Don't wanna be here? Send us removal request.
Text
10 villes irrésistibles en Thaïlande
Au fil de ses régions, la Thaïlande recèle de nombreuses cités attachantes. Traditionnelles ou modernes, voici 10 cités à ne pas manquer lors de votre séjour.
Bangkok, la frénétique
Tentaculaire, ancestrale, moderne, fascinante… les mots ne manquent pas pour décrire la capitale thaïe. Avec ses 14 millions d’habitants, Bangkok, ville de contrastes, est un incontournable de tout voyage en Thaïlande. On commence par arpenter ses quartiers historiques de Rattanakosin et Banglamphu, bordés par la rivière Chao Phraya, à la découverte de temples et musées parmi les plus riches du pays. Puis, on se perd avec délice dans le foisonnant quartier chinois, avant de se frotter aux très modernes Silom, Siam et Sukhumvit, à l’est. Une expérience unique.
Hua Hin, la balnéaire
À 200 km SO km de la capitale, Hua Hin est l’une des escapades préférées des Bangkokiens. Si sa belle plage de sable invite à la baignade et aux sports nautiques, ce n’est pas le seul intérêt de la ville. On s’y rend aussi pour visiter sa jolie gare à la salle d’attente royale, faire des emplettes sur le marché de Chatchaï, admirer le palais de Klaï Kangwon et ses jardins ou profiter d’une très belle vue sur la baie du haut de la colline Takiab. Dans les environs, le palais de Maruekatayawan (à 15 km N de Hua Hin), le vignoble de Hua Hin Hills (à 35 km O de Hua Hin) et le petit port de pêche de Prachuac Kirikhan (à 89 km S de Hua Hin) sont à voir.
Ayutthaya, l’ancestrale
Fondée en 1350 par le roi U-Thong, Ayutthaya (à 86 km N de Bangkok) fût la 2e capitale du royaume de Siam avant d’être rasée par les Birmans en 1767. Restaurée avec soin, c’est aujourd’hui un site archéologique majeur du pays, inscrit au Patrimoine mondial par l’Unesco. Sur l’île artificielle centrale, située au confluent de trois fleuves, la cité antique déploie avec panache une quantité impressionnante de ruines de temples et palais, datant pour la plupart des XVe et XVIe s. On s’arrêtera plus particulièrement au sanctuaire Viharn Phra Mongkol Bopitr, qui abrite le plus grand bouddha de Thaïlande et à l’Ayutthaya Historical Study Center, qui retrace l’histoire de la ville grâce à de nombreuses reconstitutions. La ville moderne possède également des trésors, notamment l’imposant Wat Chai Watthanaram.
Chiang Maï, l’authentique
Capitale du Nord, Chiang Maï (à 700 km N De Bangkok) est une ville à taille humaine très préservée, qui ravira les voyageurs à la recherche d’authenticité. Au sein des remparts de la vieille ville, le temps semble s’être arrêté : les maisons en teck côtoient les temples anciens, dont le très beau Wat Phra Singh, dans un cadre verdoyant. Elle est également connue pour être la capitale de l’artisanat, et l’on chine volontiers objets de déco (notamment de l’argenterie et des laques) et bijoux dans ses marchés et ateliers. Au départ de Chiang Maï, vous pourrez aussi partir rencontrer les éléphants dans l’un des centres de protection et conservation des pachydermes de la région.
Paï, l’écolo
Nouvellement thaï (elle n’a été rattachée au pays qu’en 1911), la petite ville de Paï est une charmante étape dans le nord du pays, à 135 km NO de Chiang Maï. Dans un cadre verdoyant de rizières, vous partirez à la rencontre de sa population musulmane d’origine chinoise dans ses guesthouses et petits cafés. Très ouverte à l’écotourisme, vous pourrez y pratiquer de nombreuses activités sportives en pleine nature (rafting, VTT, trekking à pied) et vous lancer dans des excursions à la découverte de la région et des beautés alentour (notamment les chutes de Ma Peng et les sources chaudes de Tha Paï, à moins de 10 km).
Mae Hong Son, la birmane
À la frontière avec la Birmanie, à 230 km NO de Chiang Maï, se dresse Mae Hong Son, une ville entre deux mondes où les Thaïs sont désormais minoritaires face aux Shans birmans. Vous pourrez y visiter de très beaux temples, dont celui de Doï Kong Mou, dressé sur une colline surplombant la ville, et celui de Wat Chong Klang, construit en bordure de lac. C’est le point de départ idéal pour des treks et excursions dans des villages padaungs, où vivent des « femmes-girafes ».
Chiang Raï, la surprenante
Tout au nord du pays, à 185 km NE de Chiang Maï, Chiang Raï est la capitale du « Triangle d’Or », région à cheval entre la Thaïlande, le Laos et la Birmanie. On y vient pour ses quelques temples, dont le spectaculaire Wat Phra Kéo. Mais la ville est surtout le point de départ d’innombrables randonnées et excursions vers les villages des minorités des montagnes environnantes. Dans les environs, prenez-en plein les yeux au Temple blanc (à 13 km de Chiang Raï), à la fois kitsch et grandiose, découvrez le musée de l’Opium de Chiang Saen (à 61 km NE de Chiang Raï), et visitez les villages de Mae Saï (à 63 km N de Chiang Raï) et Mae Salong (à 63 km NO de Chiang Raï).
Nong Khai, la laotienne
Reliée au Laos par le pont de l’Amitié et toute proche Vientiane, la capitale du Laos, Nong Khaï se trouve à 650 km NO de Bangkok. C’est une ville en plein développement, qui conserve cependant un charme provincial. S’étirant le long du Mékong, Meechai Rd, son artère principale, aligne maisons-boutiques et résidences de négociants aux influences chinoise et française. En plus de ses quelques temples abritant gongs et bouddhas célèbres, on s’y rend pour découvrir son impressionnant parc des sculptures, le Sala Kaeo Ku (à 3 km E de Nong Khai). Créé dans les années 1970, c’est un vaste jardin peuplé de statues en béton inspirées du bouddhisme et de l’hindouisme pour le moins… étonnantes. Inclassable, en somme !
Nakhon Phanom, le bout du monde
Située au bord du Mékong, aux confins de l’I-San, la petite ville de Nakhon Phanom (à 730 km NE de Bangkok) a comme des airs de bout du monde. Surnommée « ville des montagnes », on y découvre de jolis temples anciens en profitant de vues à couper le souffle sur le fleuve et les paysages environnants. L’influence du Laos voisin s’y fait particulièrement sentir, et l’on peut même traverser le Mékong pour se rendre à Thakhek, la ville laotienne qui lui fait face. Une fois par an, à la fin du carême bouddhique (aux alentours d’octobre-novembre), Nakhon Phanong s’anime lors de la fête des Bateaux illuminés. Dans ses environs s’élève l’un des temples plus plus vénérés de Thaïlande, le Wat Phra That Phanom (à 50 km S de Nakhon Phanom) : vieux de 1 500 ans, il abriterait une relique de Bouddha depuis le IXe s.
Phuket Town, la vibrante
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, on ne se rend pas à Phuket uniquement pour son sable fin ! La capitale de l’île (à 840 km SO de Bangkok) est une jolie ville très animée, qui porte les traces d’une histoire passionnante. En visitant son centre-ville le long de ses shophouses, maisons étroites avec boutiques au rez-de-chaussée, on part sur les traces des immigrants chinois Hokkien. Galeries et cafés arty s’y sont installés, pour des visites et pauses branchées. Autre incontournable : son gigantesque Night market aux étals colorés, où l’on trouve aussi bien de la street food à se damner que des babioles à moindre coût. Mais les plages ne sont jamais loin, et vous trouverez forcément un spot à votre goût. Les plus belles ? Naï Yang (à 34 km NO de Phuket Town), au cœur d’un parc naturel boisé, et Naithon (à 33 km NO de Phuket Town), pour amateurs de plongée et snorkeling.
0 notes
Text
Les 10 plus beaux voyages en train
Pour fêter la sortie du livre Les plus beaux voyages en train des Guides Bleus (en librairie le 3 novembre 2016), on vous propose une sélection des plus beaux voyages ferroviaires présents dans le livre.
Europe
Gornergrat Bahn : au sommet de l’Europe, la plus haute ligne à crémaillère en plein air au monde (Suisse). À l’allure poussive de 20 à 30 km/h, ce train gravit ses 9,4 km de voie étroite au pied du mont Cervin. La ligne a été inaugurée en 1898 après deux ans de travaux, mobilisant 2 400 ouvriers durant la seule période possible pour organiser un chantier, entre la fonte des neiges et le début de l’hiver. Dans les quatre gares du parcours, au cours du voyage, les passagers peuvent monter et descendre à leur guise pour découvrir les environs à pied, à vélo, à ski ou sur une luge.
Des voitures superbement restaurées (une grande partie fut construite vers 1930 par la Compagnie des Wagons-Lits, à l’origine de l’Orient-Express) composent ce palais sur rails. Certaines furent même utilisées par la famille royale britannique lors des voyages de Calais à la Côte d’Azur. Al Andalus circule surtout le matin, laissant tout loisir le reste de la journée pour découvrir des sites touristiques autrement inaccessibles par le rail. Le déjeuner et le dîner se prennent tour à tour à bord ou aux étapes, dans des restaurants haut de gamme.Asie
En Corée du Sud, des trains touristiques révèlent des joyaux cachés. Une déco vintage et un confort sommaire ont déjà fait de ce train un phénomène quasi-culte. Parcourant 28 kilomètres en une heure environ, le V-train traverse les profondes vallées luxuriantes au cœur du Baekdudaegan, la chaîne montagneuse qui coupe la péninsule dans sa longueur. À l’extérieur, les wagons sont peints dans un rose fuchsia ludique, et, à l’intérieur, une palette acidulée contraste joyeusement avec la nature qui s’invite dans les voitures par l’encadrement des larges fenêtres.
Viceroy Special : le seul train à vapeur du Sri Lanka. En service depuis 1986, le Viceroy Special se compose de deux voitures-salons, un wagon-restaurant et une voiture-bar tractés par des locomotives à vapeur de facture britannique dont certaines remontent à 1927. L’aménagement intérieur mêle décoration coloniale et confort moderne avec fauteuils inclinables enveloppants, climatisation et wi-fi. Les plages dorées, les palmiers et les lagons bordés de mangrove qui défilent sur le parcours lors du voyage prouvent que la vie a repris, après vingt-six années de guerre civile et le tsunami de 2004.
Amérique
Hurricane Turn : l’ultime aventure en Alaska, faire arrêter le train à la demande. En service depuis 1923, c’est l’un des derniers flagstop trains des États-Unis : le conducteur arrête le convoi sur simple demande des voyageurs, à la montée comme à la descente. Les passagers sont pour beaucoup des habitués : pêcheurs à la ligne ou fous de ski, citadins qui rejoignent leur chalet le temps d’un week-end… La ligne assure également un lien avec la civilisation pour ceux qui vivent à l’année au contact de la nature. Le personnel note où descendent les passagers et à quel moment chacun souhaite prendre le train du retour.
Belmond Hiram Bingham : accéder par le rail au Machu Picchu (Pérou). Après trois heures de voyage en wagons Pullman, un bus VIP convoie les passagers (84 au maximum) jusqu’au Machu Picchu pour une visite guidée. Sur le trajet du retour, un dîner gastronomique inspiré de la cuisine andine est servi, accompagné d’une sélection de vins et de bières péruviens ainsi que du pisco sour, le cocktail national préparé au shaker à base de pisco(eau-de-vie péruvienne), de sucre, de citron vert et de blanc d’œuf.
Afrique
Rovos Rail : la fierté de l’Afrique du Sud. Si un vol de Pretoria à Cape Town dure deux heures, le voyage demande trois jours à bord du Pride of Africa, le train de Rohan Vos, fondateur de la Rovos Rail. Dans le train, ni radio, ni télévision, ni wi-fi ; l’usage du téléphone portable et de l’ordinateur est strictement confiné aux cabines. Aux distractions de notre époque, la Rovos Rail préfère les paysages somptueux, l’art de la conversation et les délices épicuriennes. Afin de préserver l’esprit de l’âge d’or du voyage en train, les passagers sont conviés à dîner en smoking ou robe du soir.
Tazara Railway : le train du peuple (Tanzanie-Zambie). Chaque jour une foule bruyante et bigarrée emprunte cette ligne à voie unique, qui traverse 1 180 km de paysages parmi les plus accidentés d’Afrique. Sa construction fut le plus coûteux projet d’aide au développement financé et réalisé par la Chine sur le continent africain, entre 1970 et 1975. Le train traverse la réserve naturelle de Selous, l’une des plus vastes au monde avec ses 54 600 km². Le long des voies, les passagers peuvent observer des éléphants, des phacochères, des antilopes et des girafes depuis longtemps habitués au passage de la machine.
Rovos Rail © Martha de Jong-Lantink/Die Gestalten Verlag GmbH & Co. KG, 2015
Océanie
TranzAlpine : de Christchurch, ville jardin, à la côte sauvage occidentale de Nouvelle-Zélande. Outre un départ quotidien et un temps de trajet qui permet l’aller-retour dans la journée, ce train offre le plus fabuleux des voyages panoramiques. En 2013, à l’occasion de son vingt-cinquième anniversaire, il s’est doté de voitures panoramiques à ciel ouvert. Des cartes sur écrans LCD et des commentaires audio en cinq langues agrémentent le voyage. Après les 250 m de dénivelé du tunnel d’Otira, le plus long du pays, le train émerge dans des paysages de larges vallées glaciaires, de forêts humides tempérées et de chutes d’eau.
Ghan : périple dans l’Outback australien. Long de 774 mètres, ce géant débonnaire d’une trentaine de wagons, tracté par deux locomotives diesel, se déplace à une vitesse moyenne de 85 km/h. Selon le prix du billet, le niveau de confort varie d’un siège inclinable en classe économique au service des classes « Gold », « Platinum » ou « Private », avec compartiments privés comprenant espace chambre et salon, restauration haut de gamme et excursions aux escales. Les passagers sont même autorisés à embarquer leur véhicule personnel sur le train afin de continuer le voyage au-delà du terminus.
0 notes
Text
10 villes irrésistibles en Turquie
Par l’équipe du Guide Évasion
La Turquie est un grand pays. Des marches de la Perse aux limites de l’Union européenne elle est parsemée de villes à l’histoire extraordinairement riche. Petit menu non exhaustif des cités incontournables à visiter.
Istanbul, la millénaire
Istanbul, Byzance, Constantinople. Quel que soit le nom qu’elle ait porté, il a toujours été synonyme de richesse et de magnificence. Carrefour entre l’Europe et l’Asie, la capitale culturelle turque brasse les mondes et ne laisse aucune place à l’ennui. Cité pleine de vie avec ses mosquées et ses bazars mais aussi ses galeries d’art contemporain et ses boîtes de nuit, elle est changeante et pleine de surprises.
Konya, la pieuse
Konya est l’un des berceaux de la civilisation turque. Elle a attiré bon nombre de poètes et de savant aux alentours dès XIIe siècle. Aujourd’hui ses habitants ont conservé un mode de vie très oriental : la ville regorge de mosquées et de musées mais sait aussi se faire agréable et vibrante dans la soirée.
Antalya, la méditerranéenne
Antalya est l’une des plus jolies villes de la côte méditerranéenne turque. Sa vieille ville constitue un exemple remarquable d’habitat ottoman. L’animation se concentre autour du vieux port où l’on trouvera une ribambelle de restaurants et de boutiques. Ne manquez pas le Musée archéologique, l’un des plus riches du pays.
Safranbolu, l’ottomane
Ce joyau de l’urbanisme ottoman est plus qu’un musée en plein air : certes, il introduit parfaitement le visiteur dans l’art de vivre oriental des XVIII et XIXe s. Mais ses airs de cité commerçante où il fait bon vivre en font également une étape des plus agréable. Une ville absolument incontournable, la preuve, elle est inscrite au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco.
Göreme, la spectaculaire
Trop spectaculaire pour garder l’anonymat Göreme est l’une des villes de Cappadoce à ne pas manquer. Ses nombreuses églises et son musée d’art rupestre en plein air viennent subtilement s’insérer dans un paysage à couper le souffle fait de milliers cheminées constituées par l’érosion. Faites un détour par Uçhisar, petite ville à 4 km de Göreme dont les ruelles recèlent de nombreuses maisons troglodytes. Dépaysement garanti !
Bodrum, la jet-set
Bodrum, la mythique Halicarnasse, est aujourd’hui une célèbre station balnéaire posée sur la côte égéenne. Tout y respire le farniente : les terrasses des cafés, les rues encombrés de boutiques et les magnifiques plages de sable telles que Ortakent, Karancir, Torba et bien d’autres.
Edirne, l’artiste
Cette ville du nord de la Turquie, située dans la partie européenne de la Turquie, cultive une atmosphère provinciale empreinte de parfum oriental. Elle possède de superbes mosquées résumant l’évolution de l’art ottoman à travers les siècles. Celle de Sélim, réalisée par l’architecte Sinan en 1574 est l’une des plus belles du monde.
Izmir, la jeune
Au début du XXe s. Izmir s’appelait encore Smyrne. Elle était peuplée par de nombreux Grecs et Arméniens, qui commerçaient dans toute le Méditerranée. Et puis patatras, la ville est ravagée par la guerre Gréco-Turque : plus de 180 000 réfugiés s’exilent. Aujourd’hui c’est une dynamique métropole turque, qui assure son avenir grâce à la vitalité de sa population, très jeune. Elle recèle quelques très belles maisons, en particulier dans le quartier d’Alsancak, lieu particulièrement animé par de nombreux bars.
Amasya, la provinciale
Cette bourgade paisible du Nord du pays a tout pour elle : un décor naturel grandiose, le charme de ses anciens quartiers ottomans avec ses somptueuses demeures et quelques monuments illustrant le premier art musulman tel que la mosquée Sultan Beyazit ou la forteresse supérieure. Que demander de plus ?
Ayvalik, la balnéaire
Cette charmante station balnéaire de la côte égée, dont la vieille ville fut habitée par les grecs juqu’en 1923, est le lieu d’un sympathique marché qui se tient le jeudi : l’huile d’olive y est la grande spécialité. La baie face à la cité est parsemée de nombreuses îles vierges, qui invitent au farniente.
0 notes