#Étoile foulard
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please…don’t let their fire sear my flesh and bone
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Why must all my teachers go insane….Trein was just stalking Crewel and now people don’t recognize my face anymore. I’m blaming Étoile for this
#twisted wonderland rp#lilithin handonstar#twisted wonderland#mx. masked#twst#twst oc#twst oc rp#twst rp#twisted wonderland oc#Étoile foulard
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US Vogue July 1974
Charly Stember wears a black chiffon evening dress with pieces of gold and silver sequins hanging like stars… cut to show the ankles… the neckline… and a beautiful back length. By John Anthony. Scarf by Doro, bracelets by K.J.L, tights, Beauty Mist, sandals, Charles Jourdan. Makeup, Way Bandy, hair, Suga.
Charly Stember porte une robe de soirée en mousseline de soie noire avec des morceaux de paillettes dorées et argentées accrochées comme des étoiles… coupée pour montrer les chevilles… le décolleté… et une belle longueur de dos. Par John Anthony. Foulard par Doro, bracelets par K.J.L, collants, Beauty Mist, sandales, Charles Jourdan. Maquillage, Way Bandy, coiffure, Suga.
Photo Francesco Scavullo vogue archive
#us vogue#july 1974#fashion 70s#fall/winter#automne/hiver#ready to wear#prêt à porter#john anthony#charly stember#francesco scavullo#doro#k.j.l.#beauty mist#charles jourdan#way bandy#suga hair#vintage vogue#vintage fashion
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La Mode illustrée, no. 14, 1er avril 1866, Paris. Toilettes de Melle Raboin, r Nve. des Pts Champs, 67. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Description de toilettes:
Robe de dessous en tarlatane blanche à bord bouillonné divisé en losanges par d'étroits velours noirs, ornés à leurs points de jonction par des étoiles dorées. Seconde robe en poult-de-soie blanc, plus courte que la précédente. Le bord, découpé en courbes, est orné de rubans en velours noir, garni d'étoiles d'or et d'un volant en dentelle blanche retombant en partie sur le bord bouillonné de la robe de dessous; corsage décolleté, plissé, en tarlatane blanche, avec corselet de velours noir, orné par devant d'étoiles dorées; manches courtes bouillonnées comme le bas de la robe en tarlatane. Sur la tête, diadème en velours noir avec étoiles d'or ; trois rangs de perles d'or sont attachés sur chaque oreille et retombent sur le cou par devant.
Robe de dessous en foulard bleu bluet. Le bord est garni avec un volant tuyauté, surmonté d'une corde de soie, et le devant est brodé en soie de même nuance que la robe. Seconde robe, princesse, un peu plus courte que la précédente, ouverte par devant, et bordée avec une grosse corde de soie; cette seconde robe est relevée de distance en distance, et fixée sur celle de dessous par une double corde de soie terminée par un trèfle; brandebourgs de même corde sur le corsage et sur les manches. Chapeau de tulle bleu bluet. Col et poignets Richelieu en toile et guipure blanche.
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Underdress in white tarlatan with bubbled edge divided into diamonds by narrow black velvet, adorned at their junction points by golden stars. Second dress in white poult-de-silk, shorter than the previous one. The edge, cut in curves, is adorned with black velvet ribbons, trimmed with gold stars and a white lace flounce falling partly on the shirred edge of the underdress; low-cut, pleated bodice in white tarlatan, with black velvet bodice, adorned in front with gilt stars; short bubbled sleeves like the bottom of the tarlatan dress. On the head, black velvet diadem with gold stars; three rows of gold beads are attached to each ear and fall down the neck in front.
Bluet blue scarf underdress. The edge is trimmed with a fluted frill, surmounted by a silk cord, and the front is embroidered in silk of the same shade as the dress. Second dress, princess, a little shorter than the previous one, open in front, and edged with a thick silk cord; this second dress is raised from distance to distance, and fastened to that below by a double silk cord terminating in a trefoil; frogs of the same cord on the bodice and on the sleeves. Cornflower blue tulle hat. Richelieu collar and cuffs in canvas and white guipure.
#La Mode illustrée#19th century#1800s#1860s#1866#periodical#fashion#fashion plate#color#retouch#description#Forney#dress#toilette#Raboin#Rabouin#tarlatan#blue#princess#lace
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XAZASTOV Jouet Bebe 6 9 12 Mois, 5 en 1 Montessori Jeux Bebe Eveil 1 2 3 Ans, Jouets Sensoriels avec Corde à Tirer/Blocs de Construction/Trieurs de Formes/Anneaux D'empilage/Boite Mouchoir/Dentition De la marque Bienvenue chez XAZASTOV Jouet à Cordes à Tirer – Le conçu pour tirer et mâcher. Avec 5 cordons de traction en silicone, 3 boules à boutons coulissantes, il peut développer la motricité et la perception sensorielle de bébé en tirant vers le haut et vers le bas des cordes en silicone, en appuyant et en poussant les boutons.Jouet de Dentition – Les jouets montessori pour 6 mois et plus sont fabriqués en silicone de qualité alimentaire et en matériau ABS, ils peuvent efficacement soulager les poussées dentaires.Jouet de Empilable – 9 tailles différentes de gobelets empilables avec un numéro de 1 à 8, il favorisera la coordination œil-main, la motricité fine et les capacités d’apprentissage précoce des enfants.Jouet de Tri – Le cube de tri avec des bandes élastiques colorées peut favoriser la coordination, la pensée logique et l’exploration sensorielle. Bébé peut exercer sa force de préhension en mettant des blocs dans ou hors du cube, améliorant ainsi sa sensation d’espace.Jouet Boîte à Mouchoirs – Avec 9 foulards en soie colorés et 3 papiers froissés. Le tissu a des couleurs vives, des chiffres et des motifs d’animaux, il fera un bruit froissé lorsque les bébés jouent et captera l’attention de l’enfant.Jouets Sensoriels 6 en 1 – 9 gobelets empilables colorés, 6 blocs de construction, 1 jouet à corde à tirer en forme de crabe, 1 cube de tri, 1 jouet de dentition, 1 jouet en forme de boîte à mouchoirs. Descriptif technique Dimensions du produit (L x l x h) 18 x 15 x 14 cm; 610 grammes Âge recommandé par le fabricant 36 mois – 10 ans Valeur(s) éducative(s) Promouvoir le développement de l’enfant d’âge préscolaire grâce à diverses activités éducatives et sensorielles Référence fabricant XA-HLX205A Nombre de joueurs 1 Produit à monter soi-même Non Batterie(s) / Pile(s) requise(s) Non Piles incluses ? Non Matière principale Silicone Couleur 6 In 1 Disponibilité des pièces détachées Information indisponible sur les pièces détachées Informations complémentaires ASIN B0CFXPN74Z Moyenne des commentaires client 4,4 4,4 sur 5 étoiles 97 évaluations var dpAcrHasRegisteredArcLinkClickAction; P.when('A', 'ready').execute(function(A) { if (dpAcrHasRegisteredArcLinkClickAction !== true) { dpAcrHasRegisteredArcLinkClickAction = true; A.declarative( 'acrLink-click-metrics', 'click', { "allowLinkDefault": true }, function (event) { if (window.ue) { ue.count("acrLinkClickCount", (ue.count("acrLinkClickCount") || 0) + 1); } } ); } }); P.when('A', 'cf').execute(function(A) { A.declarative('acrStarsLink-click-metrics', 'click', { "allowLinkDefault" : true }, function(event){ if(window.ue) { ue.count("acrStarsLinkWithPopoverClickCount", (ue.count("acrStarsLinkWithPopoverClickCount") || 0) + 1); } }); }); 4,4 sur 5 étoiles Classement des meilleures ventes d’Amazon 10 728 en Jeux et Jouets (Voir les 100 premiers en Jeux et Jouets) 146 en Jouets à empiler et de tri Date de mise en ligne sur Amazon.fr 29 septembre 2023 Politique de retour Politique de retour Amazon.fr: Si vous n’êtes pas satisfait d’un produit que vous avez commandé auprès d’Amazon.fr ou si celui-ci est défectueux ou endommagé, vous pouvez nous le retourner sous 30 jours suivant la date de livraison, et nous vous rembourserons ou remplacerons l’intégralité de l’article. Pour plus d’informations, veuillez consulter notre page en savoir plus sur les Retours et remboursements. Si un défaut apparaissait sur votre produit passé la période de 30 jours, et durant toute la période de garantie, vous pouvez nous contacter pour les produits vendus par Amazon ou vendus par un vendeur tiers et expédiés par Amazon, ou contacter le vendeur tiers pour les produits vendus et expédiés par un vendeur tiers. Veuillez noter que si vous avez acheté un article sur la Marketplace vendu et expédié par un vendeur tiers, cet article est soumis à la politique individuelle de retour de ce vendeur (en savoir plus sur les retours Marketplace). Votre avis Evaluation : 4.5 sur 5 Price: (à partir de – Details) https://tinyurl.com/24v5o2qg
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Rendez-vous sous la lune
A l’intérieur de la voiture, on n’entendait aucun bruit, pas même l’autoradio en marche. Jules conduisait l’œil rivé sur la petite route qu’il connaissait néanmoins par cœur. A côté, Noémie ne bougeait pas. Elle essaya de deviner où il pouvait l’amener. Ses yeux bandés n’arrangèrent pas la situation, amplifiant l’attente qui devenait presqu’agaçante. Elle se demanda depuis combien de temps ils roulaient ; dix minutes ? Une heure ? Sans aucun repère de ses sens, il lui était impossible de s’orienter dans le temps.
Noémie s’apprêtait à poser la question lorsque le véhicule électrique ralentit. Elle comprit qu’elle pouvait encore attendre un peu puisqu’ils étaient bientôt arrivés. Elle entendit quelques branches d’arbres ou de broussailles cogner la carrosserie. Cela expliquait pourquoi l’étudiant conduisait manuellement alors qu’il ne le fait que rarement. Le chemin trop étroit n’était pas adapté aux systèmes de pilotage automatique. Le corps de Noémie se pencha légèrement pendant un virage. Puis quelques centaines de mètres plus loin, son ami stoppa le véhicule. Elle demanda s’ils étaient bien arrivés. Il dit simplement : « Attends » avant de sortir. La portière claqua brutalement tandis que la sienne s’ouvrait. Il l’aida à sortir en lui tendant la main.
Elle rêvait d’aller sur la lune car à ce moment, la mode était d’y voyager. En effet, depuis l’exploitation minière du satellite de la terre, de nombreux établissements s’y étaient installés et développés. Il existait une quinzaine de stations habitées en permanence, de nombreux hôtels touristiques et un développement de jeux d’argent. L’une des stations les plus rentables s’appelait même le Las Vegas de Séléné. Paradoxalement, il existait dans un rayon de quelques kilomètres autour de ce lieu ludique, trois bases de recherche sur les virus ou autres bactéries dangereuses pour l’humanité. Le manque d’air empêchait ainsi une pandémie rapide en cas d’accident de tube cassé. Quand Jules demanda où elle souhaitait partir ce weekend, Noémie répondit sans hésiter sur la lune pour voir le clair de terre. Ses copines y sont allées, elle a déjà vu via le net ce paysage romanesque, mais elle rêvait de l’admirer avec ses propres yeux et faire comme ses amies : Y vivre un rendez-vous romantique. Pour elle, c’était plus beau que Venise et Paris réunis.
Une quinzaine de mètres plus loin. Jules arrêta sa camarade. « Tu m’avais demandé un rendez-vous sur la lune ? En attendant, j’ai trouvé aussi beau… Un rendez-vous sous la lune ». Dès lors, il retira le foulard libérant le regard de biche de Noémie. Après avoir cligné pour s’habituer à la lumière, elle écarquilla les yeux, ouvrit la bouche d’ébahissement. Devant elle, se dressait la lune fière, imposante, ronde et belle comme jamais. Elle reflétait sur le lac dont on ne voyait pas les rives. Noémie resta subjuguée devant ce paysage merveilleusement idyllique. Jules installa un drap sur l’herbe et invita la jeune femme à s’assoir. Elle s’allongea continuant à apprécier le spectacle. Aucun nuage ne se présenta pour cacher la lune. Elle ne vit pas non plus les étoiles qui scintillaient comme ils pouvaient face à la lune rayonnante. Elle garda le silence, heureuse de découvrir qu’il existait encore des endroits admirables sur terre.
Son copain revint de la voiture en compagnie d’un panier. Il avait vu quelques vidéos sur le romantisme du XXe siècle. Il avait pensé qu’elle apprécierait un pique-nique Il avait plus que raison. Pendant qu’ils dégustaient une cuisse de poulet ou quelques salades, il raconta comment il connaissait le lieu. Durant sa jeunesse, il venait avec sa famille pêcher sur le lac bien qu’il n’y eut jamais rien à pêcher. Seulement, c’était une tradition à la con datant de la nuit des temps, du siècle de la grande maladie. Leur génération n’a pas connu cette épidémie qui détruisit une grande partie de la civilisation. Ils sont nés avec les règles de cette société nouvelle où tout contact est prohibé.
Une vieille musique, ‘Shine on you Crazy diamond’ des Pink Floyd résonna en sortant d’un amplificateur de son posé près du panier. Après la collation, Noémie s’amusa à attraper avec ses pieds la lune qui brillait au-dessus de leur tête. Ses longues jambes attirèrent le regard de Jules. Il les connaissait uniquement en réalité virtuelle. C’était grâce à ce système qu’ils faisaient l’amour ; le contact physique, limité uniquement à la procréation, demeurait mal vu par la nouvelle société. Il était en partie considéré comme à l’origine de la grande maladie. Les plis de sa robe légère collèrent au drap exhibant ainsi les fesses de la belle jeune femme ; seul un discret morceau de tissu cachait son sexe. Le jeune homme se mordit les lèvres puis il tourna la tête pour observer les remous du lac causé par le vent. Il ne dit rien, il écouta la musique qui venait de changer, c’était une chanson qu’il ne connaissait pas.
Lassée de jongler avec la lune, Noémie s’agenouilla lentement et approcha de son compagnon. Il était interdit en public de se toucher, mais elle se moqua de la loi. Elle posa sa main sur la joue du garçon et, l’embrassa après l’avoir remercié. Surpris au début, Jules enlaça son amie pour la première fois. C’était différent des réalités virtuelles, il ressentit une autre sensation, des papillons dans le ventre, une décharge électrique au contact de sa langue, une envie de voler jusqu’à la lune pour la décrocher et surtout un feu qu’il voulait éteindre. Il sentit les doigts de Noémie caresser la peau de son torse épilé. Elle retira ensuite son T-shirt. Malgré la pénombre, Jules admira la beauté de sa poitrine gonflée. Elle était identique à son avatar via l’amour virtuel. Il embrassa chacun de ses seins puis lécha leurs pointes faisant soupirer sa compagne. Elle regarda la lune au-dessus de sa tête avant de fermer les yeux afin de mieux vibrer au contact des lèvres de son amant. Jules se sentit mal à l’aise en baissant ses sous-vêtements ; il trichait sur la taille de son sexe pendant qu’ils baisaient virtuellement. Il en était de même pour les abdos de son personnage holographique qu’il n’avait pas. Mais tout comme l’interdiction de contact, elle se contreficha de ses défauts et accepta son sceptre avec le plus agréable des accueils.
Cinq jeeps s’arrêtèrent au milieu de la Mer des Vapeurs. Dans leur combinaison spatiale, les touristes se réjouirent du spectacle. La Terre brillait d’un bleu magnifique. Elle portait bien son surnom de planète bleue. Le guide, habitué à ces moments romantiques, faisait ce métier depuis qu’il vit sur la lune, depuis plus de dix ans. Il commençait à se fatiguer de ce job, cependant, il conserva une voix mielleuse limite gnangnan pour expliquer qu’il n’y avait rien à dire. Pendant ce temps, les couples se tenaient par la main protégée d’un gant antiradiation. Ils soupiraient, se parlaient amoureusement à travers une radio. Ils roucoulaient en se disant que c’était le plus beau moment de leur vie sans savoir que sur terre, sous la lune, juste sous eux, un couple réapprenait à aimer après s’être donné rendez-vous.
Alex@r60 – juillet 2020
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AÏD
Une journée de jeûne dans la chaleur et le bruit, ici la vie ne s’arrête jamais, bien que la ville se soit quelque peu apaisée et que les grandes artères sont enfin praticables. Ils sont partis à la mer. Une atmosphère euphorique, dans les souks on se presse, on s’entasse, les échoppes en bord de route dégueulent de chaussures en plastiques, de ballons colorés, des mégaphones annoncent les prix en boucle de leur voix surannée, l’odeur est saisissante, pour ne pas dire nauséabonde. Déjà une carcasse gît sous une arcade, des côtes dressées vers le ciel, encore un peu rougies, léchées par les chats. A côté, une vache attachée au milieu des détritus. Un tableau de Bacon.
Sept heures, samedi soir. Le soleil se couche et les estomacs serrés se jettent sur la nourriture. On veut trop, trop vite, comme si l’on avait peur que cette nourriture dont on s’est privé et qui est maintenant sur la table allait soudain disparaître, et le ventre proteste, il se ferme, rejette ce flot qui l’inonde soudain, on le sent qui ne sait pas, qui ne parvient pas à gérer cette ardeur et l’on s’affale sur le sofa, l’abdomen gonflé, lourd, pas vraiment rassasié mais bien garni, on se regarde en coin satisfait de partager ce moment immuable, satisfait aussi de se voir s’enfoncer dans les coussins. Leur tissus synthétiques nous englobe alors, ils nous enveloppent et nous étouffent, notre peau prisonnière de leur étreinte se débat et transpire encore plus, mon dos mouillé colle à ma chemise, qui transpire sur les coussins et cela est si poisseux, tout est moite et la poussière du désert, qui jusque là dormait entre les fibres, s’échappe enfin et voilà que sur ma peau j’accueille une mer de limon, une terre infertile et collante. Plus de dégoût pourtant, le sel et la sueur, la fumée noire des moteurs, tout ça fait partie des jours ici, un grand filtre de suif qui encrasse nos sens, et sous la poussière et le temps les gens qui bougent.��
La langueur des corps se dissipe peu à peu, la langue collante d’avoir trop attendu, on se secoue, dehors on se jette dans les voitures, dans les rues, on accoure retrouver des amis au café. On y passera la nuit, à boire du thé, à parler de la vie qui coule ici comme un sirop sucré, s’étale sur la table et déjà les mouches et les fourmis, les univers s’entrelacent, au-dessus de nous les étoiles et ici un rat qui s’enfuit au bruit d’un moteur.
Ailleurs, plus loin dans la ville, les enfants jouent dans les rues, on monte sur un âne et c’est la course, le touk touk slalome entre les passants et les chaises en plastique, l’âne renâcle, un groupe de mouton frémit et s’entasse autour de l’auge, un père furieux crie, des tapis lavés trop tard pendent aux fenêtres, la rue est humide, pleine de la boue des grands nettoyages, le coiffeur coupera des cheveux toute la nuit, le pain et les pâtisseries s’entassent à l’air libre sur des échafauds de bois, ils y sécheront dans l’air crasseux, des chichas dans tous les cafés, et englobant le tout, la voix du muezzin qui pénètre chaque fenêtre, chaque porte, et on murmure entre ses lèvres, cette voix qui nous rappelle que nous ne dormirons pas, cette nuit, 25 millions respireront ensemble les appels des minarets, se préparant au lever du jour.
Quatre heures du matin. On se lave, on se douche. Trois fois les mains, puis le visage, la bouche, les nez, les oreilles, la têtes, les pieds... L’odeur du chlore envahit les salles de bain, des tâches oranges de fer au plafond et au mur, la peinture qui se décolle par plaque, mais nous serons propres. Lavons-nous de cette sueur, de cette odeur d’animaux et d’excréments qui coure dans les rues, de ces journées qui pèsent sur nos nuques trop raides... Je me couvre d’un foulard, ce matin les femmes seront couvertes, soustraites aux regards, mais sous ce voile coloré je perçois la courbe d’une nuque, et un sourire couvert de pigments cherchera un regard approbateur, c’est dans la foule que nous trouverons quelqu’un à marier, parce que sous les tissus et la prière la fête gronde, et c’est la vie que l’on vient célébrer.
Cinq heures. Nous sortons. Des petites ruelles, deux par deux d’abord, nous rejoignons les rues, puis les grands axes, le soleil se lève, la lumière du matin est transparente au-dessus des immeubles qui s’affaissent, des nuées de pigeons sortent pour leur première ronde, un groupe de fillettes vêtues de longues robes colorées chantent et tapent des mains. Nous sommes foule maintenant. Nous sommes millions. Le flot ne s’arrête pas, nous nous tenons par le bras, mères et enfants, famille, nous avançons ensemble dans cette marée de corps qui écrase tout, tous ces gens, tous ces corps, le bruit, partout, les appels des muezzins, constamment le bruit et les corps, Allah, les pigeons en nuées, on s’amasse, tout cela grossit encore, une masse, une masse, une masse.
Sur la route, un carrefour, des tapis disposés au sol, les gens arrivent par bus, par voiture, à cheval, à pied, puis on se sépare, les femmes derrière et les hommes devant, on se déchausse, des allées de chaussure qui attendent le ciel, on prend place en lignes, le jour arrive, le bruit, touts ces voix, l’attente fébrile. Un homme passe avec une grappe de ballons colorés. Les enfants crient, on prend des photos, on se filme. Tout cela est très vivant, il y a une grande joie à se retrouver, à sentir cette puissante force d’être unis, des chants s’élèvent, on attend.
Cinq heures quarante-cinq. L’imam annonce le début de la prière. D’un seul mouvement on se lève. Silence. L’espace de quelques secondes, la ville est silencieuse.
Allah o akbar
Allah o akbar
Allah o akbar
Allah o akbar
Allah o akbar
Allah o akbar
Allah o akbar
Sept fois l’appel résonne. Sept fois nous levons nos mains à notre tête, ouvertes, écoutant le nom de Dieu. Sept fois nous plaçons nos mains croisées sur notre ventre. Sept fois un murmure commun frémit, s’élève de millions de bouches. C’est une chorégraphie magnifique, tous ces corps, ces visages, ces vêtements, ces voix, un seul être immense et organique. Baissés, les mains sur les genoux. Puis au sol, le front appuyé sur le tapis, les murmures de chacun formant une vibration, j’entends mes voisines et je perçois toutes celles au-delà, et encore au-delà un autre rassemblement réuni autour d’un autre imam, et partout, partout en même temps, les prières de ces hommes et de ces femmes glissent entre les dents, un souffle de son, du vent, quelque chose qui s’approche peut-être du bruit de la mer qui se frotte sur du sable.
Six heures peut-être. La prière est terminée. Nous retournons à nos chaussures, le bruit explose à nouveau, décousu, désordonné, un unisson de sons mal accordés. On se retrouve tant bien que mal, hommes et femmes à nouveau mélangés. Certains restent assis, ceux-là bien souvent ont amené leur propre petit tapis et portent un bonnet de crochet, leurs vêtements sont blancs ou bleus, immaculés, clarté très étrange dans ce panorama, certaines ne laissent paraître d’elles-mêmes que leurs yeux entourés de noir. Ceux-là donc resteront encore à écouter l’imam, tandis que la majorité de la foule se presse déjà pour s’éclater dans les quartiers, s’engouffrer dans les ruelles malodorantes et encombrées. On entend une rumeur - le festival disent-ils - et dès qu’on pénètre entre les immeubles les hommes s’unissent autour d’un camion, on a placé des instruments et deux haut-parleurs et on rap sur de la musique orientale, les hommes tapent du pieds et dansent.
Juste derrière, des cris. On s’enfonce un peu plus dans les quartiers. Après la lumière du matin et la blancheur des tissus propres, la boucherie. En deux minutes, les rues se sont couvertes de sang. Il a une couleur rouge très vive, et est si épais qu’il recouvre les pavés, le bitume, les détritus. L’odeur est infecte. Une odeur de merde, de boyaux, de bêtes qui se chient dessus, l’odeur de leur peur qui rentre dans la gorge et s’imprègne dans les habits. Les yeux bandés, affolés, ils sentent le couteau qui tranche la gorge, là dans la rue, tandis que d’autres s’affairent déjà à ouvrir un ventre en deux, et vite, avant que le chaud et les bêtes ne viennent infecter la viande, vite la dépecer, la dépouiller de sa peau, on voit le gras former une couche blanche et crémeuse entre cette peau qu’on arrache et la chair, des hachoirs s’abattent en un bruit sourd sur les membres et les coups, des enfants se saisissent - pour jouer? - plus tard ils seront abandonnés par terre et les chats, les chiens et les rats n’auront plus faim, gloire à Dieu pour eux aussi. Tellement de bouches à nourrir, tellement de familles qui célèbrent, il faut vite tuer encore, et donc on amène dans la foulée une autre vache, un autre mouton, tandis que le précédent tressaille encore, par sa gorge ouverte on tire son larynx, son corps traîné à l’écart, des familles se saisissent déjà des premiers morceaux, ils auront dépensé l’équivalent de leur salaire pour rendre hommage à Dieu, pour célébrer la santé et la vie, et la mort et le sang par terre pour célébrer la vie dedans, à l’abri dans les maisons, et les gens sont heureux dehors, tous s’affairent à amener des seaux, des balais, on lave à grandes eaux ces fluides malodorants, mais pas vraiment d’égouts et les bêtes suivantes qui continuent à s’effondrer, le tout se mélange à la terre sale qui couvre le sol, une boue épaisse et poisseuse qui collera aux chaussures plusieurs jours encore.
Dedans on boit le thé au lait. Les enfants s’écroulent de leur nuit de jeux et d’attente. On s’affaisse un à un sur les canapés, à même le sol sur le tapis, la tête repose sur un coussin. Il fait vraiment chaud, entassé ensemble dans ce petit salon, et encore les tissus synthétiques qui étouffe la peau, je suffoque, je m’étouffe, la nuque détrempée et les cheveux collants, on se noie ensemble dans un sommeil hoquetant, on entend les pales du ventilateur au-dessus de nos têtes et on se noie, prière et sang, vie et mort, un grand mélange de silence et de bruit, on se noie dans nos corps dissous.
Nous nous réveillons la tête lourde. Le calme au-dehors est frappant. La ville dort et mange, il fait chaud, c’est la première fois que les rues sont vides. La Fata est servie. On mange le riz garni de pain séché, arrosé de sauce tomate aillée. On se partage un bol de bouillon et on se sert de la viande avec les doigts. Dans une torpeur crasse nous jouons aux cartes ,nous écoutons de la musique, buvons du café. Le temps va s’écouler lentement, mais aujourd’hui l’important est de le passer ensemble.
Dans la rue à nouveau, je rentre. Il fait nuit. Des carcasses. Un mouton encore tué. Durant quatre jours, nous les mangerons. Les gens sont calmes. Aïd a commencé.
CAIRO, 12TH OF AUGUST, 4PM
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Les Chroniques de Livaï #363 ~ UN CHOIX SANS REGRET (juillet 845) Hanji Zoe
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Yahou ! Y a pas à dire, ma petite sauterie a eu du succès ! Tout le bataillon est là, plus quelques autres militaires qui voulaient pas rentrer chez eux. Faut dire qu'il y a de quoi les retenir ; le commandant Pixis nous a autorisé à piocher dans les réserves des officiers et l'alcool de qualité coule à flot. C'est pas la piquette du régiment, c'est clair !
Je suis bien contente que Erwin succède à Keith. Avec lui, c'est sûr, on va avancer, se montrer plus audacieux, plus inventifs ! Il va me débloquer des fonds pour mes recherches et je vais enfin pouvoir me donner à cent pour cent ! Les prochaines expéditions promettent d'être passionnantes !
J'aperçois Mike, les joues bourrées de petits gâteaux, fendant la foule en direction de Moblit qui porte un plateau plein. Laisses-en pour les autres ! On a déjà galéré pour les avoir ! Il se retourne et se prend la tête dans la banderole que j'ai faite moi-même cet après-midi et qui pend du plafond de la salle de réunion que les officiers ont bien voulu nous allouer pour ce soir. Le texte écrit dessus - "BRAVO MAJOR ERWIN" - se déchire en deux et tombe sur ses épaules. Gelgar, déjà bien éméché, en tombe à la renverse de rire et Nanaba se retient de justesse. C'est malin ! Les géants comme toi devraient rester dehors ! Tu aurais pu baisser la tête !
En parlant de géant, où est le nain ? On l'a pas vu depuis un moment, je pensais qu'il serait allé féliciter Erwin. Il aime pas trop les fêtes mais c'est pas le moment de s'isoler ; on doit lui montrer qu'on est fiers de lui et qu'on le soutient ! J'attrape une bouteille de vin et me mets en quête de Livaï.
En descendant à l'étage inférieur, j'entends des soldats rire bruyamment, légèrement avinés, et leur demande s'ils ont pas vu Livaï. Ils répondent en hoquetant qu'ils ne savent pas qui c'est - c'est ça, mon oeil - et je continue plus loin vers l'autre escalier. Où il peut être ? Dans le dortoir peut-être. Il veut se faire beau, sans doute ! Bon allez, dirigeons-nous par là-bas et offrons-lui à boire, histoire qu'il soit de bonne humeur quand il se présentera devant le major, héhé !
Mais j'ai pas à aller si loin. Au détour d'un couloir, il me rentre dedans et, sans s'excuser, me dépasse pour monter à son tour. Hé, attends, cette bouteille est pour toi ! T'as traîné où, au fait ? Il répond pas et me demande plutôt où est Erwin. La dernière fois que je l'ai vu, il discutait avec Pixis à l'étage. Tu ferais bien d'aller lui présenter tes hommages, non ? Pour toute réponse, il attrape la bouteille que je tiens et la vide en trois goulées. Quelle descente... Je savais pas que tu aimais le vin, je pensais t'embêter en te faisant boire un peu. Il pose la bouteille vide dans un coin, s'essuie la bouche - pas une seule goutte sur son foulard - et se dirige vers l'escalier ascendant. Je le suis de loin.
Quand nous arrivons dans la salle de réunion, des camarades le saluent au passage mais il n'y fait pas attention. Ohlala, faites gaffe, je sais pas pourquoi, mais il a pas l'air bon ce soir ! il chope deux autres bouteilles sur une table et bouscule Moblit qui lui proposait des gâteaux. Doucement, je suis la seule qui a le droit de l'envoyer promener ! Eh, Livaï ! Erwin est de l'autre côté, où tu vas ? Il brandit la bouteille dans sa main droite et m'informe qu'il a besoin de prendre l'air et se dirige vers les remparts.
Dans l'escalier en colimaçon, nous croisons les jeunes, le groupe de Emmerich, qui discute avec des verres de vin posés à côté d'eux sur les marches. Ils se poussent sur le passage de Livaï qui ne fait pas attention à eux mais je les sens nous emboîter le pas. L'air du dehors nous parvient et nous débouchons enfin sous le ciel nocturne ; la nuit est tiède, les étoiles sont magnifiques et Livaï semble prêt à s'enivrer. Et cela me semble vraiment dangereux, quand je le vois sauter sur un des créneaux plus grand que lui comme si c'était juste une marche, et se tenir debout dans le noir, ses deux bouteilles en main.
Fais pas de bêtise, ok ? Tu en as déjà descendu une entière, tu dois pas être frais et un accident est vite arrivé. Tu entends ce que je dis ? Descend de là ! Il se retourne vers moi, avale une bonne rasade d'alcool, et me rétorque que c'est pas parce qu'il est devenu le héros du royaume qu'il a pas le droit de se bourrer la gueule. Tu peux le faire mais en descendant de là ! Tu as pas ton harnais, mec ! Tu crois que Erwin serait content de voir ça ?
Il a comme un instant de flottement, comme si mon argument avait fait mouche, mais il se recolle le goulot dans le bec et me tourne le dos. Ses jambes semblent fermes mais pendant une seconde, j'ai l'impression de le voir vaciller... C'est plus drôle, là, je suis vraiment pas bien, Livaï, me met pas dans cette situation ! Je commence à me tordre les mains et j'envisage sérieusement de le faire descendre de force mais il pourrait réellement tomber si j'essayais... J'arrive pas à deviner ce qui le travaille, ni pourquoi il veut se pinter alors qu'en général, il aime pas ça... Il en faut beaucoup pour s'enivrer avec ça, mais tout de même...
Après un deuxième vacillement qui me met le coeur au bord des lèvres, je me décide enfin. Je me tourne vers les jeunes qui regardent la scène, éberlués, et j'ordonne à Emmerich de surveiller Livaï le temps que j'aille chercher... quelqu'un. Il prend peur et me demande comment il doit s'y prendre. Je sais pas, occupe-le, parle-lui, laisse-le t'insulter s'il veut ! Mais le laisse pas tomber ! Tu imagines la perte que ce serait !? Et le jour de la fête d'Erwin en plus !
Je cours dans l'escalier en essayant de pas trébucher ; il faut que Erwin ramène Livaï à la raison avant que ça tourne mal !
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25 juillet ▪️ CHÂTILLON - AOSTE
28,0 km ▫️ 6h40 ▫️ +623 / -599 m
Une bonne grosse étape sous la chaleur (31°C) où nous avons bu nos deux litres et demi (à deux). Comme hier, nous sommes montés sur le flanc gauche de la vallée (qui est à notre droite) et avons grimpé raide puis suivi la courbe de niveau puis remonté puis suivi une nouvelle courbe puis monté encore et suivi une dernière courbe à 750 m puis sommes redescendus vers Aoste que nous avions en vue depuis longtemps. Pas mal de secteur sur bitumes qui nous ont permis de profiter pleinement de la chaleur, de la réverbération du soleil et du doux fumet des hydrocarbures aromatiques polycycliques qui s’en dégagent. Pas mal de petits villages et de hameaux aussi mais pas un café avec terrasse et parasols! Un pur scandale ! Je demande une commission d’enquête parlementaire !
Et puis mon chapeau a disparu ! C’est que j’y tiens à mon chapeau ! Ils me durent longtemps ! Celui-là je l’ai depuis le deuxième tronçon de la route de Saint-Jacques. Pour le premier tronçon je portais une fausse bonne idée : un bob avec une large visière, jusque là ça va, une bande percée de trous (genre moustiquaire en un peu plus épais), la fausse bonne idée, et un dessus de bob normal. Je ne sais plus si la bande percée de trous avait l’effet d’aération vanté (venté ?), mais ce dont je me rappelle c’est qu’elle produisait sur le front un bronzage à carreaux des plus ridicules. Bref, ce matin donc je boucle mon sac, l’assure sur mon dos et me saisis d’un geste familier de mon… Mais il est où ? Comme la chambre est petite, la recherche visuelle est vite faite. On passe à la fouille en règle, secouage du fatras de draps, exploration du dessous du lit, vidage du sac ! Rien, niente, pas de trace. L’heure est grave. Mais il faut partir, l’étape est longue. Nous descendons les escaliers pour remettre les clés dans le casier quand soudain que vois-je ? Mon bob soigneusement plié en deux sur le comptoir de la réception ! Alleluia ! Je ne mourrai pas d’insolation ni de brûlure au 3ème degré ni, alternative, de ridicule avec mon foulard avec un noeud à chaque coin sur la tête comme Raimu dans un vieux Pagnol ! Alleluia ! Bon, quand je parle de comptoir de la réception je m’enflamme un peu car je vous rappelle qu’on est descendu dans un Une étoile : le comptoir se réduit à un dessus du radiateur en marbre fendu sous le casier à clés, dans le corridor qui tient lieu de lobby à côté de la porte fièrement marquée DIREZZIONE dont je ne savais pas qu’il s’agissait du mot italien pour débarras. Je saisis mon chapeau avec amour, lui promis de ne plus jamais m’en séparer et m’en couvris le chef avec un immense sentiment de soulagement, prêt à affronter cette terrible étape !
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Les hirondelles seront leurs guides dans l'adversité sous la lumière des étoiles qui scintillent dans le firmament et qui sont autant de signes d'un monde meilleur. #hirondelle #etoiles #mondemeuiller #swallow, #stars #betterworld #newyear #novelan #frenchsilk #frenchcraftsmanship #fashionaccessory #modefrancaise #foulardfemme #limitededition #editionlimitee #montkiji #madeinfrance #soie #foulard #silk #silkscarf #몽키지 #실크 #シルク #絹のスカーフ #フランス製 (at Saint-Germain-des-Prés) https://www.instagram.com/p/CYJtQVwseOs/?utm_medium=tumblr
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why…….why is Rollo running. His lazy ass doesn’t do anything athletic very often, and when he does someone is normally chasing him….why is he running like that he looks ridiculous!
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my stupid cousin just scared the shit out of a waitress with his deep ass voice. Feeling so bad for her. If Miss. Dane saw that she’d whip his ass
#twisted wonderland rp#lilithin handonstar#mx. masked#twst oc#twst#twst oc rp#twisted wonderland#twisted wonderland oc#twst rp#Étoile foulard
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Nous avons reçu une note de 5 étoiles sur le foulard prêt à porter Nefertiti de Dominique : "J'ai bien reçu ma commande je suis très contente mercii pour le petit cadeau...Envoi super rapide" Merci beaucoup pour votre confiance en nos produits Dominique. #essingan #afrikrea #afrikreastore #afrikreasales #afrikreasummer #afrikreaholidays #afrikreaqueen https://www.instagram.com/p/CTILVZFlTfD/?utm_medium=tumblr
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La Mode illustrée, no. 25, 17 juin 1866, Paris. Toilettes de Mme Bréant-Castel, 58 bis. r. Ste. Anne. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Description de toilettes:
Robe de foulard blanc uni. Le bas de la robe est découpé en dents pointues qui sont bordées avec un étroit ruban de velours hoir, lequel se continue sur la robe de façon à former un treillage en losanges; au centre de chaque losange se trouve un bouton en velours noir. Paletot pareil à la robe, garni comme celle-ci sur son bord inférieur, sur 1 entournure, sur l'extrémité de la manche et sur les devants du paletot; l'encolure est bordée avec un ruban de velours noir, noué par derrière, de façon à former deux longues bouclettes et deux pans très-longs. Chapeau Lamballe, en tulle rose, de chez Mme Aubert, rue Neuve-des-Mathurins, n° 6; le contour du chapeau est bordé avec des festons de perles blanches; brides roses en taffetas; très-larges brides en tulle rose.
Jupe en taffetas vert coupée à pointes, sans aucune garniture; corsage montant, formant un péplum coupé en pointe, comme les robes princesse; ce corsage est carré par devant et dépasse de beaucoup la ceinture; il forme ensuite des pointés aiguës, plus longues sur les côtés et par derrière que devant. Ce péplum est garni avec des galons de soie noire, disposés en brandebourgs sur le corsage, en deux lignes parallèles sur les contours; entre ces lignes, des étoiles en jais noir; sur le bord, une étroite frange noire. Chapeau en paille blanche.
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Plain white foulard dress. The bottom of the dress is cut into pointed teeth which are edged with a narrow ribbon of black velvet, which is continued on the dress so as to form a diamond-shaped trellis; in the center of each diamond is a black velvet button. Overcoat similar to the dress, trimmed like this on its lower edge, on the armhole, on the end of the sleeve and on the front of the overcoat; the neckline is edged with a black velvet ribbon, tied behind, so as to form two long loops and two very long tails. Lamballe hat, in pink tulle, from Madame Aubert, rue Neuve-des-Mathurins, No. 6; the outline of the hat is edged with scallops of white pearls; pink taffeta straps; very wide straps in pink tulle.
Green taffeta skirt cut in points, without any trim; high bodice, forming a point cut peplum, like princess dresses; this bodice is square in front and extends well beyond the belt; it then forms sharp points, longer on the sides and behind than in front. This peplum is trimmed with black silk braid, arranged in frogs on the bodice, in two parallel lines on the contours; between these lines, jet-black stars; on the edge, a narrow black fringe. White straw hat.
#La Mode illustrée#19th century#1860s#1866#on this day#June 17#periodical#fashion#fashion plate#color#description#Forney#dress#Bréant-Castel#foulard#mantle#Aubert
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XAZASTOV Jouet Bebe 6 9 12 Mois, 5 en 1 Montessori Jeux Bebe Eveil 1 2 3 Ans, Jouets Sensoriels avec Corde à Tirer/Blocs de Construction/Trieurs de Formes/Anneaux D'empilage/Boite Mouchoir/Dentition De la marque Bienvenue chez XAZASTOV Jouet à Cordes à Tirer – Le conçu pour tirer et mâcher. Avec 5 cordons de traction en silicone, 3 boules à boutons coulissantes, il peut développer la motricité et la perception sensorielle de bébé en tirant vers le haut et vers le bas des cordes en silicone, en appuyant et en poussant les boutons.Jouet de Dentition – Les jouets montessori pour 6 mois et plus sont fabriqués en silicone de qualité alimentaire et en matériau ABS, ils peuvent efficacement soulager les poussées dentaires.Jouet de Empilable – 9 tailles différentes de gobelets empilables avec un numéro de 1 à 8, il favorisera la coordination œil-main, la motricité fine et les capacités d’apprentissage précoce des enfants.Jouet de Tri – Le cube de tri avec des bandes élastiques colorées peut favoriser la coordination, la pensée logique et l’exploration sensorielle. Bébé peut exercer sa force de préhension en mettant des blocs dans ou hors du cube, améliorant ainsi sa sensation d’espace.Jouet Boîte à Mouchoirs – Avec 9 foulards en soie colorés et 3 papiers froissés. Le tissu a des couleurs vives, des chiffres et des motifs d’animaux, il fera un bruit froissé lorsque les bébés jouent et captera l’attention de l’enfant.Jouets Sensoriels 6 en 1 – 9 gobelets empilables colorés, 6 blocs de construction, 1 jouet à corde à tirer en forme de crabe, 1 cube de tri, 1 jouet de dentition, 1 jouet en forme de boîte à mouchoirs. Descriptif technique Dimensions du produit (L x l x h) 18 x 15 x 14 cm; 610 grammes Âge recommandé par le fabricant 36 mois – 10 ans Valeur(s) éducative(s) Promouvoir le développement de l’enfant d’âge préscolaire grâce à diverses activités éducatives et sensorielles Référence fabricant XA-HLX205A Nombre de joueurs 1 Produit à monter soi-même Non Batterie(s) / Pile(s) requise(s) Non Piles incluses ? Non Matière principale Silicone Couleur 6 In 1 Disponibilité des pièces détachées Information indisponible sur les pièces détachées Informations complémentaires ASIN B0CFXPN74Z Moyenne des commentaires client 4,4 4,4 sur 5 étoiles 97 évaluations var dpAcrHasRegisteredArcLinkClickAction; P.when('A', 'ready').execute(function(A) { if (dpAcrHasRegisteredArcLinkClickAction !== true) { dpAcrHasRegisteredArcLinkClickAction = true; A.declarative( 'acrLink-click-metrics', 'click', { "allowLinkDefault": true }, function (event) { if (window.ue) { ue.count("acrLinkClickCount", (ue.count("acrLinkClickCount") || 0) + 1); } } ); } }); P.when('A', 'cf').execute(function(A) { A.declarative('acrStarsLink-click-metrics', 'click', { "allowLinkDefault" : true }, function(event){ if(window.ue) { ue.count("acrStarsLinkWithPopoverClickCount", (ue.count("acrStarsLinkWithPopoverClickCount") || 0) + 1); } }); }); 4,4 sur 5 étoiles Classement des meilleures ventes d’Amazon 10 728 en Jeux et Jouets (Voir les 100 premiers en Jeux et Jouets) 146 en Jouets à empiler et de tri Date de mise en ligne sur Amazon.fr 29 septembre 2023 Politique de retour Politique de retour Amazon.fr: Si vous n’êtes pas satisfait d’un produit que vous avez commandé auprès d’Amazon.fr ou si celui-ci est défectueux ou endommagé, vous pouvez nous le retourner sous 30 jours suivant la date de livraison, et nous vous rembourserons ou remplacerons l’intégralité de l’article. Pour plus d’informations, veuillez consulter notre page en savoir plus sur les Retours et remboursements. Si un défaut apparaissait sur votre produit passé la période de 30 jours, et durant toute la période de garantie, vous pouvez nous contacter pour les produits vendus par Amazon ou vendus par un vendeur tiers et expédiés par Amazon, ou contacter le vendeur tiers pour les produits vendus et expédiés par un vendeur tiers. Veuillez noter que si vous avez acheté un article sur la Marketplace vendu et expédié par un vendeur tiers, cet article est soumis à la politique individuelle de retour de ce vendeur (en savoir plus sur les retours Marketplace). Votre avis Evaluation : 4.5 sur 5 Price: (à partir de – Details) https://tinyurl.com/24v5o2qg
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