#ça a été dur mais on a fini par trouver !
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Musique + OC scène et ambiance !
Merci à @ladyniniane de m'avoir taggué pour ce jeu !
Bon, techniquement, c'est avec les OC qu'il faut associer des musiques qui collent à leur ambiance mais honnêtement, je n'en associe aucun à une musique donnée, mais plus des ambiances et des scènes plus ou moins type alors, on adapte !
Affrontement contre un Brave : Monster (Skillet, reprise par Caleb Hyles)
So stay away from me The beast is ugly I feel the rage And I just can't hold it
Donc restez éloigné de moi, cette bête est abominable. C'est insupportable, cette rage en moi, Et je ne peux plus la contenir
Là, c'est pas tant pour le Brave qui se sent lui-même être un monstre comme dans la chanson de base. C'est plus du point de vue de la personne qui le défi ou se retrouve à le combattre.
Les sorciers sont des personnes qui sont capables de dompter la magie et surtout qui y a survécu au point qu'il est marqué jusque dans sa chair par elle. C'est toujours très impressionnant de se retrouver face à un, surtout que c'est rare, mais aussi, devoir affronter un sorcier qui a un peu d'expérience, c'est la mort assurée s'il ne t'épargne pas ou que tu ne t'enfuis pas vu que souvent, leur peau est devenue plus dur à cause de leurs fiertés ou alors, ils sont quasi impossible à toucher, ils ont une capacité de régénération extrêmement rapide, et ils peuvent manipuler leur environnement avec leur magie. Les personnes qui en croisent ont donc très souvent l'impression d'être face à un monstre et / ou à une divinité mineure, et l'ambiance de la musique colle bien à ce côté "menace impossible à vaincre" (et aussi à cause de cet AMV sur "La légende de Korra" qui était bien callé avec la chanson tout en montrant tout le côté dangereux de l'état d'Avatar, les Braves ont même failli en avoir un si ça ne les rendait pas quasi invincible)
La magie des Braves : Counting stars (OneRepublic) [sur un malentendu littéral]
I see this life Je vois cette vie Like a swinging vine Comme une liane qui se balance Swing my heart across the line Balançant mon cœur au-delà de la ligne In my face is flashing signs Sur mon visage clignotent les signes Seek it out and we shall find Cherchons et nous allons trouver + Everything that kills me.... makes me feel alive Tout ce qui me terrasse... me fait me sentir vivant
Et surtout : Counting stars (mais au départ et écouter d'une oreille, entendu comme "looking stars")
Cette fois, on passe du côté des Braves et de leur peuple. De leur côté, la sorcellerie est bénéfique étant donné que les Braves ont souvent pour objectif de devenir sorcier pour protéger les leurs ou leur venir en aide, même s'ils doivent (souvent) se balancer entre la vie et la mort quand ils se mettent à apprendre la sorcellerie, avec plus de chance d'y rester que d'en revenir. Mais, ils le font quand même, même si c'est dur, même s'ils savent qu'ils vont souffrir mille morts et que s'ils réussissent, ils vont devoir voir tout leurs proches et futurs proches mourir étant donné qu'ils vivront des siècles mais, ils décident que cela vaut le coup, que tous les inconvénients en valent la peine si c'est pour leur peuple et dans ses moments-là, ils lèvent la tête et regardent les étoiles pour se donner du courage.
Toute la chanson ressemble à une montée en force : le début est assez doux et calme et plus on arrive vers la fin, plus la voix est forte et accompagné, comme les sorciers qui deviennent de plus en plus puissants au fil du temps, de l'entrainement et de leurs efforts, tout en rencontrant de plus en plus de gens (comme pour les voix qui deviennent de plus en plus nombreuse sur la fin). Et malgré le temps, malgré la tristesse, malgré toutes les épreuves, voir ce qu'ils ont accompli, autant pour leur village qu'eux-mêmes vaut toujours le coup et les fait sentir vivant. Ils lèvent la tête et voie les étoiles où sont tous ceux pour qui ils se sont battus dans le passé, leur disent à ceux qui s'inquiétaient qu'ils meurent à cause de leur sorcellerie que tout va bien et qu'ils continuent à avancer à présent.
Cauchemars de Lambert : Lullaby of Woe (reprise du Grissini Project ou celle d'Alina Gingertail)
Au bois du sommeil, les loups s���enlisent Les oiseaux de nuit dansent dans la brise Mais une âme seule reste en alerte Craignant les horreurs, les goules et les spectres
Enfin, toute la traduction du Grissini Project pourrait coller (aller vite l'écouter, tout est parfait dans ce clip !) tellement cette musique à une ambiance pesante et sombre qui correspond bien à un cauchemar !
Lambert est très inconscient et même assez égoïste alors, il ne se rend pas compte du mal qui fait aux autres et les blessent, il essore vraiment les gens sans s'en rendre compte, que ce soit son épouse Héléna ou les jumeaux Fraldarius. Cependant, dans ces rêves, il est souvent face à son subconscient et là, ceux qui doivent le subir se vengent car dans le fond, même quand il s'entête, Lambert sait qu'ils ont raison. Et ce savoir est comme un cauchemar, le suit partout, et de nuit, alors que tout le monde dort, il est le seul à rester éveiller ou à se réveiller à cause de ses cauchemars qui le suivent (surtout qu'il est souvent associé au soleil et au jour dans l'histoire [il avait même peur du noir étant petit], alors que les jumeaux sont plus associés aux loups et donc, tout ce qui concernent la nuit et la Lune tout en ne craignant pas l'obscurité)
Vivement la fin du service : La jument de Michao
C'est dans quatre ans je m'en irai J'entends le loup et le renard chanter C'est dans quatre ans je m'en irai J'entends le loup et le renard chanter J'entends le loup, le renard et la belette J'entends le loup et le renard chanter La jument de Michao a passé dans le pré La jument de Michao et son petit poulain A passé dans le pré et mangé tout le foin La jument de Michao et son petit poulain A passé dans le pré et mangé tout le foin L'hiver viendra les gars, l'hiver viendra, La jument de Michaon, elle s'en repentira
Sur un ton plus léger, ce serait bien une chanson qu'un chevalier pourrait écrire et chanter pour compter le temps qui lui reste avant la fin de son service auprès de la couronne du temps de Lambert. Honnêtement, elle serait plus associé à Glenn qui fredonne pour lui en entretenant ses armes et en comptant le temps qu'il lui reste à faire avant de retourner dans sa famille. Il reprend donc un air populaire de Faerghus, mais en lui donnant un autre sens. Au lieu de s'en aller de chez lui, il veut rentrer et compte les jours, et les différents animaux peuvent désigner des personnes qu'ils connait : le plus évident est le loup qui désigne sa famille, le renard peut être Sylvain qui vivait avec eux pendant la morte saison pour le protéger de Miklan, et même en tirant un peu, la belette peut représenter les Charon, même si leur animal est une fouine, vu qu'il est ami avec Cassandra et son frère Théo. Par contre, s'il la reprend, le petit poulain ne représente rien et ne colle pas avec sa version car, il ne critiquerait pas Dimitri qui n'a rien demandé, mais la "jument de Michao" est bien Lambert qui ne fait pas attention aux choses et se retrouve pris au dépourvu quand les problèmes arrivent, surtout quand ces conseillers vraiment fiables sont ailleurs à chanter tranquillement.
Ambiance de fête insouciante : Naranca (Gingertail)
Là, c'est tout bêtement l'air qui est assez joyeux, et même la chanson semble bien se finir vu que la personne qui a été mal aimé toute sa vie finit par trouver quelqu'un qui prend soin de lui et qui l'aime. Là, ce serait plus une scène où tous les persos peuvent se poser loin des soucis après une longue journée ou des semaines dures dans leur travail, surtout les roturiers et ceux qu'on traite mal. Ils seraient tous ensemble pour manger et danser afin d'oublier leurs soucis au moins un temps, puis de repartir à la charge pour les résoudre définitivement ensemble.
Et pour les tag... à la personne qui voudra bien de tenter de relever le défi !
Source image : Musiciens et instruments de musique dans la coroplathie du monde grec antique (ive-ier siècle av. J.-C.). Quelques remarques
#jeu de questions#écriture de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#ça a été dur mais on a fini par trouver !#C'est vraiment pas un exercice que je fais souvent mais ça a finit par prendre à peu près forme !#En écrivant 'la jument de Michao' : est-ce que ça passe ou pas... oh et puis zut ! C'est une bonne chanson !
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09/05/24
Salut tumblr. Je sais pas trop par où commencer. Je me sens assez vide et perdue. En même temps j'ai perdu le seul repère stable de ma vie. C'est fini avec I. Je l'ai dit à ma sœur, elle a maladroitement essayé de me rassurer mais c'était pire que mieux. Je lui en veux presque d'avoir fait de l'humour à ce moment-là. Je pense pas qu'elle comprenne à quel point ça me brise de l'intérieur. "On refera des activités à 2" mais je veux rien faire, je veux juste rester enfermée. Je regrette même de le lui avoir dit mais il le fallait sinon j'allais être dans le déni. Mais maintenant j'ai plus envie de lui en parler ni même à personne, ça sert à rien je pense pas que mon entourage pourrait comprendre ma peine et puis de toute façon, personne ne peut rien faire pour moi.
En fait, le plus dur c'est de se dire qu'on s'aime encore. On s'aime mais on n'est plus ensemble. J'ai tellement de frustration en moi. C'est pas juste. J'imaginais tout avec lui, genre tout. Notre premier appartement, notre première maison, nos premières vacances, notre future vie active, notre routine de papy et mamy, les victoires qu'on aurait ensemble et individuellement. J'imaginais comment aurait été notre mariage, un buffet immense avec des plats de chez lui et de chez moi, j'imaginais la playlist et on aurait chacun aimé une musique sur deux parce qu'on a pas les mêmes goûts. J'imaginais qu'on aurait enfin été vraiment libre de la pression de ma famille, que ça aurait été un renouveau. J'imaginais le soutenir pendant qu'il travaillerait dur pour réaliser ses rêves et inversement. Je voyais tout avec lui et là, je dois faire face au fait que tout ça ne restera que de l'ordre de l'imaginaire ? Je n'arrive pas à l'accepter.
Je me dis qu'il doit y avoir une solution cachée et je ne cesse de la chercher depuis hier mais je ne trouve rien. Je fais des recherches débiles sur internet, youtube mais rien.
J'ai peur de commencer à détester ce qui m'empêche d'être avec lui. Ce que j'ai écrit est tellement moche, c'est tellement bordélique mais je n'arrive pas à trouver les bons mots.
Je suis juste vide.
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Mermay 2023 - 1ère semaine
Jour 1 - Auto Portrait
Je ne pense pas avoir besoin d'expliquer d'avantage, c'est exactement comme décrit. C'est moi-même en tant que sirène. Une sirène-pieuvre car j'ai une grande affinité pour les pieuvres.
Jour 2 - A l'Envers
A cause d'un autre thème un peu plus loin dans la liste, j'ai eu une association d'idées qui m'a mené à "Oooh ! Les cartes de Tarot !".
La carte du "Pendu" était parfaite pour ce thème puisque la carte dépeint généralement un homme suspendu tête en bas.
Jour 3 - Tordu // feat. Azul Ashengrotto ?
Celui-ci a été plus dur pour trouver une idée. J'ai immédiatement pensé à "Twisted Wonderland" et à peut-être dessiner Azul et/ou les frères Leech, mais je n'avais aucune idée concrète.
Puis, je me suis souvenu d'un vieux dessin que je n'avais jamais fini d'un overblot Azul sous une forme très, TRÈS, monstrueuse.
On peut donc dire que je l'ai tordu d'avantage comme ça. =)
Jour 4 - Star Wars // feat. les Slime Girls
Ça fait long temps que je n'ai pas revu Star Wars. Genre, j'étais encore une enfant quand j'ai vu les deux premières trilogies, et je n'ai jamais vu la nouvelle trilogie non plus.
Mais avoir des personnages en parler semblait être une idée assez drôle !
Marina est TRÈS enthousiaste à l'idée de regarder les films. Genre, vraiment ! DES GUERRES ! DANS L'ESPACE !!! Ça a l'air cool, non ?
Molly critique le concept des sabres laser car, c'est pas du tout comme ça que les lasers fonctionnent !
Et Medusa n'est juste pas sûre de savoir si elle va aimer...
Jour 5 - Cinco de Mayo
Je n'y connait pas grand chose sur l’Histoire du Mexique, et même après avoir fait quelques recherches sur le sujet, je n'ai pas trouvé d'inspiration.
Mais savez-vous ce qui m'a inspiré ? Les robes colorées que les danseuses Mexicaines portent durant les festivités ! J'ai donc fait une sirène inspiré par ça. Je dois dire que je suis fière du résultat !
Jour 6 - Champignon
Je trouvais juste que l'idée d'une sirène-champignon était amusante, c'est pas plus compliquée que ça, mdr.
Jour 7 - Fée Sirène // feat. Cookie Fée des Mers
Je suis désolée, mais elle correspond au thème, je ne pense pas que vous puissiez dire le contraire, si ? Elle n'a peut-être pas d'ailes, mais elle reste une fée. Une fée des mers, comme son nom l'indique.
De toute façon, je suis contente du résultat ! Je pense que ça doit être la première fois que je la dessine ? Ou en tout cas, la première fois que je fais un rendu digital et tout en couleur d'elle !
En fait, bizarrement, je ne pense pas avoir réalisé, avant d'avoir terminer ce dessin, d' à quel point elle est belle...
*****
|| Deuxième semaine ~*
Achetez-moi un petit Ko-fi ?
#mermay 2023#mermay#mermaid#merman#merfolk#sirène#art challenge#Première semaine#auto portrait#tarot#carte de tarot#oc#original characters#twisted wonderland#twst#twst azul#azul ashengrotto#overblot#omori#omori slime girls#omori marina#omori molly#omori medusa#cookie run#cookie fée des mers#sea fairy cookie#Idril's art#my art#speak your language day#Don't worry the english post will come soon after ;)
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Je ne le connais pas tellement bien mais je me suis permis de penser qu'il était passé à autre chose. Ça c'est surtout parce qu'il fait le garçon solide qui s'est remis de tout ce qu'il lui est arrivé dans sa vie. Après quelques échanges brefs et plein de pudeur, je me suis rendue compte qu'il n'était pas du tout guéri de sa rupture. Ça fait tout drôle de croiser quelqu'un qui est dans mon cas, enfin mon cas d'il y a déjà bien un an. De plus en plus, quand je parle aux gens, je sens que la majorité est rongée par des traumas. C'est une question de déni. De retenue aussi. Surtout pour les garçons. C'est triste de voir comment ils pensent qu'ils n'ont vraiment pas le droit de pleurer ni de s'exprimer. Ce n'est pas vraiment leur faute, les clichés sont stables comme dirait Orelsan. C'est technique de donner assez d'assurance à un garçon pour qu'il se permette de s'ouvrir, d'être plus fragile. J'essaie souvent d'arriver à ce résultat quand je vois certains qui sont torturés. Qu'il se confie sur sa dernière relation ne me dérange pas, je ne prévoyais pas la présence de ce garçon dans mon futur, proche comme lointain. Ça me frustre parce que je suis à la fin du processus et je rencontre beaucoup de monde au début. C'est fou comme ça marque les gens qu'on a aimé, comme ça nous change, comme ça nous tourmente et nous donne des positions dans nos schémas de pensée que l'on aurait jamais eu. J'ai quand même mis deux ans à comprendre que le but ce n'était ni d'aimer à nouveau comme j'avais pu le faire, ni de retrouver une personne semblable à lui ni de d'avoir les mêmes envies. Ça a été ça le plus dur, reconstruire toutes mes convictions, je n'ai pas encore fini d'ailleurs. Mais c'est compliqué de le faire entendre à quelqu'un parce que c'est trop tôt. L'important ce n'est pas d'avoir les bons outils, c'est surtout de trouver ce que l'on veut réparer avec. Ça me laisse une sensation étrange quand je rencontre quelqu'un brisé un peu de la même manière que moi pour certaines choses. J'ai à la fois envie de prendre soin de lui un peu comme une maman et à la fois j'ai envie de partir de sa vie parce qu'on perd notre temps. Nous ne pensons pas aux mêmes choses, nous ne sommes pas aux mêmes endroits de nos introspections, nous ne sommes pas prêt à vivre les mêmes évènements. Toutes ces personnes cassées de l'intérieur, pour X ou Y raison, me font mal au cœur souvent. Qu'est ce que ça prend de la place le passé, les blessures, les souvenirs.
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7 mai : initiation
Grosse journée ce dimanche. J’arrive au club pour une journée d’initiation à l’équitation western. On commence avec les chevaux du club et l’après-midi, direction une autre écurie spécialisée dans cette équitation. Bon, j’ai choisi la facilité et j’ai commencé ma journée avec Blue Eyes.
Le problème c’est que nos chevaux ne sont pas tellement éduqués à ces codes, mais on a eu quelques résultats quand même. On a commencé à pied, en codant un "clic" de la langue pour partir au pas, deux pour partir au trot, "whoa" pour s’arrêter, et la mobilisation des hanches et des épaules le plus légèrement possible. Ça marchait plutôt bien avec Blue Eyes, même si C. m’a conseillé de mettre du contact physique ou de faire du bruit avec ma cravache pour travailler sur le côté gauche puisqu’elle ne voit pas. Pourtant, elle bougeait quand même, je ne sais pas si c’est parce qu’elle anticipait après avoir fait l’exercice à droite, ou si peut-être elle distingue un peu les ombres ?
En selle, on continue d’appliquer tous ces codes en essayant d’utiliser surtout les codes vocaux, rênes longues, et pas trop de jambes. Pour marcher au pas et trotter, ça se passait bien, Blue avait même un trot presque trop actif. Par contre, les arrêts n’était pas très précis... et pour la direction, à deux mains ça va encore, mais à une main, j’étais pas très à l’aise. On s’est exercé sur un slalom, et pour ça, on décolle complètement la jambe intérieure et on pousse avec la jambe extérieure, soit tout l’inverse de ce qu’on fait en classique. Ce qui était dur aussi, c’était d’avoir les jambes en avant, les selles ne nous y invitant pas vraiment.
L’après-midi, j’ai fait la connaissance d’une petite QH nommée Chelsea. Très sage au pansage, comme tous les autres chevaux, j’ai eu l’impression. Bon, la selle western est effectivement un peu lourde, mais j’ai réussi à la mettre en place.
Et ensuite, tout le monde dans le manège, où on va travailler sur des choses très simples : déjà, marcher au pas sur un cercle et s’arrêter tous ensemble. On ajoute quelques demi-tours... en poussant les épaules des chevaux vers le pare-bottes ! Et c’est fou, mais ils ont la place de passer, parce qu’ils tournent vraiment sur place ! Pour ce qui est des arrêts, avec une selle adaptée, c’est vraiment beaucoup plus facile et intuitif de pousser les jambes vers l’avant. On a ensuite continué au trot, où je n’ai pas eu de mal à rester au trot assis. Là encore, les allures des chevaux et la conception de la selle font qu’on fait ça assez naturellement.
La difficulté pour moi a surtout été sur le passage du "L" de barres, et encore pire à deux mains. Au pas, j’ai fini par trouver un peu le truc, mais pour le faire au trot, sans rupture d’allure, c’était laborieux, je me sentais un peu nul·le de devoir refaire encore et encore jusqu’à y arriver pendant que tout le monde était arrêté. Pour les problèmes de direction à une main, c’est surtout parce que je me retrouve à tirer avec une jument qui est toute tordue. Donc, plutôt, prendre et relâcher, y aller par étapes.
Et pour finir cette partie, on a testé le galop. Je l’ai fait en gardant les rênes dans les deux mains. Pour le coup, on sent bien la propulsion, je me faisais un peu décapsuler ! Mais c’était assez grisant et je n’ai pas eu de problème à repasser aux allures inférieures.
Ensuite, on a découvert le superbe parc de mountain trail. J’ai trouvé ça vraiment chouette. Chelsea connaissait les exercices, je n’avais plus qu’à me concentrer sur le fait de l’amener correctement devant, et hop. On est restés au pas pour cette découverte, mais j’ai trouvé que c’était génial pour prendre confiance. Je ne doutais pas de Chelsea et du coup tout s’est bien passé, ça fait du bien d’arriver à quelque chose. On est passé sur plusieurs obstacles différents : l’échelle (une ligne courbée où il faut bien contrôler la courbe pour que le cheval ne décide pas de passer en ligne droite au lieu de se fatiguer à lever les pieds), un labyrinthe (je ralentis beaucoup avant le premier tournant pour bien contrôler le poser de tous les pieds et ne pas déborder), une pyramide, un tronc à enjamber, un pont à bascule, la waterbox, le pont roulant, plusieurs gros troncs à enjamber, la rivière, d’autres embûches avec des rondins et des gros cailloux... vraiment sympa !
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Histoire 8 / "ah, mais vous avez fini par dire oui", par la police lors d'un dépôt de plainte.
J'avais déjà subi des rapports non consentis au cours de ma vie.
Ça m'avait fait beaucoup de mal, mais je n'avais pas encore assimilé à ce moment-là que ce que j'avais vécu était grave, car j'étais en couple avec l'agresseur.
En 2018, alors que j'avais 19 ans, j'organisais une petite soirée jeu de société avec quelques amis (on était 4 en tout). Je venais de finir mes concours après ma deuxième année de prépa et je voulais décompresser. La prépa c'est dur, j'étais au fond du trou (dépression tmtc) et les violences sexuelles que j'avais déjà subi m'avait bien amoché et fragilisé. En profitant de cela, et du fait que la personne dont j'étais amoureuse était présente et que j'avais honte que l'on me voit si vulnérable ou que personne ne vienne m'aider, mon violeur en a bien profité.
J'ai fini par porter plainte 2 mois plus tard. La police horrible. J'avais l'impression de n'être qu'un numéro ou du travail supplémentaire. La policière de l'accueil m'a demandé de témoigner et a noté ce que j'ai dit. Non sans ajouter "ah, mais vous avez fini par dire oui" J'ai dû attendre des heures dans la salle d'attente parce que l'on voulait que je vois une brigadière. J'aurais préféré un être humain. La policière du début était partie faire son sport donc les notes je pouvais me brosser. J'ai du tout raconter de nouveau dans un openspace où des gens venait et partait encore et encore. Où j'étais presque traitée comme une délinquante. Interrompue sans arrêt. Je n'ai été "respectée " que lorsque je leur ai donné le mot de ma psy qui affirmait ma situation. J'ai eu peur de la police pendant plusieurs années après ça. J'ai redoublé ma prepa.
J'ai durant toute cette année dû retourner dans l'établissement scolaire avec mon violeur. J'avais des nausées tous les matins. L'administration m'a dit ne rien pouvoir faire et de prendre sur moi. J'ai rassemblé le maximum de ce que je pouvais trouver. Les messages qui évoquaient mon viol. Les témoignages d'autres filles qu'il avait harcelé, agressé, pu embrasser de force.
J'ai dû mener l'enquête seule, la police ne faisait rien et passer mes concours pour les écoles d'ingé en même temps. J'ai pris une avocate pour essayer d'accélérer les choses. Après trois années de trauma, dépression sévère, décrochage scolaire… j'ai reçu un appel. J'étais convoquée au tribunal.
On m'a dit que mon absence de consentement était prouvée et qu'on me croyait, mais qu'il n'y avait pas de preuve que lui m'ait violé car il a déclaré qu'il croyait que j'étais d'accord. Donc il suffit de dire "je savais pas" et on a le droit de tout faire à quelqu'un, faut croire.
J'ai voulu faire appel, me porter partie civile, l'avocate m'a ghostée et pris en otage mon dossier pour que je ne puisse pas aller voir ailleurs. Elle a pris l'argent mais elle a rien branlé. Mon violeur est actuellement libre comme l air.
Après 6 ans de thérapie, ça m'handicape toujours au quotidien. Je viens de démissionner de mon boulot d'ingénieur car je n'arrive plus à gérer le stress de mon travail et le stress depuis le viol. Bref j'ai une tache à l'encre noire dans mon cœur et lui il est libre comme l'air, prêt à en tacher d'autres. Je vous souhaite une bonne journée quand même ^^'.
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Ce n'est qu'un au-revoir.
Abigail et Headley n'osaient pas se regarder. Le dernier jour de Poudlard était marqué par la fin de leurs études, bien sûr, mais aussi par le départ d'Abby, qui souhaitait faire le tour du monde pour parfaire son talent de Polyglotte. Les deux amis s'étaient promis que le dernier jour, ils feraient une farce intergalactique à toute l'école, un truc gigantesque et les profs ne pourraient même pas les punir, vu qu'ils ne reviendraient plus à Poudlard. Mais alors que ce jour était arrivé, ni l'un ni l'autre n'avait envie de faire des blagues. Abigail arrachait des brins d'herbe. Allongés près du Lac Noir, les deux amis attendaient le Poudlard Express, qui les ramèneraient chez les Archer, à Charlister Road. Headley se décida enfin à briser le silence. Retenant son souffle, il demanda d'une voix mal assurée : - Tu, euh... Tu pars quand ? Elle mit un temps à répondre, évitant toujours son regard. - Fin juillet. - Ah... Le silence retomba, seulement gêné par le clapotement de l'eau. - Et... T'es obligée ? Elle secoua la tête, et Headley sentit l'espoir s'insinuer en lui. Espoir qui retomba bien vite lorsqu'Abigail précisa : - Mais je le veux. J'en ai besoin. De changer d'air. - C'est à cause de ton père ? Le coeur d'Abby ralentit douloureusement. Son père, Argus Filch, avait été condamné deux ans plus tôt à quatre ans de travaux d'intérêt général, à savoir s'occuper de personnes atteintes mentalement à Ste Mangouste. Au moins, il sera avec des personnes comme lui, avait amèrement pensé Abigail. Elle trouvait la peine du Magenmagot risible. Argus avait réussi à mentir et à couvrir sa responsabilité concernant la mort de Mary Filch, et le tribunal avait conservé la thèse de l'accident. Deux ans encore. Dans deux ans, il sortirait. Et il la retrouverait. Abby en était certaine.
Elle omit volontairement de répondre à la question d'Headley, qui avait pourtant compris : - T'as peur qu'il te traque ? Abigail tordit ses mains, glacées malgré la chaleur estivale ambiante, et se garda de répondre. Headley posa les deux mains sur ses épaules maigres, et la secoua légèrement. - Abbyyyyy..! T'es jeune, t'es belle et t'as fini tes études ! Profite un peu ! - Je ne peux pas. - Mais si, tu peux ! Tu veux quoi, attendre qu'il soit mort ? Elle baissa la tête. - Non... - Alors va de l'avant ! - Mais je ne fais que ça ! se récria Abigail en faisant volte-face. Chaque jour, j'essaie d'oublier, mais la nuit... Je revis mes souvenirs. Headley baissa les yeux vers le visage de son amie. Beaucoup d'autres garçons voyaient une peau pâle, un long nez droit, des pommettes hautes et des yeux d'un bleu pur, mais lui voyait les cernes ceintrant les yeux d'Abigail, et la flamme fiévreuse à l'intérieur. Il la serra doucement contre lui, et elle ferma les yeux pour les protéger du soleil. - Je veux pas que tu partes, moi. - Ce sera dur de vivre sans moi, mais promets-moi de ne pas te suicider, porté par le désespoir d'avoir perdu ta meilleure amie. Headley éclata de rire. Au loin, on entendait le Poudlard Express arriver à Pré-Au-Lard. - Je le jure, promit-il. Et toi, promets-moi de ne pas trouver un meilleur ami mieux que moi. Ça n'existe pas, mais je préfère prévenir. - Je le jure. Ils se regardèrent un instant, portés par l'émotion, puis Headley se leva, lâchant Abigail. - Le dernier dans le Poudlard Express est un bouffon de Gryffondor ! Et interdiction de transplaner ! Il se mit immédiatement à courir. Pensive, Abigail se leva et le regarda prendre de l'avance. - Nous nous reverrons, Headley Archer, souffla-t-elle avant de se mettre à son tour à courir en direction de Pré-Au-Lard. Nous nous reverrons.
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Les Chroniques de Livaï #519 ~ UN PARFUM DE CULPABILITE (juin 846) Claus Emmerich
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Il n'y a pas un bruit autour de moi. De l'autre côté de la vitre, je regarde les gens passer dans la rue, insouciants et pressés, tandis que je reste là, assis - non, rivé à ce fauteuil - me sentant totalement séparé d'eux pour toujours. Mes yeux ne peuvent s'empêcher de se fixer sur les pieds agiles, les jambes musclées, en imaginant toute cette merveille d'ingénierie qui compose le corps humain...
Ma main se crispe sur ma cuisse, mais je ne peux me résoudre à baisser les yeux. On m'a parlé de douleur fantôme, mais je ne dois pas correspondre aux statistiques. Je ne sens plus rien du tout à cet endroit, dans cette zone vide de mon pantalon qu'on a laissé tomber au lieu de l'agrafer. Comme si cela pouvait me faire du bien... Je ne sens absolument rien, comme s'il n'y avait jamais rien eu là. Et c'est cela qui me fait souffrir. J'aurais voulu avoir mal, sentir ma chair lacérée, mes muscles déchirés, juste pour pouvoir dire que je n'ai pas toujours été un infirme. J'aimerais la douleur physique pour qu'elle cesse d'être dans mon cerveau...
Je me souviens à peine de notre retour. Juste des cahots de la route sous ma tête. La voix du caporal-chef donnant des ordres... Le bruit de la herse qui s'ouvre. L'odeur des draps propres de l'hôpital de Trost... Mon coeur battait fort quand j'ai repris connaissance. La première chose que j'ai vue, c'est Nadja transportée sur un brancard. Elle avait les yeux ouverts et je l'ai appelée. Aucune réponse... Je me fichais de mon état. Je voulais juste savoir si elle allait bien. On ne m'a rien dit...
Quand le médecin m'a annoncé que j'avais eu de la chance, que mes camarades avaient fait les choses au mieux pour m'éviter la gangrène, j'ai eu envie de rire. Je pensais "qu'est-ce qui pourrait être pire que ça ?" J'ai failli m'évanouir de nouveau en comprenant que je n'avais plus qu'une jambe. Le temps s'est arrêté, je me suis dit que je rêvais, que cela ne pouvait pas être vrai... Que je devais être mort dans l'estomac de ce titan et que tout était faux. Je l'ai cru pendant un moment. Et puis mes parents sont venus.
En les voyant, un choc brutal m'a ramené à la réalité. Les larmes de ma mère étaient réelles, le visage défait de mon père ne l'était pas moins... Tout ceci avait eu lieu, pour de vrai. J'étais devenu un infirme. Je me suis recroquevillé sur moi-même dans mon lit, et j'ai pleuré. Discrètement, après qu'ils soient partis. Ils m'ont dit en reniflant que le courrier du bataillon les assurait que j'aurais une pension confortable, qui m'assurerait un train de vie jusqu'à ma mort. Je n'ai rien compris de tout ça. Tout ce que je voulais, c'était retourner dans mon régiment...
Je ressasse tout ça dans ma tête encore aujourd'hui. Je n'ai rien d'autre à faire de toute façon. On ne m'a pas laissé voir Nadja... Aucun de mes camarades n'est venu me voir. Cela ne fait qu'une semaine, mais tout de même... Ils... ils devraient venir ! Je dois leur parler, je veux qu'ils m'expliquent ce qui se passe ! Je suis un explorateur ! Je suis pas fait pour rester là à compter les passants !
Je suis en train de me chauffer tout seul, dans ma petite chambre, quand j'entends la porte grincer. Avide de voir quelqu'un, je me retourne sur mon fauteuil et fixe l'entrée. Une petite silhouette dans un long manteau militaire se glisse dans la pièce. Elle a un bouquet de fleurs dans les mains. C'est mon supérieur. Celui qui m'a "sauvé la vie"... Celui que j'ai toujours admiré et espéré égaler un jour...
Je me sens si nul et stupide face à lui, là...
Il se dirige vers moi sans un mot, pose le bouquet sur mes genoux et sa main sur mon épaule. Je sens sa compassion traverser ma chair et mes os, et j'aurais aimé avoir envie de lui sourire, de lui serrer la main, de lui dire "merci"... Mais je ne peux pas. Je suis trop en colère. Je resserre mes doigts sur les tiges des fleurs fraîches, au risque de les briser... Je ne sais pas de quelles fleurs il s'agit ; elles sont blanches, c'est tout ce que je peux dire. Mon monde entier est blanc depuis une semaine... Des draps blancs, des bandages blancs, des uniformes blancs... Cette couleur est celle de la mort et des cimetières. Bordel, je suis pas encore mort !
J'essaie de me lever, et fais tomber les fleurs par terre. Je me penche pour les ramasser mais j'ai pas encore appris à retrouver mon équilibre. Je chute presque de mon fauteuil et c'est le caporal-chef qui me retient et me fait rassoir. Il rassemble lui-même les fleures éparses pendant que je le regarde, impuissant. Tandis qu'il se redresse pour poser le tout sur mon lit, j'attrape une tige au passage et la garde entre mes doigts. Je la fais rouler sous mon pouce, en espérant que cela puisse me détendre.
Il commence par me dire que l'escouade me passe le bonjour, puis demande comment je vais, et il n'y a aucun sarcasme dans sa voix. J'ai bien envie de lui répondre que je me porte comme un charme, mais je n'aurais pas pu m'empêcher de crier. Alors je réponds évasivement, et surtout que j'ai hâte de retourner au QGR. Il laisse le silence s'installer. Je ne veux pas qu'il réponde... Je suis terrorisé parce ce qu'il pourrait me dire... Cela rendra tout définitivement réel, quand il ouvrira la bouche pour parler...
Il répond qu'il est inenvisageable que je continue de servir dans le bataillon. Mon état ne me donne accès à aucun poste. Que l'Etat m'allouera une retraite méritée qui me permettra de... aaah... pitié, arrêtez ça...
Il cesse de parler et attend à son tour que je m'exprime. Sa main masse mon épaule de façon réconfortante, mais je n'y trouve aucun réconfort. Vous me dites que... je suis renvoyé, plus bon à rien ? Me renvoyez pas... Je veux rester à vos côtés, à tous ! Je peux pas laisser tomber comme ça ! Il murmure que c'est inutile, qu'il faut se montrer réaliste, et que je ferais mieux de penser à moi désormais... Penser à moi ? Comme vous l'avez fait ce jour-là ?
J'ai haussé la voix. Pourquoi ? Je veux qu'il s'excuse ? Qu'il m'explique pourquoi il a fait ça ? Je sens toute l'injustice que ces questions portent en elles... Mais je n'ai que lui pour passer ma rage ! Et il l'encaissera, je le sais ! Après tout, c'est de sa faute si...
Il me dit qu'il n'a pensé qu'à nous ramener en vie, que c'était son devoir en tant que chef d'escouade, et qu'il ne regrette pas de m'avoir sauvé. Haha, vous êtes sûr ? A quoi je ressemble, maintenant ? A un handicapé sur lequel vous allez vous apitoyer ? Vous allez me tapoter la tête en continuant de dire "tout va bien se passer, mon petit" ? J'ai pas besoin de votre pitié ! Je veux pas qu'on me traite comme un demi-homme ! Je suis un soldat !
Il murmure que même les soldats doivent se reposer un jour. Un jour ? J'avais pas choisi ce jour ! Que vais-je faire de ma vie ? Je me fous de l'argent de l'Etat ! Ca me rendra pas ma jambe ! Vous pensez avoir fait une bonne action ? Vous pensez que je vais vous remercier ? Il continue sur le même ton et répond que je peux lui dire ce qui me plaira, ce qui me soulagera, quoi qu'il me passe par la tête. Alors je me lâche.
Ca sert à quoi de continuer à vivre dans cet état ? Avec ce corps mutilé ? Je n'ai même pas vingt ans... et ma vie est déjà finie ! Vous savez pas ce que je ressens ! Ce que ça fait de vivre sans cette partie de soi qu'on a depuis sa naissance ? Je me sens inutile ! Je n'ai plus d'avenir ! Aucun métier possible, aucune femme ne voudra de moi... Je serais un poids pour tout le monde, même pour mes vieux parents, alors que c'était à moi de les soutenir ! Je n'existe plus. Je ne sers plus à rien...
Il rétorque que tant que je vis, je peux trouver une raison de continuer. Haha ! Il y a si peu de temps, je vous enviais. Votre force, votre renommée... Mais en fait, je vous envie pas du tout. Je vous plains. Vous avez l'impression de devoir sauver tout le monde, parce que votre force vous y contraint. Mais vous avez tort. Vous pouvez pas sauver tout le monde. Vous devriez même pas essayer, car vous brisez des vies encore plus cruellement...
Ouais... vous auriez du me laisser crever. Je serais pas là à souffrir le martyr. Ce serait déjà fini, et j'aurais une belle tombe immaculée dans le cimetière à côté de tous les autres. Vous pourriez vous y recueillir et y trouver la paix. Au lieu de ça, vous n'avez gagné que ma haine. Vous devrez l'accepter et la supporter. Comme moi j'accepterai et supporterai votre décision de me garder en vie. Mon existence relève de votre choix. Quoiqu'il arrive dorénavant pour moi, vous en serez responsable.
Je ne lui jette pas un seul regard. La violence que je lui ai balancée me fait du mal soudain. Les larmes me montent aux yeux, mais je ne pleurerais pas devant lui. Vous savez, je vous aimais... Malgré votre sévérité et votre caractère impossible, vous étiez presque comme un père pour moi. Je dois accepter que c'est ce père qui m'a mis dans ce fauteuil et vivre avec ça. Ce sera peut-être même plus dur pour moi que pour vous. Après tout, vous êtes le meilleur soldat de l'armée humaine ? Un vrai roc !
Il répond simplement que le bataillon est fier de m'avoir compté dans ses rangs et que tous les explorateurs me remercient pour mon courage et ma force. Que je lui manquerais, à lui, à eux tous... Il ne dit pas un mot de plus et j'entends le bruit de ses pas décroître dans la pièce, puis la porte se refermer. Je penche le visage sur la fleur et respire son parfum. Elle sent si bon...
Les larmes se libèrent enfin ; et je réalise alors que je ne reverrais jamais le caporal Livaï.
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Lettre à 2021.
Août 2021,
Enchantée 2021, on ne s'est encore jamais présenté. Alors je prends le temps de le faire dans cette lettre d'adieu et de remerciements. J'allais me présenter en te disant comment je m'appelle, le nombre d'année que j'ai à mon actif, mes défauts et j'allais déjà me noyer dans mes larmes. Tu m'as fait prendre 21 ans cette année, et tu m'as appris à totalement me connaître. Je t'ai détesté comme j'ai peu détesté dans ma vie, simplement parce que tu m'as fait goûté au bonheur que pendant quelques heures qui accolées ne donneront qu'une seule semaine de répit. Je t'ai détesté certes, mais tu sais bien que de la haine à l'Amour il n'y a qu'un pas. Cette année j'ai rencontré le coup de foudre, c'était une relation intense, de part sa toxicité et sa beauté. Je me suis effondrée, j'ai cru que comme toujours je n'allais jamais me relevée. Mais si je t'écris aujourd'hui c'est pour te dire que j'ai survécu et que comme chaque année j'ai beaucoup appris. J'ai beaucoup appris de moi, 2021. Et pourtant tu sais qu'en 2020 j'ai pensé me connaître, savoir qui j'étais, quand je me suis séparée de cette relation qui ne me rendait pas heureuse, quand j'ai travaillé sur mes relations de couple pour guérir. J'ai pensé en 2020 que j'avais gravis les plus hautes montagnes de ma vie, et que mon périple était fini. C'était sans compter sur les difficultés que toi, 2021, tu es venu m'apporter. En 2020, un tournesol est venu ce joindre à moi sur mon bras, pour m'accompagner au fils des jours les plus gris, pour rappeler mon côté solaire et surtout pour exprimer ma personnalité. En 2021, six autres petits accompagnateurs de vie sont venus exprimer mes blessures, mon histoire, mon parcours, mes amours, ma souffrance et mes joies sur mon corps qui s'embellit à chaque nouvel obstacle. Un huitième message viendra ornée mon corps pour soigner ses derniers mois, pour soulager mes épaules du poids que tu pesais. Il dessinera mon dos pour son côté vitale et fleurira pour son message sur le bonheur et l'Amour. J'ai appris cette année que plus le temps passait plus j'apprenais à me connaître et que chaque jour était un cadeau pour en apprendre plus sur qui je suis.
En 2021, je suis tombée amoureuse, j'ai aimée de la plus jolie des manières, et je ne te remercierais jamais assez pour la jolie personne que tu es venues m'apporter. J'ai aimé dans le secret avant d'avouer. C'est une personne rare qu'on ne rencontre qu'une fois dans sa vie j'imagine, c'est une belle personne par son attachement et sa façon d'être. Sa souffrance a été la mienne au cours de ses derniers mois et j'ai compris que la plus belle façon d'aimer c'était d'accompagner. Je ne suis pas là pour réparer mais pour sublimer. Tu m'as fait tombée amoureuse doucement, alors que j'ai toujours aimer l'Amour dans ses plus grands fracas. Je sais, aujourd'hui que la douleur peut-être présente et silencieuse. Tu m'as prouvé que l'Amour pouvait simplement faire du bien, qu'une personne pouvait être dans ma tête sans me la prendre, et que je pouvais sourire sincèrement quand j'entendais son nom. Je l'ai aimer de la plus douce des manières, avec l'Amour le plus pur que je puisse offrir. Et tu sais pourquoi ? Parce que j'ai appris à savoir comment je voulais qu'on m'aime. Ça a pris du temps, et ça en prendra encore certainement. Dans cette histoire, je me suis perdue complètement, je me suis découverte amoureuse autrement de quelqu'un de différent. Et ça a été la plus jolie découverte de ma vie.
J'ai appris cette année que chacun avait ces propres batailles, et que chacun devait apprendre à guérir de ses peines. Merci pour toutes ces personnes que tu as mises sur mon chemin, merci a celles qui sont parties et a celle qui le décore au quotidien. Merci 2021, pour toutes ces discussions sur l'Amour avec tellement de personnes et de visions différentes. Merci vraiment pour toutes ces soirées en dessous des étoiles, à discuter de l'Amour. Merci pour toute cette jolie communauté qui m'accompagne quotidiennement et qui est venu me soutenir lors de mes jours les plus durs. Merci pour vos mots, pour vos délicates attentions. Merci vraiment pour ces discussions sur la vie, sur les milles questions qui tournent en boucle dans ma tête. Merci pour mon hypersensibilité, parce que tu sais que je la déteste elle aussi autant que je l'aime. Merci de m'avoir offert la chance de ressentir toutes mes émotions, merci pour mes pleurs qui m'ont creusé le cœur, merci pour ma colère que j'apprends à connaître, merci pour mes sourires qui m'embellissent autant que mes rires. Merci de m'avoir permise d'accepter mes émotions sans plus jamais les cacher. Merci de me faire me sentir vivante partout où je vais. Merci pour les crises d'angoisses, les excès de panique qui n'ont aucunes explications, ces moments me permettent de me reconnecter avec la réalité et de vivre le moment présent. Merci de m'avoir fait réalisé que je ne voulais pas quelqu'un pour paraître correcte aux yeux du monde, mais que je voulais une personne pour l'aimer véritablement. Aujourd'hui, je ne veux que des amitiés et des amours qui emploient mes connexions d'âmes. Et ce n'est pas grave, si je passe du temps seule, parce que ce temps est bénéfique pour réparer mes blessures et pour me recentrer.
Merci 2021, pour m'avoir permise de trouver ma propre définition, d'Amour, de paix, d'âme sœur, de coup de foudre et de flammes jumelles. Merci de m'avoir fait douter de qui j'étais parce qu'il n'y a que comme ça que j'ai pu répondre à mes questions et me trouver. Merci de m'avoir offert la chance de me rendre compte de la valeur des personnes qui m'entouraient avant qu'elle ne quitte le paysage de ma vie. Merci pour la méfiance que tu m'as apporté. Merci pour la jolie personne que je suis devenue grâce à toi. Merci pour ces nuits blanches dans le noir, avec le cœur en mille morceaux. Merci pour ces torrents de larmes qui m'ont donné envie plus d'une fois d'aller voir la mer. Merci pour ces rêves qui étaient tellement plus beaux que ma réalité. Merci d'avoir écorchée mon cœur, puisqu'aujourd'hui je souris véritablement. Merci pour ces jours où je n'ai plus su faire semblant. Merci pour cette nuit de juin. Et dans tous ces fracas, j'ai réussi à réaliser le plus grand rêve de mon année qui était d'acheter mon appartement. Cette année m'a permise d'apprendre à appréhender ma peur de vivre seule, aujourd'hui, je me sens sereine concernant ce changement de vie. En ce moment, je le décore parce que je veux qu'il soit aussi neutre et confortable que possible. J'ai hâte de prendre un nouveau départ avec cet envole, parce que ma chambre a accueillis bien trop d'histoires et d'émotions. Merci pour la paix. Merci pour ces tirages de cartes qui m'ont donné de l'espoir et qui m'ont permis de me sentir rassurée. Merci pour toutes ces heures miroirs qui me permettent de savoir que je suis sur le bon chemin. Merci à mon corps, parce qu'il a enfin su se reconstruire et se liée dans son entière confiance. Merci à lui de m'avoir permis de me transporter quotidiennement jusqu'ici. Merci pour mes excès de folie. Merci pour mes éclats de rire. Merci pour m'avoir offert depuis un an une meilleure amie aussi incroyable. Merci pour m'avoir offert une famille qui m'accompagne quotidiennement peu importe mes choix et mes envies. Merci pour m'avoir fait grandir et devenir meilleure, même si rien n'a été facile, merci de m'avoir fait voir que les obstacles n'étaient pas des échecs mais des leçons de vie. Merci pour tout, vraiment merci.
Mandy
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La pute || Lecteur x John Shelby
Anon a demandé: «11 & 19 avec John boy? car il me manque " (il me manque aussi, mon pauvre cœur me fait mal [Note de l’auteur])
Résumé: n.11 & 19 de la liste d'invite: "S'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît" + "Je brûlerai ce putain d'endroit" Avertissements: jurons, beaucoup d'angoisse, prostitution, nudité , violence, mentions d'abus, mentions de viol, discours misogyne, description graphique des signes de violence physique
Notes de l'auteur @thepeakyfckingblinders:
Derrière chacune de ces œuvres, il y a des nuits blanches et quelque chose de très proche de multiples pannes mentales, alors, s'il vous plaît, prenez une minute pour m'envoyer un message à ce sujet, j'ai besoin de commentaires réels pour comprendre comment améliorer mes compétences et évoluer ♡
Donc, cette demande est dans mon esprit depuis des lustres, et même si je ne suis pas satisfait de sa dernière partie parce que ça craint, je suis littéralement obsédé par cette idée, je l'aime tellement que j'écrirai probablement une longue fic à ce sujet, juste après Contagio, mais cela dépendra de vous les bébés, parce que, d'abord et avant tout, j'ai besoin de savoir ce que vous pensez de cette pièce. ⤟ IMPORTANT
S'il vous plaît , si vous êtes victime de tout type d'abus, parlez à quelqu'un qui peut vous aider, personne ne devrait vivre seul quelque chose comme ça. ⤟ IMPORTANT
J'ai édité le gif et ajouté le texte, ce n'est pas une scène réelle du spectacle, mais j'ai pensé que cela pourrait être une bonne idée, un petit détail qui pourrait être ajouté à mes œuvres. Qu'est-ce que tu en penses? Pls, laissez-moi entendre vos opinions babeees ⤟
Je suis désolé d'être si tard , mais j'ai été très occupé ces derniers jours et écrire n'est jamais seulement facile, cela demande de la concentration et des efforts, et je ne veux pas que vous soyez déçu, donc je suis toujours extra précis tout en travaillant. J'espère que cela vaut la peine d'attendre!
Si vous souhaitez être ajouté à ma liste de balises, veuillez m'envoyer un message directement
Je suis italienne , l'anglais n'est pas ma langue maternelle, donc je m'excuse pour chaque erreur possible que j'ai commise. Aussi, aidez-moi à améliorer mon écriture en me disant s'il y a quelque chose qui ne va pas.
Tout d’abord je suis désolée si la traduction n’est pas super je suis nulle en anglais de plus le jour où j’ai fini de la traduire je venais d’avoir un 15/20 puis 8/20 ?
J’utilise un traducteur pour m’aider, car je suis feignante .
Si vous voyez des fautes d’orthographe n’hésitez pas !
Les imagines sur John Shelby ne sont pas vraiment ce que je lis mais je suis tombée amoureuse de celle-là.
Bonne lecture !
Birmingham était en quelque sorte silencieux cette nuit-là, John remarqua les rues inhabituellement vides autour de lui, alors que son rythme fougueux le conduisait facilement vers une destination bien connue, ses pas confiants retentissant entre les murs humides de ces rues sordides faits d'innombrables appartements surpeuplés. La puanteur indubitable d'urine stagnante imprégnait méchamment ses narines, provoquant bientôt une expression dégoûtée pour souiller son visage angélique, tandis qu'il prenait avidement la énième traînée de fumée de son cigare cubain et arrêtait finalement sa marche incessante devant le bordel le plus célèbre du toute la ville. Depuis environ trois ans, jour après jour, sa vie tournait périlleusement autour du gouffre: les choses étaient devenues totalement incontrôlables, le destin l'avait impitoyablement plongé dans un profond désespoir, donnant vie à une spirale apparemment sans fin d'obscurité et de désolation, qui était en train de ronger graduellement sa fragilité, de l'étrangler brutalement, de piller tel un rapace chacune de ses respirations vitales déjà tendues. Et, néanmoins, il était plus que difficile de le blâmer pour des résultats aussi catastrophiques, après tout, il avait à peine survécu au champ de bataille, seulement pour se retrouver avec une poignée de rien, laissé seul pour faire face à une femme décédée et quatre enfants à élever seul, tandis que ses tripes rampaient de douleur atroce et d'acrimonie vorace pour le monde entier, lui faisant développer une tendance à l'autodestruction qui était tout aussi préoccupante que bien cachée. En fait, malgré son enfer privé, il restait toujours un Shelby, et un Shelby n'était pas censé être doux, ni faible, aucun d'entre eux ne pouvait se permettre de succomber à leur affliction, jamais, pas un instant . Ils devaient être invulnérables.
Ou, au moins, ils devaient paraître invulnérables, car la vérité était que John avait peur, complètement effrayé par tous ces changements impitoyables. Au fond de lui, il se sentait comme un enfant désespéré et sans défense, abandonné par Dieu et rejeté pour errer dans ce monde sinistre sans autre destination que la mort et la misère, ainsi son sang bouillait de virulence et de venin, son cœur se serrant de colère aveugle et son jeune âme dévastée désespérément longue pour toute sorte de distorsion d'affection non attachée. C'était essentiellement la raison principale pour laquelle son lit était incessamment chaud, ou plus précisément, plus chaud qu'il ne l'avait toujours été auparavant, car, inutile de le dire, John Shelby était un coureur de jupon. Sa beauté étonnante était constamment sur les lèvres de tout le monde à Birmingham, il n'y avait pas une seule femme dans toute la ville qui n'avait pas rêvé de coucher avec lui au moins une fois dans sa vie. Par conséquent, John était plus qu'heureux de leur plaire à tous, littéralement, de les accueillir à bras ouverts, même pendant son mariage passé; et, en ces rares occasions où aucune fille n'allait frapper à sa porte, il s'était maintenant habitué à chercher du secours dans les maisons closes, plutôt que de dormir seul et de devenir une proie facile pour ses démons féroces.
Il a donc fini par laisser tomber son cigare fumant sur l'asphalte inégal de l'endroit le plus délabré de Small Heath, "Le Belle Donne", une maison de tolérance italienne, assez délabré et sur le point de tomber en morceaux, mais qui s'est souvent avéré avoir ses prostituées préférées. En effet, depuis que les Peaky Blinders avaient vaincu et soumis le clan de Sabini, ils avaient occupé une position de premier plan dans le pays, au point que plusieurs autres gangs italiens sur leur territoire, y compris les Changretta qui possédaient ce bordel en particulier, avaient finalement donné aux Shelby. En conséquence directe, pour le dire simplement, John et tous ses frères avaient, dans un sens très réel, gagné le plein droit d'abuser de toutes les affaires que les wops détenaient.
"Hé, gars !" Johnny aboya avec résonance en entrant dans le hall, maintenant une attitude assez intimidante et un regard menaçant exprès, pour faire encore plus peur à son nouveau larbin. "Allez, montre-moi ce que tu as" Cet ordre rude glissa sournoisement sur sa lèvre inférieure, immédiatement suivi par sa langue brûlante, tandis que son regard affamé parcourait la pièce, examinant le visage de chaque prostituée qui se tenait là avec une attention méticuleuse, sans cependant, trouver quelque chose qui pourrait le satisfaire. Robert Turrini, le proxénète, était un gars bizarre, car son apparence physique pouvait probablement être décrite comme à la fois dérangeante et amusante: son estomac corpulent et révoltant vacillait et ses jambes courtes trébuchaient dangereusement, quand il se hâtait de se lever et d'accueillir son client le plus dur. "Monsieur. Shelby, quel honneur et quel plaisir de vous revoir! » Ces mots de lèche botte ont fui de sa bouche pâteuse et malodorante, et néanmoins, ses doigts tronqués trahissaient inexorablement ses vraies pensées, car ils se torturaient nerveusement les uns les autres ou, comme seule alternative, couraient convulsivement à travers sa frange grasse et miteuse. "S'il vous plaît, monsieur, suivez-moi, ce sont pour les péquenaud et les alcoolos, rien à voir avec des messieurs comme vous" Une fois de plus, le ton aigu et torride de Turrini râpait sans relâche dans ses oreilles, faisant clairement référence au groupe de putains de second ordre qui pouvaient être trouvées à l'entrée; ainsi le proxénète boiteux se déplaça rapidement, sa main faisant signe avec impatience à John de marcher sur ses talons, puis se dirigea vers un couloir étrangement étroit, si maigre qu'il était presque impossible de traverser, sinon de marcher en biais. Le salon secret n'était éclairé qu'en partie par une lumière rouge sordide créant une atmosphère horrible, un silence terne régnait tyranniquement dans ce petit espace, bien que tu n'étais pas seul, mais pratiquement collé à une autre fille; tous deux assises sur un canapé minuscule, vos coudes se touchant, toujours, aucunes d'entre vous n'a osé émettre un seul son. Tout ressemblait à du plomb sur ta cage thoracique en papier mâché, cette horrible sensation forçant ton cerveau traumatisé à continuer involontairement de compter les secondes jusqu'à ce que ce fardeau haineux se soit potentiellement enfoncé dans ton sternum, annihilant définitivement ton cœur éclaté. En conséquence, lorsque la porte délabrée s'est ouverte et qu'un grincement aigu a gratté votre peau, tu pensais vraiment être sur le point de mourir. Ton tortionnaire a fait son entrée, et juste après lui, un autre homme est entré, mais tu ne pouvais pas voir son visage, car le sommet de sa casquette projetait intentionnellement une ombre mystérieuse dessus. "Ces deux là, sont vraiment jeunes, très douce" Robert exhiba ses biens avec un sourire néfaste, frottant ses pattes souillées avec une avidité évidente. «Voici la plus belle offre de chair et d'os sur le marché» Un ricanement sadique accompagna avec répugnance son discours, provoquant instantanément un froncement de sourcils chez John, visiblement mécontent de la façon dont l'homme parlait délibérément des êtres humains. Heureusement, c'était un fait connu que le milieu Shelby avait l'habitude de traiter ses femmes avec tout le respect dû: qu'il les paye ou non, il s'assurait toujours qu'elles étaient à l'aise avec lui et ne rechignait jamais à leur donner du bon temps également; par conséquent, un regard vexé a été tiré dans la direction de son interlocuteur grossier, avant que ses yeux cristallins ne flottent brièvement autour de la place, puis se heurtent presque instantanément à votre élégante silhouette.
Ta circulation sanguine semblait sur le point de ralentir tandis que le regard confiant de l'étranger empêchait le tiens, ses traits bruts étant maintenant pleinement affichés, car il avait légèrement levé le menton pour te regarder correctement, et toi seulement, malgré les tentatives désespérées et pétulantes de Clarissa pour attirer son attention avec des sourires malveillants et des noms d'animaux ridicules. Même si ton esprit hébété venait d'être brutalement brutalisé par l'assaut soudain et embrasé de ses iris glaciaires, quelques instants ont suffi pour que tu réalises à quel point il était profondément différent de tous les rats bas qui traversaient habituellement cet horrible endroit.
Chaque trait pointu et toujours délicat de son visage débordait d'une délicieuse jeunesse, un œil moins vif aurait peut-être même confondu sa fraîcheur avec une réelle naïveté, mais pas le tien; tu étais bien trop maline pour commettre une erreur aussi grossière. En outre, le tissu chic bleu nuit du costume chic, pliant remarquablement son corps majestueux, laissait planer un doute sur le fait qu'il était, selon toute vraisemblance, un homme considérablement riche, ce qui était au-delà de te désorienter, car le prix à payer pour un délice sordide dans ce bordel était outrageusement dérisoire, c'est le moins qu'on puisse dire.
Et finalement, autant qu'il t’ait tué pour le concevoir, il était sans aucun doute l'un des hommes les plus enchanteurs que tu ait jamais vus, au point que tu t’es retrouvé inconsciemment à te dem!ander la raison possible pour laquelle une créature céleste de son genre aurait besoin d'acheter une misérable heure d'amour dissimulé.
"Elle, là-bas" Ce murmure malléable, rempli de nostalgie et de gratification, se glissa furtivement dans la bouche de John, alors que son sourire se leva vers le haut de manière séduisante et son regard persévérait dans son engagement louable à prolonger scrupuleusement votre plus belle forme dans une pure adoration. Dentelle et organdi fusionnés sublimement sur le déshabillé cramoisi léger que tu portais, ta forme immaculée est apparue comme un paradoxe séduisant dans ses pupilles dilatées, avec tes longues jambes laissées luxueusement exposées, tandis que chaque pouce de votre peau de porcelaine, de votre cou maigre à votre aine , ont été minutieusement déguisé par ce matériau impie, sombre et impénétrable, bien que suffisamment mince pour lui permettre d'apercevoir votre poitrine. Son souffle frissonna de crainte quand il se retourna pour contempler les traits aphrodisiaques de ton visage, ses joues rouges et ses lèvres charnues lui faisant mal de désir, puis tes yeux de biche inondés de mélancolie, étranglant son âme sans pitié, enracinant dans son cerveau la conviction perfide qu'à la fin de la journée, il aurait volontiers dilapidé sa fortune, ne serait-ce que pour te vénérer de loin. "Hé, chéri!" Sa voix basse a finalement grondé dans les murs de ce petit espace, vibrant massivement dans ton abdomen, tandis que tu te forçait à avaler la masse douloureuse obstruant ta gorge et à te lever, répondant rapidement à son ordre, consciente que commencer à se rebeller contre ta pitoyable destinée n'aurait servi à rien. En tenant la main de ton client derrière ton dos, mais en gardant la tête baissée pendant tout le trajet, tu l’as guidé silencieusement dans l'escalier en colimaçon jusqu'à la meilleure pièce de la maison, comme te l’avez précédemment informé le proxénète. Sa veste et son chapeau ont été rapidement accrochés au porte-manteau, laissant son haut musclé recouvert uniquement de sa chemise blanche et de son gilet bleu, un sourire séduisant a été projeté dans ta direction et tu as détecté une étincelle libidineuse dans ses iris, alors qu'il réduisait l’espace entre vous à un rythme lent. "Comment dois-je t'appeler, ma chérie?" Il a sciemment utilisé le même surnom flatteur une fois de plus, en murmurant cette question à peine audible dans ton oreille, car il était maintenant derrière toi: ses grandes mains posées autour de ta taille, faisant doucement s’emboiter ton dos et sa poitrine, tandis que sa bouche qualifiée brossé immédiatement contre ta nuque, dessinant une traînée ardente de picots éphémères jusqu'à ta mâchoire. "Seulement y / n" Tu halètes en réponse, le contraste marqué entre sa chaleur et ton corps froid amer, ainsi que la peur paralysante qui te manges vivante, a fait que ton estomac brouillé se tortille et que tes paupières se ferment douloureusement en un froncement de sourcils. "Eh bien, c'est un assez beau nom, je suis John, au fait" Un joli rire, pourtant sous-entendu, emplit furtivement tes oreilles avec ce petit compliment; il n'y avait aucune trace de moquerie dans son ton, cependant, cela sonnait simplement comme s'il voulait être gentil avec toi, sans aucune aspiration à un gain personnel, et tu rougirais presque, pris au dépourvu et plus habitué à aucune forme de gentillesse. Néanmoins, c'était une question d'instants avant qu'un autre long baiser mouillé ne soit pressé sur ta mâchoire, te faisant sursauter avec une appréhension évidente et, plus tard, définitivement s'éloignant de lui, dès que tu sentais son toucher abandonner tes hanches seulement pour grimper sur tes côtés, jusqu'à ce qu'il atteigne le col de ta chemise de nuit et que ses doigts commencent à jouer avec ses boutons ronds.
"Non, je vais le faire!" Tu as brièvement averti, alors que tu perdais temporairement le contrôle de ton discours et de tes actions, en plaçant tes mains au-dessus des siennes pour les hausser, puis en te tournant pour lui faire face avec un souffle court, tes paumes ouvertes te protégeant. «Je m’en occupe» Une voix sensiblement plus douce a supplanté ta grossièreté précédente une fois que tu as progressivement métabolisé les dégâts que ta réaction imprudente aurait pu causer.
"Ok,ok, chérie, comme tu veux" Mais John se contenta de glousser, se moquant de toi tendrement, tandis que ses avant-bras se levaient en plaisantant en se soumettant à tes ordres, bien que, à vrai dire, ton comportement étrange l'avait laissé un peu perplexe, bien-presque confus. Reculant prudemment vers l'arrière, il se mit confortablement à l'aise sur le bord du lit double, assis juste devant toi avec les jambes écartées, son regard ardent ne se déviant jamais de toi, et commença à déboutonner son gilet avec sa chemise et son maillot de corps, jusqu'à ce que son torse sculptural soit complètement nu, dans toute sa splendeur, alors que la lune filtrait à travers les rideaux et diffusait ses faibles rayons sur tous ses contours, améliorant superbement tous ses muscles.
Sans sursis, il te lorgna dans une pure adoration, étonné de nouveau de manière dévastatrice par ta beauté éblouissante, désireux de sentir ta chair en feu autour de la sienne, accroché littéralement à chaque mot ou à ton mouvement, tandis qu'un sourire provocateur ondulait régulièrement sur ses lèvres. Pourtant, il ne cessait de se demander pourquoi une vision angélique comme toi disparaissait lentement dans cet enfer authentique sur le cœur, dilapidant catégoriquement ton rougissement de la jeunesse au milieu de cette cohue de putridité effrénée. Cela n'avait absolument aucun sens, et il ne pouvait pas se débarrasser de cette pensée pernicieuse qui hantait son esprit depuis qu'il t’avait vu pour la première fois: tu avais l'air nerveuse, extrêmement défensif, presque paralysé par la peur; tu semblais si différente de toutes les putes qu'il avait eues auparavant, d'où son instinct, si obscurci par la cupidité, criait que quelque chose n'allait pas. Et quand il te regardait lui tourner le dos à nouveau, afin d'éviter son regard pénétrant alors que tu te déshabillais à contrecœur, il lui suffisait de comprendre que son exécrable intuition avait raison. Néanmoins, au moment où sa tête a réussi à se reconnecter à sa bouche, il était déjà trop tard, le textile doux de ta chemise de nuit est tombé inéluctablement sur tes pieds, te laissant nu sous ses yeux affamés.
John s'étouffa de son propre souffle; pour la première fois, il se sentait comme un gamin lors de sa première expérience, peu importe si rien ne peut être plus éloigné de la vérité, d'une manière trouble et énigmatique, tu pouvais le rendre vulnérable. Sa gorge est devenue incroyablement sèche pendant qu'il continuait de te fixer avec crainte, les courbes sinueuses de tes fesses sans faille, la ligne sinueuse de ton dos superbement arqué couvert en partie par tes cheveux doux, tes épaules tendues et tes jambes raffinées, tout ce qui te concerne, son esprit devint entièrement noir, les mots s’étouffant dans sa gorge. Pourtant, dès que tu t’es déplacé pour lui faire face et que sa vue a été bénie par la vue complète de ta silhouette voluptueuse, quelque chose a altéré la lumière dans ses yeux bleus, les rendant soudainement sombre et sinistre. Sa mâchoire tomba légèrement sous le poids de cette consternation violente: en conjonction, un sentiment odieux de nausée cruellement tiré dans le ventre et la colère aveugle l'assaillit virulemment, car ton buste était complètement martyrisé.
"Que se passe-t-il…" Ce babillage non voulu mourut dans l'air glacé, ses orbes choqués délimitant les traits de ta silhouette endommagée: ton cou et ta clavicule étaient horriblement enduits de plusieurs empreintes violettes, comme si quelqu'un t’avais étranglée sans pitié encore et encore, des ecchymoses bleus verdâtres avec la forme de paumes pleines encerclé vos deux bras, il y avait des signes visibles de ligature autour de tes minuscules poignets. Pire encore, ses paupières ont dû se concentre un peu pour mettre en évidence les multiples points de sang de bœuf stigmatisant vos seins mous, jusqu'à ce qu'il remarque avec horreur comment ces taches rondes étaient effectivement des brûlures de cigarettes; tout l'oxygène s'est brutalement retiré de ses poumons, quand il s'est attardé sur les multiples marques bleues et noires profanant barbare les protubérances de vos côtes. Mais ce qui l’a irrémédiablement mis hors de lui, étaient les deux horribles cicatrices creuser des sillons étirés dans le bas de l’estomac, parallèlement à vos os pelviens gonflés et presque jusqu’à votre aine livide.
En proie à cette humiliation nocive, tu as observé un dégoût brut contaminer ses traits et, sans raison apparente, la haine dormante que tu avais pour toi-même a commencé à fermenter à l'intérieur de ton ventre. "Je-je suis désolée" Tu t’es forcé à avaler tes larmes imminentes, de manière inattendue, la conscience de ne pas pouvoir lui plaire a en quelque sorte infligé plus de souffrance à ton âme mutilée "Si je ne suis pas à ton goût, tu peux … » Le jeune homme se leva rapidement et, avant que tu ait eu la chance de terminer ta phrase absurde, il attrapa facilement sa chemise, s'approchant de toi avec diligence, ses iris froides brûlantes avec un mélange invraisemblable de fureur et d'inquiétude. "J'en ai rien à foutre !" Sa voix était instable, roulant le long de sa langue dans un halètement fatigué, alors que ses mains s'empressaient d'enrouler sa chemise autour de tes épaules, ses doigts tremblants luttant pour passer les boutons dans les œillets "Qui t’as fait ça?" En vérité, il parlait à lui-même plutôt qu'à toi, une impatience perceptible aggravant son ton fou, mais tu étais toujours éloigné de son regard curieux, plus que déterminé à garder la bouche fermée, dans la mesure où ta tête étourdie tournait déjà impuissante, et ton cœur martelait furieusement contre ta cage thoracique douloureuse. Tu avais du mal à comprendre ce qui se passait, tout autour de toi était si confus, tu ne savais même pas si tu pouvais lui faire confiance ou pas, tu voulais seulement fermer les yeux et oublier ce cauchemar éveillé. « Je ne te le demande pas, bon sang! Dites-moi qui c’était! »
Cet ordre brûlant vous a ramené à la réalité et a éclairci combien facilement son caractère impétueux pourrait refaire surface; en effet, tout d'un coup, aucune trace n'a été laissée de ce garçon aimable et gai qui, plus tôt dans la soirée, avait réussi à te faire véritablement rougir, au contraire, quand il vous a pris les joues et vous a secoué avec véhémence, dans un effort désespéré pour obtenir ton attention, son commandement rude et autoritaire t’as frappé sans relâche, et le doux enfant en lui a fini par être complètement étouffé par le gangster effrayant et impitoyable qu'il était vraiment.
Ce contact imprévu a fait que tes pieds ont automatiquement basculé en arrière, tes yeux sont tombés sur la pointe de tes pieds et tes dents ont commencé à mordiller ta lèvre inférieure, tandis que ton cerveau épuisé a recouru à sa dernière once de force, t’obligeant ainsi à cracher un peu de ton chagrin. «Il y a trois mois, l'homme que j'ai appelé père m'a vendu pour régler une de ses dettes avec les Italiens» Ton thorax a semblé rétrécir, une fois que tu as pris conscience que c'était essentiellement la première fois que tu te permettais de le dire en entier à haute voix. Cependant, la présence de cet étranger compatissant représentait toujours pour toi une barrière importante à surmonter, conduisant ton regard inquiet à passer frénétiquement de la crasse sur le sol, à la fenêtre cassée sur ta gauche, n'importe où, mais n'osant jamais rencontrer son regard. "J'ai essayé de m'enfuir, je le jure, mais ils m'ont toujours rattrapé et-"
Un gros nœud a calleusement bouché le bas de ton palais, te faisant hésiter pendant une minute, en te frottant doucement les bras, pour essayer de te réconforter. "Robert est sang chaud, il devient assez brutal quand tu ne coopères pas" Ces considérations désenchantées portaient un sourire involontaire, ce n'était rien de plus qu'un spasme, mais cachait le signe indubitable de larme imminent, aux iris attentifs de John. Il ne l'a certainement pas laissé passer inaperçu, mais il a choisi de garder le silence, car la dernière chose qu'il aurait voulu à ce moment crucial était de te faire encore plus peur.
«Il m'a battu à mort, à chaque fois plus fort que la fois précédente, puis il a laissé ses hommes… Il m'a gardé attaché à ce lit pendant des jours pour me donner une leçon» Des larmes abondantes coulaient maintenant sans relâche sur ton visage rougi, ton cœur endolori par une affliction crue, t’empêchant de respirer correctement, une de tes paumes alla instinctivement couvrir l'espace entre tes seins, dans un vain tourbillon pour apaiser ce chagrin atroce. "Oh mon Dieu" John soupira simplement, il était également instable au bord des larmes, des veines épaisses pompées de manière indomptée à proximité de ses tempes, jusqu'à ce que sa forme solide se ruine sur le côté le plus long du lit, ses coudes perçant ses propres cuisses, alors qu'il se cacha derrière ses poings serrés et se permit finalement de se livrer à quelques sanglots étouffés. D'innombrables atrocités avaient obscurci ses yeux et son âme au cours de sa brève vie, lui-même était capable d'actes de cruauté indicibles, tout de même, c'était absolument intolérable, entendre ton histoire lui pesait terriblement. Quoi qu'il en soit, il ne pouvait pas imaginer comment quelqu'un aurait pu être si désespérément diabolique, pour abuser d'une manière aussi haineuse une créature sans défense aussi pure que toi. Cette pensée le dérangeait irrémédiablement, érodant ses entrailles avec rancune, le privant presque de sa raison.
"Jusqu’à...jusqu'à ce que j'arrête de les combattre" Ton dernier chuchotement angoissé frappa le coup fatal, il plongea sans relâche dans sa poitrine, envoyant une insupportable secousse de douleur à travers ses veines empoisonnées. Pendant un bref instant, son expression, ainsi que la tienne, se transforma durement en un masque fait de désespoir net, comme si vous souffriez tous les deux exactement la même douleur, au même moment.
"Je vais le tuer putain!" Puis, tout à coup, quelque chose en lui explosa violemment, il se leva avec fureur, trébuchant brutalement sur la table à côté et tout ce qui y était placé. "Putain, je vais tuer ce sale salaud de mes deux mains, enfer sanglant!" Ses hurlements rauques et ses pas furieux couvraient toute la longueur de la pièce en l'espace d'une minute à peine; il bouillonnait littéralement de crises de rage meurtrières.
"Non!" Ta voix désespérée a éclaté à nouveau et tu t’es dépêché de l'atteindre, vos mains enveloppant inconsciemment ses pommettes " S'il te plaît, s'il te plaît, John, s'il te plaît , arrêtes!" Pour la première fois, son nom a glissé de votre gorge douloureuse entre ces plaidoyers pathétiques, tes mains l'ont forcé à vous regarder, pour tenter de le dissuader de ses intentions homicides; la simple pensée des conséquences potentiellement désastreuses de sa colère calamiteuse t’as totalement asphyxié, une panique rampante a assailli ton esprit fragile et, peu de temps après, tu t’es retrouvé à hyperventiler et en même temps déchaîné un tas de mots incohérents, tes doigts resserrant progressivement leur emprise sur lui. "Il va se mettre tellement en colère contre moi, il va-il-il est ..." "Je suis un putain de Shelby, il ne prend pas un putain de souffle à moins que je le dise" Il attrapa fermement ton menton avec seulement deux de ses doigts, guidant tes pupilles épuisées pour se concentrer entièrement sur son regard confiant, et il grogna ce fait incontestable à une distance de ton nez. Pétrifié par cette nouvelle prise de conscience, tu es devenue complètement silencieuse, ne faisant que regarder dans sa direction, pendant qu'il remettait son maillot de corps avec facilité et saisit rapidement sa casquette. «Reste ici, tu m'entends? Ne bouge pas jusqu'à ce que je revienne. » Un baiser incandescent a été impulsivement appuyé sur ton front, aucun autre mot n'a été dépensé, avant qu'il ne disparaisse derrière la porte de ton enfer privé. Lorsque ton persécuteur a vu son invité spécial se précipiter sans relâche vers son bureau avec une expression truculente exsudant une fervente déception, il a sauté sur ses pieds, prêt à trouver une solution à tout problème qui aurait pu survenir; une chose était sûre, il n'aurait jamais deviné ce qui allait se passer. "Monsieur Shelby, que ce passe t’il ? » Le poing de John entra sauvagement dans sa mâchoire, étouffant son discours écœurant dans l'œuf, sans donner à Turrini une seconde pour traiter ce qui se passait, un autre coup de poing le frappa sans pitié, puis un autre, puis un autre, jusqu'à ce que du sang chaud et abondant jaillit de ses multiples blessures. "Toi fils de pute" Des gémissements animaliers quittèrent ses gueules enragées, une haine pure se précipitant dans son cerveau, alors qu'il le jetait violemment au sol, commençant immédiatement à lui donner des coups de pied avec toute sa force brute. "Pitié! Je vous en prie, monsieur, ayez pitié! » Les prières et les cris déchirants de sa victime titillaient à peine ses oreilles, tout ce à quoi il pouvait penser était votre corps tragiquement gâché, d'où un désir effréné de lui donner un avant-goût de ses propres soins. "Où était ta miséricorde quand tu la torturais?" Tenant savamment son chapeau de la manière la plus efficace, dans une fureur, John descendit sur son agneau sacrificiel, défigurant rapidement un seul côté de son visage, afin de prendre une scène assez théâtrale. pause de son travail méchant.
"Quand elle t'implorait d'arrêter?" Robert pleurait maintenant à haute voix, submergé par cette agonie impitoyable, réduit à juste invoquer la mort, puisque rien dans toute sa misérable existence ne lui avait jamais causé une douleur plus intense que le perception grossière d'une lame de rasoir finement aiguisée lacérant brutalement sa chair, pouce par pouce.
"Maintenant, plies l'oreille à cela" malgré ses lamentations déchirantes, John le soulève brutalement en saisissant le col taché de sang de sa veste "si quelqu'un d'autre que moi s'approche de sa putain de chambre, je brûlerai ce putain d'endroit!" » Et avec cette première menace mortelle, la tête du proxénète a été brutalement cognée contre le mur, un énième gémissement de contrition s'échappant de sa bouche remplie de sang, néanmoins, il ne restait plus de temps pour la rédemption.
"Tu lui poses la main dessus" son crâne a été percuté avec obstination dans les briques une fois de plus, une éclaboussure cramoisie a enduit le plâtre pâle qui les couvre "Je te brise le cou" Les jointures de John se sont jointes, sa main droite rouge renforçant efficacement sa prise sur son cou, le tuant presque sur place. Cependant, heureusement pour le proxénète, Johnny n'aurait pas mis fin à ses souffrances, ni ne pourrait simplement t’emmener, au fond de lui, il savait qu'il devait en discuter avec sa famille, avant tout, avec Thomas, car l'équilibre instable atteint par le Peaky Blinder était bien trop fragile pour déclencher une nouvelle guerre contre les Italiens. Ainsi, avec beaucoup de difficulté, il se força à garder son esprit clair et à mettre un couvercle sur son instinct bestial. "A partir de maintenant, aucun de vous, sales porcs, n'avait le droit de la regarder". Le jetant au sol, le milieu Shelby a donné un dernier coup de pied directement à son gros ventre, et a craché sans respect sur lui, marquant avec son esclavagiste le fin du calvaire de sa proie brutalisée. «Sur l'ordre des Peaky Blinders» Dès que la porte crépitante s'est ouverte, ton cœur a semblé exploser, tes paupières se sont fermées de peur pure, tandis que tu as rapproché tes genoux de tes clavicules, une prière ancienne qui traînait sur tes lèvres avec de fortes respirations , alors que tu te préparer au pire. Mais le pire n'est jamais venu. «O / n, hé, calme-toi. C'est bon" La voix rauque de John résonna dans tes oreilles et, tu aurais pu le jurer, c'était, sans aucun doute, le plus beau son que tu as jamais entendu. Ta tête se pencha brusquement dans sa direction, un mélange intense de peur et d'espoir scintillant dans tes iris larmoyantes, un sentiment profond secouant toujours ton petit moi. "C'est moi, c'est juste moi" Gardant les bras levés pour indiquer son intention inoffensive, il s'approcha prudemment de toi. Presque immédiatement, tu as remarqué les nombreuses empreintes de main écarlates tachant son haut pâle, signe éloquent qu'il avait essayé d'essuyer ses paumes sur ce matériau ivoire du mieux qu'il pouvait. Pourtant, tu étais si profondément soulagé de voir son visage amical que, pour être honnête, la vue du sang frais ne t’as pas du tout dérangé. C'était comme si tu étais tombée dans un état de fugue, chaque chose autour de toi étais si distante, tes sens engourdis ne pouvaient que se concentrer sur la silhouette maigre de John agenouillée devant toi. «Personne ne te fera plus de mal, chérie» ses mains allèrent doucement caresser tes cuisses, tandis que son regard inquiet cherchait sans relâche le tien et il prononça ces mots doux et rassurants «Tu dois me faire confiance». Et tu voulais mettre toute ta foi en ce jeune homme. Son flair délicat t’as facilement réveillé de ce sommeil ostensible, créant un feu vif à l'intérieur de ton ventre; sans penser à tes actions imprévues, tu as jeté tes bras autour de son cou, tes genoux produisant un son sec alors qu'ils entraient en collision avec le parquet, tu t’en foutais toujours et tu le tenais serré, poussant des sanglots et te noyant dans sa poitrine musclée, se délectant enfin de la sensation de cette chaleureuse étreinte. Bientôt, il emmêla ses doigts calleux avec tes mèches, rétrécissant inconsciemment ses épaules solides, comme pour protéger ta silhouette frangible du monde extérieur. "Je te ferai sortir d'ici bientôt, je te le promets"
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La société et les personnes handicapées.
Cela fait un moment que je voulais écrire un texte, pour raconter mon ressenti vis-à-vis du handicap, du regard, des réactions des autres personnes, et surtout, pour rendre hommage à une personne incroyablement forte aka ma sœur. Vous y trouverez aussi le mien, du coup.
TW warning : pensées suicidaires, dépression, opérations, hôpital, médicaments.
Avant tout, je tiens à dire que le témoignage de ma sœur se trouve ici, publié lors de la journée internationale du handicap. Il est trop court à mon goût mais ses mots sont si puissants.
Nous sommes nées le 12 septembre 1995, à minuit cinq et minuit sept. Notre mère a été alitée pendant presque toute sa grossesse, avec interdiction de se lever. Interdiction qu'elle a scrupuleusement respectée pour nous. Pas une seule fois elle n’est allée aux toilettes, pas une seule fois elle n’a été prendre une douche. Malheureusement, la vie ou le destin a quand même frappé. Les médecins disaient que j'étais trop petite, que je ne survivrai pas. Et nous avons fait, un mois après notre naissance, une hémorragie cérébrale. Pas grave pour moi mais concernant ma sœur, le pronostic des médecins était mauvais : elle ne marcherait, parlerait jamais, ne serait jamais autonome. La nouvelle a détruit nos parents mais ils ont décidés de se battre, chaque jour ils nous faisaient faire des exercices pour nous entraîner, nous éveiller comme nos futurs restaient quand même assez incertains.
Je me souviens que ma sœur ne marchait pas. Elle rampait. Elle apprendra à quatre ans. En maternelle, ça a été compliqué. Je crois que déjà à cet âge-là je voyais sa différence, qu'elle n'était pas comme les autres enfants. Mais je ne savais pas pourquoi. Le mot handicap, je ne le comprenais pas. Je ne le comprendrais pas pendant des années, je n'en prendrais pas conscience.
Contrairement à ce que les médecins ont prédit, ma sœur est à peu près autonome, elle marche, parle, elle est juste plus lente dans sa motricité. Mais je suis une enfant bête et méchante. Je ne comprends pas, je n’arrive pas à saisir pourquoi elle est ainsi. Pourquoi elle n’est pas comme moi.
Notre enfance était marquée par les rendez-vous médicaux en tout genre, orthoptiste, orthophoniste, kiné etc... Les opérations aussi, pour elle. J'ai été méchante avec elle, parce que sa lenteur m'exaspérait. Quand mes parents me disaient que c'était normal, parce qu'elle était handicapée, cela ne m'atteignait pas parce que je ne comprenais pas. Handicapée? Qu’est-ce que c’était? Elle avait un problème au cerveau? Et alors, à quoi ça sert le cerveau?
Nous avons toujours été avec les mêmes personnes de la maternelle à la primaire, mais, au collège nous avons déménagé. Mes parents ne voulaient pas que nous restions là où nous habitions, et la recherche d'une maison ainsi que d'un collège a été compliquée. Il fallait une maison accessible, avec une chambre et une salle de bain au rez-de-chaussée, ainsi qu'un collège avec un ascenseur. Nous avons visités trois ou quatre collèges. Seul un avait un ascenseur. UN. Quand aux maisons, en trouver une accessible c’est le parcours du combattant quand on ne veut pas faire construire.
La rentrée en sixième a été d'une violence inouïe. Pour elle. Parce que les autres élèves ont remarqués son handicap. Ont commencés à l'insulter parce qu'elle ne marchait pas droit. Elle a été insultée de tous les noms. Je la défendais, mais comme j'étais aussi stupide, je n'aimais pas qu'elle soit tout le temps avec moi, qu'elle me vole tous les amis que je me faisais. Mais je la défendais quand même, une part de moi ne supportait pas cette injustice dont elle était la cible. Elle ne voulait pas que je dénonce ses agresseurs et agresseuses.
La vérité, c'est qu'elle avait sans doute peur, et honte de son handicap. Quand on est jeune, surtout à cet âge-là, on a pas confiance en soit. Je sais maintenant que cela a dû être tellement dur pour elle. Et cela s'est manifesté par son comportement à la maison. Entre nous c'était entre indifférence et haine. Je l'aimais au fond, c'était ma sœur, mais je ne la supportais pas, je ne supportais pas ses crises, ses cris. Elle était comme le vase plein, qu'une goutte d'eau suffisait à faire déborder, mais en permanence. Normal, vu sa vie, vu toutes les difficultés auxquelles elle devait faire face.
J'ai eu honte, je me suis sentie coupable. Que je ne sois pas handicapée à sa place, j'étais persuadée que j'aurais été plus fort qu'elle (spoiler alert : non jamais je n’aurais pu l’être.). Je maudissais cette vie, le destin. Je me détestais de pouvoir faire des activités qu'elle ne pouvait pas pratiquer, la danse, l'équitation. Je me détestais tout en mesurant ma chance, et la sienne, parce qu’au fond, son handicap n’était que moteur. Pas mental. Et tous les mois j’allais à des séances de thérapies avec d’autres frères et soeurs de personnes handicapées où je me rendais compte que finalement, j’avais de la chance de l’avoir.
Beaucoup de personnes ne respectent pas les personnes handicapées, ou se permettent de les juger en leur disant que ce n’est rien, qu’ils n’ont rien. Cela me mettait hors de moi qu'on ne respecte pas son handicap, même quand on présentait sa carte handicapée, elle ne disait rien, au contraire, elle nous demandait d'arrêter de nous battre, parce qu'elle avait honte. Elle voulait qu’on se taise. Une personne handicapée a des droits. Des droits que beaucoup bafouent (big up à ce prof de physique chimie qui lui a carrément refusé un tiers-temps lors d'un contrôle parce que cela ne l'arrangeait pas et qui a envoyé chier mes parents lorsqu'ils le lui ont fait remarquer).
Être handicapé, c'est un combat de tous les jours. Parce que les trottoirs ne sont pas adaptés, parce que les escaliers ne sont pas adaptés. RIEN n'est adapté. On ne le voit même pas lorsqu'on est pas concerné. On le voit lorsqu'on a à nos côtés une personne qui trébuche à cause d'un trottoir inégal, qui ne peut même pas descendre d'un trottoir parce qu'il est trop haut. Une personne qui a besoin de s’accrocher à nous à cause d’une pente, d’une montée que seule, elle ne pourrait pas franchir.
Malgré son manque de confiance en elle qui l'a rongée littéralement, elle a réussi à avoir son bac. Elle a pleuré ce jour-là. Je trouvais cela stupide qu'elle pleure, parce que je n'avais pas réalisé à quel point elle avait eu peur de ne pas l'avoir, justement à cause de ce manque de confiance en elle.
Ensuite, les choses ont changés. Physiquement. Elle faisait de plus en plus d'entorses à la cheville, la même, en permanence. Pendant des années, elle avait porté des semelles spéciales. Elle avait détesté ça. Mais elle l'avait fait parce qu'elle n'avais pas le choix, parce que c'était le seul moyen pour elle que la situation ne se dégrade pas.
Les médecins lui ont proposés de l'opérer pour lui redresser les pieds (ils rentraient vers l'intérieur). Elle a refusé malgré la promesse que sa marche serait plus facile à l'avenir. Cela ne prendrait que six mois. Le reste de notre famille avons fait le forcing. Fini les entorses, fini le boitillement. Elle a fini par accepter.
TW warning : opérations, hôpital, détails des opérations.
Elle a donc été opérée avant son entrée en L2 d'anglais. Les médecins lui ont coupés les deux fémurs, les deux tibias pour lui mettre des plaques et des vis. L'opération a duré plusieurs heures. C'est à ce moment-là dans notre vie, que j'ai pris conscience de mes actes par le passé, de combien j'avais été bête. A ce moment-là que j'ai pu apercevoir la souffrance qu'elle avait du ressentir, la souffrance qu'elle avait exprimée par son comportement.
Lorsqu'elle s'est réveillée de l'opération, en plus de la douleur physique, on a découvert qu'elle était allergique à la morphine, ce qui causait d'autant plus de vomissement. Et puis, pour elle, l'opération c'était être alitée, incapable de se lever pour se lever ou aller aux toilettes. Pour une jeune femme de 19 ans, c'était un coup porté à sa féminité, à son estime.
Ma sœur mettra deux ans, ou trois à voir les améliorations de cette opération. Pas six mois comme on lui avait promis. Elle restera un an dans un centre de rééducation, suivant des cours à distance. Six mois après sa première opération, un de ses os cicatrisant mal on devra lui faire subir la même opération à nouveau, hospitalisation, immobilisation et la douleur, encore. Et échec scolaire.
Je me souviens des premiers mois, si durs. Des premiers retour à la maison. J'ai retrouvé cette sœur que je n'aimais pas, celle qui faisait des crises à la moindre contrariété. Celle qui pleurait, faisait pleurer nos parents. Mais cette fois-ci, elle a fait une dépression. Elle ne voulait plus vivre, plus se battre. Des anti-dépresseurs ont aidés mais c'est véritablement les années qui vont passer qui vont l'apaiser, tandis qu'elle va reprendre peu à peu possession de son corps.
Elle a regretté l'opération au début, tandis qu'elle réapprenait à marcher. Mais au final, elle a été bénéfique malgré le temps. Elle marche presque droit, ses pieds sont droits, fini les entorses. Mais la voir tout réapprendre à faire a été dur. On se sent si... incapables, impuissants.
La seule chose qu'on peut faire, c'est rester à côté, lui tenir la main, le bras. Lui faire savoir qu'on est là, si jamais. Toujours.
Le coup fatal viendra de la MDPH (Maison Départementales des Personnes Handicapées). Les personnes handicapées doivent renouveler leurs cartes tous les ans, remonter un dossier etc etc... Une année donc, le médecin s'occupant du dossier de ma sœur a décidé que, ma sœur n'était plus handicapée parce qu'elle avait été opérée. Quid de l'hémorragie cérébrale ? Quid du fait que sa motricité n'est quand même pas la même qu'une personne non handicapée ? Ses jambes ne sont pas les seules touchés, ses mains aussi, ses doigts. Ses pieds ont juste été redressés pour lui faciliter la marche.
Malgré les recours, rien n'a abouti. Mes parents ont décidés de se battre, comme ils l'ont toujours fait, sont allés jusqu'au procès. Nous avons dû témoigner sur notre honneur, que ce que nous racontions n’était pas un mensonge, qu’elle était bien handicapée et que malgré son opération, elle serait toujours incapable de faire des choses comme du ski, de la danse etc... Qu’elle aurait toujours plus de difficulté pour se déplacer, faire ses courses. Nous avons été écoutés, mais pas entendus. Ma sœur n'est plus reconnue comme une personne handicapée depuis lors. Suite au procès on a juste daigné lui accorder une carte coupe-file et une carte pour se garer sur les places prioritaires. C'est une honte. L’État français ne la considère plus comme une personne handicapée mais pourtant, elle doit quand même faire face à la discrimination tous les jours. Lorsqu'elle recherche du travail, on refuse de l'employer, si certains disent que son profil ne convient pas, d'autres (bonjour Sephora sur une avenue très célèbres de Paris dont on ne citera pas le nom) lui ont carrément dit qu'à cause de son handicap ils ne la prendraient pas. C'est non seulement illégal, mais d'une violence inouïe pour une femme qui se bat en permanence contre tout le monde.
Le handicap n'est pas un sujet de blague. Le handicap est une différence, mais les personnes handicapées n'ont pas besoin de s'entendre dire qu'elles sont différentes (vous ne savez pas quel est leur état mental, ni ce que cette phrase, si anodine en apparence, peut vouloir dire pour eux), nous sommes tous différents, nous sommes tous des êtres humains. Pas besoin de le faire remarquer à une personne en particulier c'est vexant et blessant.
Le handicap est perçu comme un tabou, une honte. Les personnes handicapées n'ont pas besoin de ça, certains ont déjà bien trop honte d'être un poids, un boulet pour leur famille et leurs proches, ils n'ont pas besoin que tout le monde autour d'eux le leur rappelle. Ils ne sont pas des poids, ni des boulets, c'est juste que la société n'est pas adaptée, et qu'il faut que cela change. Que les mentalités changent.
Ma sœur est la personne la plus courageuse que je connaisse, parce que malgré sa souffrance, les douleurs physiques et sans doute mentales qu'on lui a infligées, malgré les bas, elle a réussi à faire face. Elle a réussi à se construire une vie, avec beaucoup de détours parce qu'on lui a barré la route beaucoup de fois. Mais elle a réussi. Je pense qu’à ce jour encore, son combat n’est pas fini mais elle est en bonne voie pour s’accepter pleinement. De toute façon, ce n’est pas comme si elle avait le choix.
Je suis fière d’elle, malgré tout ce qu’il y a eu entre nous. Fière qu’elle soit ma sœur parce qu’elle est forte, courageuse, déterminée. Sa vie, son combat, c’est un modèle, un exemple, malgré ce qu’elle a enduré, malgré les moments de faiblesse et de doute, elle n’a pas lâché. La route sera encore longue pour elle, mais ces derniers temps, elle commence à parler, parce qu’elle en a assez de se taire, et parler lui fait du bien, tout comme il permet de faire connaître sa vie quotidienne, son combat quotidien.
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Fantique de muffins
Chapitre 9
Capitaine Syverson X OFC Billie Morgan
Résumé : Le mariage de Luke et Jane arrive finalement, l'attirance de Billie et James atteint son paroxysme!
Avertissement : 18 ans et + Smut!
Langage des signes en italique.
Lundi matin très tôt, Sy levait des montagnes d’aciers avec ses jambes. Comme presque chaque jour, il s’entraînait au gym du poste de police.
Ses écouteurs crachaient du vieux rock dans ses oreilles. Morgan venait de le rejoindre son œil était toujours violacé mais il avait dégonflé un peu. Sy baissa ses écouteurs.
-Hey mec ...comment ça va?
Morgan ajusta la machine côté de lui.
-J’ai juste hâte que la semaine soit fini! Jane est en train de me rendre complètement fou!
Sy se mit à rire.
-Je te jure! On dirait que je ne reconnais plus ma copine, elle s’est transformée en monstre!
-Les femmes deviennent toutes folles à l’approche du mariage. Faith était pareille.
-Faith?
-Mon ex-femme. Mes frères ont tous dit la même chose. Heureusement ça va passer! Tu n’y penseras plus à ta nuit de noce.
-Si je m’en sors vivant! Je croyais que Bill était une tornade, Jane est bien pire.
Sy demanda subtilement.
-Comment elle va, Billie?
Luke s’arrêta et le fixa de son regard intense.
-Pourquoi tu veux savoir ça? Ma sœur t’intéresse?
Sy haussa les épaules. Bien sûr qu’elle l’intéressait, mais ça ne serait pas avec lui qu’il en discuterait.
- Je voulais seulement prendre de ses nouvelles après la visite de Chris elle avait l’air plutôt sonnée.
-Elle est encore sous le choc mais c’est du passé. Je vais m’assurer que ça le demeure.
Il ajusta les poids sur le rameur et prit place.
-Qu’est ce qui s’est passé. J’ai cru comprendre que la surdité de Billie le dérangeait?
Luke plissa des yeux en le jugeant avant de répondre.
- Chris a été son premier grand amour, ils ont été ensemble pendant 5 ans. Son handicap ne le dérangeait pas. Il avait même appris la langue de signe pour elle. Jusqu’à ce qu’il réalise 2 mois avant leur mariage que Billie ne pourrait jamais entendre leur bébé pleurer.
Sy fronça les sourcils.
-Il n’y avait pas penser avant?
Luke haussa les épaules.
-Je ne sais pas. Tous ce que je sais c’est que Billie est revenu à la maison après un voyage dans sa famille, absolument démolie. Le rêve de Chris d’avoir la parfaite petite épouse au foyer lui avait sauté au visage.
Sy sentit un élan de tendresse pour la jeune femme.
-Pourquoi elle ne pourrait pas être la parfaite épouse? Parce qu’elle est sourde? C’est ridicule!
Luke se mit à ramer tranquillement sur le rameur.
-Chris a été élevé dans la soie. La cuillère en argent dans la bouche. Il voulait la femme bibelot parfaite qui élève et éduque les enfants pendant qu’il faisait son boulot d’avocat. Être avec une personne sourde c’est différent.
-Pourquoi ? Billie a un travail comme tout le monde, des amis, des hobbies, je ne vois pas pourquoi se serait différent.
- Quand tu vas mieux la connaitre tu va-t’en rendre compte, elle fait d’énormes efforts pour que personne ne se rende compte qu'elle est sourde. C’est différent dans tous les aspects de la vie. Des choses aussi connes que parler au téléphone ou discuter en voiture, ce n’est pas possible. Tout est bien différent. Tu l’as entendu comme moi l’autre jour. Si elle ne fait pas de gros effort elle va finir par complètement arrêter de parler. J’adore ma sœur mais des fois c’est vraiment dur.
Sy avala une gorgé d’eau, il n’avait pas pensé à tout ça. Sa bite parlait toujours plus fort que tout le reste quand il s’agissait de Billie Morgan.
Dans le milieu de l’avant-midi, la jolie rousse entra dans le poste de police. Elle passa par la sécurité et le détecteur de métal, armée de son badge visiteur arriva près de son frère. Elle tenait un sac de nourriture et une housse à vêtements. Elle ne s’était pas maquillée et portait un jeans et un sweat noir extra grand. Elle fit un petit sourire à Sy dans son bureau vitré. Elle donna son dîner à Luke. Le poste de police était pratiquement désert.
-Une salade? Tu te fou de ma gueule? Elle haussa les épaules.
-Les ordres de madame la mariée! Luke passa les mains dans ses cheveux.
-Elle va me rendre dingue!
-Courage ! Elle veut que tu chois parfait pour votre grand chour. Déjà que chu vas avoir un beau cocard sur les photos…
Elle s’assit sur la chaise près de son bureau.
-Vous en êtes rendu où? Tas l’air épuisée?
Billie hocha la tête.
-La maison est nickel, les décorations sont presque fini. Mais …Prendre une semaine de vacances c’était la pire chose à faire! Jane est tyrannique! La maison est pleine de monde, bientôt tout tes vieux potes vos être là pour votre soirée.
--Super! Tu t’es sauvée?
-Oui, je chuis passé chez le tailleur récupéré ton habit. Tu peux l’essayer s’il te plaît? Edward voulait savoir si la taille était correcte.
--Maintenant? Ici?
-Oui ch’il te plaît, je dois le rapporter chi quelque chose cloche.
Il avala sa bouchée.
-Ok. Il prit la housse et se dirigea vers la salle de bain.
Billie en profita pour aller voir Sy, elle cogna timidement sur le cadre de sa porte ouverte. Son regard s’illumina et il lui fit signe d’entrer même s’il était au téléphone. Elle posa les fesses sur l’accoudoir de la chaise devant son bureau et regarda les photos accrocher à son mur. Il y avait une belle photo de famille. Les cinq frères Syverson, ils avaient tous la même silhouette musclée. Les mains dans sa poche de sweat elle essayait de se réchauffer. Le vent soufflait fort aujourd’hui et il faisait un froid de canard.
Sy la regarda à la dérobée, elle avait l’air encore plus jeune que ses 27 ans aujourd’hui avec son grand chandail qui appartenait sûrement à Luke et ses jeans trouée.
-Oui… je vous tiens au courant. Bye. Il raccrocha et attendit un instant qu’elle le regarde.
-Oh Bonjour Capitaine!
-Bonjour, qu’est ce qui me vaut le plaisir de te voir dans mon bureau aujourd’hui?
Ses yeux verts trahissaient sa fatigue. Les cernes sous ses yeux étaient violets.
-Tu sais que je t’avais dit que je parlais à des amis dans l’immobilier? Elle sortit une petite carte de sa poche. Mon ami Kevin à peut-être quelque chose qui pourrait t’intéresser. Une jolie maison avec une grande cour et des arbres près d’ici. Elle est pas aussi grande que la nôtre mais elle à l’air vraiment bien.
Sy haussa les sourcils et prit la carte.
-Vraiment? Fantastique! Je te dois un dîner. Elle sourit en se frottant le nez.
-Si on commençait par ce stupide mariage avant? Sy se mit à rire, avec elle il avait le rire facile.
-D’accord...Je crois que le marié est prêt…
Billie se retourna vers son frère et ses yeux se remplirent de larmes instantanément. Il était absolument sublime dans son habit noir 3 pièces coupé sur mesure pour lui. Il avait même mis la cravate assortie.
-Non non Elizabeth Rose Morgan tu ne vas pas te mettre à pleurer.
Il avait les yeux aussi mouillés qu’elle.
-Tu … beau! Elle essuyant les larmes de ses yeux. Papa et maman seraient tellement fiers de toi!
-Arrête ... Il ouvrit les bras et elle se jeta dedans.
Même Sy était ému. Les jumeaux Morgan s’étaient fait une place dans sa vie chacun à leur manière. Luke comme ami et Billie comme la femme qu’il souhaitait ardemment conquérir.
Luke la repoussa bien vite en chassant une larme de son pouce.
-Alors tu en pense quoi?
Elle respira à fond et fit le tour de son frère en l’inspectant des pieds à la tête.
-Enlève la veste. Il s’exécuta et la lança sur son épaule tel un mannequin. Elle s’assura que la taille était correcte et la longueur des pantalons était bonne. Elle prit quelques photos.
-Je vais les envoyer à Edward. Il voulait voir ton joli petit cul dans les pantalons qu’il a fait spécialement pour toi. Elle reprit avec un air sérieux pince sans rire. Ouais t’es pas trop moche. Jane devrait sûrement dire oui.
-Aller monsieur le marié va te changer avant que le téléphone sonne.
-Oui capitaine.
Luke retourna se changer.
-Et toi, monsieur mon cavalier as-tu trouver quelque chose de décent à porter?
-Ouais, j’ai trouvé quelque chose de convenable pour accompagner ma sublime cavalière. Tu vas toujours porter cette jolie chose bleu foncé?
Elle hocha la tête.
À vrai dire, il avait galéré comme un malade pour trouver un habit parfait pour sa taille de colosse. Il ne voulait surtout pas avoir l’air con à son bras.
Le téléphone de Billie se mit à vibrer et à clignoter comme un arbre de Noël.
-Désolée. Oui maîtresse? Dit-elle en ouvrant la conversation vidéo. Jane hurlait dans l’appareil.
-Où est ce que tu es bordel? Tu étais supposé revenir il y a 45 minutes!
Elle sortit du bureau de Sy en lui faisant un petit signe de la main.
-Bye.
-Je suis au bureau de Luke. Son habit est parfait. La jeune fiancée passa de la colère aux larmes de joie.
-Vraiment?
-Oui ne t’inquiète pas il va être beau comme un cœur.
-A part ce foutu œil au beurre noir!
-Ça lui donne un côté bad Boy sexy arrête de t’en faire. Photoshop est là pour ça!
-Tu es tellement une bonne amie! Je te revaudrais ça à ton mariage!
Billie se mit à rire.
-Jamais de la vie. J’arrive bientôt. Elle raccrocha.
Luke lui redonna son habit dans la housse.
-Alors vous avez prévu quoi comme fête d’enterrement de vie de fille?
-Une soirée au club de stripteaseurs je crois bien, Sarah et Marina se sont occupés de cette soirée. Je dois y aller avant que ta chère future rameute le SWAT pour me ramener.
-Tu vas aller aux stripteaseurs?
-Jamais de la vie!
Le grand jour arriva enfin. Debout aux petites heures du matin, Billie veilla à ce que tout soit fin prêt. Le marié jouait au golf avec ses amis pendant que la mariée se faisait coiffée et chouchouter par l’équipe beauté qui avait été engagé pour l’occasion.
La réception aurait lieu dans un magnifique parc derrière l’hôtel où aurait lieu la cérémonie. Tout était absolument parfait.
Billie avait très hâte que tout soit fini. Entre le dîner de réception, l’arrivée des nombreux invités, le stress de la mariée, elle était sur les rotules mais elle devait tenir.
On lui fit un sublime chignon et de jolis petits diamants dans ses cheveux rouges. Elle enfila sa robe cette fois-ci elle avait prévu des caches mamelons pour cacher un peu sa féminité.
Tout était parfait la cérémonie pouvait avoir lieu comme prévu. Les invités prirent place pour la cérémonie. Billie se tenait dans le fond de la salle, elle devait attendre Luke. Elle avait convenu avec Sy de se rejoindre après la cérémonie étant donné que Billie était demoiselle d’honneur et serait à l'avant. Billie était nerveuse d’être devant tous ses gens, heureusement ce n’était pas elle la mariée.
Elle faisait les 100 pas nerveusement en attendant, elle marcha la tête penchée. Elle buta sur un invité qui se tenait devant elle.
-Pardon.
L’homme ne bougea pas. Elle releva la tête et tomba sur le sourire en coin de Sy.
-Bonjour mademoiselle Morgan.
Il était renversant, il avait choisi un superbe costume 3 pièces gris perle coupé parfaitement pour son corps musclé. Il l’avait agencé avec une chemise blanche et avait rajouter un détail qui toucha Billie. Sa cravate et son mouchoir de poche était bleu nuit exactement comme sa robe. Ses yeux bleus brillaient de joie. Billie le trouvait magnifique, il avait fait tailler sa barbe et ses cheveux. Il s'était donné beaucoup de mal pour être beau pour elle. Ses yeux verts lui disait qu'il avait eu raison.
-Bonjour Monsieur Syverson. Elle était très heureuse de le voir et lui fit la bise pour la première fois. Sy se prêta au jeu avec joie et effleura sa joue de sa barbe bien taillée.
-Allez va t’assoir, dit-elle en le poussant un peu. Ça va bientôt commencer.
Cinq minutes plus tard, Luke arriva nerveux et excité à la fois.
-Tu es parfait Lulu. Jane va t’adorer.
Luke souffla longuement.
-Je t’aime petite sœur.
Il posa son front sur le sien. Il prit son bras. C’était convenu depuis le début que Billie accompagnerait son jumeau jusqu’à l’hôtel.
-Tu es prêt?
-Non. Allons-y.
La musique résonna dans la salle de réception et Luke se mit en marche en tenant sa sœur par la main.
Devant l’hôtel Billie sourit à son frère.
-Je suis fière de toi mon petit frère. Je t’aime.
Quelques personnes versèrent une larme, Billie et Luke étaient très touchant ensemble.
Puis la mariée fit son entrée. Jane était éblouissante dans sa longue robe blanc crème de dentelle. Sa silhouette de sirène était parfaite. Luke ne put s’empêcher de verser quelques larmes.
La cérémonie fut parfaite et émouvante. Luke prit Jane pour tendre épouse et l’embrassa avec joie. La réception avait lieu dans le jardin derrière l’hôtel. Billie retrouva facilement Sy au travers des invités et il ne lâcha pas son bras de toute la soirée.
Il était prévenant avec elle s’assurant qu’elle avait toujours un verre frais à la main. Il faisait une chaleur de folie pour un premier juin.
-Tu veux qu’on aille dehors tu dois avoir chaud avec ton habit?
Sy avait le front en sueur. Il hocha la tête.
-Oui. Si tu veux bien m’accompagner.
Il prenait son rôle de cavalier à cœur. Pas un seul homme n’osait l’approcher et elle en était très contente. Elle ne voulait que celui qui la tenait délicatement par la taille pour ce soir.
Les invités commençaient à danser sur la piste de danse. Rendu hors de la tente surchauffée, Sy ouvrit son veston, dénoua sa cravate et deux boutons de chemise.
-Ça me surprend, tu ne danse pas? Je croyais que tu adorais danser.
-Je ne suis pas terrible pour la danse de salon. Je suis un peu gênée devant tout ce monde.
-Danse avec moi. Il lui tendit la main. Ils venaient de rejoindre une petite terrasse déserte éclairé par une guirlande de petites lumières. Surprise elle s’arrêta de marcher.
-Tu es sûr? Tu veux danser ici?
-Oui! On est à un mariage, il faut danser! Danse avec moi Billie, je ne danse pas aussi bien que Luke mais je me débrouille. Il n’y a personne ici tu n’as pas à être gênée avec moi.
Billie se mordit la lèvre et accepta.
La noirceur commençait à descendre doucement. Il lui tendit la main et elle la prit. Il l’attira à lui, elle posa l’autre main sur son épaule.
Sy posa la main dans le creux de son dos et l’attira doucement à lui plus encore. Leurs corps se touchaient, Billie se sentait bien contre lui, la chaleur de son corps se diffusait au travers de son habit, la protégeant du froid de ce début de soirée.
Sy caressa son dos du bout de ses doigts un peu rugueux. Billie se lova encore plus dans ses bras, un petit gémissement de plaisir lui échappa. Sy sourit, il caressa sa joue et elle releva la tête vers lui. Ses yeux verts brillaient différemment, sa petite main vint caresser sa nuque se pressant encore plus contre lui. Sy n’hésita qu’un instant et posa ses lèvres sur sa belle bouche pulpeuse.
Au premier contact, se fut électrique des ondes de plaisir parcoururent le petit corps de la jeune femme. Billie ferma les yeux de plaisir, Sy envahit sa bouche sans résistance sa langue caressa la sienne avec une passion longtemps refoulée. Il mordilla sa lèvre lui arrachant un soupir. Ses mains sur ses joues jouaient dans ses cheveux et caressaient sa mâchoire. Il traça du bout des doigts le contour de ses oreilles.
La jeune femme fondait littéralement dans ses bras, elle gémissait et grognait dans sa bouche. Elle suça sa lèvre, caressant de sa langue la sienne, ses dents claquaient sur les siennes. Elle sentait le grondement dans son torse alors qu’elle se frottait contre lui, un bras contre sa taille et l’autre autour de son cou. Elle pouvait clairement sentir l’excitation dans son pantalon aussi grande que la sienne.
Puis en un instant il était loin d’elle, elle le regardait sans comprendre à bout de souffle. Il s’essuya le rouge à lèvre sur sa bouche.
-Luke te cherche… Il arrive.
Elle n’eut que le temps se reprendre en main avant de sentir la présence de son frère dans son dos.
-C’est ici que vous être? Qu’est-ce que vous foutez ici?
-Il fait une chaleur d’enfer sous la tente. Nous avions besoin d’air frais.
Luke les regarda successivement heureusement il avait trop bu pour remarquer le rouge sur les joues de Billie et le souffle court de Sy.
-Viens petite sœur, ma femme veut danser avec sa demoiselle d’honneur. Il lui prit la main et l’emmena avec lui. Elle n’eut que le temps de faire un petit sourire à Sy avait de partir vers la tente. Sy lui retourna son sourire. Il toucha ses lèvres qui pétillaient de son contact électrisant.
La soirée battait son plein, Billie avait avalé bien plus de champagne qu’elle n’aurait du mais ça lui était égale. Elle dansait avec plaisir et s’amusait follement. Elle sentait toujours le regard ardent de Sy sur elle et quelque part cela la rassurait. Après quelques danses Billie retourna s’assoir près de lui. Elle tituba légèrement et s’appuya sur son épaule pour ne pas lui tomber dessus.
-On dirait que tu as bu une coupe de champagne de trop toi…
Billie se mit à rire, un petit sourire en coin flottait sur les lèvres de Sy tandis qu’il regardait les danseurs évoluer sur la piste de danse.
-Non… peut- être…
Il se retourna franchement vers elle.
-Tu t’amuse? Elle hocha la tête.
- Oui beaucoup. Merci de m’avoir accompagné. C’est gentil de ta part d’être venu avec moi.
Sy sourit. Billie bu le verre d’eau qu’il lui tendait. Ils regardèrent les danseurs pendant quelques minutes. Billie avait un peu froid, elle frissonna et se colla sur Sy, il irradiait de chaleur.
Sans même sans rendre compte, elle mit la main sur le tronc d’arbre qui lui servait de cuisse sous la table.
Sy ne bougeait pas pendant un instant quand il sentit la petite main sur sa cuisse. Elle la retira quand un invité s’approcha de leur table et discuta un instant avec Billie. La petite main reprit sa place sur sa cuisse et Sy ne pu s’empêcher de soupirer de soulagement.
Enhardie par le manque de réaction négative de Sy, Billie fit remonter sa main lentement de l’intérieur de sa cuisse, elle sentait un renflement dans son pantalon quand Sy saisit son poignet brusquement. Il murmura :
-Qu’est-ce que tu fais?
-J’ai froid, je cherche la chaleur.
Le regard de Sy était brulant, il se mordit la lèvre. Il retira son veston et le mit sur ses épaules.
- Merci
-De rien. Docilement, elle garda sa main sur ses propres cuisses pendant un instant mais elle avait d’autres idées en tête. Timidement elle reposa la main sur la cuisse de Sy.
-Tu as encore froid? Elle hocha la tête. Alors remet-là à la chaleur… Il posa sa grande main sur la sienne et la fit remonter vers l’intérieur de sa cuisse. Billie effleura la bosse dans son pantalon, Sy frissonna sous son contact délicat, il ferma les yeux un instant.
-Depuis combien de temps personne n’a toucher ceci, dit-elle en tapotant l’énorme bosse dans le pantalon de costume de Sy. Un intense frisson le parcouru. Dieu que c’était bon, cette petite main sur lui!
-Trop longtemps.
-On devrait faire quelque chose pour ça.
- Qu’est-ce que tu veux dire? Elle haussa les sourcils et se mordit la lèvre de façon suggestive.
-Viens avec moi dans le jardin…
Il hésita un instant mais l’envie de soulager la tension qu'elle créait en lui depuis des semaines fut plus forte.
-Je te rejoint dans une minute….
Aussitôt arriver sous le couvert des arbres, Billie s’attaqua à son pantalon de ses mains fébrile, Sy se colla contre elle, embrassant son cou cherchant sa peau de ses mains, sa bouche chercha la sienne fébrilement. Sa langue caressa la sienne, son souffle se mélangeant au sien. Leurs dents claquaient ensemble. Sy était affamé de sa peau, de son goût sucrée.
Elle sortit son énorme verge de son pantalon et se mit à rire nerveusement. Sy la regarda. Il ne faisait pas cet effet d’habitude. C’était presque insultant.
-Pourquoi tu ris?
-C’est pas humain une grosseur pareille!
-Arrête de rire et mets ta main dessus s’il te plaît.
Elle le caressa de tout son long elle faisait à peine le tour. Sy soupira et appuya la joue sur sa tête. Elle sentait ses veines palpiter dans sa main. Il caressait doucement ses seins au travers de la soie de sa robe. Ses mamelons pointaient vers lui. Elle ne portait pas de culotte...
L’urgence de le sentir au fond de son ventre prit le dessus sur tout le reste.
-Baise-moi Sy…
Il ne se fit pas prier. Il prit ses fesses dans ses mains et la souleva facilement. Il l’appuya contre un arbre, la maintenant en équilibre sur son bassin. Elle saisit sa verge et la frotta sur sa fente trempée.
-Fuck, tu es tellement mouillée. Billie frissonna de plaisir la main accrocher à son épaule. Elle le guida vers son entrée intime et lui donna un coup de bassin en l’invitant à entrer. Ce qu’il fit.
-Merde ce que tu es immense!
Il n’avait que le gland d’entré et Billie se sentait déjà étirée, chaque centimètre de son vagin s’étirait pour laisser passer l’envahisseur qui faisait son chemin lentement.
Sy soupirait et grognait dans son oreille. Bien au fond, il lui laissa une petite minute pour s’habituer à lui en lui donnant des baisers dans le cou. Il lui donna quelques coups de nez sur son front pour qu’elle le regarde. Ses yeux luisaient de désir.
-Ça va ? Tu es tellement serrée. Je ne te fais pas mal?
Elle secoua la tête.
-Non c’est bon ça va.
Elle mit les mains sur sa nuque et bougea le bassin contre lui. Elle était chaude, douce et trempée autour de lui. Il se remit à l’embrasser pénétrant autant sa bouche que sa chatte.
Sy le sentait qu’il ne tiendra pas longtemps mais il voulait lui faire plaisir avant. Il la déposa au sol et se retira de son vagin si doux.
-Qu’est-ce que tu fais?
Il s’agenouilla devant elle.
-Je ne tiendrais pas longtemps… je veux te faire jouir avant… il souleva sa robe et passa une de ses cuisses sur son épaule. Elle n’avait pas trop compris jusqu’à ce qu’elle sente son souffle chaud sur sa chatte.
Elle gémit longuement quand il passa le plat de sa langue sur toute la longueur de sa fente trempée.
-Putain de merde!
Un grognement vibrant sur sa chatte lui répondit.
Il la dévora comme si elle était le meilleur dessert au monde, léchant et aspirant chaque goûte de son jus. Le bout de sa langue vibrait frénétiquement que son clitoris engorgé, elle était déjà au bord de l’extase. Elle murmura.
-Mets un doigt…
Il plongea son majeur au fond de sa caverne et toucha le petit point rond qui s’y cachait.
Billie cria presque. Les mains cramponnées à ses cheveux complément indifférente aux curieux qui pouvait les entendre.
-Fuck…. Je … vais…
L’orgasme fulgurant la surprit elle-même la laissant tout tremblante. Elle n’arrivait pas à tenir debout. Sy la soutint et l’étendit sur la pelouse douce. Elle respirait rapidement encore sous le choc, les yeux fermés. Sy lui donna des baisers sur le visage et inséra doucement son pénis douloureusement dur en elle. Elle était encore plus étroite et chaude.
-Fuck…. Elle bougea le bassin contre lui les yeux maintenant grand ouvert.
Elle enroula les jambes autour de lui et le serra dans ses bras, enfouissait son visage dans son cou.
-Baise-moi fort. … Il n’en fallait pas plus pour que Sy se déchaîne. Il la baisa si fort qu’elle sentait son gland cogner contre son utérus. Ça faisait mal mais c’était tellement bon en même temps.
Pour la première fois de sa vie, Billie sentait des coins de son vagin qu’elle n’avait jamais senti avant. Sy frottait partout en elle et c’était absolument délirant. Elle jouit pour la deuxième fois très fort. Ses muscles intimes massaient la verge de Sy qui glissa dans la jouissance. Elle le sentit grossir et durcir encore plus.
-Fuck..
-Sort de là!
Il sortit in extremis pour exploser sur sa cuisse satinée. Les gouttes de sueur perlaient sur son front alors qui se reposa sur un coude. Billie respirait rapidement, Sy passa une main chaude sur son ventre et lui donna un baiser sur l’épaule. Billie regardait les étoiles entres les branches de l’arbre. Elle retourna la tête pour le regarder.
-Ça va?
-Oui. Je pense qu’on devrait retourner à la fête.
-Oui… Il prit son mouchoir de poche et essuya sa cuisse. Allons-y.
La soirée battit son plein jusqu’à tard dans la nuit. Billie dansa avec Jane puis Sy l’invita à danser une nouvelle fois. Il n’était certes pas le meilleur danseur mais ils avaient du plaisir.
Vers 4h matin, Billie n’en pouvait plus, elle était littéralement vidée. Elle étouffa un bâillement qui n’échappa pas à Sy.
-Tu as l’air épuisée. Tu veux que je te raccompagne?
-Oui s’il te plaît.
Ils dirent bonne nuit au marié et prirent le chemin de la maison de Billie à bord du camion de Sy. Il n’eut même pas le temps de sortir du stationnement que Billie dormait déjà pelotonner dans son siège la tête sur la console centrale. Il la couvrit de son veston.
-Dors petite fée.
Il se stationna devant leur maison et fit le tour de son camion et ouvrit la portière. Il devait la réveillée. Il lui secoua doucement l’épaule et elle se mit à gémir.
-Non… s’il vous plaît... non. Rien …. fait… Jane…
Elle faisait un cauchemar. Il la secoua plus fort en espérant la réveiller.
- Merde, Billie ma belle réveille toi.
-Non! Non!!! Je veux pas mourir! Elle ouvrit les yeux subitement et le regarda. Elle était terrorisée! Sa respiration affolée s’emballa.
-C’est moi ma belle. Elle le repoussa et toucha sa bouche. Elle reprit pied dans la réalité lentement et regarda autour d’elle.
- J’ai fait un cauchemar…
-Tu vas bien?
-Quoi? Il alluma le plafonnier.
-Tu vas bien? Elle cligna des yeux, un peu perdue.
-Oui. Ça va maintenant. J’ai rêvé à Jones… quand je me suis réveillé tu étais là comme au chalet…
-Tu fais souvent des cauchemars? Elle hocha doucement la tête. Il lui donna un doux baiser sur le front. Tu as parlé à quelqu’un de tes cauchemars ? Un professionnel?
Elle secoua la tête.
-Non. Je pensais que ça passerait tout seul. Il pressa sa main dans la sienne.
-Tu fais un choc post-traumatique ma belle. Tu devrais vraiment parler à quelqu’un. Ça te ferait du bien.
Une autre voiture se gara derrière Sy et deux femmes en sortirent. Une jeune femme tituba et tomba sur la pelouse en riant. L’autre essaya de la relever mais peine perdu.
-Je crois bien que ma cousine Annie à besoin d’aide, je dois y aller.
Il ne lui répondit pas mais prit son visage entre ses grandes mains et l’embrassa une nouvelle fois profondément. Billie soupira contre lui. Il savait exactement comment l’embrasser pour qu’elle se transforme en jello dans ses bras. Il rompit leur baiser et se détacha d’elle.
-À la prochaine petite femme. Fais attention à toi.
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@mysterious-corvidae
A mon tour de présenter six de mes personnages actuel, je ne suis pas forcément très doué pour en parler. Je ne sais pas ce que vous allez penser de mes personnages, mais j’aime beaucoup le concept. Ce sont des avatars assez simple, j’aime la simplicité.
Il s’agit de Rafael, Leonardo, Valentina, Adelina, Claire (qui est un personnage de jeux vidéo), et enfin un futur personnage Edaline.
Rafael Adamo feat Arthur Darvill - City.
Rafael, c’est un trentenaire vivant à Naples en Italie, il faut savoir qu’il a des origines françaises, il va de temps en temps en France, il est bilingue. Il a perdu ses parents dans un accident de voir, c’était encore un enfant, d’ailleurs, il a eu du mal à passer son permis de conduire par la suite, même s’il a fini par le faire. Il faut savoir qu’il adore les livres, pour lui lire un livre, c’est un très bon loisir, ça lui permet de s’évader. Il a été à l’orphelinat jusqu’à sa majorité, il n’a jamais été adopté. Une fois qu’il a pris son indépendance, il s’est senti plus libre, il aimait s’amuser. Il a rencontré une femme de son âge, la première qu’il a aimé, mais il s’est rendu compte au fil du temps qu’elle le trompait. Cela lui a fichu un coup, il l’a quitté et s’est barré quelques temps en France. Il a fini par revenir à Naples et a ouvert sa propre librairie, il a rencontré Camilla, une jeune écrivaine prometteuse avec qui il va se lier d’amitié. Entre temps, il va découvrir le décès de son ex petite amie et qu’il a une fille, une sacrée surprise. Les premiers temps vont être compliqué, il va aussi développé une relation amoureuse avec Camilla qui aura des hauts et des bas, ils auront un fils Osvaldo et finalement ils vont habiter tous les quatre sous le même toit. La relation avec sa fille Elora s’est amélioré et il espère que ça va continuer.
Adelina Alma feat Louise Brealey - City
Adelina a toujours vécu à Naples, trentenaire, elle a toujours vu ses parents comme le couple parfait, mais une fois adulte, elle va découvrir que ce n’était qu’une façade, la pauvre va tomber de haut. Remontons un peu à son enfance, la pauvre quand elle était gamine avait des soucis au niveau de son poids, on se moquait d’elle, elle le vivait mal. Heureusement pour elle, un jour Celian, un garçon qui avait un an de plus qu’elle l’a défendu et elle s’est lié d’amitié avec lui. Elle n’avait pas beaucoup d’ami, mais elle l’avait lui. Puis au lycée, on l’a humilié on lui faisait croire quelque chose qui n’est pas vrai Celian l’avait averti, mais elle l’avait ignoré du coup, il l’a mal pris et il a fait la sourde oreille. Se sentant complètement délaissé, elle a fait la pire bêtise de sa vie et a tenté de mettre fin à ses jours. Heureusement Celian est arrivé à temps et elle s’en est sorti. Quand il a du partir à Londres, elle a beaucoup souffert, surtout qu’il a coupé les ponts avec elle. Avec les années, elle a décidé de s’en prendre en main, elle a notamment été dans un établissement pour perdre du poids et elle a réussi à atteindre son objectif. Elle n’a pas cherché à faire d’études et elle est devenue animatrice, elle qui adore les enfants. Puis avec les années, elle est devenue directrice d’un centre de loisirs. Il a fréquenté un type qui était extrêmement jaloux et qui a levé la main sur elle, elle a fini par le quitter, mais elle a jamais parlé de cette histoire. Elle avait tendance à s’inquiéter à cause de son horloge biologique, puis vingt ans après qui revient, Celian, son meilleur ami et au fond celui qu’elle a toujours aimé. Ils se sont rapprochés et ont fini par se mettre en couple, aujourd’hui, ils sont parents de jumeaux.
Leonardo Bellini feat Cole Sprouse - City
Leonardo est un trentenaire, oui j’en ai beaucoup des trentenaires, il vient d’une famille qui a mauvaise réputation, chaque membre a un talent particulier, lui c’est un hacker, même s’il ne s’en sert pas pour faire du mal. Il a un frère aîné et une petite sœur, d’ailleurs il est très proche d’elle. Il a été à l’école avec un certain Ruben Del Duca. Ce qu’il faut savoir c’est que les Del Duca et les Bellini sont des familles ennemis, donc autant dire que les deux ne peuvent pas s’encadrer. Leonardo de base n’est pas très sociable, il n’aime pas la foule même si ça s’améliore avec les années, il sait être drôle aussi. Puis un jour, une jeune femme du nom de Cassandra l’aborde, elle n’est autre que la petite sœur de Ruben. Apparemment elle voulait le connaître, même si c’était un Bellini, puis ils sont tombés amoureux, une espèce de Romeo et Juliette. Pendant cinq années, ils ont cachés leur relation, mais un jour ils ont été découvert. Leonardo lui a proposé de fuir Naples et d’aller vivre ailleurs. Alors qu’ils étaient sur la moto, ils ont eu une accident, ils découvriront qu’en fait c’était une tentative pour éliminer Leonardo, orchestré par les parents de Cassandra. Leonardo s’en sortira avec une jambe endommagé et sa petite amie finira dans la coma. Il sera horrifié de découvrir qu’elle est amnésique quand elle se réveillera pas. Cependant le destin n’est pas si cruel et ils se recroiseront petit à petit les sentiments referont surface et ils recommenceront leur histoire. Cassandra retrouvera même la mémoire. Ils n’ont plus à se cacher et ils ont eu une fille, petite anecdote, le pauvre Leonardo a même fait une couvade. Il espère que les ennuis sont loin cependant, il pense éventuellement à reprendre contact avec ses parents et son frère.
Valentina Basini feat Courtney Ford - City
Valentina, sans surprise une trentenaire, qui a toujours vécu à Naples. Enfant, on pouvait la considérer comme pourrie gâtée. Elle pouvait avoir tout ce qu’elle voulait et ne fréquentait que les les enfants de son rang quitte à repousser les autres. Puis vint l’adolescence, un soir, elle est sortie dans un bar et d’autres jeunes, ce sont dit que ce serait amusant de faire boire la gosse de riche. Ils ont réussi et puis elle s’est laissé séduire par un des gars à peine plus vieux qu’elle. Elle s’est réveillé le lendemain dans un lit inconnu et elle a vite pris la fuite. Quelques temps après, elle a découvert qu’elle était enceinte et quand ses parents l’ont su, ils n’ont pensé qu’à leur réputation. Vu qu’elle voulait garder l’enfant, ils l’ont renié et ils l’ont jeté à la rue. Tout ses soi disant amis lui ont tourné le dos, heureusement elle a pu compter sur quelques personnes, mais la vie a été dur. Elle a du arrêter le lycée, se trouver des petits boulots pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa fille. Valentina a appris ce que c’était la vie, sa fille, c’est ce qui compte le plus pour elle, elle ferait n’importe quoi pour elle. Valentina ne supporte plus les gens riches, elle se méfie, puis finalement après le décès de ses parents, elle fut surprise d’hériter de tout, cela incluait la maison familial. Aujourd’hui, elle ne manque plus de rien, elle fréquente même son voisin qui en réalité était un camarade de classe qu’elle avait ignoré à l’époque à cause de son rang social. La vie semble s’améliorer, mais voila que le père de sa fille débarque sans prévenir après vingt ans.
Claire Redfield feat Kristin Kreuk - crossover
Je pense que certains connaissent le personnage qui vient des jeux Resident Evil. Bah j’ai décidé de la jouer, pour résumé, c’est une survivante de Raccoon City, elle a combattu les armes biologiques au fil des années, comme son frère, même si de base, elle n’a pas rejoint la même organisation. Ces événements l’ont marqué, mais c’est une femme forte, elle veut juste avancer et ne pas vivre dans le passé. Suite à une lune rouge, elle se retrouver dans un nouveau monde, qu’elle ne connait pas. Elle devenu agent de police, mais elle espère passé lieutenant. Il ne semble pas avoir de menace terroriste ici, mais des choses étranges semblent s’y passer.
Edaline Elendil feat Lili Reinhart - elfe - Fantasy
Alors c’est particulier, car c’est un futur personnage que j’ai déjà joué par le passé, mais cette fois quelques modifications sont apportés. Edaline est une jeune elfe début vingtaine, dans sa famille, ils ont un élevage, ils s’occupent des animaux et c’est dans la famille depuis des générations. A l’âge de cinq ans, elle découvre son pouvoir de télékinésie orbing. Elle a un meilleur ami que l’ont va appelé Elwyn, d’ailleurs elle est aussi ami avec le jumeau de celui ci. Edaline, c’est une aventurière, elle est assez agile et il n’est pas rare qu’elle saute d’un arbre pour atterrir sur quelqu’un, son meilleur ami en fait les frais. Elle est amoureuse de lui, même si c’est un sans talent. Comme tous les elfes à l’âge de seize ans, elle répondre à des questions, la concernant, concernant sa famille, le but est de trouver les elfes avec qui elle sera bien assorti. Quand à dix huit ans, elle a les résultats, elle se rend compte que son meilleur ami n’est pas sur sa liste, mais par contre qu’elle est bien assorti avec le frère de celui ci. Il faut savoir que être avec un elfe avec qui on est mal assorti est assez mal vu. Edaline s’en fiche et les années suivantes, ça semble pas trop avoir des conséquences. Sauf qu’elle essaye de faire comprendre à son meilleur ami ce qu’elle ressent pour lui, mais ça ne marche pas et il choisi une autre elfe avec qui il est bien assorti. Elle en a le cœur brisé et un soir, elle prends la fuite, décidant de s’éloigner de chez elle pour oublier.
Voila je ne sais pas ce que vous penserez de mes personnages, peut être qu’ils sont banals ou pas, en tout cas moi, j’adore les jouer.
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(JAY B) INTERVIEW • Novembre 2015 | NYLON
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Tu as mentionné que tu avais été un rebelle ?
Avant que je ne sois un trainee, j’aimais danser. Je voulais être un danseur et je voulais être un b-boy. Avec les conseils des gens autour de moi, j’ai été à l’audition sans trop y croire et j’ai réussi à la passer et par chance, j’ai eu la première place. J’ai vécu en m’entrainant et plutôt que d’être reconnaissant, j’étais têtu dans le fait que je ne voulais pas être le stéréotype du performeur chanteur et danseur. J’ai aussi séché quelques cours de chant *rires*. Et ensuite, j’ai écouté un peu de musique et tout à coup, j’ai voulu devenir bon en chant. Je me suis regardé et j’ai réalisé que j’avais des lacunes dans plein de domaines. A partir de là, j’ai arrêté de danser et je me suis seulement concentré sur l'entraînement au chant.
C’était quelle musique ?
C’était Brown Sugar de D’Angelo. C’était le genre de musique qui s’est vraiment démarquée pour moi et être aussi bon en chant était quelque chose que je pensais impossible dès le début. Je voulais une voix “coulante” et séduisante comme ça.
C’est pour ça que tu es devenu moins rebelle ?
Ma personnalité n’est pas du genre à ne pas écouter les opinions et les pensées des autres personnes. S’il y a quelque chose que je veux, je suis du genre à devenir têtu. Jusqu’à ce que je sois un lycéen, j’étais vraiment irresponsable. Même si je n’ai pas encore fini de grandir, quand j’ai eu 20 ans et que je suis devenu un adulte, j’ai ressenti le besoin puissant de devenir plus responsable. Alors j’ai essayé de faire plus attention avec mes mots et mes actes. A notre compagnie, s’il y a des opinions qui divergent, je ne dis pas “Définitivement, je ne fais pas ça”, mais je partage mon avis d’une manière civilisée.
Est-ce que tu subis la déprime automnale ?
J’avais l’habitude de penser que non, mais quand les saisons passent de l’été à l’automne, je sens que je suis sensible à la chute des températures dans l’air. Je deviens distrait et je pense plus aussi. Parce que ce genre d’air est quelque chose qui arrive toujours une fois par an. Comme je respire cet air, je pense aux choses qui sont arrivées l’année précédente durant la même saison. Il y a des fois où je ressens comme un sentiment de nostalgie ou parfois je vais réfléchir. Mais ce n’est pas parce que c’est l’automne que je me sens seul.
Alors, tu es le genre qui aime manger ? Tu es du genre qui lit aussi ?
Pas seulement parce que c’est l’automne, mais j’aime les deux. J’aime la nourriture coréenne et chercher de bons restaurants coréens. Pour les livres… j’aime les fictions policières et les livres sur le développement personnel. J’en trouve des profonds.
Alors tu trouves les livres sur le développement personnel aidant ?
Honnêtement, je ne les trouve pas vraiment aidant *rires*. Même si vous ne pouvez pas devenir quelqu’un de remarquable juste en lisant des livres, après les avoir lu, c’est devenu un déclencheur pour moi de regarder ce que j’ai déjà fait.
Ça ne fait pas longtemps que ‘Just Right’ est sorti et maintenant vous êtes de retour avec ‘MAD’.
On a commencé à se préparer quand la promotion de ‘Just Right’ se terminait. On a enregistré en même temps qu’on s’exerçait sur la chorégraphie. Le concept de ‘Just Right’ était très clairement défini et le concept pour ‘If You Do’ est aussi très défini, alors on voulait rapidement montrer une image complètement différente.
Tu aimes être occupé ?
Ce n’est pas bon de trop se reposer. Ce n’est pas le fait de devenir angoissé quand on se repose, mais si on se repose trop, on abandonne nos pensées. Après s’être reposé, nous avons besoin de cette force conductrice pour se forcer à bouger. C’est pourquoi nous devons proprement trouver le juste milieu.
Est-ce qu’il y a quelque chose qui te fait “bouger” ?
Même si c’est quelque chose d’évident, c’est le souhait que beaucoup de gens écoutent et aiment notre musique. Même si c’est important que les gens aiment notre musique, comment je peux être capable de monter les choses est important aussi.
Qu’est-ce que tu fais quand tu te reposes ?
Quand j’ai du temps entre les mains, je m’entraîne à chanter et j'écris des chansons dans mon espace de travail. Parfois, je vais sur le bord de la Rivière Han et j’apprécie le vent ou parfois, je vais dans un café pour rencontrer un certain hyung qui, musicalement, me correspond, et on écoute de la musique tout en discutant. C’est tout.
Ce n’est pas le moment pour toi de sortir et de jouer autant que tu veux ?
En face de notre dortoir, il y a plein de clubs connus. Quand je vois des gens se rassembler en face de ces clubs le vendredi, il y a des fois où je veux aussi sortir et m’amuser tout seul. Cependant… je ne suis pas trop sûr. C’est la même chose pour jouer… il semble qu’on a besoin d’avoir des expériences variées pour n’avoir aucun regret, mais maintenant pour moi, faire de la musique et chanter est plus agréable et je suis plus à l’aise avec ça.
Ah oui, félicitations. Vous avez gagné la première place pour la première fois, n’est-ce pas ?
On était vraiment très heureux. J’ai pensé que je pourrais pleurer si on ne gagnait pas. Même si avoir la première place n’est pas important, ce n’est pas quelque chose qu’on peut exclure de nos envies de résultats. J’ai pensé que le sentiment que nous ressentirions en gagnant serait une compensation pour tout le dur travail fourni jusque là. Cependant, à ce moment-là on était tellement choqué, alors la chose qu’on pouvait faire était de dire merci. J’ai passé la journée entière dans les nuages mais quand j’ai ouvert les yeux le matin suivant, j’ai réalisé. A partir de maintenant, nous devons travailler encore plus dur.
Est-ce que vous avez fait une fête ?
Vu qu’on avait une activité le jour suivant, on est immédiatement retourné au dortoir et on a dormi. Les membres et moi-même. On n’y croyait tellement pas que la stupéfaction se lisait sur nos visages quand on s’est assis dans la voiture pour rentrer *rires*. Parce qu’on est toujours au milieu de la promotion, on a dit qu’on terminerait complètement la promotion et on ferait ensuite la fête.
Est-ce que ça va être élaborée et grandiose ?
La fête ? En fait, quand on a dit qu’on allait faire une fête, on va juste aller dans un restaurant de grillades et manger de la viande *rires*. Je ne sais pas trop pour jouer, mais je ne suis pas sûr de ce qu’on pourrait faire. Quelque chose comme aller dans une chambre d’hôtel et s’amuser avec les membres ? On va probablement aller manger de la viande et aller à la Rivière Han pour apprécier l’air frais.
‘Just Right’ a une image mignonne. ‘If you Do’ a une image virile. Laquelle te correspond le plus ?
Si mon visage n’a pas d’expression particulière, je peux paraître féroce. Et quand je souris, je peux paraître gentil. C’est dur pour moi d’être mignon. Je trouve ça difficile de m’adapter comme je ne suis pas sûr de jusqu’où je dois aller. Quand je veux paraître mignon, je dois m’abandonner *rires*. En tout cas, je suis plus à l’aise sans expression.
Quand tu es Lim Jaebeom et quand tu es JB… il y a une vraie différence ?
Je suis seulement JB sur scène. Même après m’être maquillé et avoir mis mes vêtements de scène, je suis Lim Jaebeom jusqu’au moment où je monte sur scène. En dehors du moment où je suis sur scène à chanter et danser, je suis juste une personne ordinaire qui n’est pas du inquiet par un concept à suivre ou avoir une apparence cool.
Parmi les membres, est-ce qu’il y en a que tu aimerais être pour une journée ?
Je pense que mon moi actuel est juste ce qu’il faut. Ça ne veut pas dire que je détesterais échanger ma vie avec quelqu’un pour une journée. C’est parce que je suis satisfait avec moi-même et que je ne suis pas curieux sur autre chose.
Les fleurs ou la boule disco, qu’est-ce qui te va le mieux ?
Les fleurs. Elles sont plus “animales” (dans le sens naturel) et même s’il y a des fois où j’ai une passion brûlante, je suis habituellement plutôt doux.
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Comment savoir ce qu’on veut faire de sa vie ? (moneydoctor)
De qui suis-je en train de vivre la vie ?
L’une des raisons qui nous pousse à nous demander si nous sommes sur la bonne route est ce sentiment qu’on est en train de vivre les rêves de quelqu’un d’autre. C’est parfois une certitude puisque certaines familles imposent des destins tout tracés à leurs enfants.
La première étape pour savoir ce qu’on veut faire de sa vie est donc de faire la lumière sur celle que l’on mène actuellement. Les usual suspects dans ce cas sont toujours nos parents. Il est facile de faire les études qu’ils n’ont pu faire ou aurait voulu faire. De débuter sa carrière par ce poste dont ils rêvaient à notre âge. Et ainsi de suite.
Mais au-delà de nos parents, il peut également s’agir de notre famille, d’amis, de collègues, de notre conjoint, de notre milieu ou même d’un groupe auquel on aimerait appartenir. De pressions douces en petits conseils au cours du dîner, ils peuvent fortement modeler nos décisions.
Pour faire la lumière sur ce point, je vous conseille de creuser la question avec quelques personnes qui vous connaissent très bien (et qui connaissent votre famille). C’est souvent en leur posant la question qu’ils vous confieront que cela fait des mois ou des années qu’ils vous voient vivre les rêves de votre père ou de votre mère mais n’ont rien osé dire par peur de vous blesser. Vous pouvez également chercher les réponses par vous-même en pensant par exemple aux regrets qu’ont vos parents sur ce qu’ils ont fait à votre âge : ne pas partir faire des études à l’étranger, prendre une année sabbatique plutôt que de décrocher ce super poste de consultant, se marier trop tôt, ne pas créer leur entreprise, etc.
Cette recherche est particulièrement importante dans le cadre de votre route vers la liberté financière puisque ce concept est relativement récent. Il y a donc de fortes chances qu’autour de vous on peine à vous comprendre puisque vous ne rentrez plus dans les schémas de pensée de votre entourage.
Accepter qu’on trouve une réponse et non la réponse
Chaque année qui passe, avec son lot de joies et de peines, nous change. Par conséquent, on peut très bien vouloir aujourd’hui quelque chose qui nous paraîtra totalement superflu dans quelques années. Certaines épreuves ont ainsi le mérite de nous ouvrir les yeux. C’est parce que ma famille a connu des problèmes d’argent que j’ai fini par découvrir le concept de liberté financière grâce à Mounir. Sans cela, je n’aurai sans doute toujours pas pris date sur mon assurance-vie et mon PEA. Le sens de ma vie n’est pas soudain devenu “devenir riche pour ne pas avoir de problèmes d’argent”. Mais atteindre la liberté financière est devenu un objectif sur les 20 prochaines années.
Mon conseil ici est donc de creuser et de vivre les réponses que vous trouvez à votre questionnement. Ce faisant vous vous apercevrez peut être que ce n’était pas LA réponse mais simplement une partie. Ou au contraire une fausse piste. Mais vous devez vivre les réponses que vous trouvez pour le découvrir.
Ce faisant, n’hésitez pas à tenir un journal et à y relater ce que vous vivez et comment vous le ressentez. Je fais cela depuis plusieurs années et en me relisant je m’aperçois combien ce que je tiens pour vrai évolue, parfois d’un jour sur l’autre.
Un post un peu particulier ce matin puisque de prime abord, il sort du cadre de la finance personnelle stricto sensus, pour nous faire doucement entrer dans le développement personnel. Mais je dirai qu’en réalité il est au carrefour des deux, et même au principe des finances personnelles. Souvenez-vous, nous avons débuté nos articles en vous parlant de comment définir vos objectifs patrimoniaux. Nous insistions alors sur le fait qu’il fallait qu’ils soient en accord avec vos rêves. Mais depuis, nous ne vous avons plus parlé de vos aspirations. Mea culpa aujourd’hui avec cet article que j’espère aussi concret que possible pour savoir ce qu’on veut faire de sa vie.
Quelques méthodes pour mieux savoir ce que vous voulez faire de votre vie
Nous arrivons enfin aux méthodes que j’espère les plus actionnables possible.
Se trouver un mentor
Nous connaissons tous des personnes dont la vie nous inspire. Il peut s’agir de personnes de notre entourage personnel ou professionnel ou de figures plus lointaines géographiquement ou même temporellement.
Lire leurs livres, leur biographie, regarder un documentaire à leur sujet ou les contacter (si cela est possible) est un excellent moyen d’en apprendre plus sur vous-même.
On m’avait ainsi parlé de Muhammad Yunus, le fondateur de la Grameen Bank, en classe préparatoire. J’avais été marqué par son parcours et ses idées, en particulier son concept de social business mis en application avec Danone au Bangladesh. J’avais alors lu plusieurs de ses livres, dont Vers un nouveau capitalisme qui relate l’histoire de cette co-entreprise entre Danone et Grameen. Ce qui m’avait vraiment marqué était la façon dont il utilisait le système financier et l’entrepreneuriat pour servir une vocation sociale. La réunion de deux mondes, au service des plus démunis.
Écrire sa biographie rêvée
Cette première méthode est assez connue et utilisée. Je l’ai découverte en lisant Miracle Morning de Hal Elrod. Et aussitôt appliquée.
Asseyez-vous au calme, loin de toute distraction. Coupez votre portable, supprimez les notifications de votre ordinateur, envoyez vos enfants chez leurs grands-parents, et mettez votre colocataire devant Netflix. Bref, soyez au calme et concentré.
Écrivez alors votre biographie rêvée. Commencez par raconter d’où vous venez et ce que vous faites aujourd’hui, puis couchez sur le papier la suite dont vous rêvez. N’ayez pas peur du ridicule et ne vous dites pas que c’est impossible. Ce que vous écrivez est pour vous seul.
Si vous manquez un peu d’inspiration, n’hésitez pas à aborder les sujets suivants : amour, vie de couple, enfants, émotionnel, santé, physique, mental, carrière professionnelle, argent et dette. Racontez ce qui va changer et comment vous allez vous y prendre pour être porteur de ce changement.
Ensuite, et c’est pour moi la partie la plus importante, reprenez point par point ce que vous avez écrit en expliquant pourquoi vous le souhaitez. Soyez honnête avec vous-même. Distinguez dans votre biographie rêvée la partie qui répond à vos aspirations profondes, de celles de votre conjoint, de vos amis, de vos parents ou encore de la société. Allez jusqu’au fond à chaque fois. Enchaînez les pourquoi et écrivez à la première personne.
Un exemple
« Je veux devenir riche et acheter une Bentley. Pourquoi ? Parce que ça montrera que je suis riche. Mais pourquoi ? Parce que je crois que c’est ce que font les riches non ? Pourquoi donc ? Eh bien, parce que l’argent c’est une preuve de réussite. C’est même la seule preuve de réussite ! Enfin pour moi. Mais pourquoi ? Parce qu’en fait j’en ai marre de tout compter, de ne pas pouvoir m’offrir la vie dont je rêve pour moi et ma famille. Je travaille dur, je pars tôt et je rentre tard, je travaille parfois même durant le week-end, mais mon salaire ne décolle pas. Je ne vis pas la vie que je pensais mener quand j’étais plus jeune. Je pensais que ça serait plus facile, que je pourrai épargner plus mais aussi vivre mieux. Et mon cousin m’emmerde à se ramener en Porsche à chaque réunion de famille alors que je conduis un vieil Espace ! »
À quel moment dois-je m’arrêter d’écrire me demanderez-vous ? Faites cet exercice, et vous sentirez quand vous êtes allé au bout. Je n’ai pas de meilleure réponse si ce n’est le souvenir très vif de m’être interrogé encore et encore sur de longues pages avant d’un coup de me sentir libéré de quelque chose, comme si j’avais déposé un poids en moi sur ces lignes. C’est alors que j’ai su que j’étais allé au bout.
Un très bon exercice pour savoir ce qu’on veut faire de sa vie à mon sens.
Écrire votre nécrologie
Si vous avez un peu de mal avec votre biographie, ou que ça part un peu dans tous les sens, écrivez votre nécrologie. C’est une méthode radicale que j’emprunte à Mrs Frugalwoods. Vous pouvez aussi imaginer que vous êtes sur votre lit de mort et repensez à votre vie. Qu’est-ce qui comptera vraiment à ce moment ?
Ce n’est pas un exercice très gai, mais il a le mérite de couper court aux digressions et de permettre de se concentrer sur l’essentiel. Vous pouvez d’ailleurs commencer par votre nécrologie puis écrire votre biographie rêvée.
Connect the dots
Il s’agit d’une méthode de mon cru pour savoir ce qu’on veut faire dans la vie. Elle me convient bien car je suis quelqu’un de très visuel. Donc plutôt qu’une longue explication.
Écrivez ce qui vous passe par la tête. Pensez à ce que vous souhaitez obtenir, mais aussi à ce que vous aimeriez éviter. Et notez tout cela sur une feuille.
À partir de là, prenez une bulle et dessinez une flèche en direction toutes les bulles qui sont rendues possibles si vous réalisez ce qui est écrit dans cette bulle :
Vous avez alors 3 types de bulles :
Celles que rien ne permet mais qui débouchent sur d’autres. Ex : « Faire du sport ». Ce sont par ces bulles que vous devez commencer si vous voulez atteindre vos objectifs.
Les bulles qui dessinent un chemin car une bulle au moins débouchent sur elles et elles débouchent sur une autre bulle. Ex : « Perdre du poids ». Il s’agit d’un objectif intermédiaire et d’un moyen pour atteindre votre objectif final.
Les bulles qui sont permises par au moins une bulle mais ne débouchent sur rien. Ex : « Être en bonne santé ». Ce sont vos objectifs finaux que vous poursuivez et qui sous-tendent vos actions.
In fine :
En bleu les grands thèmes que vous explorez, pour être certain de ne pas en avoir oublié un notamment. Encadrées en orange les premières choses qu’il vous faut faire, dès aujourd’hui. Et entourés en vert vos objectifs finaux.
L’exemple était réalisé sur un coin de table donc vous pouvez aller beaucoup plus loin que cela. Quand je l’ai fait, j’ai couvert un tableau entier, avant peu à peu de synthétiser ma pensée, en écartant notamment ce qui n’était pas réellement important pour moi.
Faut-il le faire seul ?
Je vous dirai « oui mais non ».
Si vous êtes dans une relation sérieuse que vous voulez poursuivre, je vous conseille de proposer à votre moitié de faire cet exercice avec vous. Faites le chacun de votre côté au début et partagez ensuite ce que vous avez écrit. Cela vous permettra d’y voir plus clair sur vos désirs respectifs et de mieux savoir comment bâtir demain ensemble.
Dans le cas contraire, faites le seul, puis demandez du feedback à celles et ceux qui vous connaissent.
À vos crayons ! N’hésitez pas à nous laisser en commentaire vos impressions et trouvailles ! Nous espérons en tout cas que parmi ces 3 méthodes vous en trouverez une qui vous permettra de savoir ce que vous voulez faire dans la vie.
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