suzannehetzel
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Keepsake /Gorges du Gardon, tirage pigmentaire, format 42 x 60 cm.
Keepsake de Cyril Soustelle /La Baume, Gorges du Gardon, tirage pigmentaire, format 42 x 60 cm.
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Sporée / russule, automne 2020
Trace de sporée sur papier noir à grain, format 24 x 32 cm, exemplaires uniques
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Sporée /volvaire soyeuse, automne 2020
Triptyque : jour1 / jour2 / jour3
Trace d’une sporée, exemplaire unique, format 3 x 21 x 30 cm, encadrés sous verre anti-reflet.
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Volvaire soyeuse, 50 x 68 cm, été 2020
Courges pommes, 50 x 68 cm, été 2020
Physalis /Jardin de la Mètis de Victoria Klotz, 50 x 68 cm, été 2020
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FORÊT
Forêt /1, Forêt /2, Forêt /3, Forêt /4, tirage pigmentaire sur papier Hahnemühle 310 g, format 50 x 68 cm.
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JARDIN DE LA MÈTIS
Mai 2020 : 10 jours de maraîchage en permaculture chez Victoria Klotz à Astugue dans les Hautes-Pyrénées avec Flore Gaulmier, Jean Schneider et la chienne Ella. Les fruits et légumes d’origines lointaines sont destinés à la gastronomie.
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Tomatillo Gold Rush, Jardin de Mètis de Victoria Klotz, Hautes Pyrénées, printemps 2020.
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Arroche, Physalis Péruvienne, Concombre du Kenya, Miltomate, Morelle de Balbis du Jardin de la Mètis de Victoria Klotz.
Tirage pigmentaire sur papier Hahnemühle, formats variables.
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Herbe de l’Immortalité, Choux de Toscane, Brède Mafane, Cornichon de Paris et limaces, prédateurs des jeunes pousses. Jardin de la Mètis de Victoria Klotz dans les Hautes Pyrénées. Maraîchage en permaculture pour la gastronomie.
Tirage pigmentaire sur papier Hahnemühle, formats variables.
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Turions de la bambousaie d’Erik Samakh dans les Hautes-Pyrénées, printemps 2020.
Tirage pigmentaire sur papier Hahnemühle 310 g.
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Entre mars et mai 2020
Au printemps 2020, dû à la restriction de nos déplacements, j’ai redoublé l’attention aux choses composant mon espace d’habitation. Je considère le jardin, les berges du fleuve, le petit bois attenant comme des constituants de cet espace, comme sa partie vivante et constamment en évolution.
Empruntant chaque jour le même chemin, je longe les mêmes vignes, traverse le même petit bois et passe devant le même dépôt de cailloux au bord d’un champ. C’est pourtant dans ce cheminement sans écarts que j’ai pris conscience de la folle vitesse avec laquelle la végétation change en cette période. Mais ce qui m’a étonné encore plus, c’est que ma perception du paysage varie selon le degré d’attention aux détails des choses de la Nature. Je m’intéresse aux moments de contact entre la plante et moi, plutôt qu’à la plante pour elle-même. Je parlerais alors de “touches“ visuelles, olfactives, émotives : voir, s’approcher et toucher une feuille, être touchée par sa forme clairement dessinée par exemple. Je ne cherche pas à dire ou à montrer tout d’une plante, de son contexte, son utilité ou de ses propriétés, mais à partager cette “touche“ entre elle et moi. Elles ont ponctué mes jours de confinement et je souhaitais produire des images à mettre en public sur les réseaux sociaux, faciles à mettre en vente aussi : j’ai créé un blog pour tenter une nouvelle greffe à mon économie.
Utilisant essentiellement du film argentique, les laboratoires étaient fermés et mon travail habituel suspendu. Le scanner m’a semblé l’outil adapté à ce moment de confinement : une boîte noire et fermée qui par une caresse lumineuse produit une image.
Cette technique présente la particularité de reproduire une partie de l’objet – celle qui touche la vitre – avec une extrême précision, alors qu’elle relègue les parties plus éloignées de la vitre dans le flou. Les objets semblent flotter à la surface, à notre regard, se détachant d’une profondeur insondable. La disposition sur la vitre du scanner et l’immédiateté de cette saisie photographique laissent quelques traces de sable, de poussière ou de doigt, que je décide de ne pas gommer. Je concède au scanner la capacité technique de restituer visuellement une forme d’enthousiasme, d’émerveillement à la vue d’une fleur, d’une texture ou d'un morceau d’écorce. La rapidité de la saisie et une profondeur de champs réduite traduit à mon sens notre capacité d’isoler une couleur ou une forme de son contexte pour la rallier à ce que j’appellerais donc les “points de contact“ avec la Nature. J’entends par “points de contact“ une sorte de catalogue personnel qui compose avec les souvenirs d’enfance, les voyages, l‘iconographie existante, les œuvres d’art, les histoires et des formes logées dans notre mémoire profonde.
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PRINTEMPS 2020
Printemps 2020 /24, Printemps 2020 /26 ; tirage pigmentaire 33 x 45 cm.
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DANS LE PLI DES CHOSES, printemps 2020
Dans le pli des choses /19 ; format 90 x 68 cm ; tirage pigmentaire.
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APRÈS LA PLUIE
Si les feuilles et les fleurs se déploient à vue d’œil en cette saison, d’autres végétaux se transforment plus discrètement. Le bois, les lichens et la terre par exemple, changent plus clairement d’apparence après une pluie, et cela indépendamment de la saison. Leurs couleurs s’intensifient avec l’humidité et les parfums portent plus loin.
J’ai scanné chaque objet deux fois – avant et après la pluie. Pour une exposition, j’imagine que chaque image est installée dans une salle d’exposition différente. Cela active un “déjà vu” chez le spectateur et intègre le contexte de l’espace dans la lecture des images.
Pluie /3a & Pluie /3b (pierre) ; format 2 x 35 x 45 cm
Pluie /1a & Pluie /1b (lichen) ; format 2 x 35 x 45 cm
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