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Plougrescant, 31 décembre 2018
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Balade sur lâĂźle de BrĂ©hat, 30 dĂ©cembre 2018 (2)
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Balade sur lâĂźle de BrĂ©hat, 30 dĂ©cembre 2018
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Balade hivernale en forĂȘt de Fontainebleau.
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Quelques photos en vrac (mais en ordre chronologique) du Cape Wrath Trail, pour complĂ©ter celles que jâai mises dans les posts prĂ©cĂ©dents.Â
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Quelques photos en vrac (mais en ordre chronologique) du Cape Wrath Trail, pour complĂ©ter celles que jâai mises dans les posts prĂ©cĂ©dents.
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Cape Wrath Trail (3) : le terrain
Alors, ça donne quoi de marcher dans les Highlands ?
Ăa donne un mot anglais que je ne connaissais pas, mais que jâai appris Ă utiliser Ă toutes les sauces pendant mon pĂ©riple : boggy
Boggy, ça signifie marĂ©cageux, boueux. Le terrain peut donc ĂȘtre un peu, beaucoup, vraiment trĂšs, affreusement : boggy.
Je mâattendais Ă©videmment Ă rencontrer de lâhumiditĂ© en Ăcosse, mais je nâavais pas du tout imaginĂ© que ce serait Ă ce point.
DĂšs mon premier jour de marche, je me suis rendu compte que ça nâĂ©tait pas le relief qui serait dur, ni la longueur. Non, la raison pour laquelle le Cape Wrath Trail est considĂ©rĂ© comme le trail le plus dur de Grande-Bretagne, câest le terrain.
Premier jour, donc. Je grimpe mon premier col, vue splendide sur une vallĂ©e ouverte, je nâai quâĂ descendre le long du torrent. Mon cĆur exulte devant tant de beautĂ©, de solitude (la photo ci-dessus est prise Ă cet endroit). Et je commence la descente. Et mes pieds sâenfoncent. Et les grenouilles sautent dans les herbes hautes comme ailleurs des sauterelles sauteraient devant mes pas. Je mets trois heures Ă descendre ce que je pensais avaler en une heure, en tombant deux fois. Une troisiĂšme fois mon pied sâenfonce dans une flaque de boue qui semblait presque solide, mais qui Ă©tait en fait une tourbiĂšre. Jusquâau genou. Mon bĂąton sâest enfoncĂ© aussi, en le ressortant je vois quâil sâest clairement pliĂ©, le mĂ©tal nâa pas rĂ©sistĂ© Ă la pression de la boue. Ok, jâai compris.
Une fois en bas de la vallĂ©e, je marche encore pendant presque une heure dans des marĂ©cages pleins dâeau, trempĂ©e jusquâaux genoux. Jâapprends, trĂšs vite, Ă marcher sur les mottes. Tous les jours jusquâĂ la fin du trail, ce sera la mĂȘme chose : poser ses pieds avec prĂ©caution sur le sol dĂ©trempĂ©, parfois marcher dans les eaux ruisselantes plus que dans la boue qui glisse. Sur la photo ci-dessous, câest un petit bois qui est au milieu dâun marĂ©cage. On peut essayer ce quâon veut, on finit avec de lâeau aux genoux !
Il est illusoire de vouloir garder ses pieds secs. InĂ©vitablement, une fois au moins dans la journĂ©e, je finis avec les pieds enfoncĂ©s au moins jusquâaux chevilles. MĂȘme en haut des montagnes, le sol est spongieux. La beautĂ© du paysage permet de supporter ce terrain abominable, qui explique lâabsence totale de culture et le peu de troupeaux. La solitude et la nature sauvage en Ă©change de lâhumiditĂ©, câest un peu le deal.
Heureusement, dĂšs quâil ne pleut pas (trop) pendant 24h, le sol sĂšche assez vite. Et puis au fur et Ă mesure de la route, les standards de confort baissent. Jâapprends Ă faire sĂ©cher mes chaussures avant tout autre chose le soir, en enlevant les semelles intĂ©rieures. Idem pour les chaussettes. Et si je nâai pas rĂ©ussi tous les matins Ă enfiler des chaussettes et chaussures sĂšches, cela a quand mĂȘme rĂ©duit le risque dâampoules (une seule en 3 semaines !).
Autre difficultĂ© du terrain : les riviĂšres. Le Cape Wrath Trail traçant au milieu des Highlands dans les endroits les plus isolĂ©s, il nây a que rarement des ponts pour traverser les riviĂšres. Certaines sont larges, avec un courant important, et une profondeur qui dĂ©pend de la quantitĂ© de prĂ©cipitation des heures prĂ©cĂ©dentes. Parfois passer de rocher en rocher ne suffit pas, il faut dĂ©chausser, remonter le pantalon au genou, voire l'enlever (ça m'est arrivĂ© en plein mois d'aoĂ»t!), rechausser de l'autre cĂŽtĂ© etc. Les traverser en faisant attention au courant (ne pas faire de grands pas, garder les pieds au ras du sol), ne pas hĂ©siter Ă remonter ou descendre un peu la riviĂšre pour trouver le bon endroit pour passer.
D'autres riviĂšres (ou torrents) ne sont pas indiquĂ©es sur les cartes, pour la simple raison qu'elles ne sont pas pĂ©rennes : elles se forment ou grossissent au grĂ© des prĂ©cipitations, mais peuvent constituer quand mĂȘme des barriĂšres importantes Ă la marche. Tel petit torrent de montagne anodin peut se transformer, aprĂšs une nuit de pluie intense, en un gros torrent qui va ĂȘtre compliquĂ© Ă passer. Au-delĂ de cela, le chemin est parsemĂ© de cours d'eau d'importances trĂšs variables qu'il va falloir franchir tout au long de la marche. Une journĂ©e normale, c'est par exemple une vingtaine de petits cours d'eau temporaires Ă passer facilement, trois torrents qui nĂ©cessitent de rĂ©flĂ©chir oĂč on met les pieds, et une Ă deux riviĂšres oĂč il faut dĂ©chausser.
Jâai appris Ă dominer ma peur des rochers glissants, Ă estimer oĂč traverser, Ă me lancer quel que soit le temps, le courant, ma peur (merci Ă P., avec qui jâai marchĂ© trois jours, qui a eu la patience et la gentillesse de mâapprendre Ă dominer ma peur de perdre lâĂ©quilibre !). Jâavais eu la bonne idĂ©e dâacheter une paire de sandales de randonnĂ©e en synthĂ©tique, qui ont Ă©tĂ© parfaites pour traverser les riviĂšres profondes sans craindre, en plus du courant, de me faire mal aux pieds. Je conseille vraiment de faire de mĂȘme. En plus (attention, point mode) câest parfait Ă porter le soir avec une bonne paire de chaussettes sĂšches pendant que les chaussures de randonnĂ©e sĂšchent !
Le terrain marĂ©cageux et les riviĂšres Ă traverser sont deux des facteurs de ralentissement de la marche. Le relief en est un autre, mais moins important : les montagnes des Highlands ne sont pas trĂšs hautes, et le trail monte rarement au dessus de 800m dâaltitude. Mais on dĂ©marre trĂšs souvent du niveau de la mer, et les cĂŽtes sont raides. Il nâest donc pas Ă nĂ©gliger, surtout combinĂ© au sol spongieux et aux riviĂšres, permanentes ou temporaires : grimper 500m de dĂ©nivelĂ© dans les Highlands, câest comme en monter 700 ou 800 ailleurs. Surtout sâil pleut et quâil y a du vent, et pas de chemin tracĂ©.
Si vous voulez vous lancer dans le Cape Wrath Trail, le terrain est donc une donnĂ©e Ă ne pas nĂ©gliger. Câest le cĂŽtĂ© sauvage de lâitinĂ©raire qui entraĂźne cette difficultĂ© : puisque la moitiĂ© (au moins) se fait sur des minuscules sentiers ou en dehors de tout chemin, il faut faire avec la nature dans son ensemble, avec les consĂ©quences de la mĂ©tĂ©o. Je lâavais sous-estimĂ©, mais finalement une fois que je lâai acceptĂ© jâai adaptïżœïżœ mes Ă©tapes, ralenti le rythme, assumĂ© ma lenteur (environ 15-20km par jour au lieu de 30 en gĂ©nĂ©ral) et profitĂ© de la solitude, du paysage, des panoramas dâune splendeur que je nâavais que rarement vu ailleurs, de la beautĂ© de lâeffort.
Câest dur, mais ça vaut le coup.
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Cape Wrath Trail (2) : le sac
Je crois que câest la question quâon mâa le plus posĂ©e depuis mon retour : comment as-tu fait ton sac ? Quel poids ? Quoi dedans ?
Effectivement câest une question importante lorsquâon part pour plusieurs semaines Ă pieds. Partir avec un sac trop lourd, jâai dĂ©jĂ fait. Avec trop dâaffaires, ou pas assez, ou pas les bonnes, jâai dĂ©jĂ fait aussi. Cette fois-ci jây avais portĂ© un soin tout particulier, et je suis assez contente du rĂ©sultat !
Il me faut une fois encore remercier Simon, qui a publiĂ© sa liste de matĂ©riel (pdf). Mais il Ă©tait parti accompagnĂ©, et moi seule. CâĂ©tait donc Ă adapter.
Jâessaie depuis plusieurs annĂ©es dâallĂ©ger mon sac pour atteindre les 12kgs, un poids raisonnable Ă porter avec ma taille et ma corpulence. Ce nâest pas un absolu, câest ce qui me convient pour marcher longtemps. Cela nĂ©cessite de tailler au plus juste, de bien choisir, dâessayer de sâĂ©quiper avec du matĂ©riel lĂ©ger. Comme tout le monde je fais des compromis qualitĂ©/poids/prix, et jâessaie chaque fois que je me rĂ©Ă©quipe dâallĂ©ger. Câest forcĂ©ment plus cher mais petit Ă petit, jây arrive.
Sur le chemin jâai croisĂ© des marcheurs qui pour la plupart avaient des sacs bien plus lourds que moi. Et mĂȘme meilleurs marcheurs, il Ă©tait Ă©vident que cela leur pesait. Ăvident aussi quâils avaient des choses en trop, que dâautres leur manquaient, bref que leurs sacs avaient Ă©tĂ© prĂ©parĂ©s trop vite. Nous en discutions le soir (tous les randonneurs discutent de leurs chargements, #ceuxquisaventsavent), et jâespĂšre en avoir convaincu certains de prendre des mesures drastiques !
Je donne ma petite astuce : je prĂ©pare dâabord mon sac avec ce que je pense indispensable, puis je laisse passer quelques heures, je vide tout, et jâĂ©limine tout ce qui, en fait, est superflu. Il y a toujours du superflu. DeuxiĂšme astuce : ne pas prendre un sac trop gros. On remplit toujours son sac, alors autant ne pas tenter le diable ! Je randonne depuis plusieurs annĂ©es avec un sac de 50L, câest suffisant et ça aide Ă ne pas se surcharger.
Pour le Cape Wrath Trail, les points importants pour moi Ă©taient :
- le couchage : jâai une bonne petite tente individuelle lĂ©gĂšre en tunnel, parfaite. Sauf pour les soirĂ©es et matinĂ©es pluvieuses, oĂč lâabsence dâabside et la faible hauteur rendent le confort plus que sommaire, et interdisent de cuisiner abritĂ©. Un sac de couchage que jâai inaugurĂ© cet Ă©tĂ©, en plume, super lĂ©ger et dâun confort trĂšs apprĂ©ciable. Mon tapis de sol basique est en revanche Ă Ă©liminer : je nâai plus lâĂąge de dormir sur un matelas de 4mm sur les planchers des bothys (refuges non gardĂ©s) et de me rĂ©veiller avec le dos et les hanches endolories. La prochaine fois je mâachĂšte soit un bon matelas alvĂ©olĂ©, soit un matelas autogonflant lĂ©ger.
- les vĂȘtements de pluie : une bonne veste de pluie est indispensable, un sur-pantalon Ă©galement. Des chaussures les plus Ă©tanches possibles aussi (mĂȘme si vu le terrain, jâen reparlerai, il est illusoire de penser garder les pieds secs). Jâavais hĂ©sitĂ© Ă prendre mes guĂȘtres, je les ai regrettĂ©es... Le sur-sac est indispensable pour le sac Ă dos. Câest important dâen choisir un qui sâaccroche bien au sac, Ă cause du vent. Le dernier jour jâai eu une telle tempĂȘte quâil a fallu que je renforce la fixation Ă la ficelle pour ne pas perdre mon sur-sac oĂč le vent sâengouffrait, et garder mes affaires au sec.
- la nourriture : jâai essayĂ© dâavoir toujours sur moi environ 5 jours de nourriture, et un fond de soupe, cafĂ© et thĂ©. Je me suis ravitaillĂ©e dans les petits villages sur la route, ce nâĂ©tait pas nĂ©cessaire de porter davantage. Jâai eu beaucoup de chance pour lâeau : il pleuvait tellement et il y a tellement de riviĂšres que je me contentais dâune bouteille dâ1/2L sur le cĂŽtĂ© du sac, que je remplissais au fil de la route. Jâai systĂ©matiquement bivouaquĂ© prĂšs dâune riviĂšre ou dâun Loch, pour avoir de lâeau. Je ne me suis pas servi de mes pastilles de purification dâeau, puisquâil nây avait aucune culture ou Ă©levage (sources de pollution dâeau).
Il ne mâa rien manquĂ© Ă part les guĂȘtres. Je me suis servi de tout sauf du short, des lunettes de soleil et de la crĂšme solaire, mais je nâai pas eu de chance avec la mĂ©tĂ©o... (vous me direz, lâĂcosse ! Mais parfois il y a du soleil, si si !)
VoilĂ donc ci-dessous lâinventaire de mon sac. En portant une partie sur moi (vĂȘtements, chaussures, veste etc) jâavais un sac dâenviron 12 kgs. CâĂ©tait parfait :)Â
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Cape Wrath Trail (1) : lâitinĂ©raire
Jâentame ce soir une petite sĂ©rie de billets sur le Cape Wrath Trail, une randonnĂ©e dans les Highlands Ă©cossais que jâai faite en aoĂ»t 2017, seule et en autonomie.
Je nâai pas trĂšs envie de faire un rĂ©cit jour par jour de cette marche dâenviron 3 semaines, alors je vais plutĂŽt publier quelques billets thĂ©matiques abordant des aspects âpratiquesâ pour donner quelques idĂ©es ou informations Ă ceux qui voudraient se lancer, et des photos.
Jâavais envie (et le temps !) cet Ă©tĂ© de marcher un peu en prenant mon temps, en partant seule (ce que je fais souvent), en allant explorer un endroit inconnu. LâĂcosse me tentait depuis longtemps, alors go ! MĂȘme pas peur de la pluie, jâai cherchĂ© un itinĂ©raire assez long pour plusieurs semaines, et suis tombĂ©e un peu par hasard sur ce site de randonnĂ©es en Ăcosse oĂč le Cape Wrath Trail mâa tout de suite attirĂ©e. En me renseignant un peu, en lisant des rĂ©cits comme celui de Simon, je me suis dĂ©cidĂ©e.
Je suis partie de Paris pour Glasgow en avion, puis en train de Glasgow Ă Glenfinnan (les 4h30 de train offrent un paysage splendide !). Et Ă Glenfinnan, jâai dĂ©marrĂ© une marche de 19 jours, entrecoupĂ©e de 3 jours de pause, jusquâau Cap Wrath, le point le plus au Nord-Ouest de lâĂcosse. Cela reprĂ©sente un peu plus de 370km de marche.
Je reviendrai un peu plus tard sur les conditions de marche en elles-mĂȘmes, mais un petit point sur lâitinĂ©raire ci-dessous : la particularitĂ© du Cape Wrath Trail est de nâĂȘtre absolument pas balisĂ©. Rien Ă voir avec un GR Ă la française, oĂč on est guidĂ© en permanence par le balisage. Ici, il faut partir avec une carte, une boussole et un altimĂštre ou un GPS, de solides connaissances en lecture de carte et orientation, et ne pas avoir peur dâĂȘtre lĂąchĂ© dans une nature vide dâhommes et dâhabitations. Marcher 3 ou 4 jours sans un village en vue est la norme.
Autre particularitĂ© : une partie non nĂ©gligeable de lâitinĂ©raire se fait sur des sentiers Ă peine visibles, voire en hors-piste complet (lĂ encore, un bon sens de lâorientation est nĂ©cessaire !). Cela complique Ă©videmment la marche, ce qui explique le temps que jâai mis Ă effectuer ce trail en entier. Les conditions mĂ©tĂ©o nâont pas aidĂ© non plus, jâen reparlerai.
En rĂ©alitĂ© il nây a pas *un* itinĂ©raire pour le Cape Wrath Trail, il y en a autant que de marcheurs. Lorsque David Paterson a publiĂ© en 1996 un livre intitulĂ© The Cape Wrath Trail: A New 200-mile Walking Route Through the North-west Scottish Highlands, « inventant » ainsi le Cape Wrath Trail, il nâa imposĂ© aucune route. Dans les annĂ©es qui ont suivi, et jusqu'aujourd'hui, des propositions d'itinĂ©raires ont Ă©tĂ© faites par plusieurs auteurs de livres, de sites internet ou de cartes (Cape Wrath Trail South / Cape Wrath Trail North, chez Harvey Maps). La principale variante Ă choisir sur l'itinĂ©raire se place dĂšs le dĂ©but, oĂč le randonneur doit faire le choix de passer par Glenfinnan et donc par l'Ouest et la pĂ©ninsule du Knoydart, ou par l'Est et le Great Glen, les deux voies se retrouvant Ă Morvich, aprĂšs environ 5 jours de marche. Ensuite, des variantes locales sont proposĂ©es pour certaines portions, mais la grande ligne court globalement via les villages de Strathcarron, Kinlochewe, Oykel Bridge, Kinlochbervie et enfin vers le Cape Wrath.
Jâai fait moi-mĂȘme fait des choix - sans doute discutables parfois - au cours de ma marche, pour adapter lâitinĂ©raire Ă mon Ă©tat de forme, au terrain, au temps etc.
Voici donc pour commencer lâitinĂ©raire, brossĂ© Ă gros traits aprĂšs mon retour, suivi entre Glenfinnan et le Cap Wrath. Attention : câest une reconstitution, pas des traces GPS ! Ce nâest donc lĂ quâĂ titre indicatif... La carte est en ligne ici (zoomez dessus pour voir le dĂ©tail).
Et voici la liste de mes Ă©tapes :
- 1/ Glasgow / Glenfinnan en train, puis Glenfinnan - A Chuil Bothy - 2/ A Chuil Bothy - Sourlies Bothy - 3/ Sourlies Bothy - Inverie - 4/ Inverie - Barisdale Bothy - 5/ Barisdale - petite cabane prĂšs de la riviĂšre Allt a'Coire Reidh - 6/ cabane - Shiel Bridge - [7/ repos Ă Shiel Bridge, ravitaillement et nuit en B&B] - 8/ Shiel Bridge - campement au bord du Loch na Leitreach (aprĂšs les chutes de Glomach) - 9/ Loch na Leitreach - Bendronaig Lodge - 10/ Bendronaig Lodge - Coire Fionnaraich Bothy - 11/ Coire Fionnaraich Bothy - Kinlochewe - 12/ Kinlochewe - campement 3-4 km avant Corriehallie - [13/ Stop sur la route Ă Corriehallie jusqu'Ă Ullapool (repos, ravitaillement et nuit Ă l'auberge de jeunesse)] - 14/ Ullapool - Duag Bridge Bothy - 15/ Duag Bridge Bothy - campement aprĂšs Benmore Lodge le long de l'Oykell River - 16/ Oykell River - Inchnadamph - 17/ Inchnadamph - Glendhu Bothy - 18/ Glendhu Bothy - Richonich - [19/ Richonich - Kinlochbervie, ravitaillement et repos en B&B] - 20/ Kinlochbervie - Sandwood Bay - 21/ Sandwood Bay - Cape Wrath - 22/ Cape Wrath - fond du Kyle of Durness, puis stop jusqu'Ă Inverness
[entre crochets les journées de pause]
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Arménie (9 et fin)
Vues des monastĂšres de Gochavank et Haghartsine (XIIe-XIIIe s.), dans la rĂ©gion de Dilidjan au centre de lâArmĂ©nie.
Et pour finir les eaux musicales Ă Erevan, sur la place principale ! Jeux dâeau en musique le soir, avec foule pour les applaudir.
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Arménie (8)
Quelques vues des monastĂšres dâHaghpat et Sanahin, au nord de lâArmĂ©nie prĂšs de la ville dâAlaverdi et de la frontiĂšre gĂ©orgienne.
Ces deux monastÚres ont été construits entre le Xe et le XIIIe siÚcles.
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