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#ça me fout en rogne
jules-and-company · 2 years
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un jour je vais vraiment finir par péter un câble face à mes notes de concours pas proportionnelles au travail fourni en révisions
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kuugabuster · 1 year
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Qui se souvient du film "La Princesse" sur Disney+ ?
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C'est un film de pure action avec des chorégraphies de combat juste incroyables qui m'ont vachement fait penser à "The Raid" (un des meilleurs films d'action de tous les temps). Il est sorti l'année dernière sur Hulu aux États-Unis et sur D+ dans le reste du monde.
Et le problème, c'est qu'il a été retiré de ces plateformes en mai 2023. Aujourd'hui il n'est plus possible de le regarder légalement de quelque façon que ce soit, et ça me fout en rogne d'une façon que vous ne pouvez pas imaginer.
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albertinefloyd · 1 year
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Lundi 19 juin 2023.
J'aimerais bien vider mon sac à propos de quelqu'un, là.
Mais il y a un risque pour que cette personne connaisse l'existence de ce blog. Une faible chance, mais présente tout de même.
Et d'un autre côté, la situation est trop délicate IRL pour que je puisse directement m'expliquer avec cette personne.
Mais j'aurais bien besoin d'en parler à quelqu'un.
En plus, ça ne me concerne pas directement. C'est surtout par rapport à Athos. Et un de ses collègues, et par ricochet de sa conjointe, qui sont aussi, normalement, nos amis.
Bon, j'en ai déjà trop dit.
En même temps, je ne pense pas qu'Elle connaisse réellement ce blog. Ce serait un peu tordu de sa part, quand même. Et je sais que j'ai une certaine tendance à la paranoïa en ce qui concerne mes écrits, disons, intimes.
*soupir*
Bon, longue story short, ce collègue et ami a tendance à s'absenter sans prévenir du boulot, ou à arriver en retard le matin, ce qui met Athos régulièrement dans la merde. Et il vient de le refaire, sauf que là, c'est VRAIMENT chiant pour lui, et disons que, en ce moment, il n'avait pas besoin de ça.
En fait, ce collègue était en vacances à New-York toute la semaine dernière. Ça, OK, me direz-vous, sauf que...
« Donc leur réservation est du lundi au dimanche, mais ils partent un jour plus tôt ?
— Ouais. Ils veulent faire la route en deux jours, pour arriver tôt lundi matin à New-York.
— Oh, ok.
— Mais je te parie qu'ils vont vouloir faire la même chose pour le retour et que lundi matin il sera pas là. »
Et bingo, évidemment. Avec eux, c'était tellement prévisible. Sauf que pour le coup, ça fout vraiment Athos dans la merde. Et que moi ça me fait chier, parce que pour aider l'ami en question, il fut un temps où Athos n'hésitait pas à rester bosser jusqu'à 2h du matin, et à revenir le samedi et le dimanche pour lui filer un coup de main. Parce que c'était pas juste un collègue, c'était un ami, alors c'est normal, pas vrai ?
Et de voir que le gars en a juste rien à foutre et qu'il se prend à l'aise un jour de congé supplémentaire, moi, ça me fout en rogne. Jamais, jamais Athos ne lui aurait fait ça, lui.
« On est tous un peu malade hihihi »
Tu parles. J'y crois pas une seconde. Il a envoyé un message hier soir pour dire qu'ils s'étaient arrêtés à 2h30 de Montréal, sachant qu'il y a 7h de route, ça veut dire qu'ils ont quitté New-York à quoi, 15h ? Je suis désolée mais c'est du foutage de gueule. Il a jamais eu l'intention d'être de retour à temps.
Mais je ne peux pas vraiment dire quoi que ce soit. Parce que, après tout, ce ne sont pas mes oignons, pas vrai ? C'est pas mon collègue. C'est pas mon boulot. Et que, même si Athos et moi on s'organiserait systématiquement autrement parce qu'on a pas les mêmes valeurs, il a « toujours » une « bonne » excuse pour s'absenter, alors bon sang, qui suis-je pour juger ?
Donc je ne peux rien dire. Mais putain ce que ça me fout en rogne.
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hamyb-dragon · 2 years
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I would eat you
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Oh oh... On dirait qu'Hamyb a vraiment mis BD en rogne ! Quoi qu'il ait fait, ça doit être grave !
Et Gex se fout de la gueule d'Hamyb XD !
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Oh oh... Looks like Hamyb really pissed BD off ! Whatever he did, it must be serious !
And Gex making fun of Hamyb XD !
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BD is owned by @theblackdragon-studios
Hamyb is owned by ME
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ourmidnightgold · 5 years
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sulli était très courageuse. elle s'est vraiment battue pour ce en quoi elle croyait. elle a parlé haut et fort alors que les gens auraient voulu qu'elle se taise. elle ne s'est pas conformée à ce qu'on voulait d'elle, elle a choisi son propre chemin malgré toutes les critiques. j'admire vraiment sa force de caractère et le fait qu'elle ait nagé à contre-courant dans un monde qui n'est définitivement pas encore prêt pour ça. je ne m'attendais pas à ce que ça se passe comme ça. je la voyais sourire encore et encore et aujourd'hui, je suis triste qu'elle ne soit plus là. je ne peux pas vraiment dire pourquoi, peut-être parce que c'est tellement injuste. elle ne faisait qu'exister et certains se sont acharnés sur elle, comme si elle avait commis les pires crimes. ça me fout en rogne, elle méritait bien mieux. j'espère qu'elle reposera en paix, loin de tout ce qui pouvait la tourmenter.
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scienceoftheidiot · 5 years
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Non mais sinon c'est pas parce que je suis potentiellement déjà réveillée que passer l'aspi a 10h du mat un dimanche ça me fout pas en rogne + mal au crâne
Belle maman si tu t'emmerde chez moi prend un bouquin j'ai déjà tout nettoyé vendredi bordel de merde
Je suis pas bien je suis au fond du trou j'ai profité que vous soyez pas là pour chialer tout hier matin mon stress et autre et la bam
Merci tu sais que je pars de la maison à 6h pour rentrer à 18h demain ? Sans pause ? Non mais juste pour savoir hein c'est pas comme si j'avais dit que ça me foutait déjà le stress
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revedeleda · 2 years
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ce que je fais dans la vie
on est trop bien là au bord du fleuve, je veux faire du ski nautique absolument
à table avec des acteurs français, l’un me demande ce que je fais dans la vie, je réponds à côté comme ces derniers mois que je fais plein de choses trop chouettes, le type en face commence à se foutre de ma gueule, mais vraiment, ça me fout en rogne et plus je m’énerve, plus ça le fait rire, l’ancien collègue de français beau gosse est là debout à ma gauche et me soutient du regard, il ne rit pas, il me demande si je travaille au lycée auto-géré de Paris
Juliette vient me voir dans le soleil, elle renonce à venir faire du bénévolat à Arques, trop compliqué
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dtkid · 7 years
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Éloge des déjeuners paisibles
Entre l'autoradio et le poste de la salle de bains, mon enfance a été bercée par la musique qu'écoutaient mes parents. Et s'il y a beaucoup de chansons qui m'ont marqué et plu, il y en a une que j'ai  toujours trouvé particulièrement conne. Qui me hérissait à chaque fois que je l'entendais. C'est l'histoire d'un gars dont la meuf veut qu'il lui foute la paix au petit déj.  Rien que l'idée qu'il touche de l'argent à chaque fois que sa chanson passait à la radio ça me rendait malade. Puis j'ai eu la chance de ne pas entendre cette chanson pendant des années. Entre temps j'ai fait deux dépressions, j'ai vécu en couple, je me suis politisé et je me suis intéressé au monde qui m'entourait. Et récemment en écoutant de vieilles chansons, je suis retombé sur celle-là. Je l'ai écouté à peu près tous les jours pendant deux semaines parce qu'il y avait quelque chose qui m'accrochait. Sans trop faire gaffe aux paroles. Puis j'y ai fait gaffe, j'ai trouvé ça moins con que dans mon souvenir et j'ai envoyé le lien à un ami. Il m'a répondu que c'était "ringard, sans intérêt et prémaché." J'allais lui répondre, et je me suis rappelé que j'avais un billet de blog à faire pour le soir-même. Cet article servira donc à montrer à mon ami et à mon moi du passé ce que, je pense, ils n'ont pas vu.
Aujourd'hui, on parle de dépression, d'amour, des médias et de philosophie. Aujourd'hui on parle de "Déjeuner en paix" de Stephan Eicher. https://www.youtube.com/watch?v=S7cP8jGMtAE
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Genèse d'un hit:
En 1979, après quelques petits boulots dans la poste suisse et l’hôtellerie, le jeune Stephan se voit prêter un ordinateur. Sur cette machine, il composera ses premiers morceaux. En 1980 il fonde avec son frère Martin le groupe Grauzone (j'en parle vraiment juste parce que le nom est rigolo). Il se lance ensuite dans une carrière solo.
Après quelques hits Stéphan fait une rencontre décisive pour la suite de sa carrière sur le plateau de Rapido animé par Antoine de Caunes. Celle de Philippe Dijan romancier et scénariste. Dijan est l'auteur de "Oh..." dont Elle de Paul Verhoeven est l'adaptation et de 37°2 le matin dont il dira lui-même "ce qui m'intéressait était de raconter une histoire con mais de l'écrire bien." A partir de 1989, une collaboration débute entre les deux hommes. Philippe Dijan écrira désormais toutes les chansons françaises de Stéphan Eicher. Et le 2 août 1990, à deux heures du matin, la Garde Républicaine et les forces spéciales irakiennes envahissent le Koweït. A ce moment là, tous les éléments sont en place pour que Stephan Eicher et Philippe Dijan accouchent de "Déjeuner en paix."
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                     Philippe Dijan, là il fait peur mais en vrai il est gentil.
Déjeuner en paix, amour et dépression.
Tout d'abord, concentrons nous sur le premier niveau de lecture : la chanson d'amour. Cela nous permettra de prendre une vue d'ensemble des paroles, de voir l'histoire qui nous est racontée et de voir en quoi la chanson parle des enjeux de la vie de couple lorsqu'un des partenaires souffre de dépression.
J'abandonne sur une chaise le journal du matin Les nouvelles sont mauvaises d'où qu'elles viennent J'attends qu'elle se réveille et qu'elle se lève enfin Je souffle sur les braises pour qu'elles prennent
Donc, après une lecture des nouvelles, Stephan les met de côté. Elles lui ont donné le cafard. Levé le premier, il attend que sa moitié se lève. Le "enfin" appuie la longueur de cette attente, il a besoin de l'avoir près de lui pour le sortir de sa déprime. "Je souffle sur les braises pour qu'elles prennent." Là, on pourrait penser qu'il vit dans un habitat particulièrement rustique et qu'il veut se faire un feu de cheminée. On serait un peu con. C'est une métaphore de son état mental. Il essaye de raviver la flamme en lui.
Celles et ceux qui comme Stephan et moi se lèvent tôt, ont tendance à broyer du noir et qui ont une moitié aimant la grasse matinée savent de quoi il s'agit. Les premières heures froides et solitaires du jour, qu'un rythme de sommeil vicelard vous force à subir. Heures passées à tenter péniblement de faire quelque chose. En sachant que ça n'ira pas mieux avant qu'elle se lève.
Cette fois je ne lui annoncerai pas La dernière hécatombe Je garderai pour moi ce que m'inspire le monde Elle m'a dit qu'elle voulait si je le permettais Déjeuner en paix, déjeuner en paix
Sauf que visiblement ces derniers temps, Stephan, il a le cafard persistant. Ca s'accroche et ça ne part pas. Même une fois qu'elle est levée. Ce couplet nous fait comprendre que c'est la même rengaine tous les matins : les journaux lui flinguent le moral, et il faut qu'il partage ça avec sa chère et tendre. Chère et tendre qui veut visiblement qu'il lui foute la paix. Par amour (et sans doute pour éviter de la foutre en rogne), Stéphan a pris la bonne résolution de taire son angoisse ce matin.
Je vais à  la fenêtre et le ciel ce matin N'est ni rose ni honnête pour la peine " Est-ce que tout va si mal ? Est-ce que rien ne va bien ? L'homme est un animal " me dit-elle
Bonne résolution qui ne va pas faire long feu. Stephan, incapable de parler d'autre chose, va regarder le paysage. Celui-ci tire la gueule, renvoyant le chanteur dans les abysses de l'angoisse. Angoisse, pour le moins hyperbolique, puisqu'en gros, Stephan se demande si le monde est foutu. A bout, il finit par exprimer ses questionnements à voix haute. Sa moitié, qui semble être un modèle de douceur et de patience, ne l'envoie pas ballader mais se contente d'une réponse laconique : "l'homme est un animal." Nous nous pencherons plus tard sur ce qu'implique cette phrase.
Elle prend son café en riant Elle me regarde à  peine Plus rien ne la surprend sur la nature humaine C'est pourquoi elle voudrait enfin si je le permets
Le paragraphe suivant tout en tendresse pudique est celui du regard de Stephan sur sa douce. Contrairement à lui, elle profite de la vie, passe un bon moment, ne se laissant pas affecter par des nouvelles sordides. Tout ça ne la surprend plus, elle ne se laisse plus affecter.
Déjeuner en paix, déjeuner en paix
La demande de la compagne constitue le refrain. Parce qu'elle répète sa demande encore et encore, à l'identique, gardant son calme.
Je regarde sur la chaise le journal du matin Les nouvelles sont mauvaises d'où qu'elles viennent " Crois-tu qu'il va neiger ? " me demande-t-elle soudain " Me feras-tu un bébé pour Noël ? "
Ce couplet commence avec les deux même phrases que celles qui nous avaient introduit aux angoisses de Stephan. Mais comme face aux demandes répétées de sa compagne, il s'est tu, c'est à ses pensées à elle qu'on va s'intéresser. Et elles sont radicalement différentes. On pourrait avoir l'impression qu'elle dit des banalités, mais c'est un peu plus profond que ça. La neige d'abord. Ca symbolise la différence entre leurs points de vue. Elle aussi a vu le ciel gris, sauf qu’elle ne voit pas ça comme un facteur de déprime mais comme une promesse. Peut-être que les nuages amènent de la neige. La neige c'est blanc, c'est pur et surtout c'est joli. Peut-être que le sale temps vient embellir le paysage. Le bébé ensuite. Là où Stephan songeait à la mort, elle pense à la vie à venir. Je ne m'attarderai pas trop sur Noël, ne connaissant les convictions profondes de Stéphan, mais dans la tradition chrétienne, c'est la fête de l'espoir ultime : la naissance du Rédempteur, venu guider son peuple vers un monde meilleur, au-delà de celui-là qui est une saloperie. Plus trivialement, c'est l'occasion, de faire la fête autour d'une bonne bouffe.
Et elle prend son café en riant Elle me regarde à  peine Plus rien ne la surprend sur la nature humaine C'est pourquoi elle voudrait enfin si je le permets Déjeuner en paix, déjeuner en paix
Donc, sur un premier niveau de lecture, on a une belle chanson d'amour, riche narrativement. Elle nous fait suivre deux personnages, l'artiste torturé et sa compagne. Leur relation est touchante dans les deux sens. Il la regarde avec une tendresse teintée d'admiration pour son calme et sa joie de vivre. Même s'il n'y parvient pas, il s'efforce de ne pas lui faire subir son angoisse. Elle, bien que l'état mental de son compagnon puisse parfois être dur à vivre, le gère avec patience et douceur et continue de s'imaginer un avenir à ses côtés.
Mais en creusant plus loin, on découvre un peu plus qu'une simple chanson d'amour.
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Malgré ton diplôme des beaux-arts en vidéo (véridique), ton clip est nul Stephan.
Guerre du Golfe, médias et cafard:
Comme dit à la fin de mon introduction, le 2 août 1990, l'Irak envahit le Koweït, qui refuse d’effacer ses dettes, signant ainsi le début de la "Guerre du Golfe." Cette guerre occupe une place particulière dans l'histoire des médias car des moyens technologiques alors tous nouveaux vont y favoriser le développement du traitement de l'info contemporain.
Les nouvelles techniques de transmission par satellite permettent en effet une diffusion "live" des images prises par les journalistes. C'est principalement CNN, chaîne alors émergente qui en tire avantage. Ils mettent à bon usage les moyens techniques et les journalistes intrépides à leur disposition pour assurer la couverture des événements. Lorsque les officiels irakiens donnent l'ordre à la presse étrangère de quitter Bagdad, le producteur Robert Winner fait jouer les relations qu'il travaille à acquérir depuis des mois et obtient que ses reporters restent sur place. A partir de là, CNN devient la source d'images et d'information quasi exclusive de 89 pays sur la situation en Irak. Lors des bombardements de Bagdad, les journalistes de CNN assurent par radio depuis leur hôtel une couverture H24 des événements. Cette émission, unique à l’époque, jouera un rôle majeur dans le développement de la télé live en continu à la BFM TV que nous connaissons aujourd’hui.
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  La chanson, enregistrée en 1991, sort donc dans ce contexte de couverture image sans précédent de zones de guerre. A une époque donc, où les médias, audiovisuels comme papier, rivalisent d'images choc, violentes et sensationnalistes pour attirer l'audimat. On en revient donc à Stephan, qui n'en pouvant plus "abandonne sur une chaise le journal du matin, les nouvelles sont mauvaises d'où qu'elles viennent.". Bien que ce soit le sujet brûlant du moment, ça ne concerne donc pas que la guerre du Golfe. Peu importe quelle zone du monde, proche ou lointaine couverte par les médias, ceux-ci ne s'attardent que sur les drames, la violence la terreur. "La dernière hécatombe." Du moins c'est ce qu'il en retient.
On pourrait se dire que cette couverture dramatique est une bonne chose, prompte à susciter une réaction de la population. Mais c'est là que ça devient vicieux. Et pour comprendre pourquoi, repartons en Irak.
Outre la diffusion live des images prises par les journalistes il existe une autre innovation technologique propre à la guerre du Golfe : les caméras embarquées lors d'opérations militaires. Celles-ci permettent par exemple de suivre la trajectoire d'un missile depuis l'objectif posé dessus ou une opération des forces armées en vision nocturne. Et ça va avoir deux effets. Le premier, c'est de donner un aspect ludique aux images qui vaudra à la Guerre du Golfe le surnom de "Guerre du jeu vidéo". Le second : pousser les chaînes de télévision et les organes de presse à se reposer sur les forces militaires pour obtenir leurs images. D'autant plus que ceux-ci contrôlent les informations données lors des briefings presse ainsi que les zones auxquelles ont accès les reporters.
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La guerre du Golfe : une guerre cool avec des héros solitaires et des explosions.
Ce système atteint son paroxysme dans le système des "pools" des reportages collectifs organisés par les militaires autour d'une seule caméra, qui servira de source visuelle pour tous les médias. C'est que les officiels, surtout américains, ont retenu les leçons de la réprobation populaire qu'avait fait naître la couverture médiatique d'une précédente guerre : la guerre du Viêt Nam. Cette fois, la version du conflit qui parvient en Occident est donc souvent celle d'une "guerre propre", une histoire excitante, une fable patriotique, limitée au seul point de vue américain.
Mais les impératifs des chaînes de télé jouent aussi leur rôle, le fait de montrer une violence esthétisée, exercée contre de méchants ennemis plutôt que sur des civils récoltant plus facilement des succès d'audience. Comme souvent, cela est plus représentatif de la volonté des grandes chaînes que des volontés individuelles des journalistes. Sur place, les reporters essayent de faire leur boulot, mais reçoivent de vives critiques s'ils vont à l'encontre du discours dominant. Ainsi, les sujets du journaliste CNN Peter Arnett sur les pertes civiles irakiennes lui valurent d'être qualifié de "Joseph Goebbels du régime hitlérien de Saddam Hussein" par le député républicain Lawrence Coughlin. (1)
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La guerre du Golfe, une guerre avec des hélicoptères badass  
Si je veux montrer ici la richesse thématique de cette chanson, j'ai bien conscience qu' elle ne pousse pas si loin l'analyse de ce contexte médiatique. Mais elle nous montre le résultat que celui-ci produit sur les individus.
 Ainsi, en présentant la violence d'un seul point de vue, exercé par les héros de la paix et de la démocratie contre des méchants, des sauvages, des barbares, le discours médiatique crée non pas une contestation, mais une adhésion ou juste une terreur paralysante d'un ennemi traité comme uniquement monstrueux. Un phénomène qui reste d'actualité, notamment dans le traitement médiatique du terrorisme.
Ainsi Stephan ne se demande pas ce qu'il peut faire, comment se révolter, comment agir, il déprime, angoisse. On ne parle pas ici d'images violentes montrées pour pousser les gens à réagir qui ont fleuri avec l'avènement d'internet (on pense aux images de L214 prises dans des abattoirs pour amener à reconsidérer notre rapport à la viande et aux produits d'origine animale, ou à la récente attaque de Moix sur le comportement de la police envers les migrants) et qui sont accompagnées de proposition de mobilisation ou d'évolution de nos modes de vie. Le journal lui a bien fait comprendre que la guerre se passait loin de chez lui, qu'il n'y pouvait rien. Il se demande si le monde est foutu "Est-ce que tout va si mal ? Est-ce que rien ne va bien ?", il "souffle sur les braises pour qu'elles prennent". Mais ne nous dit pas que le feu part. Il est isolé, impuissant, désarmé, ne pouvant que se prendre de plein fouet la violence qui lui est montrée. Sans note d'espoir, de changement et donc sans potentiel d'action.
 Mais la chanson ne s'arrête pas là, et nous propose une autre manière de réagir à ces images, celle de sa compagne.
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La guerre du Golfe, une guerre qui savait tenir les bonnes femmes.
La meuf de Steph, cette philosophe.
En 1980, Stephan Eicher enregistre un premier album solo sur un dictaphone Stephan Eicher spielt The Noise Boys. La même année l’album Eisbär fait rencontrer le succès à Grauzone (hihi) Déboussolé par ce premier succès, Stephan fait une pause dans la musique et devient programmateur pour une radio féministe. Il rencontre le groupe de post-punk féminin Liliput dans lequel il jouera de la guitare. C'est sa première rencontre avec la critique, qui le qualifiera de "bonne guitariste au visage masculin". La bassiste et leader du groupe Klaudia Schifferle écrira par la suite certaines de ses chansons. Je vous parle de cette période de sa vie parce qu'on pourrait faire deux lectures erronées du rôle de la femme dans "Déjeuner en Paix". La première : "Gnagnagna Stéphane il est sexiste, il dit qu'il s'intéresse aux vrais problèmes du monde pendant que sa bonne femme veut juste qu'il la mette en cloque" et la seconde "Ah ben il a bien raison Stéphane, les gonzesses elles font que nous parler de niaiseries pendant que nous les bonhommes on pense géopolitique et tout ça..." Je réfute en bloc ces deux lectures, déjà parce qu’on écrit Stephan sans “e", ensuite parce que je pense que le propos sur les genres de cette chanson n'est pas misogyne, voire qu’il est carrément féministe.
En effet ce qui me gêne dans ces lectures c'est qu’elles supposent que le portrait de la femme est négatif. Je pense au contraire ce n'est pas de l'insouciance ou de l'indifférence qu'on lit dans les réactions de la compagne. Mais bien un point de vue philosophique tout à fait digne d'intérêt.
"Plus rien ne la surprend sur la nature humaine." Sa position actuelle est le fruit d'une réflexion, d'un chemin de pensée. On pourrait penser que le point de vue de la compagne est cynique ou mysanthrope. Un point de vue de dégoût de ses semblables permet de ne rien attendre d'eux et empêche d'être déçu. Mais à aucun moment elle ne dit quoi que ce soit de négatif sur l'humain.
 "L'homme est un animal." Les singes se font la guerre et se battent pour des figuiers. Les loutres se font des câlins et se tiennent la main quand elles dorment pour ne pas dériver. Les dauphins sont des violeurs en bande. En Inde, un macaque rhésus a sauvé un chiot d'une attaque de chiens errants et l'a par la suite traité comme son petit. Être un animal ce n'est pas être limité à des comportements abusivement qualifiés de "bestiaux" : agressifs, brutaux, cruels. C'est être capable du meilleur comme du pire. Ce qui caractérise le discours de la compagne, c'est qu'elle sait ça. Elle sait que l'humain est capable des pires horreurs. Donc ça ne la surprend plus. Mais elle sait aussi, contrairement à l'artiste, qui ne voit que le négatif, que l'être humain ne se limite pas à cela.
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C’est aussi ça les animaux.
Ca ne veut pas dire non plus qu'elle y est insensible. Elle ne lit pas le journal, qu'il a abandonné sur la chaise et qui y est toujours à la fin de la chanson. Elle lui demande plusieurs fois de la laisser déjeuner en paix. Elle est sensible à ces événements, ils la touchent. Mais elle est capable d'en faire abstraction. De refuser l'anxiété imposée par les médias. De profiter des moments simples. De penser à des choses quotidiennes et source de bonheur pendant son petit déjeuner. Dans une période saturée d'informations sur la guerre et ses horreurs, elle veut avoir un moment de paix. Le titre de la chanson prend tout son sens.
 Enfin, ne lui faisons pas non plus le procès de l'inaction. On ne sait pas ce qu'elle fera après son déjeuner. Peut-être qu'elle ira militer dans une asso pacifiste. Peut-être qu'elle ira écrire pour un journal indépendant qui dénonce la situation en Irak. Ou peut-être qu'elle ira rejoindre son poste de cadre dans une multinationale qui fait travailler des chinois de six ans et demi et prendra son temps de pause pour faire la comm' de campagne d'Edouard Balladur. "L'homme est un animal."
En tout cas pour le moment elle profite de son déjeuner. Comme dit plus haut, quand elle regarde le ciel gris elle se dit que la neige viendra peut-être blanchir et embellir le paysage. Elle pense à leur premier enfant. A la vie, pas à la mort. Visiblement ça allège la peine de son entourage, puisque Stephan est impatient qu'elle se lève. Elle garde espoir et pense à des lendemains qui chantent. Et c'est aussi ça, faire la Révolution. Conclusion: Je pense que nous avons tous beaucoup à apprendre de cette femme. Être capable de nous ménager des moments de repos, dans un monde injuste et violent. Être capable de ne pas désespérer des gens. Se raccrocher à ce qui pourrait nous soulager, nous apporter du bonheur. Et c'est particulièrement vrai pour les plus politisés, les plus militants d'entre nous, qui parfois s'épuisent le moral à fouiller l'injustice du monde. Comme la personne inspirante qui m'a donné l'idée cette article. Je ne dis pas être plus mûr sur le sujet. Ma copine aussi doit parfois me demander de la laisser souffler avec mes angoisses, mes questionnements. Je ressemble plus à Stephan qu'à sa go. Et moi perso, si je prends mon café en riant je vais juste en foutre partout et tâcher mon pyjama. Mais surtout, je pense que nous avons tous beaucoup à apprendre des chansons populaires. Même celles qui ont l'air particulièrement connes et navrantes. Merci monsieur Dijan, merci monsieur Eicher. Content que vous ayez tenu le coup.
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Stephan Eicher, aujourd’hui lui aussi prend son café en riant.
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Je vous avais dit qu’il était gentil Philippe. Vous me croyez jamais.
Notes additionnelles : Je m'attarde sur la télévision parce que c'est de ce point de vue que les évolutions les plus marquantes ont lieu en matière de média. Je sais que c'est le journal que Stephan lit au début, mais ce sont les mêmes nouvelles qui y sont relayées et sous le même angle (sauf s'il lit la presse indépendante, ce qui expliquerait qu'il voie ça de manière encore plus négative). Ensuite ce n'est pas parce qu'il lit le journal qu'il ne regarde jamais la télé. Enfin ce n'est pas la simple lecture de ce journal ce matin qui l'a mis dans cet état. C'est l'état dans lequel il est tous les matins. C'est pour ça que sa compagne lui demande si elle peut déjeuner en paix. Le contexte médiatique le plonge tous les jours dans la dépression et l'angoisse. J’ai aussi conscience du paradoxe qu’il y a entre la guerre présentée de manière épique et positive et le lien avec la dépression de Stefan. Là plusieurs pistes de réponses : En tant qu’artistes Dijan et Eicher ne se contentent sans doute pas du journal de 20h, la presse écrite qu’ils lisent est sans doute plus critique.  Ensuite là encore on parle d’un contexte médiatique, en plus de la guerre, ils doivent aussi être soumis aux images de catastrophes écologiques, de famines etc. Cependant c’est vrai que le lien que je fais entre la “guerre propre” d’Irak et l’impact des horreurs vues dans les médias présente des faiblesses.   Il y a en effet une différence entre une “propagande” des affects positifs : guerre épique, lutte pour la démocratie, camp du bien et une propagande des affects négatifs : peur, insécurité, donner l’impression aux gens que les rues sont pleines à craquer de jeunes délinquants à capuche et de fanatiques islamiques. Mais les deux ont la même conséquence (voire le même objectif) : celui de pousser à l’inaction et de donner plus de crédit et donc de pouvoir à nos dirigeants. Laissez nous faire, on s’occupe de tout. Elles se rejoignent cependant dans la forme (domination de l’image, couverture H24, partialité totale et décomplexée) Je concède que je m’attarde plus sur la première tandis que Stefan semble plus subir les effets de la deuxième.  C’est juste que je trouvais intéressant de parler de ces deux sujets.
Sources sur la guerre du Golfe : http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2003/02/22/guerre-du-golfe-le-precedent-de-1991_310368_3236.html https://en.wikipedia.org/wiki/Media_coverage_of_the_Gulf_War
http://www.americanforeignrelations.com/O-W/Television-The-persian-gulf-war.html#b%23ixzz1uKXkqB1I
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chezledawson · 7 years
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Saison 3 épisode 6: Secrets and Lies
Salut, vous vous souvenez de moi?  
Cet épisode m’a pas mal mis en rogne et je vais vous raconter pourquoi. 
Mais d’abord, commençons par les histoires habituelles de la Capeside Life. Jen qui a été élue Homecoming Queen (HQ) rencontre toutes les vieilles peaux qui ont été HQ avant elle, et doit selon la tradition, s’occuper de l’orga du bal de gala annuel avec et chez la doyenne, et t’imagines, elle est moyennement emballée. 
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Elle va trouver la doyenne chez-elle (au passage notez la baraque) 
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pour lui dire que c’est pas son truc d’être HQ, qu’elle a été élue par surprise, blahblah, Jen arrête de chouiner, t’avais qu’à refuser le titre si vraiment ça te pétais les syphons à ce point. En tout cas Jen arrive chez la vieille et qui est-ce qui lui tombe dessus (littéralement): Henry!
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Henry qui s’appelle aussi Hank (j’ai laissé tomber les noms et diminutifs US) est l’homme à tout faire de la doyenne (c’est pour ça qu’il était sur le toit) (?).
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Henry lui dresse un portrait assez tendre de la doyenne et Jen est moins sur la défensive vis à vis de la vieille et de toutes ces histoires d’HQ. Elle accepte d’organiser le bal (elle doit s’occuper de l’animation, on ne va pas être déçus) et en profite pour annoncer qu’Henkry sera son +1 (vu comment le gars a l’air fou d’elle et à fleur de peau je suis pas sûre que ce soit une bonne bonne idée). 
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Chez Dawson, Guèle est de retour, à l’occasion du fameux gala car elle a elle-même été HQ. Elle demande à Dawson d’être son cavalier ce qui est un peu malaise vu que Mitche est juste en face de lui.
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Le soir, au fameux gala, Dawson et sa mère croisent tous les pisse-froid et ex HQ de la ville, et au détour d’un languedeputage, on apprend que Guèle s’est fait virer de son job à Philadelphie car elle était trop vieille... #poorguèle; mais elle n’avait pas osé le dire à Mitche ni à Dawson. Dawson lui conseille de parler à Mitche.
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Jen arrive en retard au bal, du coup la doyenne est déjà un peu énervée, et en plus elle n’aime pas sa tenue (Jen porte une robe -ou un top?- en velours, 1999 was so 2017). Elle n’est pas au bout de ses surprises vu que Jen a fait venir un quatuor de drag-queens pour animer le gala! 
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Ah c’est la Jen comme on l’aime, à mettre des coups de pieds au culs des vieux bourges de Capeside. Je vous met l’extrait vidéo pour que vous puissiez apprécier les noms parfait des drag-queens (et aussi la robe en velours de Jen):
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LOOK AT LE PIED LA VIEILLE! ELLE KIFFE!
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Jen est très en beauté je trouve (j’adore le velours) avec ses petits kikis sur la tête:
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  trop mims comme disent les gens qui sont jeunes.
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Finalement tout le monde fait la chenille et la vieille devient pote avec les travestis. 
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Henkry essaie bien sûr de conclure avec Jen qui lui redit qu’elle n’est pas amoureuse et qu’elle voudrait juste qu’ils soient #amis. Hank-Henry est très mélancolique sur les potons du coup.
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Chez les Potter, réapparition de la soeur de Joey, Bessie, qu’on n’avait pas vue depuis 246 épisodes. 
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Pacey et les collègues de son père sont chez Bessie et l’aident à faire des travaux afin de transformer leur maison en Bed&Breakfast (grâce à l’argent de l’assurance de leur resto sur les pontons qui a cramé, si vous avez bonne mémoire).
Alors arrêtez-moi si je me trompe, mais dans mes souvenirs leur cahute était tellement petite que Joey était obligée de partager sa chambre avec son neveu voire de dormir dans le salon. Et d’un coup avec 3 clous et 4 palettes c’est un hôtel le truc. Bon OK. 
Pacey demande à Joey pourquoi elle s’est fait virer de son job sur les #pontons, et même si elle essaie de mentir au début, elle finit par lui raconter l’histoire de son boss Emile Louis et du fait qu’il sort un peu avec Andie. 
Pacey est triste :(
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Un peu plus tard dans la soirée, alors que les travaux sont finis (ça va vite comme dans les émissions de Steph Plaza), Joey reçoit un coup de fil et c’est Andie qui a besoin d’aide. 
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Joey et Pacey vont la chercher et Andie leur dit qu’Emile Louis a essayé de lui faire des trucs alors qu’elle ne voulait pas et qu’elle s’est enfuie et a appelé Joey. 
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Pacey va trouver Emile Louis et lui fout un bon poing dans sa gueule, une des choses que Pacey sait bien faire si vous suivez bien. 
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Joey souhaite qu’Andie se rende à la police mais elle ne veut pas elle est encore toute trauma, Joey lui propose de dormir chez elle, mais c’est finalement Pacey qui prend le relais. Andie lui demande de l’emmener n’importe où, dans un endroit calme, et il la conduit sur son bâteau, le True Love, qui est un peu à l’ambandon. 
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Finalement Andie et lui s’embrassent et Pacey ne la ramène chez elle que le lendemain matin. 
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Et c’est là que la malaisie commence. 
En effet, Emile Louis passe chez Joey assez vénèr pour lui dire qu’il n’a rien fait, qu’Andie est pas mentalement stable stable et qu’elle a tout inventé. Joey l’envoie heureusement bien chier. 
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Mais ensuite, quand Andie lui déclare qu’elle a peut-être *overreacted* et que finalement c’était peut-être *un mal pour un bien* car grâce à cela Pacey et elle se sont remis ensemble, Joey commence à tiquer. 
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Et nous on le voit venir gros comme une maison que super, les scenaristes décident d’évoquer une relation non-consentie entre un mec présenté comme un gros porc et une ado, eh ben ils te tournent le bousin de façon à ce que le spectateur se dise inévitablement “ohlala c’est sûr, Andie a tout inventé” et bam c’est la meufe la méchante de l’histoire.
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Bref, je continue à chroniquer quand même.
Andie revient voir Pacey et lui offre une casquette de marin pour aller avec son bateau (regardez-moi comme il est mignon avec, ah ça c’est pas Captain Igloo)
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Pacey, au travers d’une métaphore maritime qui dure 44 minutes lui explique que malgré leur baiser de la veille, il ne souhaite pas qu’ils se remettent ensemble, que parfois les choses sont trop abimées pour être réparées (COMME SON BATEAU) (#métaphoremaritime) (vous êtes toujours là?).
Andie pense que Joey est allée dire à Pacey que l’histoire d’agression d’Emile Louis était toute inventée, et que c’est pour cela que Pacey rompt, mais Joey la convainc qu’il n’en est rien, qu’elle est son amie et qu’elle la croit (❤). Elles se font un #calin.
Voilà c’est tout pour cet épsiode, le suivant est moins craignos, je vous rassure (et surtout il sera moins long à arriver 👍 ).
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lupitovi · 7 years
Conversation
On ne paie pas de Dario Fo
Giovanni : Le patron qui devrait nous payer le trajet parce que c’est pour lui qu’on le fait. Qui devrait même nous payer les heures qu’on passe dans le train, parce que ce n’est pas du tourisme. À ce rythme-là, il devrait aussi nous payer les heures de sommeil, parce que c’est pour lui qu’on se repose, pour arriver plus frais au travail. Il devrait aussi nous payer l’entrée au match de foot parce que c’est là qu’on se défoule et qu’on passe nos nerfs après tout ce qu’on a encaissé à la chaîne. Et puis verser quelque chose à notre femme aussi quand on fait l’amour parce que faire l'amour ça régénère, et après on a un meilleur rendement.
Luigi : Voilà tu l'as dit ! Est-ce que tu te rends compte que nos épouses, c'est comme si elles servaient le patron à l’œil ? C'est sur elles qu'on déverse la rogne dans laquelle on se fout à l'usine... toute une aliénation... on rentre à la maison... pour nous cacher comme des bêtes dans leurs tanières, pour se lécher l'un contre l'autre nos blessures, mari et femme... cette tristesse... le vide... la misère de cette vie de merde qu'on nous fait mener...
Giovanni: Il ne faut tout de même pas exagérer. Ce n'est pas une vie de merde. On vit moins mal qu'avant. On a une maison presque tous... même si elle est moche... De temps en temps on nous expulse, les banques nous font crédit et quand tu as le couteau sous la gorge, elles te piquent ta maison... mais qu'est ce qu'on peut y faire, en compensation elles nous vendent une voiture à crédit... toi, tu en as une, moi pas... on a tous un frigidaire et une télévision! ... Bon il y en a comme toi qui sont intérimaires...
Luigi : Qu'est ce que j'en ai à faire du frigo, de la bagnole et de la télé, si la vie que je mène me dégoûte... un travail de singe dressé : une soudure, pan, un coup de foreuse, une pièce de finie, vite une autre... pan... accélère la cadence... une soudure..Giovanni : Pan... un coup de foreuse... une pièce de finie, vite une autre... une soudure... Ne me parle pas de travail quand je suis à la maison ! Je vais péter un plomb ! Qu'est ce que tu me fais faire bon sang ? Tu vas me rendre complètement dingue.
Luigi : Moi non. C’est le patron qui te rend dingue. Pardon, l’entreprise, la multinationale ! L’employeur ! C’est lui qui organise la crétinisation générale, à commencer par les journaux, la radio et surtout la télévision. Regarde les journaux télévisés ! Rien que des faits divers sinistres. Chaque JT ouvre sur un beau viol, deux enfants kidnappés par des pédophiles et qu’on a retrouvés enfouis dans une décharge publique, une mère de famille assassinée à coups de marteau et pour finir.“ un massacre au Moyen-Orient avec l’habituel kamikaze des clandestins qui violent et assassinent et, tout de suit; après, un lynchage de Roms et de Roumains. On a bien droit, au milieu du JT, à l’intervention de quelques hommes politiques z indignation et abattement, il faut expulser les étrangers suspects et… économiquement faibles, renforcer la police…
Giovanni : Et l‘armée…
Luigi : Et doter les policiers de quartiers d’armes atomiques. Les gens ont peur de sortir de chez eux, surtout en banlieue.
Giovanni : Pourtant, à en croire les statistiques, les agressions et les actes de vandalisme ont baissé de dix pour cent au cours de ces dix dernières années… Nous sommes devenus le pays le moins violent d’Europe !
Luigi : Mais ça ne se dit pas ! Les gens doivent tremble vivre dans la peur… pour que tout le monde crie en chœur : «On n‘est pas en sécurité!» Le sentiment d'insécurité monte et détourne l'attention des problèmes de travail. de salaire. de maison. de pollution atmosphérique, d'hôpitaux qui débordent et d'ambulances qui arrivent quand le patient est déjà mort crevé… et puis surtout on souligne, on exagère démesurément les problèmes de sécurité pour ne pas parler des morts sur le lieu de travail…
Giovanni : C’est vrai ! On ne parle jamais des morts dans les usines et sur les chantiers… à moins qu’il n’en meure six ou sept d’un coup ! Tu sais combien il y a eu de morts au travail en Italie d’après la dernière enquête de la CEE, les ouvriers qui tombent des échafaudages sans protection, ceux qui sont écrasés par les grues et les bulldozers? Tiens, j'ai les chiffres ici, dans mon bureau… Plus de mille deux cents tués en un an! En cinq ans, environ sept mille morts : c'est plus que pour les guerres d'Afghanistan et d'Irak mises ensemble !
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nuitsfolles · 8 years
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C'est quoi qui te procure le plus de sensation entre la musique ou un film ?
J'ai vraiment longtemps réfléchi et honnêtement, c'est vraiment complexe, d'un côté la musique qui peut me faire pleurer ou complètement me transporter ailleurs avec du Tracy Champan, du Bob marley et j'en passe ou me donner une joie tout simplement énorme avec du gipsy kings qui me met le moral ou du Kery James qui me met en rogne contre ce qu'ils dénoncent dans chacun de leurs sons En terme de musique il y a aussi les festivals, ou en autre terme les meilleurs moments de ma vieAu milieu de je ne sais pas combien de personnes, à chanter en rythme avec une foule énorme comme une seule personne, à danser à en perdre la tête, à simplement profiterY a la musique qui te rappelle des choses, le soir quand t'es sur ta terrasse et que tu regardes le ciel dégagé avec ta petite musique dans les oreilles et que tu repenses au passé mais surtout à tout ce qui va venir…Y a la musique qui, dès la première putain de note te fout des frissons énormes qui traversent tout ton corps (Free falling - john mayer, rien qu'en y pensant j'en ai déjà des frissons)Et de l'autre côté y a le cinéma, qui arrive à me faire passer des rires aux larmes d'une situation à l'autrej'aime pratiquement tout les genresLa façon dont une simple personne s'imprègne d'un personnage, réel ou non, est incroyableJ'ai en tête Heath Ledger qui était pour moi l'un des meilleurs acteurs américain, qui a fait une prestation juste époustouflante dans le rôle du Joker dans Batman Il a dit que durant de longues semaines il s'est enfermé dans une pièce, seul, et a lu tout les comics à propos du Joker pour s'imprégner au mieux du personnage et ça, je trouve que c'est exceptionnel…Le choix est complexe, qui me donne le plus de sensations entre le film et la musique…Je dirais la musique
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tyranes · 7 years
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11 - Les proches, cette plaie
C'est en rentrant dans mon appartement après avoir fait les courses que je réalise l'état dans lequel m'a mis la dépendance d'Azan. Jamais mon appart n'a été aussi en bordel et aussi sale. Et en passant dans la salle de bain je realise que mon état physique n'est pas forcément mieux. La barbe hirsute, les cheveux gras, une odeur à réveiller un mort, je me demande comment le petit Jonathan a bien pu me trouver attirant. Je me rase donc et passe sous la douche pour me rafraîchir un peu. En ressortant, j'observe le dragon dans le miroir, il s'est remis sur mon épaule et il me semble qu'il a grandit mais vu ce qu'Azan disait ça me parait normal. L'espace d'un instant, je me demande si je vais devoir changer de nom. Je doute que Sylaren ai été le véritable prénom du jeune dragon vert. Cette pensée me fait frissonner, je vais tout faire pour ne pas disparaître au profit du dragon. Même si il fait désormais partie de moi. En ressortant de la salle de bain j'avise un message sur mon répondeur. C'est ma mère, complètement paniquée, qui me somme de rappeler mon frère pour qu'il s'occupe de moi. Je soupire. "Elle me fait chier" Jamais je n'ai eu de mot aussi durs envers ma mère mais là elle m'énerve. Je choppe le combiné et je l'appelle pour lui expliquer qu'elle me laisse tranquille, j'ai eu quelques baisses de régime, d'accord, mais mon frère ne pourra en rien m'aider. Elle essaye bien d'en placer une mais je lui répond si sèchement qu'elle n'ose même plus parler. Jamais je n'ai été aussi glaçant avec elle. J'entend Stéphane derrière elle, elle a du mettre le haut parleur. Il dit qu'il va venir. "Je t'ais dis qu'on se verrait demain soir, alors tu ne t'approche pas avant demain soir. Si tu viens je te défonce la gueule!" et sans attendre de réponse, je raccroche. Je tremble de partout. Je n'ai jamais été aussi violent dans ma façon d'être et je sens que le dragon est en train de gagner en puissance, il faut que ça s'arrête. Si Stéphane débarque, je m'excuserais, si il ne le fait pas, j'irais le voir demain pour m'excuser et remettre les choses à plat. En attendant, je vais me chercher une bouteille de vodka que j'ai acheté avant de rentrer en prévision des coups durs comme celui ci, je ne pensais pas que ça viendrait si vite. J'ai dérapé tellement rapidement. De dépit je me laisse tomber dans le canapé, grognant légèrement en sentant encore le passage d'Azan. Il va falloir que je me calme. Je bois directement à la bouteille et je sens l'alcool descendre le long de ma gorge. Je jette un regard noir a mon dragon. Autant ce matin, j'avais accepté sa présence, autant là, je ferais tout pour m'en débarrasser. Et pourtant c'est surtout a ma mère que j'en veux. Non il n'y a pas lieux de s'inquiéter, donc merci de me lâcher la grappe. Je reste un bon moment sur le canapé à boire et je finis par allumer la télé. Évidemment il n'y a que de la merde mais ça fait passer le temps. Ce n'est qu'une fois la nuit tombée que je me décide a faire un brin de ménage. Au final, cet appel aura ruiné la journée. Et pourtant on aurait pu penser qu'elle avait mal commencé, mais je m'étais fait à l'idée. Comme quoi, parfois les proches sont de vrais plaies. Après une heure à nettoyer les cartons de pizza et les assiettes sales, l'appartement a un aspect un peu plus décent. Il reste de nombreuses trace de foutre séché un peu partout, mais ça peut attendre. L'odeur ne m'incommode pas tant que ça au final. Je ne pourrais rien faire pour la trace de steak dans la cuisine mais je m'en fout un peu. Après tout, j'ai des soucis plus importants que ça a régler en ce moment. Je me recolle devant la télé, et je passe la nuit à regarder des émissions débiles. Je n'ai aucune envie de dormir et vers 4h du matin je me lève pour aller faire un tour. Il fait froid mais avec ma veste, je supporte facilement la température. L'envie d'aller voir Azan me prend mais je la réprime, il a été clair, je ne dois venir le voir qu'une fois par semaine, et je l'ai vu le matin même donc il me reste encore six jours à attendre. J'erre sans but jusqu'à ce que la ville reprenne vie autour de moi. Les employés vont travailler dans leur beau costume et les magasin ouvrent boutique alors qu'il fait encore nuit. Mais rapidement le soleil se lève sur une nouvelle journée et la lumière reprend ses droits. C'est vers dix heures du matin que je rentre chez moi et en montant l'escalier, je rentre dans Thomas, le voisin. Il part pour la fac et son odeur me monte au nez comme la fois précédente. Il s'excuse et continue son chemin alors que je mate clairement son petit cul rebondi et serré dans son pantalon. Je résiste à l'envie de lui sauter dessus pour le plaquer au sol et l'enculer à sec et monte m'enfermer dans mon appartement. Ces envies de sexe ultra violentes me font de plus en plus peur. Le gamin n'est qu'un étudiant, peut être même pas homo, et a chaque fois que je le croise je n'ai qu'une envie c'est de lui montrer qui est le chef. Je secoue la tête et tente d'ignorer le barreau qui est apparu dans mon pantalon. La fatigue n'aidant pas, je file me mettre au lit. Evidemment une fois couché je me branle en pensant à Thomas, mais au moins d'où je suis, je ne peux pas lui faire de mal. En quelques minutes j'ai déversé mon foutre sur les draps et je m'endors dedans. Je suis réveillé par le bip du répondeur. C'est mon frère qui me demande si il doit passer chez moi ou si je le retrouve quelque part. Je grogne. En regardant le réveil je constate qu'il est presque dix sept heure trente. Merde, ce mec va me faire chier jusqu'au bout. Et je vais lui raconter quoi? Que je suis devenu un dragon, un accro au foutre qui pense que les humains sont des jouets et que je vais m'offrir une fois par semaine à mon père dragon? Comme si il allait me croire. Je me lève péniblement et je le rappelle en essayant de masquer le fait que je me réveille. Tout en lui parlant je me caresse les couilles et récupère un peu de foutre séché pour lécher mes doigts, je réalise mon geste seulement une fois que j'ai les doigts dans la bouche et je les retire vivement. "J'arrive d'ici une heure." conclue mon frère sans me laisser trop le choix. Il n'a pas apprécié ma façon de lui parler de la veille et il me le fait bien sentir sans toutefois aborder à nouveau le sujet. Toujours en faisant attention à ne rien trahir de ma condition je répond "Je t'attendrais en bas, on pourra aller boir un verre." Au moins, en allant en extérieur, je devrais mieux arriver à me contrôler et il ne verra pas l'état de l'appartement. Il accepte et raccroche, sans rien ajouter. Il est vraiment en rogne contre moi et ça me fait moi même grogner. Je ne suis pas un bébé qu'on doit protéger à tout prix, je suis capable de me débrouiller tout seul. Après une douche et une baguette entière agrémentée de rillettes, je suis prêt à sortir, j'ai toujours des poches sous les yeux mais au moins, je fais plus présentable que la dernière fois qu'il est venu. A l'heure dite, je l'attend en bas et il arrive sur sa moto. Comme à son habitude, il se gare devant l'entrée, mais cette fois ci il ne sourit pas. Il est hésitant et oscille entre la colère et la peine. Il me salue quand même en me prenant dans ses bras, et pour donner le change, je lui rend la pareille. Ca a l'air de le détendre un peu. Nous prenons la direction d'un petit café proche. Et une fois à l'intérieur je choisis une table au fond à l'abri des regards. Si le ton monte je n'ai pas envie que nous ayons beaucoup de spectateurs. Une fois installé le silence s'installe, ni lui ni moi ne voulons commencer. C'est lui qui finit par briser le silence. "Alors? Qu'est ce qui s'est passé?" je grogne mais je sais que je ne vais pas y couper. J'ai préparé un mensonge depuis son appel mais je ne sais pas si il y croira ou non. "J'ai rencontré une fille." répond-je simplement. "Mais pas le bon genre de fille, elle est plutôt… étrange, possessive, lunatique… mais putain ce qu'elle est bonne au pieu…" Stéphane grimace. Il déteste que je parle comme ça. "Et c'est elle qui t'a fait quitter ton boulot?" il a plus l'air inquiet qu'en colère désormais. Ce qui joue surement en ma faveur. "Non, enfin oui un peu, j'y pensais déjà avant, je commence à en avoir marre des petits rôles de merde et avec mon agent, le courant ne passait plus du tout. J'ai failli lui casser la gueule en partant tellement elle me tapait sur le système. Stephane fronce les sourcils. "A ce point? Ça avait l'air d'aller pourtant la dernière fois qu'on s'est vus… quand a cette fille… je pense que tu t'en rend compte, elle n'est pas quelqu'un de bien. Et si ce n'est pas fait, il faut que tu la quitte." Je me force à sourire, il tombe dans le panneau, c'est parfait. "Je sais, oui, c'est déjà à moitié fait mais elle s'accroche. J'ai mis des barrières et je me suis imposé quelques fois mais elle revient régulièrement. Mais ne t'inquiète pas, d'ici quelques jours elle finira par me laisser tranquille. Stephane grogne encore. "Si tu as besoin, dis moi, je n'aime pas frapper les gens, a fortiori les femmes mais si elle ne veut pas comprendre…" Je ricane doucement "Non, je vais gerer le probleme seul ne t'inquiètes pas." Nous sommes interrompus par le serveur qui vient prendre notre commande. Vu l'heure on se prend chacun un verre d'alcool. Une fois le serveur reparti, Stephane pose un regard peiné sur moi. "Et niveau boulot tu vas faire quoi si tu n'as plus d'agent?" Je hausse les épaules. "Je n'en sais rien, surement trouver de l'interim le temps de me poser et trouver de quoi rebondir. Je sais que j'ai eu une mauvaise passe, mais tout le monde fait des erreurs Steph, je ne suis pas aussi parfait que tu voudrait le croire. Et je ne suis pas non plus le bébé que tu avais l'habitude de choyer quand on était petits, je peux me débrouiller seul. Je dois me débrouiller seul." La conviction dans ma voix a l'air de le convaincre. Il n'apprécie pas mais il admet que pour le coup, je dois m'en sortir tout seul. "D'accord. Si tu le dis. Sache que si tu as besoin, on est là avec les parents, que ce soit moi ou eux. Et tu sais que tu peux me faire confiance." il marque une pause et ajoute. "Par contre, je te préviens, Si tu parle encore une fois comme tu l'as fait à maman, je viens et je te colle la rouste la plus monumentale que tu n'as jamais eu. Sérieusement, elle était en larme sur le canapé après le coup de téléphone l'autre soir." Le serveur nous apporte nos verres, m'évitant de répondre. Je descend le mien rapidement, et le repose sur la table en le faisant claquer. Mon frere me regarde bizarrement. "Bah quoi?" demande-je. Il secoue la tête et me répond "non… rien…" Il se méfie mais il ne veut pas me brusquer, mon mensonge ne serait-il pas si bien passé que ça? Je grogne encore et je fais signe au serveur d'en apporter un autre. "Ecoute steph. Je te l'ai dis, ça va. Je ne vais pas te le répéter pendant quinze ans, et je ne vois pas comment te le prouver donc, ne t'en fais pas et laisse moi vivre ma vie. Okay?" Il soupire et vide lui aussi son verre d'un trait. "Compris…" Il n'est pas convaincu, mais il finit par accepter. Le reste de la soirée se passe plus calmement et j'arrive à donner le change si bien qu'il finit par partir après un repas dans un resto bondé, vendredi soir oblige, et il me laisse tranquille. Avant de partir, pendant qu'il enjambe sa moto pour monter dessus, je ne peux empêcher mon regard de se poser sur son cul dans sa combinaison. Ce qui me fait grogner. Merde à la fin! C'est mon frère, c'est dégueu de penser à ça. Surtout avec lui. Je remonte dans l'appartement et je me vide une nouvelle fois en pensant a son cul et a sa bouche sur ma bite, l'idée me fait énormément d'effet et je viens encore plus vite que quand je pense aux autres. Une fois mon affaire terminée, je passe la main sur mon torse plein de foutre pour y goûter un peu avant de m'endormir sans me nettoyer. Au moins, la règle d'azan de ne pas laisser une trique raide est bien respectée. La nuit est calme mais je me réveille vers deux heures trente pour faire un raid dans le frigo car je crève la dalle. La faim se fait à nouveau ressentir. Et on est à peine vendredi. Une fois l'estomac plein d'une côte de boeuf maxi format et d'une plâtrée de pâtes a faire rougir les italiens, je retourne me coucher satisfait.
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dramaalpaca · 7 years
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“Présidentielle: Mais pourquoi Fillon séduit-il autant les seniors?”
parce que y’a que les riches catho qui votent pour lui et les vieux riches catho sont trois fois plus nombreux que les plus jeunes de nos jours, tiens... y’a pas besoin de tortiller du cul pour trouver une réponse... franchement les journalistes se plient en douze pour peindre les électeurs de droite sous une belle lumière raisonnable et ça me fout en rogne. Les gens qui votent pour un mec qui pique dans les caisses de l’état et a encore le culot de ne pas se retirer de la course ET de promettre des mesures qui vont appauvrir les classes les plus pauvres du pays n’ont pas besoin de notre compassion ou qu’on analyse leur comportement pour tenter de trouver une raison. Ils ont besoin d’une bonne baffe.
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