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#édition j'ai lu
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fieriframes · 5 months
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[Roads are getting nearer. We cover distance, but not together.]
XII - Primus Apex
Je suis devenu fasciné par Trithème et par ces deux livres en particulier. Stéganographie semble être son œuvre la plus célèbre. Un livre en trois volumes qui semble porter sur la magie, plus précisément sur l'utilisation des esprits pour communiquer sur de longues distances.
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J'ai trouvé Polygraphie tout aussi fascinante. Il s'agit avant tout d'un traité sur la cryptographie, l'art d'écrire ou de résoudre des codes et des chiffrements. Trithème discute de diverses méthodes de cryptage et de déchiffrement des messages, ainsi que de l'importance du secret et de la sécurité dans les communications. Il s’agit également de la plus ancienne source connue de l’alphabet des sorcières (l’alphabet thébain).
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Apparemment, certains pensent que les deux livres sont en fait un seul ouvrage présenté en deux parties : la première est métaphysique et assez théorique (comportant un traité complet sur "l'angélologie"), la seconde est plus pratique et sert à coder des messages.
En relisant Nuit Sans Fin après la conversation avec Snow, j’ai remarqué pour la première fois les similitudes thématiques entre ces poèmes et Stéganographie en particulier. Voilà, le dernier poème dans le livre:
Cet esprit ondulant Ce voyageur capuchonné Qui existe odieusement ailleurs  Vous vagabondiez et elle fantasmait  Elle a cultivée, avec les philosophes  une incantation évidente Pour les lucifuges Pour les moqueurs Ce fantôme fieffant Loin des fadasseries terrestres et badines Ils se perchaient Les cormorans aporétiques Une plaine vaste
Le vocabulaire utilisé dans ces poèmes était bizarre et j'ai dû chercher plusieurs mots, mais le thème était clair : une description des connexions spirituelles et célestes. En même temps, j'avais lu les poèmes je ne sais combien de fois et à eux seuls, ils ne produisaient pas une voie à suivre. 
Je me demandais s’il y avait un lien entre tous ces livres de Mars Éditions. Je me suis plongé dans les nombreux chiffres cachés dans les livres de Trithème et j'ai pu heureusement en éliminer rapidement certains (l'Ave Maria, par exemple). J'ai trouvé quelques articles qui expliquaient en termes plus simplifiés comment fonctionnaient les incantations pour les esprits Padiel, Pamersiel, Camuel etc.
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J'ai commencé avec le chiffre expliqué dans l'article et comme décrit, j'ai conservé chaque seconde lettre de chaque deuxième mot.
Cet esprit ondulant Ce voyageur capuchonné Qui existe odieusement ailleurs  Vous vagabondiez et elle fantasmait  Elle a cultivée, avec les philosophes  une incantation évidente Pour les lucifuges Pour les moqueurs Ce fantôme fieffant Loin des fadasseries terrestres et badines Ils se perchaient Les cormorans aporétiques Une plaine vaste
Le résultat:
srteauhnéxseilusaaodeleleutveenvdneeorouusatmonaasretlecaetomrnnat. 
D'accord... 
Ensuite, j'ai essayé le chiffre de Pamersiel qui dit "garde la première lettre de chaque mot". Le résultat cette fois :
ceocvcqeoavveefeacalpuiépllplmcffldftebisplcaupv. 
Super cool…
Encore plus de charabia que les poèmes, même. Ça aurait été trop facile si ça avait marché, je suppose. J'ai essayé l'autre chiffre avec le même niveau de succès. Rien n'a marché. Bon vieux Trithème, encore une impasse.
Quelque part au fond, j’avais l’impression que non, c'était pas une impasse. Il y avait un lien ici que je ne pouvais simplement pas voir, beaucoup de choses que je ne pouvais pas encore expliquer. J'ai dû approfondir. J'ai commandé à la fois Stéganographie et Polygraphie chez Mars Éditions. Une séance classique de shopping nocturnes.
J'avais hâte que les livres arrivent. Le jeu d'attente commence.
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swedesinstockholm · 2 months
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5 avril
j'aimerais pouvoir instaurer un quota de temps de pensée quotidien consacré à un sujet. j'accorderais quinze minutes par jour au sujet r. par exemple, quinze minutes quotidiennes que j'aurais épuisées dès 8h15 du matin et hop je serais tranquille pour le reste de la journée. je lui ai parlé de pessoa et il m'a dit qu'en grand romantique il avait adoré le berger amoureux ou un truc comme ça, j'étais assise sur la marche devant la véranda au soleil et je me suis pris la tête dans les mains en gémissant. autre sujet: ce soir dans le train pour revenir de sète je parlais du sud avec maman, je disais que vivre ici était plus sain que vivre au luxembourg, et puis j'ai vu mon reflet dans la vitre avec ma casquette mes nouvelles lunettes de soleil et mon double denim et j'ai imaginé que c'était le reflet de mon moi d'ici. mon moi qui est là où elle est censée être.
6 avril
cet après-midi dans la voiture pour aller à pézenas je me disais que je devais rediriger mon énergie et remplacer r. par le sud de la france. ne plus tomber amoureuse que de territoires. me concentrer sur les arbres et les champs et les vignes qui défilent par la fenêtre ouverte de la voiture et le vent qui s'engouffre dedans et qui fait du bruit par dessus nostalgie et la colline de sète et celles d'agde et les bateaux qui rentrent dans l'hérault et ceux amarrés aux quais et sur le vocabulaire marin et le bruit des vagues sur la plage et l'odeur de marée et le pin du port de la pointe courte et les falaises du cap d'agde et les marais du bagnas et les flamants roses qui marchent avec la tête dans l'eau et les mouettes qui crient dans le ciel quand le soleil commence à se coucher. ne plus tomber amoureuse que de territoires et de littérature. j'ai trouvé la nouvelle édition décensurée de ravages dans une librairie à pézenas, le gros livre mauve qui trônait en exposition sur la table en ellipse de la librairie exc quand j'y avais lu géotropismes. maman me l'a acheté et je l'ai serré contre moi jusqu'à la voiture. autres cadeaux de la journée: une glace caramel beurre salé-chocolat à la mirondela, une vieille chemise de nuit à bords rouges que j'ai trouvée en triant des cartons chez mamie dans la pièce du fond, une bouteille de thé glacé rooibos-pastèque-menthe que h. avait déposée sur la table en bas parce que j'avais dit que j'adorais la bouteille rouge et rose quand on était chez elle.
ce matin j'étais encore en train de feuilleter le catalogue immobilier de sète et je me disais que quand je sortirais de ma non-vie, ce serait comme si je revenais de la mort. et quand on revient de la mort, tout est du bonus. quand on revient de la mort les choses sont moins graves et elles pèsent moins lourd, la gravité perd de son pouvoir, le centre de la terre n'a plus le même attrait. j'imagine. quand je reviendrai de la non-vie je veux faire les choses sans réfléchir. je sais pas quelle forme ça prendra de revenir de la non-vie, peut être que j'arriverai jamais à en sortir, mais dans ma tête ça va quand même finir par arriver.
8 avril
petit journal d'amour qui était caché dans ma banane toute la soirée d'hier dans les loges de la maison poème puis sur mes genoux pendant ma discussion intime interminable avec r. assis sur l'accoudoir du canapé puis sur la banquette du bar avec l., d. et c. et les autres et enfin sous la pluie de bruxelles pour rentrer chez m. en chantonnant don't go wasting your emotions lay all your love on me toute seule dans les rues de st. gilles. au bar l. m'a dit qu'elle adorait ma banane et je l'ai ouverte pour lui montrer sa meilleure qualité: mon journal rentre dedans! et elle a dit c'est de là que viennent tes poèmes! elle a fait une remarque sur le pendentif en perles et j'avais envie de lui raconter l'histoire de r. qu'y a derrière mais c'était pas trop le moment. ils se sont rencontrés hier soir. j'étais en train de discuter avec l. et d. quand je l'ai vu accoudé au bar en train de discuter avec la serveuse mais j'ai fait semblant de pas le voir, jusqu'à ce qu'il se retourne et me voie. je lui ai pas sauté dans les bras comme dans mes fantasmes, je l'ai pas serré fort contre moi, j'étais trop timide, et lui aussi était timide, c'était un peu bancal, et puis l. a dit mais tu connais des gens ici! et je me suis rapprochée de lui en disant c'est mon seul ami. elle a demandé comment on s'était rencontrés et j'ai dit ici à la maison poème et on aurait dit que je racontais une histoire de rencontre amoureuse très romantique.
j'ai passé la soirée à discuter avec lui au lieu de me joindre aux autres. il parlait beaucoup et parfois je m'ennuyais et je me disais est-ce que je suis vraiment amoureuse de lui au point de me priver de discussions avec mes pairs poètes? visiblement oui. il m'a confié plein de trucs intimes sur ses névroses et j'ai remis les deux pieds en plein dans la delulu. j'ai de nouveau réussi à me persuader qu'il était juste terrorisé de m'avouer et surtout de s'avouer à lui-même qu'il avait des sentiments amoureux pour moi. je veux pas en démordre. il m'a confié qu'il aimerait avoir une expérience homosexuelle et je me demandais s'il me disait ça parce qu'il me prend pour une lesbienne et que donc il a moins peur d'être jugé. il m'a dit que ça coinçait encore un peu parce qu'il craignait le regard des autres mais ok OK non mais j'y crois pas, est-ce que je suis vraiment en train de parler de la sexualité de r. alors que hier soir j'étais de retour sur les planches, derrière un micro, j'avais de nouveau les genoux qui tremblaient mais à part ça j'étais archi à l'aise, même avec les gens, quand j'étais pas prise en otage par les états d'âme de r. j'étais avec l. et d. et c. et j'étais normale et l. était un coeur avec moi, je me sentais même presque jolie, je portais mon double denim de sète et j'étais bronzée de la mer mon amour merci ma peau coopératrice. r. m'a écrit que j'avais l'air dans un méga mood en rentrant et je sais pas trop ce que ça veut dire mais j'ai dit ça c'est parce que je reviens de la mer lol. j'allais pas lui dire que c'était à cause de lui. ça c'est parce que t'étais là r. la vérité c'est que j'étais pompée à bloc parce que j'avais des interactions sociales avec des gens qui n'étaient ni des retraités ni des gens de ma famille, j'ai rencontré des nouveaux gens cool j'étais dans mon monde et les gens m'aimaient bien ET j'étais contente d'être avec r. c'était tout ça à la fois.
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poesiecritique · 3 months
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Les nomades du fer, Eleanor Arnason, Argyll, 2023 (1991), trad. Patrick Dechesne
C'est une longue fresque, une longue épopée, 568p. ou 586p, traduit de l'anglais et du temps, première publication en 1991, première traduction en français par Patrick Dechesne publiée en 2023, par ou pour ou depuis les éditions Argyll, qui bossent, on peut pas dire, depuis trois ans, ça bosse.
Au dos, une petite phrase de Jo Walton, connaissez-vous Jo Walton ?, c'est une autre autrice de science-fiction, je n'ai pas tout lu, mais j'aime beaucoup, j'ai commencé par Mes vrais enfants, un trouble de la cognition, elle dit "confuse", un trouble venant à un âge certain, la question de l'âge est si peu traitée dans les récits de science-fiction, ça n'est pas tout à fait vrai, mais c'est plus généralement pour dépasser le temps, le dompter, en sortir vainqueureuse. Bref, Jo Walton adoube Arnason, qui est aussi comparée à Ursula Le Guin.
Ursula Le Guin, je l'ai déjà écrit ailleurs, est un vieux compagnonnage. Ca date depuis plus de 20 ans, ce n'est pas dans l'effervescence actuelle que Le Guin, tout à côté de Mead, sont proches et fantomatiques. Je l'ai déjà dit aussi, ce qui m'intéresse tant chez Le Guin c'est la visée anthropologique de son œuvre. Elle invente des mondes aux règles sociales, aux philosophies, aux langages, aux religions différentes. Il n'est pas question de transposer les problèmes actuels dans un autre décor. C'est autre chose.
C'est aussi ce que fait Eleanor Arnason. Dans Les nomades du Fer, il y a plusieurs personnages principaux : Nia, une habitante d'une planète dont le nom est omis, et qui appartient au clan du Fer, duquel elle a été chassé ; il y a Li-sa, une ethnographe qui se place résolument du côté de l'ethnographie : elle arrive d'un autre monde ; comme Derek, un autre ethnographe (il y a en beaucoup d'autres, mais seul.e ces deux là parviennent à rester) ; il y a l'esprit de la cascade, un homme qui un oracle. Les chemins de ces quatre là vont se nouer, se tresser, d'abord les deux femmes, puis Derek, puis l'oracle. Une tresse à quatre brins pour aller vers le nord, vers le clan de Nia, un clan qui l'a chassée parce qu'elle était trop étrange.
Nia a vécu une histoire, une histoire d'amour, une histoire d'amour avec un homme et a eu deux enfants. C'est le fait étranger pour lequel Nia est chassée. Sur cette terre, les clans sont des clans de femmes, où sont aussi les enfants et les vieillard.es. Mais les hommes valides vivent seuls, dans les montagnes, ailleurs, peu importe, loin. L'amour n'est pas l'amour romantique, et ce sentiment, dans ce monde, dans ce livre n'est jamais le ressort dramatique qui permet que l'intrigue avance. Plus, il n'est jamais là. Cet amour qui chez nous toujours noue quelque chose n'existe pas. Ni plus, ni moins. Sauf pour Nia, et Eunshi. Je ne raconterai pas la suite de leur aventure, ce n'est pas la peine ici. C'est une histoire dans l'histoire, mais une petite histoire, finalement dans la grande épopée que ces deux extra-terrestres ethnographes, nous, et les deux habitant.es de la planète vivent.
Cette épopée, c'est le récit de l'arrivée de ces ethnographes, qui essaient de s'intégrer. Li-sa rencontre Nia, qui tête de mule, décide de partir du clan dans lequel elle habite, où elle a trouvé refuge, le clan du cuivre. Li-sa la suit. Puis Nia l'accompagne pour que Li-sa puisse rejoindre le lieu d'atterrissage de la fusée du Kollontaï (au passage, on apprécie le choix de ce nom de baptême bien féministe et bien marxiste). Puis Derek, puis l'oracle. Et plein de rencontres et d'aventures, qui permettent de saisir les enjeux civilisationnels, depuis un point de vue relativement ethnographique (mais plus que moins). Je ne veux pas non plus raconter cela, qui fait le sel du livre.
Dans cette approche ethnographique, l'attention ethnoliguistique m'a particulièrement touchée et, plus que la multiplicité des langues articulée à une langue commune, dite langue des cadeaux, partagée par tous les clans (qui jamais, ces clans, ne se font la guerre, elles ne connaissent pas, tout en connaissant les armes, et donner la mort), m'a particulièrement touchée l'attention aux gestes. Et encore, ce sont moins des gestes qui sont décrits que l'intention des gestes, des réponses. A tel point que, retrouvant les siens, Li-sa continue à employer ces gestes, qui font partie intégrante des langages de cette terre. Ces gestes permettent de dire les états d'âme, les affects. Vers la fin du livre, un geste humain du même genre est fait. Peut-être un couçi-couça de la main. Quelque chose de dérisoire, mais qui montre la potentialité de ce que pourrait être que de parler avec les mains. Cette approche me fait penser à quelque chose que Eleanor Arnason connaissait peut-être, Les rites d'interaction de Goffman. Eleanor a fait des études d'art vers Philadephie, Goffman c'est plutôt Chicago et la sociologie, quel passage de lui vers elle ?, je ne sais pas. Néanmoins pour Goffman, "le rite ne traduit pas la représentation religieuse de la société sous forme pratique, mais la représentation apparaît dans le cours d’une activité rituelle qui ne vise d’abord d’autre fin qu’elle-même." (Keck, 2004, https://philolarge.hypotheses.org/files/2017/09/01-12-2004_keck_Goffman.pdf) Et je considère, sans démontrer pourquoi, que le langage peut être considéré comme un rite, sans cesse renouvelé surtout s'il s'agit comme ici de dire l'affect, et plus précisément l'affect comme réaction à l'action que l'altérité a proposé. D'autant que ces gestes qui ponctuent s'accordent avec des phrases d'une grande simplicité qui permettent au présent, alors que tout est au passé - Eleanor Arnason écrit en 1991 ou avant, le présent direct, dans la sf, ça n'existe pas, je crois.
Une dernière dimension que je trouve intéressante, et peut être parce que je n'en suis pas spécialiste, c'est la réflexion très critique de l'approche marxiste de l'économie qui en dit tout en même temps ses potentialités. Le post-colonialisme est au cœur de cette réflexion. Cette dimension retend la dernière partie du voyage en laissant dans les mains de la lectrice une situation insatisfaisante, qui m'a plongée dans une suite de spéculations, et m'oblige à ne pas ferme le livre comme ça, juste comme ça, après un voyage civilisationnel dans un monde singulie décrit densément, au sens de Geertz (https://journals-openedition-org.ezproxy.campus-condorcet.fr/enquete/1443) dans un monde singulier.
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Sortie française MDZS
Oui vous avez bien lu. La roman de MDZS sort officiellement en France !!! 😍
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L'annonce a été faite il y a moment alors peut-être êtes vous déjà au courant, mais je n'ai quasiment rien vu passer sur les réseaux français.
C'est juste... WOUAH !! 💙 C'est vraiment énorme. Lorsque j'ai découvert MDZS, la simple idée d'une sortie officielle française était de l'ordre du fantasme... L'idée d'une sortie anglaise aussi, d'ailleurs.
Les gens, n'hésitez même pas, FONCEZ EN LIBRAIRIE.
Il sort officiellement le 7 décembre, aux éditions MxM Bookmark. Il y aura une version simple et une version collector reliée. Le tome 2 est déjà prévu pour l’été 2023 ! Le titre a été traduit littéralement et sera Le Grand Maître de la Cultivation démoniaque.
Je suis libraire, et je peux vous assurer que je le mettrai bien en avant lorsqu'il arrivera dans nos cartons. (J'avoue m'être fait plaisir lorsque j'ai commandé... "Voyons... Le roman en anglais a été dans le top vente France lorsqu'il était en préco. Mmmh, 40 exemplaires ça me parait bien.") J’espère sincèrement que le public français sera au rendez-vous ! 😁 Partagez l’info sur vos réseaux !
(Est-ce que je veux l’acheter ? ÉVIDEMMENT ! Mes proches me l’ont cependant interdit strictement parce qu’ils comptent me l’offrir pour Noël... Bon d’accord je veux bien attendre 😍)
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acantheira · 1 year
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Hello !
Je viens d'arriver sur tumblr. Et j'arrive sur votre profil car j'ai rencontré vos collègues au salon fantastique de Paris, qui m'ont vendu le merveilleux 3+5, fanzine que vous avez co-créé avec Marcella. Comme à la fin, il est noté "à suivre dans le volume 2 ", j'aimerais savoir si ce tome 2 est déjà sorti (si oui, où puis-je me le procurer) et, si non, s'il y a une date de sortie prévue. En attendant votre réponse, merci encore pour ce magnifique fanzine. Je n'en avais jamais lu de pareil et je recherche des BDs de ce genre, inédites, pour un public de niche. Les personnages me touchent beaucoup (surtout Kincé, car Rôn me fait un peu peur ^^'), je trouve la lecture de cette BD très réconfortante.
Hello !
Merci beaucoup pour votre retour, ça nous fait extrêmement plaisir de savoir que 3+5 a su se trouver un public !
Le tome 2 est en préparation avec @marc3lla (nous comptons déjà faire un 3e tome !).
Nous avons l'intention de le vendre pour la Y/con qui aura lieu en novembre (si notre dossier d'inscription est pris), dans le cas contraire, une édition digitale du fanzine sortira durant l'année.
Merci encore pour votre appréciation de notre travail !
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jeux-raconte · 1 year
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Prélude à fondation, Isaac Asimov
Encore des livres ? Mais y a "jeux" dans le nom du Tumblr...
Oui bon hein, j'ai des billets à faire sur des jeux aussi, mais ça viendra. J'ai eu une période Asimov par inadvertance un été. En me promenant en vacances, je passe comme souvent dans une librairie du lieu de vacances, parce que les librairies, c'est bien.
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Et je tombe sur le premier tome des Robots. Je me dis "tiens c'est vrai que c'est un classique, la charte graphique de la nouvelle édition est sympa, je me lance".
Eh bien ce fut un gouffre, j'ai englouti les 6 tomes sur le temps des vacances d'été. (Plus ou moins, j'ai calé à mi-chemin du 6e tome). Je n'avais jamais lu beaucoup de SF, à part les deux premiers tomes en poche de Dune. Et les romans des Robots d'Asimov m'ont énormément plu parce qu'ils mélangeaient deux choses, une que j'adore, et une que j'ai appris à aimer : respectivement des enquêtes, et la construction d'un monde futuriste cohérent.
Après avoir adoré les Robots, j'ai fait une longue pause dans la SF. J'ai repris mes anciennes lectures, c'est-à-dire plutôt de la fantasy, ou des recueils de nouvelles. Et puis récemment, Philip K. Dick. J'en reparlerai puisque je me suis pris une claque, dans le bon sens du terme. Mais me revoilà plongé dans la SF, et jusqu'au cou !
Bon c'est bien beau mais de quoi ça parle ?
Je m'étais renseigné un peu sur ce livre. Ecrit par Asimov très tardivement, il fait le lien entre deux de ses gros cycles d'histoires : les Robots (!) et Fondation. Sur la fin de mon second roman de Dick, une amie me recommande chaudement la série dérivée de Fondation, et elle commence même à les lire. Or, ce Prélude à Fondation, on me l'a offert il y a déjà un moment ! Etant une créature qui réagit fortement à la hype et à l'incitation de mes pairs, il ne m'en a pas fallu plus.
Dans ce livre, on suis l'histoire d'un mathématicien, Hari Seldon, dont le sujet d'étude est la Psychohistoire, c'est-à-dire la possibilité de déterminer de façon statistiques la probabilité d'arriver de certains événements à l'échelle de l'humanité, entre autres. Bien sûr, cela va intéresser l'empereur, qui va inviter Seldon à le rencontrer. S'en suit une découverte de lieux, civilisations et coutumes assez incroyables dans cet univers de Fondation. Malgré tout, ce n'est pas tant le "world building", l'univers de fond construit par l'auteur, qui m'a fait rester jusqu'au bout des 600 pages du roman, et même s'il est très agréable à découvrir. Mais c'est plutôt l'intrigue, la suite d'événements sans cesse rebondissante vers autre chose, toujours surprenante, pour déboucher sur un final aux multiples "plot-twists" (retournements de situation, mais je n'ai pas signé de charte anti-anglicismes à ce que je sache) qui m'a coupé le souffle. Je pense que sans m'en rendre compte, l'auteur à fait monter la mayonaise en tension scenaristique, densité de l'histoire, et a préparé tous ses pions pour arriver à ce final que j'ai trouvé assez incroyable.
J'avais commandé la suite, l'Aube de Fondation, en étant à peu près à la moitié de celui-ci. Et je ne le regrette pas, puisque je meurs d'envie maintenant de savoir ce qu'il va se passer ensuite. Cependant, je vais peut-être revenir sur le tome 6 des Robots, pour terminer une fois pour toutes cet arc narratif là.
Je vais teinter cet avis dithyrambique avec un tout petit bémol : est-ce parce que j'ai lu la préface écrite par Asimov ou bien est-ce réellement un sentiment que j'ai eu seul à la fin du livre, je ne sais pas. Toujours est-il que j'ai légèrement eu l'impression que toute l'histoire n'était qu'un prétexte pour relier deux cycles d'histoires à priori décorrélées de manière à satisfaire les enthousiaste de l'un ou de l'autre. Après, c'est la volonté de l'auteur dès le début, donc je ne saurais pas trop expliquer ce sentiment qui m'a traversé l'esprit à la fin du roman.
Bon cela dit, ce mince sentiment est à peu près la seule chose de négative que j'ai à dire du roman...
Bon allez pour vraiment creuser au bout du bout, le roman date de 1988, et je trouve que globalement, les rares personnages féminins ne brillent pas par leur originalité ; je ne suis pas certain que le livre passe le Test de Bechdel (https://fr.wikipedia.org/wiki/Test_de_Bechdel) ; et enfin certaines sociétés décrites dans le livre, du point de vue du personnage principal, carricaturent un peu trop certaines coutumes ou traditions réelles, les comparaisons et mise en parallèle sont un peu grossières voire gênantes une fois ou deux en passant.
En résumé, la porte d'entrée dans une saga qui s'annonce plutôt incroyable en terme de scenario et de sf. Le côté science futuriste n'a pas vieilli d'un poil, les moeurs et l'écriture peut-être un poil plus, mais le roman est à remettre dans un cadre aussi : l'auteur à commencé le cycle de Fondation en 1951, et il a 68 ans quand il écrit cette préquelle.
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yoannlossel · 2 years
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[ENG] I can finally announce it officially! I have the pleasure and the great honor to illustrate a fine press edition of American Gods for Suntup Editions, of which all copies will be signed by Neil Gaiman and myself!
If you are interested in these editions, as they will be limited editions, I invite you to join the waiting list on the dedicated page of Suntup Editions website. The wait list closes on October 21st, 2022. // An official announcement will be made at some point in late 2023 when the book is further into production, and pre-orders will be taken at that time //
It was a dream for me to illustrate this book that left its mark on my imagination from the first time I read it, a long time ago. I am very happy to finally paint the images I had in mind. And after many re-readings, I still have as much pleasure to make this road trip with Shadow and Mr. Wednesday.
[FR] Je peux enfin l'annoncer officiellement ! J'ai le plaisir et l'immense honneur d'illustrer une édition "fine press" d'American Gods pour Suntup Editions, dont tous les exemplaires seront signés par Neil Gaiman et moi-même!
Si vous êtes intéressés par ces éditions (en anglais), puisqu'il s'agira d'éditions limitées, je vous invite à rejoindre la liste d'attente sur la page dédiée du site de Suntup Editions. La liste d'attente se termine le 21 octobre 2022. // Une annonce officielle sera faite à un moment donné fin 2023 lorsque le livre sera plus avancé dans la production, et les précommandes seront prises à ce moment-là //
C'était un rêve pour moi d'illustrer ce livre qui a marqué mon imagination dès la première fois que je l'ai lu, il y a bien longtemps. Je suis très heureux de pouvoir enfin peindre les images que j'avais en tête. Et après de nombreuses relectures, j'ai toujours autant de plaisir à faire ce road trip avec Ombre et Voyageur.
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songedunenuitdete · 1 year
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Twin Crowns T01 de Catherine Doyle et Katherine Webber
⭐J'ai lu Twin Crowns T01 de Catherine Doyle et Katherine Webber qui sort prochainement chez @Bayard_Editions / @PageTurners_ J'ai bien aimé ce premier tome même si l’intrigue reste simpliste et déjà vu, mais je n’ai pas boudé mon plaisir 🥰
Mon avis : J’ai découvert ce roman grâce aux illustrations de Charlie Bowater pour sa version anglophone et quand j’ai su que les éditions Bayard allaient le sortir en français, il était évident que j’allais le lire ! Même si ce roman n’est pas un coup de cœur, j’ai aimé son univers et les plumes très prenantes de Catherine Doyle et Katherine Webber. Nous suivons, Rose et Wren, deux sœurs…
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pauline-lewis · 2 years
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"Quand on commence à écrire, alors on doit écrire toujours."
Un mercredi comme un autre, tandis que j'étais confortablement installée dans le fauteuil Ikea du cabinet de ma psy, elle m'a expliqué que j'avais parfois comme un sentiment de "toute-puissance". Le terme m'a fait rire, dans un premier temps. Quoi, moi, moi pleine de doutes et d'angoisses, je serais une forme de Hulk en puissance ? Ce n'est pas ce qu'elle voulait dire, évidemment. Ce que je comprenais était rarement ce qu'elle voulait dire, d'ailleurs. Elle parlait d'un sentiment de contrôle, de mon impression d'être capable d'avoir un pouvoir négatif sur la vie des autres. Que si j'annulais quelque chose, si je disais quelque chose, les conséquences seraient terribles. Que le monde, en quelque sorte, tournait autour de moi.
Je ne vois plus ma psy depuis que j'ai déménagé mais je pense souvent à ce pouvoir et à ma volonté de contrôle.
Dans mon rapport à l'écriture il y a beaucoup de cela d'ailleurs — me contrôler, contrôler le monde qui m'entoure, contrôler le flot de mes pensées qui vient sans cesse s'écraser sur la paroi de la réalité. Fabriquer une digue solide. Et dans mon cerveau c'est l'océan Atlantique : les marées reprennent tous les jours et viennent effacer les leçons de la veille.
La semaine dernière j'ai lu Qui sait de Pauline Delabroy-Allard (paru aux éditions Gallimard). Le livre raconte une jeune femme qui, au moment de faire sa carte d'identité, décide d'enquêter sur son deuxième, troisième et quatrième prénom : Jeanne, Jérôme, Ysé. Ceux qui suivent le sien, Pauline. C'est le résumé de la quatrième de couverture mais Qui sait m'a surtout chuchoté à l'oreille une histoire de contrôle par la littérature, par les histoires que l'on se raconte.
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L'autrice y explore la manière dont nous essayons d'apprivoiser nos vies et les événements que nous traversons en écrivant, en laissant tonner le vacarme de notre monologue intérieur. Elle se frotte aux récits des autres (de Marguerite Duras à Paul Claudel en passant par les mains négatives de la grotte du Pech Merle) mais aussi à son propre besoin d'écrire, presque maladif, presque compulsif, qu'elle justifie au fil des pages dans des litanies, comme des prières, de magnifiques incantations. "J'écris pour..." Elle gratte la plaie jusqu'à ce qu'elle saigne.
"Quand on commence à creuser, écrit-elle, alors on doit creuser toujours, quand on commence à écrire, alors on doit écrire toujours."
(Samedi, entre deux sanglots, je promettais que j'allais arrêter d'écrire, je le promettais avec rage, comme une menace à moi-même. Une envie de me déchirer un deux comme une feuille de papier.)
L'entreprise de la narratrice de Qui sait est, dès le départ, vouée à l'échec. Les prénoms qui l'accompagnent ne lui apprendront pas qui elle est, mais ouvriront de plus en plus de tiroirs dans lesquels elle trouvera de nouvelles fictions. Elle s'amuse à démonter avec beaucoup d'ingéniosité les tropes de la fiction pour mieux leur tordre le cou : le voyage initiatique, la rencontre avec un fantôme du passé, la retraite solitaire, même l'animal-sidekick-mignon.
Contrôler les réactions humaines, c'est aussi le sujet de The Rehearsal, série américaine de Nathan Fielder diffusée cet été. Le comédien, qui entretient toujours dans son travail un flou volontaire entre son personnage à l'écran et sa véritable personnalité (un peu, peut-être, à la manière de Pauline Delabroy-Allard qui nomme son héroïne Pauline et ajoute une couche de mystère à son entreprise), propose à des "gens de la vraie vie" de les aider à répéter les événements qui les stressent ou les inquiètent dans leur avenir proche. Fielder se dit qu'en reproduisant leur lieu de vie dans un studio, en engageant des comédien·nes pour jouer leurs rôles, il peut devenir leur scénariste et faire de leurs vies autant de fictions. Une autre entreprise vouée à l'échec.
La vie, apprend Fielder, échappe systématiquement à son contrôle. Elle n'a pas d'arcs narratifs clairs, elle ne s'embarrasse d'aucune logique narrative. Et il a beau s'appuyer sur tous les tropes disponibles (la confession, la réconciliation entre deux personnages), un élément vient toujours le surprendre. Un grain de sable dans sa machine.
Le personnage de Pauline dans Qui sait se rend compte elle aussi que la réalité est plus complexe que ce qu'elle avait pensé et que les événements nous suivent, longtemps, qu'ils sont encombrants, pénibles, qu'on ne s'en débarrasse pas en tournant la page ou en posant le livre sur la table de nuit. Quand elle part en Tunisie ou s'isoler au cœur de la campagne française, la réalité ne lui offre rien. Aucune épiphanie. Elle doit compter sur son imagination. Sur la fiction.
"J'écris pour savoir qui je suis, écrit-elle. Si je n'obtiens pas de réponses, alors j'inventerai."
Qui est Nathan Fielder ? On ne le sait jamais vraiment. Qui est Pauline, la narratrice tour à tour seule et endeuillée, de Qui sait ? Idem. Elle est ce mystère que nous sommes pour nous-mêmes. Quitte-t-elle même Paris ? Si elle ouvrait tous les tiroirs de sa conscience, est-ce qu'elle ne trouverait que des mots ?
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Dans The Rehearsal, on voit Nathan Fielder, ou plutôt son avatar à l'écran, errer de plateau en plateau dans ces décors qu'il a créé de toutes pièces. Seul. Il est aussi longuement question de solitude dans Qui sait. Du silence des autres. Du silence des photos. Seul le monologue intérieur continue sa ritournelle. Pourquoi la réalité est-elle si décevante ? Dès lors qu'on essaie de la recréer au détail près, ou de l'écrire au plus près de la moelle, elle s'évapore entre nos doigts. Évanescente.
Pour contrôler la réalité, Nathan pousse son concept jusqu'à l'absurde. Il recrée toutes les situations et même des situations qu'il a déjà recréées. La mise en abyme ne s'arrête jamais. Il embauche même un acteur pour jouer son propre rôle et essayer de comprendre ce qu'il a pu rater par le passé. A-t-il assez mis les gens en confiance ? Qu'aurait-il pu dire ou faire pour éviter tel ou tel sentiment ? Comment manipuler la fiction pour enfin comprendre, tout comprendre ?
(Tandis que je pleurais à la table du déjeuner, je repassais le film de mes derniers jours. Qu'aurais-je pu faire pour éviter d'en arriver là ? Quelle vérité me manque ?)
Dans la dernière partie de son récit, la narratrice de Pauline Delabroy-Allard s'abandonne toute entière à la fiction. Il faut aller au bout du mensonge, aller au bout du contrôle pour voir où se niche la réalité. Nathan Fielder en arrive au même point lorsqu'il devient lui-même le sujet de l'une de ses expérimentations. Peut-être qu'en étant le scientifique fou et le cobaye, il trouvera ce qu'il cherche. Peut-être qu'en étant à la fois l'autrice du roman et l'héroïne de Claudel, Pauline atteindra elle aussi un fragile équilibre. Il faut se cogner à ses fictions, une bonne fois pour toutes.
Je ne dirai bien évidemment rien de la fin de la série ou du roman mais, en moi, elles ont fait éclater quelque chose. Des larmes qui ont coulé sur mes joues froides. Je n'ai pas trouvé de réponses mais plus de questions. C'est, finalement peut-être la seule chose que j'attends de la fiction. Toujours moins de réalité.
(J'étais à la table de la salle à manger avec la morve qui coule du nez et je te disais que je n'écrirai plus. Mais je crois bien qu'il me reste trop de mensonges à me raconter.)
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lapseudosphere · 2 months
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7. Abductions (pseudossier : le phénomène ovni)
À lire avant pour ne pas être trop perdu :
1. Petit historique - Partie 1
Pseudocomplément : l'affaire Roswell
2. Petit historique - Partie 2
3. Petit historique - Partie 3
4. Caractéristiques générales
5. Comportement et lieux d'intérêt
6. Troisième type
Pseudocomplément : le mystère Oummo
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Je remercie les chercheuses et chercheurs cité·e·s dans ce pseudossier pour leurs travaux. Pour réaliser ce pseudossier, je me suis appuyé sur des films documentaires, des interviews vidéos, des ouvrages, des articles de presse ou de sites internet. Je remercie les pseudosphéristes passionnés qui en sont à l’origine.
Principales pseudosources :
Pour ce chapitre, je me suis inspiré globalement du livre suivant : Dr John E.Mack, Enlevés par des extraterrestres, Éditions J'ai Lu, 2012, première édition en 1994 sous le titre original "abduction"
Voir aussi le témoignage de Myriame Belmyr, ancienne présidente du CERO France, elle-même abductée. Chaîne Nuréa TV, « Extraterrestres & Abductions : Mon Histoire » avec Myriame Belmyr (https://www.youtube.com/watch?v=PlR5rL6kFpw&t=1591s) Chaîne Nuréa TV, « Enlèvements Extraterrestres : Mon Histoire » avec Myriame Belmyr (https://www.youtube.com/watch?v=mopftp4o4T4) Chaîne Nuréa TV, « Enlèvements Extraterrestres : Des abductés témoignent » avec Myriame Belmyr https://www.youtube.com/watch?v=ITa_r1OlJOY
Site du CERO France : https://cero-france.com/
Historique du phénomène des abductions : Eric Zurcher, Les apparitions mondiales d'humanoïdes, JMG Éditions, 2018 (pages 153 et 283)
Assurance contre les enlèvements extraterrestres : https://selectra.info/assurance/actualites/generalites/assurance-extraterrestre
Nombre potentiels d'abductés : (en anglais) Ted Goertzel, Measuring The Prevalence of False Memories: A New Interpretation of a "UFO Abduction Survey" (http://crab.rutgers.edu/~goertzel/UFO.htm) (en anglais) https://en.wikipedia.org/wiki/Alien_abduction_claimants
Déroulement général d'une abduction : Dr John E.Mack, Enlevés par des extraterrestres, Éditions J'ai Lu, 2012, première édition en 1994 sous le titre original "abduction", (pages 56 à 78)
Petit-gris, grand-gris et autres types d'ufonautes : Dr John E.Mack, Enlevés par des extraterrestres, Éditions J'ai Lu, 2012, première édition en 1994 sous le titre original "abduction", (pages 65 et 66) Stéphane Allix, extraterrestres : l'enquête, Éditions J'ai Lu, première édition en 2006 chez Albin Michel (pages 193 à 203)
Étres de lumière qui interviennent pour empêcher une abduction : Ouvrage collectif sous la direction de Fabrice Bonvin, Ovnis et conscience, Éditions le Temps Présent, 2015 (p.57)
Enlèvement de Pascagoula : https://fr.wikipedia.org/wiki/Enl%C3%A8vement_de_Pascagoula (en Anglais) https://darkhorsepressnow.com/pascagoula-alien-abductions-of-1973-50-years-later/ Chaine you tube du Mufon France, Les témoins d'un enlèvement OVNI à Pascagoula en 1973 se manifestent ENFIN (https://www.youtube.com/watch?v=3ILRVTt6nYc) https://rr0.org/science/crypto/ufo/enquete/dossier/Pascagoula/
Hybridations génétiques : Dr John E.Mack, Enlevés par des extraterrestres, Éditions J'ai Lu, 2012, première édition en 1994 sous le titre original "abduction", (pages 665 à 669 et pages 829 à 836)
David Jacobs : https://fr.wikipedia.org/wiki/David_Michael_Jacobs
Dolores Cannon : Voir par exemple son ouvrage suivant : Les gardiens, Ariane Publications, 2018.
Cas de Vilas-Boas : https://fr.wikipedia.org/wiki/Antonio_Villas_Boas Jaqcues Lob et Robert Gigi, ceux venus d'ailleurs, éditions Dargaud, 1973 (bande dessinée)
Symptômes physiques : Dr John E.Mack, Enlevés par des extraterrestres, Éditions J'ai Lu, 2012, première édition en 1994 sous le titre original "abduction", (pages 50 à 52, pages 785 à 790)
Témoin avec l'utérus d'une femme âgée : Voir le cas de Sandrine. Cero France, Rencontres extraterrestres - Des expérienceurs français parlent, édité par le Cero France, 2021 (page 42).
Guérison suite à une abduction : Chaîne Nuréa TV, « Enlèvements Extraterrestres : Des abductés témoignent » avec Myriame Belmyr https://www.youtube.com/watch?v=ITa_r1OlJOY (à 1 h 48 30 s)
Implants : Stéphane Allix, extraterrestres : l'enquête, Éditions J'ai Lu, première édition en 2006 chez Albin Michel (pages 282 à 286) https://fr.wikipedia.org/wiki/Implant_extraterrestre https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_K._Leir https://lesavoirperdudesanciens.com/2015/12/enlevements-et-implants-extraterrestres/
Syndrome post-traumatique : Dr John E.Mack, Enlevés par des extraterrestres, Éditions J'ai Lu, 2012, première édition en 1994 sous le titre original "abduction", (pages 78 à 82 et pages 796 à 801) Voir aussi les analyses des psychologues dans le livre : Cero France, Rencontres extraterrestres - Des expérienceurs français parlent, édité par le Cero France, 2021 (page 42) https://fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_de_stress_post-traumatique
Dépressions nerveuses voire suicides : Stéphane Allix, extraterrestres : l'enquête, Éditions J'ai Lu, première édition en 2006 chez Albin Michel page 276 à page 281)
Témoignage de Sue : Stéphane Allix, extraterrestres : l'enquête, Éditions J'ai Lu, première édition en 2006 chez Albin Michel (chapitre 6, pages 181 à 192)
Cas de témoins ayant demandé à leurs ravisseurs de ne plus les enlever : Ardy Sixkiller Clarke, Rencontre avec le peuple des étoiles, Atlantes éditions, 2016 (chapitre 22, pages 267 à 274)
Missing time : Stéphane Allix, extraterrestres : l'enquête, Éditions J'ai Lu, première édition en 2006 chez Albin Michel (chapitre 6, pages 219 à 221)
Ancienne incarnation extraterrestre : Voir par exemple le cas d'Adeline. Cero France, Rencontres extraterrestres - Des expérienceurs français parlent, édité par le Cero France, 2021 (page 42).
À propos du profil psychologique des abductés : Dr John E.Mack, Enlevés par des extraterrestres, Éditions J'ai Lu, 2012, première édition en 1994 sous le titre original "abduction", (pages 66, 66, 145 à 157, 865 à 872)
Étude sur les abductés : https://news.harvard.edu/gazette/story/2003/02/alien-abduction-claims-examined-2/ https://www.newscientist.com/article/dn3395-memories-of-alien-abduction-cause-physical-effects/
Hypnose et faux souvenirs : https://sante.lefigaro.fr/l-hypnose-peut-elle-reveiller-les-souvenirs-20220623
Dr Benjamin Simon : Gildas Bourdais, OVNIS : vers la fin du secret ?, Éditions Le Temps Présent, 2010 (p.231)
Souvenirs traumatiques des enlevés : Gildas Bourdais, OVNIS : vers la fin du secret ?, Éditions Le Temps Présent, 2010 (p.235 - 236)
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fieriframes · 5 months
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[In the pale dust I have discerned signs that frighten me.]
X - Mars Éditions
Sur le voyage du retour de Londres à Paris, j'ai lu Nuit Sans Fin encore et encore. C'était un livre très court; juste 9 poèmes étranges, chacun accompagné d'une photo encore plus étrange. Les première et dernière pages se composaient uniquement d'un triangle, un blanc et un noir. Les poèmes décrivaient une sorte de voyage à travers le monde souterrain. Des rituels magiques et une mythologie élaborée qui n'était pas facile à comprendre. Le vocabulaire était très compliqué; beaucoup de mots inconnus ou démodés. 
Par exemple, la première poème, simplement intitulé I:
Pour se réadapter Ces nombreuses hyènes Qui tout blêmit disparaissent doucement
Je ne sais pas comment l'expliquer, mais j'ai compris sans comprendre. Ce livre pourrait révéler quelque chose, mais quoi ? Je ne savais pas. Après l'avoir lu en boucle pendant quelques jours sans progresser, je me suis rendu compte que le nom de l'éditeur était bien sûr mentionné au dos du livre. J'ai trouvé leur numéro de téléphone et j'ai décidé de les appeler.
Mars Éditions, bonjour ?
Oui bonjour, je vous appelle parce que j'ai une question sur l’un de vos livres; Nuit Sans Fin.
Pas de problème, comment puis-je vous aider ?
J'ai beaucoup de questions, en fait. Tout d'abord, je me demandais si vous saviez qui l'a écrit ?
Malheureusement, non. Je ne pense pas que cette information soit connue.
Ah, vraiment ? Tellement bizarre. Mais plus curieusement, il n'y a pas de date de publication dans le livre, c'était publié quand initialement ?
La première édition date de 2017, mais je pense que les poèmes sont beaucoup plus vieux. Il y a environ 300 ans, probablement.
Je ne comprends pas. Normalement, un livre comme ça comprend une sorte d'explication; un avant-propos, n'importe quoi. C'est intéressant que vous l'ayez publié juste comme ça, sans contexte ni sans aucune autre information.
Oui, en fait…(longue pause)
Vous êtes toujours là?
Oui. En fait c’est un peu difficile à expliquer. On est une entreprise familiale. L’entreprise a été fondée en 1869 par mon arrière-arrière-grand-père qui s'intéressait aux livres obscurs et mystérieux. Mon arrière-grand-mère, qui a repris l'entreprise, n'était pas différente.
Mais le livre Nuit Sans Fin est beaucoup plus récent et a sûrement été publié récemment?
C'est vrai, mais les circonstances sont compliquées.
Compliqué ?
Oui, après le décès de Michal, l'entreprise était déjà dirigée par sa petite-fille Ray depuis de nombreuses années. Mais il y avait des instructions très détaillées dans son testament à propos de ce livre.
Des instructions?
Comment le publier, quelles informations inclure, quelles photos utiliser, les photos du livre sont évidemment beaucoup plus récentes que les poèmes. Même la date exacte de la publication.
En quoi est-ce si important ?
1er Février, 2017. Le 555e anniversaire de Jean Trithème, ou Johannes Trithemius si vous voulez.
Trithème ?
Un personnage très intéressant. Il était un abbé bénédictin allemand célèbre pour ses découvertes en cryptologie, pour ses chroniques, mais aussi comme ésotériste.
Quel était le lien entre Michal et Trithème ?
En fait, le premier livre que Mars Éditions a publié était une réédition de Stéganographie, son ouvrage le plus connu. Ce livre se présente comme un traité d'angéologie d'inspiration kabbaliste, avec des explications pour communiquer sur de longues distances avec les esprits. À l'intérieur de ce livre, Trithème cachait de nombreux secrets. Il a effectivement inventé la cryptologie, l'art de cacher des informations.
Quel type d'informations ?
Je suis désolé, je dois prendre un autre appel. Au revoir.
Juste comme ça, je suis resté silencieux.
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olivierlussier · 7 months
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Ce blog a existé avant instagram
En 2013, j'ai fait un roatrip de plusieurs mois. Ce voyage m'a apporté de Yellowknife à Joshua Tree, en passant par Red Rocks et Key West. Je dormais dans mon char, j'avais pas de dette, je me demandais ce que je voulais faire dans la vie et je me disais qu'écrire un livre était une bonne idée, mais en 2013, j'avais pas vécu grand chose pis vu que je suis pas un surdoué, j'étais pas capable d'écrire un livre sans avoir vécu de grandes histoires, donc je suis parti en voyage. Une partie de moi pensait que je reviendrais jamais en vie. Cette idée m'inspirait beaucoup. Je suis parti quasiment un an total. Je suis revenu en vie finalement, avec quelques dreads perdus dans une quantité phénoménale de cheveux sales. J'avais un manuscrit (écrit à la main lol wtf) de plusieurs centaines de pages. J'avais jamais vraiment lu un livre au complet. C'était pourrit, mais je me suis promis que je n'arrêterais jamais d'écrire. Ce blog a été remplacé par instagram et est tombé dans l'oubli. Il revit aujourd'hui parce que j'ai écrit un livre (un vrai) pis j'ai besoin d'un site web d'auteur officiel pour confirmer mon identité sur GoodReads.
Ceci est mon site web d'auteur officiel. Je m'appelle Olivier Lussier, j'ai écrit un guide de chasse à l'usage des poètes, son titre c'est Cariacou. C'est publié aux éditions de ta mère.
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labibliothecaire · 11 months
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Aujourd'hui, on va parler bouquins (et pas tellement bibliothèque, même si bah ça reste dans le thème). Ça fait quelques années maintenant que je ne lis quasiment qu'en anglais, du moins quand le livre est écrit en anglais à la base.
Parmi les raisons qui m'ont poussées à me tourner vers les livres en VO, je peux dire bien entendu que ça me permet de ne pas devoir attendre une traduction (qui pourrait d'ailleurs ne jamais voir le jour). Je peux citer le prix (bonjour les livres à 10€ au Waterstones, contre 15-20 pour leurs équivalents traduits - même si ici c'est alors une question de coût de l'adaptation/traduction et de format puisque nos maisons d'éditions aiment bien sortir des "grands formats" qui coûtent, de fait, plus cher). Je pourrais même parler de ce bonheur d'avoir des livres qui sont (quasiment) TOUS du même format, qu'importe la maison d'édition, parce que les éditions anglaises semblent suivre un format standardiser et je ne suis pas obligée de jongler avec mille hauteurs de livres quand je range ma bibliothèque.
Mais ma raison principale, mon cheval de bataille, c'est tout simplement que j'ai de plus en plus de mal avec les traductions françaises.
Je n'ai pas étudié la traduction ni rien, c'est donc mon avis personnel, mon propre ressenti, mais voilà le topo : un livre n'est jamais traduit, il est adapté. Une traduction fiable à 100% n'existe pas, et pour les rares livres dont j'ai lus à la fois la VO anglaise et la traduction française, je me suis rendue compte que souvent certains choix de traduction me titillaient. Mon exemple le plus marquant, c'est le 1er tome de Harry Potter, aka le premier livre que j'ai lu en VO. Vous vous souvenez de Touffu, le chien à trois têtes de Hagrid ? Et bien, en VO, il s'appelle Fluffy. FLUFFY. Pour les nuls en anglais, "fluffy" signifie "pelucheux, duveteux". Un truc doux, donc, un nom mignon. Touffu, par contre, ça désigne quelque chose de "épais et dense". Vous voyez où je veux en venir ? On est clairement pas sur la même vibe. Traduire Fluffy en Touffu, pour moi ça a été une perte de sens monumentale. Genre, la traduction est littéralement passée à côté de la signification du nom, de son symbolisme dans l'histoire (les noms archi mignons que Hagrid donne à ses animaux monstrueux). Après, il y a aussi le problème des trucs intraduisibles, où les traducteurs ne peuvent que faire de leur mieux. Je repense notamment à ce passage dans Percy Jackson où la troupe est au Hoover Dam et s'amuse à faire des jeux de mots avec dam/damn, que la version française à dû tourner en "Hoover/Ouvert". GG à eux pour ça !
Et après, y a juste les choix d'édition/traduction où juste... je ne sais pas. Je ne comprends juste pas. Celaena de la saga Throne of Glass qui devient Keleana en français ? Sans parler du fait qu'elle soit appelée une "assassineuse". Sorry not sorry mais ce mot n'existe pas et en plus c'est moche comme tout (oui je juge et j'assume). Le mot "assassine" existe, hein. Il est rare, mais il existe.
Et aujourd'hui encore, je ne peux pas m'empêcher de souffler du nez quand je vois débarquer les traductions françaises des gros succès YA anglais et leurs titres... The Stolen Heir (litt. L'héritier volé) qui devient L'héritier trahi. To kill a kingdom (litt. Tuer/Pour tuer un royaume) qui devient Le royaume assassiné. These hollow vows (litt. Ces vœux creux) qui devient Ces promesses maudites. Sans oublier de citer mon fameux premier HP qui est quand même passé de "Et la pierre philosophale" à "À l'école des sorciers". Bon, là, on peut dire autre temps autres habitudes, mais les autres, on est en 2023, c'est quoi votre excuse ?
Alors oui, ce sont des choix éditoriaux, des décisions prises pour qu'un titre sonne mieux en français (je suis très moyennement convaincue par cet argument mais soit)... mais si déjà le titre n'est pas respecté, qu'en sera-t-il alors du contenu ?
Qu'on me pardonne de vouloir lire le vrai texte, les blagues d'origine, les prénoms non retouchés, tout ça, hein.
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histoire-de-vivre · 1 year
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Je vous présente le livre de la semaine, mis en valeur par mon nouveau montage ! N'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de cette image ! 😊
"Les Petites reines", Clémentine Beauvais, édition @gallimard_jeunesse_romans (2015)
Littérature Française, Littérature Jeunesse, roman
CW : grossophobie, harcèlement scolaire, validisme
Livre emprunté à @lacabanedemarls
Tout au long de ce roman jeunesse, on suit trois jeunes filles qui, suite à un harcèlement scolaire, sont annoblies du titre de "boudin". Souhaitant reprendre le dessus, les adolescentes partent faire un tour de France à vélo pour montrer leur force et leur sens de l'humour, financé par... La vente de boudins ! Haut en couleurs, ce livre nous fait passer du rire aux larmes aux larmes de rire tout en évoquant des sujets importants d'actualité. Une lecture douce, amusante et nécessaire pour mettre sur le devant de la scène ces sujets difficiles.
J'ai lu très rapidement ce livre, emporté-e par l'écriture de Clémentine Beauvais comme si je faisais un roadtrip en compagnie de ses héroïnes. Bien que destiné à un public jeune, c'est un livre que je conseille à toustes et qui fait beaucoup de bien ! Je pense que certains thèmes auraient pu être un peu plus développés néanmoins, et je regrette la rédemption forcée qu'on trouve à la fin du roman. Mais je pense que chacun trouvera son plaisir dans ce livre.
Bonne lecture, et de douceur je vous encense ! 💜✨
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