Tumgik
ldlanne · 6 days
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Derrière cette façade qui se fissure de plus en plus je lutte contre un ennemi invisible qui gagne toujours plus de terrain malgré mes efforts pour lutter, le dissimuler ,le dissuader d’avancer.
J’aspire au repos et à la tranquillité à ne plus me sentir dominée par ce monde où je dois paraître et être parfaite.
Ou je m’impose les dictats d’une société dépassée, ou je n’existe que si je suis désirée.
Force est de constater que le poids des années n’arrange rien à l’affaire, et ne fait qu’alimenter ce mal qui me ronge…
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ldlanne · 2 months
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Utopie pas si ordinaire apparemment
Brisons les normes de genre!
Déconstruisons les barrières de la discrimination!
Défendons avec vigueur l'égalité, la diversité et le respect pour tous!
Embrassons la révolution de l'acceptation et de l'inclusion, car ensemble, nous sommes plus forts!
Putain quand allons nous faire société au lieu de diviser?
#BrisonsLesBarrières #RévolutionDeLacceptation
#defendonslessroitsdespersonnestrans
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ldlanne · 3 months
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Un corps qui trahit, un corps qui souffre,  
Qui quand il jouit , enfin prend vie
Entre la maladie et le plaisir,  
Je trouve ma force, ma rage à reconstruire.  
Ce corps qui fait jouir, ce corps qui brille,  
Dans la lutte, il trouve sa revanche, sa vrille,  
Entre la douleur et la délivrance,  
Il devient mon arme, ma résilience.  
Meurtri par les coups et la maladie,  
Mon corps me heurte, me défie,  
Mais dans l'étreinte de la passion,  
Il devient ma rébellion, ma libération.  
Ce corps qui fait jouir, ce corps qui brille,  
Dans l'extase, il trouve sa force, sa vrille,  
Entre la souffrance et le plaisir,  
Il se révèle, il s'empare de l'avenir.  
Entre la maladie et la rébellion,  
Mon corps devient mon arme, ma mission,  
Dans la douleur et la ferveur,  
Je trouve ma force, ma vigueur.  
Ce corps qui fait jouir, ce corps qui brille,  
Dans la lutte, il trouve sa revanche, sa vrille,  
Entre la douleur et la délivrance,  
Il devient mon arme, ma résilience.  
Ce corps qui trahit, ce corps qui lutte,  
Qui se révèle, s’impose et s’erige.
Entre la maladie et la rébellion,  
Il devient ma force, ma passion.
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ldlanne · 3 months
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Pensées dominicales désabusées.
. . .
. . . . .
J’ai investi 20 ans de ma vie à croire en la justice et à penser que la loi pouvait améliorer l’existant , à œuvrer pour faire société , pour finir par  accepter avec amertume, que ces institutions sont pleines de  vices et gangrenées tant de l’intérieur que de l’extérieur.
Finalement:
On a les personnels qu’on forme et qu’on mérite.
On récolte les fruits d’un service public dans lequel on n’investit plus.
On a les lois votés par des représentants de la nation qui ne représentent que leurs propres intérêts 
Plus de rebelles chez les magistrats.
Plus de rebelles chez les représentants de la loi.
Plus de libres penseurs là où s’écrit la loi.
Je repense souvent à ce pamphlet "Police vos papiers", avec la nostalgie d’une époque où les contre-pouvoirs existaient et pouvaient s'exprimer.
Dans la collection l’esprit frappeur, Jean Marc Manach , dans le monde diplomatique, en avait fait ce résumé très à propos mais qui malheureusement n’est plus d’actualité : »Publié avant l’hystérie sécuritaire post-attentats, ce petit traité de civisme rappelle les droits (des citoyens) et les devoirs (des policiers) en matière de contrôles d’identité, qualifiés d’« atteintes aux libertés ». Le tout avec force référence jurisprudentielle, et dans l’esprit d’un guide pratique, tout en évoquant les contrôles aux faciès, entre autres pratiques illégales ou en contradiction avec les traités internationaux relatifs aux droits humains. Si nul n’est censé ignorer le droit, Vos papiers ! se révèle ainsi être l’une des (trop) rares tentatives d’éducation civique en la matière. En réponse, certains syndicats de policiers et les ministres de la justice et de l’intérieur ont décidé de porter plainte contre ce qu’ils perçoivent comme un « pamphlet anti-flics (…) insultant et révoltant ».
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ldlanne · 3 months
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Frappe, frappe encore,
Sur cette foutue bouche phallofage,
Qui avalait ton foutre avec avidité,
Qui suppliait pour qu’tu dégages, en vain.
Frappe, frappe encore,
Sur ce corps qui te chevauchait,
Qui t’faisait bander rien qu’en l’matant,
Et qu’t’as défoncé à coups de pieds.
Frappe, frappe encore,
Massacre  ma dignité, ma personnalité.
J’suis devenue ta salope, ta pute comme tu disais.
Tu m'as niqué jusqu'à l'os sans aucun regret.
Et même après neuf putains de mois écoulés,
Tu persistes à vouloir ramper, de retour.
J'en ai plus rien à foutre de tes géremiades.
Juste honte d'avoir aimé un salopard.
Maintenant tout a foutrement changé,
Je suis entourée, soutenue, aimée,
Et la prochaine fois, ce sera moi qui te défoncera,
Avec la prétendue force de la justice derrière moi.
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ldlanne · 3 months
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Défaite ordinaire
Ce soir, je me suis contentée de très peu, juste quelques rondelles de saucisson. Un geste banal pour la plupart, mais une source de fierté pour mes amis, une défaite pour moi. 
C'est pathétique et cela reflète qui je suis. Je me sens perdue, désemparée. La privation et la maîtrise de la sensation de faim, un besoin vital pour chacun, sont pour moi salvatrices. J'existe, je ressens, je maîtrise, j'occulte et je me libère de ma souffrance, sans crier, sans m'éclater, sans m'effondrer. J'apprivoise enfin l'angoisse mentale si longtemps refoulée. J'ai renoncé à l'agonie physique, la seule que j'ai maîtrisée pendant tant d'années et dans laquelle j'excellais depuis juillet. Mon seul but avoué : m'alimenter suffisamment pour ne pas être internée, pour ne pas crever.Crever  n'est pas mon objectif , mais est-ce que cela me dérangerait ? D’aucuns diraient que c’est mérité, que je n’ai qu’à assumer d’avoir accepter.
Le soucis est que cela m'obligerait à abandonner cette obsession du paraître pour enfin être. Choisir de survivre.Mais qu'y aura-t-il après ? Quarante putain d'années à me demander : qui suis-je ? Que suis-je ? Cela reste à découvrir et cela m'effraie profondément, m'empêche de regarder devant, me prive d'avenir, de devenir et ne me procure aucun plaisir.
J’attends que les jours passent et ma situation empire inexorablement.
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ldlanne · 3 months
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Envie de se baiser depuis des heures.
Ta queue dans ma bouche,tes doigts dans ma chatte.
Couchés à même le sol, emportés par nos pulsions les plus bestiales.
Pur plaisir jusqu’a l’extase totale.
Mon corps marqué témoigne de notre ardeur.
C'était intense, cru, et incroyablement libérateur.
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ldlanne · 3 months
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Version off de cette journée.
Propos liminaires
Tu découvrira peut être cette confession , si je ne l’ai pas effacée et que l’acte notarié précisant les codes de tous mes comptes t’a bien été remis.
En cette journée qui t'est dédiée, mon amour pour toi dépasse toute autre considération, me poussant à renouer avec mon rôle, à redevenir une pâle imitation de moi-même, une mascarade que je condamne depuis des années, n'ayant pu me l'avouer que récemment. Toutefois, ta satisfaction à me voir avaler, non sans grandes difficultés ,le repas que je t'avais cuisiné ,a ravivé en moi un semblant de plaisir, évoquant les moments de félicité partagés lors de nos années insouciantes. Ne vois pas cela comme une régression, mais plutôt comme une fierté, celle de pouvoir agir ainsi pour toi. Une fierté indescriptible de me dépasser pour que tu vives un semblant de normalité dans mon quotidien dévasté.
Pourtant, ce soir, j'ai persisté à dissimuler la vérité à mes amis, leur laissant croire que tout allait mieux, que je traversais une phase de progression alors qu'au fond de mon être, je suis consciente que le manque d'enthousiasme que je vis désormais, me prive de la faculté d'interagir avec autrui, m'incitant à briser tout lien avec ceux qui ont tenté de me tendre la main. 
Leur restituant tant leurs biens que leur amitié.
Le processus est en marche, irréversible, aucune force ne peut l'arrêter.
Je t'aime tant, et pourtant, cet amour ne suffit plus. 
On m'a souvent interrogée sur l'animal qui me représenterait le mieux, et j'ai toujours répondu conformément aux attentes, évoquant un animal puissant et maternant, souvent une louve. Mais je sais que j'ai menti. Ma vie est un théâtre d'illusions, où je me sens plus proche du pigeon.
Oiseau banal, souvent considéré comme nuisible,ou comme une personne facile à duper.
Tout ce que ta mère représente pour elle même et les autres.
Et pourtant, ces deux espèces partagent une fidélité et un amour inconditionnels envers leur partenaire, une idéalisation que j’ai tant souhaité atteindre , mais que je n’ai pu atteindre, faute de courage et de volonté.
J’ai pourtant tant aimé aimer, tant donner , trop donner car dans le vie c’est ce qui me plaît.
Mais certainement mal aimé ou aimé des hommes dont je savais qu’ils me détruiraient, car cela pourrait justifier ma nature profonde de femme désaxée, ne sachant pas qui elle est.
À quelle partie de son être elle doit se fier.
 Je suis convaincue que tu seras capable d’aimer cela  demande du courage et de la résistance aux premières tempêtes, à l'opposé de mes propres agissements. 
Car tu es si pure si pleine d’amour.
Ne suis jamais mon exemple, ne crois pas que ce que je t'ai fait endurer est normal.
Je me sens totalement dépassée, incapable d'arrêter cette spirale infernale menant vers le néant. 
J'avais besoin d'ancrage, de soutien, de considération, mais surtout pas d'être abandonnée, maltraitée, rejetée ce que paradoxalement je provoque par mon comportement.
J'avais besoin d'amis, d'amants pour me sauver, et j'en ai trouvé, mais je refuse désormais de les encombrer, de les perturber, ou de leur imposer un fardeau qui ne leur revient pas. 
Je suis seule responsable de mes choix, de cette autodestruction que j'ai choisi d'embrasser. 
Je suis épuisée, incapable de supporter davantage.
J'espère tenir bon encore un peu, et lorsque tu découvriras, dans ce document notarié,ces mots cachés ces audios et ces photos , publiés en mode privé afin de ne pas te perturber avant que tu sois capable des les comprendre les accepter et les digérer , je te prie de me pardonner d'avoir été une mère défaillante, indigne de toi, et qui ne le sera jamais. 
Une mère qui, en réalité, ne méritait rien d'autre que l'oubli. 
Souviens-toi toujours de ta force intérieure, qui te permettra de surmonter tous les tourments de la vie, une force que je n'ai jamais eu la capacité de déployer , malgré toutes les opportunités qui se sont présentées à moi et toutes les facilités dont j’ai pu disposé .
Je n’ai aucune excuse pour avoir dévié de la route qui qui m’était tracée.
J’ai choisi la facilité, les chemins de traverse, de la marginalité tout en gardant un pied dans la société capitaliste et libérale que je hais.
J’ai essayé de changer cet état de fait en m’engageant auprès d’association humanitaires, activistes et même en politique mais tous m’ont déçu, la recherche du pouvoir et de la domination sont finalement le seul but de leur action.
Et tout ce que je connais et rejette depuis que je suis consciente de cet état de fait depuis qu’à 6 ou 8 ans j’ai écouté les cassettes enregistrées des émissions de France Culture par ton grand père d’un film de Guy Debord critiquant la société consumériste et capitaliste.
Est ce d’avoir écouter pendant mes nombreuses nuits d’insomnies juvéniles les paroles de cet homme qui m’ont forgé telle que je suis, si différente de ma fratrie?
C’est une question que je me suis toujours posée.
Pourquoi suis je si différente, pourquoi je ne comprends pas l’induit?
Pourquoi je copie les comportements sociaux pour m’adapter alors que je pourrai être simplement moi?
Je n’ai pas de réponse si ce n’est que je n’ai jamais su , jamais compris comment être aimée sans m’oublier sans me travestir.
Je ne parle pas de toi ma chérie,le jour de ta naissance j’ai enfin découvert l’amour pur, sans aucune demande de réciprocité , je t’ai vu, senti sur ma peau et en une seconde,un éclair, immense d’un sentiment jusque là inconnu a traversé mon corps, mon cœur et mon cerveau pour éclater au plus profond de moi et irradier l’ensemble de mon être.
Quelle révélation, je ne m’étais jamais sentie vivre autant, je n’avais jamais ressenti de sentiment inconnu depuis mon premier orgasme.
Mais ceci est un autre sujet… Qui malheureusement n’arrive plus à me motiver alors qu’il l’a été des années durant.
Peut-être que ce qui m'a réellement manqué, c'est tout simplement d'exister pour moi sans douter de ma valeur, sans penser que tout ce que je mérite, c'est de m'évaporer dans le néant.
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ldlanne · 3 months
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Joyeux anniversaire Sixtine.
Mon bébé, ma bulle,mzelle bulle , bubulle,bouboule, mais maintenant je dois t’appeler Sixtine ou l’amour de ma vie car tu me l’as demandé et je respecte ton choix.
Aujourd'hui, alors que tu franchis le cap des 15 ans, mon cœur est rempli d'une multitude de sentiments : la fierté, l'amour, mais aussi une douce mélancolie en repensant à tous ces moments que nous avons partagés depuis le jour de ta naissance. 
Je me replonge avec émotion dans le souvenir de ce jour où tu as fait ton entrée dans ma vie, un jour qui a marqué le début d'une aventure extraordinaire, celle de notre amour et de notre lien indéfectible.
Depuis, chaque battement de mon cœur t'appelle, chaque souffle que je prends est un de plus qui me maintient en vie. 
Tu es la lumière qui illumine mes jours, la raison pour laquelle je me lève chaque matin avec un sourire sur les lèvres. 
Chaque moment passé à tes côtés est une source infinie de bonheur et d'inspiration.
En cette journée spéciale, je veux te dire que tu n'as jamais à t'inquiéter pour moi. Je suis là pour toi, prête à te soutenir dans chacun de tes rêves et aspirations. 
Je comprends que parfois, en grandissant, tu puisses te sentir responsable de mon bonheur ou de mon bien-être, mais sache je suis seule responsable de moi et que suis là pour toi.
Bien plus que mon rôle ou ma mission, ce dont j’ai envie, ma vocation.
Je dois cependant, après cette dernière année mouvementée,te faire une confession sincère et empreinte de regret. 
Je m'excuse du plus profond de mon être pour les mauvais choix dans lesquels j'ai pu t'entraîner. 
Je suis consciente que mes décisions peuvent avoir eu un impact sur toi, et pour cela, je te demande pardon. 
Tu dois savoir que c'est en toi que j'ai puisé ma force pour sortir de ces situations. 
Tu es ma source d'inspiration, ma raison de continuer à me battre chaque jour.
Tu as toute mon admiration pour l’adolescente que tu es devenue malgré tout cela.
Toute la famille ,tes amis et les miens t'aiment et t‘estiment pour tes qualités humaines exceptionnelles. 
Ta gentillesse, ta générosité et ta bienveillance sont des rayons de soleil dans nos vies, et nous sommes tellement reconnaissants de t'avoir à nos côtés.
Tu es une adolescente extraordinaire, pleine de vie, de rêves et de potentiel. Je veux que tu puisses vivre ta vie pleinement, sans te soucier de moi. 
Ose suivre ton cœur, poursuis tes passions avec courage, même si cela signifie prendre des risques. 
Je serai toujours là, prête à te soutenir et à t'encourager dans chaque étape de ton chemin.
Que cette nouvelle année de ta vie soit remplie de bonheur, de succès et d'aventures extraordinaires. 
N'oublie jamais que je serai toujours là, à tes côtés, pour t'aimer, te guider et te soutenir, quoi qu'il arrive.
Joyeux 15ème anniversaire, ma chère fille !
Avec tout mon amour et mon soutien infinis,
Maman qui t’aime si fort que des fois son cœur a envie d’éclater d’amour.
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ldlanne · 4 months
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Voyage immobile, expérience intérieure profonde pour découvrir le néant et la dévastation. Votre confirmation de mon manque de valeur est superflue; je suis déjà consciente de cette réalité.
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ldlanne · 4 months
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Embrasse la douleur
Ma douleur, compagne déviante, qui m'habite depuis si longtemps que son origine m'échappe. Elle a commencé comme peine et détresse, pour devenir une amante sensuelle modifiant jusqu’à mon ADN.
Je la cultive, expérience masochiste nichée dans mes abysses émotionnels. Chaque éclat de souffrance résonne à travers les corridors sombres de mon être, séduisant puis répugnant ceux qui osent s'aventurer dans mon jardin interdit.
Elle n'est pas simplement un fardeau, mais une muse perverse qui inspire mes créations excentriques, mes cris d'extase, mes cauchemars ,rêves érotiques.
Elle est là composante nécessaire de mon rituel d'auto-flagellation émotionnelle, déclaration d'indépendance contre la monotonie de la normalité.
Comme une drogue ensorcelante, je la connais, la maîtrise et l’apprivoise jusqu’à l’extase. Cette liaison décadente avec mes émotions extrêmes me maintient en vie. 
J'ai mal, donc je suis.
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ldlanne · 4 months
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Parques
Les mains expertes façonnent, la destinée se dévoile complexe, tissée dans douleur, par la sagesse infinie des déesses . Que de libertés délicates dans le tracé de mon chemin de vie. Que de détours sinueux, d’impasses et de murs infranchissables.L’amour n’est pas un remède, je ne peux pas te prendre sans te perdre. Aussi à l'heure de l'abandon, permets moi de couper le fil qui lie mon existence à cette trame inextricablement.
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ldlanne · 4 months
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ldlanne · 4 months
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Délectation
Les cris et gémissements tracent le chemin incertain d'une passion dévorante. La douleur, initiale et sauvage, évolue en une extase hypnotique, un ravissement pur qui enveloppe nos corps dans cette quête éperdue d’abandon.
Les morsures, véritables poèmes tracés dans la chaleur, allument le brasier de nos désirs partagés.
Un ballet charnel se dessine, chaque cri vibrant s'entrelaçant dans une chorégraphie sensuelle. La jouissance, ineffable et infinie, émerge là où le mal s'immisce, devenant un plaisir indompté, un élixir addictif qui embrase nos sens.
Dans l'ombre complice, nos corps s'abandonnent à la félicité interdite, mêlant passion et déraison dans une danse enivrante. Écartelés entre désir et folie qui cherche, nos ébats épopée clandestine et audacieuse vers l’extase.
Les cris résonnent, échos de décadence, tandis que l'abîme du plaisir nous engloutit, donnant naissance à notre transe dévorante. Entre douleur et délectation sans retenue, notre passion s'épanouit, impudique et crue.
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ldlanne · 4 months
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insomnies
Les draps, déployés comme témoins impuissants, accueillent mon âme errante en proie à un mal être lancinant.
Les premières heures de l'obscurité s'étirent avec lenteur, emprisonnant mon esprit dans un dédale de pensées inquiètes.
Elle façonne des rêves éphémères et des cauchemars évanescents, jouant entre réalité et fiction me disant comment j’aurai du vivre le présent.
l'horloge, monotone, résonne comme un rappel implacable de la fuite du temps.
Une présence invisible enveloppe chaque recoin de mon âme tourmentée sans que les aiguilles du temps puissent cesser de tourner.
saga nocturne, égrenant les heures d'un récit sans fin, entre les draps froissés, se déroule la chronique nocturne de ce voyage non désiré.
Le matin, telle une promesse incertaine, pointe à l'horizon avec le poids du doute qui a hanté mes heures sombres. Funeste architecte de fatigue, elle laisse mon corps épuisé et mon cœur en quête d'une rédemption que jamais je n’obtiens.
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ldlanne · 4 months
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Fin
Obscur labyrinthe de pensées obsédantes,
Un écho sinistre, la tristesse qui m’ereinte.
Mon âme vacille, épuisée de vouloir.
Les ténèbres enveloppent mon cœur et l’enserrent
Une ombre, une ultime faiblesse.
Les éclats de joie s'éteignent et s’oublient ,
Un cri muet, insidieux et discret
La douleur intérieure, un abîme sans fond,
l'espoir évaporé, une faille profonde
la vie questionnée ,sans intérêt
Si sombres sont les heures, les années qui m’attendent 
Un abîme qui m’attire m’aspire et m’inspire
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ldlanne · 4 months
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Dans l'ombre d'un corps décharné, méprisé,
Les courbes effacées, la peau écorchée.
Une silhouette  détestée , repoussée 
dans l'union charnelle, se métamorphose.
Les chairs déclinantes, en un cri d'agonie,
Un temple malmené, cherche l'extase infinie.
La haine vacille au sein de la luxure,
Le mépris se dissout dans une étreinte obscure.
Dans ce corps que j’abhorre, une magie cachée,
les limites de la jouissance toujours repoussées.
Une danse charnelle où la haine se tait,
L'infinie volupté dans l'ombre déployée,
La repulsion se fond dans la sensualité.
paradoxe charnel qui déroute et envoûte.
Le corps mis à nu offre un orgasme sans fond.
apaisement fugace d’un besoin impérieux
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