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#École pour les puissants
ekman · 2 months
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Une très célèbre école de commerce française communiquait récemment vers les entreprises via le réseau socio-professionnel “LinkedIn”. Elle proposait à d’éventuels prospects en quête de performance personnelle de “renforcer leur leadership par la posture coach”. Rien de moins. Cette annonce, si prototypique du monde de merde dans lequel nous régressons chaque jour que post-Dieu fait, m’a soufflé à l’oreille que la décadence s’accélérait. Plusieurs indices émaillent le parcours qui m’a conduit à cette déduction. Sauras-tu les retrouver ?
• L’accroche qui coiffe le visuel s’est armée de “working idioms” du plus bel effet, favorisant une parité bienvenue entre le langage hébergeur véhiculaire (the français) et les “key-words” impactants (l’english). Comme ça, on ne fâche personne et cette façon montrera aux maîtres anglo-saxons que le français n’est plus, effectivement, qu’un verbiage anecdotique sympathique et inoffensif, donc inoffensant, apte à inclusifier toutes sortes d’impétrants racisés.
• La muse en position debout – c’est à dire en posture dominante – est une crépue génétiquement adoucie ayant fait le choix d’une posture alpha (position des bras), réputée non rigide (la coiffure n’est pas tenue) et indiquant une disponibilité sexuelle grâce à son chemisier laissant apercevoir un décolleté demandeur. On subodore, en complément, une croupe marquée. En dessous de cette lauréate du “Programme Court Executive”, les pas encore “executive”, avec un cadre blanc cravaté et barbu, tendance génuflexion et gay friendly ; à sa droite une jolie dame qui pourrait avoir eu un arrière grand-père natif de Hanoï, phénotype synonyme de soumission aux puissants ; en face de lui un petit morceau de pimbèche française dont on a oublié jusqu’au prénom, mais qui transpire sûrement la frustration et l’esprit revenchard. Pour finir, au premier plan, résolument de dos, un chicanos marocain venu livrer les salades “deetox” Uber-Eats du lundi.
• Comme elle a eu du pif pour booster sa carrière, Christine (appelons-la “Christine”, en hommage à Christine Kelly, la jolie journaliste caribéo-bolloréenne) a voulu améliorer son écoute et adapter son style de leadership, ce qui ne veut absolument rien dire. Elle a, pour ce faire, exploré son cadre de référence et développé son intelligence émotionnelle, ce qui n’en dit pas vraiment beaucoup plus – sauf que “intelligence émotionnelle” indique un embryon d’altruisme post-industriel de bon aloi.
• La signature de ce pavé publicitaire pour le programme “Posture Coach” de cette célébrissime école orientée vers les études commerciales d’altitude, spécifie qu’il développera l’écoute, permettra de questionner efficacement tout en adaptant son style de management. Une promesse en trois points qui aurait sans doute reçu un écho favorable rue Lauriston.
Voilà, vous savez tout. La clé du succès de votre carrière tient à bien peu de choses. Il vous suffit de vous conformer aux standards américano-bolchéviques du moment et votre promotion sera garantie. Soyez “open et bienveillant”, massacrez la piétaille avec le sourire, suggérez une réductions des privilèges carbonés pour maintenir la stratégie éco-favorable sur sa courbe zénithale, trafiquez vos résultats comme Nono-le Rigolo et tout se passera bien pour vous. Enfin n’oubliez pas de souhaiter à vos interlocuteurs une “belle journée” en conclusion de chacun de vos courriels – pardon, de vos mails.
J.-M. M.
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makeitinkorea · 1 month
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MAKE IT IN KOREA propose des prédéfinis de huit familles de chaebol principales sur le forum. Parmi lesquelles nous comptons quatre anciennes familles qui gouvernent sur le pays depuis des décennies, et quatre nouvelles ayant gravit les échelons au cours de ces vingt dernières années. A noter qu'il est possible de jouer un personnage faisant parti d'une famille Chaebol qui n'est pas une des familles proposées ! Aussi, les noms de famille des prédéfinis ne peuvent être pris que si votre personnage est membre de cette famille.
— CHAEBOL ET FAMILLES PUISSANTES
"Chae" (richesse) ; "bol" (clan). Groupes familiaux puissants à la tête d'un grand empire industriel, ayant une influence sur l'économie sud-coréenne. Leurs entreprises touchent souvent à une grande variété de secteurs, comme la construction, l'électronique, la finance, et représentent une grande partie du PIB du pays. En raison de leur puissance considérable et de leur poids sur l'économie sud-coréenne, ces familles entretiennent des relations étroites avec les autorités, bénéficiant souvent de l'aide et de la protection du gouvernement dans leurs pratiques : en effet, des rumeurs affirment que ces familles sont souvent impliquées dans des affaires sombres de corruption, fraude fiscale, pots de vins, blanchiment d'argent.
— INFORMATIONS SUR LES CHAEBOLS
- A Hanseo, ces familles se regroupent dans le district du nord, connu pour ses gratte-ciels et ses luxueuses villas. Les sièges de ces entreprises sont situés dans le quartier des affaires. - Les chaebols sont des clans qui n'aiment pas se mélanger aux autres et qui préfèrent rester entre eux, notamment en unissant leurs enfants à des descendants d'autres chaebols. La plupart des enfants de Chaebol subissent des mariages arrangés et s'unissent dès le début de leur vingtaine. - Les enfants de chabeols reçoivent une éducation généralement stricte et étudient dans les meilleures écoles. - Après avoir terminé leurs études, beaucoup d'enfants de chaebols, en particulier les garçons, obtiennent une place de choix dans l'entreprise familiale s'ils le souhaitent (ou non).
— INFORMATIONS A L'ATTENTION DES JOUEURS
- Les membres d'une famille prédéfinie sont tous jouables à l'exception des mineurs. - Vous avez la possibilité de créer des pré-liens pour les autres membres de la famille de votre personnage. - Il serait intéressant que les prénoms des frères et sœurs commencent par la même syllabe, mais ce n'est pas obligatoire. - Vous pouvez également choisir d'incarner des personnages qui ne figurent pas dans les prédéfinis mais qui sont liés de près ou de loin aux familles : cousin(e)s, enfants adultérins, époux/se, personnel de maison, etc... - Chacune de ces familles cache un sombre secret qui sera révélé ou non à leurs membres par les admins.
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aurevoirmonty · 6 months
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"Le Saint-Empire romain germanique (Heiliges Römisches Reich Deutscher Nation) n’eut guère plus que l’apparence de lui-même, quoique l’idée impériale fût encore assez puissante pour imposer une “structure” identique à la destinée des peuples qui s’en réclamaient. Des nations, dérivées des anciennes nationes, se formèrent en son sein. Mais elles ne purent jamais acquérir une véritable conscience politique, car l’idée impériale héritée de Rome s’y opposait."
Giorgio Locchi, Nouvelle École n°20, (1972)
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claudehenrion · 1 year
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Ad-mi-nis-trés... ( I ) : ‘’La grande désillusion’’
 Les français auraient tort de se plaindre'', répètent ad nauseam nos petits grands hommes : ils ont une Administration... dont ils devraient retirer une impression de supériorité sur les peuples qui en sont privés. Même les suisses  ont bien moins de ponctionnaires-au-mètre-carré que nous !  Pensez ! Un Erdogan, un Xi-Jinping, un Tebboune etc... sont seuls, pour brimer leur peuples qui ont donc un espoir de s'en sortir un jour... Nous, c'est 6 millions de clampins protégés par leur statut qui nous disent ce qu'on doit faire, pour notre salut et notre santé, jusqu'à nous confiner, tout nous interdire, et savoir mieux que nous ce qui est bon pour nous... Quelle chance on a, tout de même ! Quelle ingratitude, devant tant de bonheurs ignorés ! Ouais...
Mais voilà... la France ne supporte plus le poids malsain de son “Administration”, à qui chaque français doit obéissance, allégeance et soumission.  L’ancienne fonction “Politique” a été phagocytée par son organe de transmission, et les conséquences de cette régression sont imprévisibles : cette révolution à l'envers nous a fait perdre ce qui compte, au profit de ce qui ne compte pas, et le fond au profit de la forme. Notre résignation a fait de nous des esclaves de la ''norme'', nous privant de bon nombre de nos anciens avantages, dont la liberté, hélas. La France “sur-administrée” paie cette anomalie au prix fort. Paraphrasant Lénine, on pourrait dire : ''l'administration, maladie sénile de la démocratie''. C'est d'ailleurs contre elle que sont nos rejets, nos révoltes et notre décalage avec les pays normaux. : la sur-administration n'est pas une erreur, c'est un drame. Un crime, parfois. A l’opposé du discours ambiant, les français ne sont pas ‘’complotistes’’ : ils en ont ''ras-le-bol'' !   
On se demande pour quelles raisons l'humanité pourrait avoir ''besoin'' d’un truc aussi lourd, aussi inutile, aussi liberticide, aussi coûteux que ‘’une Administration’’.  Mais le fait est que, en France, la victoire de l’autorité administrative est complète et totale : les français sont devenus dociles (sans même s’en rendre compte, le plus souvent !) devant toute injonction, même la plus idiote, tombant de n’importe quel technocrate au chaud dans son bureau, et même, plus récemment (et c’est un comble), provenant du ''Berlaymont'', ce ''Saint des Saints'' du tout puissant lobby bruxellois, profondément ”mal-pensant'' : c'est un mal-saint des malsains, en vérité ! Cette révérence pour toute manifestation d’une domination d’une ‘’Strasse’’ qui a vite fait de se transformer en dictature, fut-elle soft, est inexplicable : notre pays n'est plus ”dirigé”, mais il est ”administré”. Et nous, nous sommes anesthésiés.
Ce n'est pas sans raisons valables que  l'ENA,, la porte d'entrée ''royale'' dans les palais et châteaux royaux de notre république, était une Ecole nationale dite d'ADMINISTRATION'' avant de renaître ‘’EAP’’, une école d'ADMINISTRATION publique : ''Plus ça change... et plus c'est la même chose''. La vérité est que les français, épuisés et dégoûtés d'être si bien ''administrés'', se sentent surtout ''ad-mini-stress'' … et c'est en râlant, en rouspétant, en renâclant, qu'ils obéissent docilement  à n’importe quelle instruction, pourvu qu’elle porte tampon de Marianne sur fond de trois couleurs, et qu’elle soit signée ”illisible”. Et c'est cette forme de soumission privative de tout sens critique que l'on retrouve dans les arguments infantilisants et culpabilisants dont nous sommes abreuvés comme d’une potion vraiment pas magique. Trois exemples vaudront mieux qu’un long discours :
(1)- On nous raconte que l’Etat, dans sa grande bonté, aurait un gros souci : que nous ayons moins d’accidents sur les routes” (en volapük, on dit ''diminuer l'accidentologie''!)… ce que quelques gogos croient, alors que la vérité est : ''Un ''tué'' coûte cher ! (Et les blessés, donc, qui saturent les hôpitaux et le budget de la SecSoc !)''. Le reste… il s’en fout ; pourvu que les milliards d’€ des contre danses automatiques et des radars vicieux, lui permettent de s’offrir des folies impossibles sans cette manne bénie… ce qui explique le ''N-tuplement'' du nombre de pièges..
(2)- L'administration a réussi à faire admettre aux français que, sur le territoire national, tout ce qui vit, ne vit pas, bouge, ne bouge pas, se mange ou pas, pue ou sent la rose, etc... appartient à l'Etat, qui s'arroge (il dit : légalement) le privilège de piquer, sur tout ce qui se vend, ne se vend pas, s'achète, existe et ''est là'', une ponction majoritaire dite impôts, taxes, prélèvements, contributions (anciennement dîme, taille, gabelle... La Révolution a changé les noms, mais a gardé le mal !). Essayez de construire une baraque dans votre jardin, pour vos enfants, prêtez de l'argent à un copain, hébergez votre petit fils étudiant, vendez des bijoux de famille depuis 5 générations... et vous verrez qui est le vrai propriétaire de tout, en France.
(3)- Le dernier exemple est récent, et terrifiant : le covid. Que n'ont-ils inventé en trucs débiles et néfastes et qu'on savait inutiles dès le début ! Une fois tous les lampions éteints, il semblerait que le seul but de cette période de terreur sanitaro-liberticide a été de piquer 135 € le plus souvent possible à autant de citoyens que possible : s'asseoir, rester debout, marcher, s'arrêter, ne pas se masquer, se faire racler la plaque crubriforme, ne pas enterrer nos parents, tousser, respirer ou pas, etc. En nous disant que c’est pour nous empêcher de l'attraper (faux !), ils ont fait de nous des pitres. Pour ne pas le transmettre (faux !), des pantins. Pour ne pas en mourir (faux !), des clowns. Et pour ne pas dire qu'ils mentent (vrai), des terrifiés.
Après tant de mensonges conscients (par exemple, il était évident, dès ''J zéro'',  qu'un masque dont les mailles ont 300 µ (= microns) d'écart n'a pas la moindre chance d'arrêter un virus de 15 µ de diamètre !), la plupart des citoyens partage un immense discrédit bien mérité pour le personnel politique, ses affirmations, ses idées, ses décisions, et sa police (bien plus mobilisée pour casser et gazer les ”contre-manifestants pour tous” et les Gilets jaunes –ou tout mouvement catalogué ''à Droite'')-- que pour assurer un contrôle efficace à nos frontières ou notre sécurité dans nos villes et nos campagnes). Ils ne veulent que la défense de notre langue, la paix civile, le confort financier et le pouvoir d'achat.... qu'on leur a supprimés, sans espoir...  C'est bien simple : nos personnels politiques sont tellement incapables de jouer le moindre rôle sur tout ce qui compte et est important, qu'ils passent leur temps à pondre des lois inutiles et mortifères, sur de faux problèmes qu'ils ont baptisés ''sociétaux'' pour faire croire qu'ils existent.
Une évidence définit la macronie : L'Administration a pris le pays sous sa coupe et elle confisque tout à son profit : travail, récompenses, avantages, droit de dire ce qui est bien ou ce qui est mal... et même, entend-on dire, le droit de propriété ! Les citoyens se sont habitués à cet état de choses au point de réciter le ‘’catéchisme’’ technocratique sans rien trouver à y redire. Le sentiment d'appartenance a disparu en même temps que les vertus cardinales. Patrie, nation, famille, métier, religion, respect, discipline, ordre et acceptation de l'Autre... ont sombré… au profit (?) d’un pseudo-droit à une pseudo-liberté, vite aliéné par une autorité anonyme, dans un ''mariage pour tous’’ de  l'aliénation avec l'appartenance... cette nouvelle norme à laquelle le citoyen doit se soumettre. L’État anthropophage baptise ”légitimité” une volonté de tuer ce qui peut rester d’humain en nous, et rêve de nous enfermer dans une dépendance de fait proche d’un syndrome-de-Stockholm.
Mais n'oublions pas la leçon de l'Histoire : un changement de paradigme se fait toujours dans la violence et dans la douleur, et on ne connaît pas d'exemple où cela se soit passé comme une lettre à la poste. Tel que ça s'annonce, on ne va pas s'amuser tous les jours, sous la dure férule d'une Administration triomphante, mi-''Strasse'', mi-schlague, et nous avons du pain sur la planche pour éviter les “lendemains” qui semblent les seuls ouverts : ils sont affreux. Et l’Histoire nous dit que, comme tout enfantement, un changement de paradigme se fait toujours dans la violence et dans la douleur : on ne dispose pas d'exemple où un tel changement de référentiel se soit déroulé dans la douceur...  (à suivre)
H-Cl.  
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noctunastra · 8 months
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Au cœur d'une vallée enserrée entre des montagnes majestueuses et des forêts épaisses se cache la ville énigmatique d'Ombreval. Une cité en apparence ordinaire, mais dont l'atmosphère est saturée de mystères et de secrets, où les frontières entre le tangible et le surnaturel s'effacent, laissant place à un univers où l'extraordinaire devient le quotidien. Au centre de cette énigme urbaine, trône la majestueuse Bibliothèque d'Ombreval. Ses étagères croulent sous le poids de tomes anciens et mystiques, et la rumeur veut qu'elle soit un portail dissimulé vers des dimensions inexplorées. Les chercheurs intrépides s'y aventurent, attirés par la promesse de pouvoirs surnaturels et de connaissances occultes.
Puis, il y a l'Académie des Ombres, une école étrange au sein de laquelle des étudiants apprennent à maîtriser des arts mystiques et des compétences paranormales. Ses professeurs, des individus énigmatiques aux passés troubles, enseignent des savoirs dont la nature même semble échapper à la compréhension commune. Les rues pavées d'Ombreval s'animent avec des boutiques étranges et des échoppes ésotériques. On y trouve des artefacts magiques, des potions mystiques et même des créatures étranges en vente. Les habitants, qu'ils soient humains, créatures surnaturelles ou hybrides, coexistent dans une harmonie fragile, chacun portant le fardeau de ses propres mystères.
Les limites de la ville s'étendent jusqu'à la forêt environnante, réputée pour être hantée. Des créatures fantastiques et des phénomènes inexplicables y prospèrent, attirant des aventuriers intrépides en quête de réponses. Certains bravent les ombres de la forêt, tandis que d'autres préfèrent rester dans la relative sécurité de la ville. Des enquêtes étranges se dévoilent fréquemment à Ombreval, mettant en scène des détectives privés, des sorciers, des chasseurs de monstres et des étudiants de l'Académie des Ombres. Ces mystères, allant de la disparition d'objets magiques puissants à des phénomènes paranormaux déconcertants, tissent la trame de cette ville où le surnaturel danse en permanence avec le quotidien.
Ainsi, Ombreval se présente comme une toile où la magie, le surnaturel et l'inexpliqué se mêlent dans une danse mystérieuse. Les habitants, éternels voyageurs entre les ombres de l'ordinaire et les lueurs mystiques de l'inconnu, confèrent à la ville un caractère unique, propice aux aventures extraordinaires et aux découvertes étonnantes.
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purplebyul · 1 year
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Bonjour !
Je viens faire de la pub pour un scénario que j'attends beaucoup et qui me tient à coeur.
REVELIO MAGICAE est un forum inspiré librement d'Harry Potter, possédant une école de magie au nom de Loranthas, avec quatre covens qui se mènent la guerre sans cesse.
Le contexte un plus détaillé :  À mesure que le temps gommait les anciennes croyances, le cœur d'Amentis s'est épuisé. Les dommages se sont faits subtiles, progressifs, puis de plus en plus concrets, jusqu'à se cristalliser en phénomènes inexpliqués. D'artefacts ensorcelés attaquant leurs propriétaires en lac emprisonnant dans la glace quiconque s'y baigne en plein été, les bouleversements climatiques et magiques s'amoncellent désormais en si grand nombre que la paix de l'île semble menacée. Au cœur de la débâcle, l'école de sorcellerie Loranthas, bien que massivement protégée par de puissants et ancestraux sortilèges, voit elle aussi ses remparts s'effriter.
N'hésitez pas à nous rejoindre, tous les membres sont des trésors et il est très facile de s'intégrer !
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hope-and-roll · 1 year
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Minna Whisper
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"There are three things human beings are afraid of: death, other people, and their own minds." _ R. D. Laing
- Minna Cassidy Whisper - Née le 1er janvier 2004 - Originals - Anglaise - Sang-Mêlé - Demisexuelle - Poudlard, Serpentard - Médicomage - Georgie Henley. ~ Fille de Cassidy Whisper ~ Petite-fille d'Horace et Maëva Whisper, née Jenkins ~ Nièce d'Austin Whisper  ~ Belle-fille, puis fille adoptive d'Aaron Hollister
~ Belle-fille, puis soeur adoptive d'Andrew Hollister  ~ Epouse d'Andy Parrish ~ Mère de Maisie et Isla Parrish * Amie d'Aurélie Becker, Amy Santiago, Alice Dumbledore et Estelle McGraw * Petite-amie, puis épouse d'Andy Parrish Minna Whisper, née le 1er janvier 2004, n'a jamais connu aucun membre de sa famille à part sa mère. Petite, elle posait beaucoup de questions à Cassidy sur son père et ses grand-parents. Elle apprit que la famille de sa mère n'avait jamais été aimante, et l'avait beaucoup fait souffrir, c'est pourquoi elle l'avait fuie à l'âge de quinze ans, et que son père était l'une des aventures d'un soir de Cassidy, qui n'avait que dix-huit ans lorsqu'elle devint mère. Minna comprit très vite qu'elle ne voulait pas connaître ses grand-parents, car ils avaient fait du mal à sa mère. Par contre, elle rêva jusqu'à l'âge de sept ans que sa mère cherchait et retrouvait son géniteur, qu'ils tombaient amoureux et qu'ils vivaient ensemble comme une famille normale. Malheureusement, Cassidy rendit rapidement clair aux yeux de sa fille qu'elle ne savait rien sur son père, et donc qu'elle ne le retrouveraient jamais. Bien d'autres raisons se cachaient derrière ce refus, mais Minna n'alla jamais plus loin. Elle finit par accepter de n'avoir que sa maman comme famille. Ça lui convenait, bien qu'elle ressente toujours une absence, un vide.
Cassidy et Minna vivaient dans un appartement à Charing Cross Road, à quelques rues du lieu de travail de la jeune maman, qui était libraire dans la boutique Fleury et Bott. C'était un travail modeste, mais Cassidy n'avait jamais aspiré à quelque chose de grandiose. Elle voulait juste avoir un métier aux revenus convenables qu'elle appréciait. Cependant, elle devait travailler six jours sur sept, de huit à dix-huit heures, et dut donc inscrire Minna à l'école primaire moldue du coin, ainsi qu'au périscolaire. Sa fille n'était pas vraiment sociable, elle ne réussit donc pas à se faire des amis. La plupart du temps, elle errait de groupe en groupe, certains l'acceptant mais se comportant comme si elle n'était pas là la plupart du temps, d'autres la repoussant purement et simplement. C'est ainsi que la fillette développa une méfiance et une certaine peur du contact humain. En parallèle, elle commença à idéaliser sa mère, cette femme si courageuse, intelligente et drôle, qui avait toujours des anecdotes passionnantes sur sa scolarité à Poudlard et beaucoup d'amis, qui venaient souvent chez elles. Cassidy et Minna étaient très fusionnelles, peut-être trop : l'enfant pleurait à chaque fois qu'elle était séparée de sa maman. Elle cacha ses larmes matinales dans les toilettes de son école primaire jusqu'à l'âge de dix ans.   Sa magie naissante n'aida pas sa faible popularité. Il s'avéra rapidement que c'était une sorcière puissante : elle fit sa première démonstration à l'âge de trois ans, lorsque sa mère la déposa pour son premier jour à l'école maternelle. Son désespoir fit souffler un vent glacial localisé sur un seul arbre, qui s'effondra. Personne ne trouva une explication logique à ce phénomène, mais personne n'y lia Minna. Cassidy, cependant, comprit que sa fille en était à l'origine. Cet incident fut le premier d'une longue série. Alors que, chez les enfants sorciers « normaux », les apparitions magiques étaient rares, peut-être deux ou trois fois en moyenne avant leur onze ans, celles de Minna étaient fréquentes, toutes les semaines ou deux semaines, et toujours remarquablement précises : si elle ne les contrôlait pas, sa magie se déchaînait souvent sur une seule chose en particulier : ses objets, et plus tard, des gens.   Une porte s'arrachant de ses gonds, des tuiles tombant du toit, des craies s'effondrant en poussière, un miroir se brisant d'un regard, une table explosant... Ces incidents n'arrivaient jamais sans raison, ils étaient toujours liés, comme pour tous les jeunes sorciers, à des émotions très fortes ressenties par Minna. Cassidy finit par emmener sa fille de huit ans chez un médicomage, qui discuta un peu avec elle et expliqua à sa mère la situation de Minna. Les émotions étaient la source de la magie innée. Il en fallait des très fortes pour la déclencher. Chez les enfants sorciers, des sentiments si puissants étaient rares, c'est pourquoi leurs démonstrations magiques n'excédaient jamais les quatre fois. Mais chez Minna, ils étaient très fréquents. Ses émotions, et donc sa magie, étaient naturellement plus puissantes que les autres. Cassidy demanda s'il fallait s'inquiéter, et le médicomage lui répondit qu'il fallait simplement identifier la source des émotions négatives pour éviter d'y exposer Minna.
Cassidy était une bonne maman, une mère aimante qui faisait de son mieux pour que sa fille ait une vie stable et heureuse. Elle eut de longues conversations avec Minna pour comprendre ce qui lui causait ces émotions négatives. Mais l'enfant promit qu'elle n'en savait rien. Que ce n'était pas que des sentiments négatifs, juste des sentiments plus puissants que la moyenne. Cassidy la crut. Mais Minna mentait. Elle mentait pour ne pas inquiéter sa mère, pour ne pas devenir un problème pour sa personne préférée au monde.   En réalité, elle était harcelée à l'école. Ses camarades, régulièrement témoins de ses débordements magiques, avaient très bien compris qu'elle était une sorcière. Ils avaient peur d'elle, et la réaction la plus commune face à la peur est la haine et la violence. La majorité des élèves et même des professeurs l'évitaient et l'ignoraient, mais un petit groupe d'élèves avaient fait d'elle leur mouton noir. Sans cesse à se moquer d'elle, la chercher, l'enfermer dans un placard ou dans les toilettes, la pousser, l'insulter, la frapper... Ils voulaient déclencher ces fameux incidents eux-mêmes, pour avoir l'impression de contrôler la puissance qui émanait de leur camarade. A l'école, tout le monde connaissait la situation de Minna. Les professeurs ne disaient cependant rien à Cassidy, car ils avaient peur qu'elle ait également un pouvoir. Les parents d'élève étaient également contre Minna, et commencèrent à retirer leurs enfants de l'école. L'équipe enseignante était coincée : elle ne pouvait pas renvoyer Minna de l'école, car ils craignaient la colère de Cassidy. La fillette passa donc près de quatre ans d'enfer. Mais elle ne dit jamais rien à sa mère, qui était la seule à ignorer sa souffrance. Minna développa des compétences remarquables en mensonge et en comédie. A la maison, elle avait l'air d'une petite fille parfaitement saine, équilibrée et heureuse, qui jouait, riait et avait une relation idéale avec sa mère. Mais en réalité, elle perdait peu à peu confiance en elle et en les autres. Pour Minna, le monde entier était contre elle, si ce n'était sa maman. Elle l'idéalisa d'autant plus.
Cassidy ne remarqua rien. Ce n'était pas vraiment de sa faute : elle avait clairement fait comprendre à sa fille qu'elle pouvait lui parler de tout sans craindre un jugement ou une punition. Seulement, Minna ne voulait pas être un poids pour elle. Sa mère était en plus très souvent au travail. Elle ne la blâmait pas, au contraire, c'était mieux, car en l'absence de Cassidy, elle pouvait tomber le masque. Minna développa une phobie scolaire à partir de l'âge de huit ans : elle n'arrivait plus bien à dormir, et stressait tellement qu'il lui arrivait de vomir avant de partir à l'école. Mais elle était une actrice parfaite, et sa mère ne se douta jamais de rien. Minna tenait en imaginant Poudlard : là-bas, tout le monde serait un sorcier, elle ne serait donc plus harcelée en raison de sa différence, car elle serait enfin normale – bien que, certes, plus puissante.   Effectivement, sa scolarité à Poudlard se passa très bien. Elle fut répartie à Serpentard. Elle int��gra un groupe composé de quatre autres sorcières, toutes différentes les unes des autres : les Gryffondor Aurélie Becker et Alice Dumbledore, aux tempéraments de feu ; Amy Santiago, la Serpentard prétentieuse mais protectrice ; et la Serdaigle Estelle McGraw, pétillante et originale. Avoir des amies était quelque chose de nouveau pour Minna, mais cela la rassura beaucoup. Sa phobie scolaire s'apaisa. C'était une excellente élève, qui disposait d'un talent rare : elle parvenait à lancer des sorts sans baguette avec la précision qu'offrait habituellement l'instrument. Mais elle ne s'en vanta jamais, et personne ne le sut en-dehors de son groupe d'amies. Minna ne voulait pas attirer l'attention, elle ne voulait pas être différente, car elle croyait que la différence attirait la haine des autres.
Dès son entrée à Poudlard, Minna décida de devenir la plus aimable possible. Elle voulait gommer ses défauts, afin que personne n'ait de raison de ne pas l'aimer. Du côté de sa mère, Cassidy devint plus sévère avec elle à l'adolescence, ne voulant pas que sa fille reproduise les mêmes erreurs de jeunesse qu'elle (instabilité, alcool, fêtes, cigarette, sexe non protégé). Alors, elle s'inventa un personnage angélique : douce, attentionnée, adorable, généreuse, timide, sage, polie... Une image lisse et parfaite qu'elle maîtrisait à merveille, mais qui était purement fausse. Ce masque qu'elle ne retirait jamais, c'était celui de la fille idéale, l'amie idéale, l'élève idéale, la camarade idéale. Peu à peu, elle se convainquit inconsciemment que personne n'aimait sa véritable personnalité. Comment pourraient-ils, alors qu'ils ignoraient qui elle était vraiment ? Minna elle-même ne le savait pas. Au fil des ans, elle devint prisonnière d'elle-même : de sa fausse identité et de son propre esprit.   Insomniaque, la nuit devint dès ses treize ans un exutoire pour sa véritable personnalité, celle qui, comme sa mère, brûlait pour l'adrénaline, le danger et l'illégal. Elle trouva un certain équilibre ainsi : le jour, elle jouait son rôle à la perfection, et la nuit, elle faisait vivre ses démons. Lorsqu'elle devint addict à la cigarette, comme sa mère le fut pendant son adolescence, elle culpabilisa beaucoup. C'était difficile de cacher son manque pendant la journée, et elle avait honte, honte de trahir sa mère, honte d'être aussi loin de la fille que Cassidy voulait. Minna pensait que sa mère voulait qu'elle soit parfaite, mais Cassidy voulait juste qu'elle soit heureuse, et ignorait comment s'y prendre. Ça la rongeait, année après année. Elle était devenue sa pire ennemie.
Cassidy a toujours été une femme volage, préférant les aventures d'un soir aux vraies relations. Elle protégeait ses rapports et les cachait à Minna, mais la jeune fille était très observatrice et perspicace. Elle se fichait un peu de ce que sa mère faisait. Mais elle ne s'attendait pas à ce qu'elle tombe véritablement amoureuse, ce qui arriva lorsqu'elle avait quinze ans. Cassidy se mit en couple avec Aaron Hollister, qui avait un fils, Andrew. Aaron aimant le même type de relation que Cassidy, les deux enfants ne s'attendaient pas à ce que leur couple dure. Mais il dura, même s'ils ne vécurent pas sous le même toit avant longtemps, et ne se marièrent jamais. Leur relation était très libre, mais ils s'aimaient sincèrement, profondément, et restèrent ensemble jusqu'à leur mort.   Minna appréciait Aaron, mais elle ne lui montrait que son faux visage. Andrew, en revanche, fut la première personne à la connaître vraiment. Il la surprit un soir sur le toit de son immeuble, en train de fumer, et elle se confia à lui. Il l'accepta entièrement, et fut le premier à aimer la véritable Minna. Il devint son meilleur ami, sa bouffée d'air frais, son frère de coeur. Elle voulait le protéger à tout prix.   Au fil des ans, deux duos s'étaient formés : Alice et Amy et Estelle et Minna. Quant à Aurélie, elle était tout aussi proche des quatre, et passait aussi beaucoup plus de temps avec sa petite soeur de coeur Carrie Grayson. Minna devint aussi de plus en plus proche de son ami Andy Parrish, un Gryffondor sympa, drôle et très créatif. Minna ne s'était jamais intéressée aux relations amoureuses ou au sexe, elle n'avait jamais eu ce genre d'envies et n'y avait jamais vraiment pensé. Ce fut la première fois qu'elle tomba amoureuse de quelqu'un. Cela lui fit très bizarre, cela la terrifia même. Elle ne voulait pas gâcher leur relation. Néanmoins, Andy fut très patient et compréhensif, et ils se mirent ensemble un peu avant l'obtention de leurs diplômes.
Chacun suivit son chemin. Estelle s'inscrivit dans une célèbre fac de stylisme irlandaise, Andy ouvrit une boutique d'objets magiques avec son jumeau Karl, Amy partit étudier le droit, et Alice la magizoologie. Quant à Minna, elle n'avait jamais eu de projet de carrière, mais voulait choisir quelque chose qui rendrait sa mère fière, et qui ne lui déplaise pas trop. La première chose à laquelle elle pensa fut le domaine de la santé. Elle avait découvert que sa faculté de lancer des sortilèges sans baguette était un atout, car les sorts étaient plus puissants et plus rapides. Pour une fois, sa magie innée guérissait au lieu de détruire, et elle aimait ça. C'est pourquoi elle partit étudier la médicomagie à la Fac des Sorciers. Elle rompit avec Andy, ayant toujours peur de se laisser aller à une relation qui incluait tant de confiance et d'intimité. En réalité, elle profita de ses études pour prendre ses distances avec tout le monde, même sa mère. Son jeu de rôle l'étouffait, elle se sentait de plus en plus prisonnière d'elle-même.   Pendant les quatre ans que durèrent ses études, Minna prétexta trop de travail pour voir quiconque. C'était une sorte de test pour vérifier qui tenait assez à elle pour garder le contact avec des lettres. Seulement, tous ses amis lui en envoyèrent, de même que sa mère – même Aurélie une fois revenue de son voyage. Ça la fit paniquer encore plus, convaincue qu'ils étaient hypocrites, elle ne répondit pas.
  Pendant ces quatre ans d'isolation volontaire, son état mental s'aggrava. Son image d'elle-même et des autres empirait. Elle se sentait seule, anxieuse, vide. Ses sautes d'humeur et ses comportements impulsifs se multiplièrent, imprévisibles et incontrôlables. Elle ne réussit pas à se tenir éloignée de l'alcool et de la cigarette, qui ne contenait pas toujours que du tabac. Mais, craignant de devenir dépendante, elle prenait rarement de la drogue. Elle enchaînait les comportements à risque dans le besoin désespéré de ressentir quelque chose lorsqu'elle se sentait vide, et de contrôler ses émotions le reste du temps. Vols, activités à adrénaline, conduite dangereuse – elle avait fait l'acquisition d'une voiture juste dans ce but, et, au fur et à mesure son désespoir augmentait, automutilation. La jeune femme ne comprenait pas ce qui se passait dans sa tête. Cela la déconcentrait de ses études, elle passait d'une année à l'autre avec des résultats très justes. Sa panique à l'idée de décevoir sa mère fut un moteur qui la poussa à prendre rendez-vous avec le psychologue de la fac, qui était gratuit. Elle prit sur elle pour être la plus honnête possible, ce qui fut très difficile – après tant d'années à mentir, elle ignorait qui elle était au naturel. Il fallut une dizaine de séances pour qu'il pose enfin un mot sur ses souffrances en lui diagnostiquant un trouble de la personnalité borderline.   Le psychologue lui expliqua les symptômes, et Minna se reconnut dans la plupart d'entre eux : instabilité affective car peur chronique de l'abandon, perturbation de l'identité, sentiment régulier de vide, intensité des sentiments et difficulté à les contrôler, particulièrement sa colère, comportements impulsifs et dangereux pour les autres et pour elle-même. Elle se sentit rassurée un temps, puis le désespoir prit le pas sur ce soulagement d'être malade, et non folle. Sa mère voulait qu'elle ait une vie stable et parfaite, et voilà qu'elle avait un trouble de la personnalité. Minna culpabilisa beaucoup. Le psychologue l'aida un peu, juste assez pour que ses résultats à l'université remontent. Elle obtint son diplôme avec une mention bien. Comme elle quittait la Fac des Sorciers, son psy voulut l'envoyer chez un de ses collègues psychiatre, mais la jeune femme n'avait pas d'argent pour le payer. En réalité, ce n'était pas la seule raison : elle avait honte. Elle voulait vivre comme tout le monde en ignorant sa maladie.
Elle retourna en Angleterre en 2027, sans chercher à reprendre contact avec quiconque, à part Cassidy et Andrew, dont elle ne pouvait pas se passer, et par conséquent Aaron, qui était lié à eux. Elle était persuadée qu'Aurélie, Alice, Amy, Estelle et Andy n'aimaient que sa fausse personnalité. En apprenant son retour, ils revinrent tous vers elle, mais Minna agit différemment envers chacun d'eux, n'en pouvant plus de ce masque qu'elle gardait sans arrêt.   La jeune femme avait l'impression que sa relation avec Aurélie, Alice et Amy avait changé. Comme si elle aimait le groupe qu'elles avaient formé, mais qu'elle ne ressentait rien de plus que du respect et de l'appréciation pour les filles prises individuellement. La jeune femme se dégoûtait de ressentir ça. Elles restèrent toujours en bons termes, mais ne furent plus jamais amies proches. Elles ne le dirent jamais à haute voix, mais au fil du temps, chacune l'accepta, bien qu'avec tristesse.   Elle continua de jouer son rôle de fille parfaite à Cassidy et Aaron, mais avec bien moins de conviction.
Minna accepta de renouer avec Estelle, qui semblait vraiment l'apprécier. Au fil du temps, l'ancienne Serpentard laissa tomber le masque, peu à peu, très précautionneusement, ayant peur de la réaction de son amie. Mais Estelle l'aimait toujours et restait à ses côtés. Minna avait toujours peur, c'est pourquoi elle lui cacha son trouble borderline, lui expliquant simplement les raisons pour lesquelles elle avait joué un rôle. Estelle fut très compréhensive et gentille, elle devint la seconde personne, après Andrew, qui l'acceptait, la soutenait et l'aimait comme elle était, sans conditions. Ce tri dans ses relations lui faisait beaucoup de bien.   Elle se sentit mieux pendant à peu près une année, pendant laquelle elle fit un stage à Sainte Mangouste. Elle voyait très souvent sa mère, Aaron, Andrew et Estelle, pour compenser ces années de silence et également pour se retrouver seule le moins possible. Car, seule, ses idées noires la reprenaient.   Andy avait fini par apprendre par Amy, qui sortait avec son frère Karl, que Minna était de retour en Angleterre. Il ne l'avait jamais oubliée, et rêvait de reprendre contact avec elle une fois ses études finies (car c'était la seule excuse que Minna avait trouvée pour rompre avec lui). Il alla donc la voir, plein d'espoir, mais elle paniqua et le repoussa. Le jeune homme tenta de comprendre ce qu'il avait fait de mal, ce qui ne fit que mettre Minna en colère.   La réapparition d'Andy dans sa vie fit basculer la jeune femme. Elle recommença ses promenades nocturnes sur les toits, ses courses de voiture et de moto illégales, ses flirts avec la mort. Cette fois, elle n'avait plus l'énergie de jouer la comédie, et enterra définitivement son image de fille parfaite, s'isolant de peur que ceux qu'elle aimait l'abandonnent en découvrant à quel point elle était bizarre, folle, empoisonnée. Elle repoussa tout le monde, mais Cassidy, Aaron, Andrew, Estelle et Andy insistèrent.
L'état mental de Minna empirait. A son trouble borderline s'ajouta une dépression. Elle continua à repousser les gens qui l'aimaient, terrifiée d'être un problème pour eux, pendant un an. Elle n'avait plus l'énergie ou la motivation de rien faire, mais en même temps travaillait et faisait du sport le plus possible pour canaliser ses émotions et, si ça ne suffisait pas, repoussait ses limites la nuit. Seulement, elle ne pouvait pas continuer comme ça indéfiniment. Elle était épuisée, physiquement et mentalement. Rien de ce qu'elle faisait n'avait de sens, elle était juste motivée par le désir de survivre. Elle avait pensé au suicide quelques fois, mais était terrorisée à l'idée de faire souffrir ses proches, et qu'ils ne gardent que ce souvenir d'elle.   En 2029, elle fit une crise de colère pendant sa journée de travail, et arracha la perfusion d'une patiente pour la planter dans la chair de son chef qui l'avait poussée à bout. Elle fut renvoyée de Sainte Mangouste pour faute grave, même si les deux personnes n'eurent pas de séquelles. Elle était trop instable pour travailler dans le domaine de la santé.   Andy reprit contact avec elle. Il n'avait jamais cessé de l'aimer, et souhaitait simplement la comprendre. Elle l'accepta, se rendant compte qu'elle était également trop fatiguée pour fuir. Elle l'avait fait trop longtemps. Elle raconta donc la vérité au jeune homme qu'elle aimait. Elle additionna ses économies à ses deux nouveaux petits boulots pour payer un psychiatre, mais ce n'était pas assez. Elle était terrifiée, mais réunit quand même Cassidy, Aaron, Estelle, Andrew et Andy et leur raconta toute la vérité. Ce fut un pas énorme pour Minna. Ses proches l'acceptaient et la soutenaient, ils étaient prêts à tout pour qu'elle se sente bien. Ils payèrent chacun une part de ce que coûtaient les séances avec le psychiatre. Elle vécut chez sa mère les quatre ans que durèrent sa thérapie, qui l'aida beaucoup. Son psychiatre discutait avec elle, l'aidant à se comprendre, mais lui donnait également des médicaments. Elle put se reprendre en main, gérer son trouble et guérir sa dépression. La jeune femme retourna chez Sainte-Mangouste, et parvint à se faire ré-engager au prix de la preuve qu'elle se soignait, et d'un stage d'essai.
Elle allait mieux. Elle avait fini par accepter qu'on ne pouvait guérir son trouble de la personnalité, mais qu'elle pouvait vivre avec. Bien sûr, elle culpabilisait toujours beaucoup d'imposer ça à ses proches. Sa relation avec Andy en pâtit particulièrement, car elle le quittait souvent, pensant qu'il méritait mieux. Mais le Gryffondor essayait toujours de la comprendre, de revenir vers elle. Lorsqu'ils s'installèrent ensemble, dans une belle maison d'un quartier résidentiel de Londres, Minna comprit qu'il ne voulait pas l'abandonner. Cela restait une peur sourde en elle, mais elle apprit à la garder silencieuse.   Ils eurent deux filles : Maisie, née le 15 mars 2033 et Isla, née le 26 novembre 2035. Ils vécurent une vie de famille plutôt paisible. Rien n'était parfait, mais c'était bien. Maisie entra à Poudlard en 2044 et fut répartie à Gryffondor. Quant à Isla... elle n'alla jamais à Poudlard.   Les filles crurent à une erreur, et forcèrent leurs parents à écrire une lettre à l'école. Isla était triste d'avoir été oubliée. Mais Minna et Andy savaient que Poudlard n'oubliait jamais personne. Isla n'avait jamais fait de démonstration de magie. Ils en reçurent la confirmation fin août 2048 : leur fille cadette était une Cracmolle.
Cette annonce marqua la descente aux enfers de la famille Parrish-Whisper. Isla passa des mois enfermée dans sa chambre à pleurer, refusant la visite de tout le monde. Les années passant, un fossé se creusa entre elle et le reste de la famille, particulièrement sa soeur. Personne ne savait comment agir avec elle. Andy se comportait comme si Isla allait se briser en mille morceaux à tout moment. Aaron profitait du fait qu'il n'était pas directement lié à elle pour ne pas lui parler. Maisie faisait comme si elle n'existait pas, ne lui parlant que quand c'était nécessaire et le faisant comme elle discuterait avec une inconnue, avec une politesse distante. Cassidy et Andrew s'efforçaient de se comporter normalement, mais la pitié que la Cracmolle leur inspirait se voyait sur leurs visages. Quant à Minna, elle culpabilisait tant qu'elle replongea dans une dépression et arrêta ses médicaments. Il lui arrivait de piquer de véritables crises. L'atmosphère chez les Parrish-Whisper devenait de plus en plus pesante. Maisie et Andy faisaient comme si tout était normal tandis qu'Isla et Minna sombraient de plus en plus dans les ténèbres, chacune de son côté. Toutes leurs relations se fragilisèrent.   Lorsque Minna frappa Isla, en janvier 2050, lors d'une de ses crises, elle fut mortifiée, et pour se punir, retomba dans ses vieux démons en se brûlant. Elle atterrit à l'hôpital. Elle refusa de reprendre sa thérapie et quitta son mari et ses enfants, convaincue qu'elle rendait les choses pires. Elle tint deux mois avant de revenir, puis partit de nouveau, puis revint. Elle s'était beaucoup éloignée de sa famille, devenant comme un fantôme. Andy finit par rompre, las que ses efforts ne suffisent jamais, et prit les enfants avec lui. Minna, détruite, comprenant son choix, leur laissa la maison. Elle ignorait chez qui habiter, ne voulant déranger ni Cassidy, ni Andrew, ni Estelle, et surtout, ne supportant pas leurs questions, leurs conseils et leur pitié. Alors, elle alla vivre chez Aaron, qui l'accepta sans un mot.
  Le suicide d'Isla, le 21 décembre 2051, apporta le coup de grâce à la famille. Ils culpabilisaient tous. Sa mort renforça certaines relations, comme Minna et Andy, qui arrivèrent à survivre en se remettant ensemble, Maisie et Andy, et le lien de Minna avec Aaron, Cassidy, Estelle et Andrew, qui furent des soutiens très précieux pour eux ; et en brisa d'autres, comme celles de Maisie avec le reste de sa famille. Le temps passa, ils durent apprendre à vivre dans un monde sans Isla, un monde qu'ils auraient pu éviter s'ils avaient agi différemment.   C'est curieux, comme la vie continue, même si on souffre tant qu'on voudrait mourir. C'est curieux comme le temps a la faculté d'endormir les souffrances. C'est curieux comme on oublie, même si on ne veut pas. C'est ainsi pour tout le monde, même pour Minna Whisper.   Elle avait perdu ses filles. Isla était morte, Maisie ne lui parlait plus. Mais elle avait toujours sa mère, son beau-père, son frère de coeur, sa meilleure amie et son mari. Et la vie continuait.
Minna est quelqu'un de très instable. A cause de son trouble borderline, elle est incapable de gérer ses émotions, même si ça va mieux avec ses médicaments. Elle est très versatile, imprévisible et incontrôlable. Très intelligente et rusée, Minna est une actrice parfaite, une menteuse aguerrie et une manipulatrice sans scrupules. On peut la qualifier d'hypocrite, étant donné qu'elle disait toujours aux gens ce qu'ils veulent entendre, lors de son adolescence. Elle est très sensible, sauvage, farouche et impulsive. Elle est à la fois lâche, puisqu'elle préfère fuir plutôt que de prendre ses responsabilités, et très forte d'esprit, car elle a survécu à sa maladie et beaucoup de traumatismes et d'épreuves psychologiques. Bornée, instable, rancunière, cynique, incompréhensible et égoïste, Minna n'a que très peu d'empathie, elle se fout de tout. Elle n'a aucune ambition. Elle entretient une grande haine d'elle-même, qui n'a fait que croître au fur et à mesure du temps. Trivia :
- Baguette magique : bois de vigne avec une plume d'Oiseau-Tonnerre et un poil de veaudelune. - Epouvantard : les cadavres de sa famille  Playlist :
Minna :  Gasoline - Halsey  Molly - Mindless Self Indulgence Pink - Elliot Lee She's an actor - Austin Giorgio
Minna à Andy : 
Don't hate me - Badflower 
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alain-keler · 2 years
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Journal du mardi 14 février 2023.
Vents d’Est : avril 1993-Avril 1999.
   Les minorités dans l’ex-monde communiste d’Europe de l’est  après la chute de l’empire soviétique.
  Le livre Vents d’Est, publié en 2000 avait été conçu en quatre parties, les quatre saisons, métaphores de la vie qui passe. L’hiver regroupait les minorités en lutte ou en proies à des discriminations, le printemps accompagnait les minorités qui commençaient à s’en sortir avec une démocratie encore balbutiante et des portes qui s’ouvraient vers un futur, l’été et le bonheur retrouvé, ou tout simplement trouvé, et l’automne encore incertain avec des gouvernants qui se servaient des minorités comme d’une monnaie  d’échange, donnant donnant, politique oblige.
Aujourd’hui dans l’été, les hongrois de Roumanie.
En 1995, le régime dictatorial de Nicolaï  Ceausescu a disparu depuis plusieurs années et la vie des deux millions de Hongrois, l’une des plus importantes minorité d’Europe, persécutés sous le communisme, devient normale, malgré des débuts le mythe des Magyars formant une cinquième colonne, entretenu par le premier président post-communiste Ion Iliescu. Ce n’est qu’après l’élection du réformiste Emil Constantinescu que des gestes ont été faits envers les minorités. Les hongrois ont obtenu dans les régions où ils vivent, d’utiliser leur langue maternelle dans les démarches administratives, d’ouvrir des écoles en hongrois et d’avoir les noms des localités écrits en roumain et en hongrois. Le ministre chargé des minorités nationales est un hongrois…
Les hongrois qui ont de puissants partis et organisations, réclament une autonomie au nom de la préservation de l’identité de la Transylvanie, cette région où ils vivent et qui fut un haut lieu de la tolérance multinationale sous les Habsbourg. Partie de l’empire austro-hongrois jusqu’à la première guerre mondiale, la région avait ensuite été attribuée à la Roumanie. (Texte écrit pour le livre vents d’Est par Véronique Soulé).
Photo d’aujourd’hui : Hongrois de Roumanie célébrant la fin de l’année scolaire de leurs enfants.Târgu Mures, (Marosvasarhely en hongrois et Neumarkt en allemand). Juin 1995.
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gulshanwhydonate · 12 days
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L’Avenir du Crowdfunding en France: Libérer le Potentiel
Introduction au Crowdfunding
Le Crowdfunding en France s’est imposé comme un outil puissant pour les individus et les entreprises en quête de soutien financier pour leurs idées et projets. Il permet aux créateurs de se connecter directement avec un large public de donateurs potentiels, qui peuvent contribuer de petites sommes d’argent pour financer les projets auxquels ils croient. Cette démocratisation de la finance a transformé la manière dont les gens collectent des fonds, en éliminant les barrières traditionnelles et en ouvrant de nouvelles possibilités pour l’innovation et la créativité.
Rejoignez la révolution du crowdfunding dès aujourd’hui et faites partie d’une communauté qui façonne l’avenir.
L’essor du Crowdfunding
Au cours de la dernière décennie, le crowdfunding a connu une croissance exponentielle. Des plateformes comme WhyDonate ont ouvert la voie aux entrepreneurs, artistes et militants du secteur caritatif pour financer leurs projets grâce au soutien d’une communauté mondiale. La facilité d’accès et la capacité d’atteindre un large public ont fait du crowdfunding une alternative attrayante aux méthodes de collecte de fonds traditionnelles.
L’un des principaux moteurs de l’essor du crowdfunding est le changement de comportement des consommateurs. Les gens recherchent de plus en plus des expériences et des produits uniques qui résonnent avec leurs valeurs. En soutenant des campagnes de crowdfunding, les individus contribuent non seulement au succès d’un projet, mais ils deviennent également partie prenante d’une communauté qui partage leurs intérêts et leurs passions.
Meilleure Plateforme de Crowdfunding – WhyDonate
Présentation de WhyDonate, une plateforme de crowdfunding intuitive et robuste conçue pour créer facilement des campagnes de collecte de fonds convaincantes en quelques minutes. Avec des fonctionnalités telles que les dons récurrents, la gestion des donateurs, les analyses, les intégrations, les dons flexibles et bien plus encore, WhyDonate vous permet de superviser et d’élargir efficacement vos initiatives de collecte de fonds.
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Avantages du Crowdfunding
Le crowdfunding offre de nombreux avantages tant pour les créateurs que pour les donateurs. Pour les créateurs, il fournit une plateforme pour présenter leurs idées et obtenir une validation de la part d’un public diversifié. Il leur permet de tester la demande du marché pour leurs produits ou services avant d’investir des ressources significatives. De plus, le crowdfunding permet aux créateurs de conserver le contrôle total de leurs projets sans dépendre d’investisseurs traditionnels qui pourraient imposer des restrictions ou des exigences.
D’autre part, les donateurs ont l’opportunité de soutenir des projets qui les passionnent et de contribuer au succès d’idées innovantes. Ils bénéficient également d’avantages exclusifs et d’expériences, telles que des produits en édition limitée ou des mises à jour en coulisses. Le crowdfunding permet aux individus d’avoir un impact direct sur les projets auxquels ils croient, les responsabilisant pour façonner l’avenir de l’innovation.
L’Avenir du Crowdfunding en France
À mesure que la technologie continue d’évoluer, l’avenir du crowdfunding offre un potentiel immense. Les avancées en intelligence artificielle, blockchain et réalité virtuelle sont sur le point de révolutionner le paysage du crowdfunding, améliorant l’expérience utilisateur et élargissant les possibilités tant pour les créateurs que pour les donateurs.
L’Impact de la Technologie sur le Crowdfunding
L’intelligence artificielle (IA) est prête à jouer un rôle significatif dans l’avenir du crowdfunding en France. Les algorithmes alimentés par l’IA peuvent analyser de vastes quantités de données pour identifier des tendances et des modèles, aidant les créateurs à optimiser leurs campagnes et à atteindre le bon public. Les algorithmes d’apprentissage automatique peuvent également personnaliser l’expérience de collecte de fonds numérique pour les donateurs, en suggérant des projets qui correspondent à leurs intérêts et préférences.
La technologie blockchain a le potentiel de répondre à certains des défis associés à la transparence et à la confiance dans le crowdfunding. En utilisant une technologie de financement participatif comme un registre décentralisé, la blockchain peut garantir que les fonds sont distribués de manière sécurisée et transparente, réduisant le risque de fraude et augmentant la responsabilité. Les contrats intelligents peuvent automatiser la distribution des récompenses, garantissant que les donateurs reçoivent ce qui leur a été promis.
Les innovations technologiques comme la réalité virtuelle (RV) ont la capacité de transformer la manière dont les créateurs présentent leurs projets aux donateurs potentiels. Les expériences en RV peuvent offrir un aperçu immersif et interactif d’un produit ou d’un service, permettant aux donateurs de mieux comprendre ce qu’ils soutiennent. La RV peut également aider à sensibiliser à certains problèmes mondiaux comme le changement climatique ou le cancer du sein, en peignant une image plus réaliste du besoin de fonds pour lutter contre ces problèmes. Cette technologie a le potentiel d’augmenter l’engagement, de créer des liens plus forts entre les créateurs et les donateurs, et finalement d’aider à collecter des fonds.
L’Avenir du Collecte de Fonds en France
Le crowdfunding en France ne se limite pas aux projets créatifs ou aux startups. À l’avenir, nous pouvons nous attendre à ce que le crowdfunding soit utilisé pour un plus large éventail de finalités, y compris la collecte de fonds pour des causes sociales, la recherche scientifique et même les campagnes politiques. La puissance de la foule peut être exploitée pour relever des défis mondiaux et apporter des changements positifs dans la société.
La collecte de fonds par le crowdfunding est également susceptible de devenir plus intégrée aux systèmes financiers existants. Nous pouvons anticiper des collaborations entre les plateformes de crowdfunding en France et les institutions financières traditionnelles, permettant des transactions fluides et offrant des services supplémentaires tels que des prêts ou des opportunités d’investissement. Cette intégration démocratisera encore davantage l’accès au capital et permettra aux individus et aux entreprises de concrétiser leurs idées.
Tendances du Crowdfunding à Surveiller
À mesure que l’avenir du crowdfunding se dessine, plusieurs tendances méritent d’être suivies de près. Ces tendances de collecte de fonds ont le potentiel de façonner le paysage du crowdfunding et de stimuler l’innovation dans les années à venir.
L’une de ces tendances est le crowdfunding en capital, qui permet aux donateurs de devenir des investisseurs et de recevoir une part des bénéfices de l’entreprise. Ce modèle a le potentiel de bouleverser le paysage traditionnel de l’investissement et d’offrir de nouvelles opportunités tant aux créateurs qu’aux donateurs.
Une autre tendance est l’essor des plateformes de crowdfunding France de niche. Alors que des plateformes comme WhyDonate et Indiegogo dominent l’espace du crowdfunding, nous pouvons nous attendre à voir des plateformes spécialisées répondant à des industries ou des intérêts spécifiques. Ces plateformes de niche offriront un public plus ciblé aux créateurs et permettront aux donateurs de découvrir des projets qui correspondent à leurs passions.
Enfin, le crowdfunding est susceptible de devenir plus globalisé. Avec l’augmentation de la connectivité dans le monde, les créateurs peuvent atteindre des donateurs de différents pays et cultures. Cette mondialisation du crowdfunding favorisera la collaboration interculturelle et permettra le financement de projets ayant un impact global.
Conclusion: Embrasser l’Avenir du Crowdfunding
L’avenir de la collecte de fonds offre un potentiel immense pour les créateurs, les donateurs et la société dans son ensemble. En adoptant les avancées technologiques et les dynamiques changeantes de la finance, nous pouvons ouvrir de nouvelles voies pour l’innovation et la créativité. La démocratisation de la finance grâce au crowdfunding permet aux individus et aux communautés de façonner l’avenir qu’ils envisagent.
En regardant vers l’avenir, il est crucial de rester informé des dernières tendances et développements dans le domaine du crowdfunding. En étant proactifs et adaptables, les créateurs et les donateurs peuvent tirer parti des opportunités qui se présentent et avoir un impact significatif. Ensemble, nous pouvons libérer tout le potentiel du crowdfunding et créer un avenir où toutes les idées ont une chance de prospérer.
Ouvrez de nouvelles possibilités et faites une différence durable. Lancez une campagne de crowdfunding.
FAQ’s:
1. Quel est l’Avenir du Crowdfunding ?
L’avenir du crowdfunding semble prometteur, avec une croissance continue et l’émergence de nouvelles niches, telles que le financement participatif dans la blockchain et l’immobilier. L’évolution des réglementations et l’augmentation de la confiance des investisseurs devraient également renforcer sa popularité.
2. Quel Avenir Pour le Financement Participatif ?
Le financement participatif est appelé à se diversifier et à s’intégrer davantage dans le paysage financier, avec des plateformes de plus en plus spécialisées et une adoption croissante par les entreprises traditionnelles pour financer des projets innovants.
3. Quel Intérêt Présente le Crowdfunding ?
Le crowdfunding permet de lever des fonds rapidement, de tester l’intérêt du marché pour un produit ou un projet, et d’impliquer directement la communauté dans le succès de l’initiative, tout en offrant une alternative aux financements traditionnels.
4. Pensez-vous que le Financement Participatif va Continuer à se Développer ou s’agit-il Plutôt d’une Mode en Voie de Disparition ?
Le financement participatif va probablement continuer à se développer, car il répond à une demande croissante de solutions de financement alternatives et participatives. Son adaptabilité et son potentiel d’innovation en font un modèle durable plutôt qu’une simple mode passagère.
Pour s'infos: https://whydonate.com/fr/blog/l-avenir-du-crowdfunding-en-france/
Keywords; Crowdfunding en France, crowdfunding France, changement climatique,  financement participatif, WhyDonate, crowdfunding, collecte de fonds
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nicolasanoto · 1 month
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Géopolitique de l'Éducation
L’idée d’avoir des acteurs multiples de type différent qui jouent un rôle politique sur un territoire donné fonctionne aussi pour l’éducation. Le congrès de l’Internationale de l’éducation, il y a quelques semaines, à Buenos Aires, a été un formidable espace pour étudier et répertorier ces différents acteurs, car la situation dans les autres pays du monde n’est pas du tout la même qu’en France à cet égard.
Le premier acteur que j’évoque n’est donc pas le plus puissant, mais il recouvre toute la planète et son organisation est assez uniforme entre les différents continents. C’est le syndicalisme des métiers de l’éducation. Il est né à la fin du XIXème siècle (le plus vieux est le syndicat des enseignants écossais EIS)  plutôt sous la forme corporative que sous la forme syndicale d’ailleurs. Il est souvent fédératif, que ce soit pour unir des syndicats de provinces différentes (Australie) ou de métiers différents (Québec ou France). Ce syndicalisme est plus ou moins fort, les syndicats américains et mexicains par exemple comptent plusieurs millions de membres et les syndicats du nord au sens large (Canada, Suède, Finlande, Danemark, Norvège, Allemagne) ont un poids géopolitique certain car ils mènent des programmes de développement dans les pays du sud.
Le syndicalisme peut avoir une place différente du point de vue institutionnel, entre des pays où il participe obligatoirement aux négociations (Québec, Allemagne), d’autres où il est consulté dans les politiques éducatives. La France, à ce titre, était dans la moyenne, avec la spécificité d’un paritarisme pour la gestion des personnels, remis en cause depuis 2019, qu’on retrouve peu souvent ailleurs. D’autres syndicalismes sont ignorés par leurs gouvernements (Afrique de l’ouest), encadrés drastiquement dans leur action (Angleterre) voire réprimés (Turquie). Certains sont en collusion avec des partis politiques à tendance autoritaire (Russie, Israël, Indonésie) dont ils défendent la politique sans trop d’esprit critique. 
Le syndicalisme de l’éducation porte globalement un discours assez uniforme sur la revalorisation des personnels de ces métiers face à une pénurie importante et un plaidoyer cohérent pour le droit à l’éducation dans toutes ses composantes (les pays anglo-saxons peuvent mettre en avant des repas gratuits, l’Australie l’inclusion gratuit, d’autres pays l’accès à l’école pour les peuples autochtones, d’autres l’accès à l’éducation pour les réfugiés..).
L’Internationale de l’éducation a la particularité d’être un groupement syndical mais d’avoir une activité d’ONG, très axée sur un plaidoyer porté auprès d’institutions internationales (OCDE, UNESCO, Organisation des Nations Unies qui vient de se saisir du problème de la pénurie d’enseignants…). A l’occasion du 10ème congrès de l’Internationale de l’éducation à Buenos Aires, la présidence est passée de l’Australie à l’Afrique du Sud.
Le deuxième acteur qu’on retrouve quasiment partout, c’est la puissance publique organisatrice de l’École.
J’emploie à dessein des mots génériques. Cette puissance publique peut être l’Etat mais aussi la province, la communauté autonome, l’Etat régional car beaucoup de pays ont une forme décentralisée pour mener les politiques éducatives. La puissance publique organisatrice peut être en fait à l’échelle des municipalités (Portugal, Finlande), ou à l’échelle de districts scolaires qui ont la compétence de la gestion des personnels (Canada, Etats-Unis).
Il peut y avoir plusieurs niveaux d’intervention, parfois complémentaires, mais la France est la seule à avoir détaché les questions matérielles éducatives (aux collectivités territoriales), les politiques éducatives (nationales ou tout un petit peu déconcentrées), la gestion des personnels (idem), et une autonomie des établissements et des écoles très faible. Je n’ai trouvé que la Turquie comme exemple semblable.
Cette puissance publique elle-même peut réduire son pouvoir, comme aux Pays-Bas ou en Angleterre où le ministère se limite à établir des curriculums scolaires, des évaluations standardisées et une inspection indépendante et à laisser des acteurs privés gérer le « marché scolaire » en impliquant parents et personnels. Ce dernier modèle très libéral a pour conséquences de graves problèmes d’inégalités sociales et de qualité du système éducatif. Les pouvoirs locaux, quand ils s’impliquent dans l’éducation, peuvent le faire en établissant des priorités (souvent le numérique, en France), ou par des choix symboliques (mesures ultra conservatrices dans les états du sud des États-Unis, soutien à l’école privée dans les communautés autonomes du parti populaire espagnol, mesures de mixité sociale dans celles dirigées par la gauche espagnole)…
Le troisième acteur qu’on retrouve uniformément à l’échelle mondiale va avoir une influence très variée selon les pays, le niveau de développement et le niveau d’autonomie des établissements. Ce sont les usagers, les élèves et les parents. Plusieurs pays, notamment européens, mettent en place des formes de participation pour les élèves (place dans les conseils d’administration en France et en Allemagne par exemple, gestion des conflits en Espagne). Les parents sont très impliqués dans la gestion des écoles, notamment en Europe du Nord et dans le modèle anglo-saxon.
La France, à ce titre, est plutôt dans le groupe avancé, avec des organisations de parents d’élèves qui sont présents dans le débat éducatif à l’échelle nationale. En revanche, cette place des usagers semble moins active dans les pays du sud, à part quand ils sont impliqués dans des dynamiques de marchandisation de l’éducation, dans des systèmes où des « chaines » d’écoles proposent le « moindre coût éducatif », à l’exemple des écoles « Bridge ».
Le quatrième acteur est plus diffus, il s’agit des différents acteurs du débat médiatique sur l’éducation, les scientifiques, les médias et les lobbys.
Il peut s’agir de mouvements pédagogiques, d’associations de parents d’élèves, notamment ceux concernés par le sujet de l’inclusion, ou d’associations thématiques qui veulent que le sujet qu’ils défendent ait plus de place dans les apprentissages.
C’est ainsi que des mouvements féministes peuvent contacter les syndicats enseignants pour parler de l’histoire des femmes dans les programmes scolaires, que l’ordre des avocats peut faire des propositions pour faire vivre la journée du droit ou que des mouvements pédagogiques peuvent agir avec leurs adhérents pour obtenir la mise en place de dispositifs expérimentaux dans les établissements (classes coopératives par exemple).
Du point de vue médiatique, le problème des experts utilisés par les médias est qu’il s’agit forcément de positions outrées puisque les journalistes, sur les sujets évoqués, veulent des positions en « pour » et en « contre ». Avec la particularité d’un débat médiatique centré sur des questions périphériques, en France (uniforme à l’école, coaching privé pour l’orientation), et moins sur les politiques générales éducatives.
Cela ne fait qu’exacerber un débat éducatif sur des questions symboliques, culturelles notamment, sans que le cœur du problème, le manque d’un modèle éducatif spécifiquement français, ne soit jamais évoqué.
Cette géopolitique d’acteurs différents peut se retrouver dans certains lieux ensemble : la manifestation des personnels où les partis politiques viennent saluer les cortèges et où des délégations sont reçues par les décideuses et décideurs politiques aux échelles locales et nationales. Les conseils d’école ou d’établissements où représentants des usagers, des personnels, des collectivités discutent ensemble des moyens alloués au plus petit échelon des politiques éducatives.
En France le Conseil Supérieur de l’Éducation, un organisme magnifique puisqu’à part les scientifiques et les journalistes spécialisés évoqués plus haut, il rassemble tous les acteurs de la communauté éducative, quel que soit leur statut.
Une situation qu’on retrouve aussi dans les commissions scolaires canadiennes ou dans les school boards américains, à l’échelle des districts, où on peut aussi d’ailleurs avoir des élections pour mener ces politiques éducatives, une situation intéressante qu’on devrait peut-être étudier de près…(je tenterai à une prochaine occasion quand je croiserai mes collègues américains).
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christophe76460 · 3 months
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PAIN QUOTIDIEN 💡
THÈME : COMMENT VAINCRE LA TENTATION (suite 1)
2)Évitez les endroits où vous pourriez être tenté. Évitez aussi les personnes qui peuvent vous tenter. La maison de Potiphar fut une grande école où Joseph a appris la gestion ou l'économie, qui l'a permis de bien gérer l'Égypte plus tard. Mais lorsque cet endroit est devenu toxique pour sa foi en Dieu, il décida de fuir.
La femme de Potiphar ne cessait de le tenter et le harceler à coucher avec elle (Genèse 39:7-13). Joseph ne céda pas aux avances audacieuses de cette femme païenne.
Joseph n'était pas immunisé contre les désirs ou les pulsions sexuels, mais il était résolu et ferme. Il ne se laissa pas séduire par les avantages fianciers et materiels qu'une telle liaison impure pourrait lui procurer. Il refusa de déshonorer Dieu et de trahir son patron. Il était conscient que le péché sexuel vient comme un ange de lumière au début, il est succulent mais sa facture est lourde à payer tôt ou tard.
L'apôtre Paul a conseillé, sous l'inspiration de Dieu : "Fuyez la fornication" (1Cor.6:18).
Les circonstances de la vie peuvent vous obliger de côtoyer des personnes qui ne respectent pas les principes moraux de Dieu. Mais vous n'êtes pas forcé de céder à leur mauvaise influence. Vous devez fuir, quoi qu'il en coûte.
La résolution et la fermeté de Joseph avaient un coût élevé. Il fut enfermé en prison injustement (Gen.40:15; Ps.105:17-18). Mais Dieu était avec lui, et Il manifestait toujours bonté sur Joseph.
Aucun mur de prison, aucune entrave, aucun cachot ne peut empêcher la manifestation de la bonté de Dieu envers Ses fidèles serviteurs (Rom.8:38-39). Joseph fut honoré par Dieu en devenant un homme puissant en Égypte. Il peut le faire aussi pour vous tant que vous restez attaché à Lui. À suivre.
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lepartidelamort · 5 months
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Les allogènes CHOQUÉS après la diffusion d’une affiche représentant un petit Français blond
Les gens marron ne comprennent toujours pas l'existence des Blancs en France.
Les Fronssais sont choqués : des gens (du Parti de la France) disent qu’il y a des Blancs en Fronsse.
C’est pourtant impossible, il n’y a jamais eu de Blancs en Fronsse.
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wesh ça existe pa, ils voient double ptdr
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N’importe quelle école se situant dans une commune non polluée racialement par la diversité, principalement en zone rurale ou périurbaine, a une large part d’enfants blonds ou châtains clairs.
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Ce n’était pas un débat à proprement parler, mais cela en devient un sous l’effet des flots de l’invasion non-blanche qui se répand partout.
Dans la cervelle aux capacités cognitives très limitées des noirs et des arabes, la compréhension de la réalité spatiale et temporelle est pour le moins hasardeuse. Elle est tiraillée entre la réalité objective du temps et de l’espace et leur propension à prendre leurs désirs pour une réalité – propension qui, lorsqu’elle est frustrée, se convertit en explosions infantiles de rage hystérique.
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En résumé 
Les afro-maghrébins et apparentés savent que la France est un pays blanc à l’origine, ce qu’ils appellent un pays « raciste » (dans leurs têtes, Blanc et raciste ne sont qu’une seule et même chose). Ils s’en plaignent matin, midi et soir.
C’est pour cela que la vue d’un homme blanc constitue pour le marron lambda une très réelle et très incompréhensible provocation. La présence de Blancs les met très en colère, surtout lorsqu’ils sont blonds, car ils sont les plus clairs des hommes clairs, donc les plus racistes des racistes. Il suffit que les Blancs existent pour que les métèques se sentent « opprimés », c’est-à-dire objectivement inférieurs, donc, au niveau le plus animal, menacé.
Leur rapport à la France est rendu encore plus compliqué par le souvenir de l’éphémère colonisation, les noirs et les arabes ne sachant pas vraiment faire la différence entre le présent et le passé, ni discerner leur environnement géographique.
Ils se pensent donc simultanément et sincèrement chez eux depuis toujours en France et, en même temps, foncièrement chez les Blancs, les « racistes » qui les oppriment par le seul fait d’exister au même endroit. Cette schizophrénie vous paraît absurde, voire impossible, mais pourtant ce foutoir mental est bien la norme pour des populations basanées à 80 points de QI.
Les maghrébins, en particulier, sont très véhéments à l’encontre des personnes qui ont ce phénotype et n’hésitent pas à les alpaguer en les appelant « blondinet ».
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Cette grande agitation épidermique résulte du fait que la beauté naturelle de l’enfant aryen réveille en eux un puissant sentiment d’infériorité qui les laisse impuissants face à une réalité qu’ils ne pourront jamais changer. Pas besoin de méditer longtemps pour savoir que les gamins des bicots sont très généralement vilains – en plus d’être des teignes.
Il ne faut pas écouter les souverainistes qui parlent constamment des peuples négroïdes ou orientaux avec admiration. Les noirs, comme les maghrébins, sont laids et stupides et ils le savent eux-mêmes, en plus de se détester entre eux.
C’est la race aryenne qui porte l’avenir.
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Démocratie Participative
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omagazineparis · 6 months
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Les incitations pour encourager les citoyens à trier leurs déchets.
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Le tri des déchets est une pratique essentielle pour préserver notre environnement et réduire notre empreinte carbone. Cependant, de nombreux citoyens hésitent à trier leurs déchets de manière appropriée. Pour encourager cette pratique, il est important de mettre en place des incitations efficaces. Dans cet article, nous examinerons différentes incitations qui peuvent motiver les citoyens à trier leurs déchets de manière responsable. Sensibilisation à l'importance du tri des déchets Avant de discuter des incitations spécifiques, il est essentiel de sensibiliser les citoyens à l'importance du tri des déchets. Les campagnes d'information et d'éducation peuvent jouer un rôle majeur pour expliquer les avantages environnementaux du tri des déchets et les conséquences néfastes de leur mauvaise gestion. Les incitations efficaces pour le tri des déchets Programme de recyclage récompensé Mettre en place un programme de recyclage récompensé est une incitation puissante. Les citoyens peuvent recevoir des récompenses telles que des bons d'achat, des réductions sur leurs factures d'eau ou d'électricité, ou même des cadeaux en échange de leurs efforts de recyclage. Cela crée un incitatif financier tangible pour trier les déchets. Tarification incitative Une tarification incitative consiste à facturer aux ménages des frais en fonction de la quantité de déchets non triés qu'ils produisent. En revanche, ceux qui trient leurs déchets correctement paient moins. Cette approche encourage les citoyens à réduire leurs déchets et à les trier de manière appropriée pour économiser de l'argent. Programmes éducatifs Organiser des ateliers éducatifs sur le tri des déchets dans les écoles, les centres communautaires et en ligne peut aider à informer et à motiver les citoyens, en particulier les jeunes générations, à adopter de bonnes pratiques de tri. Collecte sélective porte-à-porte Faciliter la collecte sélective des déchets en proposant des services de collecte porte-à-porte pour les matériaux recyclables peut encourager davantage de citoyens à trier leurs déchets. Cela rend le processus plus pratique pour ceux qui pourraient avoir du mal à se rendre à un centre de recyclage. Points de collecte de déchets spécifiques Installer des points de collecte de déchets spécifiques, tels que des conteneurs de recyclage, à des endroits stratégiques tels que les parcs, les centres commerciaux et les quartiers résidentiels, rend le tri des déchets plus accessible et visible. Le tri des déchets est une pratique cruciale pour préserver notre planète, mais il peut parfois être difficile de motiver les citoyens à le faire correctement. En mettant en œuvre des incitations efficaces telles que des programmes de recyclage récompensés, une tarification incitative, des programmes éducatifs, une collecte sélective porte-à-porte et des points de collecte de déchets spécifiques, nous pouvons encourager les citoyens à trier leurs déchets de manière responsable. Ensemble, nous pouvons contribuer à un environnement plus propre et plus durable Read the full article
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havaforever · 6 months
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LA NOUVELLE FEMME - En 1900, Lili d’Alengy, célèbre courtisane parisienne, a un secret honteux - sa fille Tina, née avec un handicap. Peu disposée à s’occuper d’une enfant qui menace sa carrière, elle décide de quitter Paris pour Rome.
Elle y fait la connaissance de Maria Montessori, une femme médecin qui développe une méthode d’apprentissage révolutionnaire pour les enfants qu’on appelle alors «déficients». Mais Maria cache elle aussi un secret : un enfant né hors mariage. Ensemble, les deux femmes vont s’entraider pour gagner leur place dans ce monde d’hommes et écrire l’Histoire.
A la fin du XIXème siècle et au tout début du XXème apparaissent en Europe plusieurs expériences de pédagogie alternatives, recentrées sur l’apprenant, plutôt que sur le contenu, renonçant à la compétition pour s’adapter à l’intelligence et au rythme de l’élève. Ces pédagogies séduisent encore aujourd’hui des parents qui y voient une réponse aux carences de notre système éducatif.
La grande majorité d’entre elles sont pratiquées par des écoles privées et n’ont d’autre ressources financières que celles des parents d’élèves, ce qui induit des frais scolaires mirobolants… A l’origine on retrouve Célestin Freinet, un instituteur en France, Rudolph Steiner, un philosophe en Autriche, et deux médecins, Ovide Decroly en Belgique et Maria Steiner en Italie. Au point de départ ces pédagogues se sont intéressés au sort des enfants «irréguliers» et souhaitaient une réelle émulation entre les enfants de toutes origines, considérant l’école comme vecteur d’évolution et d’autonomisation….
Dans « La nouvelle femme » Léa Todorov, formée à l’origine au documentaire, se penche sur les début de Maria Montessori : une Nouvelle Femme, selon l'expression qu'utilisent communément les historiens pour désigner ces femmes féministes, éduquées et indépendantes de 1900 qui avaient réussi à accéder à des fonctions professionnelles et à des carrières universitaires, et qui affirmaient une place dans la société par le savoir. Maria Montessori est médecin, un métier pour laquelle elle a dû lutter contre les préjugés familiaux.
Méprisée par ses confrères, considérée par une éternelle mineure par sa famille, à qui elle a caché l’existence d’un fils né hors mariage, placé chez une nourrisse à la campagne, subissant de plein fouet le joug d’une société patriarcale y compris dans son travail, puisque son compagnon et associé Giuseppe, est le seul qui attire la lumière et reçoit un salaire !! Son compagnon est aussi le père de son enfant, elle ne veut pas l’épouser considérant le mariage comme une aliénation. Dans le film, Léa Todorov a choisi de se porter sur les débuts de la carrière de Maria Montessori, quand elle développe une méthode d'apprentissage adaptée aux enfants mentalement déficients qu’elle transposera ensuite en tant que méthode d'enseignement pour tous les enfants, « la méthode Montessori » avec le but qu'ils deviennent des adultes indépendants et capables de s'adapter.
Mais pour raconter cette histoire, Léa Todorov a fait un choix dont on est en droit de se demander s’il est vraiment judicieux : introduire auprès de Maria Montessori un autre personnage féminin, le personnage fictionnel de Lili d'Alengy (Leila Bekhti), une courtisane parisienne, mère honteuse d'une petite fille neuro-atypique et qui, à ce titre, va chercher à se rapprocher de Maria, laquelle l’incitera à regarder sa fille avec toute a tendresse qu’elle mérite; et tout simplement à l’aimer.
Pourquoi choisir une de ces femmes qualifiées à l’époque de « cocottes » comme autre personnage féminin important du film ? Afin d’incarner un autre modèle de femme indépendante de cette époque, répond Léa Todorov, une femme puissante et libre sans pour autant avoir le savoir académique de Maria Montessori. Cela donne un certain décorum un peu superfétatoire, et qui fait passer la Méthode Montessori au second plan …
Toutefois, malgré les réticences qu’on peut avoir vis-à-vis de cet aspect du film, on ne peut que louer le jeu de Jasmine Trinca et de Leïla Bekhti, les interprètes de Maria et de Lili, ainsi que les prestations très émouvantes et d’une grande vérité des enfants neuro-atypiques choisis pour incarner ce qui est plus ou moins leur propre rôle, avec une mention particulière pour Rafaëlle Sonneville-Caby, l’interprète de Tina, la fille de Lili.
NOTE 13/20 - Biopic féministe aussi pédagogique que son sujet, le premier long-métrage de fiction de Léa Todorov n’échappe pas à la démonstration ni aux scènes d’émotion attendues (et surlignées).
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choses-dingen · 7 months
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Climat : chronique d’une jeunesse déçue et exaspérée Cinq ans environ après la mobilisation des jeunes pour le climat, une grande lassitude s’est installée qui a débouché sur une perte de confiance à l’égard du politique, affirme Adelaïde Charlier, une des porte-parole du mouvement.
C’est le 14 janvier 2019. Pour la première fois, Le Soir utilise les mots « Youth for climate » pour désigner la poignée de jeunes qui appellent leur génération à des grèves pour le climat. Ce jour-là, bien malin qui aurait pu parier sur l’avenir du mouvement. On disserte plutôt doctement sur la question de savoir si les directions d’écoles peuvent ou pas permettre que ces rebelles « brossent » les cours. Bien vu. Le mouvement attirera 3.000, puis 12.500, puis 35.000 jeunes dans les rues, sur le seul mois de janvier. Encadré par deux méga-manifs, en décembre 2018 et fin janvier 2019.
On ne parle alors plus que d’eux. Les jeunes pour le climat sont partout. Défilant, agissant, onscientisant dans leurs écoles. Ils rencontrent les politiques surpris par cette majorité plus si silencieuse. Le Premier ministre de l’époque, Charles Michel (MR), glisse du climat dès l’entame de son discours aux autorités du pays. Le roi Philippe demande de donner aux jeunes « la place qu’ils méritent et d’établir avec eux le socle solide sur lequel ils pourront s’appuyer ». Pour lui, les citoyens « attendent des réponses ambitieuses et constructives ». Il faut « faire plus, plus vite et plus fort », promet un ministre-président. La princesse héritière Elisabeth « partage » les préoccupations de sa génération…
Les jeunes ne s’arrêtent pas là. Ils s’adressent à des scientifiques et experts afin de les aider à argumenter et structurer leurs demandes de mesures politiques transversales. Ce sera le « panel climat » dont les propositions, alimentées par environ 200 experts de tous horizons, sont présentées douze jours avant les élections fédérales et régionales.
Un peu plus de cinq ans plus tard, les jeunes ont quitté la rue. Mais ils alimentent encore largement les marches pour le climat qui se déroulent chaque année (de 20 à 25.000 personnes en décembre 2023). Ils font partie d’autres groupes d’actions – les Code rouge, les Extinction Rebellion, les Totalement Down – qui ont choisi la désobéissance civile. Et surtout, ils en sont revenus des discours et des promesses politiques. L’apprentissage est cuisant : aujourd’hui, on entend surtout des responsables demander des pauses environnementales, se réjouir de la marche arrière de l’Europe en matière d’environnement et de santé, réfuter les objectifs climatiques et contester les actions. « Plus vite et plus fort », disaient-ils… « Le temps des lanceurs d’alerte est passé », affirmait dimanche un ministre français.
« Une grande lassitude s’est installée et elle a débouché sur une perte de confiance à l’égard du politique », confirme au Soir Adelaïde Charlier, une des figures emblématiques des jeunes pour le climat, en prévision d’un débat qui se tiendra ce mardi à Bruxelles. Le monde politique qui psalmodie et se désole sans cesse du désintérêt des citoyens devrait le méditer : il file un mauvais coton, le pays qui désespère sa jeunesse. Michel De Muelenaere dans Le Soir du 12/02/2024 Nous colonisons l’avenir des jeunes
À tous les (ir)responsables politiques qui appellent aujourd’hui à mettre sur pause l’action climatique, transmettons ce message puissant écrit par l’essayiste et historien David Van Reybrouck :
« Nous nous comportons en colonisateurs des générations futures. Nous les privons de leur liberté, de leur santé, peut-être même de leur vie - tous comme les colonisateurs l’ont fait par le passé. Nous imposons les conséquences de nos actes aux humains qui viendront après nous, et ce avec une brutalité et une indifférence qui donnent le vertige. Nous faisons (...) comme si nous pouvions puiser à notre guise dans les ressources disponibles - eau potable, sol fertile, air sein - sans penser qu’ils pourraient en avoir besoin eux aussi. Nous spolions nos petits-enfants, nous dévalisons nos enfants, nous empoisonnons notre progéniture ». David Van Reybrouck, « Nous colonisons l’avenir » , Actes Sud Ce 13 février 2024 se tient à Bruxelles la conférence « Youth and Climate » dédiée aux jeunes de 15 à 25 ans qui auront l’occasion de poser des questions à tous les présidents des partis politiques sur la transition de la Belgique.
Voici le programme
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mysteriis-moon666 · 8 months
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MARTHE - Further In Evil
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Les femmes ont pris le pouvoir !
Après Pauline à la plage et Martine , voici Marthe dans le Black Metal, un one woman band abordant les sujets de l'antifascisme, féminisme, misanthropie, de Bologne en Italie. Marthe est présente dans les combos tel qu’Horor Vacui, Ancient Cult, Campus Sterrminii, Kontatto
Le programme musical est teinté de Noirceur profonde mélancolique et une catharsis brute, « Further In Evil » est le premier album du groupe de metal solo Marthe via Southern Lord.
Mélange atmosphérique et agressif de punk, Further In Evil est un changement de vitesse par rapport à son parcours musical dans la scène anarcho-punk et s'inspire de riot grrrl, crust et d-beat. Les paroles sont pleines de rage et la musique est pleine de force ; il y a la puissance de Bathory et la tristesse de Tiamat, teintés de la puanteur d'Amebix.
Marthe est, au fond, un projet de chambre solo, né de l'introversion et du désir d'explorer seule de nouveaux horizons et de nouveaux paysages. « Vers 2012, j'ai commencé à ressentir le besoin de m'exprimer de manière plus lourde et atmosphérique », explique Marzia, la femme derrière le projet Marthe. "Par coïncidence, j'ai commencé à faire de plus en plus de randonnées... en me rapprochant de paysages sonores solitaires : ma vie, mes sentiments et mes humeurs ont commencé à être plus introspectifs et introvertis." Elle poursuit : « Marthe est devenue d’un coup ma zone de confort, ma thérapie, mon ombre de solitude, mon livre de vérités, mon miroir, mon alter ego. Verrouiller la porte et disparaître dans l’obscurité en enregistrant de la musique seul est devenu quelque chose de si puissant… Je ne me suis probablement jamais vraiment rencontré avant cela.»
Le récit de Further In Evil est « un voyage dans le mal. Je considère cela comme une révélation en développant une armure pour me rendre plus fort. Le titre, c'est franchir les portes des ténèbres, devenir froid et détaché pour ne plus souffrir », explique Marzia, la femme derrière le projet Marthe. La source de nombreuses paroles vient d’un lieu de trahison et de chagrin de perdre « des gens qui étaient au cœur de moi ». Elle commente : « nous sommes seuls », mais le rejette comme une déclaration de responsabilisation plutôt que de tristesse : « la force est à nous ». En plus d’être introspectives, les paroles de Marthe se tournent vers « des contextes d’injustice et de souffrance, où le sentiment principal est de ne pas avoir de voix ». La musique de Marthe s'inspire également d'autres médias non musicaux : elle cite l'ambiance, l'atmosphère et les couleurs des films d'horreur italiens de la vieille école et revient continuellement à la nature comme source d'inspiration.
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