melaninated singer, dreamer, worshiper, sirius originated, fanm, nanm made of zetwal....
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Nannie Helen Burroughs by Allison Adams
Nannie Helen Burroughs founded what was at the time the largest black women’s organization in the United States and, with the organization’s sponsorship, founded a school for girls and women. She was a strong advocate for racial pride. Educator and activist, she lived from May 2, 1879, to May 20, 1961.
“At times we feel wounded, hurt, disappointed, disgusted, resentful, sick of it all. At other times we feel skeptical, outraged, robbed, beaten. We chafe, hate, overlook. Then again we feel like ignoring, defying and fighting for every right that belongs to us as human beings.” – Nannie Helen Burroughs
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self-discipline is actually the highest form of self-love.
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Marpessa Dawn in Black Orpheus (1959) dir. Marcel Camus
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your dreams should scare you. they should be so big, so expansive that you have no choice but to listen to them. let your wildest, most irrational desires be acknowledged. let them terrify you but make your heart dance at the same time. that’s the one that’s meant for you. 🌹
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"Tout ce que tu es "
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"Tout ce que tu es"
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LS et Stevy Mahy.... Tout ce que tu es ...vendredi 24 mai a 18h00.
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Retour sur mon livre “ Renaissance Woman” …
J'ai été tellement touchée par ces mots … <3
Le livre?… je l’ai fini dimanche .
Tiens c’est mon petit présent pour toi.
Stevy…
( là il faut marqué un silence, une pause)
Je l’ai lu, je l’ai savouré.
Chaque fois que je le lisais j’avais envie de chocolat noir et de pain aux céréales avec de la confiture chocolat passion (fabriquée par les suprêmes vieux habitants), du coup c’était devenu le rituel accompagné d’un thé à la rose toujours dans la même tasse, ma tasse rouge m&m’s.
Au début j’ai eu envie de tout lire… mais je voulais surtout le commencer le jour où je serais prête …
Ainsi un soir, je l’ai commencé avec exactement le même plateau d’ailleurs.
(C’est peut être ça, sa lecture me rappelait ce premier instant… Me ramenait à des choses qui nourrissent mon deuxième cerveau: mon ventre).
Prête parce que je voulais choisir le moment parce que j’appréhendais ce que tes mots pourraient créer en moi.
Je voulais être prête à me reconnaître dans tes mots, et ne pas être simple « spectatrice » de ces mots.
Je voulais être sûre d’avoir envie de les recevoir.
Le lendemain matin, je l’emmenais avec moi, mais aucune envie de lire dans les transports… lieu inapproprié.
J’étais résolue à accepter que ce livre était destiné à mes moments avec moi-même . C’est « étrange » comment la tournure d’un livre peut avoir une incidence sur la façon dont on se l’approprie.
Alors je l’ai posé sur ma table de chevet et je le lisais vraiment comme un journal intime, je laissais passer le temps.
Si le chapitre suivant ne me parlait pas à l’instant où je le lisais , je posais le livre et décidais de le reprendre lorsque je serais prête .
Au rituel, c’est rajouté la bougie parfumée à la vanille. En général j’allume celle de bouddha pour les moments serein, mais là ton livre réclamait une odeur et la douce lumière de bougies, même en plein jour.
Être prête avait son sens je crois… Parce qu’arrivée au chapitre « choisie », en lisant la phrase « être rejeté dans ton entendement signifie la mort »… Je me suis mise à pleurer. Peut être que je n’étais pas prête ou que c’était le bon moment?
Ça va faire bientôt 3 ans que je suis célibataire. Nous avons eu l’occasion de parler d’elle, de celle pour laquelle je me suis désaimée, celle pour laquelle j’aurai pu tout sacrifier tant je la percevais comme mon évidence.
Juste cette phrase faisait vivement écho en moi.
Cette rupture était comme une petite mort, je perdais 20kg en très peu de temps pour que mon corps ne soit plus vu… Je perdais aussi ma flamme… celle qui vacillait déjà durant la relation…
A ce chapitre, j’étais vraiment face à moi même. Jusque là , je lisais des réflexions que je mettais déjà faite avec Marc Aurele, Hoponoponoo, Seneque, Moussa Nabati, Don Miguel Ruiz, étant adepte du développement personnel.
Mais ton écriture encrait les choses davantage, comme si je me lisais. Te lire c’était me lire.
Quelques heures avant la lecture de ce chapitre, je me disais que j’étais fière de moi, d’avoir su relever mon propre défi d’être seule avec moi-même pendant 3 ans… qu’il ne me restait plus que quelques mois avant de me croire capable d’envisager une relation amoureuse. Me sentir prête. Je me sais déjà forte et bien différente de celle que j’étais bien avant la rupture.
Et bim! Cette phrase m’a rappelé quelle souffrance ça a pu être, tout ce que j’ai vécu pendant et après cette relation… le sentiment de ne pas se sentir aimé…
Peut être que je ne suis pas tout à fait guéri? Non je pense surtout que le lire et entendre à nouveau ce processus de mort, me rappelle que je suis vivante et que j’ai réussi justement à dépassé tout ça dans le pardon de moi-meme, d’elle, de nous… des larmes de lâcher-prise.
Ah ce livre… Tes mots Stevy, Tes mots… dans ton livre, comme dans tes chansons, tes mots touchent le profond de mon en dedans touboneman.
Plus la fin approchait et moins j’avais envie que le livre se termine… il était vraiment devenu mon compagnon de route. Il me parlait, tu me parlais, je me parlais…
Au chapitre « m’aimes tu », j’ai de nouveau pleurer… je réalisais au combien je pouvais avoir peur parfois de m’aimer autant … peur d’être égoïste.
En somme j’ai souvent pleuré… chaque fois ça me rappelait que j’avais déjà abandonné tant de choses qui ne m’étaient pas salutaires.
Chaque chapitre a su porter l’interrogation en moi, le temps de lecture s’accordait avec mes moments de vie.
Merci pour ces mots, merci pour ce partage.
Merci pour cette lumière.
Merci.
Demeure cette énergie créatrice : tu nous fait du bien.
Moun Limyè Mwen, mèsi on pli pou Lanmou la.Mwen enmé’w.
« la décision de faire d’une inspiration , une réalisation » : ce sont ces mots de toi qui m’accompagneront.
Merci.
Promis, je continuerai à manifester ma vérité haut et fort. Oui je suivrai ton conseil avisé.
Je t’aime.
Je te souris :-)
- L -
www.stevymahy.com
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