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ça c’est certainRestant sérieuse, elle l’écouta donc avec attention et comme à chaque fois, elle se faisait avoir. Ce regard et ce sourire était comme toujours une façon pour elle de perdre son sérieux et elle vint esquisser un nouveau sourire. Forcément … Avançant vers lui, elle fit en sorte d’aller au plus près de là où il se tenait, avant de lever la tête pour le fixer dans les yeux. Forcément elles n’avaient aucune chance, parce que la personne que tu avais en tête hantait tes pensées. Elle était toujours à tes côtés et tu ne pouvais te passer d’elle. Son ton était très sérieux, mais la lueur dans ses yeux prouvait qu’elle prenait un très grand plaisir à utiliser ses propos pour les modifier comme elle le souhaitait et voir comment il pourrait s’en sortir.

Je vois ça. Esquissant un sourire amusée, elle devait bien avouer qu’elle était étonnée de n’avoir pas vu ça chez lui plus tôt. Pourtant, elle pensait le connaître par cœur, apparemment elle avait encore un tas de choses à apprendre à son sujet. Seulement, avant d’y songer, elle venait de faire comprendre qu’à l’époque, elle n’avait pas apprécié qu’il puisse se faire draguer par d’autres. Malheureusement pour elle, il le comprit et en fit même une remarque. Oui, vraiment. Le fixant d’un air sérieux, elle voulait lui faire comprendre qu’elle n’en parlerait pas plus. Encore moins s’il décidait de garder ce sourire.

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Apparemment sa venue n’était pas désagréable aux yeux de la chef d’entreprise et ça faisait plaisir à voir et entendre. Avançant jusqu’à son bureau, Melinda la regarda ranger quelques affaires, avant qu’elle ne puisse lui dire qu’elle avait prit de quoi déjeuner. La fixant d’un regard sévère, elle savait qu’elle aussi était du genre à sauter des repas, mais quand il s’agissait de ses proches, elle voulait que ces derniers prennent le temps de s’alimenter correctement et qu’ils soient en bonne santé. Prête à sortir de quoi manger, elle écouta la question de la jeune femme et hocha la tête.

Bonne idée, ça sera mieux. Se levant de sa chaise, elle suivit tranquillement Pepper jusqu’au bon endroit. Comment vont les affaires ? Stark ne compromet pas les contrats que tu t’acharnes à créer ? Elle connaissait assez Tony pour imaginer qu’il puisse parfois l’ennuyer, donc elle espérait juste que ce dernier ne faisait pas ce genre de choses.

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Je viens simplement prendre des nouvelles. Avançant jusqu’au bureau, un sac à la main, elle prit place face à Pepper. Ca faisait très longtemps qu’elle n’avait pas eu l’occasion de simplement passer la voir. La première fois qu’elles s’étaient vus remontaient à l’enterrement de Coulson et depuis ce jour, elle avait appris à apprécier la présence de la chef d’entreprise. A ses yeux, sa plus grande qualité était sa patience, surtout avec Stark. Melinda devait avouer qu’elle ne pourrait pas supporter Tony, donc selon elle, Miss Potts avait beaucoup de courage.

J’ai même amené de quoi déjeuner si tu as un peu de temps ? Montrant le sac qu’elle avait eu à la main jusqu’à présent, elle ne savait pas si la jeune femme aurait du temps, mais elle espérait que ça serait le cas.

En relevant la tête Pepper aperçut un visage qu’elle n’avait pas vu depuis un petit moment déjà : Melinda. Une belle femme forte comme la rousse les appréciait. Elle eut alors un sourire et eut l’automatisme de refermer l’écran de son ordinateur ainsi que le dossier qui comportait un bon paquet de feuilles. “C’est une bonne surprise.”

Melinda s’avançait pendant que Pepper poussait son petit bazar face à elle pour que la brune puisse poser ses affaires lorsqu’elle s’installa. La rouquine observa le petit sac avec un sourire plus prononcé et soupira légèrement : “Je peux bien prendre une petite heure, et puis je n’ai pas encore mangé.” Pepper décala alors son ordinateur portable sur le côté avant de demandé avec un peu plus d’entrain “Tu veux peut-être qu’on aille dans un endroit un peu moins… Professionnel ? Il y a un coin tranquille au rez-de-chaussée où on peut manger.”

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Je vois ça. Esquissant un sourire amusée, elle devait bien avouer qu’elle était étonnée de n’avoir pas vu ça chez lui plus tôt. Pourtant, elle pensait le connaître par cœur, apparemment elle avait encore un tas de choses à apprendre à son sujet. Seulement, avant d’y songer, elle venait de faire comprendre qu’à l’époque, elle n’avait pas apprécié qu’il puisse se faire draguer par d’autres. Malheureusement pour elle, il le comprit et en fit même une remarque. Oui, vraiment. Le fixant d’un air sérieux, elle voulait lui faire comprendre qu’elle n’en parlerait pas plus. Encore moins s’il décidait de garder ce sourire.

Oh ça c’était certain. Elle avait bien entendu ce qu’il avait dit et comptait bien le faire parler un peu plus sur le sujet. Évidemment, elle commença par l’embêter gentiment avant de l’entendre dire qu’elle avait bien entendu. Oui, totalement, mais toi qui est si sûr de toi habituellement, ça m’étonne que là tu ne le sois pas. En le voyant sourire par la suite, elle fronça les sourcils à ses propos.

Je ne te fais rien croire du tout. Il y avait des filles autour de toi. La dernière partie de sa phrase était d’ailleurs dites sur un ton un peu sec. Un peu trop pour que ça passe inaperçu mais elle s’en fichait. Après tout, elle aussi avait ressentie quelque chose pour lui à l’époque et de voir des filles autour de lui n’avait pas été quelque chose qu’elle avait vraiment apprécié, même si elle avait fait en sorte de ne pas le montrer à l’époque.

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Oh ça c’était certain. Elle avait bien entendu ce qu’il avait dit et comptait bien le faire parler un peu plus sur le sujet. Evidemment, elle commença par l’embêter gentiment avant de l’entendre dire qu’elle avait bien entendu. Oui, totalement, mais toi qui est si sûr de toi habituellement, ça m’étonne que là tu ne le sois pas. En le voyant sourire par la suite, elle fronça les sourcils à ses propos.

Je ne te fais rien croire du tout. Il y avait des filles autour de toi. La dernière partie de sa phrase était d’ailleurs dites sur un ton un peu sec. Un peu trop pour que ça passe inaperçu mais elle s’en fichait. Après tout, elle aussi avait ressentie quelque chose pour lui à l’époque et de voir des filles autour de lui n’avait pas été quelque chose qu’elle avait vraiment apprécié, même si elle avait fait en sorte de ne pas le montrer à l’époque.

C’était vrai. L’avis de l’autre comptait beaucoup et au fil des années, elle l’avait ressentie, même si elle n’en avait pas parlé. Enfin, pas toujours. Mais, ils feraient avec, parce qu’ils avaient appris à vivre ensemble dans leur travail et elle comptait faire en sorte que le privé ne change rien à tout cela. Il fallait que leur relation reste professionnelle une fois au travail. Mais pour le moment, elle était contente de savoir qu’il appréciait son retour et ce simple geste de prendre ses mains et les caresser de son pouce était agréable. Cependant, elle ne s’était pas attendue à une révélation comme celle qu’il venait de faire. Monsieur aurait-il été amoureux d’elle depuis longtemps. A son simple oui, elle allait en effet lui jeter un tel regard, mais elle n’en eut pas le temps. L’écoutant reprendre la parole, elle devait avouer qu’elle appréciait ses paroles, mais de le voir aussi mal à l’aise pour le dire l’amusait bien.

Il se pourrait bien ? Haussant les sourcils, elle eu un léger sourire moqueur aux lèvres. Pourtant il y avait des filles qui gravitaient autour de toi déjà à l’époque. Elle ne comptait pas lui faciliter la tâche, mais sa curiosité avait décidé d’en savoir plus, en espérant qu’il en dise plus.

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C’était vrai. L’avis de l’autre comptait beaucoup et au fil des années, elle l’avait ressentie, même si elle n’en avait pas parlé. Enfin, pas toujours. Mais, ils feraient avec, parce qu’ils avaient appris à vivre ensemble dans leur travail et elle comptait faire en sorte que le privé ne change rien à tout cela. Il fallait que leur relation reste professionnelle une fois au travail. Mais pour le moment, elle était contente de savoir qu’il appréciait son retour et ce simple geste de prendre ses mains et les caresser de son pouce était agréable. Cependant, elle ne s’était pas attendue à une révélation comme celle qu’il venait de faire. Monsieur aurait-il été amoureux d’elle depuis longtemps. A son simple oui, elle allait en effet lui jeter un tel regard, mais elle n’en eut pas le temps. L’écoutant reprendre la parole, elle devait avouer qu’elle appréciait ses paroles, mais de le voir aussi mal à l’aise pour le dire l’amusait bien.

Il se pourrait bien ? Haussant les sourcils, elle eu un léger sourire moqueur aux lèvres. Pourtant il y avait des filles qui gravitaient autour de toi déjà à l’époque. Elle ne comptait pas lui faciliter la tâche, mais sa curiosité avait décidé d’en savoir plus, en espérant qu’il en dise plus.

Elle pouvait comprendre que ça n’était pas une mince affaire de diriger le S.H.I.E.L.D., mais elle avait espéré avoir plus de confiance de la part de son ami. Elle aurait aimé qu’il partage plus de choses avec elle professionnellement. Il aurait pu l’aider et même si elle aurait pu lui dire qu’elle n’était pas pour certaines de ces décisions, au moins ils en auraient parlés. Après tout, c’était lui le directeur, donc c’était à lui que revenait la décision finale. Elle n’aurait pas eu d’influence sur ces choix. Mais, aujourd’hui, il y avait un choix beaucoup plus important à faire et Melinda espérait vraiment qu’il serait sur la même longueur d’onde. Après avoir dit ce qu’elle pensait et ressentait, elle fut attentive à ses réponses. Il s’était rapproché et il était dans le même état d’esprit. Contente d’une telle réponse, elle soulagée, même si elle n’en montra pas grand-chose.

Quelques sourires le prouvait, mais ça faisait du bien d’entendre que lui aussi ressentait la même chose. Hochant la tête, un sourire en coin, en effet il respectait sa part du marché et dans un tel moment, elle appréciait grandement la chose. Puis le silence s’installa entre eux. Ca n’était pas une mauvaise chose, au contraire, une nouvelle fois ils pouvaient simplement se regarder et elle remarque beaucoup de choses chez lui. Sa fatigue, mais aussi quelque chose de plus léger et elle ne savait pas ce que c’était exactement, mais elle était contente de voir qu’il ne s’enfouissait pas sous les dossiers malgré tout. Indiquant alors qu’elle allait pouvoir aller prendre ses affaires et retrouver ses quartiers dans la base, elle l’écouta avant de sourire à nouveau.

Merci. Ce retour était très bon même. Phil décida de prendre ses mains dans les siennes et elle baissa les yeux pour les regarder. Puis, elle releva les yeux, surprise, mais elle se laissa faire avec plaisir. Son pouce contre sa peau lui faisait beaucoup de bien et rien qu’un simple mouvement comme celui-ci était déjà beaucoup. Moi aussi. C’est vrai, mais … Fronçant les sourcils, elle resta le dévisager. Comment ça depuis des années ?

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Je viens simplement prendre des nouvelles. Avançant jusqu’au bureau, un sac à la main, elle prit place face à Pepper. Ca faisait très longtemps qu’elle n’avait pas eu l’occasion de simplement passer la voir. La première fois qu’elles s’étaient vus remontaient à l’enterrement de Coulson et depuis ce jour, elle avait appris à apprécier la présence de la chef d’entreprise. A ses yeux, sa plus grande qualité était sa patience, surtout avec Stark. Melinda devait avouer qu’elle ne pourrait pas supporter Tony, donc selon elle, Miss Potts avait beaucoup de courage.

J’ai même amené de quoi déjeuner si tu as un peu de temps ? Montrant le sac qu’elle avait eu à la main jusqu’à présent, elle ne savait pas si la jeune femme aurait du temps, mais elle espérait que ça serait le cas.

Trois coups à la porte et elle ne pouvait même pas faire semblant de ne pas être là. C’était le défaut de son nouveau bureau qui était autant entouré de baies vitrées que l’ancien. Alors, elle se contenta d’un simple sourire amical.

“Que me vaut ce plaisir ?”

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Elle pouvait comprendre que ça n’était pas une mince affaire de diriger le S.H.I.E.L.D., mais elle avait espéré avoir plus de confiance de la part de son ami. Elle aurait aimé qu’il partage plus de choses avec elle professionnellement. Il aurait pu l’aider et même si elle aurait pu lui dire qu’elle n’était pas pour certaines de ces décisions, au moins ils en auraient parlés. Après tout, c’était lui le directeur, donc c’était à lui que revenait la décision finale. Elle n’aurait pas eu d’influence sur ces choix. Mais, aujourd’hui, il y avait un choix beaucoup plus important à faire et Melinda espérait vraiment qu’il serait sur la même longueur d’onde. Après avoir dit ce qu’elle pensait et ressentait, elle fut attentive à ses réponses. Il s’était rapproché et il était dans le même état d’esprit. Contente d’une telle réponse, elle soulagée, même si elle n’en montra pas grand-chose.

Quelques sourires le prouvait, mais ça faisait du bien d’entendre que lui aussi ressentait la même chose. Hochant la tête, un sourire en coin, en effet il respectait sa part du marché et dans un tel moment, elle appréciait grandement la chose. Puis le silence s’installa entre eux. Ca n’était pas une mauvaise chose, au contraire, une nouvelle fois ils pouvaient simplement se regarder et elle remarque beaucoup de choses chez lui. Sa fatigue, mais aussi quelque chose de plus léger et elle ne savait pas ce que c’était exactement, mais elle était contente de voir qu’il ne s’enfouissait pas sous les dossiers malgré tout. Indiquant alors qu’elle allait pouvoir aller prendre ses affaires et retrouver ses quartiers dans la base, elle l’écouta avant de sourire à nouveau.

Merci. Ce retour était très bon même. Phil décida de prendre ses mains dans les siennes et elle baissa les yeux pour les regarder. Puis, elle releva les yeux, surprise, mais elle se laissa faire avec plaisir. Son pouce contre sa peau lui faisait beaucoup de bien et rien qu’un simple mouvement comme celui-ci était déjà beaucoup. Moi aussi. C’est vrai, mais … Fronçant les sourcils, elle resta le dévisager. Comment ça depuis des années ?

Elle aussi était nostalgique parfois. Après tout, son enfance et les années qui ont suivi étaient intéressantes à ses yeux. Avoir pu patiner pendant des années quand elle était petite était toujours des moments qu’elle aimait retrouver avec des photos ou des histoires que son père pouvait parfois lui raconter. Puis, il y avait les sorties avec les amies et ceux qu’elle s’était fait au sein du S.H.I.E.L.D.. Coulson était devenu un ami important, ils avaient passés beaucoup de temps à travailler ensemble et elle était contente de pouvoir refaire équipe avec lui. Seulement, beaucoup de choses avaient changés et elle se rendait compte aujourd’hui que tout ce qu’elle avait fait en sorte de laisser au fond de son esprit, était en train de remonter. Melinda ne pouvait plus se cacher derrière son mariage ou ses problèmes. Elle ne comptait plus le faire et ce fut ainsi qu’elle se retrouvait face à lui, expliquant qu’elle voulait plus qu’une simple relation de travail avec lui.

Ne sachant pas comment il allait le prendre, elle fut donc attentive à ses paroles, mais également à sa façon de se comporter. Entre la surprise et son rapprochement, elle était sûre d’avoir touché un point sensible. Restait encore à savoir lequel. Quand il demanda des précisions, elle en fut amusée mais ne le montra pas, préférant garder son sérieux, car c’était important pour elle et elle espérait que ça l’était pour lui. Etant donc clair, elle finit par le voir sourire. Ce fut un soulagement, mais il n’avait encore rien dit. Donc à sa prise de parole, elle fut encore plus attentive et soulagée quand il expliqua que c’était réciproque. Hochant la tête, Melinda était rassurée, mais du coup elle ne savait pas quoi ajouter de plus.

Merci pour ta franchise. C’était idiot, mais maintenant qu’elle savait la vérité, elle ne savait pas quoi faire. Elle avait pensé à toutes les réponses qu’ils auraient pu se donner, mais elle n’avait pas songé à la suite. Se retrouvant donc confronter à la situation, elle resta le fixer un moment. Le silence les entourait et ça n’était pas désagréable. Je vais pouvoir ramener mes affaires et retrouver ma chambre. Evidemment qu’elle avait autre chose en tête que d’aller prendre ses affaires. Elle voulait pouvoir l’embrasser, mais elle n’était pas certaine que ça soit une bonne chose. La porte était ouverte et ils venaient à peine d’accepter de faire un pas vers une relation plus personnelle. Bon d’accord, pour la porte, elle se fichait bien de savoir si quelqu’un pouvait les voir. Pour la nouveauté entre eux, c’était aussi une excuse facile, mais elle ne voulait pas le forcer à faire quoi que ce soit non plus.

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Elle aussi était nostalgique parfois. Après tout, son enfance et les années qui ont suivi étaient intéressantes à ses yeux. Avoir pu patiner pendant des années quand elle était petite était toujours des moments qu’elle aimait retrouver avec des photos ou des histoires que son père pouvait parfois lui raconter. Puis, il y avait les sorties avec les amies et ceux qu’elle s’était fait au sein du S.H.I.E.L.D.. Coulson était devenu un ami important, ils avaient passés beaucoup de temps à travailler ensemble et elle était contente de pouvoir refaire équipe avec lui. Seulement, beaucoup de choses avaient changés et elle se rendait compte aujourd’hui que tout ce qu’elle avait fait en sorte de laisser au fond de son esprit, était en train de remonter. Melinda ne pouvait plus se cacher derrière son mariage ou ses problèmes. Elle ne comptait plus le faire et ce fut ainsi qu’elle se retrouvait face à lui, expliquant qu’elle voulait plus qu’une simple relation de travail avec lui.

Ne sachant pas comment il allait le prendre, elle fut donc attentive à ses paroles, mais également à sa façon de se comporter. Entre la surprise et son rapprochement, elle était sûre d’avoir touché un point sensible. Restait encore à savoir lequel. Quand il demanda des précisions, elle en fut amusée mais ne le montra pas, préférant garder son sérieux, car c’était important pour elle et elle espérait que ça l’était pour lui. Etant donc clair, elle finit par le voir sourire. Ce fut un soulagement, mais il n’avait encore rien dit. Donc à sa prise de parole, elle fut encore plus attentive et soulagée quand il expliqua que c’était réciproque. Hochant la tête, Melinda était rassurée, mais du coup elle ne savait pas quoi ajouter de plus.

Merci pour ta franchise. C’était idiot, mais maintenant qu’elle savait la vérité, elle ne savait pas quoi faire. Elle avait pensé à toutes les réponses qu’ils auraient pu se donner, mais elle n’avait pas songé à la suite. Se retrouvant donc confronter à la situation, elle resta le fixer un moment. Le silence les entourait et ça n’était pas désagréable. Je vais pouvoir ramener mes affaires et retrouver ma chambre. Evidemment qu’elle avait autre chose en tête que d’aller prendre ses affaires. Elle voulait pouvoir l’embrasser, mais elle n’était pas certaine que ça soit une bonne chose. La porte était ouverte et ils venaient à peine d’accepter de faire un pas vers une relation plus personnelle. Bon d’accord, pour la porte, elle se fichait bien de savoir si quelqu’un pouvait les voir. Pour la nouveauté entre eux, c’était aussi une excuse facile, mais elle ne voulait pas le forcer à faire quoi que ce soit non plus.

Jusqu’à aujourd’hui leur relation était restée professionnelle. Évidemment il y avait un peu de personnel, parce qu’il était son ami depuis longtemps et qu’elle tenait à lui. Seulement, cette fois-ci, ça devenait beaucoup plus personnel. Elle avait donné une chance à Andrew, mais ça n’avait pas fonctionné. Ils avaient évolués différemment et même si elle avait apprécié les quelques semaines qu’elle avait passée en sa compagnie, Melinda savait désormais que c’était terminé. Elle tiendrait toujours à son ex-mari, mais ça en resterait là. Du coup, les jours qu’elle avait passé seule par la suite lui avait fait réaliser ce qu’elle avait dit à Coulson et qu’elle le pensait vraiment. Les limites qu’ils s’étaient imposés étaient devenues floues et elle devait les remettre à jour et bien les définir. Seulement, elle voulait plus que ce qu’ils avaient eu par le passé. Avoir travaillé à nouveau avec lui, avec tout ce qu’il avait fait pour elle, après s’être inquiété à son sujet, oui, elle voulait plus.

Malheureusement, l’autre agent ne ressentait peut-être pas la même chose. Il ne la considérait que comme une amie et si c’était le cas, elle devrait faire avec ou tenter sa chance en trouvant un autre emploi. Après qu’il ait demandé des explications sur ce qu’elle venait de dire, Melinda fit en sorte d’être franche. Elle voulait de Coulson dans sa vie, en tant que partenaire dans le travail, mais également plus que ça. Elle voulait leur donner une chance et elle attendit alors sa réponse. Il semblait surprit, ce qu’elle pouvait comprendre évidemment, mais elle ne savait pas si c’était bon signe ou pas. Le regardant se rapprocher, elle resta silencieuse, attendant de voir ce qu’il ferait ou ce qu’il comptait lui dire. S’il avançait pour lui dire qu’il ne ressentait pas la même chose, ça serait un coup dur, mais elle ferait avec. A sa question, elle haussa un sourcil.

Si ça n’était pas le cas, je ne le dirai pas. Elle venait de le dire d’un ton sérieux, mais un sourire était apparu sur son visage. Mais, elle reprit son sérieux, parce qu’il n’avait pas donné de réponse à ce qu’elle proposait. C’est ce que je veux, mais est-ce que ça l’est pour toi ? C’était tout ce qu’elle voulait savoir. Est-ce qu’il ressentait la même chose et qu’il était prêt à tenter quelque chose avec elle ou pas.

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Jusqu’à aujourd’hui leur relation était restée professionnelle. Evidemment il y avait un peu de personnel, parce qu’il était son ami depuis longtemps et qu’elle tenait à lui. Seulement, cette fois-ci, ça devenait beaucoup plus personnel. Elle avait donné une chance à Andrew, mais ça n’avait pas fonctionné. Ils avaient évolués différemment et même si elle avait apprécié les quelques semaines qu’elle avait passée en sa compagnie, Melinda savait désormais que c’était terminé. Elle tiendrait toujours à son ex-mari, mais ça en resterait là. Du coup, les jours qu’elle avait passé seule par la suite lui avait fait réaliser ce qu’elle avait dit à Coulson et qu’elle le pensait vraiment. Les limites qu’ils s’étaient imposés étaient devenues floues et elle devait les remettre à jour et bien les définir. Seulement, elle voulait plus que ce qu’ils avaient eu par le passé. Avoir travaillé à nouveau avec lui, avec tout ce qu’il avait fait pour elle, après s’être inquiété à son sujet, oui, elle voulait plus.

Malheureusement, l’autre agent ne ressentait peut-être pas la même chose. Il ne la considérait que comme une amie et si c’était le cas, elle devrait faire avec ou tenter sa chance en trouvant un autre emploi. Après qu’il ait demandé des explications sur ce qu’elle venait de dire, Melinda fit en sorte d’être franche. Elle voulait de Coulson dans sa vie, en tant que partenaire dans le travail, mais également plus que ça. Elle voulait leur donner une chance et elle attendit alors sa réponse. Il semblait surprit, ce qu’elle pouvait comprendre évidemment, mais elle ne savait pas si c’était bon signe ou pas. Le regardant se rapprocha, elle resta silencieuse, attendant de voir ce qu’il ferait ou ce qu’il comptait lui dire. S’il avançait pour lui dire qu’il ne ressentait pas la même chose, ça serait un coup dur, mais elle ferait avec. A sa question, elle haussa un sourcil.

Si ça n’était pas le cas, je ne le dirai pas. Elle venait de le dire d’un ton sérieux, mais un sourire était apparu sur son visage. Mais, elle reprit son sérieux, parce qu’il n’avait pas donné de réponse à ce qu’elle proposait. C’est ce que je veux, mais est-ce que ça l’est pour toi ? C’était tout ce qu’elle voulait savoir. Est-ce qu’il ressentait la même chose et qu’il était prêt à tenter quelque chose avec elle ou pas.

La théorie et la pratique sont deux choses bien différentes. Dans n’importe quel domaine d’ailleurs, mais pour eux encore plus. On les préparait à faire face à des situations dangereuses, mais en les vivant, c’était toujours bien pire que ce qu’on leur avait appris. En tout cas c’était ce qu’elle avait ressenti au fil du temps. Barhain, la mort de son ami, les trahisons et aujourd’hui son possible retour. Ce dernier était aussi difficile que les autres, car elle avait besoin de savoir ce que Phil ressentait pour elle. Commençant doucement, elle voulait savoir comment il allait, avant de finalement lui poser la question la plus importante à ses yeux : les limites qu’il y avait désormais entre eux. Malheureusement à sa question, elle ne savait pas comment interpréter le tout. D’un côté, il ne pouvait pas imaginer ce qu’elle pensait, mais de l’autre elle aurait aimé que ça soit le cas.

Il faudrait redéfinir ces fameuses limites. C’était important à ses yeux, mais en même temps, ça pouvait dire qu’il n’était pas du tout sur la même longueur d’onde et là elle risquait de perdre leur amitié. C’était une chose impensable à ses yeux, mais elle devait se lancer. Je t’ai dit qu’à l’époque, j’étais marié à Andrew et nous étions partenaires. Aujourd’hui, je ne suis plus avec lui et notre partenariat n’est plus le même. Ne le lâchant pas des yeux, elle décida finalement d’être directe avec lui. Si je reviens, je veux plus qu’un partenaire sur le terrain, je veux plus qu’un partenaire dans le travail. Elle n’avait jamais vraiment été douée avec les mots, alors elle espérait qu’il comprendrait ce qu’elle voulait dire.

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La théorie et la pratique sont deux choses bien différentes. Dans n’importe quel domaine d’ailleurs, mais pour eux encore plus. On les préparait à faire face à des situations dangereuses, mais en les vivant, c’était toujours bien pire que ce qu’on leur avait appris. En tout cas c’était ce qu’elle avait ressenti au fil du temps. Barhain, la mort de son ami, les trahisons et aujourd’hui son possible retour. Ce dernier était aussi difficile que les autres, car elle avait besoin de savoir ce que Phil ressentait pour elle. Commençant doucement, elle voulait savoir comment il allait, avant de finalement lui poser la question la plus importante à ses yeux : les limites qu’il y avait désormais entre eux. Malheureusement à sa question, elle ne savait pas comment interpréter le tout. D’un côté, il ne pouvait pas imaginer ce qu’elle pensait, mais de l’autre elle aurait aimé que ça soit le cas.

Il faudrait redéfinir ces fameuses limites. C’était important à ses yeux, mais en même temps, ça pouvait dire qu’il n’était pas du tout sur la même longueur d’onde et là elle risquait de perdre leur amitié. C’était une chose impensable à ses yeux, mais elle devait se lancer. Je t’ai dit qu’à l’époque, j’étais marié à Andrew et nous étions partenaires. Aujourd’hui, je ne suis plus avec lui et notre partenariat n’est plus le même. Ne le lâchant pas des yeux, elle décida finalement d’être directe avec lui. Si je reviens, je veux plus qu’un partenaire sur le terrain, je veux plus qu’un partenaire dans le travail. Elle n’avait jamais vraiment été douée avec les mots, alors elle espérait qu’il comprendrait ce qu’elle voulait dire.

Ils avaient clairement souffert tous les deux, que ça soit ensemble ou séparément. Ils restaient discrets là-dessus, mais surtout Melinda. Elle avait du mal à prendre du recul sur certaines situations, mais elle ne voulait pas y songer pour le moment. Elle préférait alors gentiment embêter son ami, avant de lui dire qu’elle le préférait sans cravate. Après tout, depuis l’académie, elle l’avait vu porté toutes sortes de vêtements. Que ça soit la tenue que tout le monde connaît le costume trois pièces, des jeans, t-shirts et bien d’autres. De son côté, elle le préférait plus décontracter comme aujourd’hui. Le costume trois pièces lui allait très bien, mais elle aimait le voir de la sorte. L’écoutant parler, elle resta à nouveau le fixer.

Oui, mais je suis partie. Fronçant les sourcils, elle évitait le sujet, mais il était temps d’être directe avec lui. Après tout, si elle revenait, il fallait qu’elle soit franche avec lui. Je suis partie parce que j’avais besoin de faire le point sur beaucoup de choses. Aujourd’hui, ma relation avec Andrew est terminée, j’ai des doutes sur le fait de trouver un emploi de civile et je ne finirai pas comme Maria à travailler pour Stark. Ca c’était hors de question. Elle connaissait Tony et elle-même si elle appréciait beaucoup Pepper, elle ne se voyait pas travailler à Stark Industries. Seulement, il y a un point que je n’arrive pas à clore. Quand tu es venu dans le hangar pour faire des excuses alors qu’on regardait le Bus. La question des limites nous concernant.

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Ils avaient clairement souffert tous les deux, que ça soit ensemble ou séparément. Ils restaient discrets là-dessus, mais surtout Melinda. Elle avait du mal à prendre du recul sur certaines situations, mais elle ne voulait pas y songer pour le moment. Elle préférait alors gentiment embêter son ami, avant de lui dire qu’elle le préférait sans cravate. Après tout, depuis l’académie, elle l’avait vu porté toutes sortes de vêtements. Que ça soit la tenue que tout le monde connaît le costume trois pièces, des jeans, t-shirts et bien d’autres. De son côté, elle le préférait plus décontracter comme aujourd’hui. Le costume trois pièces lui allait très bien, mais elle aimait le voir de la sorte. L’écoutant parler, elle resta à nouveau le fixer.

Oui, mais je suis partie. Fronçant les sourcils, elle évitait le sujet, mais il était temps d’être directe avec lui. Après tout, si elle revenait, il fallait qu’elle soit franche avec lui. Je suis partie parce que j’avais besoin de faire le point sur beaucoup de choses. Aujourd’hui, ma relation avec Andrew est terminée, j’ai des doutes sur le fait de trouver un emploi de civile et je ne finirai pas comme Maria à travailler pour Stark. Ca c’était hors de question. Elle connaissait Tony et elle-même si elle appréciait beaucoup Pepper, elle ne se voyait pas travailler à Stark Industries. Seulement, il y a un point que je n’arrive pas à clore. Quand tu es venu dans le hangar pour faire des excuses alors qu’on regardait le Bus. La question des limites nous concernant.

Elle avait vu la hache en entrant dans le bureau, mais elle n’avait pas prit le temps d’y songer vraiment. Il était vrai que ça pouvait être un peu étrange qu’il la garde ainsi sur son mur, mais elle pouvait comprendre. Elle savait ce que ça faisait de perdre une partie de soi. Physiquement, elle n’avait jamais rien perdue, mais psychologiquement oui et même si elle ne voulait pas y penser, elle savait que ça n’était pas la même chose pour lui. Sur certains points ils avaient une vision différente des choses, mais elle ne ferait pas de remarque. Préférant donc s’amuser à lui dire à quel point il était têtu et qu’elle pouvait citer plusieurs moments du passé, elle hocha la tête à ses paroles. C’est plus sûr pour toi en effet.

Oui, elle faisait exprès de ne pas parler du fait qu’il pouvait aussi en dire autant la concernant. Cependant, elle fit une remarque sur le fait qu’il ne porte pas de cravate car il n’arrivait plus à la nouer. Oui, elle le trouvait mieux sans et elle lui fit un simple signe de tête à sa réponse. Si je reviens, j’aurai l’occasion de le voir plus souvent. Ca peut être un bon argument. Gardant son sérieux, elle resta le fixer un instant. Elle était venue pour avoir des réponses à ses questions et elle s’éloignait du sujet. Elle avait eu quelques réponses, mais elle n’avait pas eu la plus importante et pour la première fois depuis très longtemps, elle ne savait pas comment la poser.

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Elle avait vu la hache en entrant dans le bureau, mais elle n’avait pas prit le temps d’y songer vraiment. Il était vrai que ça pouvait être un peu étrange qu’il la garde ainsi sur son mur, mais elle pouvait comprendre. Elle savait ce que ça faisait de perdre une partie de soi. Physiquement, elle n’avait jamais rien perdue, mais psychologiquement oui et même si elle ne voulait pas y penser, elle savait que ça n’était pas la même chose pour lui. Sur certains points ils avaient une vision différente des choses, mais elle ne ferait pas de remarque. Préférant donc s’amuser à lui dire à quel point il était têtu et qu’elle pouvait citer plusieurs moments du passé, elle hocha la tête à ses paroles. C’est plus sûr pour toi en effet.

Oui, elle faisait exprès de ne pas parler du fait qu’il pouvait aussi en dire autant la concernant. Cependant, elle fit une remarque sur le fait qu’il ne porte pas de cravate car il n’arrivait plus à la nouer. Oui, elle le trouvait mieux sans et elle lui fit un simple signe de tête à sa réponse. Si je reviens, j’aurai l’occasion de le voir plus souvent. Ca peut être un bon argument. Gardant son sérieux, elle resta le fixer un instant. Elle était venue pour avoir des réponses à ses questions et elle s’éloignait du sujet. Elle avait eu quelques réponses, mais elle n’avait pas eu la plus importante et pour la première fois depuis très longtemps, elle ne savait pas comment la poser.

Elle qui n’avait pas pensé qu’avoir Daisy avec eux était une bonne idée, aujourd’hui elle se rendait compte à quel point c’était important. La jeune femme se débrouillait bien et elle était contente qu’elle soit aussi sûre d’elle. Chose qui n’était pas vraie pour son ami depuis qu’il avait perdu sa main. Tout le monde savait que Mack avait bien fait, parce que ça avait sauvé la vie de Coulson. Melinda y avait songé plusieurs fois. Aurait-il vraiment perdu la vie en se transformant ? Après tout, il avait eu du sang alien en lui, peut-être que ça lui permettrait de ne pas mourir. Seulement, elle ne voulait pas non plus qu’il soit différent de l’homme qu’elle avait appris à connaître au fil des années. Roulant des yeux quand il expliqua qu’il ne voulait pas ennuyer qui que ce soit pour l’aider, elle devait avouer que ça ne la surprenait pas. Seulement, elle ne pu s’empêcher de poser ses mains sur ses hanches à sa dernière remarque.

Vraiment ? Si tu veux que je te rafraichisse la mémoire sur certains points du passé où tu as prouvé que tu étais têtu, je peux le faire. Restant le fixer, son visage était des plus sérieux, mais elle était amusée de le voir faire cette moue. Pour ce qui est de la cravate, tu es mieux sans.

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Elle qui n’avait pas pensé qu’avoir Daisy avec eux était une bonne idée, aujourd’hui elle se rendait compte à quel point c’était important. La jeune femme se débrouillait bien et elle était contente qu’elle soit aussi sûre d’elle. Chose qui n’était pas vraie pour son ami depuis qu’il avait perdu sa main. Tout le monde savait que Mack avait bien fait, parce que ça avait sauvé la vie de Coulson. Melinda y avait songé plusieurs fois. Aurait-il vraiment perdu la vie en se transformant ? Après tout, il avait eu du sang alien en lui, peut-être que ça lui permettrait de ne pas mourir. Seulement, elle ne voulait pas non plus qu’il soit différent de l’homme qu’elle avait appris à connaître au fil des années. Roulant des yeux quand il expliqua qu’il ne voulait pas ennuyer qui que ce soit pour l’aider, elle devait avouer que ça ne la surprenait pas. Seulement, elle ne pu s’empêcher de poser ses mains sur ses hanches à sa dernière remarque.

Vraiment ? Si tu veux que je te rafraichisse la mémoire sur certains points du passé où tu as prouvé que tu étais têtu, je peux le faire. Restant le fixer, son visage était des plus sérieux, mais elle était amusée de le voir faire cette moue. Pour ce qui est de la cravate, tu es mieux sans.

Il avait raison, personne n’aurait jamais imaginé que la jeune femme puisse faire autant de choses. Entre le recrutement, ses pouvoirs, travailler pour le S.H.I.E.L.D., être devenue un agent de terrain. Ça faisait beaucoup, mais elle semblait parvenir à endosser tous les rôles. Ne pouvant s’empêcher de sourire face à la fierté de son ami et au courage de Daisy, May devait avouer qu’elle était impressionnée. Mais, quand elle pensait à tout ce qui s’était passé, elle ne pouvait s’empêcher de penser à l’amputation de son ami. Lui demandant donc comment il s’en sortait, elle hocha la tête à sa réponse.

Tu as quelqu’un qui t’aide quand tu en as besoin ? Ça n’était sans doute pas à elle de demander cela, mais elle espérait au moins qu’il acceptait d’être aidé par un membre de l’équipe. Je sais que tu es têtu parfois sur le sujet. Esquissant un sourire, elle resta le fixer, espérant vraiment qu’il allait bien.

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Il avait raison, personne n’aurait jamais imaginé que la jeune femme puisse faire autant de choses. Entre le recrutement, ses pouvoirs, travailler pour le S.H.I.E.L.D., être devenue un agent de terrain. Ca faisait beaucoup, mais elle semblait parvenir à endosser tous les rôles. Ne pouvant s’empêcher de sourire face à la fierté de son amie et au courage de Daisy, May devait avouer qu’elle était impressionnée. Mais, quand elle pensait à tout ce qui s’était passé, elle ne pouvait s’empêcher de penser à l’amputation de son ami. Lui demandant donc comment il s’en sortait, elle hocha la tête à sa réponse.

Tu as quelqu’un qui t’aide quand tu en as besoin ? Ca n’était sans doute pas à elle de demander cela, mais elle espérait au moins qu’il acceptait d’être aidé par un membre de l’équipe. Je sais que tu es têtu parfois sur le sujet. Esquissant un sourire, elle resta le fixer, espérant vraiment qu’il allait bien.

Je suis sûre que Daisy fait du bon travail. Elle ne l’avait pas encore vu, mais elle se doutait qu’elle était aussi occupée que les autres par rapport à toutes ses nouveautés. La jeune femme avait beaucoup de ressources, elle avait pu le remarquer depuis que Phil l’avait intégrer à l’équipe. Comment va ton bras ? Elle jeta un œil sur le membre amputé de son ami. Elle savait que même s’il ne le montrait pas, ça ne devait pas être tous les jours faciles.

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Je suis sûre que Daisy fait du bon travail. Elle ne l’avait pas encore vu, mais elle se doutait qu’elle était aussi occupée que les autres par rapport à toutes ses nouveautés. La jeune femme avait beaucoup de ressources, elle avait pu le remarquer depuis que Phil l’avait intégrer à l’équipe. Comment va ton bras ? Elle jeta un œil sur le membre amputé de son ami. Elle savait que même s’il ne le montrait pas, ça ne devait pas être tous les jours faciles.

Sachant que Coulson était un homme de parole, elle était donc assuré du fait que sa promesse n’était pas vide de sens. Elle savait qu’elle pouvait avoir confiance là-dessus et elle enchaîna donc avec ses propres vérités. Après tout, elle ne voulait plus de mensonges, donc autant qu’elle soit honnête avec lui et le fait que son départ ne l’avait pas vraiment aidé à y voir plus clair sur sa situation. Hochant simplement la tête à ses paroles, elle savait qu’il le pensait. Elle le connaissait assez pour savoir qu’il disait la vérité.

Comment se passe le recrutement ? Melinda savait que Daisy prenait très à cœur ses missions pour trouver des Inhumains. Après tout, même s’ils en avaient déjà quelques-uns, elle se doutait qu’il fallait pouvoir en trouver toujours plus et arrêter ceux qui se servaient de leurs pouvoirs à des fins néfastes.

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Sachant que Coulson était un homme de parole, elle était donc assuré du fait que sa promesse n’était pas vide de sens. Elle savait qu’elle pouvait avoir confiance là-dessus et elle enchaîna donc avec ses propres vérités. Après tout, elle ne voulait plus de mensonges, donc autant qu’elle soit honnête avec lui et le fait que son départ ne l’avait pas vraiment aidé à y voir plus clair sur sa situation. Hochant simplement la tête à ses paroles, elle savait qu’il le pensait. Elle le connaissait assez pour savoir qu’il disait la vérité.

Comment se passe le recrutement ? Melinda savait que Daisy prenait très à cœur ses missions pour trouver des Inhumains. Après tout, même s’ils en avaient déjà quelques-uns, elle se doutait qu’il fallait pouvoir en trouver toujours plus et arrêter ceux qui se servaient de leurs pouvoirs à des fins néfastes.

Au vu de sa réponse, elle pouvait au moins être certaine qu’elle serait sur le terrain. C’était une bonne chose, mais elle évita de répondre à sa question. Il n’avait en effet pas de raison de l’empêcher d’être un agent sur le terrain, mais elle voulait juste en être certaine. Cependant, un sujet plus complexe fut amené. Sa place par rapport à l’équipe et par rapport à eux. D’accord. Que pouvait-elle dire de plus ? A vrai dire, elle pouvait lui demander de quelles limites ils parlaient et pourquoi elle lui manquait, mais elle n’en fit rien.

Plus de mensonges et de secrets. Cette affirmation devait prendre effet dès cette seconde et elle décida donc de commencer avec elle-même. Ca n’a pas fonctionné avec Andrew. Ca a remis beaucoup de choses en perspective et c’est pour cela que j’ai besoin de savoir qu’entre nous, il n’y aura que la vérité.

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Au vu de sa réponse, elle pouvait au moins être certaine qu’elle serait sur le terrain. C’était une bonne chose, mais elle évita de répondre à sa question. Il n’avait en effet pas de raison de l’empêcher d’être un agent sur le terrain, mais elle voulait juste en être certaine. Cependant, un sujet plus complexe fut amené. Sa place par rapport à l’équipe et par rapport à eux. D’accord. Que pouvait-elle dire de plus ? A vrai dire, elle pouvait lui demander de quelles limites ils parlaient et pourquoi elle lui manquait, mais elle n’en fit rien.

Plus de mensonges et de secrets. Cette affirmation devait prendre effet dès cette seconde et elle décida donc de commencer avec elle-même. Ca n’a pas fonctionné avec Andrew. Ca a remis beaucoup de choses en perspective et c’est pour cela que j’ai besoin de savoir qu’entre nous, il n’y aura que la vérité.

Apparemment elle n’était pas assez claire et elle ne pu s’empêcher de soupirer avant de reprendre la parole. Par rapport à l’équipe, serais-je à nouveau sur le terrain ou juste le pilote ? C’est vrai qu’elle préférait aller sur le terrain. Malgré tout ce qu’ils avaient vécus et sa passion pour le pilotage, elle ne se voyait pas juste amener tout le monde d’un point A à un point B. Elle voulait être au cœur de l’action et elle devait tout de suite savoir si ça serait le cas ou pas. Seulement, quand il demanda d’en savoir plus sur la seconde partie de sa question le concernant lui, elle resta le fixer quelques secondes avant de répondre.

Avant que je ne parte, il y a eu beaucoup de choses qui se sont passées. Mais avec l’arrivée de Gonzalez, les secrets et le retour d’Andrew, je t’ai dit que les limites qu’il y avait entre nous n’étaient plus aussi claires que par le passé. Donc, où sont ces limites aujourd’hui ?