#ça me saoule d'être encore si fatiguée
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jezatalks · 26 days ago
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Je me suis dit que manger dehors, prendre l'air et le soleil, et bosser 1h à la mediatheque aiderait un peu. Et bah non. Enfin si un peu.
Mais j'avais pas envisagé que malgré mes bouchons d'oreilles et lunettes de soleil j'allais autant douiller, et j'ai des douleurs aux jambes d'avoir voulu marcher un peu pour me dérouiller.
Je suis cassée. Fatiguée et je suis en larmes de fatigues.
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unempirepourtonsourire · 3 years ago
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Mardi soir on va au bar avec les copains il y a pas ma bière préférée du coup je prends de la chouffe et c'est fort et j'en bois beaucoup et il y a des gens qui viennent se servir à notre table et je leur serts des bieres un peu n'importe comment mais pas grave ey les copains essayent de me caser avec eux alors que je leur dit que je déteste les garçons en ce moment mais c'est un peu rigolo quand même après il y a un mec qui vient et qui nous parle de ses médailles qu'il a gagné et il les sort de son sac minuscule c'est risible et il parle pendant super longtemps et ça se voit qu'il est intéressé par ma copine alors qu'il y a son mec a 2 pas ça m'énerve le mec est trop chiant l'arrogance rend moche bref après il part enfiiiin et on est trop contente ahah après je sort prendre l'air et je leur parle de ce que je veux chez un amoureux et je leur dit que les garçons sont nuls et ils me disent que je vais finir par trouver mais ça m'énerve quand même et en fait je sais pas oû j'en suis dans ma vie à ce sujet faut que je réfléchisse. Ma copine me dit de demander au mec du debut si il faisait du crossfit (il avait de tres gros bras) et cest rigolo mais jose pas parce que il est un peu trop mignon et je suis apparemment pas assez saoul pour parler a un bel inconnu. Après je sais pas pourquoi ni comment mais j'arrive à motiver tout le monde pour aller dans un bar dansant (j'ai dit que c'était mardi et que le lendemain je travaille ?) donc en avant guingan on y va et c'est pas mal il y a du monde mais pas trop la musique est trooop bien on boit du rhum arrangé je sais pas combien de verre j'ai l'impression que je vais vomir mais je bois encore et c'est trop bien de danser avec ses amis comme ça on rigole trop on fait n'importe quoi c'est vraiment bien il y a pas de gros relous qui danse trop prés vraiment bonne ambiance. Mais après il est genre 2h du matin donc on se dit qu'on va quand même rentrer il y en a qui bosse in, et là un mec vomit au milieu de la piste c'est horrible après il y a des gens qui dansaient dedans beurkbeurkbeurk donc on décide vraiment de partir et mes copains trop gentil me ramène en voiture chez moi et je m'endors comme une tombe mais le lendemain matin c'est à moi de vomir ahha mais après j'ai pu aller au travail sans avoir peur d'être trop malade mais en étant très fatiguée et mal de tête. Mais c'était une trop bonne soirée génial je les adore j'ai trop de chance de les avoir dans ma vie
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alaskadventure · 6 years ago
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à la fin
je dors pas parce que je pense à toi je veux pas vraiment écrire quelque chose de beau, ni quelque chose de profond. je veux juste déverser tout ce que mon cœur contient. j'ai ce sentiment de nostalgie. ce soir j'ai envie de garder mes souvenirs près de moi, j'ai envie de te garder dans mon cœur. un jour j'ai accepté que tu partes. aujourd'hui j'ai accepté de partir. on a été beau tous les deux non ? alors ça se finit, avant qu'on se gache. C'est pour le mieux. Mais j'ai encore le cœur qui se brise. C'est moins dur cette fois-ci pourtant. On s'est fait du bien, alors on arrête avant de se faire trop de mal. Ça nous ressemble, de faire tout le contraire de ce dont on a envie puis finalement de se laisser aller. Alors c'est terminé. C'est pas si grave, j'y crois pas aux toujours. J'ai pas trop d'exemple la dessus, seulement des couples brisés autour. J'aime bien savoir que j'ai vécu une histoire, j'aime bien grandir avec quelqu'un, partager quelque chose. Je garde tous nos souvenirs, aussi mauvais soient-ils. C'est donc ça la nostalgie. Je garde tous les sentiments qu'on a pu faire naître. C'est donc ça la mélancolie. J'ai envie d'être vaste, mais j'arrive pas, je pense qu'à des trucs très précis. Je pense qu'à toi et pourquoi je t'ai tant aimé. Ta chaleur dans le lit, ton corps qui s'enroule autour du mien, l'odeur de tes cheveux, ta tête dans mon cou ou entre mes jambes, ta façon de me regarder. je crois que y a pas mal de blagues idiotes dans l'histoire aussi, une conduite un peu trop rapide. tellement de choses qui se mélangent. parce que je t'ai aimé saoul ou sobre, defoncé, fatigué, heureux, malheureux, drôle ou mélancolique. j'ai tout aimé chez toi. même ce que j'ai pu hair, je le chérissais. j'ai oublié de prendre du recul avec toi. j'ai plongé la tête la première et j'ai continué de nager jusqu'au fond. Je pense qu'à nous. Notre bulle au fond du lit. C'est bizarre d'avoir l'impression d'être seulement à sa place dans les bras de quelqu'un. C'est encore plus étrange d'avoir l'impression de déranger à cette même place l'autre moitié du temps. J'en arrive seulement à la conclusion que j'étais enfin prête à aimer alors que pour toi il était temps que tu apprenes à t'aimer avant. Au final, tout ce que je me demande c'est, et l'autre ? ce qu'il a pu ressentir pendant tout ce temps. tu pensais quoi de tout ça toi ? comment tu m'as aimé ?
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traces-ecrites · 7 years ago
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Après une bonne journée de ski, que souhaiter de mieux qu'un délicieux moment de détente dans les eaux chaudes du centre "thermo-ludique", comme le nomment les "communicants" qui ont conçu la promotion de Balnéa ? Des piscines bien chauffées, avec des jets puissants pour masser et dénouer les muscles fatigués : les pieds, les mollets, les cuisses, le dos... Mmmm, que ça fait du bien !
J'ai mes petites habitudes, mon petit rituel bien-être. Après les jets massants, une petite pause méditative dans le hammam, suivi d'une halte dans la bulle sonore. C'est l'endroit que je préfère : une construction en bois, en forme de dôme, qui abrite un petit bassin dans lequel on peut s'allonger en ayant les oreilles immergées afin d'entendre une musique relaxante diffusée sous l'eau. J'adore laisser mon corps flotter, le sentir s'alléger, se débarrasser progressivement de toute tension inutile. Mon corps ballotte au rythme de ma respiration : j'inspire, je monte vers la surface ; j'expire, je m'enfonce dans l'eau.
Je joue avec mon souffle, pour guider l'air plus bas dans mon ventre ou plus haut dans ma poitrine et cela modifie l'oscillation de mon corps. Je cherche comment me stabiliser avec le minimum d'effort musculaire. J'y parviens quand je respire vers le haut de mon dos, du côté des omoplates, un endroit où les tensions aiment bien s'installer d'habitude. Là, je sens tout mon corps s'abandonner peu à peu.
Je suis prête pour l'étape suivante, les bains japonais, mon deuxième endroit préféré. Une succession de trois piscines, à 33, 37, puis 40°C, à l'extérieur. La température de l'air est annoncée à plusieurs degrés en dessous de zéro. Le contraste est saisissant. D'ailleurs, quand je franchis le sas entre dedans et dehors, je suis saisie, mais pas tant par l'écart de température que par le spectacle magique qui s'offre à mes yeux. Tout autour des bassins, se dressent les montagnes enneigées. C'est le soir, le ciel s'est déjà assombri, mais un reste de lumière éclaire encore les sommets. La nuit gagne progressivement et j'observe les étoiles qui s'allument une à une : d'abord une toute seule, puis deux, trois, cinq, dix... puis trop pour continuer à les compter. Je suis des yeux une lumière qui se déplace d'un bout à l'autre du ciel : un avion. Vers quelle destination emmène-t-il ses passagers ? Au milieu de tout cela, la lune règne. Grosse et déjà bien joufflue, bien que pas encore pleine, d'abord pâle, elle devient de plus en plus lumineuse au fur et à mesure que le ciel s'assombrit. L'obscurité gagne, fait disparaître les montagnes, jusqu'à la nuit…
Je ne suis pas seule à apprécier les bains japonais, après une belle journée à la montagne. Il m'est déjà arrivé de m'y retrouver seule, mais c'est loin d'être le cas ce soir. Les consignes de silence sont peu suivies. Certaines voix restent des chuchotements discrets, d'autres se font clairement entendre. Deux copines sont plongées dans une discussion animée. En fait, il y en a surtout une qui parle et qui raconte ses innombrables problèmes. Elle est tellement absorbée par son récit qu'elle ne réalise pas que tout le monde peut l'entendre. Que faire ? Lui lancer un regard noir, assorti d'un froncement de sourcil ? Émettre un "chut" autoritaire ? Tenter une remarque polie : "excusez-moi, mais pourriez-vous, s'il vous plaît, respecter le calme ?" Ou alors, carrément : "tu vois pas que tu la saoules, ta copine, avec tes histoires ?" Non, rien de tout cela. Plutôt la plaindre de rester insensible à la beauté magique qui se dégage du ciel. Même entourée d'autres humains, je construis mentalement une bulle autour de moi dans laquelle je me réfugie. Tous les bruits deviennent indistincts. Je peux tranquillement repenser à cette journée intense.
C'était la première fois que je tentais le ski de randonnée. Le ski sur piste, je connais plutôt bien. La randonnée, aussi. Mais les deux associés restaient un défi à relever. Seulement, la montagne, en hiver, c'est un espace où il convient de ne pas s'engager à la légère, surtout juste après d'abondantes chutes de neige. Pour trouver l'accompagnement dont j'avais besoin, j'ai envoyé un message au bureau des guides de haute montagne du secteur. Quelle surprise de recevoir un appel téléphonique tout de suite après, me proposant une sortie ! Pas le temps d'hésiter, j'accepte sans trop réfléchir, rendez-vous est pris pour le lendemain. Sans réfléchir, et aussi sans expliquer qui je suis, quels sont mes antécédents et que mes ambitions sont modestes. On verra bien. Tout ce que je risque, c'est de me retrouver avec une équipe de jeunes sportifs en pleine forme !
Bingo ! Dès le début de la randonnée, je comprends assez vite que je ne vais pas faire le poids. Je voudrais bien pouvoir suivre le rythme, mais mon corps n'en est pas capable. Le principe du ski de randonnée, c'est que, pour goûter au plaisir de la descente à ski, il faut d'abord monter. Monter, en été, à pied, je sais que j'en suis capable. Mais à mon rythme, c'est-à-dire lentement, voire très lentement. Quand je marche en montagne, je pratique la technique des "très petits pas", pour réduire l'effort à chaque pas et pour être capable d'arriver en haut, quitte à ce que cela prenne plus de temps. En ski de randonnée, l'idée est de faire glisser le ski vers l'avant, donc d'allonger la fente, et donc d'agrandir le pas. Évidemment, impossible de trouver un compromis entre ces deux approches.
Je sais bien que le plus important est de garder le contrôle de mon souffle. Au début, j'y arrive un peu. Mais je me laisse assez rapidement déborder, en essayant, en vain, de ne pas laisser l'écart se creuser trop. Je ralentis de plus en plus, je sens bien que mon corps résiste, surtout ma jambe gauche qui semble s'alourdir. Je mets un certain temps avant de comprendre ce qui m'arrive : si mon pied gauche refuse d'avancer, c'est que mon ski gauche refuse de glisser. Et s'il refuse de glisser, c'est à cause de la neige qui reste collée sous ma semelle. Les initiés disent "ça botte", mais moi, ça ne me botte pas du tout. Et sur le coup, mon jeu de mot pourri ne me fait pas rire du tout ! C'est un phénomène bien connu qui s'explique par des différences de température entre la neige, plus ou moins froide, la semelle, la peau de phoque et les carres du ski. La neige s'accumule alors, selon l'effet "boule de neige". Pour l'éviter, la meilleure solution serait d'avancer sans m'arrêter. Mais ça, j'en suis incapable.
Il y a un chalet, un peu plus haut, une cabane de berger, où il est prévu de faire une halte. Les autres sont partis devant. Le guide revient me voir deux ou trois fois, pour gratter la neige qui adhère impitoyablement sous mon ski gauche. Un moment, je crois que je n'atteindrai jamais cette fichue cabane. J'ai même l'impression qu'elle s'éloigne insidieusement. Je finis pourtant par y arriver, à bout de souffle. Je n'irai pas plus loin, je laisse les autres continuer, je les attendrai là avant de redescendre, promis !
Là, je gagne ma récompense. En attendant qu'ils reviennent, je profite d'un grand moment de bonheur. Assise au pied du mur de "ma" cabane, je suis seule au monde, j'ai toute la montagne rien que pour moi. Peut-être que trois ou quatre cent mètres plus haut, le paysage est encore plus beau, mais de là où je suis, je le trouve déjà extraordinaire. Je grignote mes quelques provisions, que je trouve absolument délicieuses, tout comme l'eau que je bois. Je prends quelques photos, sans trop voir le résultat en raison de la luminosité intense. J'échange un petit texto avec mon chéri : même loin de tout, il n'est pas facile de se couper complètement du reste du monde. Puis je laisse s'égrener les minutes, sans rien chercher, sans rien attendre. Tout est bien.
Plus tard, pour redescendre, tout ira bien. Évidemment, la descente se fait nettement plus vite que la montée, et sans difficulté particulière. La pente n'est pas trop raide, la neige est belle, bien qu'humide par endroit et peu abondante : le versant où nous sommes est exposé au soleil et il arrive que l'herbe apparaisse sous les skis. Mais quel plaisir de dessiner sa trace sur ce beau tapis blanc !
De retour dans l'eau chaude des bains japonais, je me dis que je suis heureuse d'avoir vécu cette expérience intense. Et que je suis prête à la renouveler, mais dans un contexte mieux adapté. Il faudra que je fasse savoir à mon guide que si jamais quelques papys-mamies le sollicitaient pour une petite sortie à ski de randonnée en mode "pépère", je voulais bien venir aussi !
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imparfaite-anonyme · 8 years ago
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Putain.
Si t'as passé une journée de merde et que tu déprimes, pas la peine d'aller plus loin. Ce qui suit n'est vraiment pas très fun.
Séquence tristesse, bad, rage et déprime. Faut bien que ça sorte quelque part, même si c'est déjà trop tard je vous mens pas. Mais c'est pas grave.
Sauf que si, là c'est grave. Et c'est pas mon genre de dire ça, mais l�� ça me saoule. Je me saoule moi-même. C'est quoi mon problème ? ( Ah oui, je précise qu'aucune structure ni aucun sens n'est prévu pour ce texte, bon courage )
Putain. Je suis fatiguée, et je me fatigue toute seule c'est ça le pire. Je suis pas capable de rester seule 5 minutes sans faire de la merde, je me rappelle même plus de l'heure à laquelle je suis rentrée dans ma salle de bain pour dire. Hypnotisée la meuf ! J'ai besoin de dormir, clairement, mais non au lieu de me coucher tôt comme toute personne normalement constituée je préfère perdre 2 heures et finir par me coucher à 1h30 du mat. T'es trop con.
Et maintenant on peut dire bonjour à Mme Culpabilité ! C'est une très bonne copine et c'est elle qui m'inspire ce soir. Ça va ? T'es bien là ? Je me déteste assez ou t'en veux plus ? Tu veux que je te dise quoi ? Que je suis trop nulle d'avoir fait ça et de pas m'être arrêtée à temps, d'avoir finit par me dire que de toute façon foutu pour foutu, on est plus à ça près. Que je suis qu'une merde, que j'ai aucune volonté, que je suis faible. T'en veux plus ? Tu veux mes larmes aussi ? Connasse.
Et le pire c'est que ça allait tellement mieux depuis deux semaines, j'avais presque réussi à laisser ma peau cicatrisée tranquille .. Et BIM ! Alors c'est quoi cette fois ? C'est parce que j'ai plus de nouvelle de ma meilleure amie depuis un mois ? C'est la Saint Valentin qui approche ? C'est d'être retombée dans la routine du travail ? C'est l'hiver ? C'est de pas pouvoir être en Italie ?
Ou c'est juste que je suis incapable de gérer tout ça toute seule ? C'est ça en fait. Parce que des problèmes on en a tous, et j'ai pas à me plaindre franchement, y'a pire. Sauf que je suis pas foutu de gérer, pas foutu de respirer.
Putain. Je m'excuse, d'être aussi sévère avec moi-même, de m'avoir fait mal, d'avoir encore perdu du temps. Et je m'excuse de t'avoir rien dit, mais j'avais trop honte. Mais ça va aller mieux, promis.
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