somethoughtsshouldbekepthere

[somethoughtsshouldbekepthere]

[somethoughtsshouldbekepthere]

La fumée persiste sur sa langue, et pourtant, elle ne dérange pas, comme si c’était naturel d’être en sa présence. Comme s’il était préférable de l’avoir près de soi quand la fumée l’envahit et devient son aura. D’une certaine manière, son esprit d’évasion donne envie de plonger dans son état d’âme.

Mutuellement, tu te sens en sécurité avec lui. Une sorte de respect féminin, une adoration authentique et une passion habitent son sang. Quelle âme paisible, et pourtant, ni la douleur ni les tourments ne se font sentir en sa compagnie. Si son cœur venait à être transpercé, sa passion et son authenticité s’écouleraient pour peindre une toile d’un rouge vif et sanglant. La peinture dégagerait un sentiment de confiance, de pureté et de vérité.

Une âme pure, pourtant marquée par le monde. La douleur n’est pas sa priorité, mais il diffuse la paix autour de lui.

Quand il se retire dans des moments de solitude, la fumée qui l’enveloppe devient une métaphore de ses pensées — une danse éthérée d’idées tourbillonnant dans l’air, évoquant la même beauté et complexité que les vagues de l’océan. On peut presque percevoir le poids de son introspection ; il s’accroche à lui comme une brume, créant une barrière entre son monde intérieur et l’extérieur. Mais tu sais qu’au-delà de ces instants de silence se cache un cœur qui bat avec intensité, cherchant la connexion au milieu du chaos de la vie.

[somethoughtsshouldbekepthere]

i’m tired. but not just “didn’t sleep” tired. soul tired. bone tired. like my body keeps going but nothing inside knows why.

[somethoughtsshouldbekepthere]

And some how the more it hurts the more it feels like you should stay.

What could make the pain go away?

Drugs?

Sex?

Alcohol?

What a beauty to just feel like love is what you’re holding on to as if it’s the only thing that could keep you alive.

But maybe I might not try my best, I might not be the right person for anyone actually, I’m just nothing.

I never was able to do anything for myself.

Please can someone answer?

I need saving.

Where are you people?

HELP!

Help!?

Help?

help.

help…

[somethoughtsshouldbekepthere]

How do you heal when the damage feels like home?

[somethoughtsshouldbekepthere]

what a cruel joke it is, to love..

to. love.

[somethoughtsshouldbekepthere]

je sais que tu ne veux pas forcément entendre parler de ce qui se passe chez moi.

et franchement, je comprends.

tout est flou, rien ne tient en place, et je n’ai même plus l’énergie de prétendre que ça va.

mais toi… tu crois que je m’éloigne.

tu crois que je cache quelque chose.

tu crois peut-être même que je mens.

et c’est ça qui me fait mal.

parfois, j’ai l’impression que ce qu’on vit doit rester caché.

comme si dès que je m’attache, tout devient fragile.

comme si aimer devenait risqué.

et pourtant, malgré le bruit autour, malgré le bordel, malgré mes absences…

je me sens toujours plus proche de toi que de n’importe qui.

même quand on se comprend mal.

même quand tu doutes.

parce que, malgré tout, tes bras sont mon asile.

et ça, personne ne le sait.

personne ne le voit.

mais moi, je le ressens.

[somethoughtsshouldbekepthere]

“J’voulais juste qu’on se comprenne sans s’détruire.”

Elle priait le ciel pour que ça s’arrange, pendant qu’il se voyait déjà loin d’elle. Il jouait l’innocent quand ça l’arrangeait, alors qu’elle portait toute la folie du couple sur ses épaules. Au fond, elle a compris que c’était la fin à partir du moment où elle a commencé à le regarder autrement. Elle voulait juste qu’ils s’épargnent les sacrifices, les larmes, les non-dits. Juste un peu de maturité. Juste un peu d’amour vrai. Mais maintenant, y a plus d’appels la nuit, plus de “je t’aime”, plus rien. Ses mots à elle blessent, c’est vrai. Mais ses actions à lui faisaient tout autant de mal. Alors elle s’est mise à faire pareil. Et là, c’est le silence… le silence qui dit : on s’est tout dit.

Et quand il appelle…

— « Ouais, qu’est-ce qu’il y a ? J’ai pas envie d’te parler. »

— « Vas-y, laisse-moi t’dire les choses, s’il te plaît… »

— « Nan, j’veux rien savoir. »

— « Mais vas-y, t’es toujours sur la défensive… »

— « Stop, j’ai pas envie d’t’entendre. »

— « S’il te plaît. »

— « Stop. Arrête. »

Qu’est-ce qu’ils sont devenus ? Deux étrangers qui s’aiment trop mal. Y a plus de confiance, plus de direction. Elle sait plus où aller, elle aime même plus les gens. Ils ont tout gâché, à deux. Et le pire ? Elle n’est même pas son ennemie. Juste une fille fatiguée d’aimer dans le vide.

[somethoughtsshouldbekepthere]

“She says ‘I hate you’—but only to the ones she never stopped loving.”

When he said it was over, it didn’t just end—it ripped right through her. She should’ve seen it coming. The way it all unraveled was already written in the way they first looked at each other—too intense, too fast, too doomed. But when it hit, it still felt like betrayal. Now she stares at her phone like it owes her an apology. Like maybe this time, he’ll say something. Anything. But nothing comes. Last night probably destroyed whatever was left. And maybe that’s what hurts the most—realizing the silence is the closure.

She used to text in all caps, rage in one breath, regret in the next—“fuck you,” “i miss you,” “i hate you so much.” But people like her only say “I hate you” when they’re still clinging to love. That’s the thing—love never leaves her quietly. The highs, the lows, it’s a storm she never learned how to step out of. He told her to be real. She tried. But how can she be real when everything she gives gets turned into too much?

Now her phone stays on silent. Not because she doesn’t want to hear from him…

But because she knows he won’t call.

[somethoughtsshouldbekepthere]

"Still Searching: A Confession in the Quiet"

I long for love even though it hurts every time. Maybe it’s all just for a moment—fleeting, cruel. I don’t even know what I’m looking for anymore, just moving aimlessly through it all. And yet, I’d do it over and over, without hesitation, because I just need you in my life. You say it's over, but you can’t just end this love on your own. It’s not that easy. I’m nothing without this pain—maybe that’s the scariest part. Love was a drug I told myself I quit, but the thrill… it always comes back when the ache fades. That rush, that silence after the storm, it makes me feel alive. I think I’m happy with this pain. Isn’t that pathetic? You pity me, but I pity you more for thinking I need to be saved. Everyone eventually leaves anyway. I’ve cried so much it doesn’t even feel real anymore. I’m just numb now. Hurt over and over again, still lovesick, still searching—like that’s all I was made for. Why am I still looking for love?