lazonedesilence
la zone de silence
27 posts
Fragments de choses lues, vues, entendues, destinées à être disséminées, commentées et enrichies. Une proposition de cheminement partagé dans un archipel aux frontières mouvantes. Contact : alain walther Photos et textes personnels de ce blog sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les Mêmes Conditions 3.0 non transposé.
Don't wanna be here? Send us removal request.
lazonedesilence · 11 years ago
Text
Le blog LA ZONE DE SILENCE déménage
Vous retrouverez désormais le blog LA ZONE DE SILENCE à l'adresse suivante : http://lazonedesilence.wordpress.com/
Merci à toutes celles et tous ceux qui avait pris l'habitude des rendez-vous sur Tumblr. 
A bientôt sur la nouvelle version de LA ZONE DE SILENCE
3 notes · View notes
lazonedesilence · 12 years ago
Photo
Tumblr media
[flashback] Hier séance tri photos. Retrouvé au passage cette photo de Lou Doillon prise au festival Artefacts 2013.
3 notes · View notes
lazonedesilence · 12 years ago
Photo
Tumblr media
Hier, rencontre avec Marie Frering à l'occasion de la parution de son roman "Lumière noire" (Kyklos Editions) à la Librairie des Bateliers à Strasbourg.
 « Lumière Noire est un espace en soi. Comme une grotte offerte à chaque lecteur pour se protéger des radiations de la bêtise et une aventure pleine d'aspérités et de sens pour y accrocher son esprit. « Les penseurs se trompent lorsqu'ils méprisent les romans d'aventures (...) Cooper, Verne, Twain, Defoe, Stevenson ! Ce sont des inventeurs de chemins, des visionnaires ! Ils sont les alchimistes de la philosophie, les explorateurs du gai savoir ! »
(Eric Dussert, le Matricule des anges, avril 2013)
1 note · View note
lazonedesilence · 12 years ago
Photo
Tumblr media
SunDay morning | gare de Strasbourg.
2 notes · View notes
lazonedesilence · 12 years ago
Text
"Caisses" d'après Christophe Tarkos, une pièce mise en scène par Thierry Bordereau
« Je vis parce qu’il est agréable de vivre.
Je sais pourquoi je vis. Je vis parce que cela me fait plaisir. J’ai bien vu que c’est agréable d’être vivant, qu’il y a des plaisirs. Si je suis en vie, c’est que je trouve qu’il est agréable de vivre, ainsi j’ai décidé de vivre… »  
Christophe Tarkos, extrait de «Caisses» (1998, éditions P.O.L)
Tumblr media
Une escapade ce week end du côté de Lyon, précisément au Théâtre Jean Vilar - hors les murs à Bourgouin-Jallieu, m’a enfin permis de voir l'adaptation théâtrale de «Caisses» d’après Christophe Tarkos (éditions P.O.L) proposée par la Plateforme Locus Solus. Une mise en scène de Thierry Bordereau.
Certainement la mise en scène la plus convaincante et marquante de textes de Tarkos sur les trois que j’ai pu voir cette saison. 
Celle qui laisse le mieux respirer les textes de Christophe Tarkos, leurs laissant dans leur apparente simplicité toute leur richesse de sens. Permettant les variations d’émotions les plus subtiles. 
Trop vite certains metteurs en scène ont tendance à tirer les textes de Tarkos vers une lecture univoque. 
La version de Thierry Bordereau permet une écoute active, libre. Une réussite.
Pierre Grammont, comédien, trouve les intonations justes pour porter les univers de ces textes de Tarkos. Les mots en germes se déploient ici dans toutes leurs dimensions. Fragile et tellurique. Mental et physique. Un travail impeccable de funambule, un jeu sur le rasoir, sans effets, toujours au plus juste des textes. Remarquable.
Aussi important sur scène, la musique est un interprète à part entière, jouée en direct et composée par Bruno Fleutelot. Le musicien trouve pareillement la distance juste pour favoriser l’écoute du texte, susciter le dialogue entre le comédien et le spectateur. Loin de toute tentation d’illustration. Tissant subtilement des liens entre univers mental et physique. Inventif. Stimulant !
Bref, programmateurs de partout, amoureux de théâtre et de Christophe Tarkos, cette pièce est faite pour vous !
Tumblr media
"CAISSES, c'est une rêverie sur l'Homme. Les yeux se ferment, les corps se  détendent, les oreilles écoutent, les yeux se rouvrent et tout un monde remonte à la surface : des caisses, des photos, des petites histoires, des gens, des caisses, un projecteur diapo, une grosse caisse en bois, un scanner, des histoires drôles, des projections sur une nappe, des histoires amères, un cercueil, des numéros étranges, des cuites, des caisses encore, un peu d'humour noir, une vache qui rumine comme il faut ruminer sa langue pour continuer de la faire travailler, un hypothétique voyage en caisse, une invitation comme un rendez-vous manqué, deux chaises sorties d’une caisse, des outils, des petites architectures existentielles, un marteau, des fragments d'humanité, des fragments d'existence – parce que les existences ne sont rien d’autre que ces assemblages précaires, ces mobiles suspendus au dessus du vide…"(Thierry Bordereau)
  parler à l’autre
L’histoire est là, aussi : chaque texte est un fragment, un indice qui permet petit à petit de reconstituer une vie. 
À mesure qu’ils sont dits, une histoire se dessine. Mais cette parole finit elle aussi par s’échapper...
Comme si l’homme qui parle n’en était pas conscient : c’est presque malgré lui que sa parole, cocasse, naïve, obsédante, sort de sa bouche et tresse son histoire délirante.
Lui, il ne fait qu’observer, interroger le monde. 
Et s’adresser au public. 
Sans cesse. Comme si c’était vital. Sans le public, il tombe, il meurt. Comme une marionnette, comme un clown. Alors, sans quitter leur siège, les spectateurs deviennent les partenaires principaux du jeu. 
Investis d’un rôle : l’ami, le confident, le meurtrier, l’amant… ils deviennent acteurs d’une relation qui les touche, responsables d’une vie qui se déploie sous leurs yeux. (Thierry Bordereau)
  Mise en scène : Thierry Bordereau Musique : Bruno Fleutelot Jeu : Pierre Grammont
Installation plastique : Philippe Sommerhalter Installation lumières : Nicolas Jarry Coproduction : Plateforme Locus Solus -  C.D.N. de Bourgogne -  Festival Why Note
(Photos extraites du spectacle, DR La Plateforme Locus Solus )
1 note · View note
lazonedesilence · 12 years ago
Audio
« European Sound Delta » - résidence nomade sur le Rhin et le Danube, été 2008 
Été 2008, le Collectif MU embarque pour European Sound Delta, une résidence nomade au fil du Rhin et du Danube, une performance à travers l’Europe et un projet radiophonique de près de trois mois.
Ecouter l'intégralité du projet 
Au cours de l’été, deux bateaux ont remonté simultanément les deux grands fleuves européens depuis la Mer du Nord et la Mer Noire jusqu’à Strasbourg. À bord, des équipements techniques et des équipages constitués d’artistes invités ou ayant répondu à un appel à participation ont composé des pièces sonores et des dispositifs in situ à partir d’enregistrements réalisés dans les villes traversées : atmosphères, langues, musiques…
À chaque ville et à chaque étape, les artistes posent l’ancre : villes portuaires, campagnes, port de plaisance, docks, zones industrielles, complexe pétrochimique... Soit autant de territoires à explorer devenant lieux d’enregistrement, de création et de diffusion éphémères où toutes les formes sont convoquées : performances, parcours, installations sonores... À l’arrivée, l’ensemble des travaux a été exposé lors de croisières sonores à Strasbourg (26-27-28 septembre 2008).
Les villes traversées
Tulcea (Roumanie), Roussé (Bulgarie), Belgrade (Serbie), Portes de Fer (Serbie & Roumanie), Vukovar (Croatie), Budapest et Szentendre (Hongrie), Bratislava (Slovaquie), Vienne et Linz (Autriche), Francfort et Cologne (Allemagne), Mons, Bruxelles et Anvers (Belgique), Rotterdam, Amsterdam et Arnhem (Pays-Bas).
 Les artistes à bord
Aljosa Abrahamsberg, Tamara Albaitis, Rodolphe Alexis, Knut Aufermann, Maria Balabas, Carl.Y, Ewen Chardronnet, Christian Dergarabedian, Dinahbird, Jerome Dumais, Ludger Hennig, Katherine Liberovskaya, Kevin Logan, François Martig, Joachim Montessuis, Phill Niblock, Panic City Boyz, Jean-Philippe Renoult, Jodi Rose, Horia Cosmin Samoila, Gaël Segalen, Sillyconductor, Igor Stangliczky, Piotr Talmachou, Aymeric de Tapol, Tanakan, To, Vincent Voillat, Sarah Washington, Claudia Wegener, Frederik de Wilde, WPMG.
(texte via la page du projet sur Soundcloud)
Pour compléter cette promenade sonore le long du Danube à travers l'Europe, lisez le passionnant récit : «Danube» de CLAUDIO MAGRIS (traduction Jean et Marie-Noëlle Pastureau, 1988 éditions Gallimard et 1990 en Folio)
Des sources en Forêt-Noire à son delta en mer Noire, Claudio Magris descend le fleuve. En touriste : il visite les paysages et les maisons, s'arrête, à Vienne, devant un simple escalier de bois. En érudit : il découvre les sites majeurs, les rites de la Mitteleuropa; il croise, semble-t-il, Kafka, Canetti, Lukács, Joseph Roth..., de passage, eux aussi. 
En homme : il s'émeut, s'émerveille, s'interroge. Sous la plume d'un grand écrivain, le voyage au gré du fleuve devient aussi une grande fresque des siècles passés.
1 note · View note
lazonedesilence · 12 years ago
Text
Tumblr media
Picture: David Toop performing at Tate
Interview with David Toop about performance and improvisation...
This week we have been exploring sound in the context of performance.
David Toop works with sound in many ways – he curates sound exhibitions, famously the UK’s largest sound exhibition Sonic Boom at the Hayward Gallery in 2000, has published several seminal books discussing aspects of sound and the way we listen, writes columns for important music publications, and gives talks about sound at a multitude of institutions. He has also released numerous albums of his own sonic practice, collaborated with musicians, curated CD compilations, written soundtracks and traveled across the world to record shamanistic ceremonies in Amazonas. 
In this interview Tate Collectives ask David Toop about his sonic performances, and his work with the London based improvisation group Unknown Devices.
Read More
15 notes · View notes
lazonedesilence · 12 years ago
Video
youtube
Christine Ott | Ondes martenot & piano | Musique originale pour «Tabu» (Tabou») de F.W. Murnau et R. J. Flaherty. 
Un extrait du très très réussi ciné-concert il y a un an, alors qu’en général je suis plus que circonspect avec la façon dont le genre est (mal)traité depuis quelques années. Ici Christine Ott compose une partition idéale pour accompagner la projection du chef d’oeuvre de Murnau et Flaherty. Une compréhension intime et juste du film.
Les 1er et 2 mars 2013 à 20h30, Christine Ott présentera sa nouvelle création au Cheval Blanc à Schiltigheim. En prélude à la sortie d’un nouveau disque.
Deux bonnes nouvelles !!
0 notes
lazonedesilence · 12 years ago
Text
Lire aux Îles Kerguelen
Partir aux Îles Kerguelen pour mieux lire. La belle idée. Je suis jaloux :-)
Quelle que soit la localisation de votre base de survie, lisez le blog AUX ÎLES KERGUELEN de Georg von Allensteinerweg alias Laurent Margantin. 
Les livres de Laurent Margantin disponibles aux éditions publie.net
Tumblr media Tumblr media
(photo : Georg von Allensteinerweg / Laurent Margantin)
11 notes · View notes
lazonedesilence · 12 years ago
Video
youtube
Olivier Dubois - Tragédie
Le spectacle sera en tournée dès juin 2013. Ne le ratez pas...
infos
«Par le chant et la danse, l’homme manifeste son appartenance à une communauté supérieure : il a désappris de marcher et de parler et, dansant, il est sur le point de s’envoler dans les airs. Ses gestes disent son ensorcellement.» 
(La naissance de la tragédie» Friedrich Nietzsche)
15 notes · View notes
lazonedesilence · 12 years ago
Text
"Tragédie" de Olivier Dubois présenté au Centquatre à Paris
Tumblr media
Dimanche 3 février 2013 au Centquatre à Paris pour voir "Tragédie" d'Olivier Dubois. Upercut !!! Réactions physiques et chimiques en chaîne. Au cœur d'un réacteur de pulsations hypnotiques. Bientôt, peut-être, arriverai-je à mettre des mots sur le tourbillon de sensations. Sorti du spectacle chamboulé, sonné. Electrisé. Enthousiaste. Transe-porté !!
Le spectacle sera en tournée dès juin 2013. Ne le ratez pas...
«Par le chant et la danse, l’homme manifeste son appartenance à une communauté supérieure : il a désappris de marcher et de parler et, dansant, il est sur le point de s’envoler dans les airs. Ses gestes disent son ensorcellement.»  (La naissance de la tragédie» Friedrich Nietzsche)
Un poème chorégraphique pour 18 danseurs. Neuf hommes et neuf femmes interprètent la partition de leur genre, celle d'un espace de préservation de territoire pour elles et d'un espace de conquête de territoire pour eux. Une pièce manifeste, obsessionnelle voire hypnotique d'où jaillit une humanité aveuglante, éblouissante, assourdissante.
Compagnie Olivier Dubois
0 notes
lazonedesilence · 12 years ago
Video
youtube
Aimer les sons pour ce qu'ils sont. Aimer le silence. Et le rire de John Cage. 
0 notes
lazonedesilence · 12 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media
Concert - lancement du disque de SAORI JO hier soir au Camionneur à Strasbourg. Agréable soirée ! Salle pleine à craquer. Elle confirme le potentiel que nous sommes nombreux à pointer depuis qq temps. Une chanson comme «Some chocolat» devrait cartonner :-)
OK, qq boulons à resserrer encore sur scène, mais je suis persuidé que quelques concerts permettront à la formation de trouver le tempo ad hoc. 
Mention spéciale à Elise, violoncelliste !!
Le CD «Home 2.17 a.m.» de Saori Jo (Cosmopolite records) vient de sortir. Plus d’informations http://www.saorijo.com  
0 notes
lazonedesilence · 12 years ago
Text
Un blog pourquoi ? pour qui ? avec qui ?
Reprise de ce blog après quelques mois de jachère et d’hésitation. Il y a déjà des millions de blogs dans toutes les langues, en ajouter un a-t-il du sens ? Qui suis-je pour partager mes enthousiasmes, mes petites réflexions ? etc.
Ne trouvant pas de réponse satisfaisante, parce qu’il n’y en a certainement pas, si ce n’est mon envie de partage, je décide cette fois de reprendre ce blog de façon plus constante. 
Essayer de construire un archipel-fragments d’un ensemble qui ne prendra de sens que s’il est exploré avec vous, complété par vous. A la manière des «songlines»* évoqués notamment par Bruce Chatwin dans le «Chant des pistes». 
Sans plus plus de prétention qu’un petit carnet de notes et de croquis ouvert à tous.
Fragments de choses lues, vues, entendues, destinées à être disséminées, commentées et enrichies. Tout cela n’aura de sens que si nous sommes quelques-un(e)s à nous en servir comme d'un petit territoire d’échange. Parce que nous sommes nombreux à revendiquer une vie / action culturelle comme fondement d’une société. Trivialement dit : non pas la cerise sur le gâteau, mais le levain dans la pâte !
  * In his 1987 book The Songlines, British novelist and travel writer, Bruce Chatwin describes the songlines as:
"...the labyrinth of invisible pathways which meander all over Australia and are known to Europeans as 'Dreaming-tracks' or 'Songlines'; to the Aboriginals as the 'Footprints of the Ancestors' or the 'Way of the Law'.
Aboriginal Creation myths tell of the legendary totemic being who wandered over the continent in the Dreamtime, singing out the name of everything that crossed their path - birds, animals, plants, rocks, waterholes - and so singing the world into existence."''
http://en.wikipedia.org/wiki/Songlines
«Le Chant des pistes» de Bruce Chatwin a été traduit par Jacques Chabert (éditions Le livre de poche et Grasset)
0 notes
lazonedesilence · 12 years ago
Photo
Tumblr media
Un soir d'hiver sur le parvis du Centre Pompidou, Paris. Se soustraire au monde ou mieux s'y retrouver. photo © alain walther
0 notes
lazonedesilence · 12 years ago
Photo
Tumblr media
Artist today. Artiste aujourd'hui. Dessin © Dan Perjovschi.
3 notes · View notes
lazonedesilence · 12 years ago
Photo
Tumblr media
Aurore | 5h10
5 notes · View notes