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fhpcommunication · 3 years
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Korian a lancé son Centre de Formation des Apprentis pour favoriser l’accès aux métiers de l’accompagnement des personnes âgées
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En janvier dernier, le groupe Korian a accueilli à Paris, la première promotion de 19 apprentis aides-soignants de son Centre de Formation des Apprentis des métiers du soin, qui a démarré en ce début d’année 2021.    A cette occasion, Elisabeth Borne, Ministre du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion, Brigitte Bourguignon, Ministre déléguée chargée de l'Autonomie et Thibaut Guilluy, Haut-Commissaire à l'Emploi et à l'Engagement des Entreprises, sont venus à leur rencontre pour souligner la mobilisation du gouvernement pour le secteur de la santé et de l'emploi des jeunes, en cette période de pandémie. Les apprentis ont également bénéficié d'un échange privilégié avec Sophie Boissard, Directrice générale du Groupe et les équipes de Nadège Plou, directrice des Ressources Humaines de Korian France.  
« Nous nous réjouissons de recevoir la première classe de notre CFA des métiers du soin parmi nos équipes. Nous avons fait de l’apprentissage l’un de ses dispositifs clés de formation de nos collaborateurs de demain et en particulier nos soignants, en France comme en Europe. C’est un investissement structurant sur le long terme, qui permet à ceux qui nous rejoignent de comprendre et se projeter dans l’accompagnement des personnes âgées » Sophie Boissard, directrice générale du groupe Korian.
Ces apprentis, âgés de 18 à 28 ans, ont choisi d’apprendre le métier d’aide-soignant, dans le prolongement de leur cursus de formation initiale ou dans le cadre d’une reconversion. Ils ont tous satisfait au dossier de sélection d’entrée en IFAS, institut de formations aides-soignants.
Leur formation de 18 mois intègre des temps d’enseignement théorique avec une formation sur le terrain, dont la moitié effectuée dans une maison de retraite ou une clinique de soins de suite et de réadaptation, située en Île-de-France. 
Chacun des apprentis est accompagné dans son parcours par un soignant (aide-soignant ou infirmier) qui endosse le rôle de maître d’apprentissage. Celui-ci est choisi pour son expérience et sa capacité à transmettre les fondamentaux du métier, pour soutenir l’apprenti dans le développement de ses compétences et la construction de son identité professionnelle. Les maîtres d’apprentissage reçoivent d’ailleurs une formation spécifique sur leur mission. .
À l'issue de leur formation de 18 mois et s'ils obtiennent leur diplôme, ces apprentis pourront se voir proposer un poste au sein du réseau d'établissements Korian.
Ce CFA des métiers du soin a pour objectif de former 200 apprentis aides-soignants en 2021.Il complète la politique du groupe en faveur de la formation et l'emploi des jeunes dans laquelle l'apprentissage occupe une place essentielle.
Crédit photo : Korian
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fhpcommunication · 3 years
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Korian a lancé son Centre de Formation des Apprentis pour favoriser l’accès aux métiers de l’accompagnement des personnes âgées
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En janvier dernier, le groupe Korian a accueilli à Paris, la première promotion de 19 apprentis aides-soignants de son Centre de Formation des Apprentis des métiers du soin, qui a démarré en ce début d’année 2021.    A cette occasion, Elisabeth Borne, Ministre du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion, Brigitte Bourguignon, Ministre déléguée chargée de l'Autonomie et Thibaut Guilluy, Haut-Commissaire à l'Emploi et à l'Engagement des Entreprises, sont venus à leur rencontre pour souligner la mobilisation du gouvernement pour le secteur de la santé et de l'emploi des jeunes, en cette période de pandémie. Les apprentis ont également bénéficié d'un échange privilégié avec Sophie Boissard, Directrice générale du Groupe et les équipes de Nadège Plou, directrice des Ressources Humaines de Korian France.  
« Nous nous réjouissons de recevoir la première classe de notre CFA des métiers du soin parmi nos équipes. Nous avons fait de l’apprentissage l’un de ses dispositifs clés de formation de nos collaborateurs de demain et en particulier nos soignants, en France comme en Europe. C’est un investissement structurant sur le long terme, qui permet à ceux qui nous rejoignent de comprendre et se projeter dans l’accompagnement des personnes âgées » Sophie Boissard, directrice générale du groupe Korian.
Ces apprentis, âgés de 18 à 28 ans, ont choisi d’apprendre le métier d’aide-soignant, dans le prolongement de leur cursus de formation initiale ou dans le cadre d’une reconversion. Ils ont tous satisfait au dossier de sélection d’entrée en IFAS, institut de formations aides-soignants.
Leur formation de 18 mois intègre des temps d’enseignement théorique avec une formation sur le terrain, dont la moitié effectuée dans une maison de retraite ou une clinique de soins de suite et de réadaptation, située en Île-de-France. 
Chacun des apprentis est accompagné dans son parcours par un soignant (aide-soignant ou infirmier) qui endosse le rôle de maître d’apprentissage. Celui-ci est choisi pour son expérience et sa capacité à transmettre les fondamentaux du métier, pour soutenir l’apprenti dans le développement de ses compétences et la construction de son identité professionnelle. Les maîtres d’apprentissage reçoivent d’ailleurs une formation spécifique sur leur mission. .
À l'issue de leur formation de 18 mois et s'ils obtiennent leur diplôme, ces apprentis pourront se voir proposer un poste au sein du réseau d'établissements Korian.
Ce CFA des métiers du soin a pour objectif de former 200 apprentis aides-soignants en 2021.Il complète la politique du groupe en faveur de la formation et l'emploi des jeunes dans laquelle l'apprentissage occupe une place essentielle.
Crédit photo : Korian
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fhpcommunication · 4 years
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Deuxième vague de contamination : Elsan a ouvert des lits supplémentaires pour les patients Covid-19
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Face à l’arrivée de la deuxième vague du Covid-19, Elsan a mobilisé dès le mois d’octobre 600 lits de médecine et de réanimation pour soigner les patients atteints du Covid-19.
Selon les demandes des ARS en fonction du contexte territorial, le groupe était prêt à en ouvrir plus du double. La capacité totale de prise en charge des patients Covid aurait pu aller jusqu’à 1400 lits dans les établissements du groupe. Au pic de la deuxième vague le 17 novembre, Elsan soignait 550 patients dans cinquantaine d’établissements impactés dans quasiment toutes les régions, contre une trentaine lors de la première vague, moins étendue sur le territoire.
Pour lutter contre le pic épidémique dans différentes régions de France, les capacités d’accueil ont en effet dû être augmentées au sein de nombreux établissements. Tel a été le cas notamment en PACA pour la clinique des Fleurs à Ollioules (Var), la clinique Bouchard à Marseille, en Occitanie à la clinique du Pont de Chaume à Montauban ou à la clinique d’Occitanie à Muret, et dans les Hauts-de-France à la polyclinique Vauban.
Grâce à la délivrance d’autorisations dérogatoires réobtenues pour 11 établissements, les capacités d’accueil en réanimation ont pu être augmentées : la création de lits de réanimation à la clinique Inkermann à Niort par exemple ou encore à la clinique de l’Estrée à Stains et l’ouverture ou la réouverture de services supplémentaires Covid ont permis de faire face à l’afflux de patients et aux situations très tendues dans différents territoires.
C’est au total près de 600 lits que le groupe a mobilisés ; et ce grâce à tous les professionnels hospitaliers. En effet, c’est tout le personnel de ces établissements qui, collectivement mobilisé, a travaillé à l'ouverture de ces lits supplémentaires et permis cette montée en charge.  
Cruciale pour mener à bien ce combat contre l’épidémie, la question des ressources humaines, et notamment des ressources soignantes, est tendue au sein du groupe et dans tout le secteur. Les équipes sont aujourd’hui mieux préparées que lors de la première vague mais les effectifs manquent et la pression est importante.
Malgré tout, des soignants volontaires de certains établissements du groupe moins touchés, sont allés soigner dans les établissements publics. Dans le Vaucluse, une vingtaine sont depuis trois semaines dans les services des CH d’Avignon et d’Orange (visuel) .
Acteur indispensable du système de santé, le secteur hospitalier privé monte au front aux côtés de ses partenaires du secteur public et se montre une fois encore, avec ces importantes réorganisations, mobilisé pour affronter la crise.
Crédit photo : Elsan - Fred, un infirmier de bloc opératoire de la Polyclinique Urbain V, actuellement au CH d’Avignon.
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fhpcommunication · 4 years
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Coopération territoriale : la polyclinique Saint-Odilon (C2S) et le Centre Hospitalier de Moulins-Yzeure face au coronavirus
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A Moulins dans l’Allier (03), les équipes de l’hôpital public et de la clinique privée se sont mobilisées pour faire front contre l’épidémie et accueillir au mieux les malades. En cette période de crise sanitaire, et devant le nombre grandissant d’hospitalisations liées à cette pandémie (une centaine début novembre), les deux établissements ont mis en place un partenariat et coopèrent pour assurer la prise en charge des patients atteints de Covid 19.
La Polyclinique Saint-Odilon (Médecine/Chirurgie - Groupe C2S) a affecté 30 lits d’hospitalisation à la prise en charge Covid : 27 patients atteints par le virus étaient hospitalisés au 10 novembre dernier au sein de ce service spécifique aménagé pour accueillir ces malades.
Le centre hospitalier a quant à lui augmenté sa capacité de réanimation de 8 à 14 lits équipés : il prend en charge plus de 70 patients malades de COVID 19 dont une dizaine est en réanimation.
Avec cette organisation et cette coopération, les deux établissements ont installé une véritable filière d’hospitalisation COVID sur le territoire : principal point d’entrée, le centre hospitalier de Moulins-Yzeure assure la prise en charge des formes aigües de la maladie. La polyclinique Saint-Odilon accueille les patients transférés par l’hôpital et dont l’état de santé nécessite une hospitalisation mais pas de réanimation.
Leur action est de plus renforcée grâce aux autres acteurs de la région qui viennent collaborer dans cette guerre contre le coronavirus: mise à disposition de lits de Soins de Suite et Réadaptation par l’hôpital de Tronget, action des infirmiers libéraux locaux et des professionnels du service d’hospitalisation à domicile du centre hospitalier.
Cette organisation sous forme de partenariat entre l’établissement public et la clinique privée a permis de coordonner les actions et d’optimiser les capacités d’hospitalisations COVID du territoire, fortement impacté par l’épidémie.
Les déprogrammations des activités chirurgicales et interventionnelles non urgentes et sans perte de chance avérée, à court terme, pour les patients ont rendu possible le redéploiement  des ressources humaines et matérielles vers des unités dédiées à la prise en charge de malades COVID.
Qu’ils soient de statut public ou privé, ils ont choisi de s’unir et de coopérer pour mener à bien leurs actions et gérer au mieux la crise. Tous sur le pont pour les patients et face au coronavirus…
Crédit photo : © Jérémie FULLERINGER / MAXPPP
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fhpcommunication · 4 years
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Interview de Pascal Allain, directeur de la Maison de santé d’Epinay sur Seine (Groupe LNA Santé)
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« Coronavirus : la prise en charge et l’accompagnement des patients Covid en établissement psychiatrique”
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Des patients de votre établissement de santé ont-ils été infectés par le covid ? Si oui,
quelles mesures ont été mises en place ?
Comme de nombreux établissements d’Ile de France, et particulièrement de la Seine Saint-Denis, nous avons été confrontés à la vague épidémique à la mi-mars. Nous avons immédiatement mis en place une cellule de crise qui se réunit quotidiennement pour prises de décisions liées à la pandémie.
Cette cellule a pris plusieurs mesures d’urgence, comme notamment la création d’une zone COVID au sein d’un de nos services, avec une équipe soignante dédiée (médicale et paramédicale). Cette zone COVID étant elle-même divisée en trois unités : une zone COVID + pour les patients testés positifs, une zone COVID - pour les cas suspects et/ou en attente de dépistage, et une zone post-COVID pour les patients ne manifestant plus aucun symptôme après leur période de strict confinement au sein de ces deux premières zones.
Elle a également décidé de la réorganisation des plannings des personnels et des médecins afin d’éviter tout croisement entre eux, de la totale séparation des services, du réaménagement des heures de repas (4 services, un pour chaque unité), et de la définition de créneaux d’accès au parc.
La prise en charge somatique a également été renforcée, pendant cette période de confinement et plus particulièrement à l’endroit des patients séjournant en zone COVID. 
Comment sont accompagnés ces patients au quotidien, et quelles sont les solutions pour gérer leurs difficultés, leurs peurs ?
Paradoxalement, dans ce contexte de crise, force est de constater que les patients n’ont pas vu leurs troubles empirer et au contraire, ont été plutôt compréhensifs et attentifs à la situation qu’ils ont pris avec gravité. Il n’y a pas eu d’épisodes d’accès délirants ou maniaques au début de cette période, ce qui somme toute est une surprise.
Néanmoins, pour accompagner au mieux les patients pendant cette période, nous avons mis en place une prise en charge médicale avec un psychiatre référent par service. De leur côté, les équipes soignantes ont multiplié les entretiens individuels et les ateliers thérapeutiques au sein des services dans le strict respect des distanciations sociales et des gestes barrière.
Quelles nouvelles organisations, nouvelles modalités de prise en charge ont pu être mises en place suite à la déprogrammation de certaines activités ?
Il n’est pas courant en psychiatrie de contraindre ou de confiner les patients dans un espace restreint, mais plutôt de les laisser librement circuler et interagir entre eux dans des espaces ouverts. Il a donc fallu faire preuve d’ingéniosité, car confinés, ils peuvent rapidement éprouver de l’ennui, de la solitude ou de la colère.
Les prises en charge de groupe ont été limitées pour éviter le risque de propagation virale, ce qui a notamment conduit à la suspension de l’activité en présentiel en HDJ. Par exemple pour ces patients, et afin d’éviter toute situation d’isolement psycho-social, nous avons maintenu le lien au moyen d’appels téléphoniques et l’organisation d’ateliers à distance grâce aux technologies numériques.
Votre établissement a-t-il mis en place des prises en charge de soutien pour les soignants confrontés à la gestion de l’épidémie ?
Oui, des groupes de paroles ont été organisés par les psychologues et des entretiens sont régulièrement menés notamment avec les équipes de nuit afin d’éviter l’incompréhension et de répondre à leurs questionnements.
Quelles sont les conséquences de la prolongation du confinement et les     réactions de la part des patients et des familles ?
Contre toute attente, les premières semaines de confinement ont été relativement bien supportées par les patients, mais l’installation dans la durée provoque des états d’angoisse plus importants, et avec le temps les consignes deviennent plus difficiles à faire respecter.
Concernant les familles, comme elles sont elles-mêmes touchées, impliquées et prises par les mêmes contraintes, elles sont plutôt compréhensives. Elles nous ont souvent même fait part de leur soulagement de voir leurs proches hospitalisés pendant cette période, comme sécurisés de les savoir dans un environnement médical.
A quoi, concrètement, ressemble un confinement au sein d'un établissement psychiatrique ?
La Maison de Santé est atypique pour la psychiatrie privée en raison de sa taille (211 lits et places) et de son autorisation d’accueil de patients en soins sans consentement. Autre particularité, aucun service n’est habituellement fermé dans l’établissement qui fonctionne sous un mode « ouvert » avec un parc de deux hectares accessible à tous. Dans le contexte actuel, il a fallu adapter le fonctionnement en petites unités pour respecter les mesures barrières et préserver une circulation dans l’établissement. La difficulté de la sortie du confinement consistera à revenir vers une organisation plus ouverte tout en garantissant la sécurité de prise en charge des patients .
Quelles mesures sont souhaitées par vos services et vos équipes pour les aider dans la prise en charge des patients Covid et pour faire face de façon optimale à la crise ?
Bénéficier du matériel de protection suffisant (masques, sur blouses…), ce qui n’a pas forcément été le cas au début de l’épidémie.
Quelles sont les principales difficultés rencontrées par votre établissement, par les soignants et les patients ?
C’est de trouver le juste équilibre entre la liberté « d’aller et venir », droit fondamental, et la restriction de circuler liée au confinement.
Maintenir le droit du patient à circuler librement et notamment bénéficier de permissions de sorties qui font parties intégrante du projet de soins thérapeutique.
Quels enseignements pourront être tirés, pour le secteur privé psychiatrique, de cette crise sanitaire sans  précédent ?
 Comme tout un chacun, disposer d’un stock de matériel suffisant en cas de crise sanitaire. Et très certainement en tirer des enseignements architecturaux dans le cadre d’un confinement (dans la mesure du possible, services indépendants les uns des autres pour fonctionner). 
Quels sont les aspects positifs pouvant être retenus de cette épreuve ?
La solidarité des équipes, la réactivité et l’engagement des personnels face à l’adversité, qui a souvent d’ailleurs le mérite de fédérer.
Crédit photo : LNA Santé
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fhpcommunication · 5 years
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Elsan déploie « Materniteam », un programme d’accompagnement personnalisé des parents tout au long de la grossesse et après la naissance
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Soucieuses de mieux répondre aux attentes et besoins des futurs et jeunes parents, une trentaine de maternités Elsan proposent un programme d’accompagnement personnalisé, permettant aux futurs et jeunes parents d’être guidés et orientés à chaque étape de la grossesse et pendant les premiers mois de l’enfant. D’ici fin 2019, c’est l’ensemble des maternités qui devrait avoir accès à ce dispositif.
Convaincues de la nécessité d’optimiser et de personnaliser la relation avec les patients en pré, per et post hospitalisation, l’objectif des maternités est ainsi d’accompagner et d’impliquer les familles dès le début de la grossesse et après la naissance pour leur assurer un suivi personnalisé et digitalisé. Rendre les patients davantage acteurs de leur santé permet de fluidifier et simplifier leur parcours de soins, et d’améliorer leur prise en charge.
 Ce programme consiste en un accompagnement personnalisé, de proximité, à destination des futurs parents, et organisé par la maternité autour d’une équipe pluridisciplinaire, pour toutes les étapes de la grossesse et de la parentalité.
Les référentes Materniteam, en collaboration avec l’équipe pluridisciplinaire de la maternité, sont à disposition des familles pour les guider, répondre à leurs questions administratives et médicales et, au besoin, les rediriger vers les interlocuteurs concernés. Seule ou en binôme, elles proposent un suivi de qualité, notamment par le biais de moments d’échanges, individuels ou en groupe (RDV, visites de la maternité, ateliers et réunions thématiques, etc.). Garantes d’un parcours sans rupture et coordonné, ces référentes sont devenues incontournables pour les parents.
Une application gratuite, « Materniteam », s’inscrit dans la continuité du parcours physique en établissement en offrant aux parents la possibilité de rester connectés à leur maternité et de bénéficier d’un contenu adapté et personnalisé à leur grossesse et nouvelle vie de parents jusqu’aux 9 mois de l’enfant. Elle a vocation à répondre aux besoins du plus grand nombre dans la mesure où elle est accessible par toutes les femmes enceintes, qu’elles prévoient ou non d’accoucher dans une maternité Elsan.
Les principales fonctionnalités de cet outil digital sont les suivantes : mise en relation rapide avec les professionnels de la maternité, contact avec les référentes facilité par téléphone, par mail ou grâce à la prise de rendez-vous en ligne, des checklists personnalisées pour ne rien oublier, un calendrier interactif et individualisé pour garder en mémoire l’ensemble des rendez-vous à prendre, des dossiers conseils, … 
De plus, des ateliers thématiques sont dispensés par les professionnels de santé de la maternité ou un intervenant extérieur, afin de répondre au besoin d’informations et d’accompagnement exprimé par les futurs et jeunes parents. Ces ateliers sont l’occasion de mieux intégrer le papa ou l’accompagnant dans la grossesse. D’autres ateliers, dits « post-accouchement », sont l’occasion pour les parents d’évoquer leur nouvelle vie mais également leurs craintes, avec d’autres parents et des professionnels de santé.
Enfin, les futures et jeunes mamans qui en ressentent le besoin peuvent bénéficier d’un service de téléconsultation, remboursé par la Sécurité sociale, à leur retour à domicile.
Crédit photo : Elsan
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fhpcommunication · 5 years
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Un nouveau service d’Urgences à l’Hôpital Privé Sévigné
Après quatre mois de travaux, l’Hôpital Privé Sévigné (Groupe Vivalto Santé) situé à Cesson Sévigné en Ille et Vilaine a eu le plaisir d’accueillir en avril dernier son premier patient dans son tout nouveau service d’urgences !
Ce service d’Urgences 24/24 est la première étape d’un projet d’aménagement et d’agrandissement de l’établissement : en effet, suite à l’inauguration de ces Urgences, la seconde phase de travaux a débuté avec l’agrandissement de la salle d’attente, la création d’un carport et d’un ascenseur desservant le service Imagerie.
Le nouveau service d’Urgences ouvert 24h/24 dispose d’une surface d’environ 700 m2,
soit deux fois plus grand que l’ancien. Ces nouveaux locaux permettent d’améliorer l’accueil et le confort de prise en charge des près de 27 000 patients se  présentant aux urgences de l’Hôpital Privé Sévigné chaque année. Ce service dispose désormais de deux box de déchoquages, cinq box de traumatologie et huit box de circuit long. Afin d’améliorer la prise en charge des patients et fluidifier les délais, trois circuits sont identifiés :
- Un circuit court pour les prises en charges nécessitant des soins de courte durée : il dispose d’une salle d’attente dédiée et de cinq box pour réaliser les soins aux patients.
- Un circuit long pour les prises en charge nécessitant de réaliser des examens et donc des soins d’une plus longue durée : il dispose d’une salle d’attente et de huit box de soins.
- Un circuit de reconvocation pour les patients reconvoqués suite à un précédent passage aux Urgences. Ce circuit dispose également d’une salle d’attente dédiée et d’une salle d’examen.
Avec plus de 26 800 passages par an, Yann Béchu, Directeur Général de l’établissement, avait pour objectif de doubler la surface initialement dédiée aux urgences afin de faciliter et d’optimiser la prise en charge des patients.
L’inauguration de ces nouveaux locaux s’inscrit dans un fort contexte de développement et une croissance de population dynamique dus à l’attractivité de la ville et l’arrivée prochaine du métro. Côté pratique, l’accueil des urgences est assuré 7J/7- 24h/24, et est à présent situé en façade de l’Hôpital Privé Sévigné.
La seconde phase de travaux a     démarré fin avril 2019 afin d’agrandir la salle
d’attente, l’accueil brancards et de créer un carport dédié aux ambulances et aux pompiers : cette extension permettra dès novembre 2019 d’accueillir dans des conditions optimales les patients allongés. Au même moment, une entrée piétonne spécifique pour les urgences sera également ouverte. Enfin, un ascenseur dédié entre le service des Urgences et celui de radiologie sera mis en service.
Fin avril également, a démarré la construction de l’extension du bloc opératoire et du futur service d’ambulatoire : elle permettra la création de trois nouvelles salles d’intervention, deux salles d’endoscopie et l’agrandissement de la salle de réveil.
Ces nouvelles salles de bloc, adossées à un nouveau service d’ambulatoire permettront de poursuivre le développement de la chirurgie ambulatoire : ce mode de prise en charge, qui fait désormais l’unanimité entre les professionnels et les autorités de santé publique, nécessite des parcours patients adaptés et parfaitement organisés.
Les travaux se poursuivront jusqu’en juillet 2020, date de livraison de trois nouvelles salles de bloc dédiées à l’ambulatoire. L’Hôpital Privé Sévigné sera ainsi dotée d’un total de seize salles d’intervention.
Avec 230 lits et places, 29 200 séjours par an, 17 400 interventions chirurgicales annuelles et 69% de taux de chirurgie ambulatoire, cet établissement a pour activités principales la chirurgie orthopédique, ophtalmologique, ORL et stomatologique, digestive, urologique-néphrologique et génitale, vasculaire, dermatologique et gynécologique ; sans oublier l’ensemble de ses activités médicales (hématologie, médecine polyvalente, gastroentérologie, pneumologie, médecine interne, endocrinologie).
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fhpcommunication · 5 years
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Les ultrasons, innovation dans le traitement du cancer de la prostate
La Polyclinique Montier-la-Celle (groupe ELSAN) à Saint André Les Vergers près de Troyes, s’est dotée d’un nouvel équipement pour le traitement du cancer de la prostate (le Focal One) permettant de traiter uniquement la zone de prostate atteinte par le cancer, préservant ainsi la qualité de vie du patient.
Non invasive, cette technique limite les complications inhérentes au traitement du cancer de la prostate telles que l’incontinence ou les troubles de l’érection. Piloté par ordinateur, le dispositif médical délivre des ultrasons de haute densité par l’intermédiaire d’une sonde endorectale. La chaleur de 100° à 120°, provoquée par la focalisation des ultrasons, détruit les cellules à l’intérieur de la zone ciblée au millimètre près, sans endommager les tissus sains proches.
Ce matériel associe l’imagerie par l’IRM pour localiser les tumeurs, les ultrasons focalisés à haute densité et l’échographie de contraste pour valider le traitement. C’est grâce à la présence d’une cellule d’imagerie au niveau de la sonde que ce dispositif médical permet d’avoir un contrôle en temps réel lors de l’émission des ultrasons. C’est également l’appareil qui programme, après analyse du volume à traiter, le nombre de cycles d’ultrasons nécessaires.
Cette technique peut être utilisée en première intention pour les patients porteurs d’un cancer localisé (stades T1, T2) ou en traitement de rattrapage pour les patients présentant une récidive locale d’un cancer de prostate initialement traité par radiothérapie.
« L’acquisition de cet appareil mobile vient conforter un des axes majeurs de notre stratégie médicale : offrir aux patients une prise en charge de qualité et de proximité », se réjouit Nadia Rose, la directrice de la Polyclinique Montier la Celle.
Avec plus de 45 000 nouveaux cas par an, le cancer de la prostate est le cancer masculin le plus fréquent en France et la troisième cause de décès par cancer chez l’homme avec environ 8 000 décès par an. Mais la survie relative à 5 ans s’est améliorée de façon spectaculaire, passant de 70 % pour les cas diagnostiqués en 1990 à plus de 90 % aujourd’hui.
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fhpcommunication · 5 years
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DoudouCare : un dispositif de soutien à la parentalité à la maternité de la Clinique Vauban
Apporter aux parents des réponses de professionnels de santé, personnalisées, rapides et 7j/7, tel est l’engagement du service DoudouCare, un accompagnement mis en place par la maternité de la Clinique Vauban de Livry-Gargan, pour aider et informer les jeunes parents.
L’arrivée de bébé, une période délicate pour les parents :
La naissance d’un enfant s’accompagne de moments de joie, de bonheur mais aussi de son lot d’incertitudes : soins, allaitement, alimentation, sommeil sont autant de sujets qui préoccupent les parents dès les premiers jours à la maternité. Mais ce n’est que le début ! Les questionnements vont se poursuivre au fil des mois concernant le développement psychomoteur et affectif, les maladies infantiles, l’apprentissage, la nutrition…
La Stratégie Nationale de Soutien à la Parentalité 2018-2022 souligne les enjeux de prévention personnalisée et de détection des troubles précoces. L’accompagnement à la parentalité a besoin d’être repensé : c’est dans cette volonté que la Clinique Vauban propose un service appelé « DoudouCare », un dispositif complet pour accompagner les familles dans leur expérience de la natalité.
La Clinique Vauban, un acteur de proximité historique :
La Clinique Vauban est, depuis plus de 60 ans, l’acteur de proximité de la ville avec sa maternité de niveau 1. Près de 1 400 bébés y voient le jour chaque année. Cet établissement s’est inscrit dans un développement continu en s’appuyant sur ses piliers: taille humaine, goût de l’innovation et attachement à la proximité. Ayant déployé un plateau technique moderne, un centre de consultations pluridisciplinaire et un centre d’imagerie médicale, la clinique a aussi développé une permanence médicale pour les urgences obstétricales et gynécologiques, 24h/24.
Dans cette volonté d’innovation permanente, la clinique a souhaité donner une continuité au séjour en maternité. Afin d’améliorer l’expérience patient, les jeunes parents bénéficieront d’accès gratuits au service DoudouCare, leur permettant  d’obtenir des réponses personnalisées de professionnels de santé de l’enfance, en quelques heures, 7j/7.
C’est lors du retour à la maison et face aux nombreuses questions des parents que les professionnels de santé DoudouCare vont  intervenir en complémentarité de l’équipe soignante de la clinique. Ce service français de téléconseil santé dédié́ à l’enfance et la parentalité apporte des conseils pratiques sur les questions de santé.
Il utilise le numérique pour gagner en rapidité et accessibilité tout en conservant les professionnels de santé au cœur de son service. DoudouCare s’inscrit en réponse complémentaire dans le parcours santé pour apporter une plus grande disponibilité́ et réactivité́ à l’accompagnement à la parentalité.
L’équipe pluridisciplinaire est composée de professionnels médicaux et paramédicaux, rigoureusement recrutés : infirmières puéricultrices, psychologues infantiles, diététiciens, ostéopathes, masseurs kinésithérapeutes et orthophonistes.
Le service ne réalise ni diagnostic ni prescription. Il assure le droit à l’anonymat et à la confidentialité des données personnelles des utilisateurs.
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fhpcommunication · 6 years
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Ramsay Générale de Santé inaugure son 11ème Institut de Cancérologie à l’Hôpital privé Sainte-Marie
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Ramsay  Générale de Santé inaugure son 11ème Institut de Cancérologie à l’Hôpital  privé Sainte-Marie 
 Situé au nord-est de  l’agglomération chalonnaise, l’Hôpital privé Sainte-Marie (71)  dispose de 241 lits et places, réunit une  centaine de praticiens et emploie 340 salariés.
En juillet dernier,  il a été labellisé « Institut de Cancérologie » par Ramsay Générale de Santé.  
Déjà reconnu dans la  région comme un centre de référence en cancérologie, cet établissement  dispose des 8 modalités de traitement du cancer soumises à autorisation :  radiothérapie, chimiothérapie, chirurgie digestive, chirurgie thoracique,  chirurgie urologique, chirurgie ORL et maxillo-faciales, chirurgies mammaire  et gynécologique.
Il accueille chaque  année plus de 750 patients en chirurgie carcinologique et réalise plus de 10  000 séances de chimiothérapie. Plus de 950 patients sont traités en  radiothérapie, avec 24 000 passages machines sur un plateau technique de  dernière génération incluant la radiothérapie conformationnelle avec  modulation d’intensité (RCMI) et d’arcthérapie dynamique (VMAT).
L’hôpital privé est  doté d’un service de 24 lits de médecine oncologique et de 6 lits identifiés  en soins palliatifs. Installé depuis octobre 2017, le Service de Soins de  Suite et de Réadaptation (SSR) oncologique complète l’offre de prise en  charge. Des consultations d’oncogériatrie y sont assurées et l’Unité Transversale  de Nutrition du pôle Bourg-Chalon Ramsay Générale de santé dresse les bilans  nutritionnels des patients.
L’ambition première qui a présidé à la création du label d’Institut  de cancérologie était d’améliorer la prise en charge des patients et de leurs  proches par la constitution d’équipes pluridisciplinaires, de raccourcir  encore les délais de prise en charge pour augmenter les chances et  l’efficacité d’un traitement enclenché, mais aussi de renforcer les  expertises de développer la recherche clinique et l’innovation et de  continuer à former des internes en médecine.
L’équipe  pluridisciplinaire de l’Institut de cancérologie Sainte-Marie comprend plus  de 20 chirurgiens carcinologues, 3 oncologues, 4 gastro-entérologues, 4  pneumologues, 9 radiologues, 6 radiothérapeutes, 4 anatomopathologistes, 1  onco-gériatre, 1 attaché de recherche clinique et une infirmière coordinatrice du parcours de soins dont le rôle est de  sécuriser le parcours de soins des patients les plus fragiles  entre les différents acteurs impliqués - médecins spécialistes,  professionnels paramédicaux et professionnels de ville. Plus de dix acteurs  en moyenne sont à coordonner autour d’un patient atteint d’un cancer.
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fhpcommunication · 6 years
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Soirée et roman-photo « À l’eau de rose » à l’Hôpital privé du Confluent (44) pour sensibiliser au dépistage du cancer du sein
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L’Hôpital privé du Confluent (Nantes) s’implique chaque année depuis 2012 dans la campagne nationale Octobre Rose, mois de sensibilisation au dépistage du cancer du sein. Cet engagement se fait aux côtés des patientes, des proches, et en étroite collaboration avec les équipes médicales, soignantes, techniques et administratives de l’établissement ainsi qu’avec le soutien d’artistes professionnels.
Pour l’édition 2018, deux patientes, Natacha et Nathalie, se sont prêtées à un exercice original: l’écriture d’un roman-photo « à l’eau de rose ». Proche de la bande dessinée, le texte s’appuie sur des photographies en proposant une narration où le sentimental se décline sur fond de baisers tendres, jalousie, mensonges et cœurs à prendre ! C’est ce format léger que l’Hôpital privé du Confluent a choisi cette année pour offrir un regard décalé et innovant sur l’importance du dépistage.
A cette occasion, l’établissement a organisé une soirée de sensibilisation le 18 octobre dernier avec présentation de l’Institut du Sein Nantes Loire, informations sur le dépistage du cancer du sein en Loire-Atlantique, intervention de médecins, découverte des 5 épisodes du roman-photo « made in Confluent », pièce de théâtre et exposition photo.
Cette soirée est le fruit du travail accompli de mars à octobre 2018 lors des ateliers d’écriture, de théâtre et de chant, proposés aux patientes, proches, salariés et médecins de l’Hôpital. Ces activités contribuent à modifier les rapports du patient avec l’hôpital et réciproquement, à offrir des « parenthèses », des respirations dans un parcours parfois difficile, à se dépasser, à susciter une créativité parfois insoupçonnée, ainsi qu’à prendre conscience de soi et de l’autre.
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fhpcommunication · 6 years
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Sécurité routière : évaluation de l’aptitude à la conduite automobile des patients cérébrolésés
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Le Centre de Rééducation Fonctionnelle et de Soins Gustav Zander (73) a mis en place, depuis plusieurs années maintenant, une procédure d’évaluation pluriprofessionnelle de la conduite automobile pour les patients victimes de lésions cérébrales.
Le Centre Zander d’Aix-les-Bains propose divers programmes pour la rééducation et la réadaptation des affections du système locomoteur, des affections du système nerveux et des affections cardiovasculaires. Il prend en charge des patients nécessitant une rééducation complexe et intensive et pour lesquels les conditions de vie ne permettent pas une rééducation à domicile. Parmi ces programmes, figure l’évaluation de l’aptitude à la conduite automobile des patients cérébrolésés, suite à un AVC notamment. La réglementation impose en effet, après une lésion cérébrale, une revalidation du permis de conduire, assurée par un médecin agréé par la préfecture.
Ce programme prévoit une triple évaluation, réalisée par une équipe pluridisciplinaire :
- Par le médecin : il relève les pathologies pouvant avoir un impact sur la capacité à conduire du patient, l’informe des effets secondaires de certains médicaments et de la procédure à suivre pour faire régulariser son permis.
- Par une ergothérapeute qui effectue un bilan préalable à la mise en situation de conduite pour évaluer les besoins éventuels d’aménagement du véhicule.
- Par une neuropsychologue, par le biais d’une batterie de tests spécifiques axés sur les compétences cognitives indispensables à la conduite automobile. 
Elle utilise, pour ce faire, un logiciel dédié à l’évaluation des performances spécifiques à la conduite automobile : le système expert circulation de SCHUHFRIED. Cet outil permet d’évaluer de nombreux paramètres dont la concentration, la résistance au stress, la capacité de réaction, la rapidité motrice, la perception périphérique, l’attention partagée, l’orientation, la capacité de coordination, l’acquisition d’une vue d’ensemble. Les résultats de ces tests sont synthétisés objectivement au moyen d‘un réseau neuronal artificiel en une évaluation globale hautement valide. Ils peuvent aussi être complétés par d’autres tests neuropsychologiques.
A l’issue de cette évaluation, lors d’une consultation avec le patient et ses proches, le médecin rend les conclusions au patient, lui explique les éventuelles anomalies constatées et les informe sur les capacités ou non de ce patient à reprendre la conduite. Le médecin rédige un compte-rendu qu’il adresse au médecin traitant et/ou médecin agréé par la préfecture, avec l’accord du patient.
Le Centre de rééducation fonctionnelle et de soins travaille à développer cette politique de prévention à la sécurité routière pour ses patients atteints de la maladie de parkinson et ceux souffrant d’une pathologie cardiovasculaire.
L’action de cet établissement a notamment pour but de promouvoir le devoir de tout conducteur de s’assurer de sa capacité à la conduite automobile, et d’informer sur la procédure de régularisation du permis de conduire.
Avec ce programme, médecins et professionnels du Centre Zander apportent leur expertise sur l’évaluation des troubles pouvant impacter la capacité à la conduite automobile de leurs patients.
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fhpcommunication · 7 years
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Gestion prévisionnelle des compétences et formation des agents de stérilisation
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Dans l’optique de valoriser le métier d’agent de stérilisation et de pallier les difficultés de recrutement, la direction commune du Centre Hospitalier Privé Saint-Grégoire, de la Polyclinique de Kério, de l’Hôpital Privé Sévigné et de la Clinique Sainte-Marie a mis en place un plan de formation. Chaque agent peut, sur la base du volontariat, participer à une formation diplômante pour aboutir au titre d’agent de stérilisation.
Le métier d’agent de stérilisation ne nécessite aucune formation particulière bien qu’il soit extrêmement spécifique. Par cette formation proposée à leur personnel, les établissements entendent reconnaitre ce savoir-faire particulier et favoriser la montée en compétence individuelle et collective. Ainsi, les agents de stérilisation pourront se voir attribuer de nouvelles responsabilités comme l’accueil de nouveaux arrivants, la gestion de certaines non conformités ou encore la transmission de savoirs dans l’équipe.
Sécuriser les process par une meilleure formation des agents, assurer une réactivité accrue des salariés par leur nouvelle aptitude à gérer les évènements indésirables est l’ambition visée par cette direction. En effet, cette formation contribue à l’amélioration de la sécurité du patient via la sécurisation du circuit des instruments. A titre d’exemple, la bonne recomposition des boites de stérilisation assure la qualité de la prise en charge opératoire et permet de réduire le nombre d’évènements indésirables (indicateur d’évaluation de ce dispositif de formation).
L’objectif de cette action est également d’ordre managérial puisqu’il s’agit aussi de fidéliser les salariés dont les compétences sont essentielles au bon fonctionnement d’un établissement à forte activité chirurgicale. Cette fidélisation passe notamment par une rémunération supérieure à l’issue de la formation.
Trois personnes par semestre bénéficient de ce programme de formation mis en place début 2017. Eric CERTAIN, pharmacien témoigne « La formation a reçu un excellent accueil au sein de l’équipe et s’est avérée réellement motivante. C’est une réelle opportunité de réinterroger les pratiques notamment sur la protection des instruments ou encore le positionnement des indicateurs de passage dans les charges. Courant mars, trois premiers agents ont suivi la formation ».
Nicolas LE BOURHIS, responsable de stérilisation à la Polyclinique de Kério, parle lui de reconnaissance de compétences. « Il était grand temps que les agents de stérilisation soient reconnus. La stérilisation est un service méconnu, or il est indispensable. Même s’il génère un coût direct, sans son intervention il serait impossible d’avoir une activité chirurgicale. Beaucoup de mes collaborateurs ont appris sur le tas. Bien qu’ils maitrisent la pratique, les apports théoriques de la formation leur ont permis de bien comprendre pourquoi on adopte tel geste plutôt qu’un autre. C’est donner du sens à la pratique et légitimer le statut d’agent de stérilisation ».
Pour Régine M, agent de stérilisation au CHP Saint-Grégoire depuis 13 ans, cette formation est une occasion de revoir les process qui ont parfois évolué en 10 ans. « C’est rassurant et le formateur est vraiment pédagogue, intéressant et à l’écoute. C’était une formation très enrichissante et elle n’est pas finie ».
Prochaine étape pour Régine et ses collègues, une évaluation pour valider leurs compétences
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fhpcommunication · 8 years
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La clinique de l’Union sur le terrain des sportifs
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Une prise en charge de  sportifs de haut niveau ou amateurs dès les premiers jours post-traumatiques  jusqu’au retour à la pratique de leur sport : c’est l’ambition du tout  nouveau centre baptisé Pôle Sport Union et adossé à la clinique de l’Union  (groupe Ramsay Générale de Santé) près de Toulouse.    « Depuis plusieurs dizaines  d’années, l’établissement développe son service de chirurgie orthopédique et  prend en charge de nombreux sportifs, expose Sébastien Travers,  kinésithérapeute à la clinique de l’Union. Le  nouveau centre est un espace novateur de rééducation de 300 m2 dédié aux  sportifs et aménagé spécifiquement pour leurs pathologies. Deux médecins du  sport et deux kinés, notamment en charge des équipes de France de waterpolo  et de beach volley, travaillent en étroite collaboration avec des  professionnels de santé libéraux pluridisciplinaires, ainsi qu’avec les  chirurgiens de la clinique. »    Ces compétences dédiées s’appuient sur un plateau technique de haut niveau  pour une prise en charge individualisée et innovante: isocinétisme  (évaluation de la force musculaire et des déséquilibres), cryothérapie,  Imoove (travail dissociatif des ceintures), bilans  préventifs Sparta Nova (prévention, évaluation pour le retour au sport), Skin  v6 (drainage, récupération, travail des cicatrices), analyse et correction de  la course à pied… 
 « Le Pôle Sport Union réunit  dans un même lieu les meilleures technologies au service de la rééducation  des sportifs, se félicite Sébastien Travers. Une première dans la région de Toulouse.  » Près de 200.000 € ont été investis par le groupe pour  l’acquisition de nouveaux équipements et l’aménagement de ce lieu dont la  Clinique de l’Union était déjà propriétaire.    L’initiative a rencontré un franc succès. « Dès le premier mois d’ouverture, le centre a accueilli  jusqu’à 25 patients par jour », se réjouit Fabrice Derbias,  directeur de l’établissement. Une centaine d’actes de rééducation pourra y  être réalisée au quotidien.    « Le Pôle Sport Union ne  s’adresse pas uniquement aux sportifs de haut niveau, tient à  préciser le directeur. Environ  30 à 40% des sportifs pris en charge évolueront dans des parcours  professionnels ou semi-professionnels. Tout type de public sportif pourra y  bénéficier des équipements et des compétences de notre équipe dédiés aux  traumatismes liés à la pratique d’un sport. »
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fhpcommunication · 8 years
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“Indispensable privé” L’édito de Lamine Gharbi président de la FHP
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Pendant la campagne électorale de 2012, l’un des conseillers santé d’un candidat à la présidence, à qui j’exposais notre crainte de voir notre secteur lentement disparaître, nous avait alors fait cet aveu à la fois candide et surprenant : « Mais nous n’avons aucun intérêt à ce que les établissements privés disparaissent. Au contraire, vous nous permettez de savoir quel est le seuil de coût le plus efficient en matière de santé !».
En d’autres termes, le privé constituait un aiguillon utile et pouvait servir en quelque sorte d’étalon en matière de coûts de santé. Malheureusement, la même équipe, une fois arrivée au pouvoir, n’en tira pas toutes les conséquences et mis fin abruptement et pour des raisons idéologiques à une convergence tarifaire qui aurait pu faire économiser à l’assurance maladie 11,7 milliards d’euros par an. Oui, vous avez bien lu : par an !
Si la concurrence a ses vertus, elle a aussi ses limites. On ne les connaît que trop bien. Ce sont celles des intérêts particuliers qui se hissent trop souvent au-dessus de l’intérêt général, qui distordent parfois la notion de service public à leur seul avantage et rendent malheureusement notre pays si difficilement gouvernable, et encore moins réformable. Le parcours épique et pour l’instant calamiteux de la loi El Khomri en offre un triste exemple, où l’on voit un pouvoir céder aux injonctions d’un étudiant de 27 ans, par ailleurs président de l’UNEF, plutôt que d’écouter les arguments d’un prix Nobel d’économie plutôt classé à gauche d’ailleurs, en l’espèce Jean Tirole, pour assouplir un marché du travail aujourd’hui complètement bloqué.
Bref, la main tremble, lorsqu’il s’agit de prendre des décisions douloureuses mais qui sont inévitables. Des années, des décennies sont ainsi parfois perdues à faire un pas en avant, deux pas en arrière, alors que les problèmes sont connus et les solutions identifiées.
En cela, le secteur de la santé apparaît emblématique de l’incapacité de notre pays à s’adapter, à se transformer, à se réinventer. Dans le secteur hospitalier, cela donne par exemple d’étranges contournements.
Ainsi, contraint de réduire les déficits et de faire des économies et ayant mis fin à la convergence tarifaire (achevée en Allemagne en 2009 !), le gouvernement a dû trouver une autre solution pour dégager des gains d’efficience. D’où la création des Groupements hospitaliers de territoire (GHT), dispositif imposé par la loi santé aux hôpitaux publics qui vont devoir mutualiser leurs moyens. Est-ce le prélude à la réorganisation des filières de soins sous la férule des CHU et à la fermeture de petits hôpitaux, aux seuils d’activités bien insuffisants et qui subsistent sous perfusion de l’Etat ? Cela semble bien, sans l’avouer, la direction prise par le gouvernement. La ministre de la Santé a eu beau rassurer en expliquant que tout cela se ferait sans suppression de postes, on voit mal comment cela pourra être le cas au final, surtout si l’on pousse au développement de la prise en charge en ambulatoire des patients.
Comme quoi, chassez le principe de réalité, il reviendra toujours au galop.
Lamine Gharbi
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