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Si tu suis mon regard
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Rose(s)
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Cette nuit là j’étais l’univers
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C’était une nuit des plus banales; de celles qui ne vous laissent aucun souvenir à part le simple fait de ne pas fournir de luminosité. Elle est devenue celle qui fait craindre les appels tardifs, celle qui permet au coeur de distinguer toutes les nuances du noir.
Je crois que j’en ai fini avec la vie, tu es une adulte, ta mère n’a pas besoin de moi, je ne sais pas ce que je pourrais apporter de plus. Voici à peu de choses près ce que le son lointain de la voix calme de mon père a fait résonner dans mes tympans cette nuit là, cette nuit normale. Les mots précis se sont envolés, tout comme le déroulement précis des évènements. Je me souviens avoir raccroché, en larmes, avoir suffoqué, cru mourir plusieurs fois accroupie dans un coin du dressing. Le bruit des lattes du parquet qui craque me semblait aussi insupportable qu’une craie sur un tableau. J’ai regardé mon téléphone et appelé n’importe qui pour lui dire de venir, pour inverser le sort et appeler la vie, je ne me souviens même plus quelle était cette copine, mais elle est venue tout comme elle était partie, de cette nuit et de ma vie, sans que je sache comment ni où.
Jamais je n’ai cru mourir comme cette nuit là alors qu’un drame autrement plus important que ma propre mort se nouait à quelques kilomètres de moi: mon père voulait mourir. Il ne pouvait pas mourir puisqu’il était en vie. C’était impossible, les gens que j’aime devaient mourir par surprise, brusquement, pour ne pas souffrir. Et puis, j’ai compris, parce que toujours les sentiments les plus simples ou les plus inavouables se filtrent en substance comestible au travers du filtre de mon coeur.  
Je n’ai pas couru vers lui, je ne l’ai pas vu cette nuit là. J’aurais dû courir, pieds nus en sang s’il le faut, prendre les clés de la voiture et conduire machinalement, risquer la mort moi aussi après tout, supplier cette copine de m’y emmener, courir encore et défoncer la porte, le relever, le sauver. J’ai pensé à ma mère qui dormait à l’étage, si fragile que je ne pouvais pas l’éclabousser de cette nouvelle. Comment n’a-t-elle pas entendu la voiture, les portes qui claquent dans cette vieille maison, mes pleurs bruyants, mon nez qui coule et mon souffle coupé?  
Je n’ai rien fait à part pleurer, lui dire non, non ne pars pas, comment peux-tu penser que je n’ai pas besoin de toi. Je me souviens avoir dit que ce n’est pas parce qu’on ne dit rien qu’on n’a pas besoin d’être sauvé, puis j’ai regretté de l’avoir dit et je ne sais plus du tout à quel moment qui a raccroché. La paralysie était la seule réponse que je pouvais apporter et je ne sais comment mon corps entier s’est plongé dans un sommeil gris bleu.  
La journée de travail suivante a eu le mérite d’être l’une de celle qui se déroule dans une paix royale, ma mine défaite et mes rires absents pour la première fois ont laissé mes collègues à la porte de ma vie. Je ne sais plus quand nous nous sommes revus mais jamais nous n’avons évoqué cette épaisse brume, tous deux sauvés de naufrages du quotidien, passés et à venir. Cette nuit là j’étais l’univers, ses étoiles brillantes pourtant mortes depuis des milliers d’années, j’étais celles qui naissent aujourd’hui et pourtant hier, j’étais les galaxies lointaines, les big bangs et les phénomènes inexpliqués, la naissance d’un temps mesurable, j’étais l’univers et tout autour le vide, le tout. Et partout, mon père.
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Frappe toi le coeur
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Quoi de plus délicieux, sinon douloureux, que cette citation de Musset pour flirter avec le dernier roman d'Amélie Nothomb? Une relation mère-fille compliquée comme fil d'ariane sans autre intérêt que celui de me faire penser que tout est trop: superficiel, improbable, irréel. J'ai besoin que l'histoire d'un roman puisse se transposer dans ma propre vie, voilà pourquoi j'aime tant les récits de voyage, les journaux et les romans simples dans la beauté de raconter l'indicible, les sentiments, la vie réelle. Je le lis pourtant d'une traite en une soirée, sans décrocher, c'est fluide, c'est joli, c'est la fin, je referme en déclamant haut et fort alors qu'on ne m'avait rien demandé "je n'ai pas aimé",et, quand on me demande pourquoi, je ne sais pas répondre. Je bredouille que cette relation mère-fille m'a perturbée, qu'une immense mélancolie se dégage des personnages, une colère, aussi. "Donc t'as aimé". Oui, finalement j'ai aimé.
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Le pull boring
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Il y a un vêtement que je trouve extrêmement sexy en hiver: le pull fin à col roulé en cachemire. Vous allez me dire, ouais OK mais ça ne va pas à tout le monde, c'est super cher, c'est chiant, que nenni, je pense au contraire que ça sied à toutes (et tous!) et on peut en trouver de bonne qualité avec un prix à deux chiffres chez Uniqlo ou Monop' par exemple. 
Dans mon idéal, il est noir, le col bien haut plutôt serré sur le cou, pas trop moulant mais pas trop lâche non plus et il se porte... avec tout. Je les choisis une taille au dessus de la mienne, je les lave en machine sur programme laine ou à la main, avec un geste assez cocasse consistant à lui tirer dessus doucement juste après l'essorage : sur les manches, le bas, le col. Ainsi ils ont un fini plus moelleux lors du séchage. Ou alors je suis zinzin.
Pull Uniqlo - trench en cuir Therapy - Manteau long Barena - jean Levi’s - bottines Gucci -  sneakers Lacoste - sacs: Céline et Fendi
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On dirait Jane et Serge sur le pont des Arts
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Partout on nous vend la parisienne comme une baguette tradition pas trop cuite, dans les magazines, les blogs, les boutiques et les livres; on cherche à la croquer, à la décrire, à renouveler son aura. Paris est une scène où il suffit d'être spéctateur pour s'imprégner, s'inspirer, aimer ou détester. La réputation de la parisienne n'est donc pas infondée, il est indéniable qu'un style se dégage de Paris et ses habitants; une liberté propre aux grandes villes et pourtant, avec le recul, devient siège d’une dictature du bon goût pouvant devenir gênante. Je fais référence par exemple au livre de Jeanne Damas, que je n'ai pas lu (lol), mais dont les extraits distillés par ma meilleure amie ou certaines d’entre vous ont fait débordé le vase déjà trop plein.
On nous dit qu’elle est nonchalante, qu’elle passe sa vie en terrasse des cafés à fumer des clopes et faire semblant de lire un livre; qu’elle doit être bien née (!!) (à Paris si possible et d’une famille aisée), posséder un appartement dans le 16ème. Elle porte des paniers en osier, applique du rouge à lèvres n'importe comment. J'ai vu des portraits de parisiennes assez peu variés, souvent minces, grandes et blanches. Elle a les cheveux décoiffés, elle est une liane de style et d’élégance. 
Cette image est volontairement réductrice, c'est souvent le cas lorsqu'on veut décrire un groupe d'individus, mais est-ce qu’on est vraiment obligé de la réduire - et de la vendre - d’une façon si peu profonde et finalement assez fausse?
Je me suis demandé: mais cette image de la parisienne fait rêver qui exactement? Est-ce que c'était mieux avant? Lauren Bastide, qui pourtant anime plusieurs podcasts mettant en valeur les femmes, dresse un portrait assez triste et sans relief de ce qu'est ma réalité.
Au fond je ne sais pas pourquoi cela m'énerve autant, deviendrais-je aigrie? Je ne crois pas. Ma vision de la parisienne a plus d'aspérités et moins de certitudes. Prenez le métro, ce n'est pas tous les jours la folie telle qu'on peut la visualiser dans nos clichés personnels mais pourtant il se dégage clairement un style, peut-être moins pointu, exigeant. Et moins vendeur, c'est sûr.
Pour être parisienne, il faut aimer Paris, s’y sentir chez soi. On veut attribuer des valeurs à la parisienne mais elle est assez indépendante pour pouvoir le faire seule et elle a l’élégance de ne pas les jeter à la figure des autres, elle sait que tout ceci n'a rien à voir avec un lieu de vie. La parisienne c’est Odette qui vient chaque semaine aux Restos du coeur, c'est ma meilleure amie, c’est cette américaine qui aime chaque pavé de sa rue, c’était moi peut-être il y a quelques temps, c’est une provinciale, c'est une fille née partout. 
Et vous, ça vous énerve aussi ces portraits lisses et faciles?
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18-3838
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Enfant, j'attribuais, par instinct, une couleur à chaque personne. Ainsi, ma mamie était rose, mon papi vert, mon papa brun et ma maman oscillait entre le rouge et le blanc*. Certainement en phase avec mes îlots de mégalomanie, je me voyais violette: je trouvais cette couleur extrêmement complexe et je rêvais de posséder son équilibre lorsqu'elle atteignait la perfection que je lui voyais: un violet profond.
Chromatiquement situé entre le magenta et le bleu, il est difficile de le saisir en photographie par exemple. De la même manière, trouver un tissu, par extension un vêtement, apportant le degré de satisfaction éprouvée lors de ma petite enfance s'avère être un exercice périlleux. Mais comme la vie est bien faite: l'utra violet a été élu couleur Pantone de l'année 2018 et il s'agit d'une chose réjouissante car il va peut-être se montrer plus souvent dans les boutiques! Oh, on en trouve, mais c'est à mon goût rarement réussi à prix abordable malheureusement. Il ne pardonne pas l'approximation et n'était pas réellement chéri ces dernières années, avouons-le... *Curieusement je n'ai suivi aucune psychanalyse 
Vernis Essie “sexy divide” - escarpins Louboutin - Chemise Gucci - Pantalon Marc Jacobs - Manteau Tagliatore - Manchette Goossens - Fedora Maison Michel
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La silhouette au fedora violet
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Février 2017. Paris, nuit tombante, ligne 12. Sa silhouette est entrée instantanément dans mon panthéon personnel de l'élégance. Le fedora violet profond laissait dépasser des cheveux d'un blanc pur attachés très bas sur le côté de la nuque et quelques mèches volantes. Un long foulard, pris au filet d'un large manteau anthracite, pendait négligemment de chaque côté du cou en mélangeant blanc, violet, vert bouteille et orange et, posé au-dessus comme pour figer ces couleurs, un châle en fausse fourrure grise. Les bottines sont couleur brique, le pantalon ne se fait pas remarquer mais l'absence de sac et les mains dans les poches confèrent à cette silhouette un caractère fort, au-delà du temps.
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La mode veut-elle notre bien être?
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La mode au sens large a toujours été la photographie d'une époque, impression stylisée d'un moment. A chaque période sa révolution, le vêtement se faisant souvent étendard d'une revendication politique, par sa démocratisation, réinterprétation, invention ou supression. L'habit marquait la condition sociale bien avant le siècle dans lequel nous sommes nés, il sert aussi à se démarquer, à mixer les communautés et les cultures. Il s'adapte au message que l'on veut donner, à l'image qui colle le plus à notre personnalité et non l'inverse. Quoi que... selon une étude très sérieuse sur ce que les scientifiques nomment Enclothed Cognition, les vêtements auraient un pouvoir puissant: l'appropriation mentale d'une faculté intellectuelle donnée à vêtement. L'étude est expliquée dans cette courte vidéo (je jure c'est pas relou). 
En préambule différençons grossièrement la mode, son industrie et le style. La mode utilise, capte, s'approprie (liste non exhaustive) des tendances, son industrie les propulse dans un but mercantile et le style, celui qui sort triomphant de tout, indifférent aux fluctuations de l'époque. Les vêtements aident à affirmer son style, mais la personnalité le crée, je trouve autour de moi des gens que je qualifie de "stylés" dans un panel très varié de personnes, parce que leur apparence est en accord avec leur personnalité ou pour d'autres raisons insaisissables sans doute, pour des détails, un engagement, une allure, un charisme, une signature, un acte, une présence. Ces notions sont difficilement palpables et les valeurs associées seront différentes pour chaque individu.
Naïvement (et idéalement), j'attends de la mode qu'elle pousse et mette en lumière de nouveaux artistes, qu'elle aide à avoir confiance en soi, qu'elle pousse à de nouvelles formes d'expression, à l'expression d'une personne qui s'amuse et se sent bien, qu'elle encourage l'individualité, qu'elle incite à la bienveillance envers soi et a fortiori les autres. Je ne  sais pas ce que l'on peut attendre de la mode pour la société aujourd'hui, et surtout est-ce qu'elle peut faire changer les choses? J'ai bien compris que l'industrie de la mode ne va pas dans ce sens mais les choses tendent à changer. J'ai arrêté de lire les magazines féminins et leurs injonctions douteuses, de suivre certains blogs ou comptes instagram qui ne véhiculent pas ma vision de la femme et du style, et pire qui poussent d'autres femmes à critiquer ces femmes et retomber de fait dans un cercle vicieux. Heureusement, je vieillis et je m'ouvre à d'autres choses.
L'interdiction des mannequins trop maigres dans les défilés ou la mention obligatoire (hum) d'indiquer les retouches dans les magazines, la mise en lumière des + de 40 ans et par conséquent l'acceptation de la vieillesse (!), des corps aux morphologies et aux origines variées, l'arrêt de l'utilisation de fourrures pour certaines marques (Liste ici) sont autant de progrès d'égale importance qui me poussent à croire à un futur positif. De plus en plus de personnalités - ou inconnus - s'engagent dans cette quête de diversité et donc de réalité. J'ai du mal aussi avec cette injonction de retour au naturel: une femme doit pouvoir faire ce qu'elle veut, point. Pas facile de trouver l'équilibre.
La rechute et le mauvais goût ne sont jamais loin, je ne suis pas dupe, l'industrie de la mode n'est pas féministe, n'est pas un booster de confiance, elle montre les femmes dans une démarche d'achat frénétique pour assouvir une pulsion (Zola décrivait déjà l'affaire dans son ouvrage Au bonheur des dames, non?), dans la maîtrise d'un corps, sans valeurs intellectuelles particulières. Une femme bête. Dans la vraie vie on est toujours autre chose que juste bête. J'ai un propos radical et exagéré, peut-être, mais quand je lis des choses ou vois des images d'une femme avec un livre pour s'en moquer (un livre à l'envers oh zut je suis trop stupide hihi) ou montrer une image "exceptionnelle" (oh regarde elle porte des talons mais pourtant elle lit un livre ahaha super), ça me rend folle. Moi, je veux bien en rire parce que j'aime l'humour et je pense avoir du recul, mais là c'est dangereux parce que trop présent, partout, tout le temps, pour tous. TOO COOL FOR SCHOOL? Heu non. 
Deux autres exemples récents.
Les vêtements Dior flanqués de "we should all be feminist" ou " Why have there been no great women artists ?". Déjà, les messages aposés par Maria Grazia Chiuri font référence à des femmes importantes:  Chimamanda Ngozie et Linda Nochlin. Bonne nouvelle donc, la mode n'est pas inculte, je crois fort au talent des artistes et des créateurs, en leur culture et en leur faculté à pouvoir faire passer des messages. Ensuite, la machine prend le relais: c'est une déclaration forte, facile à vendre, 600€, bim, vu "partout" dans les média, succès. Et après? 
Quand Versace invite les supermodels à son défilé, c'est pour nous montrer une image quasi intacte d'une époque passée. Je ne remets pas en cause leur beauté individuelle mais j'ai vu des femmes figées dans une image de jeunesse. D'un autre côté, oui, elles sont powerfull, dynamiques et toujours dans place, c'est super positif. Nul besoin de préciser que je pense que chaque personne est bien évidemment libre d'assumer n'importe lequel de ses choix (professionnels, personnels), physiquement puisque j'en parle ici, que ce soit de la chirurgie esthétique, du no-make-up, d'un look affirmé, d'une longue chevelure grise ou d'un carré teint. Peut-être que cette image me renvoie à une image de femmes "control freak" bien loin de ma personnalité.
Est-ce que la mode devrait nous aider? J'ai toujours pensé que oui, pour des raisons de booster de confiance, d'amusement, d'affirmation de sa personnalité; mais aussi pour aider la société? Les acteurs de la mode sur-médiatisés peuvent sans doute faire avancer les choses en montrant l'exemple, mais aussi vous et moi, les dirigeants de PME, nos dirigeants politiques...
Je ne suis pas parfaite et je n'ai jamais été une donneuse de leçons: je ne consomme pas éthique, je porte parfois un regard issu de diktats imposés (=les crocs, c'est moche) (ou est-ce une vérite absolue? :D), je ne révolutionne pas le monde, je ne suis pas militante, j'ai plein de trucs à apprendre, mais j'essaie déjà de forger mon regard critique. Je ne sais pas si l'une des pistes serait d'accorder plus d'importance à ce que nous refusons de voir/porter et le dire haut et fort, ne plus donner/dénoncer de crédit à des images jugées non conformes à nos valeurs d'émancipation, de bonheur ou autre pour aller vers ce qui nous correspond. En tout cas, on peut essayer.
Watercolor: by myself
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Quelle alimentation pour mon carnivore?
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A l'état sauvage, mes deux chats se nourriraient exclusivement de viande; viande d'animaux souvent herbivores ou omnivores ayant ingérés par exemple des céréales et tout un tas de nutriments/vitamines nécessaires à leur survie. Mes chats n'iraient pas manger des céréales "crues", ils ne feraient pas dorer un épi de maïs au coin du feu pour le déguster avec un bol de granola. Ils n'ont pas le système digestif prévu pour digérer des céréales, surtout crues et en quantité beaucoup trop importante pour eux. Alors pourquoi trouve-t-on en majorité des céréales dans les croquettes proposées (supermarché mais aussi magasin spécialisé ou vétérinaire...) et si peu de protéines? 
Parce que c'est moins cher. La proportion de protéines animales (je n'aborde même pas l'aspect qualititf, la viande pouvant provenir de produits dont on ne voudrait pas pour nous) dépasse rarement les 20% si on est chanceux ! Digérer un aliment qui est contre nature demande beaucoup d'effort à leur corps, et ce tous les jours, à chaque repas. 
Les conséquences ne sont pas négligeables: problèmes hépatiques, rénaux, diverses allergies, problèmes de peau ou encore... le surpoids voire l'obésité.
Alors que faire? Comment déchiffrer les étiquettes et comment les nourrir convenablement ? Voici plusieurs liens trouvés lors de mes interrogations. J’espère que ça vous aidera à trouver une meilleure alimentation pour vos animaux. Je pensais jusqu’à peu “bien agir” en leur proposant des croquettes de marque connue, j’aurais dû penser que si je ne fais pas confiance à l’industrie agro-alimentaire pour moi, il en est de même pour nos animaux...  De mon côté, on en est encore à tester plusieurs marques de croquettes sèches et humides en complément parce qu’ils adorent 😃 Et vous, comment faites-vous?
- Cet article qui résume tout, avec beaucoup de liens utiles  - Ce podcast France Inter  - Ce reportage France 5
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Peut-on se passer de chaussettes en hiver?
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Réponse: oui.
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