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- Découverte - TETRA

TETRA : Imprimeur & éditeur

TETRA est une maison d’édition ayant pour but de promouvoir les techniques d’impressions dites traditionnelles, loin de l’académisme dont elles font souvent l’objet. Pour ce faire, de nombreux ateliers et appels à projets ont régulièrement la part belle aux gravures sur ce matériel bien singulier qu’est le tetra-pak (intérieur des briques de lait), donnant ainsi son nom à l’édition.

Menée depuis 2013 par Mathilde Payen, l’association a depuis sorti de nombreux livres, et possède maintenant un large catalogue, allant de la bande-dessinée au jeu de tarot, en passant par l’estampe originale.

Le coup de coeur de la galerie : Flash

Bienvenue au salon de tatouages ! FLASH nous accueille comme un futur tatoué à travers ses pages de gravures sur tetra-pak.

Onze artistes tatoueurs ont travaillé leurs meilleures pièces maîtresses pour achever de retirer toute hésitation de notre esprit indécis. Citons par exemple le génial Encre Mécanique, le truculent Big Cyrus, la flamboyante Kim Tran, ou encore l’inénarrable Boxing Tattoo, la sublime Béatrice Myself et taquin Piet du Congo. N’oublions pas non plus le royal Joe Moo, la surprenante Jeanne Smith et la fantasque Julia McClane. Et ça serait oublier un peu trop vite la mirifique Lomé Lu et l’incommensurable KKR. Tout ce beau monde s’est plié en quatre pour nous offrir le meilleur tattoo possible. 

Dernières sorties

Mars 2016, FLASH - Recueil d’images gravées par 11 tatoueurs

Janvier 2016, L’ORACLE COSMIQUE - Jeu de tarot divinatoire, 62 cartes et auteurs différents

Janvier 2016, GARDE-ROBE - Collection éclair n°3 : vêtements fantasmés, par Céline Guichard

Octobre 2015, PAVILLONS - Maisons, propriétés et autres domiciles, par Mai-Li Bernard

Juin 2015, DERNIÈRE PLUME - Collection éclair n°2 : un conte écrit et illustré par Carlotta Constanzi

Juin 2015, BAUBO - Collection éclair n°1 : une bande-dessinée d’Iris Pouy

Janvier 2015, LE JEU - Une  bande-dessinée d’adulte obscure, par Liberty Azenstarck Mai-Li Bernard

Janvier 2015, SOUS LA COUETTE ET AUTRES FACÉTIES - Maximes des arts du lit, par Shyle Zalewski

Août 2014, TETRA #2 - Recueil de gravure sur tetra-pak aux sujets libres, par 74 auteurs différents

Contact et liens

Le site : http://cargocollective.com/tetraeditions/

Mail : grandtetra@live.fr

Facebook  : http://www.facebook.com/tetraeditions/

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- Découverte - Mathilde Payen

Mathilde Payen est diplômée de l'EESI d'Angoulême et dirige TETRA, maison d'édition qui diffuse en partie ses estampes et bandes-dessinées gravées.

Dans différents ateliers, Mathilde s'initie à la lithographie, la sérigraphie et la gravure. Le statut de l'estampe a changé : ces techniques ne sont plus nécessairement académiques, seul le procédé de création et son esthétique importent.

TETRA vise à faire découvrir la taille-douce lors d'ateliers d'initiation pour le grand public. Mathilde accompagne les artistes dans la réalisation d'un livre en gravure sur Tetra Pak (brique de lait). Bandes-dessinées et gravure ne sont pas incompatibles, et le Tetra Pak permet de travailler plus vite et à moindre coût. C'est aussi un support avec ses propres avantages graphiques. Cette démarche éditoriale est liée à son travail. 

Dans ses estampes toujours narratives, ses histoires longues, ses volumes de papier ou de terre, Mathilde emprunte une imagerie populaire : roman rose, summer movies, icônes religieuses, mythes issus de l'imaginaire collectif et autres love stories.  Elle aime les dépoussiérer et jouer avec les codes, frôlant le kitsch parfois. Hommages respectueux à ces thèmes communs, sublimant l'accessible, tout comme les techniques de gravures qu'elle utilise.

Ses prochains événements : 

- à partir du 2 septembre à la Maison Fumetti à Nantes, exposition TETRA et autres collectifs

- 8/9 octobre, expo-atelier avec le groupe Edam Edam au festival Microscopie à Lille

- 28/29/30 octobre, Tetra au festival Quai des bulles à Saint-Malo

- Exposition à l'atelier Meraki le 4/5/6 novembre, à Paris

Suivez l’actualité de TETRA sur sa page Facebook !

Expositions 

- mars 2016, TETRA expose à Arts Factory, Paris

- avril 2015, Exposition collective «Faune & Gravure», Lille

- juillet 2015, TETRA expose à Arts Factory, Paris

- 2014, Exposition collective à la Galerie 115, Saint-Quentin

Editions

Publications chez Pantypop, Le Bouc, Soldes Almanach, EENC, Matière Grasse et Tetra

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Les découvertes de la galerie Garby’s

La galerie Garby's est née d'une réflexion autour de la personne du collectionneur et, surtout, de l'espace qu'il habite.

L'appartement du collectionneur reflète à la fois les longues obsessions et les fantaisies fugaces de son propriétaire, le vouant à une évolution constante : il devient ainsi un espace de contradictions, éclectique et iconoclaste, à l'image du collectionneur qui refuse de se dédier entièrement à une seule forme d'art.

Les espaces de la galerie Garby's en plein coeur de Saint-Germain-des-Prés visent précisément à garder cette atmosphère, où se mélangent allègrement mobilier vintage, street art, photographies...   La fréquence de nos expositions - généralement deux par mois - contribue également à entretenir cette philosophie.

Forte d'une curiosité incessante, la galerie Garby's permet ainsi à toutes les formes d'art de s'exprimer et s'intéresse précisément à la scène artistique émergente.

La publication régulière d'articles "Découverte" sur le blog de la galerie s'inscrit ainsi dans cette démarche, permettant à la galerie Garby's de partager avec son public et ses clients ses derniers coups de coeur artistiques.

Nous encourageons donc les artistes de tout genre à nous faire parvenir leur oeuvre et biographie par mail (galeriegarbys@gmail.com) afin de leur fournir un espace d'expression sur le blog de la galerie Garby's.

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- Rencontre - Le Scampi Club

La galerie Garby's a rencontré le Scampi Club, association culturelle et militante visant à promouvoir la jeune création invisibilisée, qui nous a parlé de leur philosophie, de leurs projets et de leurs prochains événements.

Illustration par Elisa McGregor

Qui est le Scampi Club ?  

Pour le moment, on est quatre filles évoluant dans les mêmes domaines (histoire de l'art, illustration, photographie et mode) et on se rend compte un peu des mêmes choses : parfois, on voit des événements qui peuvent être intéressants, mais on aimerait les développer différemment. On avait besoin de trouver notre place dans ce milieu culturel de manière indépendante et qui ne soit pas forcément professionnelle. On propose des adhésions, les gens sont libres de venir participer aux réunions ou aux projets ! On aimerait bien aussi permettre que ça grandisse, que ce ne soit pas seulement du soutien financier en adhérant. Le statut d'association nous a permis de toucher des subventions, notamment de la ville de Paris, ce qui nous permet de rémunérer les artistes, financer le matériel etc. Maintenant, la question se pose de savoir si on peut fonctionner à un plus grand nombre, à une plus grande échelle.

Quel est le but des événements du Scampi ?

Le but, c'est de parler de thématiques militantes, faire quelque chose de fun, d'accessible et pédagogique, mais toujours en ayant un contenu intéressant et pertinent. C'est vraiment la volonté de créer des choses un peu différentes, qui ne soient pas articulées forcément autour des arts plastiques, présenter des artisans, créer une visibilité, pas forcément créer de l'achat, mais d'essayer de créer un réseau public, plutôt qu'un réseau professionnel de base. L'idée est de solliciter des gens qui n'ont pas l'occasion, ou même pas l'idée de présenter leurs travaux sur une thématique particulière. L'idée est aussi peut-être de donner une première approche de choses qui semblent un peu évidentes et qui permettraient de construire le vivre ensemble de manière plus agréable et plus fluide ! Le but, c'est d'ouvrir le dialogue, de montrer des choses.

Promouvoir des artistes et artisans en position non-dominante sur le marché de l'art est un vaste combat. C'est pas trop dur de commencer avec un tel objectif ?

C'est un gros morceau ! On fait ça petit à petit, à notre échelle, ce qui n'est pas nécessairement évident car nos appels à projets ont parfois du mal à s'étendre au delà de nos cercles d'amis. Pour le premier événement "F-WORD : Girls Get Stuff Done" au Supersonic, on n'estimait pas encore avoir la légitimité d'aller directement recruter des artistes non-dominants. On essaie de créer des choses, qui grandiront ensuite avec d'autres partenaires, d'autres adhérents. On est vraiment en développement pour le moment. C'est hyper motivant ! On ne s'imaginait pas ne pas faire quelque chose d'inclusif parce que ça n'aurait pas collé à notre vision des choses.

Comment organisez-vous ces événements ?

Pour l'instant, on a un schéma d'exposition : expo - musique - DJ set, on essaie de faire quelque chose de complet. On fonctionne par thématique, et par appels à projets. On se veut le plus inclusif possible. On reçoit pas mal de réponses. On espère que ça va augmenter, qu'elles soient très différentes, et qu'elles viennent de gens de tout horizon, de tout âge ! On garde les propositions qui correspondent au thème et qui marchent bien ensemble. Ça va aussi dépendre du débit d'expositions qu'on peut avoir. Par exemple, la première au Supersonic avait pris du temps, on avait carte blanche. Peut-être qu'on en fera deux par an par thématique, et peut-être selon les propositions qu'on reçoit par des lieux.

Votre prochain événement ?

La soirée du vendredi 10 juin au Supersonic est une soirée axée sur le body positivisme qui n'est pas seulement féministe mais qui concerne bien tout le monde ! On a deux concerts avec Soulyem et Gagoug et un DJ set de Britney Witch et on organise une fresque participative sur le thème du body positive. Tout le monde pourra participer. On a aussi invité des illustrateurs, des artistes qui vont venir commencer la fresque, et ensuite, tout le monde est invité à venir dessiner et à travailler avec eux. Il y aura aussi Diane du blog Sexy souciS qui viendra animer des jeux : on aura une magnifique grande roue des zones érogènes, et y a des cadeaux à gagner ! Il faut que ça reste toujours un peu fun et léger. Cette soirée présente un petit défi en plus : concurrencer l'Euro 2016 !

Pourquoi avoir choisi le thème du body positivisme ?

C'est hyper important, déjà pour son rapport à soi, d'être bien dans son corps pour être avec les autres. Après, ça permettait aussi d'organiser une soirée un peu plage ! Mais, c'est vrai que tu as le marronnier typique de la presse deux mois avant l'été, "il reste peu de temps pour rentrer dans le superbe petit maillot de bain que porte la fille de la couverture qui est vendu en page 40" ! On n'a pas grandi avec une génération où on pouvait voir plein de beautés différentes et c'est ça qui est important de promouvoir aussi, de montrer qu'il n'y pas que ça et qu'il y a des nanas différentes de la publicité que tu vois en 4 x 3 toute la journée. C'est des choses qui sont évidentes, mais pas pour tout le monde.

Les futurs projets du Scampi Club ?

On va faire une pause cet été et bien reprendre au mois de septembre. On réfléchit pas mal à l'auto-édition qui permettrait de faire grandir Scampi. On était parties pour parler de sexualité pour la prochaine grosse expo, on aimerait bien mettre en place des trucs un peu pédagogiques, comme un atelier de consentement par exemple. Il y a plein de choses à dire, à apprendre et on peut le faire de manière très pédagogique, très accessible et même un peu drôle, même si ça reste quand même très sérieux. C'est gros, c'est large, ça s'applique à tout le monde.

Vous pouvez retrouver l’actualité du Scampi Club sur leur page Facebook. 

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- PRESSE - La galerie Garby's citée dans La Gazette Drouot à l'occasion des "7 jours à Paris" ! Nous présenterons l'exposition ELLE PARLE de Damien Brunel Taranto le jeudi 2 juin dès 18h au 40 rue Mazarine, en partenariat avec Art Saint-Germain-des-Prés.

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- PRESSE - Les "7 jours à Paris" dans Beaux-Arts Magazine, n° 384, juin 2016, p. 138 La galerie Garby's présentera l'exposition "ELLE PARLE" de l'artiste Damien Brunel Taranto le 2 juin en partenariat avec Art Saint-Germain-des-prés, dans le cadre des "7 jours à Paris".

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- PRESSE - Les "7 jours à Paris" dans Connaissance des arts, n° 749, juin 2016, p. 109.

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- PRESSE - Les “7 jours à Paris” dans Aladin, n° 331, mai 2016, p. 9. 

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* Art Saint-Germain-des-Prés * La galerie Garby's aux "7 jours à Paris"

Cette année, Art Saint-Germain-des-Prés a fondé avec D’Days, Carré Rive Gauche et Nocturne Rive Droite, « 7 jours à Paris » ; 400 marchands et lieux d’exposition mettent en commun leurs énergies et regroupent leurs animations pendant une même semaine, du 30 mai au 5 juin, tout en gardant leurs spécificités, leurs vernissages et leurs parcours.

La soirée inaugurale d'Art-Saint-Germain-des-Prés se déroulera le 2 juin, à laquelle participera la galerie Garby's.

Retrouvez plus d'informations sur les galeries participantes d'Art Saint-Germain-des-Prés : http://artsaintgermaindespres.com/evenement/

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THIRSTY BSTRD - SH*T HAPPENS

Thirsty Bstrd est un artiste visuel de Paris, utilisant bombes de peintures, stickers, posters et stencils. Son oeuvre aborde les sujets de société, de politique et de consumérisme de manière satirique, à travers des références de pop-culture, et un humour décalé et subversif.

Son oeuvre a été présentée lors de divers événements et expositions de groupe. Ses oeuvres réalisées au stencil dans les rues sont visibles un peu partout dans le monde, tout comme des milliers de stickers arborant le logo THIRSTY BSTRD.

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THIRSTY BSTRD PERFORMANCE AT GALERIE GARBY'S

Les œuvres du live painting sont exposées dans notre galerie au 5 rue de l'Echaudé, Paris 6e, ouverte du mardi au samedi, de 10h30 à 19h30.

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SAVE THE DATE - Exposition “MADAME” par le photographe Laurent Clément

Du reportage au studio, en passant par le portrait, le travail de Laurent Clément a interpellé de nombreuses personnes. En 2008, il remporte le prix Corbis et le Club des AD (Les créatifs derrière l’objectif). 

Son parcours de directeur artistique, rentre en résonance aujourd’hui avec son travail de photographe. Cela lui a permis de se faire remarquer au travers de grandes campagnes mais également par ses projets personnels.

Note de l'artiste :

"La femme est l'égale de l'homme

Madame s’habille se déshabille, jubilatoire elle se prépare.

Mademoiselle et Monsieur peuvent bien aller se rasseoir,

Madame prend son pouvoir, fume comme un homme, décide où, quoi, ce soir.

Sur son podium, elle asservit ad libitum.

Epanouie, Madame s'étourdit, alanguie, dans son jeu favori..."

Rendez-vous pour le vernissage de l'exposition "MADAME" le mercredi 4 mai dès 18h au 40 rue Mazarine, Paris 6e. Exposition jusqu'au 17 mai 2016.

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- Découverte - Louis Bottero

La galerie Garby’s vous propose de découvrir l’artiste urbain Louis Bottero.

Artiste urbain contemporain issu du mouvement graffiti d'envergure, Louis Bottero mêle brillamment les codes du genre avec un strict travail de calligraphie et des déclinaisons picturales riches de symboles. En résultent des oeuvres complexes et colorées où les détails se trouvent en abondance, souvent portés par son personnage libre et décomplexé des codes et filiations. 

Très impliqué sur la scène artistique de l'art urbain contemporain, il travaille et expose à Paris et à Berlin et réalise régulièrement des performances en live-painting, notamment au Palais de Tokyo en 2013.

En 2014, il a également exposé à la Fondation EDF à Paris et outre-Atlantique au centre d’art contemporain de Montréal, l’Arsenal, pour représenter l’art urbain français dans une exposition internationale. 

 L'an dernier, il intègre la prestigieuse Cité Internationale des Arts de Paris comme artiste résident. Artiste d'envergure internationale, son travail est régulièrement présenté dans des galeries en France comme à l’étranger.

Louis Bottero exposera à la galerie Garby’s du 19/05 au 01/06 2016. 

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- Découverte - Hugo Vouhé

La galerie Garby’s vous propose de découvrir le photographe Hugo Vouhé et son oeuvre. 

“J’ai 19 ans, je vis à Paris et photographie depuis l’âge de 13 ans. Après un bac technologique Arts-Appliqués, je m’oriente vers un bachelor en photographie aux Écoles supérieures d’arts de Condés.

J’aime photographier la rue, ses couleurs et ses habitants et ai toujours un boitier sur moi. Parallèlement à la street-photography, je fais des portraits et des mises en scène avec en commun une même vision onirique et surréaliste .

Alex Webb, Joel Meyerowitz, Harry Gruyaert et Wim Wenders m’influencent par leurs travaux de street-photographer.”

Pour explorer les oeuvres d’Hugo Vouhé : http://hugovouhe.tumblr.com

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Willy Rizzo

Né en 1928 à Naples, Willy Rizzo débute sa carrière à Paris en tant que photo-reporter, allant du cliché de Star pour Ciné Mondial à la couverture du procès de Nuremberg.

Après avoir vécu quelques années à Los Angeles, il revient à Paris pour collaborer au lancement d’un nouveau grand magazine : Paris Match. En 1959, il devient directeur artistique de Marie-Claire et travaille avec les plus grands magazines de mode, dont Vogue. 

A la fin des années 1960, il part vivre à Rome et commence son travail de designer, d’abord pour des besoins personnels. En effet, il conçoit lui-même les meubles de son nouvel appartement Piazza di Spagna, lesquels sont très appréciés par ses amis : ayant beaucoup de relations dans la mode et le cinéma, les commandes affluent, à tel point qu’il décide en 1968 de monter sa propre société.

Les années suivantes, il crée plus d'un trentaine de meubles, contemporains par le style et chic par les matériaux. Il ouvre une boutique rue du Faubourg Saint-Honoré, puis plusieurs en France et en Europe ainsi que des points de vente à New York, Miami et Los Angeles.

A la fin des années 1970, Willy Rizzo vend sa société : “Je n’ai jamais essayé de devenir un businessman et je commence à m’ennuyer. Ma vie bohème de photographe me manque”, explique-t-il. 

Il reprend son son activité de photographie et retourne vivre à Paris jusqu’à sa mort en 2013.

Table Willy Rizzo à la galerie Garby’s, 5 rue de l’Echaudé, Paris 6e - prix sur demande - 

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- PARTENARIAT -

La galerie Garby's devient membre d'Art Saint-Germain-des-Prés.

Depuis près d'une vingtaine d'années, Art Saint-Germain-des-Prés vise à promouvoir les galeries d'art et leurs évènements culturels. L'activité de l'association se déroule en partenariat avec des acteurs majeurs de la culture, tels que Artnet et Connaissance des arts, assurant une place fondamentale au quartier de Saint-Germain-des-Prés dans le marché de l'art.

Nous marquerons cette nouvelle collaboration avec le vernissage de l'exposition “MADAME” par le photographe Laurent Clément.

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Saint-Germain-des-Prés... l'extrême pointe de la civilisation occidentale.

Robert Doisneau