[Là, faut qu'on mette une description les mecs] * Léonore B. % Alexis G. @ Charles H. → Alexia M. $ Valentin S. & Guillaume S.
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Musique générique
Je vous propose deux musiques pour le génériques :
Soit
L’Anglo-saxonne : Jack Johnson R song
https://youtu.be/USo_vH1Jz7E
ou
La Franco-Française : M, Nostalgique du Cool
https://youtu.be/2eoA1ShXiY4
Une chanson de rock garage pourrait faire cool aussi, dites moi si vous en connaissait une sur le thème de l’éducation.
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→ *
voilà, nos sublimes planches de storyboard, ils sont pas beaux nos bonhommes bâton ?
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→
Je sais pas où mettre ça donc hop, article rapido : Je suis en train de finir le pilote, je cherche où caser le flash-back et je me disais qu’à la fin de l’épisode et de chaque épisode, ça serait pas mal, c’est le moyen d’en apprendre de plus en plus sur les personnages sans que ça vienne parasiter l’épisode, qu’en dites-vous ?
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Arc Narratif Val/Gui
Arc narratif
« Ratures » (titre provisoire)
Valentin/Guillaume
Résumé succinct :
Au début se détestent(Clarice n’aime pas Marc, lui l’apprécie en mode pote), mais se fréquentent au café via Théo avec qui ils sont tous les deux amis. Personnage homme va tout le temps aux événements du café et finit par embarquer personnage femme. Se retrouvent enfermés dans le lycée toute une nuit sans faire exprès (changement d’heure, ils corrigeaient des copies) et reviennent à une relation neutre, plus cordiale. Deuxième moitié de la saison : deviennent potes. Fin : personnage femme rappelée par sa pote de Londres (CLIFFHANGER !!!) : que va-t-elle décider ?
Pilote 1ère partie: Un réveil difficile
(voir tumblr)
Pilote 2ème partie
La pré-rentrée entre profs : rencontre des collègues et des lieux, verre au café de Théo…etc.
Episode 1
Rentrée
Episode 2
La photo de classe, moyen aisé de mettre le focus sur les personnages principaux
Episode 3
L’exercice d’incendie
Episode 4
Election délégués(pour introduire les élèves) de classe et parallèle avec les délégués du personnel
Episode 5
Toussaint/Soirée Halloween dans le bar de Théo=> picole entre profs, relation qui évolue entre Marc et Clarice
Episode 6
Retour des vacances de Toussaint mais 20 ans en arrière, Théo, Marc et Clarice à l’époque.
Episode 7
Journée prévention (cours banalisés sur une journée) => focus sur les élèves, ils vont voir un keuf, l’infirmière qui déroule les capotes, Marie-Cécile, la diététicienne…
Episode 8 première partie
Fin du trimestre : conseils de classe, bulletin de notes etc. Période des contrôles. Marc et Clarice sont bloqués dans le lycée.
Episode 8 deuxième partie
Ils sont bloqués dans le lycée.
Episode 10
Noël en famille/vacs/élèves en famille : l’unique épisode où l’on est ni dans le bar ni dans un appartement ni dans le lycée. Episode d’exception.
Episode 11
Un élève (Jean-Luc, élève asiatique) a disparu et on ne sait pas pourquoi. Ni ses camarades ni ses profs. Il n’est pas là à la rentrée. Enquête policière, parodie en noir et blanc (Humprey Bogart, NY unité spéciale).
Episode 12
Clarice et Marc se battent pour être le prof accompagnateur du voyage à Londres des terminales de la classe internationale. Marc parce qu’il a le béguin pour la prof d’anglais et Clarice pour revoir sa pote pour pas cher.
Episode 13
Jean-luc n’a toujours pas été retrouvé et la récente rénovation des toilettes du couloir 13 B alimente légendes et rumeurs à travers le lycée. Lettre explicative de Jean-Luc venant d’un pays d’Asie fictif à la fin de l’épisode.
Episode 14
Saint-Valentin
Episode 15
Lycée bloqué (= épisode entièrement « Chez Marcel », chez Théo quoi) par les lycéens, Marc sur les barricades et Clarice les doigts de pieds en éventail.
Episode 16
Mardi Gras, départ manif dans la suite de l’épisode 15
Episode 17
Semaine de taf intensive, tout le monde est en retard sur les programmes
Episode 18
Poison d’avril avec plot twist, Marc victimisé tout le long de l’épisode finit par rouler tout le monde dans la farine.
Episode 19
Le retour de Jean-Luc passant d’abord inaperçu puis fêté par son lycée.
Episode 20
Rentrée des vacances de Pâques, Bac blanc
Episode 21&22
Marc conclut enfin avec la prof d’anglais grâce à Clarice. Marc veut la remercier mais apprend que Clarice a une proposition d’emploi pour Londres via sa pote. Elle se considère comme une amie de Marc et a fini par prendre goût à l’enseignement. Va-t-elle partir ?
Idées :
- Titres d’épisodes en rapport avec la collection de Marc et la méthode anti-stress de Clarice : Acupuncture& pogs, huiles essentielles & trombones moldaves, etc.
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*&BIBLE
BIBLE ESTHÉTIQUE – CHARTE DE RÉALISATION :
Sitcom de contrastes qui établissent la dynamique comique : à chaque fois on joue sur les ressemblances et les différences pour créer l’humour, chaque point d’accroche et de différences tournées au ridicule. D’où utilisation des moments forts comme construction narrative.
Scènes presque exclusivement en dehors des salles de cours (rapport en discours indirect dans la salle des profs etc.), quelques scènes dans les appartements et l’extérieur, et le reste dans le lycée.
FORMAT : Durée : 21 minutes sans publicité Nombre : 24 épisodes par saison
LIEUX :
1 - Lycée :
Lycée de banlieue parisienne un peu pourrave.
· Salle des profs : vieille moquette puante, teint dégueulasse, néons éblouissants au plafond, deux machines à café pour 70 profs dont une quasiment toujours en panne. Des casiers de bureau en métal qui font du bruit, boîtes aux lettres des profs. 5-6 tables avec des gravures débiles dessus car récupérées dans les salles de cours («KÉVIN + VANESSA = FOREVER », chewing-gum en dessous des tables).
· Extérieurs : trottoirs en arrivant, barrière extérieure pour fumer, préau, boulangerie
· Couloirs
· Parking
· Toilettes
· Gymnase : sert de scène de théâtre pour le prof de français et manifestations type « fêtes du printemps », « fêtes de la fin d’année », carnaval
· Restaurant scolaire : self pourri, nourriture dégueu, diététicienne (keuss) à la fin de la queue pour vérifier les plateaux.
DIÉTÉTICIENNE : MARIE-CÉCILE
Mandatée par l’état suite à la circulaire C-121-12 pour manger 5 fruits et légumes par jour, enquiquine les élèves et les profs pour bien manger. Elle-même mange tous les jours au café de Théo et on la surprend souvent à grignoter de la junk food saine (chips de banane, barres chocolatées allégées, feuilles d’algues au wasabi, barres de protéines) dans la salle des profs.
2 – Café :
Café mixte où vont élèves et profs, avec un flipper, baby-foot, jeu de quilles. Profs s’y retrouvent le long de la journée et les élèves quand ils ont des heures de creux.
TENANCIER DU CAFE : THÉO
Caractère : « fou scientifique » qui teste la cuisine moléculaire (menus du jour invraisemblables). 27 ans, keuss avec petite barbichette, cheveux frisés grisonnants. A hérité de ce café « Chez Marcel » qui appartenait à son père, était au lycée avec personnages masculin et féminin. Style premier de la classe promis à un grand avenir mais a tout abandonné pour reprendre ce qui faisait la vie de son père : animer le café du quartier. Il organise des soirées thématiques tous les jours (lundi rami, mardi poker, mercredi quilles, jeudi slam, vendredi karaoké, samedi thé dansant). Confident des deux personnages. Les deux personnages vont souvent manger chez lui pour le soutenir mais parfois trop dégueulasse : retournent au self.
Flashbacks de l’époque où les 3 personnages étaient au lycée et le père tenait le café.
3 - Appartement homme - appartement femme : appartements identiques.
PERSONNAGE 1 : MARC
Histoire : 27 ans, prof de français, fils de profs du même lycée maintenant à la retraite : héritier d’une longue tradition académique, se sent investi d’une mission et d’un héritage symbolique. BAC L, puis licence de lettres modernes puis master MEEF. A foiré 3 fois le concours avant de l’avoir alors qu’il avait le master. Il cite constamment Jules Ferry : « Celui qui est maître du livre est maître de l'éducation.” Souvent, la tête de son père apparaît à côté de son épaule pour lui donner des conseils en cas de situation difficile. Ses conseils sont toujours à côté de la plaque. Il porte la veste en tweed de son père.
En tant que prof il essaie de faire ami-ami avec ses élèves et de paraître cool mais ça ne marche pas, il prétend toujours savoir quelque chose alors qu’il n’y connaît rien (style le père dans « Bref mon père veut être jeune »).
Style vestimentaire : tenues cool qui ne vont pas du tout ensemble (short en jean sur sa veste en tweed ; des vans avec un pantalon de golf), à chaque fois il n’est pas loin mais il y a un truc qui va pas. T-shirt de rock porté à l’envers avec l’étiquette qui ressort. Beaucoup de t-shirts pour paraître cultivé et fun mais tombe à côté. Chaussettes colorées dans les sandales pour paraître cool et pour pas se salir les pieds. Essaie de détourner les codes sans y parvenir. Tous ses accessoires vont dans le même sens : trottinette, casque pour trottinette jaune fluo pour être bien vu la nuit mais très moche ; montre flikflak Scooby Doo qu’il a depuis sa première année de collège et qu’il a gardée parce que ça fait vintage/hipster ; sa tasse « je suis prof et vous quel est votre super pouvoir ? »
Caractère : mec sympa et farfelu, fait toujours des blagues de merde (jeux de mots, contrepétries), collectionneur compulsif (démarre une nouvelle collection à chaque épisode), aucun sens de l’esthétique. Très attaché à ses parents. Idéaliste de gauche et écolo (brosse à dent en bambou, etc.). Fumeur de roulées.
Appartement : « hoarder » (collectionneur) mais qui a des manies : garde les bouteilles de shampooing vides « au cas où », garde les boîtes d’œufs pour faire des bricolages pédagogiques sans jamais le faire, garde des vieilles basket de sport pour le jour où il s’y mettra, ne change jamais de brosse à dents, un fauteuil acheté aux puces mais inutilisable car trop fragile pour s’y asseoir (un tendeur de vélo empêche de s’y asseoir). Plein d’objets qui comblent le vide mais chaque objet a sa place bien désignée qu’il ne convient pas de déranger. Intérieur de son appartement surchargé, difficile de marcher
PERSONNAGE 2 : JULIE
Histoire : 27 ans, prof de maths. Issue d’un milieu très favorisé mais dont les parents sont partis de zéro pour arriver où ils sont (ont vendu à une grande entreprise le premier scanner couleur). L’ont scolarisée dans le public pour « lui apprendre la vie », mais elle reste pourrie gâtée. Après BAC S, 3 ans de prépa puis 2 ans à HEC, puis job (3 ans) dans une start-up à Londres mais opération de trading foireuse, a coulé la boîte (scandale qui se sait dans le milieu, réputation pourrie et n’a rien trouvé d’autre). Obligée de devenir prof contractuelle au moment du début de la série à d’où même type d’appartement que le prof masculin.
Caractère : Caractère strict, pas rigolote, anxieuse pathogène : écoute tous les matins un podcast de relaxation et de visualisation mentale car seule chose qu’elle a trouvé pour calmer son stress, ne croit pas à la psychothérapie parce que pas assez scientifique. Plusieurs scènes sur les techniques qu’elle a testé pour se calmer : yoga, sophrologie, thé japonais, gemmothérapie, fleurs de bach, acuponcture, e-cigarettes aux huiles essentielles Monq.
Appartement : intérieur de l’appart très épuré, à la scandinave, peu d’objets et de déco, moderne à la IKEA (contrastes de noirs et blancs)
RELATIONS ENTRE PERSONNAGES :
TUTOIEMENT-VOUVOIEMENT :
Personnage H – Personnage F : TU
HF- Théo : TU
HF – Marie-Cécile : VOUS
Théo-Marie-Cécile : TU
H – élèves : TU et veut que ses élèves le tutoient
F – élèves : VOUS et veut que ses élèves la vouvoient
ÉVOLUTION DES RELATIONS DES PERSONNAGES :
Au début se détestent, mais se fréquentent au café via Théo avec qui ils sont tous les deux amis. Personnage homme va tout le temps aux événements du café et finit par embarquer personnage femme. Se retrouvent enfermés dans le lycée toute une nuit sans faire exprès (changement d’heure, ils corrigeaient des copies) et reviennent à une relation neutre, plus cordiale. Deuxième moitié de la saison : deviennent potes. Fin : personnage femme rappelée par sa pote de Londres (CLIFFHANGER !!!) : que va-t-elle décider ?
PERSONNAGE CPE 1 :
Personnage style Amy B99, groupie du proviseur
PERSONNAGE CPE2
PERSONNAGE CPE3 :
Toujours absent
PERSONNAGE PROVISEURE F :
Style chef de brigade de Brooklyn 99
Vieux militaire pas du tout efficace, à côté de ses basques
Mais drôle et affectueuse
Fan de broderie
PERSONNAGE PROVISEURE ADJOINTE :
Type véreux qui veut prendre la place du proviseur adjoint
Carriériste qui veut piquer sa job au proviseur
Élitiste
PERSONNAGES PROFS DE SPORT :
Super motivés, équipe soudés, hyper bronzés, en trop bonne santé, potes avec Marie-Cécile qui n’en a rien en foutre. 4 profs toujours en bande, à chaque épisode c’est un prof différent qui parle.
EQUIPE MÉDICALE : équipe rigolote, font des vieilles blagues nulles et sont toujours mdr
Psychologue : consciencieuse, caution sérieuse de la série, anti médocs, se forme à la sophrologie, exercices de respiration
Infirmier : petit dealer qui fournit les élèves et les profs
PROFS PRINCIPAUX
- prof de philo : lyrique
- prof de physique chimie : personnage de l’europe de l’est
- prof d’arts plastiques : cynique, blasé, va à tous les vernissages, traité comme un artiste content pour rien par les profs, traité comme « ceux qui ne peuvent pas enseignent » par les enseignants
- Marc
- Julie
→ Juste, développer un peu plus la partie de la nana qui devrait être aussi longue et fournie que celle du mec, vu que ce sont tous les deux les personnages principaux. Enfin, surtout rajouter une ligne pour son style vestimentaire neutre et marquer qu’elle a une tasse elle aussi ; Je préciserai pour elle aussi qu’elle est pourrie gâtée de base mais qu’elle se retrouve un peu désœuvrée et sans thunes vu que ses parents qui en sont arrivés là par leurs propres moyens refusent une fois qu’elle a merdé de l’aider et qu’il est grand temps qu’elle se reprenne en main, du coup le fait que son appart soit épuré irait un peu dans ce sens, pas juste un choix de pas vouloir se prendre la tête mais aussi qu’elle n’a plus vraiment de thunes et qu’elle doit revoir la façon dont elle gère ses dépenses
Pour un souci d’exactitude : ça n’existe pas les montre flik flak star wars — oui, j’ai des connaissances en montre flik flak — mais ils ont Spiderman Superman et Batman et ont eu Scooby Doo.
*j‘opte pour Scooby !
Je mettrais bien tout le monde sauf Batman, vu que tous sont un peu des super héros soit irréel (Superman) soit un peu con-con (Scooby) soit “puéril” (Spiderman — je n’ai vu que les films, pas taper.) (désolée, j’aime beaucoup trop Batman pour salir son image haha) mais il peut avoir une clef usb Star Wars — ma prof d’arts pla en avait une ^^ Pour le cliffhanger insoutenable, on fait le pilote ce soir avec Charles, je pense qu’on va insérer le coup de la pote de Londres une fois qu’ils sont arrivés dans le lycée : la nana se plaint du mec avec sa trottinette auprès de sa pine-co.
Il faudrait rajouter quelques perso importants et représentatifs dans la bible comme le/la principal/e, un CPE, un prof lambda c’est peut-être là qu’il faut dire que les élèves ne sont pas identifiés mais sont un bloc “les élèves”
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→ Lycée
Salle de conférence (Chanot de son nom je crois me rappeler)
Salle d’arts pla
Cours du lycée et cantine
Salle des profs, bâtiment H (littéraire)
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Accessoires
Tasses de la dudette (Julie)
* La tasse du dude (Julien)
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Look du dude - partie 1 - hauts
* Avec Alexia on a bossé sur le look du dude (Julien) aujourd’hui, en gardant à l’idée qu’il s’habille un peu n’importe comment pour avoir l’air cool auprès de ses élèves. On a aussi pensé à faire des clins d’oeils à nos inspirations : Scrubs et Brooklyn Nine Nine. Je vous laisse checker.
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→ Actuellement au téléphone avec une amie qui vient de passer le CAPES, j’apprends deux choses : dès qu’on a un master, n’importe lequel, on peut passer le CAPES et ensuite, on peut le passer... Si on a trois enfants. Genre sans master, BOUM ! On pourrait peut-être intégrer un personnage de prof qui soit comme ça, un personnage tertiaire.
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% 1ère ébauche commentée du pilote (on en rediscutera en live sur Skype pour en faire une ultime version qui claque le jour du rendu/ Guillaume et Valentin, merci pour votre travail sur pilote)
Séquencier pilote Lycée (titre provisoire série)
Un réveil difficile (titre provisoire épisode pilote)
Plans splités en deux et synchronie des personnages (pour accentuer contraste, disposition spatiale des appartements quasi identique => aussi économie de budget). Vous remarquerez, en plus, le nombre de placement de produits, annonce de partenariats juteux : « Faut bien vivre » comme dirait Clémence, notre héroïne.
→ trop dit trop vite, ça irait plus dans la Bible ça — le commentaire que ferait Clémence
Séquence 1 :
Marc
Réveil dumbphone
Clémence
Radio réveil diffusant podcast coach de vie type Dr Fukashiwata « Votre maison est votre esprit. Votre vie est la colline vers cette maison » etc.
→ pas sûre du yoga, je la voyais plus à l'arrache, blasée de se retrouver là et ne fais aucun effort, même pas se lever à l'heure, je voyais plusieurs plans noirs (deux ou trois séquences) de son côté du split au début. Et puis, j'ai du mal à imaginer une prof de maths/ancienne étudiante en éco (pour faire de la thune, clairement) peaceful à écouter des trucs relaxants.
Séquence 2 :
M.
« Levé » = snooze et grignote un reste de chips de banane bio/équitables sur sa table de chevet, au milieu d'une pile de livre
→ pareil, pour moi c'était plus le type maniaque et hyper stressé de sa première journée qui va se faire un vrai petit déjeuner complet et équilibré...
C.
Chaussons aux pieds du lit et « salut au soleil » (yoga)
@je pensais à un personnage plus proche de Diaz dans Brooklyn nine-nine, rebelle et renfermée, pas tellement à celui de Elliot Reid dans Scrubs. A vous de voir.
→ Team Charles
Séquence 3 :
M.
Va à la cuisine en enfilant robe de chambre, se laver les dents au dessus de l'évier, remplit de vaisselle. Verse le fond d'une cafetière. Bodum dans mug fantaisie pour le réchauffer au four à micro-ondes.
→ et qui prend le temps de faire sa vaisselle avant de partir.
C.
Salle de bain à la douche à l'italienne avec podcast qui la suit (système bluetooth, appartement connecté)
@a-t-elle vraiment l’argent pour ça ?
→ oui, le principe c'était qu'elle retourne dans ce lycée qu'elle trouve nul parce que justement, elle n'a pas les moyens d'être ailleurs. Et puis, ça reste une prof en ZEP, le salaire qui va avec.
Séquence 4 :
M. Finit par allumer vieux poste radio-cassette, « bloqué », depuis le temps, sur France Inter en lisant un journal gratuit ramassé la veille sur un coin de sa table jonchée de pelures/restes de repas antérieurs/plaque de four avec cookies (l'air d'être faits il y a quelques temps et moitié mangés : en mange un en le trempant dans son café).
→ à part le bordel qui ne suit pas mon idée de type maniaque et organisé, je lui aurait bien refait lire ses notes pour ses cours.
C.
Arrive dans sa cuisine fraîche et disposée, tailleur gris/chemisier blanc, chaussures à talons larges confortables et/mais chics. Sort sa Brita (carafe filtrante) du frigo et jus d'agrumes. Prépare thé vert/détox, en thermos pour sa journée. Batterie de gélules et vitamines prêtes à être ingurgitées depuis pilulier posé sur la table. Tartine fromage blanc (type saint Môret) sur Krisprolls.
→ JE REFUSE LE TERME DE DETOX, ÇA NE VEUT RIEN DIRE. Non mais. Toujours dans la suite qu'elle s'en fout un peu de tout : jean-t-shirt noir-bottines, et si elle mange après des plats tout prêt Picard, elle se fait pas un petit dèj. Je voyais ça plus pour le prof de français.
Séquence 5 :
Gros plan (américain) sur visages (en train de « manger »)
→ plan américain = jusqu'aux poches de jean / gros plan = plan sur le visage
M.
Finit par arriver au bout de sa tasse : s'étouffe avec et recrache son marc. C. Porte sa tartine à sa bouche, air étonné, se relève vers plan de travail : elle a omis de la saupoudrer de sel de viking.
→ Mouais. Un peu trop là, non ? Elle fait hyper richou-précieuse là.
Séquence 6 :
M.
Lève les yeux vers son horloge (coucou suisse/kitsch) => passage au lavabo salle de bain : toilette au gant et pierre d'alun. Quand referme la glace de sa pharmacie, photos en évidence : lui plus jeune et un homme, manifestement son père, portant veste en tweed typique, ronds de cuir, pantalon en velours côtelé.
C.
Retire plats Picard du congélateur et les glisse précautionneusement, en compagnie de son thermos chromé, dans tote bag de son école de commerce (HEC ou Essec).
→ pouce levé
Séquence 7 :
M.
Recherche péniblement vêtement propres dans sa chambre au milieu de tas de bandes dessinées, piles de Télérama/Nouvel Obs/Littérature et encore et toujours des livres. Mais, une veste, seul préparatif, bien en évidence sur cintre en bois, accroché à sa poignée de fenêtre : celle de la photo, donc de son père, prof d'histoire, aujourd'hui retraité, lui ayant été offerte le jour de l'obtention de son CAPES (idée flashback pour plus tard).
→ recherche péniblement ou hésite sur comment s'habiller peut-être ? On trouvait ça cool qu'il soit un peu dans la représentation, qu'il s'habille en fonction du cours qu'il veut faire, à chercher sa place pour convenir à tout le monde et se retrouve à passer du look rock t-shirt de métal cool au look prof propre sur lui.
C.
Claque la porte de son appartement puis en train de se maquiller dans le miroir de son ascenseur, jusqu'au parking en sous-sol. Plan resserré sur son trousseau et porte clefs « Excelsior/Congrats - Dad » : sous-entendu que voiture (Twizy/Smart/Cooper) offerte en fin d'école de commerce
@encore, a-t-elle les moyens ? La voiture qu’Alexia avait proposé était parfaire je trouve.
→ Pareil que Charles, on avait dit qu'elle ne pouvait pas avoir de voiture comme ça parce que sinon ses parents avaient des sous de base et elle n'aurait jamais fini prof (raccourci, mais je sais qu'on avait dit non pour ça) du coup : Alfa Romeo 156 achetée d'occasion environ 2000 euros.
Séquence 8 :
M.
Sort de chez-lui, se précipite dans les escaliers (ascenseur en panne). Le spectateur attentif peut se rendre compte alors que ses chaussettes sont dépareillées. Deux-trois étages plus bas : « MERDE ! », remonte les marches quatre-à-quatre. Il a oublié sa blague à tabac sur sa table chevet, la retrouve et la met dans poche intérieure de son veston.
→ Pour la clope, là je vous avoue que je suis pas sûre, pourquoi on le fait fumer ? Quelle image ça envoie de lui dans une série au ton plus humoristique que dramatique ? Exemple pour les élèves ? Alors que justement, il veut vraiment transmettre sa passion, etc, etc.
C.
Arrive à la porte automatique du parking, ne se lève qu'à moitié (grincements, soubresauts). Pas de panique, elle sort de son véhicule pour l'actionner en l'accompagnant d'une vive poussée des paumes. Se remet au volant : « MERDE ! » (au même moment que Marc), ses mains sont noires de crasse. Elle se penche sur la boite à gants : lingettes ou sérum hydro-alcoolique.
→ toujours dans mon idée : s'essuie à l'arrache avec le dernier papier de pub qu'elle avait enlevé de son pare-brise et laisser dans sa voiture faute de prendre le temps de le jeter.
Séquence 9 :
M.
Détache sa trottinette électrique du garage à vélos qui entravait, par ailleurs, le scooter d'un voisin. Post-it/note sur son guidon : « C'est la dernière fois, connard ! M. Fabregas ». Le plie nonchalamment dans sa poche et démarre, sans oublier son casque de VTT qu'il tenait au coude.
C.
Bloquée dans les embouteillages, pas encore trop stressée. Rédige un texto à une de ses amies d'école : « First day at work et déjà les bouchons !! :( Paris ne change pas. Et toi, alors, la City ?? Excited ??? » .
→ un peu trop ?
Séquence 10 :
M.
Fluide (trottinette électrique passe-partout), finit par dégommer le gobelet coupé à pièces d'un sdf, s'arrête net, presque mortifié. Ramasse comme il peut la monnaie jaune et rouge sur le trottoir en se confondant en excuses. Propose sa banane mais elle est refusée : « T'as pas des thunes plutôt ? ». Lui propose de lui rouler une clope.
→ Clope again.
C.
Passe au niveau de Marc, à l'arrière plan, qui avait fini par la doubler. Feu rouge, Clémence commence à perdre patience/pester seule en franglais @c’était bien pour le texto là c’est un peu too much non ?. → Oui, non, là, c'est trop. Deux jeunes gens commencent à laver son pare-brise : « Je suis passée hier à l'éléphant bleu, arrêtez vous allez la ruiner avec vos conneries ». Remonte sa fenêtre et verrouille ses portes, quand on voit Marc repartir de son côté.
→ pas sûre qu'elle soit nécéssaire cette séquence, ça ralentit l'arrivée au lycée, c'est peut-être trop pour un premier épisode, mais après, pourquoi pas. Ou le soir, en rentrant ?
Séquence 11 :
M.
Sifflote School's out d'Alice Cooper et constate, sur son compteur kilométrique et horloge (affichant 66,6km), qu'il a le temps pour un crochet viennoiserie chez Mme Carreira (boulangère toute proche du Lycée, potentiel personnage secondaire, déjà là quand Marc et Clémence étaient eux-mêmes lycéens).
C.
Allume son auto-radio pour se détendre après l'impair au feu rouge, son pare-brise sali et obstrué par de larges bandes blanches. À bout, elle tombe sur Une belle histoire de Michel Fugain qui finit de l'achever. Le speaker annonce l'heure, c'en est trop : elle fait une embardée et emprunte une voie de bus, pas question d'arriver en retard pour son premier jour.
@rebelle donc, mais ponctuelle ?
→ pareil, c'est long. Et pareil que Charles, qu'elle prenne la voie de bus, ok, mais juste parce que ça la saoule d'attendre, pas pour arriver à l'heure.
Séquence 12 :
M. et C.
Sort de la boulangerie, sac en papier rempli à la main, traverse le passage clouté menant au bahut sur sa trottinette quand Clémence déboule, folle du volant à la visibilité réduite, et le renverse. Heureusement, il n'avait pas pris le temps d'enlever son casque de VTT chez Mme Carreira, chute en s'étalant sur le dos, la tête protégée, au milieu des croissants, pains au chocolat et raisin. Clémence se précipite hors de son véhicule : « - Je vous avais pas remarqué ! Ça va aller, je dois repartir tout de suite, pas le temps. - CLÉMENCE ! … Heu, un croissant ?? » yeux écarquillés et sourire goguenard. Air interrogatif et perplexe de Clémence (« Qui est ce type ? »).
→ Elle le renverse comment ? Si elle avance sur lui, elle le voit forcément, c'est un peu extrême qu'elle le renverse alors que bon, ça sous-entend qu'elle conduit mal, qu'elle est dangereuse pour pas grand chose (et là, cimer les clichés sur les femmes au volant). Là, je voyais plus la rencontre semi accidentelle sur le parking des profs où elle va pour se garer — normalement, sans violence — et lui déboule tout guilleret sans regarder ce qu'il se passe, lui coupe la priorité quand elle est en train de rentrer dans sa place, là, elle manque de le renverser parce qu'elle a dû l'éviter de justesse et qu'il continue sa route sans s'en être rendu compte, là ça l'énerve et ça peut faire un « débouché » pour après, elle arrive saoulée en salle des profs et tombe sur lui, et là, peut-être (gros peut-être) flash-back d'eux au lycée, et ça peut poser le format flash-back de la série.
flèche bis : le fait qu’on passe autant de temps dans la voiture, ça va un peu à l’encontre du format sitcom et du peu de lieux utilisés. Et si on pense budget d’une vraie sitcom et d’un vrai pilote = no money. On peut pas louer vingt lieux différents surtout si le lieu ajouté n’apporte rien. Et peut-être pas trop en dire dès le début, je pense que ça complique les choses d’apporter trop de détails (comme le fait de parler anglais qui renvoie à l’Angleterre où elle aurait voulu aller etc/ d’ailleurs : l’intérêt du personnage à qui elle envoie le texto ? Perso c’est un truc que je déteste dans les séries quand on t’amène un personnage qui disparaît de la surface de la terre sans explication, là dès le début, ça lui donne de l’importance si on le met dans les premiers plans, mais je pense qu’on s’éloigne un peu si on rajoute des perso extérieurs, l’idée ça reste quand même qu’on soit immergé dans le lycée et pas dans leur vie perso, sauf épisode spécial) et dans les sitcom justement, on sait rien au début : par exemple dans Scrubs, il se prépare et dit juste que c’est pas un jour comme les autres, à 0:27 il est à l’hôpital, dit qu’il a fait huit ans études et qu’il ne sait rien. Vraiment aucun détails donnés, une présentation générale de l’épisode : mon premier jour de médecine.
@Totalement d’accord avec la dame à la flèche. Il faut être concis et efficace; avec un rythme très rapide et un enchaînement de gags. Ce qu’ont fait Valentin et Guillaume s’approche déjà beaucoup de ça. Il nous reste encore à le synthétiser et à rajouter des sketchs.
→ Je viens de me rappeler pourquoi on avait dit qu’elle ne pouvait pas être d’une famille qui avait des thunes : si la famille avait des thunes, elle n’aurait pas envoyé sa fille en ZEP mais en lycée privé pour avoir la meilleure éducation possible, faire HEC et contrôler le monde (au moins). Mais comme on en parlait, HEC crée des passerelles pour avoir des places direct en lycée mais soit a) famille de pas richous du tout et elle peut obtenir une bourse pour HEC et rater son diplôme et donc se reconvertit en prof au lycée b) famille de pas richous donc elle fait pas HEC mais une fac en commerce (je recherche le nom exact, commerce/éco/managment) et au bout de un de prépa et trois de fac, elle en a marre après la licence (ou master, à vérifier : je sais qu’on peut faire MEEF pour les petiots après une licence d’art par exemple et dans mon école on pouvait faire MEEF collège/lycée, la plupart du temps après le master mais je ne sais pas si c’était obligatoire ou si une licence était suffisante) et hop, se réoriente en MEEF et fait son master tranquilou — je ne sais pas s’il y a réellement des bourses en école de commerce mais en tout cas, faire MEEF est complètement possible pour elle. Voilà
Pour le format du scénario final, il faudra être plus détaillés je pense, genre “Il fait noir dans la chambre. Le réveil sur la table de nuit de Machin sonne. Il est 6h00.” / “Machin reste la tête sous la couette et sort la main pour appuyer sur le bouton Snooze du réveil” Petite préférence : plutôt que mettre M et C pour indiquer le plan, je mettrais plutôt écran droite écran gauche, être le plus objectif possible, surtout si on réutilise ce procédé plus tard avec d’autres personnages. Mais bon ça, à la limite, c’est mon côté mise en page for ever.
Ah oui, aussi, pour les plans : ça ne s’indique pas sur le scénario a priori, mais sur le storyboard. On peut les indiquer sur les premières versions pour ne pas oublier ce qu’on voulait faire au fur et à mesure mais ne pas les laisser à la fin.
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→ Je suis passée à mon ancien lycée hier, j’ai pensé à prendre des photos mais au final, même pour une ZEP, il fait trop classieux. On a une forêt et un château, s’teuplait. Bref, j’ai vu ma prof d’arts plastiques dans la salle des profs du bâtiment du bout du monde (c’est un grand lycée hein) et plusieurs choses :
on peut faire comme là, une salle des profs dans le bâtiment principal hyper grande lumineuse et tout et dans le second bâtiment, le bâtiment des littéraires (comme ça chez moi...) où la salle est minuscule, ça fait une mini guerre des clans entre profs littéraires et profs, ben, tous les autres. Ça appuierait encore sur l’image de la prof M qui est bien dans ses baskets et avec les profs cool et le prof F à la masse avec les nerds (je tire le trait grave là hein), et ça pourrait être la prof M qui en a marre des profs qui sont toujours en train de la ramener et de surjouer la coolitude et jalouse secrètement les profs du bâtiment du bout du monde qui se soutiennent et ne se tirent pas dans les pattes.
Les élèves dont tout le monde se plaint parce que ce sont des branks : les BTS. Par exemple, les types qui envoient des messages la veille pour dire à tout le monde que le prof n’est pas là (true story) et le prof se retrouve avec deux élèves. Ça peut faire partie d’anecdotes dans les épisodes, où chaque prof irait de sa petite histoire, ou être plus présent dans un épisode aussi.
Après, l’année où j’avais fait mon stage (oui, oui, avec ma prof d’arts pla, toujours), les neuneus c’étaient les L, en avril, les mecs ils avaient aucune production dans aucune matière, tous les profs que je rencontrais me demandaient “alors, t’as vu les TL, t’en penses quoi ??” —au début je me suis dit qu’ils exagéraient tous, qu’ils devaient parler de nous aussi comme ça. Après, j’ai vu les TL...— et ils étaient là “mais madame tous les profs s’inquiètent pour nous on comprend pas pourquoi hein”. On pourrait avoir une classe comme ça, une terminale à la masse où toute la classe est comme ça, sauf un ou deux en retrait et ça deviendrait un lien entre les prof F&M, une classe qu’ils auraient tous les deux dont ils pourraient se plaindre ?
@Je valide toutes les idées générales. La guerre de clans entre des groupes de personnages ça marche toujours très bien en sitcom (on pourra penser à un épisode vengeance entre les profs de maths VS profs de français, en mode bataille de craie/bombe à eau, et tout au long de la série faire des petits sketchs sur cette guerre incessante (vol de stylo véléda, déplacement de tous les bureaux dans la salle d’un tel, marathon ou sorte de JO des profs dans le lycée où les deux groupes de profs s’affronteraient pour avoir le droit de manger en premier à la cantine ou pour ne pas avoir la pire classe ou pour gagner des places de parkings ou pour garder la salle des profs rien que pour eux, les perdants devant aller dans le foyer des lycéens... Bref y’a matière à plusieurs épisodes rien qu’avec l’idée de bandes de profs rivales).
La classe (de cancres) en commun aux deux personnages principaux c’est génial. Par contre, je pense que mettre trop de personnages de lycéens est une mauvaise idée (voir bible). Peut-être que le plus intéressant est justement de se centrer sur les profs, toujours et tout le temps, les lycéens ne seraient donc que des figurants. J’ai peur que ça fasse des personnages trop flous et un peu inutile les lycéens. Sauf peut-être un couple cancre/bon élève (de la classe en commun des personnages principaux ?) qui eux, pour le coup, rentreraient en résonance avec nos deux jeunes profs (on pourra faire un épisode montrant que ce sont deux duo assez proche dans leur façon de fonctionner).
→ Ouip bien sûr, je pensais pas les intégrer en tant que personnages les lycéens mais dans les discussions entre prof genre “j’ai encore eu les TL aujourd’hui, ils m’ont saouléééééé ! Franchement, des fois, j’ai envie de sécher le cours tellement ils me gonflent” pas les intégrer en tant que chaque élève mais en tant que classe. Justement, quand j’étais stagiaire, ils me parlaient pas de tel ou tel élève mais de la classe (ces branks de TL), je me rappelle d’aucun spécifiquement en plus de cette classe. Mais je te suis, pas de lycéens précis, les inscrire dans une globalité (sinon c’est un peu compliqué de parler de profs sans parler de leurs élèves, surtout que la salle des profs, c’est beaucoup pour parler et comparer les élèves).
Après, le couple cancre/bon élève, je pense qu’on va trop dans la dualité, peut-être faire un épisode spécial sur un élève ni bon ni mauvais entre guillemets et qui est dans les deux classes (trop inspiration Scrubs, je pense à Derek dans la saison 7 ou 8. 8 ?) mais à la différence de Scrubs, il ne soit pas trop impliqué dans la vie des profs mais qu’ils soient vraiment en retrait là, présents dans les images mais pas genre hyper importants pour l’élève, justement, un épisode où comment ça se passe pour un élève qui n’est ni très bon ni très mauvais.
S’ils ont la classe en commun, ça ne peut pas être une terminale en fait, t’as plus de maths en TL ni de français en TS ou T Eco là, je sais plus comment ça s’appelait... ES ? SES ?
Et les rivalités ça me fait penser à l’épisode musical de Scrubs avec médecins vs chirurgiens. Mais je trouve qu’il y a ça au lycée aussi, toujours un prof pour juger leurs matières plus importantes. Ça ressort chez les élèves d’ailleurs, je trouve.
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Images : liste à compléter
photo lycée
mug
fringues du prof F
casque F
attirail qu’il pourrait avoir
déco appartements
salle des profs/pause
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