#Écoles de Production Musicale
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musitechnicformation · 27 days ago
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Découvrez les meilleures écoles d'ingénierie audio et sonore proposant des programmes complets pour lancer votre carrière en production musicale, sonorisation live et technologie audio. Explorez des cours accrédités, une formation pratique et des studios de pointe pour maîtriser l'art de l'ingénierie sonore. Trouvez l'école idéale et façonnez l'avenir du son dès aujourd'hui !
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mysteriis-moon666 · 1 year ago
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THE ZENITH PASSAGE - Datalysium
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Les praticiens du death metal progressif basés à Los Angeles, THE ZENITH PASSAGE, ont sorti leur second long format via Metal Blade Records.
Avec un line up révisé qui voit le guitariste/claviériste/chanteur original Justin McKinney rejoint par le guitariste Christopher Beattie (Dreamer), le chanteur Derek Rydquist (ex-The Faceless, John Frum) et le bassiste Brandon Giffin (ex-The Faceless, Cynic), Datalysium trouve que le groupe pousse encore plus les influences disparates au premier plan de leur son. Le groupe travaille comme un alchimiste extrêmement précis, leur musicalité est de premier ordre et les chansons sont suffisamment variées pour surprendre leurs fans de longue date et les nouveaux fans.
"Datalysiuma" été enregistré entre le home studio de McKinney et l'appartement de Rydquist, avec quelques voix enregistrées chez Flatline Audio avec Dave Otero (Cattle Decapitation, Wake), qui a également mixé l'album. McKinney s'est occupé du suivi, tandis qu'ils ont fait appel à Ryan Williams (The Black Dahlia Murder, John Frum) pour produire une partie de la basse et du chant. Ayant été ami avec Williams pendant des années, il semblait naturel de le faire participer au processus d'enregistrement, tandis qu'Otero a également contribué profondément. Ami de longue date de McKinney, c'est la première fois qu'ils collaborent sur un disque. "Dave est le genre de mec qui comprend tout simplement, lorsqu'il recherche le son ou l'idée que nous avons en tête, même en mettant en lumière une idée que nous n'avons même jamais pensé à faire et en collaborant et en développant davantage ces idées. Nous nous attendions à des trucs vraiment épiques de Dave.
Le groupe précise : « Il y a toujours eu des choses qui ont été subtilement faites sur les versions précédentes, comme des passages de jazz fusion, du black metal dissonant, du synthé et des éléments orchestraux, ainsi que du chant. Ce que nous n'avons pas fait auparavant, c'est de mettre ces influences et ces idées plus en avant dans l'écriture et la production. Le chant est devenu une partie assez importante de certaines de ces chansons, ainsi que l'orchestration de synthé et une influence black metal vraiment étrange, dissonante et énervée. Nous faisons tout cela en essayant de raconter une histoire harmonique et lyrique qui maintient l'auditeur engagé et se demande ce qui pourrait arriver ensuite.
“S’agissant des textes, il est ici question de la panique que causerait ce que l’on pourrait considérer comme un Big Bang dans le contexte de Datalysium. Dans « Divinertia I », nous explorons une réalité universelle qui existe en boucle fermée. « Divinertia II », quant à elle, aborde cette division entre les réalités connues et inconnues dans lesquelles nous vivons aujourd’hui. Musicalement, nous explorons et développons ici un motif qui se décline en plusieurs contrastes, tempos et dynamiques. La majorité de ce titre n’est qu’un seul riff joué à différentes vitesses, ce qui crée ce schéma rythmique familier. Les tempos choisis eux sont tous des dérivés du triplet, c’est un clin d’œil au nombre de l’univers : 333.” (The Zenith Passage)
Il rajoute : “Imaginez que Necrophagist et Meshuggah soient mariés, que Cynic et Extol le soient aussi et que, des années après ces mariages, ils prennent l’habitude d’aller à des soirées échangistes pour pimenter leurs relations. Admettons qu’au bout d’un moment, ils aient un enfant tous ensemble sans que personne ne sache qui est le père biologique et qu’ils soient tous co-parents. Cet enfant grandit en étant fasciné par David Lynch, Ridley Scott et les films noirs. Il va ensuite dans une école de cinéma pendant quelques années mais finit par s’en faire virer car il préfère jouer de la musique synthétique. Il se retrouve alors fauché et sans abri. Datalysium serait cet enfant.”
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french203 · 2 years ago
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Le week-end dernier, je suis allé voir la comédie musicale Rock of Ages ici à l’UNCG. Tout comme beaucoup d’autres productions qui sont montées dans cette école, c’était exceptionnel! A mon avis, c’était probablement l’une des meilleures comédies musicales que j’ai vues dans cette école, non seulement à cause du sujet de la pièce, mais juste du jeu d’auteur et de la scénographie et tout, ça à vraiment donné vie à toute la production et ça est la clé d’un grand spectacle. Je pense aussi que c’était une super comédie musicale pour couronner le semestre. J’ai vraiment hâte d’être dans plus de spectacles le prochain semestre et j’espère juste que les spectacles iront de mieux en mieux!
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beatlesonline-blog · 2 years ago
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haitilegends · 6 years ago
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🎥 JOSEPHINE BAKER SINGS "HAITI" in the film "ZOU ZOU" (1934)
https://youtu.be/-wMaSGMOnr8
🎶 JOSEPHINE BAKER: "HAITI, C'EST TOI MON SEUL PARADIS !" - JOSEPHINE BAKER
https://youtu.be/hk0KlgAAE2Y
#Biography: http://www.nathanielturner.com/josephinebaker.htm
"Josephine Baker (1906-1975)—born Freda Josephine Carson in St. Louis, Missouri, on June 3, 1906 Carrie McDonald and vaudeville drummer Eddie Carson—became probably the most famous woman in #France, if not in the entire world, for her performances on stage as a dancer as well as her fight against the Nazis to liberate France and her love of orphan children.
In the 1920s her comic yet sensual stage presence took #Europe by storm. Known as the "Black Venus," she was lavished with gifts. She maintained her celebrity status until her death in 1975. #American #racism however prevented her from being fully appreciated in the United States, the place of her birth.
Her mother Carrie, abandoned shortly after Josephine's birth, was reduced to a washerwoman in order to care for herself and her daughter. #Josephine also grew up cleaning the houses of and caring for the children of wealthy white families.
And independent #woman, Josephine married four times first to Willie Wells (very brief), them to American Willie Baker in 192, Frenchman Jean Lion in 1937 (through whom she became a French citizen) and French orchestra leader Jo Bouillon in 1947 (who was with her when she adopted 12 children).
In 1919, Josephine toured the US with The Jones Family Band and The Dixie Steppers. She also eventually appeared in Eubie Blake's Shuffle Along. Her comic antics in this production gained her a reputation. As a member of La Revue Nègre, Josephine captivated the #Parisian audience with her dance partner Joe Alex with the Danse Sauvage; boldly dressed in a feather skirt with uninhibited movements, she worked the audience into a frenzy and became a Parisian sensation.
Josephine later starred in La Folie du Jour at the Follies-Bergère Theater, draped in a costume of 16 bananas strung into a skirt. In the early 30s she starred in two movies Zou-Zou and Princess Tam-Tam. Josephine baker was probably the most photographed woman of her times, probably more so than Gloria Swanson and Mary Pickford.
Her returned to the US in the Ziegfield Follies was an emotional downturn. One editorialist of the NY Times referred to her as a "Negro wench." Josephine returned to Paris and those who loved her.
During World War II, Josephine performed for French troops and worked uncover smuggling secret documents. She was also a sub-lieutenant in the #Women's Auxiliary Air Force and was thereafter awarded the Medal of the Resistance with Rosette and named a Chevalier of the Legion of Honor by the French government for hard work and dedication.
Her returns to the US in the 50s and 60s were not fully the disaster of twenty years earlier. She renewed her vigor in fighting American racism and engaged pro-segregationist Walter Winchell. In 1951, the NAACP named May 20, Josephine Baker Day.
Josephine also participated in the 1963 March on Washington, and later that year gave a benefit concert at Carnegie Hall for the NAACP, the Student Nonviolent Coordinating Committee (SNCC), and the Congress of Racial Equality (CORE). She received a standing ovation before her performance began
At a performance April 8, 1975 at the Bobino Theater in Paris, celebrities such as Princess Grace of Monaco and Sophia Loren came to see the 68-year-old Josephine perform a medley of routines from her 50 year career. Days later, however, Josephine slipped into a coma and died from a cerebral hemorrhage at 5 a.m. on April 12.
With more than 20,000 people crowding the streets of Paris, the French government honored Josephine Baker with a 21-gun salute, making Josephine Baker the first American woman buried in France with military honors. Her gravesite is in the Cimetiére de #Monaco, Monaco." http://www.nathanielturner.com/josephinebaker.htm
🎥 Watch "The Josephine Baker Story (1991)" on YouTube
https://youtu.be/UBAOtibUpH0
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Joséphine Baker - #Biographie
http://www.jesuismort.com/biographie_celebrite_chercher/biographie-josephine_baker-1442.php
Josephine Baker est née le 3 juin 1906 à Saint Louis, grande ville du Midwest, située dans l'Etat du Missouri, aux Etats-Unis. Elle est la fille de Carrie Mac Donald et d'Eddie Carson. De sa mère, Josephine hérita son corps, de son père son énergie. Artistes, ses parents avaient monté ensemble un numéro de chant et de danse.Un an après la naissance de Josephine, Eddie Carson quitta Carrie. Par la suite, Carrie eut trois autres enfants : Richard, Margaret et Willie Mae. Elle entretenait la famille en faisant des lessives. Elle traitait ses enfants avec une grande sévérité. Le froid, la puanteur, les punaises et les rats furent les compagnons d'enfance de Josephine. Pour Carrie, les enfants ne devaient pas être une charge : il fallait donc que Josephine travaille. Elle fut placée dans la maison d'une blanche à huit ans.
Maltraitée, elle se réfugia chez sa grand-mère et sa tante Elvara. En 1917, une importante émeute raciale éclata à Saint Louis : trente neuf noirs furent tués et plusieurs milliers laissés sans abri. Josephine n'oublia jamais ce jour-là. A partir de 1918, elle vécut dans une maison plus décente que la précédente avec sa mère et improvisa un théâtre dans la cave, où elle laissait libre cours à sa fantaisie.
Josephine avait appris à danser dans les rues, dans les cours et dans les maisons du Saint Louis noir. Les pas nouveaux s'y répandaient rapidement. La danse des jambes en caoutchouc, qu'elle développera plus tard sur les scènes parisiennes, correspondait à des mouvements bien connus aux Etats-Unis par les danseurs de jazz des années vingt. A treize ans, Josephine avait assimilé un immense répertoire de mouvements. Ce qui paraissait une spontanéité chez elle cachait en fin de compte des années de pratique quotidienne.
Après avoir quitté le foyer familial et être devenue serveuse, elle se maria avec Willie Wells. Elle se joignit bientôt à un groupe de musiciens de rue, le Jones Family Band, qui se produisait à Saint Louis. Un jour qu'y jouait une troupe en tournée, les Dixie Steppers, le directeur engagea les Jones pour combler le vide de l'entracte. Et c'est ainsi que Josephine parut pour la première fois sur une scène. Pourtant, Josephine n'était pas alors à proprement parler une "sensation" : à treize ans, elle était trop maigre pour paraître à côté des autres danseuses de la troupe. Mais le directeur des Dixie Steppers l'engagea, au titre d'habilleuse, et elle quitta ainsi Saint Louis.
La tournée de la troupe à travers le Sud fut pour Josephine la première véritable école. Dans le Sud, la troupe alla jusqu'à la Nouvelle-Orléans, et dans le Nord, jusqu'à Philadelphie où Josephine épousa Willie Baker, son second mari. En avril 1921, Josephine jouait au Gibson Theater de Philadelphie avec les Dixie Steppers. Elle avait finalement réussi à entrer dans le corps de ballet, remplaçant une danseuse qui s'était blessée. Elle jouait le rôle de la girl comique, qui, en bout de file, ne faisait rien comme les autres. C'est à cette époque qu'elle fit la rencontre de Noble Sissle, l'un des créateurs de "Shuffle Along", la grande comédie musicale de l'époque, composée et interprétée par des noirs. Sissle semblait intéressé par le talent de Josephine mais son âge le fit reculer : elle avait à peine quinze ans. Déçue, Josephine décida de tenter sa chance à New York.
A New York, elle se fit à nouveau engager au titre d'habilleuse, mais pour la revue "Shuffle Along". Elle apprit alors tous les chants, toutes les danses, et lorsqu'une girl tomba malade, ce fut elle qui la remplaça. Sur scène, elle semblait déchaînée ; elle louchait, elle grimaçait. Elle ne tarda pas à se faire connaître, devenant une attraction à part entière. Sissle et Blake, les inséparables créateurs du spectacle, prirent conscience du petit phénomène qu'était Josephine. Ils lui annoncèrent donc qu'elle intégrerait la troupe principale à l'été 1922. Sissle et Blake firent de Josephine leur protégée particulière. Pendant plus d'un an, la troupe de "Shuffle Along" tourna à travers l'Amérique. Josephine était désormais reconnue comme artiste et gagnait bien sa vie.
Après "Shuffle Along", Josephine enchaîna presque immédiatement avec le nouveau spectacle de Sissle et Blake, "The Chocolate Dandies", en 1924. Elle avait maintenant l'un des rôles principaux. La plupart du temps, elle louchait et répétait les bouffoneries qui l'avaient fait connaître. Mais elle portait aussi une robe élégante de satin blanc fendue sur le côté. Une fois fini "The Chocolate Dandies", Josephine alla au Plantation Club, une copie du Cotton Club, à Broadway. LIRE LA SUITE http://www.jesuismort.com/biographie_celebrite_chercher/biograph
Joséphine Baker - Biographie http://www.www.dutempsdescerisesauxfeuillesmortes.net/fiches_bio/baker_josephine/baker_josephine.htm
THe Journal of #American History (Josephine Baker & Haiti)
https://books.google.com/books?id=3DJNCiC-mWgC&pg=PA156&lpg=PA156&dq=josephine+baker+in+haiti&source=bl&ots=ZlOQa8dAol&sig=XN_lEH52eJXtnyVbX68drVbv2yI&hl=en&sa=X&ved=0CD4Q6AEwCWoVChMI4Kzp3J_mxgIVgpINCh0HagKE#v=onepage&q=josephine%20baker%20in%20haiti&f=false
September 29, 2015 - http://haitilegends.tumblr.com/post/130419116688/watch-josephine-baker-haiti-cest-toi-mon
#HAITI☆#LEGENDS #JosephineBaker #Repost #iamgabrisan #journeedelafemme #moisdelafamme #womeninMusic
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laurent-bigot · 6 years ago
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – William Powell dans la séquence d’ouverture
Dans un paradis de coton et de marbre, Florenz Ziegfeld se remémore ses souvenirs terrestres. Il fut un très célèbre directeur de revue à Broadway. Un à un, ses numéros défilent dans sa mémoire. Ne vous laissez pas effrayer par les automates mal dégrossis qui ouvrent le film. Dans un Broadway cartonné façon école maternelle, Vincente Minnelli commence par évoquer la pré-histoire de la comédie musicale, avec toute sa mièvrerie archaïque. Au fil du temps, il nous laisse contempler l’éclosion de ce genre féerique, pour accéder à l’apothéose, avec des numéros étincelants, peut-être parmi les plus beaux que Hollywood nous ait offerts. A la manière d’un reportage foutraque et raffiné, il laisse les étoiles du genre (Fred Astaire, Judy Garland…) jouer leur propre rôle, et se gausse des futures hagiographies documentaires que la télévision leur consacrera. Une fantaisie brillante et prémonitoire qui nécessiterait peut-être un petit remontage : l’humour de certains sketchs non musicaux a mal vieilli, mais la folie brûlante des autres compense largement ces faiblesses. Allez, s’il fallait n’en garder que deux, ce serait sans aucun doute la lévitation éthylique de Cyd Charisse, blottie dans un nuage de bulles de champagne, et le frissonnant Love, que Lena Horne psalmodie comme une formule hypnotique… [Télérama – Marine Landrot]
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – “Limehouse Blues “
Le 1er mars 1944 débute le tournage de Ziegfeld Follies, l’année même où la M.G.M. célèbre son vingtième anniversaire. Réunir dans une série de sketches, plus ou moins inspirés des fameux spectacles de Florenz Ziegfeld, les plus célèbres vedettes de la Firme du Lion, est une idée séduisante qui enthousiasme Arthur Freed et Louis B. Mayer.
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – “Here’s to the Girls “
La production du film va pourtant poser une succession de problèmes et ce n’est que plus de deux ans après son premier jour de tournage que sortiront dans son montage définitif ces Ziegfeld Follies qui vont mobiliser l’énergie de la plupart des créateurs de l’ ”Unité Freed”.
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – “Here’s to the Girls “
« Arthur Freed, dit Minnelli, me demanda de réaliser tous les numéros et sketches prévus dans Ziegfeld Follies. Il s’agissait de tourner chacun de ces épisodes au moment où la star concernée était libre, puis chaque vedette tournait en même temps un autre film. De cette manière, nous économisions énormément de temps et d’argent. Mais, plus tard, parce que nous nous aperçûmes que certaines stars étaient disponibles à la même date, certains sketches furent confiés à d’autres réalisateurs… histoire de gagner encore du temps ! La réalisation de l’ensemble devait demander au moins cinq mois  ; il fallait créer des décors très sophistiqués et organiser des répétitions assez longues pour les numéros les plus compliqués. Cinq autres mois seraient probablement nécessaires pour le montage et les travaux de labo. Il fallait donc gagner le plus de temps possible sur le tournage.»
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – “Love”
Le fait que Minnelli n’ait pas été l’unique maître d’œuvre du film contribue rapidement à l’apparition de nombreux problèmes et l’on voit Minnelli réaliser un numéro alors que sur le plateau d’à côté, un chorégraphe tel que Walters répète un autre numéro dont Minnelli va par la suite assurer la mise en scène, dès qu’il aura terminé celui sur lequel il travaille. C’est ainsi que Charles Walters pouvait déclarer, dans Positif : « J’ai fait tout le numéro A Great Lady Has An Interview avec Judy Garland et, comme vous pouvez le constater par la façon dont c’est réglé, je l’avais conçu en fonction de la caméra. Puis tout d’un coup, ils ont dit : “Laisse Vincente le tourner. Il vaut mieux que tu te mettes à travailler avec Fanny Brice.” J’ai protesté que c’était tout prêt mais on m’a répondu que justement Vincente le tournerait comme je l’avais prévu et qu’il fallait que nous avancions dans le travail. Je n’ai donc pas eu ‘Directed by…” à l’écran, ce que je souhaitais déjà ».  [Minnelli « De Broadway à Hollywood » – Patrick Brion, Dominique Rabourdin, Thierry de Navacelle – ED. 5 continents Hatier (1985)]
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – “A Great Lady Has An Interview”
Tourné dans une grande dispersion créatrice, Ziegfeld Follies se présente bientôt comme un film-mammouth de 173 minutes qui se compose de 18 numéros. Une première preview a lieu le 1er novembre 1944. Les réactions du public ne sont pas bonnes. Le film est jugé trop long. Mais que faut-il couper ? Chacun a sur ce sujet sa propre idée. De nouvelles previews ont alors lieu, le 12 mars et le 20 août 1945 et l’accueil du public n’est pas jugé satisfaisant. Les dirigeants de la M.G.M. décident de modifier encore le montage et, pendant plusieurs mois, toutes les solutions possibles sont envisagées.
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – “A Great Lady Has An Interview”
De même que George Sidney, premier maître d’œuvre du film, avait cessé, après un mois de travail, de superviser cette production aux mille problèmes, Minnelli a arrêté, lui aussi de s’occuper du film et, depuis le 1er septembre 1944, il a succédé à Fred Zinnemann sur The Clock (L’Horloge).  Le 15 mars 1946 sort enfin Ziegfeld Follies qui. Le film est un triomphe commercial et on peut remarquer que son coût de revient final (3 240 816 dollars) est à peine plus élevé que le devis initial (3 000 000 dollars). Contrairement à ce que l’on peut penser, le montage du film n’est d’ailleurs pas aussi définitif que prévu et la continuité de la version dite “internationale” (23.7.48) indique un ordre de succession des numéros différent de celui que nous connaissons. [Minnelli « De Broadway à Hollywood » – Patrick Brion, Dominique Rabourdin, Thierry de Navacelle – ED. 5 continents Hatier (1985)]
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – Ballet Watter
A l’image de ce que devaient être les spectacles produits par Florenz Ziegfeld, le film allie le meilleur au pire. Il vaut certes mieux passer sous silence les quatre sketches dont la moindre “re-vision” accuse les faiblesses mais on aurait tort de n’attribuer qu’à Minnelli la réussite des numéros musicaux. L’apparition de Lucille Bali, rousse flamboyante, dressant, le fouet à la main, des femmes-panthères dans Here’s to The Ladies, dirigé par George Sidney, est un admirable moment dans lequel le Technicolor de l’époque est à lui seul un inoubliable spectacle. Quelques années plus tard, Minnelli fera d’une Lucille Bali métamorphosée, la vedette de The Long Long Trailer (La Roulotte du plaisir), une impitoyable satire de l'”american way of life”. Tout aussi magnifique est la composition de Lena Horne dans Love dont le décor – un cabaret enfumé de la Martinique – est tellement beau que le numéro, mis en scène par Lemuel Ayers a souvent été attribué à Minnelli lui-même…
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – “Here’s to the Girls “
« Pour différentes raisons, quatre scènes du film me sont restées très vivantes à l’esprit, écrit Minnelli. La première est This Heart of Mine où Lucille Bremer se révèle excellente danseuse, tout à fait à la hauteur aux côtés du grand maître Fred Astaire. L’anecdote était celle d’un voleur s’introduisant dans un grand bal, où il remarque particulièrement une jolie femme…. à diamants. Robert Alton en réglait la chorégraphie. Nous utilisâmes tous les procédés et accessoires imaginables : un plateau tournant révélant peu à peu les danseurs cachés derrière des arbres blanchis, un magnifique dancing circulaire rehaussé de statues créées par Tony Duquette… tout un décor somptueux qui ne faisait pourtant pas oublier les merveilleuses évolutions de Fred et de Lucille. »  La splendeur de ce gigantesque décor qui se referme derrière les deux danseurs comme un véritable écrin témoigne du goût de Minnelli qui oppose à la foule qui s’y meut, le paysage hivernal qui se trouve à l’extérieur. [Minnelli « De Broadway à Hollywood » – Patrick Brion, Dominique Rabourdin, Thierry de Navacelle – ED. 5 continents Hatier (1985)]
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – “This Heart of Mine “
Fred Astaire séduit en dansant avec Lucille Bremer et le numéro est une véritable ébauche de Yolanda and The Thief  (Yolanda et le Voleur) qui les réunira à nouveau, quelques mois plus tard. Moins inspiré quoique plastiquement très beau, Traviata permet à Minnelli de jouer sur les couleurs (une femme en rouge dans un décor noir) et sur les costumes d’Irene Sharaff.
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – “A Great Lady Has An Interview”
Chorégraphié par Charles Walters, A Great Lady Has an Interview est un hommage de Minnelli à celle qui allait devenir sa femme, Judy Garland, et l’arrivée de celle-ci en blanc sur un fond orange, tel un diamant, demeure dans la mémoire de tout cinéphile. La démarche ondulante et sinueuse de Judy Garland et sa manière de chanter : « I feel… well I feel   Just like a soldier out of step   Yes, but would the episode outlive me   Would my public quite forgive me   If I tried to show the world l’m really help ? Oh, but now, you darlings,   You adorable, dear, dear boys   l’m going to tell you all about my next picture. »  figurent parmi les grands moments de la future actrice de The Clock et The Pirate.
Avant-dernier numéro du film, The Babbitt and The Bromide réunit pour la première fois Fred Astaire et Gene Kelly, les deux plus grands danseurs de l’histoire de la comédie musicale hollywoodienne. « Après coup, déclare Minnelli, Gene a estimé qu’étant donné le caractère exceptionnel de cette réunion, le numéro aurait dû avoir plus de poids. Je ne suis pas de cet avis: après tout, il s’agissait d’une “revue” et je pense qu’un peu de recul et d’humour par rapport au statut de star de nos deux grands danseurs étaient les bienvenus. D’autant que, si Gene et Fred ont considéré ce numéro comme facile, leurs performances respectives n’en sont pas moins brillantes et impressionnantes. La chorégraphie du numéro fut conçue par Fred et Gene eux-mêmes. ‘Nous étions si polis et si qénéreux l’un vis-à-vis de l’autre que ça en devenait presque ennuyeux !, en a dit plus tard Gene Kelly. Je peux dire quant à moi que, pendant la préparation du numéro en question, chacun d’eux hésitait à lancer une idée, de peur d’être accusé de vouloir imposer son propre style chorégraphique. Aussi Gene, comme Fred, y allaient-ils prudemment, en ayant l’air de faire une simple suggestion :   – Et si on faisait comme ça ? Et devant l’absence de réaction de l’autre, celui qui avait parlé se pressait d’ajouter :   – Non, après tout, ce n’est pas une très bonne idée ! » 
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – “The Babbitt and the Bromide “
La déception que l’on peut parfois éprouver à la vue de cette rencontre historique entre Astaire et Kelly, tournée en quatre jours, après six jours de répétition, tient sans doute essentiellement à la différence de style des deux danseurs. La grâce aérienne d’Astaire, évidente dans The Band Wagon (Tous en scène), s’oppose en effet au style plus moderne et plus réaliste de Kelly qui trouve inversement son apogée dans Singin’ in The Rain (Chantons sous la pluie). Quant à Limehouse Blues pour lequel Minnelli ne cache pas son faible, c’est tout à la fois le plus beau moment du film et l’un des sommets de son œuvre. [Minnelli « De Broadway à Hollywood » – Patrick Brion, Dominique Rabourdin, Thierry de Navacelle – ED. 5 continents Hatier (1985)]
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – “Limehouse Blues “
« Pour cette séquence, l’une des meilleures choses que j’aie faîtes, raconte-t-il, j’avais un prologue et un épilogue en pantomime où j’utilisai seulement deux couleurs : le jaune et le marron. Le style du prologue et de l’épilogue s’inspirait des gravures anglaises à la manière noire : très sombres et floues. La fantaisie chinoise fut réalisée dans le style des “chinoiseries” françaises, tout ce mobilier, ces lambris, etc, de l’époque Louis XVI. A cette époque-là, les Français avaient une conception particulière de la Chine, tout comme ils imaginaient une Amérique peuplée d’Indiens emplumés. Quelque chose d’absurde, mais assez beau d’une certaine façon. »
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – “Limehouse Blues “
La magie de Minnelli éclate dès les premiers plans. Le quartier chinois. L’atmosphère du Londres victorien de Dickens mais aussi de jack l’Eventreur et de Mister Hyde. Un Londres où l’on peut rencontrer Sherlock Holmes et où se trament les forfaits de Fu Manchu. Un éclairage glauque. Un vieil homme qui fume (de l’opium ?). Un phonographe ambulant. Des “pearlies” et soudain l’apparition de Fred Astaire en coolie vêtu de noir. Il est impossible de ne pas songer aussitôt à Richard Barthelmess dans Broken Blossoms (Le Lys brisé) de D.W. Griffith. Cet homme en noir est fasciné par une femme en jaune. Un vol. Des coups de feu. Le coolie s’écroule et le rêve commence. Un fabuleux paysage chinois s’anime et Minnelli oppose soudain à l’atmosphère trouble et nocturne du début un univers éclatant de lumière dans lequel vont évoluer ses deux danseurs. Dis-huit jours de répétitions, deux jours d’enregistrement et dix jours de tournage aboutissent à un moment de cinéma de treize minutes, un des ces “instants” sublimes. [Minnelli « De Broadway à Hollywood » – Patrick Brion, Dominique Rabourdin, Thierry de Navacelle – ED. 5 continents Hatier (1985)]
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – Numéro d’ouverture avec les marionnettes de Louis Bunin
Le talent des créateurs de la M.GM. transformant pour Limehouse Blues le décor construit pour The Picture of Dorian Gray (Le Portrait de Dorian Gray), se combine avec le génie de Minnelli, son habileté à faire répondre les couleurs les unes par rapport aux autres, à passer de la réalité au rêve et à métamorphoser un plateau de cinéma en un monde où se mêlent l’amour, la danse et la beauté. Le style pictural de Minnelli réapparaît partiellement dans la dernière partie du film qui comprend la chanson “Beauty” de Kathryn Grayson et quelques plans provenant du numéro There’s Beauty Everywhere.
ON SET – ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945)
ON SET – ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945)
« Le décor de ce numéro, raconte Fred Astaire, était un imposant ensemble de rochers et nous devions danser plongés jusqu’à la ceinture et en habit de soirée dans un véritable bain de mousse. De jolies filles étaient disséminées ici et là sur des rochers, semblables à de grandes mouettes. Plusieurs s’évanouirent, incommodées par les émanations des produits chimiques nécessaires à la fabrication de la mousse. Tout cela ne donna sans doute rien, la plus grande partie du numéro ayant sauté au montage final. Grâce au ciel, tout ce que j’y faisais avait disparu. C’était un véritable gâchis.» Restent un ensemble de rochers et de nuages, des girls ressemblant à des vestales et un décor qui rappelle certaines œuvres de Dali ou de Chirico. Cyd Charisse évolue au milieu de grandes masses de mousse, donnant une petite idée de ce que pouvait être à l’origine le numéro…
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – William Powell dans la séquence d’ouverture
Dans sa forme actuelle, et en dépit de ses sketches…, Ziegfeld Follies est un éblouissant spectacle, chatoyant et somptueux, un hymne à cette femme moderne idéalisée par Ziegfeld.
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ZIEGFELD FOLLIES – Vincente Minnelli (1945) – “Limehouse Blues “
Programme musical
Here’s to the ladies Après avoir payé un tribut à la beauté des femmes, Fred Astaire laisse la place à Lucille Bail et ses femmes panthères et à Virginia O’Brien qui, sur un cheval de manège, glorifie “l’homme merveilleux”. Director : George Sidney – Music by Roger Edens – Lyrics by Arthur Freed – Sung by Fred Astaire, chorus – Danced by Cyd Charisse, Lucille Ball, chorus  Bring on the wonderful men Director : George Sidney – Music by Roger Edens – Lyrics by Earl K. Brent – Sung by Virginia O’Brien 
Water ballet. Un ballet nautique conçu et exécuté par Esther Williams. Director : Merril Pye 
La Traviata. James Melton et Marion Bell du Metropolitan Opera, chantent un extrait de l’opéra de Verdi. Director : Vincente Minnelli – “Libiamo ne’lieti calici” from “La Traviata” – Music by Giuseppe Verdi – Sung by James Melton, Marion Bell
This heart of mine. Fred Astaire, croqueur de diamants, offre son cœur à Lucille Bremer au cours d’une danse, mais ne l’en déleste pas moins de son bracelet. Avant qu’il disparaisse, elle lui offre un autre bijou. Director : Vincente Minnelli – Music by Harry Warren – Lyrics by Arthur Freed – Sung by Fred Astaire 
Love. Dans un décor tropical, Lena Horne chante l’amour. Director : Lemuel Ayers – Music by Hugh Martin – Lyrics by Ralph Blane 
Limehouse blues. Fred Astaire, en coolie chinois, est ébloui par l’apparition de Lucille Bremer, superbe orientale vêtue d’une robe jaune. II la voit admirer un éventail dans une vitrine. Elle s’éloigne et s’approche à son tour de l’objet. Des bandits cassent à ce moment la vitrine du magasin. Astaire s’empare de l’éventail et tombe, frappé  d’une balle perdue. Il se retrouve, en rêvant, en train de danser avec cette femme merveilleuse. Il meurt au moment où, revenue pour acheter l’éventail, elle le rejette avec dégoût parce qu’il est taché de sang. Director : Vincente Minnelli – Music by Philip Braham – Lyrics by Douglas Furber – Sung by Harriet Lee 
A great lady has an interview. Judy Garland, star inaccessible, accorde une conférence de presse. Director : Vincente Minnelli – Music by Roger Edens – Lyrics by Kay Thompson 
The Babbitt and the Bromide. Fred Astaire rencontre Gene Kelly : tous deux exécutent un numéro de George et Ira Gershwin. Deux hommes se rencontrent tous les vingt ans et échangent les politesses banales d’usage. Director : Vincente Minnelli – Music by George Gershwin – Lyrics by Ira Gershwin 
There’s Beauty Everywhere. Kathryn Grayson chante un hymne à la beauté qui conclut ces dernières Follies du grand Ziegfeld. Director : Norman Taurog, Vincente Minnelli – Music by Harry Warren – Lyrics by Arthur Freed – Sung by Kathryn Grayson 
Fiche technique du film 
Dans un paradis de coton et de marbre, Florenz Ziegfeld se remémore ses souvenirs terrestres. Il fut un très célèbre directeur de revue à Broadway. Un à un, ses numéros défilent dans sa mémoire. Ne vous laissez pas effrayer par les automates mal dégrossis qui ouvrent le film. Dans un Broadway cartonné façon école maternelle, Vincente Minnelli commence par évoquer la pré-histoire de la comédie musicale, avec toute sa mièvrerie archaïque. Au fil du temps, il nous laisse contempler l'éclosion de ce genre féerique, pour accéder à l'apothéose, avec des numéros étincelants, peut-être parmi les plus beaux que Hollywood nous ait offerts. A la manière d'un reportage foutraque et raffiné, il laisse les étoiles du genre (Fred Astaire, Judy Garland...) jouer leur propre rôle, et se gausse des futures hagiographies documentaires que la télévision leur consacrera. Une fantaisie brillante et prémonitoire qui nécessiterait peut-être un petit remontage : l'humour de certains sketchs non musicaux a mal vieilli, mais la folie brûlante des autres compense largement ces faiblesses. Allez, s'il fallait n'en garder que deux, ce serait sans aucun doute la lévitation éthylique de Cyd Charisse, blottie dans un nuage de bulles de champagne, et le frissonnant Love, que Lena Horne psalmodie comme une formule hypnotique... [Télérama - Marine Landrot] Dans un paradis de coton et de marbre, Florenz Ziegfeld se remémore ses souvenirs terrestres. Il fut un très célèbre directeur de revue à Broadway.
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emiliemagnan-blog · 6 years ago
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13ème weekend et 12ème semaine de cours
Ce samedi 3 Novembre 2018, nous avons eu deux représentations s'étant déroulées respectivement à 14 et 18 heures 30. Ce matin là, je suis restée au lit jusqu'à 10 heures!!! Ensuite, nous sommes allés au magasin où j'ai acheté les cadeaux pour mon “secret pale” : des chausettes et une bague. Nous sommes également allés dans un fast-food chinois. C'était un long contoir où de nombreux plats était présentés et avant de prendre sa décision on pouvait goûter!!! Evidemment, le poulet aux annanas m'a charmée. Et selon le mot de mon fortune cookie, mon future est brillant… hum pas très précis tout ça mais encourageant. 😌 Cette après midi là, mes parents d'acceuil sont venus voir le spectacle. Du coup, ils ont assisté à la chute de ma casquette. Pas facile de faire des claquettes en douceur même si le chapeau est mal fixé … Entre les deux représentations, nous avons eu de la pizza et dans la soirée tous les acteurs sont allés chez “I HOP”, un restaurant de petit-déjeuners ouvert 24 heures sur 24. L'ambiance était chouette. Tashi et moi avons partagé nos plats: gauffres avec poulet fri et pancakes. La sauce des pancakes ne m'a pas trop plu. Heureusement que Tashi aimait bien. Et pour couronner le tout, un chocolat chaud. 🥞🍗☕ Le restaurant était immense, comme la pluparts des endroit ici. Nous étions tous dans une salle du fond et juste à côté les jeunes acteurs de Longvieuw High School, l'autre école de la ville, étaient là. Ils jouent “ Belle et la Bête”. D'ailleurs les écoles se sont mises d'accord pour échanger des tickets et nous pouvions aller voir leur spectacle mardi et eux venait lundi. En résumé, très chouette soirée.
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Dimanche, après l'église, direction l'école pour une representation à 14 heures. Chaque fois, nous devions être trois heures à l'avance pour les maquillages et costumes. Je me la suis jouée ninja et je suis arrivée chaque fois une heure en retard car même si le maquillage prenait du temps, après il restait toujours une heure trente d'attente. 💃 Ce jour là, j'avais la tête dans les nuages et j'étais très fatiguée. À un moment, j'étais sensée être sur scène mais mes cheveux s'étaient bloqués dans la fermeture éclaire de mon costume et tout mon changement était en retatd. Alors qu’ils étaient tous en scène, je suis arrivée et en quelques millième de seconde, j'ai du decider ce qui était le pire: arriver en reatrd sur scène ou ne pas arriver du tout. La première option l'a emporté et j’ai tenté de passé inaperçue tout en me dirigeant vers ma place. A mon avis ça devait ressembler à un éléphant dans un magasin de porcelaine… Lol 🐘🍽 Ma coordonnatrice est venue assister a la représentation et elle à adoré. Après le spectacle, nous avons eu une petite fête. Tout le monde avait apporté à manger et nous avons échangé nos cadeaux en decouvrant les noms!!! Mon secret pale était Tashi ( bon j'ai décidé d'écrire les noms parce qu'Aurore le fait ( de un) et que personne mis à part vous ne lit ce blog ( de deux) ) . Elle m'a offert des lotions, des snickers et des chausettes! Mais ce qui m'a fait le plus plaisir, c'est son petit mot. La professeur a aussi distribué des petites cartes et nous avons tous dit un petit mot. Bon évidemment, trop émue rien n'est sorti. 😜
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Lundi, la fatigue m'a accompagnée toute la journée mais j'ai survécu telle une “ warrior”. 👸 C'était également le dernier show.😢 Le prof de cross country et sa femme étaient là et ils ont apprécié. D’ailleurs en fin de soirée dans son message journalier annoncant l’entraînement du lendemain, le coach à mentionner notre prestation. À la fin, nous avons rangé et trier tous le costumes avant de rentrer. Finalement, j'ai beaucoup râlé à cause des répétitions mais ça en valait la peine! Je n’oublierai jamais ces moments.
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Mardi, nous avons fait des lettres de remerciements pendant le cours de théâtre pour remercier tous les sponsors. C'est inimaginable les coûts d'un tel spectacle: les droits de représentations pour les musiques, le script, le logo,… ensuite les costumes, les fascicules…. En cours d'art, j'ai enfin fini mon dessin! 🦐 Ce jour là a été un jour de révélations dans bien des domaines pour moi. Dans l'école, chaque fois, je croisais des gens avec des yeux de couleurs magnifiques: des métisses aux yeux bleux, des mexicaines aux yeux doré,… Bref, vous comprenez. En fait ils portent tous des lentilles de couleurs! Aussi depuis que je suis ici, je n'ai à aucun moment utiliser de couteau: tout à la fourchette! Déjà que je me faisais reprimender à la maison... Papa maman, quand je vais rentrer vous aurez une petite sauvage à table. Ce soir-là, j'ai repris le bus avec Tashi et nous avons fait nos devoir jusqu'au repas. Ensuite, nous sommes allés à Longvieuw High School, l’autre école publique de la ville. L'endroit est immense, séparé en deux campus par une route et connecté par un pont. Évidemment, nous sommes descendues du mauvais côté et avons du courir pour arriver à temps. Pfff, c'était moins une. Le musicall était “ Belle et la Bête” et la représentation a été impressionnante. Nous étions une quarentaine de mon école à aller. En raison du nombre d'élèves bien plus élevé, la section de théâtre est plus subventionnée, les élèves plus nombreux et l’infrastructure du théâtre était très grande, sûrement le double de notre salle. Le spectacle était grand diose. Tous nous n'avons pas pu nous empêcher de compaer et notre point de vue n'était sans doute pas très objectif. Je vais quand même vous en faire part. Niveau costumes et décors, il n'y a pas photo, les leur étaient magnifique. Des costumes aux couleurs chatoyantes et des sets d'une qualité impressionnante. Pour la partie chant et jeux des acteurs, j'étais un peu perplexe. Mais après tout c'est un niveau scolaire et bien que je suis un peu informer pour la partie théâtre, la partie chant, je ne peu pas vraiment juger. Je serais même incapable de sortir une note juste pour l'instant. En tout cas, j'ai beaucoup aimé et j’espère que un jour nous aurons la chance d'avoir de telle production en Belgique. J'ai également reçu une lettre d'Aurore!
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Mercredi 7 Novembre, j’ai e cross country. Bon être honnête , c'est le seul jour de la semaine pendant lequel j'ai été. Après une heure de musculation, mon corps a souffert pendant deux jours. Et encore, normallement, ont ajoute des poids sur les bars qu'on soulève… Dans la soirée, nous sommes allés à l'église pour un office mensuel destiné au baptême. Ce soir-là, il y avait 12 baptisés âgés de 8 à 70 ans. Dans cette communauté, le baptême peut être renouvelé et est vu comme un renouveau dans ça relation avec le christ. Chaque participant explique les raisons de son choix ( ex: “j'ai ignoré Jesus et maintenant je sens qu'il m'appelle”, “J'ai été baptisé enfant et seulement maintenant je prends conscience de ce que ça signifie”, “ je veux que mes enfant grandiissent avec un père exemplaire”). Entre pleurs et soutient, le pasteur évoque son ressentit et baptise. Le baptême se fait dans un espace de plus où moins 3 metre sur 1,5 situé derrière la scène et donc en face du public. C'est une sorte de piscine miniature donc remplie d'eau jusqu'à la taille et ouvert au dessus pour qu'on puisse voir les baptisés. Le baptême consiste a immergé pour quelques instants la personne. Pour ce faire le pasteur la soutient dans le dos et l'aide à plonger en arrière. Après cela, il y a eu une prise de parole du pasteur et des chansons.
Jeudi, je me suis endormie directement après etre rentrée et me suis réveillée de justesse pour preparer des crêpes.
Vendredi, nous avons eu un pep really game très spécial car destiné au seniors. Tous les clubs ont fait un petut mime de leur activité comme un faux match pour tennis le tout filmé par les professeurs. Avec le groupe des séniors de théâtre, nous avons fait un petit cercle de motivation. Ensuite, tous les seniors de cette année (nous sommes à peu près 300, je crois), avons fait un grand cercle bras dessus bras dessous et avons tanguer d'un côté à l'autre. Après nous être tous assis sur le terrain de basket, nois avons regardé avec toute l'école des photos de tous less seniors. J'en avais envoyé mais j'ai du me tromper addresse mail car elles ne sont jamais passées. 😢 Une fois à la maison, j'ai aidé à préparé les Piroskis. Et oui, on a réessayer avec une autre recette et ça a fonctionner. Par contre je n'ai eu le temps que de gouter et pas de souper car je suis allée au dernier match de football americain de la saison pour l'école. J'ai mangé sur place du coup mais je n'avais aucune idée de ce que je commendais et je me suis retrouvée avec un sandwich de poulet frites pour 9 dollars. Ouinnnn 🌭😒 Finalement, il faisait tellement froid que nous sommes partis peu après la mi temps. Et une fois rentrée, je me suis logée sous les couverture pour récupérer tout le sommeil que j'ai manqué ces dernier temps. Dédicace à Justine, non je ne suis pas un vampire il m'arrive de dormir. 📿🛏
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Je vous aime
Emilie😘🇺🇸
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merzbow-derek · 6 years ago
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POST-SCRIPTUM 954
AGITATION FRITE 3
Agitation Frite 1 et 2, Témoignages de l’underground français sont donc réédités par Lenka lente. Un troisième volume est sur le point de sortir, fait d’interviews pour moitié, mais aussi de textes cette fois, dont un TOP 602 commenté des meilleures productions en la matière. On en trouvera ici des extraits, régulièrement. Par exemple, JOËLLE LÉANDRE.
Son chemin, Joëlle Léandre l’a placé sous le double signe de l’humilité et de l’aventure, avec un goût du risque peu commun. D’origine modeste (son père était cantonnier et elle se plaît à dire qu’il a probablement participé à la réalisation des routes qu’elle parcourt), elle s’adonne à la musique très tôt. « J’ai commencé par le piano à 9 ans quand l’accordeur a parlé aux parents d’une classe de contrebasse s’ouvrant au conservatoire d’Aix-en-Provence. Le frère d’abord, et un an après, moi. Hasard ? Chance ? Il fallait bien trouver des élèves pour cet instrument... » Finalement, ce qui l’attira réside dans le son de la contrebasse, son corps, sa verticalité, sa présence. « Sa richesse et sa profondeur me captivaient comme la difficulté même d’aller chercher des sons dessus. »
Sa vie, pavée de rencontres s’échelonnant depuis le début des  années 1980 avec des musiciens pour qui expérimenter, exprimer et partager constituent un art de vivre, s’est aussi nourrie de lectures consommées avec une anarchie frôlant la boulimie. « Les surréalistes et Antonin Artaud furent également importants. Le bouquin de Robert Lebel sur Marcel Duchamp aussi. Les mots et les sons, en fait. » Quant à ses influences musicales, elles s’avèrent multiples : Chopin et sa vie tourmentée ; Bartók et ses enregistrements de musique folklorique ; Varèse puis John Cage, Giacinto Scelsi (« sa musique est universelle ») et Derek Bailey qu’elle a tous trois rencontrés. « John dont j’avais lu For The Birds m’a fait écouter le monde autour de moi. « Laisse le son être ce qu’il est » m’a-t-il dit : il m’a ouverte à une infinité de possibles que je n’ai jamais cessé d’explorer. » Les prix, le conservatoire, la formation à la lecture et à la musique d’orchestre, sa participation à de prestigieux ensembles comme Itinéraire, 2E 2M ou l’Ensemble Intercontemporain de Pierre Boulez auraient pu la convertir à la pratique exclusive d’une musique plus ou moins académique, la détourner des chemins de traverse de l’improvisation. Au lieu de quoi elle a choisi de vivre la passion qui l’anime au quotidien, comme un acte d’amour, total et sans équivoque, avec des musiciens ayant les mêmes affinités qu’elle et laissant l’asservissement à d’autres. « La musique, c’est un langage. J’ai joué pendant vingt ans de la musique classique, contemporaine, lu des centaines de partitions, de structures et de formes complexes, belles et chiantes avant de comprendre que ce qui nous transforme et nous transcende, c’est tout simplement deux sons mis en mouvement qui peuvent nous parler du fin fond des temps. Il faut se foutre des styles, des écoles, des modes, des civilisations même, des études : il faut élaguer. Les formes et les mouvements de la création m’ont toujours interpellée. Regarde un arbre. Sa complexité, sa simplicité et sa beauté, sa tête pointue attirée par le ciel, l’espace autour. Le « laisser être », voila la chose : j’ai toujours cru au travail et à la réflexion, il faut laisser venir les choses. »
Les amis qu’elle a choisis sont ceux, qui, comme elle, ont le goût de l’aventure. Tous ont participé à sa volumineuse discographie amorcée avec l’album Taxi. Maggie Nicols, Lindsay Cooper, Irène Schweizer, Sainko Namtchylak, Annick Nozati, Lauren Newton – beaucoup de femmes, donc – mais aussi Lol Coxhill, Daunik Lazro, Paul Lovens, Anthony Braxton, John Zorn, Steve Lacy, Bill Dixon, George Lewis, William Parker et des centaines d’autres. En leur compagnie, elle se consacre à l’exploration du son : « Le son, c’est l’homme, c’est l’individu, toute son écorce, ce par quoi il passe ou doit passer, ses accidents et ses incertitudes, ses gloires et ces chambres où l’on attend, seul et fou d’aimer, de monter sur scène et de dire. Quant à l’improvisation, elle stimule la créativité, la libère : elle ne hiérarchise pas, elle s’écrit dans l’instant ; et puis, elle travaille la matière, elle questionne les formes. Il n’y a ni hommes ni femmes, ni beau ni laid. C’est une jubilation collective. » Avant de continuer : « L’improvisateur est un yogi. »  Et l’improvisation, une quête spirituelle, expression qu’elle ose à peine employer. « La voie que je cherche, c’est le trop-plein avec l’objectif..., ..., ...
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musitechnicformation · 27 days ago
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mysteriis-moon666 · 2 years ago
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DEATH DIES - Stregoneria
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Death Dies a été créé en 1995 par Demian De Saba et Samael Von Martin respectivement batteur et guitariste/fondateur du légendaire groupe de black metal italien EVOL.
L'intention était de revisiter le son du groupe principal afin d'offrir quelque chose de plus violent, bien que combiné avec des influences prog et folkLe groupe sort en 1998 un split CD avec Satanel intitulé "When Death Died" via Maggot Records, et en 1997 un 7" intitulé "The Art of Domination".
Produit par Northern Darkness Records, "The Sound of Demons" premier album est sorti via "Black Tears Of Death" en 2002 devenu trio avec l'ajout de Rex Tenebrae, ex EVOL. Deux autres albums suivront « Product of Hate » (en 2003) et « Pseudochristos » (en 2006), pour BTOD et pour le label français Adipocere. En 2015, l'album "Legione" sort avec plusieurs chansons de leur propre catalogue et de la discographie d'EVOL qui ont été dûment réenregistrées. En 2022, le groupe est passé à un line-up de cinq musiciens, composé par Andy « Bull » Panigada de Bulldozer : guitare solo sur « Argento », Lucho Sanchez de Blizzard Hunter : guitare solo sur « Vento d'Erebo , Simon Fèrètro de Mater A Clivis Imperat : guitare solo sur « Mystery Forest », Abiura l'Eterno ” et “Falce e Corona”, M. Yasuzuky d'Abigail: Voix sur “Mystery Forest””
​Ce nouvel album intitulé "Stregoneria" est la somme des influences et des différentes expériences musicales des membres du groupe. L'album se caractérise souvent par une combinaison de riffs de black et de speed metal, entremêlés d'ouvertures mélodiques pas loin des sonorités typiques des écoles occultes et black metal italiennes et grecques. "Stregoneria" présente le son majestueux, et malveillant du groupe dans sa forme la plus puissante à ce jour, brut et robuste comme jamais auparavant. Un point culminant de toutes les caractéristiques du son classique de DEATH DIES : des murs de guitare épais et palpitants et une écriture de chanson simple qui enfonce le clou, et ceci à plusieurs reprises.
L'album comprend également une nouvelle version du classique "Sorrow of the Witch" d'EVOL, qui a été réenregistré et mis à jour avec une production plus raffinée.
Death Dies sollicite les vapeurs des ténèbres black et speed metOl afin de corroder à sa puissance maligne un disque qui s’harnache à ses comètes atmosphériques. Il y a là une telle vigueur sous les cendres, sous toutes les foudres, qu'une semence gronde sa passion sonique. Le groupe fait jaillir ses tripes, des troncs ardents, des levains volcaniques, toute la déchéance des cieux et de sa chair résonne les tréfonds de la nuit.
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rollingstonemag · 6 years ago
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/rod-stewart-blood-red-roses-track-by-track/
TRACK BY TRACK - Rod Stewart présente son nouvel album, "Blood Red Roses"
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Légende vivante de la pop anglaise, Rod Stewart signera son grand retour à la fin du mois. Il nous présente son nouveau disque piste par piste !
Présenté comme un melting pot de folk acoustique, de pop Motown/R&B, de rock’n’roll et de chansons d’amour, Blood Red Roses est avant tout un album intime pour Rod Stewart, saint patron des popstars d’outre-Manche, adoubé par la Reine d’Angleterre en 2016. « J’ai toujours l’impression de faire des albums pour quelques amis, et cet album reflète parfaitement cet esprit (…), » raconte-t-il. Les deux premiers extraits, Didn’t I et Look in Her Eyes, témoignent d’une volonté de modernité évidente, avec une production calibrée.
Un album très attendu pour le leader des légendaires Faces, comptabilisant à l’heure actuelle plus de 200 millions d’albums et de singles écoulés à travers le monde. Toujours parmi nous, son dernier album en date, Another Country (2015), s’était vendu à 1 million d’exemplaires à travers le monde.
Abordant tour à tour l’amour, la disparition, le désir ou encore l’addiction, ce recueil très personnel de Rod Stewart, dont les textes des titres originaux ont été écrits tout récemment (l’album contient trois reprises)
Mais qui mieux que le maître lui-même pour parler de son œuvre ? Ci-dessous, Rod Stewart nous dévoile les entrailles de Blood Red Roses, deux semaines avant sa sortie officielle :
Look in Her Eyes
« J’ai écrit cela comme un petit conseil à la nouvelle génération, les mecs qui font la queue devant les clubs. Une gentille mise en garde, pour savoir respecter les femmes. C’est à l’auditeur de choisir ce qui se passe à la fin de la chanson, si le garçon parvient à séduire la fille. Je leur laisse le soin de décider. »
« C’est la première chanson à utiliser le mot ‘vogueishly’? (ndlr :vogueusement ?) Vraiment ? Je me suis dit, ‘Je ne vais même pas chercher à savoir si ce mot existe, je vais faire comme si.' »
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Hole in My Heart
« J’y aborde en partie le fait que je ne peux pas m’occuper d’une maison. Quand votre copine vous quitte ou que vous l’avez poussée à partir et vous vous dites ‘Comment ça marche tout ça pour me faire à manger ? Tu ne sais même pas faire marcher le grille-pain.’ Ça m’est arrivé quelques fois dans ma vie. Je pense que c’est le genre de chansons que je sais faire le mieux d’une certaine façon. »
Farewell
« C’est à propos de mon vieil ami Ewan Dawson qui est mort il y a environ cinq ans. Il y a une photo de lui dans mon livre, on était de tellement bons amis, vraiment proches. »
« On s’est rencontré en 1963. Je l’ai croisé dans notre café du coin, il portait une paire de bottines à talons cubains. Je me suis dit ‘Hey je pensais être le seul à Muswell Hill à porter de telles bottes !’ On s’est lié d’amitié et avons foncé dans toutes les aventures qui pouvaient s’offrir aux jeunes hommes de l’époque, du Marquee Club à Soho, à courir après les filles et tout ce qui va avec. »
« J’ai passé toutes les années 60, 70 et 80 avec lui. C’était vraiment mon âme soeur. »
« Il était bien éduqué et sortait d’une école privée – tout l’inverse de moi. Je pense que c’est pour cela qu’on s’est aussi bien entendu. »
« C’est une chanson triste et mélancolique qui je pense pourrait être jouée à de nombreux enterrements. »
Didn’t I
« Le titre évoque les dommages que peuvent causer les drogues, le tout du point de vue des parents. »
« Bien que mes enfants aient pu faire leurs propres expériences, ils ont des amis qui sont vraiment tombés dans la drogue et en souffrent. J’ai pu observer à quel point cela leur avait brisé leur cœur ainsi qu’à leurs parents. Mon fils Sean a déjà vu quelques uns de ses amis faire une overdose et se retrouver dans une situation critique. C’est vraiment triste. »
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Blood Red Roses
« Une première pour moi, une chanson qui parle de pêche à la baleine ! Ça change ! Une chanson folk au tempo enlevé qui évoque la pêche. Une nouvelle expérience pour moi. »
« Je me souviens avoir vu le chanteur Ewan McColl à Tottenham Court Road quand j’avais 17 ans, il avait une chanson qui parlait à peu près de la même chose. »
Grace
« Une autre que je n’ai pas écrite mais mon dieu qu’elle vous reste en tête. »
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Et les paroles ! Une histoire d’amour entre un couple de jeunes, un amour de jeunesse qui se passe en Irlande pendant la révolte contre les anglais en 1916. Lui est condamné à mort et quelques heures avant son exécution, ils se marient en prison et passent un quart d’heure ensemble. Il a été emmené et fusillé le lendemain. ‘Alors que l’aurore s’éveille, mon coeur s’éteint.’ C’est simplement poignant. »
« Lorsque vous chantez une chanson comme Grace, vous essayez de ne pas contenir trop l’émotion même si les paroles relatent un véritable drame. »
« Lorsque vous la chantez et que vous voyez le réalisateur verser une petite larme, vous savez que vous avez touché la corde sensible. Vous avez visé juste. »
Give Me Love
« Nous avons intentionnellement voulu donner un ressenti très 70’s, plutôt que de le faire sonner comme un titre de dance moderne, nous avons pris beaucoup de plaisir à l’enregistrer. »
« Quand je dis ‘Peace be still’ (‘Sois en paix,’ ndlr), je cite un extrait de la Bible que le Révérant James Cleveland avait utilisé dans une chanson. Mais aussi Jésus pour la citation originale, je ne manquerai pas de le créditer comme troisième auteur ! »
Rest of My Life
« C’est une chanson joyeuse, très enjouée qui je l’espère saura mettre de bonne humeur. Nous avons adopté ce type de rythmique très Motown, qui est à l’origine de tellement de tubes. »
« C’est une chanson qui célèbre l’amour qui arrive plus tard dans une vie et les paroles ‘Make her happy, make her laugh’ (‘Rends-la heureuse, fais-la rire,’ ndlr) l’exprime en grande partie. De trouver le bonheur dans l’autre mais aussi de s’amuser au passage. C’est très important, l’humour. »

Rollin’ & Tumblin’
« Cette chanson n’est évidemment pas de moi, elle n’est même pas de Muddy Waters à qui beaucoup de gens l’attribuent. C’est une chanson qui a évolué au cours des années avec de nombreuses personnes ayant apporté leur pierre à l’édifice. Mais elle remonte à 1938 à peu près, son histoire est assez époustouflante. Lisez-la. »
Julia
« J’y aborde ma première histoire d’amour – j’avais 10 ans et elle 14. Tout est vrai sauf le prénom. Son nom était Juliet, pas Julia, mais ça marchait mieux avec la chanson. »
« L’inspiration musicale vient d’un jour où j’ai vu des répétions de musique celtique sur la chaîne Celtic TV et j’ai vraiment aimé une ligne de guitare que j’avais entendue. J’ai pu entrer en contact avec celui qui l’avait composée – même si cela m’a pris un temps fou. C’est un musicien et producteur écossais, un type formidable nommé John McLaughlin qui fait toutes les musiques pour Celtic. Il était vraiment aux anges car il allait pouvoir se faire un peu d’argent avec les riffs de guitare qu’il a composés sur lesquels j’ai mis des paroles. Parfois c’est aussi simple que cela. »
Honey Gold
« Qui est Honey Gold, restera un mystère – ça ne serait pas juste de révéler son nom. C’était quelqu’un que j’admirais grandement. Nous l’admirions tous. »
« J’ai usé de subterfuges poétiques afin de respecter sa vie privée car c’était une femme magnifique et elle est toujours parmi nous. »

Vegas Shuffle
« Vous n’allez jamais battre les Rolling Stones à leur propre jeu, mais ceci est peut-être une tentative d’aller plus loin que le groupe The Faces. En tout cas on sent vraiment ce bon groove. »
« On l’a pas encore joué à Las Vegas encore, car il n’y avait pas assez de place dans le spectacle. On voudrait bien tout jouer mais il faut bien rendre la scène à un moment. »
Cold Old London
« C’est une belle mélodie si je peux me permettre, et j’étais heureux d’avoir réussi à y mettre du coffre. Je prends grand soin de ma voix, on n’a pas le choix. »
Who Designed the Snowflake?
« Paddy McAloon, grand respect pour lui qui a écrit cette chanson. Il m’a appelé un jour et m’a dit ‘J’ai une chanson pour toi’ et je suis tombé à terre, je suis un fan éternel de Prefab Sprout. Je n’ai pas encore rencontré Paddy mais c’est un grand auteur. »
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comediesmusicales · 7 years ago
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Il Était Une Fois Broadway : un spectacle sensationnel qui vous invite à découvrir ou à redécouvrir les plus grands classiques de la Comédie Musicale !
Durant plus de deux heures, 100 choristes et 60 musiciens ainsi que des guest, vous emmèneront à Broadway en interprétant les musiques iconiques de Cabaret, de Cats, de Yentl, du Fantôme de l’Opéra ou encore de West Side Story.
Pour la première fois en France, venez assister à cette interprétation symphonique des plus beaux standards du Musical international accompagnés par un Choeur polyphonique. Le spectacle se déroulera sous la direction artistique de Pierre Yves Duchesne, premier francophone a avoir eu la chance d’interpréter le rôle titre du Fantôme de l’Opéra à Hambourg, ayant également été à l'affiche des plus prestigieux spectacles (Cats, Les Misérables) et ayant assuré la direction vocale de Grease ou encore Chicago. Il est également fondateur et directeur de la plus grande école de comédie musicale en Europe AICOM - Académie Internationale de Comédie Musicale et voit ses élèves régulièrement accéder aux plus belles productions mondiales.
Billetterie : www.viparis.com
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waiomizik · 4 years ago
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#Actualités - une École de Formation Musicale au Port #àdomicile #Apprendre #Guitare #îledeLaRéunion #Jouer #Meilleur #Méthode #Production #Regarder https://waiomizik.re/?p=35866...
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lemaupertus · 5 years ago
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https://e3o.org/e3o/livres-technique-alexander/
Livres : Technique Alexander
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La technique Alexander Editions Eyrolles. 2017 La Technique Alexander s’appuie sur le rapport étroit qui existe entre la pensée et l’activité musculaire. Par l’accomplissement de mouvements simples, elle propose d’observer et de changer ses habitudes inappropriées. Elle aide en particulier à repérer ses crispations et à porter un regard neuf … Lire plus…Livres : Technique Alexander La technique Alexander Editions Eyrolles. 2017 La Technique Alexander s'appuie sur le rapport étroit qui existe entre la pensée et l'activité musculaire. Par l'accomplissement de mouvements simples, elle propose d'observer et de changer ses habitudes inappropriées. Elle aide en particulier à repérer ses crispations et à porter un regard neuf sur la façon dont chacun aborde ses activités quotidiennes. Cet apprentissage est source d'amélioration durable en cas de maux de dos, de douleurs articulaires, de rigidité musculaire, de maux de tête, de problèmes respiratoires, d'asthme, etc. Conçu par une spécialiste, cet ouvrage propose une démarche pas-à-pas pour libérer son énergie et retrouver la liberté de ses mouvements. Une action en profondeur - Des exercices en douceur Catherine de Chevilly enseigne la Technique Alexander depuis 1990, en cours individuels et collectifs. L'autonomisation des personnes étant pour elle une priorité, elle s'investit aussi dans la transmission de la Technique aux enfants et aux enseignants, notamment dans des écoles primaires et conservatoires de musique. Elle est membre de l'association APTA (Association des Professeurs de la Technique Alexander). L'adaptation de la Technique Alexander à l'enseignement du chant La Technique Alexander (TA), créée par Frederick Matthias Alexander au début du XXe siècle, propose plusieurs procédures pour apprendre une façon plus intelligente et plus économique d'utiliser le corps. Nous avons relevé les fortes indications selon lesquelles cette Technique peut être bénéfique pour les musiciens en général. Parmi les recherches sur les bénéfices de la Technique Alexander pour les musiciens, certains chercheurs se sont consacrés à l'étude de l'application de la TA à l'enseignement instrumental et vocal comme un outil pédagogique. La présente étude a pour but de décrire, de comprendre et analyser les stratégies et procédures, employées par les professeurs de chant qui sont aussi enseignant certifiés de TA, dans les situations réelles de cours. A partir de l'articulation entre les entretiens avec les enseignants et les observations de leurs cours, nous mettons en évidence que la grande contribution de la TA à l'enseignement du chant et à toute autre discipline dépasse le travail corporel, cette Technique contribuant au développement de la pensée intégrée à l'activité corporelle de de l'élève et facilitant l'acquisition d'une pratique vocale indépendante et autonome. La technique Alexander [Montréal] : Éditions de l'Homme. 2020 La technique Alexander et une méthode unique permettant de relâcher les tensions musculaires dans l'ensemble du corps. Grâce à elle, vous apprendrez à vous mouvoir avec plus de fluidité et d'aisance ainsi qu'à soulager ou à prévenir des douleurs communes qui risquent de s'aggraver sérieusement au fil du temps. Ce livre, illustré de nombreuses photographies, propose des indications essentielles étape par étape afin de réduire le stress et la tension qui se sont logés dans votre corps. Il donne aussi des conseils précis visant l'application de la technique à une vaste gamme de sports ainsi que durant la grossesse et l'accouchements. Il contient aussi de nombreux exercices que vous pourrez effectuer à la maison, accompagnés de trucs pratiques afin d'éviter certaines erreurs courantes. La technique Alexander La méthode Alexander, basée sur un ensemble de principes et de procédures simples et efficaces, est une forme extrêmement raffinée de rééducation ou plutôt de redéploiement du système musculaire tout entier et, par là, de beaucoup d'autres organes. Son objectif est d'aider à éliminer un mode de comportement erroné qui constitue un terrain propice à l'apparition de malaises et de maladies. Technique Alexander La Technique Alexander est une méthode destinée à améliorer la posture et l'efficacité des mouvements, afin de réduire les tensions physiques et mentales que nous accumulons au quotidien. Cette méthode pratique, déjà plébiscitée par des millions de gens à travers le monde, permet d'apprendre à utiliser le système musculaire avec une plus grande efficacité. Elle permet de soulager les affections communes, d'augmenter la confiance en soi et d'améliorer l'état de santé en général. Le nouveau manuel de la Technique Alexander réactualise une discipline vieille de 100 ans, incluant les découvertes récentes en matière de gestion du stress physique et mental. Technique Alexander pour les musiciens De multiples facteurs sont liés aux problèmes des musiciens : conditions de travail, mode de vie, stress, sièges inadaptés, instrument... Mais pour F. M. Alexander (1869-1955), le plus important n'est pas ce que le musicien subit de l'extérieur, mais ce qu'il se fait à lui-même. Alexander considère l'individu comme un tout ; il ne parle pas du corps mais du " soi ", pas de posture mais d'" usage ". Le but de la Technique Alexander n'est pas d'apprendre à l'élève à faire ce qui est correct mais de l'aider à cesser de faire ce qui est incorrect. En pratiquant la Technique Alexander, le musicien prend conscience de sa manière de " s'utiliser " et apprend à atteindre le but recherché par des procédures indirectes. Il développe ainsi ses capacités et son potentiel par un meilleur usage de soi. La Technique Alexander s'applique à tous les domaines de l'activité musicale musique vocale et instrumentale, production sonore, interprétation, pratique quotidienne, répétitions, performance scénique, trac... Ce livre traite pour la première fois des applications spécifiques de la Technique Alexander à l'activité musicale : son auteur, musicien professionnel et enseignant de la Technique Alexander, développe les multiples atouts que représente cette technique pour tous les musiciens. Le violoniste en voie de developpement Résumé (auteur) : Ce mémoire se termine, après une enquête par entretiens, sur la proposition de quelques hypothèses concernant l’origine du stress, des tensions chez certains violonistes en formation professionnelle et la nature de leur motivation à expérimenter certaines techniques de développement personnel telles que le yoga, la sophrologie, la technique Alexander et la methode Feldenkrais.On aboutit à la conclusion que ces techniques présentent un intérêt certain mais qu’elles reposent toutes sur des pré-notions sans fondement théorique telles que la globalité de l’être, la conscience, la volonté, l’imagination... L’approche de ces techniques en relation avec l’apprentissage du violon aura peut-être permis de compendre que le violoniste est aussi plus largement un instrumentiste, musicien, artiste, Homme. Toutefois, l’éclairage choisi semble n’avoir été qu’un prétexte pour mettre en lumière l’alchimie mystérieuse de l’apprentissage musical et la difficulté de l’enseignement dans ce domaine. Nous dégageons plus spécifiquement un thème qu’il serait peut-être intéressant d’approfondir dans des recherches ultérieures : le rapport “affectif” à l’instrument Bien dans sa peau grâce à la technique Alexander [Montréal] : Le Jour. 1983 Non une thérapie mais une technique datant de la fin du 19e siècle et dont les mérites ont été reconnus tant par G.B. Shaw et Aldous Huxley que par Laurence Olivier ou Paul Newman. Edition originale, 1981.
#Alexander, #TechniqueAlexander
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soustensions · 7 years ago
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Billet du 06/11 : Le commencement
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Sous_Tensions est un projet de réalisation d’un jeu vidéo du master MAPI-MAJE, de l’École Polytech’Nice-Sophia. La production s’étend du 9 octobre au 28 février, avec possibilité de porter le jeu au-delà du cadre du master. C’est un projet étudiant, cela veut dire que par défaut, il n’y aucune question d’argent. Le groupe travaille par la seule force de la motivation et l’envie de bien faire. Cela vaut mieux : le jeu sera présenté au Festival International des Jeux à Cannes, en février 2018. Sur ce Tumblr, nous avons décidé d’essayer d’entretenir un blog de développement. Régulièrement, vous pourrez donc retrouver notre avancée, avec nos soucis et nos bonnes surprises, des ressentis, des anecdotes. Bien que nous ayons notre petite idée, on ne sait pas encore exactement à quoi ce blog va ressembler. Puisque nous fonctionnons en méthodes agiles, notre production est divisée en phase de deux semaines ; toutes les deux semaines (à peu près) à partir du 30 octobre, vous pourrez donc retrouver un billet pour savoir l’avancement du projet. Derrière cette volonté, un moyen de communication bien sûr mais l’envie d’avoir une transparence de développement et de prise de recul. Inspiré par Unexcepted (dWarf) ou Compulsion Games (We Happy Few) , nous voulons tenter l’expérience pour voir ce que cela apportera au niveau étudiant. N’hésitez pas à nous faire des retours dessus.
Voici maintenant, pôle par pôle, l’avancement du projet:
Management : Alban
Gérer un projet et son équipe par la seule force de la motivation n’est jamais facile. Sauf quand ladite équipe est motivée ; c’est le cas ici. Sous_Tensions achève son premier sprint le 30 octobre et je dois dire qu’en tant que producer, je n’ai pas à me plaindre. Tout le monde fournit le travail demandé et n’hésite pas à poser des questions. Côté gestion pure, il a fallu que je repasse sur tout ce qui a été écrit jusqu’ici ; des retours de nos experts ont créé un besoin de corriger plusieurs documents. Des mots, des tournures de phrases, des contextes qui n’allaient plus et qu’il a fallu donc revoir. Pour ce qui est de la programmation, GitHub n’est pas encore clair pour moi alors je me retrouve à demander des .exe. Ce n’est pas un problème en soit puisque je veux juste juger le travail fait. Et le travail fait, est bien fait.
C’est vraiment bon de voir quand les membres de l’équipe sont sur la même longueur d’onde. Étonnement, le pôle graphisme avance bien. Lentement, mais bien. Nous avons un concept-art d’environnement et plusieurs des personnages. C’est juste dommage de devoir aller chercher les gens pour savoir où ils en sont. C’est une partie du job donc je ne me plains pas. La meilleure des avancées concerne le son : non seulement notre compositeur est extrêmement productif mais en plus il est parfaitement accordé aux intentions du jeu. Nous nous retrouvons donc avec un thème, la musique du premier niveau et plusieurs pistes musicales pour la scène de la station de métro.
 Côté outils, j’ai renoncé à utiliser One Note pour me faire un carnet de bord des points que j’ai à aborder : c’est le bazar niveau des comptes et trop contraignant pour laisser libre court à sa prise de notes. À la place, j’ai ressorti mon bon vieux carnet et un stylo. Je vais essayer comme ça pour le sprint 2 et vous dirai ce qu'il en est la prochaine fois. Cependant, en parallèle de ça, je cherche vraiment une solution qui permette à tout le monde d’apposer une note, une idée, une pensée, rapidement. Dans l’idée, quelque chose s’apparentant à OneNote ou Evernote, avec un côté collaboratif fort. J’espère vous donner un bon retour sur cette recherche au prochain billet.
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Slack fonctionne toujours aussi bien et je suis heureux que la majeure partie de l’équipe s’en serve efficacement ; les informations circulent et la réactivité est au top. Hack’n’Plan demeure toujours aussi performant même si son côté « bêta» est parfois casse-pieds ; obligé de rafraîchir certaines pages pour corriger un bug d’affichage ou inaccessibilité ponctuelle. J’ai par ailleurs pris la décision de prendre la version « studio » de l’outil : l’intégration à Slack, la customisation du tableau kaban plus quelques autres features valent amplement le prix. Le seul bémol concret de ce sprint est la complexité à réunir l’équipe pour une soirée « team building » - comprendre « manger et jouer en mode after work ». Entre les soucis de logement de certains et les problèmes ponctuels des autres, par trois fois nous avons repoussé la soirée. Affaire à suivre.
Ergonomie : Chloé
Pour ma part, je m’occupe de l’ergonomie dans le jeu et plus particulièrement de l'expérience utilisateur et donc par extension des interfaces utilisateurs. Si vous êtes familier avec les jeux vidéo il y a forcément un jeu où vous vous êtes déjà dit : « Ah mais cette interface est trop chargée je n’arrive pas à comprendre là où je dois cliquer pour pouvoir accéder à mes compétences ! » Ou encore « Les contrôles sont super durs je n’arrive pas à tous les retenir ! » et bien souvent on arrive à cette réflexion comparative « Ah mais dans tel jeu ce n’est pas comme ça ! ». Et bien derrière toutes ces réflexions il y a l’ergonomie ! Comment faire en sorte que mon joueur trouve facilement et sans effort tel ou tel menu dans mon jeu ? Comment faire pour qu’il puisse retenir les combinaisons de touches de manière efficiente ? Vous aurez donc compris qu'une grosse partie de l’ergonomie dans le jeu concernent les interfaces utilisateurs. Quand je parle des interfaces utilisateurs cela peut-être des menus amis aussi toutes les interfaces auxquelles le joueur va être confronté (interface de jeu, interface de combat, inventaires, menu options...).
C’est donc quelque chose de très important puisque c’est la première chose avec lequel le joueur va entrer en contact en lorsqu’il va lancer le jeu (typiquement le menu de sélection) et tout au long du jeu ! Alors il faut penser les interfaces de manière à ce qu’elle soit intuitive pour le joueur et non une gêne dans sa recherche. Là encore je vous invite grandement à aller visiter le site de Ludotic car le domaine et vaste et ce n’est pas le but de cette revue mais il fallait bien une petite introduction pour que vous compreniez mon travail sur ce jeu. Je vais donc principalement m’occuper des interfaces dans le jeu et du ressenti de l’utilisateur quant à son expérience sur le jeu.
J’ai donc tout d’abord établi ce qu’on appelle une scene flow diagram. Un scène flow diagram c’est un schéma qui répertorie de manière simple toutes les interfaces auxquelles le joueur va avoir à faire face durant le jeu. Alors comment cela se comprends-t-il? exemple ici : Il y a le menu principal ou le jeu aura accès à 3 boutons : jouer, options et quitter. S’il le joueur appuie sur jouer il se retrouve sur l’interface de jeu en elle-même. S’il clique sur options il est envoyé sur le menu des options avec différentes possibilités : régler le son, modifier la luminosité, modifier la résolution du jeu. Enfin s’il clique sur quitter il est renvoyé sur l’écran d’accueil Windows. Et ainsi de suite !
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Alors vous allez sûrement vous demander comment j’établis toutes ces interfaces ? Pour l'instant ce scene flow diagram n’est pas défini il va s’adapter au fur et à mesure de l’avancement dans la création du jeu et du game design. Etant donné que ce n’est qu’une démo, j’ai d’abord implémenté les features et interfaces qui me paraissaient générales et indispensable. Pourquoi je n’ai choisi d’implémenter que trois options et bien tout d’abord car c’est un jeu qui va énormément compter sur son ambiance sonore. Le réglage du son pour le joueur est donc indispensable. Ensuite il va également jouer sur l’ambiance graphique et notamment les lumières. Il faut que le joueur puisse régler la luminosité de son écran afin d’être dans les meilleurs conditions pour jouer et appréhender cette feature du game design. Enfin, il m’a paru intéressant de rajouter la possibilité pour le joueur de jouer en fenêtrer pour une simple question de confort visuel.
Alors pourquoi faire ça ? Cela permet de poser déjà les bases des interfaces et c’est un document qui va servir à toute l’équipe notamment au game designer et aux programmeurs. Grâce à ce schéma les programmeurs sauront par exemple que dans les options il n’y aura que trois réglages à coder. Ils savent également le nombres d’interfaces qu’il va y avoir dans le jeu et peuvent s’adapter en fonction. Le game designer va aussi s’en servir car imaginons que dans le jeu nous ayons un inventaire et bien je devrais le rajouter dans le schéma et penser en fonction comment l’utilisateur à accès à cet inventaire par le biais de quelle touche ou bouton et quelle apparence il aura ! Ce qu’il faut retenir c’est que la réflexion sur les interfaces est différente en fonction du type du jeu et au public auquel on s’adresse. Les interfaces dans Call of Duty par exemple ne sont pas les mêmes que dans League of Legends car ce n’est pas le même genre de jeu, ce n’est pas le même public et ce ne sont donc pas les mêmes besoins. Est-ce que la cible ce sont des enfants ? Est-ce que ce sont des personnes familières avec le jeu vidéo ? Il y a énormément de questions à se poser sur son utilisateur et c’est d’ailleurs pour cela que l’on crée des Persona mais nous y reviendrons plus tard.
Pour finir, j’ai déterminé les contrôles du jeu après que le game designer ait établi une liste des actions possibles dans le jeu. Comme notre jeu s’adresse à un cœur de cible plutôt adulte (25- 50 ans) pas forcément adepte des jeux vidéo il fallait que les contrôles soient simples et accessible au plus grand nombre. Nous avons donc décider que le jeu se jouerait tout d’abord au clavier uniquement puis qu’il y ait une déclinaison pour la manette filaire Xbox 360 pour les personnes familières préférant une meilleure prise en main du jeu. J’ai donc créé un document qui est juste une base pour les programmeurs afin qu’ils sachent comment affecter les contrôles en fonction des actions dans le jeu. J’ai décidé de ne pas implémenter une features permettant au joueur de réaffecter lui-même les contrôles même si cela est préconisé car ce n’est qu’une démo et qu’implémenter ce genre de features prendrait du temps au programmeurs qui doivent se concentrer sur des choses beaucoup plus importantes pour l’instant.
Programmation : Nicolas
Au niveau de la programmation, ce sprint a vu décoller les bases du jeu que ce soit en termes de mécaniques de gameplay ou d’interfaces. La majorité de mon travail a été de prototyper les fondements du jeu, de façonner les éléments qui évolueront au fur et à mesure du développement. Pour commencer, je me suis attaché à former le système de dialogue entre le joueur et les différents PNJ du jeu, tout en y insérant la notion de choix qui viendront influencer ou non le niveau de stress.
Ensuite, j’ai travaillé les mouvements de caméra du personnage pour que celle-ci puisse, au choix, suivre ses mouvements ou scroller automatiquement à la vitesse désirée. Les phases textuelles ont demandé plus de travail puisqu’en terme d’ergonomie, il a fallu travailler non seulement le positionnement et l’animation des panels de texte mais également la façon dont ce dernier se déroule afin de délivrer au joueur une sensation de fluidité dans l’enchaînement de la narration.
Par la suite, je me suis attelé à l’ébauche de différents éléments interactifs que ce soit du décors (portes, échelles,...) ou des QTE. Ces dernières prendront vraisemblablement différentes formes dont plusieurs sont en cours de prototypages. Enfin, l’éclairage, qui est au cœur du caractère immersif de l’expérience de jeu, commence à s’étoffer sous la forme de différents effets visuels, tels que des vacillements, des scintillements, etc... Les prochains sprints seront de véritable challenge, mais avec une équipe telle que la nôtre, l’aventure s’annonce être des plus passionnante !
Game Design : Maxime
Avant tout, ma priorité quand je design une feature,c’est de faire en sorte qu’elle soit réalisable techniquement, donc une partie importante de mon travail consiste à échanger avec le dev pour éviter toute mécanique impossible à intégrer dans notre jeu.
La première tâche était de référencer toutes les actions que Théo pouvait effectuer dans toutes les phases de runner. Ensuite je me suis focalisé sur le monstre et ses différentes formes en fonction du monde dans lequel Théo se trouve. Pour cela on s’est réunis avec les deux Quest Designer pour voir comment intégrer toutes les transformations dans le Background. Enfin, j’ai commencé à reprendre quelques mécaniques de jeu et à les actualiser (Calepin, Inventaire).
Côté Level Design :
J’ai conçu une première ébauche du level design que l’on retrouvera dans la démo de fin Novembre. J’ai commencé à regarder comment intégrer des tilesets dans notre jeu. Que ce soit en GD ou en LD, ce sont des tâches créatives qui demandent l’application de méthodes et l’utilisations d’outils que je ne maitrise pas encore ce qui me pousse à souvent faire des erreurs, effacer et corriger.
Écriture : Caroline 
Avec Robin, nous avons dû corriger certaines fautes sur le dossier d’écriture préliminaires, en prenant en compte les remarques émises d’ordre orthographique, ou de fond. Nous avons corrigé le script, également, et travaillé sur les choix de dialogue de la démo sur RealTimeBoard. Nous avons également travaillé avec Maxime sur les formes que prendrait le monstre et les interactions au niveau du gameplay que cela engendrerait. Nous avons pensé aux différents niveaux de plateformes qu’il pourrait y avoir. Il n’y a pas eu de difficulté particulière. Le système proposé par RealTimeBoard est très intéressant, ludique et on peut y travailler dessus en même temps, en voyant les corrections de l’autre en temps réel.
Concept art :
J’ai effectué les concept art des personnages, environ 2 ou 3 pour chacun. Le personnage d’Enrique est celui qui m’a le moins inspiré. J’ai essayé des expressions différentes pour Léanne. Franck, quant à lui, est celui sur lequel j’ai le plus aimé travaillé, c’est un personnage qui a un caractère spécial, à la fois froid et qui cache pourtant une vie difficile. Je voulais que son visage ait cette double expression.
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  Ecriture (bis) : Robin  
J’ai travaillé sur la réécriture du script idéal pour le déroulement de la démo, il fallait adapter la chronologie de celui-ci à un mois après l'arrivée de Théo dans le métro. La difficulté ici a été de rendre le tout cohérent et logique (un burn-out ne peut probablement pas se déclarer quelques jours après le premier jour de travail de quelqu'un, comme nous l'avions initialement prévu). La tâche suivante consistait à  représenter les différents choix des dialogues écrits jusque-là sous forme de schémas (cartes mentales) via un outil collaboratif. Suite à cette étape, on peut mieux se rendre compte de l'impact des choix de dialogues du joueur sur Théo grâce à un code de couleurs, de formes... (par exemple : le rouge entraîne une hausse du stress de Théo, une forme de case ronde implique une action...). Elle aide aussi à la compréhension générale des dialogues à choix, généralement assez indigestes rédigés sur le script.
Communication : Antonin
Pour moi ce premier sprint a été l’occasion de créé les différentes pages pour vous parler du projet et avoir vos retours dessus. Tout d’abord une page Facebook, parce qu’on est en 2017 et qu’il faut une page Facebook. Mais surtout parce qu’il s’agit du moyen le plus simple pour que vous nous posiez des questions sur le projet et que l’on vous réponde rapidement. On utilisera aussi cette page pour vous informer de l’avancé du projet dans les grandes lignes et si vous souhaitez plus de détails, ça se passera ici, sur Tumblr. On se servira de ce dernier pour poster (à priori toutes les 2 semaines) un gros récap détaillé de la progression du jeu domaine par domaine. Quant au Twitter il est là pour un aspect plus axé détente et événementiel. On y postera de superbe photos comme “l’équipe qui travaille”, “l’équipe à la PGW”, “l’équipe à la montagne” ou “l’équipe à la plage”. On s’en servira pour vous prévenir des différents événements ou on se rendra et bien entendu pour discuter avec vous du projet ou autre.
Je vous invite donc à suivre les différentes pages avec les liens ci dessous et on ce dit à très vite !
Facebook : https://www.facebook.com/Sous-Tensions-133920257357106/
Twitter : https://twitter.com/sous_tensions?lang=fr
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musitechnicformation · 1 month ago
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