Ma définition du triathlon ? Nager pour rouler, rouler pour courir, courir pour finir ! Suivez ici mon quotidien de triathlète. Jusqu'à l'Ironman.
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Retour sur cet Ironman
Il est 6h55. Je vais rentrer dans l’eau. Je pense. La sono balance un bon AC/DC des familles à toute berzingue. Je sais que dans quelques minutes, le départ sera donné. Je vais me placer près du bord, il y a moins de monde.
Ma famille est au bord de l'eau. Ma fille s'est levée à 5h du matin pour m'encourager. La veille, mon fils finissait son 1er triathlon. Il n'a pas fait une grosse performance mais il a ouvert le bal : je n'ai plus qu'à le suivre.
L'eau est à 20 degré ; il fait bon. L'atmosphère est bizarre. Le climat est porteur de belle performance et d'histoires.
Les copains ont voulu participé à la fête. 3 concourent en relais. Les plus forts du club dans leur catégorie. Je suivrai leur course à distance, ils jouent la gagne. Ils gagneront. Le speaker s'emballe. Les poils s'hérissent. Ca continue de turbiner. Les efforts des derniers mois, les sacrifices, les doutes, tout y passe... La journée sera belle en émotion.
Bam ! C'est parti ! Le départ de mon 1er Ironman est donné. Je démarre tranquillement, il faut rapidement poser ma nage en alternant 3 et 4 temps. L'eau est clair. On voit la corde sous l'eau qui aligne les bouées dans ce bassin d'aviron. Il suffit de la suivre. Rapidement un groupe se détache. Ils finiront en 1h. Je ne fais pas l'effort pour aller les chercher, je reste sur mon rythme. J'ai mal placé la combinaison. Elle me frotte le cou et je sens rapidement une brulure venir. Mais je n'y prête pas attention. Rien ne gâchera ma journée.
J'entends les sirènes et je vois mon pote Mascot partir sur la partie vélo encadré par 3 motos. Il va vivre un truc de dingue, je suis trop content pour lui... Micky est sorti en tête de l'eau en moins de 55'... Mascot tiendra la tête au scratch pendant 50km...
Je sors en 1h11, j'avais noté 1h10 comme objectif... Je suis dans les clous, même si encore une fois en dedans par rapport à ce que j'envoie en piscine.
Je sors de l’eau, je marche, je savoure, j’embrasse mes enfants. Je me change complètement. Je mets une tenue cycliste car j'ai autour de 6h à faire. Je veux être confort.
Je démarre au cardio. Je ne dois pas dépasser 140 en moyenne. Pour ce 1er IM, je veux maitriser et finir. Je mange très vite et me concentre. Je passe le 1er tour en 1h30, le second en 1h31.
Je suis bien, dans mes temps avec le chrono dans les clous. Le 3ème tour est plus difficile : il pleut et le vent se lève, j'ai froid. J'essaye de manger régulièrement. Je le boucle en 1h36. Le dernier tour est le plus dur, le vent s'est un peu levé et à l'inverse du tour précédent, cette fois ci, j'ai chaud. Je perds du temps vent de face, mais je reste concentré, je vais bientôt partir à pied...Je termine ce dernier tout en 1h39 et boucle donc les 180km de vélo en 6h16. A plus de 29 de moyenne, c'est pas si mal.
Je ne cours pas lors de la transition. Je cherche ma famille et les copains qui m'attendent à la sortie du parc à vélo. Je me change tranquillement. Je mets une tenue de running complète. J'ai un peu mal aux jambes, je sais que le marathon va être dur. Je trouve mes enfants, je les embrasse. Je salue les copains qui m’encouragent.
C’est parti pour un marathon épique.
Dès les premiers kilomètres, je sens que ca va être beaucoup plus compliqué qu’imaginé. Les jambes sont très durs et les genoux ne m'ont laissé aucun répit. Le 1er tour passe dans les clous de mes temps habituels, je passe en 1h10. Avec les arrêts ravitos, ca me fait un marathon en moins de 5h.
Je n'ai pas d'objectif de temps et je ne peux pas m’empêcher calculer. Le 2nd tour est déjà plus ardue, je passe le semi en 2h30... Aie...
Et puis c'est un peu l'explosion. Je marche beaucoup trop, il fait chaud, ca tape, le temps devient long.
J'arrive au 25e, Mascot vient à ma rencontre, me parle, me passe Toto au téléphone, c'est dur, mais j'alterne course et marche... Tout le monde m'attends au prochain ravito. Il reste 14 kilomètres. Je suis sec.
Ma fille me dit "papa tu n'abandonnes pas hein". Non, je n'y ai jamais songé pendant cette course, j'irai au bout. Je repars boosté.
Tout le monde m'accompagne 2 ou 300 mètres, le meilleur moment de la journée... avant un dernier tour à 80% de marche. Je ne sais plus plier les jambes.
J'arrive au 34è. A nouveau, Mascot vient me voir et m'accompagne jusqu'au dernier ravito. Il reste 4 kilomètres, je suis complètement hagard. Il y a une dizaine de personnes : tout le monde m'encourage. Bastian veut finir avec moi.
J'ai les larmes aux yeux. Il reste 4 bornes. Je sais que j'irai au bout mais l'émotion me submerge... Je repars, je pleure, de joie. J'ai une putain de chance de pouvoir vivre ces instants, de réaliser un exploit et rêve physique et mental à la portée de peu de monde...Une incroyable chance de partager ces instants. Je profite, je savoure, je pense. Ces instants seront gravés à jamais.
Il reste 500m. Je vois l'arrivée. Le chemin a été difficile, long. J'ai réussi. Je suis en train de sprinter, un sourire de gosse au visage. Les larmes coulent mais je me ressaisie. Je sais que mes enfants m'attendent pour passer la ligne avec moi mais je leur réserve une surprise...
13h30 de course. Vu les conditions et la fin de préparation devenue difficile, ce temps est une anecdote. Je suis heureux. Je suis Ironman.
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Ironman finisher !!
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Ironman J-2 !!
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L'important ce n'est pas le sommet, l'important c'est le chemin pour y parvenir !
Dans moins de 10 jours, je serai au départ d'un Ironman. L'épreuve reine du triathlon - aussi bien physique que mentale - comprend 3,8 kilomètres de natation, 180 kilomètres de vélo et 42 kilomètres de course à pied. Je prépare cet objectif depuis des mois. J'ai couru cet hiver dans le froid et la neige ou très récemment sous des chaleurs insupportables. J'ai roulé sous la pluie, parfois à la limite du gel, en groupe avec des copains mais la plupart du temps seul en résistant à la tentation de rentrer chez moi. Enfin j'ai nagé, souvent très tôt le matin ou le midi le ventre vide, les yeux qui piquent et la peau qui sent le chlore. Je me suis même un peu blessé et j'ai eu mal à peu près partout. Tout cela en vivant mon triple projet de vie : familiale, sportif et professionnel : en composant au mieux avec ma famille que je veux voir tous les jours et mon travail qui réclame investissement. J'ai longtemps considéré que la réalisation d'objectifs de vie, voire de défis souvent insurmontables était essentiel pour s'épanouir. Pendant des années, cela a occupé mes pensées et orienté beaucoup de mes actions. J'ai toujours voulu faire plus juste, plus loin, plus fort que ce que je venais d'accomplir. Sans finalement et simplement apprécier l'instant. Sans jamais en avoir assez. L'esprit de l'escalier de Diderot ramené à l'action ou la recherche perpétuelle du bonheur et de l'accomplissement dans la pyramide de Maslow ? Je me trompais. Peu importe ce qui se passera le 2 juillet, que l'épreuve soir difficile, douloureuse, froide, venteuse ou sous la canicule. Peu importe cette course d'un jour et ses conditions, voire même de la finir. Tout cela est secondaire. J'ai apprécié chaque moment et profité de chaque instant. J'ai fait des rencontres. J'ai partagé des choses avec les gens que j'aime, avec mes amis, avec les autres, J'ai douté parfois, eu peur de l'échec souvent. Mais j'ai aussi reçu tellement d’encouragements. J’ai beaucoup gagné en confiance et sérénité. Je suis heureux et fier d'être là où je suis et d'avoir fait ce chemin jusqu'ici.
Il n’y a pas de victoires et de succès. Ce n'est pas l'essentiel. Il y a des quêtes et des partages. Qui se vivent et qui rendent heureux.
L'important ce n'est pas d’arriver au sommet, l'important c'est le chemin pour y parvenir.
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Weekly Debrief #32 et #33
Fin de préparation aux fraises... ou pas :)
On ne pourra pas dire qu'elle n'a pas été compliquée ces dernières semaines ! Être papa c'est aussi subir les aléas du quotidien : mon loulou a été hospitalisé suite à des douleurs au ventre. Difficile dans ces conditions de maintenir une charge élevée, mais j'ai à peu près tenu. Au prix d'une fatigue qui est de plus en plus présente, mais c'est aussi le jeu.
Le genou va mieux, j'ai pu reprendre la cap sans douleur. Je n'ai pas allongé dans l'eau. Je considère que j'ai la caisse et le niveau pour avaler la distance et sortir sans être trop entamé. J'ai concentré mon temps et mon énergie sur le vélo. Beaucoup d'heures de selles donc ces 2 dernières semaines avec particulièrement 3 sorties en longueur : une sortie de 6h pour approcher les 180 km, une sortie de 7h20 pour le mental, sortie difficile face au vent et une sortie de 4h avec 50' de cap enchainé sous grosse chaleur mais sans trop de difficultés.
De bonnes séquences à vélo s’enchainent. Une anecdote que j’ai envie de partager :après 150km sur une sortie de 6h, je suis en route autour de 27/28km/h pour rentrer 😩. Je me fais doubler par 2 triathlètes en position chrono qui se retournent plusieurs fois comme pour me provoquer 🙄. Ils prennent une centaine de mètres et continuent un peu à me narguer 😜. Je décide d’aller les chercher 😬. Je prends le meilleur temps de l’année sur ce segment strava 😎 (5ème temps en histo). Et pour la petite histoire, je les rejoins 😇
J'arrive quasiment au terme de ma préparation Ironman. Il reste un gros bloc de 5 jours avant 2 semaines pour récupérer. Encore du travail, mais je suis confiant. C'est cool ;)
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Aux soins en mai.
Cryo et laser. Retapé en 3/4 séances 🤘
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Weekly Debrief #31
Que c'est dur ! Mais j'y crois.
Physiquement, je suis aux soins : kiné, massage, étirement, étude podologie... Moralement, je suis touché. Les 2 semaines qui viennent de passer devaient me voir confirmer le volume à pied. Le genou - gauche cette fois ci - étant douloureux, j'ai préféré stopper et attendre une dizaine de jours et quelques séances de physiologie avant de reprendre doucement. Je sais d'avance que la partie cap sera très compliqué. Le WE de l'Ascension était synonyme de reprise et l'occasion d'une seconde épreuve test de préparation. WE chargé en famille et avec les copains du côté de Pont Audemer. Inscrit sur le triathlon M (1500m de nage, 40km de vélo, 10 km de cap), je m'y suis aligné avec beaucoup d'envie et de motivation.
J'étais bien, à l'aise, pas trop tendu, sans douleur, en forme... Je sors de l'eau à peu près dans mes temps (29')
Mais cette fois ci, je joue de malchance avec une double crevaison dès le début du parcours vélo sur lequel j'avais beaucoup d'ambition.
Je crève au 8ème, j'étais à 36km/h de moyenne, je roulais fort...
Contraint encore une fois à l'abandon, je n'ai pu m'exprimer sur un terrain plat qui m'était complètement favorable.
Le moral est donc fluctuant. Clairement frustré de ce WE, inquiet sur la suite du plan. Il ne reste qu'un bloc de 3 semaines de préparation. C'est le moment clé. Il va falloir le charger avec 15h à 20h d'entrainement par semaine avant une période de récupération et l'Ironman le 2 juillet. J'ai une famille qui m'apporte du soutien et du réconfort dans cette période, des copains qui me poussent. J'y crois.
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Weekly Debrief #30
La période n'est pas simple. Médecin, kiné, spécialiste de la biomécanique, podologue, changement de réglages, renforcement musculaire avec élastique, cryothérapie, massage, gainage... . Je mets tout en oeuvre pour soigner ce genou et pour anticiper toute éventuelle rechute. Visiblement, je me suis fais une torsion du genou gauche qui a inflammé tout le côté gauche. Repos en course à pied pendant quelques jours. Je me laisse jusque dimanche prochain, j'ai une compet avec les copains, pour décider ce que je fais. Le moral est moyen mais c'est la vie. Pour résumé : 2 séances de nage pour 1H50 et 5,25km 1 séance de 2300m mercredi soir pour en travail pull plaquette (force). 1 séance de 400m pour 2850m samedi midi pour faire un peu de long. Ca va toujours aussi bien dans l'eau (enfin en piscine...) Pas de séance de cap. Genou en indélicatesse. 1 séance à vélo pour 4h35 et 138km Une sortie longue à vélo pour remettre le pied à l'étrier. Belle sortie que j'encaisse plutôt pas mal. Va falloir en enchainer quelques unes d'ici 1 mois. Au total : 3 séances pour 6h25 d'entrainement. Semaine à suivre décisive pour décider ou non de m'aligner sur l'Ironman.
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Retour sur cet abandon
Je n'ai pas souvent abandonné dans ma vie. Je suis plutôt un lache-rien. Ca m'a joué des tours plus d'une fois. Insister, forcer, contraindre n'amène jamais rien de bon. Au contraire, j'ai appris que cela repoussait les autres, repoussait la forme, repoussait la performance. J'ai souvent perdu en agissant de la sorte. Il faut savoir renoncer pour apprendre, s'incliner pour mieux se connaître et revenir plus tard, mieux armé pour réussir. Pourtant, je ne peux cacher ma déception d'avoir abandonné. Je suis arrivé sur cette épreuve test avec un beau volume d'entrainement sur les 6 derniers mois : 600 km à pied, 3500 km à vélo, 100 km de natation avec tous les sacrifices que cet entrainement exige : se lever très tôt pour aller dans l'eau, ou courir, courir ou rouler sous la pluie ou dans le froid, manger différemment, etc... La préparation d'un Ironman est une aventure humaine et personnelle sans équivalent. L'engagement, l'investissement et le don de soi sont autant de valeurs à savoir mettre en avant pour, jour après jour, réussir à passer chaque étape.
Il faisait froid avant de rentrer dans une eau à 12 ou 13 degré. Et même si chaque athlète était traité à la même enseigne, chacun gère comme il peut. Je ne supporte ni le trop chaud, ni le trop froid. Le froid me tétanise, me crispe, me bloque. Je suis arrivé tard sur le départ et à peine entré dans l'eau, le pistolet a retenti. Je suis parti sur le côté gauche du canal pour éviter les coups. J'en ai pris tout de même. Beaucoup. Dès 200m, j'étais asphyxié, gelé, en panique : trop de monde, trop de bruit, trop de coups... Mais qu'est ce que je faisais là ?! Je n'ai pas réussi à poser une nage normale. Je suis resté en 2 temps. Je n'ai pas bénéficié du gain du port de la combi ni d'ailleurs du courant favorable pendant 1200m. Je sors de l'eau en 35'. Alors que je vaux moins de 30'. Loin des premiers, loin de mes temps en piscine, loin de ce que je peux attendre de moi sur cette partie. Je suis capable de sortir dans le top 30. J'ai la nage pour cela. Pourquoi je n'y arrive pas ? La transition n'est pas rapide mais c'est anecdotique. Il commence à pleuvoir, je ne sens plus mes orteils. J'ai froid. Mais j'ai progressé à vélo. J'ai beaucoup investi de temps en home trainer cet hiver, le matin tôt ou le soir. J'ai multiplié les sorties longues pour me faire les cuisses. Ca va bien se passer. Il pleut. Fort. J'attire le mauvais temps. Je suis trempé sur la première demi heure mais pourtant j'avale les 30 premiers km à 33 de moyenne. J'allais oublier que le dénivelé mais surtout le vent allait me contrarier. Je n'ai pas osé augmenter le cardio. Et le genou s'y mettra. J’ai mal à la tête. 2 difficultés au programme, la première pas trop méchante, je la passe bien. La seconde déjà plus ardue mais j'ai bouffé de la côte cet hiver. Le plateau entre les 2 côtes vents de face est usant. Démotivant. Harassant. Je me plains. Trop. Pourquoi je ne profite pas de l'instant ?! Le second tour est plus compliqué, la pluie devient franchement désagréable, la route boueuse est dangereuse par endroit et je commence à avoir mal au genou. En fait, pleins d'excuses : je n'y suis pas comme je voudrais y être. Ce corps que je contrarie depuis des mois ne veut pas. Il résiste. Je finis les 90 km sur un petit 30 à l'heure. Déçu.
Je descend du vélo, complète la transition tranquillement. J'ai un peu mal au genou mais je pense réussir à gérer. Tu parles !! Je démarre sur le bon rythme : 11km/h. J'ai préparé ce tempo. J'ai encaissé 20km il y a 15 jours à ce rythme. J'ai avalé mes sorties longues à cette allure. Je vais tenir. Je vais passer. Et ca fonctionne bien pendant 5 km. je me sens bien. J'ai la caisse. Pas le genou. J'ai mal. Dois-je forcer ? Dois-je aller au bout au risque de me blesser ? Depuis plusieurs années, je gère des douleurs au genou droit. Cette fois ci c'est le gauche. Je suis fragile physiquement. Mais mentalement aussi. Je lâche. Trop vite. Quelle belle leçon... J'abandonne entre le 9ème et 12ème. J'ai les larmes aux yeux. Les dents serrés. La gorge nouée. Le regard noir. Comment vais-je réussir à aller au bout d’un Ironman si je ne parviens pas à finir la demi distance ? Ca turbine dans ma tête. Il se remet à pleuvoir. Je suis trempé, j'ai froid. J'ai mal au genou. Mais je veux finir un Ironman ! Je dois chasser ces pensées limitantes, ces freins dans ma tête. Et pendant les 5 kilomètres que je marche jusqu’à l’arrivée pour jeter mon dossard, je me parle. Beaucoup.
Le genou ? Soigne le ! Tes paniques dans l'eau ? Gère les ! Vide ta tête et nage. Sans te poser de question. La peur d'aller au bout ? De réussir ? Ta peur de souffrir et de te vider complètement ? Tu pensais le chemin facile ? Crois en toi, avance, fonce. Tu prépares cette épreuve, ce défi depuis des mois.Tu as beaucoup sacrifié. Il y a toujours du bon à retirer du mauvais. Tu vas rebondir et y arriver. Greg, tiens bon, lâche toi et deviens un Ironman !
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En plein doute...
Une nage en dedans même si je suis à peu de chose près dans mes temps... Un vélo sous des conditions météo éprouvantes : de la pluie, du vent, de la chaleur alternée avec du froid... mon genou gauche tire... Une cap qui démarre plutôt bien mais le genou gauche gonfle. Je bâche entre le 9e et le 12e. Suis déçu et en plein doute. Comment envisager le double ?
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Gros test ce dimanche
Je m’aligne sur le triathlon distance half ironman à Compiègne : 1900m de nage, 90km de vélo et 21km de course à pied. J’espère que cela va bien se passer.
Pour suivre ma course : http://chronoweb.com/smartphone.html
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Vélo en réparation = vélo de remplacement.
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Weekly Debrief #28
Travailler sur la fatigue...
Après les émotions de dimanche, il fallait reprendre le chemin de l'entrainement. Le lundi commençait fort avec une sortie longue de 20 km à pied qui allait me mettre bien à plat toute la semaine. 2 journées d'enchainements inversés étaient prévues avec du volume à vélo. Bref, cette semaine sera synonyme de travail sur de la fatigue générale.
Pour résumé :
2 séances de nage pour 1h30 et 4,6km Ca manque de grosse séance et il va falloir ne pas tarder à allonger. 2 séances cette semaine : 2km mercredi midi avec plus d'1km en plaquettes. Une séance de 2,5km en gros rythme (1'38 aux 100)
4 séances à pied pour 3h40 et 37km Grosse semaine à pied avec quasi 40 km. Une sortie test de 20 km en 2h a relancé les douleurs au genou droit. 2 footing lents de 40/45' en matinée avec 2 sorties vélo. 1 sortie de 15' à 12km/h en enchainement après le vélo.
3 séances de vélo pour 7h20 et 220 km Une belle séance en solo de 90km dans la Pévèle Une séance de résistance de 60km à 33km/h Une séance avec 2 copains de 75km. Au total : 9 séances pour 12h36 d'entrainement Beaucoup de fatigue cette semaine mais le volume est intéressant et fera progresser. A venir le 1er gros test avant l'Ironman : un hal Ironman à Compiègne : 1900m de nage, 90 km de vélo et 21 km de cap.
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Weekly Debrief #27
Parfois ça termine en queue de poire...
Volume limité cette semaine malgré un programme du WE chargé mais parfois les événements en décident autrement...Alors que tout se déroulait à merveille, un de mes potes s'est fait renverser par une voiture qui a refusé une priorité à vive allure. J'étais derrière lui et j'ai été très secoué par la violence de l'impact. Comme dans un film. Guillaume s'est fait envoler, a tapé le pare brise qui s'est brisé et a été projeté à quelques mètres. J'ai eu très peur. Cet accident m'a calmé. Je suis rentré dans la foulée après 80 km au lieu des 180 prévus...
Pour résumé :
3 séances de nage pour 2h30 et 6,7km Une séance matinale pour lancer la semaine en souplesse.Une grosse séance de 3,3km pour allonger et donner du rythme.Et enfin 30' en mode BTD (voir plus loin)
2 séances à pied pour 1h45 et 18,6km Une séance de fractionné pour 3 * 7 * 30/30 mais le cardio a eu du mal a monter.10km allure LD en mode BTD (voir plus loin)
2 séances de spad pour 4h et 123km Une séance autour de 80 km le dimanche. 180 prévus mais raccourci en raison de l'accident.Une séance de plus de 40 km à 32km/h en mode BTD (voir plus loin)
BTD : un samedi avec un triathlon en mode entrainement avec les copains : 30' de nage (pour moi 1750m) 43km de vélo en 1h20 10 km de cap en 55'
Au total : 7 séances pour 8h15 d'entrainement
A venir : une grosse sortie à pied dès lundi et plusieurs enchainements inversés.Avec prudence.
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April come it will
Chaque mois, je fais un point quanti sur mon entrainement. Pour le quali et l’analyse, ça se passe en Archives avec les articles #Weeklydebrief publiés chaque semaine.
Réalisés en Avril : Nombre de séances : 34 Nombre de jours sans sport : 8 Natation : 9 séances pour 7h30 et 20 km Bike : 13 séances pour 28h45 et 810 km Course à pied : 12 séances pour 11h et 114 km
Volume total : 34 séances pour 47h d’entrainement
Moins de volume dans l’eau, la piscine a été fermée 10 jours.
20% de volume en plus en vélo et à pied (je dépasse les 100km).
Plusieurs enchainements permettent de travailler les adaptations musculaires.
Mai sera fou...
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Weekly Debrief #26
Quelle semaine de sport... encore :)
Gros volume d'entrainement cette semaine avec 2 rendez-vous clé : une sortie d'1h45 à pied et une séance de 120km de vélo suivi d'un enchainement à pied. Tout s'est bien passé même si j'ai mal aux jambes.
Que ce soit en volume encaissé qu'en intensité, je progresse dans les 3 disciplines. Je suis dans les clous pour le moment dans une période d'entrainement spécifique. Tout se joue ces prochaines semaines avec une succession de gros WE à passer. Pour résumé : 2 séances de nage pour 1h30 et 4,5 km Pas de travail de qualité. Reprise après 10 jours OFF suite à la fermeture de la piscine pour vidange. La seconde séance s'est faite en enchainement inversé après 85km de vélo avec 3 * 800m. 3 séances à pied pour 3h et 30km Je stabilise la distance hebdomadaire à 30km. > Une sortie longue d'1h45 passée sans blessure et sans fatigue excessive. > Une séance de 20' pour enchainer après 120 km de vélo. J’ai fait comme j’ai pu... > Une séance de footing samedi après midi pour un peu plus de 50' (le matin 90km de vélo et 2,3km de nage). Mal aux jambes, besoin d'étirement notamment, mais ça passe sans blessures... 4 sorties en vélo pour 8h45 et 235km Augmentation nette du volume à vélo. > Une sortie calme d'une heure pour tourner les jambes. > Une longue sortie de 120 km pour aller chercher de la côte vers le Mont de l'Enclus (1000 D+) > Une sortie de rythme avec les copains pour 85km > Et enfin, une courte session de 15' pour décrasser des sorties précédentes.
Au total : 9 séances pour 13H15 d'entrainement Fin de ce cycle de 3 semaines avec montée en volume (S1 : 10h30, S2 : 11h10 et S3 : 13H15). Je vais me reposer pendant 2 jiours et limiter le volume cette semaine avec un énorme WE prévu avec mon club : > Un Big Training Day (BTD) samedi après midi : 2000 / 70 / 10 > Une sortie longue à vélo dimanche : 180km > 20 km à pied en mode sortie longue.
Ca va encore bombarder !!!
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Weekly Debrief #25
2/3 du plan et le plus dur reste à venir…
Comment commencer un billet sans les mêmes mots/maux semaine après semaine ? Le temps défile, les séances s'enchaînement et les douleurs m'enchainent. Mais ça tient. Parfois l'impression d'être à la limite de la blessure ou de la fatigue durable. Mais ça vient.
Plusieurs semaines désormais avec un volume supérieur à 10h d'entrainement. Je tiens le bon bout. Une semaine plus chargée en vélo et à pied.
Pour résumé :
Pas de natation : piscine fermée. 4 sorties à pied pour 3h18 et 33,6km
> Une séance de 20’ à 12km/h en enchainement après une séance de vélo de 70km. > Une sortie footing en endurance fondamentale pour 1h10. > Une séance de fractionné sur piste avec au coeur 6*400 et 4*200 > Et enfin une dernière séance de 45’ en footing l'après midi d'une belle séance en vélo Ca pique mais ça passe.
3 séances de vélo pour 7h50 et 215km 3 sorties de 70km pour augmenter le temps passé sur le vélo sans y passer une seule journée. Au total : 7 séances pour 11h10 d'entrainement Plus de 11H de sport sans natation. Les jambes sont douloureuses mais il va falloir gérer la semaine qui arrive avec 2 grosses séances à pied (1h45) et à vélo (120km - 1000 D+). A suivre…
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