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Séance #13 - Le slacktivisme est-il efficace ?
Le débat autour du slacktivisme suscite une interrogation centrale : s'agit-il d'une forme de militantisme paresseux ou possède-t-il une réelle utilité ?
D’après Dumonteil (2020), le slacktivisme renvoie au militantisme de salon et donc, d’internet. Il tire son sens de la fusion des termes « slacker » (paresseux) et « activism » (militantisme) (Willocx, 2021). Sur les réseaux sociaux, la valeur échangée réside dans l'attention suscitée par les « likes », les partages et les retweets (Handfield, 2020).
Un exemple éloquent fut la réaction au meurtre de George Floyd aux États-Unis : une mobilisation rapide tant dans les rues que sur les réseaux sociaux. Les internautes ont massivement partagé des photos sur Twitter et Facebook avec les hashtags #BlackLivesMatter et #BlackOutTuesday. Certains décrient ce militantisme en ligne comme trop facile, mais quel impact réel possède-t-il ?
À mon sens, le slacktivisme a un effet à court terme en sensibilisant rapidement notre entourage et nos abonnés à une situation. Cette prise de conscience peut déclencher un effet boule de neige important. Le drame initial aux États-Unis s'est rapidement répercuté en Europe, permettant à des millions de personnes dans le monde d'en être informés. De plus, cette approche présente l’avantage d’un faible coût et de peu de risques (Dabbabi, Lalancette, Trespeuch, 2022). Néanmoins, cet engagement semble éphémère, se transformant rapidement en désengagement (Chanony, 2021).
Il demeure incertain de connaître réellement les actions des individus derrière leur ordinateur. Isabelle Gusse, professeure au département de science politique de l'UQAM, soulève une question pertinente : "Les gens qui font ça sur l’ordinateur, qui vous dit qu’ils ne sont pas en train de faire de la sensibilisation, ou même de faire des assemblées de cuisine et de parler entre eux ?" (Handfield, 2020).
Selon moi, l’endroit où l’on milite importe moins que la raison pour laquelle on milite !
Sources :
Slacktivisme : militantisme paresseux ou utile ? (2020, 3 juin). La Presse. https://www.lapresse.ca/societe/2020-06-03/slacktivisme-militantisme-paresseux-ou-utile
Dumonteil, P. (2020, 6 juin). Qu’est-ce que le slacktivisme, le militantisme " ; en un clic" ; , souvent critiqué. BFMTV. https://www.bfmtv.com/tech/vie-numerique/qu-est-ce-que-le-slacktivisme-le-militantisme-d-internet-souvent-critique_AN-202006050178.html
Le « slacktivisme » : où Comment militer depuis son salon. (2021, 21 octobre). MABUCOM.ch. http://www.mabucom.ch/le-slacktivisme-ou-comment-militer-depuis-son-salon/#:~:text=Pourtant%2C%20plusieurs%20r%C3%A9centes%20%C3%A9tudes%20semblent,mondiale%20sur%20des%20probl%C3%A9matiques%20soci%C3%A9tales.
Dabbabi, C., Lalancette, M., & Trespeuch, L. (2022). Le slacktivisme. Communication, Vol. 39/2. https://doi.org/10.4000/communication.15973
Le « slacktivisme » : révolution numérique ou mobilisation de canapé ? (2021, 23 février). L’Echo. https://www.lecho.be/economie-politique/international/general/le-slacktivisme-revolution-numerique-ou-mobilisation-de-canape/10286147.html
NBC News. (2020, 29 mai). Watch a Minute-To-Minute breakdown leading up to George Floyd’s deadly arrest | NBC News NOW[Vidéo]. YouTube. https://www.youtube.com/watch?v=kiSm0Nuqomg
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SÉANCE n#12 - Comment les nouvelles technologies modifient-elles notre perception du travail ?
Ces dernières années, les avancées technologiques ont remodelé notre approche du travail. Avec la généralisation des ordinateurs personnels, l’usage répandu des plateformes de communication en ligne, l’émergence de l’intelligence artificielle et la montée en puissance de l’automatisation, notre façon de concevoir et d’aborder le travail a subi des transformations.
L'impact de ces évolutions se reflète dans la manière dont nous appréhendons le travail aujourd'hui. Autrefois axée sur l'ascension hiérarchique et la recherche constante d’un salaire plus élevé, la mentalité a évolué. De nos jours, la valeur du temps libre et la famille sont plus que jamais reconnus. Le travail conserve une place centrale dans la vie, mais la quête d'épanouissement personnel et de qualité de vie prend une importance croissante. L'enjeu actuel réside dans la quête d'équilibre entre les impératifs professionnels et les aspirations personnelles (Coissard, 2019).
La pandémie de COVID-19 a remodelé le paysage professionnel actuel, introduisant une flexibilité dans les métiers d’aujourd’hui. Cette crise a facilité le travail vers le travail à domicile, les espaces de co-working et le travail à distance à l’autre bout du monde. Ces nouveaux environnements professionnels offrent une dynamique inédite, s’adaptant plus efficacement aux besoins individuels. Une étude souligne que plus d’un quart des travailleurs reconnaissent que le manque de flexibilité sur le lieu de travail pourrait les inciter à changer d’emploi (Canada, 2022).
« Les limites traditionnelles de l’espace et du temps ont été définitivement brisées » (Goudreault, 2023). La révolution numérique a donné naissance à une connectivité constante, catalysant l’accélération des échanges et les prises de décision. Cette évolution se matérialise à travers des moyens de communication instantanée, des réunions virtuelles et des outils collaboratifs en ligne. Ainsi, les équipes de travail ont désormais la capacité de collaborer efficacement, même en étant géographiquement dispersées.
L’intégration de l’intelligence artificielle et de l’automatisation a perturbé notre quotidien, modifiant les rôles et les responsabilités au sein des entreprises. L’adoption de ces technologies au sein des organisations permet l’automatisation des tâches répétitives et routinières. Cette automatisation libère un précieux temps, favorisant ainsi la concentration sur des tâches à forte valeur ajoutée qui exigent des compétences spécifiques telles que la créativité, l’analyse critique et la résolution de problèmes complexes.
Il est crucial de rester vigilant face à l’épuisement professionnel et aux préoccupations concernant la sécurité de l’emploi. Ainsi, chaque entreprise se doit de trouver un équilibre entre la place de la technologie et celle de l’humain.
Sources :
Coissard, F. (2019, 6 janvier). La perception du travail aujourd’hui. https://www.linkedin.com/pulse/la-perception-du-travail-aujourdhui-france-coissard/?originalSubdomain=fr
Canada, R., & Canada, R. (2022, 22 février). Randstad Canada. https://www.randstad.ca/fr/employeurs/tendances-employeur/gestion-des-talents/comment-offrir-la-flexibilite-que-les-travailleurs-souhaitent/
Goudreault, M. (2023, août 16). Le paradoxe de la connexion et la déconnexion. Grenier aux nouvelles. https://www.grenier.qc.ca/chroniques/36538/le-paradoxe-de-la-connexion-et-la-deconnexion
Compétence Culture. (2021, 9 décembre). L’épuisement professionnel - Serge Marquis [Vidéo]. YouTube. https://www.youtube.com/watch?v=XBVXxjOK7Fw
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Séance #10 – L’intelligence artificielle marque-t-elle la fin de certains emplois ?
Selon un article de NetApp, l'intelligence artificielle (IA) vise à reproduire et dépasser l'intelligence humaine à travers des algorithmes exécutés dans un environnement informatique dynamique (NetApp, 2019). Son objectif est de permettre aux ordinateurs d'imiter le comportement humain, notamment en automatisant des tâches telles que la communication en ligne avec les clients (Oracle Canada).
L'IA crée des opportunités pour les travailleurs qualifiés, améliorant la performance et la productivité des entreprises en automatisant des processus autrefois manuels (Oracle Canada). En exploitant des données à un niveau inatteignable pour les humains, elle confère un avantage concurrentiel significatif (Oracle Canada). Toutefois, il est crucial que les employeurs tirent parti des gains de productivité offerts par ces technologies tout en évitant d'être dépassés par des concurrents réactifs. Des entreprises comme Netflix utilisent le machine learning pour personnaliser leurs services, entraînant une augmentation de plus de 25% de leur clientèle.
Cependant, l'automatisation par l'IA soulève des préoccupations quant à la perte d'emplois, principalement dans des secteurs à tâches routinières et répétitives, tels que les caissiers de supermarchés et les opérateurs télémarketing. Les emplois menacés sont souvent compensés par de nouveaux rôles liés à la conception, la maintenance et la supervision de ces technologies, nécessitant une expertise spécifique telle que des spécialistes en IA, ingénieurs en robotique et concepteurs de systèmes automatisés.
Selon une étude du Devoir (2023), les pays à revenus élevés subiraient davantage les effets de l'automatisation, notamment dans les emplois de bureau, avec 5,5 % de l'emploi total potentiellement exposé, contre seulement 0,4 % dans les pays à faibles revenus. De plus, les femmes seraient plus touchées en raison de leur représentation plus élevée dans le travail de bureau, surtout dans les pays à revenus élevés et intermédiaires.
Toutefois, une étude de l'ONU suggère que l'IA a plus de chances de créer des emplois que d'en détruire (Le Devoir, 2023). Les entreprises doivent donc s'adapter à cette évolution, développer des compétences pertinentes et saisir les opportunités offertes par l'IA pour prospérer dans un futur technologique en mutation.
Sources :
Qu’est-ce que l’intelligence artificielle (IA) ? Oracle Canada. https://www.oracle.com/ca-fr/artificial-intelligence/what-is-ai/
NetApp. (2019). Intelligence artificielle : définition et utilisations | NetApp. https://www.netapp.com/fr/artificial-intelligence/what-is-artificial-intelligence/
Le Devoir. (2023, août 21). L’intelligence artificielle pourrait créer plus d’emplois qu’en détruire. Le Devoir. https://www.ledevoir.com/economie/796618/technologie-l-intelligence-artificielle-pourrait-creer-plus-d-emplois-qu-en-detruire?
France Culture. (2018, août 8). L’intelligence artificielle va-t-elle détruire des emplois ? [Vidéo]. YouTube. https://www.youtube.com/watch?v=9mR9BtoNfWs
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Séance #9 - Le podcasting, une opportunité pour la presse écrite de se réinventer?
Lisez-vous la presse écrite ? Combien de personnes de votre entourage la lise ?
De mon point de vue, il est grand temps pour la presse écrite de se réinventer. Comment ? En s’imprégnant des nouvelles technologies apparues qui ne cessent d’évoluer. En effet, il est important pour ce média traditionnel de rester pertinent et de continuellement répondre aux préférences changeantes du public.
Le podcast est un format audio ou vidéo sur le web. Il est né au début des années 2000 et le terme a été employé pour la première fois en 2004. Le mot « podcast » vient d’une contraction du mot « iPod » et du mot « broadcasting ».
Selon moi, le podcast présente des avantages à la fois pour l’industrie de la presse écrite et pour ses auditeurs. Tout d’abord, du point de vue de la presse écrite, ce format renforce la visibilité de la presse en ligne. De plus, il facilite la fidélisation des auditeurs. Ensuite, le podcast attire souvent un public plus jeune que les lecteurs habituels (Elboudrari, 2021). Enfin, grâce aux données recueillies sur les auditeurs, il permet à la presse d’affiner ses contenus pour mieux cibler son public. Du point de vue des auditeurs, le podcast leur offre une grande flexibilité. Ils peuvent écouter du contenu n'importe où et à n'importe quel moment. Le podcast est extrêmement accessible et est généralement gratuit, rendant l'information accessibles à tous.
En guise d’exemple, le New York Times a créé son podcast « The Daily ». Ce journal a adapté ses actualités en séries d’épisodes, abordant des évènements majeurs à travers des interviews, des analyses et des récits captivants. Cette initiative vise à élargir leur audience en attirant de nouveaux auditeurs, tout en renforçant la fidélité de leurs lecteurs existants.
Néanmoins, je tiens à préciser que créer un podcast n’est pas une chose facile. Il ne faut pas en créer un « pour en créer un ». Il faut évidemment avoir un objectif précis derrière la tête. Il est important de définir un ton, une durée, une fréquence, lui donner un nom, définir une cible ainsi qu’une ligne éditoriale (Fouquenet, 2019).
Le podcast est pour moi une composante essentielle pour la presse écrite. Comment pensez-vous qu’elle va continuer à exister si elle ne saisit pas cette opportunité ?
Sources :
Centre Numérique de Dijon. (2020, 13 novembre). Un podcast, c’est quoi ? [Vidéo]. YouTube. https://www.youtube.com/watch?v=83Rk-KAjQSk
La presse écrite tend l’oreille vers les articles audio. (2021, 24 mai). La Revue des Médias. https://larevuedesmedias.ina.fr/presse-ecrite-articles-audio-voix-son-abonnes-audience
The Daily. Spotify. https://open.spotify.com/show/3IM0lmZxpFAY7CwMuv9H4g
Fouquenet, M. (2021, 7 décembre). Podcasts et presse écrite : pensez-les d’abord comme un produit. Medium. https://mfouquenet.medium.com/podcasts-et-presse-%C3%A9crite-pensez-les-comme-un-produit-dabord-9968c55a8151
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Séance #8 — Comment le streaming a transformé notre consommation musicale ?
Les plateformes de streaming dont Spotify, Amazon Music, Apple Music, Deezer, et bien d'autres ont révolutionné notre manière de consommer la musique. En 2022, une étude de MIDiA Research a révélé que 616,2 millions de personnes étaient abonnées à des services de streaming musical (Levy, 2023 : 1er par.).
Auparavant, l’achat ou la location de vinyles était la norme. Comme le souligne Sophian Fanen, co-fondateur du médias Les Jours, « trouver un disque c’était compliqué ». Grâce à Internet, l’accès à la musique est devenu facile et illimité. Les plateformes de streaming offrent une expérience plus riche, plus diversifiée et plus accessible. En effet, elles nous donnent un accès instantané à des bibliothèques virtuelles immenses.
Ces plateformes utilisent des algorithmes sophistiqués pour personnaliser l’expérience des utilisateurs en recommandant des chansons en fonction de nos préférences, par exemple. De plus, chacun peut personnaliser son espace personnel, créant un environnement musical qui nous ressemble tout en nous permettant d’explorer de nouvelles sonorités. A la différence des CD ou des vinyles, les plateformes de streaming nous permettent d’emporter notre bibliothèque musicale partout avec nous et ce dans différentes situations : au sport, au travail, en voyage, etc.
Cependant, des questions persistent quant à la rémunération de ces plateformes. Même si elles sont utilisées en masse à travers le monde, ces plateformes enregistrent des pertes considérables. Spotify a enregistré une perte nette de 302 millions d’euros, contre 125 millions en 2022 (Levy, 2023 : 10e par.). Certaines critiques concernent également la rémunération inégale des auteurs. Récemment, Deezer et Universal ont décidé de catégoriser les artistes professionnels des non professionnels. Les professionnels doivent atteindre plus de 1000 écoutes mensuelles et au moins 500 auditeurs uniques par mois (Levy, 2023 : 20e par.).
En tant que passionnée de musique, je trouve que la révolution du streaming est extrêmement enrichissante. Elle nous permet d'explorer davantage de variété de musiques, nous rendant ainsi plus ouverts culturellement. La musique est également un moyen de partage, et il est impressionnant de pouvoir recommander des chansons à nos proches. Cette révolution a permis à chacun de devenir créateur et consommateur de contenu musical. Les plateformes de streaming continuent d’évoluer, comme en témoigne l’émergence des podcasts. Cependant, je comprends également l’attachement des personnes aux supports physiques, comme ceux qui continuent d’acheter des vinyles.
Alors, mettez vos écouteurs, détendez-vous et profitez de cette culture qui s’offre à nous, une mélodie à la fois.
Sources :
Levy, G. (2023, 22 septembre). Les plateformes de streaming musical, révolution en cours. Siècle Digital. https://siecledigital.fr/2023/09/22/les-plateformes-de-streaming-musical-revolution-en-cours/
J.R. (2023, janvier 31). Spotify devient le premier service de streaming musical à dépasser les 200 millions d& # 39 ; abonnés payants. BFMTV. https://www.bfmtv.com/tech/actualites/streaming/spotify-devient-le-premier-service-de-streaming-musical-a-depasser-les-200-millions-d-abonnes-payants_AD-202301310459.html
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SÉANCE #7 - Déceler la désinformation à l'ère de la culture participative.
Sur le Web 2.0., la culture participative est mise en avant. Nous ne sommes plus de simples consommateurs mais bien de véritables contributeurs et producteurs de contenus.
Nous pouvons, à tout instant de la journée et sur n’importe quelles plateformes, donner notre avis, partager nos idées ou encore, critiquer un sujet spécifique. C’est la facilité d’accès au web qui joue un rôle dans l’expansion de la culture participative. En effet, l’avènement de nombreuses sources de contenus a eu un impact sur la société comme les réseaux sociaux, les wikis, les podcasts, etc. Parmi les inconvénients de cette culture participative, je citerais la désinformation. A titre d’exemples, il y a les élections présidentielles de 2016 aux États-Unis, la campagne du Brexit, la révélation sur la société Cambridge Analytica, etc.
Concernant les conséquences de la désinformation, je vais vous énumérer deux, qui selon moi, sont les principales. La première s’applique à la société et à la politique. En effet, la désinformation met en péril la démocratie. Lorsqu’il n’y avait que les médias traditionnels qui faisaient circuler l’information, les citoyens avaient une opinion éclairée sur les évènements et prenaient part aux débats publics. Depuis la présence constante de la désinformation, il y a un manque de confiance venant des citoyens. Cela devient donc plus complexe de trouver des informations fiables et pertinentes. La seconde s’intéresse à la santé publique. Par exemple, pendant la période de la Covid, beaucoup de fausses informations circulaient, ce qui causaient des problèmes de santé à certains individus. Cela leur provoquait, entre autres, de l'anxiété.
A présent, j’aimerais vous partager des conseils pour vous permettre de repérer la désinformation ainsi que de vérifier la crédibilité de vos sources. Tout d’abord, regardez attentivement la source d’information. La personne ayant publiée cette information est-elle acteur, témoin direct ou expert ? Ensuite, observer l’auteur de cette information. Il se peut que ce soit une site frauduleux, un faux compte ou une personne peu fiable. De plus, vérifiez à l’aide d’autres sources si vous pouvez confirmer ou infirmer cette information. Enfin, soyez également attentif à la date de l’information, à savoir si elle est toujours d’actualité.
Restons soudés, partageons des informations vérifiées et protégeons nous contre la désinformation. Je pense que chacun a son rôle à jouer pour promouvoir cette culture participative. Il est de notre responsabilité d’encourager la liberté d’expression ainsi que de promouvoir la véracité de l’information. Faisons-le ensemble.
Sources :
Canada, A. M. (2022, 22 décembre). Les efforts du Canada pour contrer la désinformation - invasion russe de l’Ukraine. AMC. https://www.international.gc.ca/world-monde/issues_development-enjeux_developpement/response_conflict-reponse_conflits/crisis-crises/ukraine-disinfo-desinfo.aspx?lang=fra
World Health Organization : WHO. (2022, 1 septembre). Dans une nouvelle analyse, l’OMS constate que l’infodémie et la désinformation influencent négativement les comportements en matière de santé. Organisation mondiale de la Santé. https://www.who.int/europe/fr/news/item/01-09-2022-infodemics-and-misinformation-negatively-affect-people-s-health-behaviours--new-who-review-finds
Rédac, L. (2021). Comment savoir si une information est vraie ou fausse ? 1jour1actu.com. https://www.1jour1actu.com/culture/comment-savoir-si-une-information-est-vraie-ou-fausse
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