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Toutes ne mourraient pas mais toutes etaient visees
En septembre 20181, la ministre pour les droits des femmes et l’égalité du Royaume-Uni, Penny Modaunt s’est publiquement inquiétée de l’augmentation de femmes mineures demandant des prises en charge (hormonale et/ou chirurgicale) de changement de sexe .
Leur nombre est passé de 40 par an en 2009 à 1806 (par an) pour l’année 2017/2018 ( l’année scolaire, l’article ayant été écrit en septembre 2018). Une multiplication du nombre de cas annuel par 44 en à peine huit ans.
Les droits des lesbiennes ont mis plus de 40 ans à se mettre en place et en moins 8 ans le nombre d’enfants transgenres filles vers garçons est mutiplié par 44 (au Royaume-Uni) ?
En comptant les enfants des deux sexes, le nombre de changements de sexe pédiatriques est passé (au Royaume-Uni) de 97 par an en 2009 à 2518 par an en 2017/2018 et l’âge des enfants concernés diminue : 45 de ces enfants (en 2017/2018) étaient âgés de moins de 6 ans. Sous la pression de certains mouvements transgenres, le Royaume-Uni a mis en place dès 2011 un plan national visant à orienter les enfants non conformes aux stéréotypes de genre vers des cliniques spécialisées dans l’identité de « genre ».
En avril 2019, Polly Carmichael, directrice d’une de ces cliniques (en l’occurrence du Gender Identity Development Service au Nord de Londres) démissionnait avec cinq de ses collègues de toutes ses fonctions en disant qu’elle avait de plus en plus la sensation de participer à des thérapies de conversion d’un nouveau genre sur les enfants gays et lesbiens.
Elle raconte que parmi des employé.e.s de la clinique une blague circulait :
«Soon there would be no gay people left ! »
Bientôt, il n’y aura plus d’homos ! 2
A cela s’ajoute des propositions pour faciliter le blocage de la puberté (en plus ou à la place de la prescription d’hormones) chez les jeunes filles et petits garçons qui ne correspondent pas aux stéréotypes de genre, une proposition défendue par certains militants transgenres en France comme Océan Rose Marie3.
Des traitements parfois dangereux
Le médicament destiné au blocage de la puberté chez les petites filles s’appelle le Lupron. Le Lupron est ce qu’on appelle un inhibiteur hormonal, un médicament qui bloque certaines hormones. Le laboratoire Takeda Abbott qui le commercialise aux Etats-Unis a fait l’objet de multiples plaintes, dont deux ont été réglées à l’amiable via le versement en 2001 de 875 millions de dollars4 et en 2004 de 150 millions de dollars5. Les patient.e.s se plaignaient de douleurs chroniques similaires et concomitantes à la prise au long cours du médicament et beaucoup se sont vus diagnostiquées une baisse significative de la densité osseuse6.
Par ailleurs il est aussi probable que le simple fait d’arrêter la puberté ait des conséquences sur le cerveau.
Les liens entre le cerveau et la puberté sont encore mal connus 7, mais l’évolution au long cours de ces enfants non conformes aux stéréotypes de genre a elle été étudiée. Debra Soh, une psychologue canadienne qui s’est intéressée au sujet, a montré via des recherches cliniques poussées que la majorité des enfants et des adolescent.e.s s’identifiant au genre opposé dans l’enfance deviennent gays, lesbiennes ou bisexuel.le.s à l’âge adulte. Une minorité devient transgenre et une autre minorité devient hétéro non transgenre 8.
Les changements de sexe chez les enfants ne sont pas nécessaires dans la majorité des cas
D’autres études sur le sujet montrent qu’il existe un petit nombre d’enfants qui connaît une déconnexion9entre leurs caractéristiques sexuelles secondaires et certaines zones de leurs cerveaux, sans que nous ne sachions si cette déconnexion résulte de facteurs exclusivement biologiques, exclusivement sociaux ou d’un mélange des deux. Ces études montrent que cette déconnexion disparaît dans 73 % des cas à la puberté. D’autres études encore ont montrées que le cerveau finit sa maturation vers 25 ans 10. Il s’agit du dernier organe à finir sa puberté.
Les conséquences néfastes de ces changements de sexe pédiatriques sont déjà visibles
Au Royaume-Uni toujours, le premier réseau de détransitionneurs et de détransitionneuses (de personnes qui reviennent en arrière) s’est mis en place, notamment via Charlie Evans. Cette détransitionneuse de 28 ans a dit à la télévision anglaise en 2019 (Sky News est un équivalent britannique de M6 ou TF1)11:
«Je suis en communication avec des femmes qui sont dans la vingtaine, qui regrettent d’avoir pris des hormones ou fait des opérations. La majorité d’entre elles sont des femelles (females en anglais) attirées par le même sexe (same sex attracted) ».
Dans la vidéo, une autre femme détransitionneuse établit un lien entre ses troubles alimentaires et les motivations qui l’ont poussée adolescente à prendre des hormones. Il n’existe pas encore de statistiques officielles pour le moment (on parle d’une politique mise en place récemment), mais Charlie Evans fait état dans l’entretien d’un forum de détransitionneur.se.s anglophones (Royaume Uni, USA..) comptant 5 000 personnes, qui dans leur quasi-totalité ont transitionné très jeunes.
Il est difficile d’avoir des chiffres officiels sur le sujet de la détransition. D’abord parce que la majorité des détransitioneurs ont transitionné jeunes et que la politique des changements de sexe pédiatrique est récente. Ensuite parce qu’ à côté des personnes suivies médicalement il existe des adolescent.e.s qui achètent des hormones sur internet, modifiant leurs corps de façon irréversible en quelques mois.
Dans une autre interview (publié par un journal lesbien) Charlie Evans12 explique son parcours : (quand elle s’est rendu compte qu’elle aimait les femmes) :
« J'étais triste de savoir que je ne pouvais pas épouser une femme à ce moment-là, blessée de ne pas pouvoir avoir une famille qui ressemblait aux seules familles que j'avais vues … L'idée que je pouvais quitter l’oppression en m’identifiant à un homme hétéro m’a paru sur le coup libérateur.”
Comme beaucoup de détransitionneuses (comme par exemple les très jeunes femmes étatsuniennes du « Pique Resilience Project » 13) Charlie Evans continue d’avoir les cheveux courts et de mettre des habits masculins, simplement elle ne prend plus d’hormones masculines, elle est ce qu’on appelle une butch, une camionneuse, une lesbienne (ou une bisexuelle) masculine à l’aise dans son corps. Il y a un équivalent de ce type d’identité chez les gays. Même chez les hétéros, certains hommes aiment s’habiller en jupes et la société ne les y autorise pas.
Des hommes transgenres s’inquiètent du nombre grandissant d’adolescentes transitionnant
Des youtubeurs transmasculins (des hommes transgenres nés de sexe féminin) comme Kalvin Garrah14 ou Storm Ryan15 se sont même alarmés du nombre grandissant d’adolescentes entamant des procédures de transitions hormonales afin de devenir socialement des hommes. Kalvin Garrah s’est notamment alarmé du fait que certain.e.s adolescent.e.s des deux sexes prennent des hormones sans même être affecté.e. par cette deconnexion (qu’il appelle « Dysphorie ») par volonté d’avoir une autre identité sociale de genre (et non un autre sexe) tout en « passant » dans la vie de tous les jours.
Concernant les bloqueurs de puberté, il y a un autre souci : la principale étude citée pour justifier de la non nocivité et du caractère rétroactif des bloqueurs de puberté est celle de la Néerlandaise Henriette Delemarre-van de Waal16 , une chercheuse qui reconnaît publiquement ses liens avec l’industrie pharmaceutique.
Des financements de l’industrie pharmaceutique ouvertement reconnus dans certaines des études portant sur le sujet
Dans plusieurs de ces articles dont un 17 publié en 2006 par le European Journal of Endocrinology, elle remercie (en conclusion à la fin) Ferring Pharmaceuticals pour leur soutien (financier) à ses études sur le traitement des adolescents ayant des troubles de l’identité de genre.
« The authors are very grateful to Ferring Pharmaceuticals for the financial support of studies on the treatment of adolescents with gender identity disorders. » (Les auteurs sont très contents de Ferring Pharmaceuticals pour l'aide financière apportée à des études sur le traitement des adolescents ayant des troubles de l’identité de genre).
Ferrings pharmaceutical est une multinationale pharmaceutique basée en Suisse qui entre autre commercialise le Degarelix18, un médicament commercialisé depuis 2008 et destiné au traitement du cancer de la prostate.
Le Degarelix fait aussi partie de ce qu’on appelle les inhibiteurs hormonaux et peut donc aussi bloquer la puberté. Même si l’étude de Delemarre-van de Waal porte surtout sur l’utilisation du Lupron (qui n’est effectivement pas produit par Ferrings pharmaceutical), cet autre inhibiteur hormonal dont nous vous avions parlé en début d’article.
Les enfants et adolescent.e.s bloqué.e.s dans leur puberté finissent (contrairement aux autres) presque tou.te.s par transitionner
Si dans l’étude de Debra Soh, la majorité des enfants finissaient par accepter leurs corps dans l’étude de Delemarre-van de Waal la quasi totalité de ces enfants bloqué.e.s ont finis par transitioner.
Peut être parce qu’ils et elles sont bloqué.e.s dans leur puberté, peut être parce qu’ils et elles sont pris.es dans des protocoles médicaux ou des médecins (des adultes) les incitent à changer. Peut être que parmi eux/elles, certain.e.s seraient effectivement devenu transgenres à l’âge adulte de toute façon.
Mais peut être pas tou.te.s. Les conséquences sont permanentes. Ceux et celles qui arrêtent sans avoir fait d’opérations ne souffriront ‘que’ de séquelles permanentes (risques très accrus de certaines maladies, changements physiques, perte de cheveux…). Les autres devront en plus prendre des traitements à vie. Même ceux et celles qui détransitionnent devront prendre les hormones de leur sexe de naissance. Ils et elles sont destiné.e.s à devenir des rentes de l’industrie pharmaceutique. Jusqu’à leur mort.
Le réel est complexe et pas unique
Il peut sembler contradictoire d’accepter l’existence de personnes se définissant transgenres lesbiennes (et qui souvent refusent les opérations génitales pour des raisons qui leurs sont propres), gays, bisexuel.le.s ou pansexuel.le.s tout en rappelant que beaucoup de gays non transgenres ont été des petits garçons efféminés et que beaucoup de lesbiennes non transgenres sont un peu androgynes. Il ne s’agit pas ici de fournir un modèle théorique permettant d’expliquer les contradictions du réel.
Il s’agit de documenter ce réel en s’appuyant autant sur la réalité des vécus personnels de beaucoup de lesbiennes, gays et bisexuel.le.s non transgenres que sur des études scientifiques indépendantes des lobbies évangélistes et pharmaceutiques. Les partisants des bloqueurs de puberté citent eux des études sur les violences commises envers les femmes transgenres. Un sujet triste qui n’a pas de liens directs avec les débats concernant les changements de sexe chez les enfants.
Les lesbiennes à l'avant-poste de la résistance mondiale
En Corée du Sud19 , en Espagne20, en Suède21, en Angleterre22, en Amérique du Nord et en Nouvelle Zélande des lesbiennes se lèvent pour critiquer non pas les droits des personnes transgenres à être accepté.e.s mais les revendications patriarcales de certains mouvements extrêmistes se revendiquant abusivement de la cause trans.
Le conflit principal porte sur la question des protocoles de changement de sexe chez les enfants. L’autre point d’accroche concerne le «plafond de coton». Le plafond de coton est un concept inventé par la militante transgenre et actrice pornographique Drew DeVeaux pour désigner la non inclusion des femmes nées de sexe masculin ayant conservé leurs organes génitaux de naissance dans la culture érotique lesbienne23. Une revendication que beaucoup de lesbiennes apprécient très moyennement. Le coton dont il est question ici est celui des habits (des femmes nées de sexe féminin).
En 2012, le Planned Parenthood de Toronto (équivalent local du planing familial) organisait un atelier intitulé «Overcoming the Cotton Ceiling», (dépasser le plafond de coton). L’objectif ? Echanger autour des meilleurs techniques pour modifier les perceptions culturelles que la majorité des lesbiennes ont de leur propre sexualité pour qu’elles réussisent à trouver sexuellement désirables toutes les personnes se sentant femmes24 quelle que soit la nature de leurs organes génitaux.
Une maltraitance du concept de ‘lesbienne’ qui aggrave la situation
En France, certaines associations oeuvrant dans le champ des discriminations commencent à imposer une nouvelle définition au mot lesbienne : une lesbienne est une personne qui dit ces trois mots « je suis lesbienne », qu’elles souhaitent ou pas se faire opérer ou même prendre ou pas des hormones d’ailleurs. Dans cette optique, les lesbiennes qui sont nées de sexe masculin et ont gardés leurs organes génitaux de naissance sont les lesbiennes les plus discriminées de la galaxie à cause des préjugés culturels de la communauté lesbienne et doivent donc être plus mises en avant que les autres.
Une absurdité dénoncée par beaucoup de militantes lesbiennes comme participant du problème. Une jeune détransitionneuse Max Robinson a ainsi écrit :
Les lesbiennes qui voient leurs sœurs disparaitrent ont plus tendance à essayer de s’effacer elles mêmes (Lesbians who see their sisters disappearing are more likely to try to erase themselves)25
En parlant de sa petite copine K. qui s‘était retrouvée (avant de la rencontrer) dans une relation abusive avec une auto-identifiée lesbienne plus agée qu’elle, Robinson explique :
Parce que cette relation était qualifié de « lesbienne », elle s'est retrouvée coincée dans le cadre conceptuel dont elle avait désespérément besoin pour contextualiser ses expériences en tant que survivante de violences hétérosexistes. Cela l'a empêchée pendant longtemps de se définir lesbienne ou même femme.
Si une femme est une personne qui se dit femme, si les lesbiennes aiment les femmes et si elle était individuellement repoussée par les corps de certaines femmes, comment pouvait-elle être lesbienne ? Si les femmes sont ce que son ex-partenaire M. était, alors elle, K, devait être autre chose. Le langage queer se prête facilement au détournement cognitif qui déguise et déforme la capacité des femmes à nommer ce qui se passe ».
Ces lesbiennes sont maintenant rejointes par des gays, des bisexuel.les, des intersexué.e.s, des non binaires et même quelques militante.s trans indépendant.e.s comme Kalvin Garrah ou Storm Ryan évoqués plus tôt dans l’article mais aussi Miranda Yardley et Rose of Dawn inquiets et inquiètes du nombre de « faux positifs » et critiques de certains abus de certaines formes de transactivisme.
Cette année, au Royaume-uni, de nombreux militants lesbiennes, gays et non binaires, ont quitté la puissante fédération LGBT « Stonewall » pour créer l’Alliance LGB (the Lesbian, Gay and Bisexual Alliance - L’alliance gay, lesbienne et bisexuelle).
En conclusion
cet article se terminera sur les réflexions d’une membre de l’Alliance LGB, Helen Joyce 26:
« Au lieu de simplement lutter contre la violence, les brimades et la discrimination à l'encontre des personnes transgenres, et de faire pression pour que leurs soins de santé soient mieux pris en compte - des objectifs nobles et importants - certains groupes ont assumé une mission idéologique. On pourrait même dire quasi spirituel.
(..plus loin.)
Si l’Alliance se développe, elle pourrait contribuer à forger un nouveau consensus sur les droits des personnes trans, qui ne repose pas sur le déni de notre orientation sexuelle ou de notre sexe. Et qui sait? Si le bon sens prévaut, les communautés LGB et T pourraient un jour se réunir de nouveau».
Olivia Kunciki ps : en raison des agressions affectant toutes les personnes travaillant sur les sujets liés au “genre”, vous n’en saurez pas d’avantages sur l.es auteur.e.s.
1 https://www.telegraph.co.uk/politics/2018/09/16/minister-orders-inquiry-4000-per-cent-rise-children-wanting/
2 https://www.thetimes.co.uk/article/it-feels-like-conversion-therapy-for-gay-children-say-clinicians-pvsckdvq2
3 https://www.youtube.com/watch?v=Nv1z8ChU-I8 extrait du chapitre 8 sur la transition de Océan - 6 minute 50, « on va pas donner des hrmones à des enfants de 11 ans il s’agit de bloquer la puberté de façon reversible » en réalité il est fort probable que les bloqueurs de puberté soient encore plus dangereux (en terme neurologique) que les hormones.
4 https://www.nytimes.com/2001/10/04/business/2-drug-makers-to-pay-875-million-to-settle-fraud-case.html
5 https://www.prnewswire.com/news-releases/tap-pharmaceuticals-to-pay-150-million-to-settle-with-victims-of-lupron-scheme-75631402.html
6 https://www.wsbtv.com/news/local/georgia-woman-says-drug-used-to-treat-endometriosis-led-to-series-of-health-problems/859263892
7 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3410522/ ` Us national library of medicine, la bibliothèque nationale étatsunienne de médecine «Relatively little is known about the relationship between puberty and neural development in humans. » Nous savons peu de choses sur les relations entre la puberté et le developpement neurologique chez les humains.
8 l’article de Debra Soh a été traduit et publié par le journal le Point
https://www.lepoint.fr/debats/transsexualite-les-motifs-inavouables-des-therapies-de-conversion-precoces-24-11-2018-2274130_2.php
9 http://www.slate.fr/story/126833/etre-transgenre-ca-se-voit-dans-le-cerveau
D’autres études montrent que dès l'âge de 2 ans, des enfants peuvent ressentir un décalage entre leur anatomie et leur identité de genre, des sentiments qui s'évanouissent à la puberté dans 73% des cas
10 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3621648/ une autre étude à ce sujet disponible sur la US national library of medicine
11 https://news.sky.com/story/hundreds-of-young-trans-people-seeking-help-to-return-to-original-sex-11827740 (l'article avec un extrait du reportage) et le reportage en entier https://www.youtube.com/watch?v=7FRUDwDmkm0 L’article de Sky news qui date de 2019 et cite les chiffres officiels de 2018/2019 parlent d’une augmentation de 5,337 % (en anglais la virgule équivaut au point), une multiplication par 53 du nombre de cas par an par apport à 2011. Un chiffre mettre en lien avec les chiffres officiels de 2017/2018 (qui faisait état d’une multiplication par 44)
12 https://thevelvetchronicle.com/medicalization-of-gender-non-conforming-children-vulnerability-of-lesbian-youth/ un journal militant lesbien. Ce journal n’est pas « neutre » mais nous ne faisons que rapporter les propos de Charlie Evans sur son vécu
13 https://www.piqueresproject.com/
14 https://www.youtube.com/watch?v=ZEHyrP1AXAE une vidéo de Kalvin Garrah sur ce sujet
15 https://www.youtube.com/watch?v=pRMiaeCcq5g dans cette vidéo Storm Ryan, un youtubeur trans homme d’une trentaine d’années regarde et commente en compagnie de Arielle Scarcella une youtubeuse lesbienne une (autre) vidéo youtube du « Pique Resilience Project » ce groupe de très jeunes femmes détransitioneuses étatsuniennes.
16 http://yagg.com/2013/06/20/etude-le-traitement-pour-empecher-la-puberte-des-ados-trans-serait-sans-danger/
17 http://imatyfa.org/assets/s131.full.pdf son étude publiée par le European Journal of Endocrinology est publié sur le site d’une association soutenue cette mesure
18 https://www.caducee.net/actualite-medicale/8740/la-fda-autorise-degarelix-de-ferring-pharmaceuticals-nom-generique-dans-le-traitement-du-cancer-avance-de-la-prostate.html
19 https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSeiXGf4e-15J0WOpLhfVamdYzADn9OiPQLSVQ03hLICguX6aA/viewform
20 https://www.facebook.com/GetTheLOutEspana/
21 https://www.facebook.com/GetTheLOutSweden/
22 https://www.facebook.com/GetTheLOutUK/
23 https://factcheckme.wordpress.com/2012/03/13/the-cotton-ceiling-really/ extrait d’un échange entre une lesbienne critique de ce concept et une militante trans en faveur. Tous les partisants de cette idéologie disent “je suis pour le consentement MAIS la sexualité est construite socialement. Et si je me sens femme vous avez le devoir de me percevoir sexuellement comme femme malgré mes organes génitaux ».
24 https://www.facebook.com/PPToronto/posts/in-january-of-2012-planned-parenthood-toronto-in-partnership-with-other-local-pr/10150615471958021/
25 https://4thwavenow.com/2016/04/27/shrinking-to-survive-a-former-trans-manreports-
26 https://quillette.com/2019/11/04/meet-the-gay-activists-whove-had-enough-of-britains-ultra-woke-homophobes/
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