
Ceux qui continuent à porter un regard sans haine sur le monde, ceux qui ne succombent pas à sa cruauté.
Les larmes coulent...

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La gauche est morte... On va presque la regretter !
Avant-hier soir, sur France 2, mise en scène comme le Sévice public sait si bien nous en imposer : à la fin d'un entretien avec Eric Zemmour (interrogé par une Léa Salamé qui croit que c’est l’agressivité partisane et la malhonnêteté intellectuelle qui font une ''pro''), un ''panel'' réunissait 5 opposants pour ''décrypter sa prestation'' (sic ! En bon français : ''le descendre en flammes''). Raphaël Einthoven, avec la morgue prétentieuse de celui qui s'est toujours trompé --mais à gauche !-- a enfilé les contre-vérités (la plus belle ? ''Zemmour ose prétendre que l'Ukraine serait le berceau de la Russie''... comme si ce n'était pas vrai !). Ces journalistes et ces panélistes qui refusent le réel se prétendent ''à Gauche''... Mais où sont-ils ?
La Gauche --sauf miracle laïc dont font mine de rêver Hidalgo et Montebourg, en attendant les autres-- s'est endormie d'un sommeil cataleptique... que les français ont bien mérité, tant ses idées, initialement utopistes mais devenues perverses, ont fait de mal au pays. ''Endormie'', vraiment ? Réunions perturbées, conférences interdites, étudiants agressés, émeutes urbaines, candidat menacé de mille morts, provocations et violences contre la Police, haine à tous les étages, drogue partout, décadence ''woke'' et ''cancel culture'', faux internationalisme mais vraie haine anti-blanche, et écologisme intellectualisé à en être devenu ravageur pour la planète et l'humanité… une gauche extrême s’est revêtue des habits usés d'un antifascisme sans objet, pour sauver la démocratie (qui n'est menacée que par elle !) d'un péril fasciste (?) inexistant à part celui de leur comportement. Ne demandez pas à ces activistes qui se disent ''antifas'' la nature de ce danger, ils n’en n’ont pas la plus petite idée... et ils s'en foutent ! Seule les intéresse la possibilité de casser tout ce qui peut l'être et de substituer, par la violence, le chaos à la civilisation et le bordel à la paix civile. Dites-moi un seul point constructif, sous leur haine-pour-la-haine ?
Feue la Gauche, donc, ne se survit à elle-même que dans ce qu'elle avait de plus condamnable... mais qui n'était jamais sanctionné : les ''valeurs républicaines'' chères à notre pauvre intelligentzia qui n'était en vérité qu'une ''bêtisentzia'' (NDLR : je viens de l'inventer. Il me plaît !) sont des morceaux rapetassés de feue leur Doxa. Il faudra se demander un jour qui était coupable, qui responsable et qui les deux, de tous les malheurs de la France, de notre submersion par une immigration qu'il fut longtemps facile d'ordonner et contrôler intelligemment... du degré d'insécurité qui est maintenant ''de droit dans les zones de non-droit'' (et jusque dans les rues autrefois si souriantes de Cannes --que j'ai connue ''Ville de fleurs et des sports élégants'')... ou de la dégradation --qui menace d’être irrattrapable-- de ce qui fut notre ''éducation nationale'' qui n'est plus ni l'une, ni --surtout pas-- l'autre (outre le fait que si l'instruction peut être en partie du ressort de l'Etat, l'éducation, elle, n'appartient qu'à la famille, mais sans la seconde, la première n’est pas possible !)
Les quelque 20 %de français qui se disent ''de Gauche'', de quoi parlent-ils ? Pour une poussière de nostalgiques, c'est vouloir faire perdurer des idées qui, pour n'avoir jamais été réalistes n'en existaient pas moins : un mélange de Grand soir, du rêve d'une égalité économique contre-performante, de ''justice sociale'' (jamais définie, et pour cause !), d'une ''lutte des classes'' (ferment de discorde partout, solution nulle part et jamais...), de la fraternité des grandes grèves des XIXè et XXè siècles, ou le rêve... d'un échec prévisible dont l'utopie n'était que dystopie... tous fantômes auxquels ils ont rajouté un fatras d’idées collectivistes : ‘’l’Ecologisme''.
C'était irréaliste, mais ça avait une certaine ''gueule et une sorte de pureté dans l'onirisme dont quelques poignées d'intellectuels n'arrivent pas se dégager. Le communisme --léniniste, trotskyste, stalinien, titiste, maoïste puis ''Xi-iste'', hodjiste, khmer, ''kim''... mais toujours affreux-- est passé par là et a tout ravagé, ne laissant que laideur, pauvreté, mensonges, goulags, famines, épurations, ''grands procès'', lavage de cerveaux, morts par centaines de millions, et ayant semé partout les graines mortifères de la jalousie --qui ne peut que se sublimer en haine. Nous en sommes là. La Gauche, se voyant inutile, aurait pu s'en aller, discrètement... C'eût été trop beau : elle nous laisse le pire d'elle-même : une Gauche ‘‘extrême’’ !
Le terme extrême gauche, par définition ''sinistrissime'', est employé pour classer des individus, des mouvements, des organisations et des partis politiques qui méritent les qualificatifs les plus sévères. Il n'est pas possible de la décrire en termes de valeurs, d'idées ou de projet, puisqu'elle n'existe, en fait, que pour le renversement par la violence de ''ce qui existe'' et pour l'instauration (''égalitaire'', puisqu'on vous le dit...) d'une société imprécisée qui n'a jamais fonctionné nulle part et dont les ersatz --les régimes qui se rapprochent le plus de cette impossible caricature-- ne sont que les pires tyrannies qui aient fait souffrir notre belle planète.
L'antifascisme (ils disent "Antifa", par paresse) s'est développé en France à partir des années 1980, en réaction contre le Front National, et en liaison avec les ''redskins'' (version communiste des skinheads). A partir de 1992, le groupe dit ''No Pasaran'' a fédéré les différents ''SCALP'' (les ‘’Section Carrément Anti Le Pen’’), libertaires, marxistes, et ''anti-tout''. Tous ces épouvantails ayant heureusement disparu, ce qui reste de la mouvance antifa initiale peut se résumer à une ''Action antifasciste Paris-Banlieue'', forte d'une centaine de membres qui se définissent comme des ''antifas radicaux''. Sur son site internet, ce groupuscule explique que des groupes ''autonomes'' (?), cooptés de l'intérieur (?), cherchent à lutter contre la ''culture fasciste'' (?). S'il y a un monde où l'expression ''n'importe quoi'' a un sens, c'est bien cet univers clos sur son propre néant. Mais plus toute menace ''fasciste'' disparaît à jamais, plus la gauche extrême invente et fabrique des antidotes !
Ces fantômes de l'Ultra-gauche archéo-communiste disent regrouper des ''communistes de gauche'' (par opposition, je suppose, aux ''communistes-de-droite'', bien connus !). Ces illuminés se décrivent comme étant (je n'invente rien) ''conseillistes, luxembourgistes, situationnistes, ou communisateurs'' (sic ! On devrait les mettre dans des asiles !). Cette ''vraie ultra-gauche'' (re- ?) rassemble des courants ''marxistes anti-léninistes'' pour qui le prolétariat doit s'organiser en dehors des partis et des syndicats, car l'antifascisme et les luttes de libération nationales sont des luttes bourgeoises, à éviter. Ces ''purs'' ne participent pas aux actions violentes des ''autonomes'' mais aux luttes dans le monde du travail, càd. aux mouvements de grève.... et aux ‘’migrations’’, car il faut bien survivre !
L’adage ''le bonheur d’être communiste dans un pays qui ne l’est pas !'' définit parfaitement la mouvance autoproclamée “antifasciste”. Car si dans l’entre-deux-guerres, on risquait sa vie face au nazisme et au fascisme, les antifas actuels ne sont menacés que par le ridicule ou un coup de ''tonfa'' mal dirigé. Le fascisme a été enterré en 1945, mais l’antifascisme lui a survécu et n’a cessé depuis de s’enrichir de cibles au point qu'on appelle “fasciste” tout ce qui n’est pas progressiste. Pour ses thuriféraires, le ''mal'' est partout : dans les institutions, la police, l’armée, chez lePen, en Zemmour, et même De Gaulle... et jusque dans la culture et dans la sexualité. Est condamnable tout ce qui n'est pas ''moi'' ! Dans son ‘‘Le Diable en politique’’, Pierre-André Taguieff décrypte, dans l’antifascisme, un discours creux qui se résume à réduire l’Autre au Mal absolu.
Cet imaginaire menaçant, qui fait penser aux heures noires de la Propaganda soviétique, rend illégitime et inconvenante toute opinion non conforme à la pensée dominante. La disqualification morale transforme l’adversaire en ennemi-à-abattre, avec qui tout débat est compromission... ce qui ne laisse plus de place qu'à la violence pour résoudre tout conflit politique, comme Zemmour le constate chaque jour : s'il dit ''il fait beau, aujourd'hui'', il se trouve quelque Léa Salamé pour hurler ''Vous voyez ! Il tient un discours de haine et d'exclusion contre tous ceux qui aiment la pluie !''. Sous une incantation “antifasciste”, la gauche espère cacher son indigence intellectuelle et re-gagner une légitimité, alors que ce retour du fascisme n’est même plus une hypothèse ! France, réveille-toi : ils sont devenus fous !
H-Cl.
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