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La fin

En conclusion, la minorité modèle est un mythe toxique qui affect les adolescents négativement, dans l’aspect de leur santé mentale et leur performance scolaire. Elle leur donne beaucoup de stress et à cause de la culture, ils sont improbables d’utiliser les ressources disponibles à cause de la culture, ils sont improbables d’utiliser les ressources disponibles à cause de la stigmtisation. Ce mythe peut aussi affecter leur performance scolaire, car l’intériorisation de la minorité modèle est en corrélation avec la détresse émotionelle et peut même endommager leur identité ethnique. Après plusieurs années de recherche, on a déterminé que la minorité modèle est un mythe problématique et malfaisant. Avec les programmes comme APASS qui se concentre sur les besoins académiques des étudiants asiatiques, on a vu qu’ils peuvent faire une vraie différence dans les vies des jeunes asiatiques. À mon avis, la prochaine étape sera de déterminer comment on peut arrêter ce mythe de la minorité modèle une fois pour toutes et coment on pourra utiliser cette expérience pour changer les autres stéréotypes autour de la race.

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Les solutions

Maintenant on sait que la minorité modèle est problématique mais qu’est-ce qu’on pourra faire pour la changer? 

Selon moi, la première étape doit commencer avec nous-mêmes. Premièrement, c’est à nous de changer la façon dont on parle de la minorité modèle et comment on pense de nous-même. Nous devons arrêter de nous forcer à satisfaire ce standard qui ne peut pas être appliquer à tout le monde. C’est à nous de commencer à contester notre croyance et attitude et ce des gens autour de nous. Les scientifiques doivent commencer à reconnaître que tous les asiatiques ne sont pas la même puis les séparer par leur origine ethnique ou leur statut socio-économique (Rastogi, 2018). Finalement, on doit pousser le gouvernement et le conseil scolair à créer des programmes spécifiquement pour soutenir les étudiant asiatiques, comme Asian Pacific American Student Success (APASS) à City College of San Francisco (Nance, 2007). Il assure les services de conseil et le soutien scolaire privé bilinque. APASS adie environ 1800 étudiants chaque année, 99% d’eux sont les asiatiques qui sont sur la probation scolaire ou ont besoin d’aide dans plusieurs sujets. Par exemple, Pat Albano, un philippin-américain de la deuxième génération, était un étudiant à San Diego State University mais il a raté dans sa première année avec une moyenne de 0.93 (environ 59%). Il a découvert APASS après son inscription à City College of San Francisco et maintenant, il est un étudiant de la kinésiologie à San Francisco State avec une moyenne cumulative de 3.0 (environ 80%). Il dit que c’est grâce à APASS pour toutes les techniques d’études, les compétences en gestion du temps et les conseil des conseillers, qui l’aide avec le succès scolaire aujourd’hui. Après tout, le succès scolaire et l’éducation est important, mais il ne vaut pas ta santé out ton bien-être mental.

Rastogi, R. (2018, January 3). No such thing as a "positive" stereotype: Consequences of the Model Minority Myth. Retrieved from https://www.psychologyinaction.org/psychology-in-action-1/2018/1/4/no-such-thing-as-a-positive-stereotype-deleterious-consequences-of-the-model-minority-myth

Nance, M. (2007). Unmasking the Model Minority Myth. Diverse: Issues in Higher Education, 24(22), 10. Retrieved from http://search.ebscohost.com/login.aspx?direct=true&db=f5h&AN=28069519&site=ehost-live

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Les conséquences et effets négatifs

En parlant des conséquences et effets négatifs de la minorité modèle sur les étudiants, il y a deux grand sujet: le bien-être psychologique et la performance scolaire. Pour plusieurs étudiants asiatiques, il y a toujours ce niveau qu’ils pensent qu’ils doivent atteindre pour être un “bonne asiatique”. Cela peut signifier toujours avoir besoin de se montrer à la hauteur pour satisfaire un standard qui a l’air de bouger perpétuellemetn en avant (Fuchs, 2017). Cette idéologie cause plusieurs problèmes avec leur santé mentale et leur donne beaucoup de stress et d’anxiété. Les étudiants asiatiques sont peu probables à utiliser les services psychologiques et d’autres ressources disponibles, comme la thérapie, dans les temps de détresse (Masuda et al, 2009). De plus, plusieurs montrent les attitudes négatives vers l’aide externe. Pour quelques-uns, c’est parce qu’ils ont peur de demander de l’aide, car l’étiquette de la minorité modèle suggère qu’ils n’en ont pas besoin. Pour d’autres, c’est parce que leur culture donne la priorité, surtout à la santé physique. C’est bizarre pour eux de considérer la possibilité de trouver l’aide pour leur santé mentale à cause de la stigmatisation autour de ce sujet (2018).

Pour les étudiants asiatiques qui ont la difficulté dans l’école, l’intériorisation de la minorité modèle est en corrélation avec la détresse émotionnelle (Yoo, H. C., Miller, M. J., & Yip, P., 2015) et la pression sociale ou s’imposer peut empirer ceux qui sont déjà en difficulté. Par exemple, les étudiants qui sont mis au courant de leur identité asiatique avant d’accomplir un problème de mathématiques, ont eu des pires résultats (Cheryan, S., & Bodenhausen, G. V., 2000). 

La minorité modèle peut même affecter leur identité ethnique (Thompson, T. L., Kiang, L., & Witkow, M. R., 2016). Celui qui ne réussit pas bien à l’école rapporte qu’ils se sent isolé de leur groupe ethnique cars ils ne possèdent pas de traits reliés aux asiatiques et al minorité modèle (Lee, J., & Zhou, M., 2014). Une identité faible est aussi reliées aux problèmes de la santé mentale (Mossakowski, K. N., 2003), qui est concernant, car les étudiants ont déjà beaucoup de problèmes du stress ou de l’anxiété à cause du mythe de la minorité modèle. 

Dernièrement, ce n’est pas seulement la société qui place beaucoup de pression sur les jeunes asiatiques, mais leurs parents aussi, ce qu’on appelle le stress post-immigration (Ly, 2017). Les parents ont tout sacrifié et abandonné pour donner à leurs enfants un meilleur futur alors il y a encore plus de pression pour assurer que leurs enfants seront accomplis.

Fuchs, C. (2017, August 22). Behind the ‘model minority’ myth: Why the 'studious Asian’ stereotype hurts. Retrieved from https://www.nbcnews.com/news/asian-america/behind-model-minority-myth-why-studious-asian-stereotype-hurts-n792926 

Masuda, A., Anderson, P. L., Twohig, M. P., Feinstein, A. B., Chou, Y., Wendell, J. W., & Stormo, A. R. (2009). Help-Seeking Experiences and Attitudes among African American, Asian American, and European American College Students. International Journal for the Advancement of Counselling, 31(3), 168-180. doi:10.1007/s10447-009-9076-2

(2018, March 02). 'The unspoken ones': How race and culture complicate Asian-Canadians' access to mental health care | CBC Radio. Retrieved from https://www.cbc.ca/radio/thecurrent/facing-race-the-current-s-town-hall-event-in-vancouver-1.4558134/the-unspoken-ones-how-race-and-culture-complicate-asian-canadians-access-to-mental-health-care-1.4558354

Yoo, H. C., Miller, M. J., & Yip, P. (2015). Validation of the internalization of the Model Minority Myth Measure (IM-4) and its link to academic performance and psychological adjustment among Asian American adolescents. Cultural Diversity and Ethnic Minority Psychology, 21(2), 237-246. doi:10.1037/a0037648

Cheryan, S., & Bodenhausen, G. V. (2000). When Positive Stereotypes Threaten Intellectual Performance: The Psychological Hazards of “Model Minority” Status. Psychological Science, 11(5), 399-402. doi:10.1111/1467-9280.00277 

Thompson, T. L., Kiang, L., & Witkow, M. R. (2016). “You’re Asian; You’re supposed to be smart”: Adolescents’ experiences with the Model Minority Stereotype and longitudinal links with identity. Asian American Journal of Psychology, 7(2), 108-119.

Lee, J., & Zhou, M. (2014). The Success Frame and Achievement Paradox: The Costs and Consequences for Asian Americans. Race and Social Problems, 6(1), 38-55. doi:10.1007/s12552-014-9112-7

Mossakowski, K. N. (2003). Coping with Perceived Discrimination: Does Ethnic Identity Protect Mental Health? Journal of Health and Social Behavior, 44(3), 318. doi:10.2307/1519782

Ly, G. (2017, November 15). Episode 3 "Nos enfants multiculturels". Retrieved from http://lapetitebanane.com/index.php/ca-reste-entre-nous-webserie/episode-3-nos-enfants-multiculturels/

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Cela ne rime à rien

Premièrement, cette idéologie ne peut pas être appliquer à toutes les asiatiques, car il y a quarante-huit différentes antionalités et groups ethniques d’asiatiques en Amérique du Nord (2016), mais les statistiques nous mettent tous ensemble.

« La moyenne semble excellent en termes de la réussite scolaire ou le revenu. Mais, en réalité, ces moyennes masquent beaucoup de différences », dit Karthick Ramakrishnan, un professeur à l’Université de California (Fuchs, 2017). Moins d’un sur cinq des cambodgiens, laotiens et hmongs possède une licence ou d’autres enseignement supérieur comparé à environ quatre sur cinq des taïwanais ou indiens. Le mythe de la minorité modèle efface la diversité entre tous les différents groupes ethniques des asiatiques tandis que les classifier tous ensemble.

(2016, August 2). Retrieved November 26, 2018, from https://www.nbcnews.com/video/re-examined-does-disaggregated-data-matter-in-education-736165443934

Fuchs, C. (2017, August 22). Behind the 'model minority' myth: Why the 'studious Asian' stereotype hurts. Retrieved from https://www.nbcnews.com/news/asian-america/behind-model-minority-myth-why-studious-asian-stereotype-hurts-n792926

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Un stéréotype positif?

Pour plusieurs jeunes étudiants asiatiques, il y a cette pression d’exceller sur le plan scolaire ou être bon dans les mathématiques ou la science. Le stéréotype d’une asiatique studieuse est tellement normalisée et invétérée dans notre système d’éducation. On ne parle pas de seulement les professeurs, mais cet idéologie est common entre nous-même, les étudiants ou parents asiatiques renforcent ce stéréotype aussi. Dans le cas des professeurs, plusieurs étudiants asiatiques ont fait remarquer que leur enseignants ont moins écouté ou moins fait attentions à eux cars ils sont asiatiques. Nakuj Iab Yang a dit qu’elle crois que ses professeurs et son secteur scolaire ont eu l’expectation qu’elle va bien naturellement parce qu’elle est asiatique(Fuchs, 2017). Dans le cas de nos propres peuples, c’est aussi nos parents, nos familles, nos paires et nous-même qui renforce l’idéé qu’on devrait réussir à tous.

À première vue, ce stéréotpe positif semble inoffensif; les asiatiques sont perçues d’être intelligents, accomplis et ambitieux (Rastogi,  2018). Qui ne veut pas être connu comme la race intelligente? On ne sais pas comment, dans une société où l’homme blanc est le seul qui est supposé de profiter, les asiatiques ont trouvé un façon d’être accomplis aussi.

Mais honnêtement, un stéréotype positif n’existe pas et le mythe de la minorité modèle causent plusieurs conséquences pour le bien-être et la réussite des étudiants asiatiques.

Fuchs, C. (2017, August 22). Behind the 'model minority' myth: Why the 'studious Asian' stereotype hurts. Retrieved from https://www.nbcnews.com/news/asian-america/behind-model-minority-myth-why-studious-asian-stereotype-hurts-n792926

Rastogi, R. (2018, January 3). No such thing as a "positive" stereotype: Consequences of the Model Minority Myth. Retrieved from https://www.psychologyinaction.org/psychology-in-action-1/2018/1/4/no-such-thing-as-a-positive-stereotype-deleterious-consequences-of-the-model-minority-myth

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L’histoire de l’immigration chinois

Au 19e siècle, les hommes célibataires chinois ont commencé à immigrer aux États-Unis tempoairement pour accueilliir la richese. Plusieurs d’entre eux ont eu l’intention de retourner à leur pays natals. Au début des années 1900′s, la population des Chinois qui étaient nés aux États-Unis a augmenté et la deuxième génération, un sous-groupe de la communauté des immigrants est formés. Ils possède plusieurs différences entre leur parents.

Par exemple, la première génération a toujours l’espoir qu’ils peuvent un jour retourner à leur pays natals et ils maintenaient des relations avec la Chine. Ces relations les aident à ignorer et résister la discrimination et la racisme qu’ils subissent.

Mais pour la deuxième génération, ils sont traités comme des étrangères par les deux côtés. Ils ont l’apparence d’une asiatique mais ils ne peuvent pas s’identifiier avec la culture chinoise, car ils sont nés et grandissent aux États-Unis. Ils parlent anglais, et possèdent les éthiques, l’éducation et plusieurs valeurs culturelles d’une société qui est dominante blanche. Pour quelqu’un qui n’a pas de lien avec leur origines, mais est perçu comme étranger dans la société américaine, ils ont un désir fort de se changer pour mieux intégrer et devenir une « minorité modèle » dans les yeux des Américains (Céna, 2007).

Céna, M. (2007, ).  La communauté Chinese American: la seconde génération et le concept de ”minorité modèle”. Littératures, Frontières et Limites, Jun 2007, Lyon, France.

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Les Sino-Amércains à George town, dans le Colorado (1900~)

Sino-Américains. (2018, October 25). Retrieved November 28, 2018, from https://fr.wikipedia.org/wiki/Sino-Américains

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Qu’est-ce que c’est la minorité modèle?

La minorité modèle est un groupe démographique qui est perçue d'avoir un statut socio-économique plus élevé que celui des autres minorités (2018). 

C’est la perception que les asiatiques sont plus intélligentes, plus accomplies ou possèdent un statut socio-économique plus élevé que d’autres groupes minorités. Elle a l’air d’être un stéréotype ou préjugé positif, mais la minorité modèle n’est rien d’autre qu’un tpe de racisme banalisé et un mythe toxique qui est malfaisant pour les étudiants de la deuxième génération.

Je vais rechercher les conséquences et les effets négatifs de la minorité modèle sur les adolescents de la deuxième génération d’immigrants asiatiques en l’Amérique du Nord aujourd’hui. Je vais regarder les statistiques au sujet de les asiatiques et pourquoi la minorité modèle est un problème. On observera les consequences de la minorité modèle sur les adolescents de la deuxième génération à propos de leur santé pschologique en causant du stress et anxiété et leur performance scolaire.