Notre faille d'instinct grégaire La philosophie, le changements des moeurs à travers l'expérience, la révolte passagère, grossi��re est nécessaire comme une crise d'adolescence. L'amour est une aspiration universelle.
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Alice Miller, The Drama of the Gifted Child: The Search for the True Self
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Résignation
Je me résigne à accepter de souffrir, ainsi j'en pâtirai moins. Momentanément je l'accepte en faisant un travail que je déteste, qui n'exploite rien de mes intérêts.
Cette abîme fait sens dans une stagnation au niveau évolution et une régression financière sévère, je n'arrive pas à pleurer, je n'ai aucune empathie envers moi même, je n'ai qu'un sentiment culpabilisant de n'en pas en faire assez, d'être un gros boulet. Me bourrer la gueule, me blottir dans des bras, ou partir en vacances ne sera qu'une manière de faire l'autruche...
Je prends exemple ici et là pour me sortir de ce cercle infernal qui me rend esclave des conséquences de mon esprit pervertis par la surconsommation égoïste. Je me résigne à travailler pour payer des factures quitte à blesser ma vie sociale, la seule chose que je dois respecter c'est ma santé physique. Qui dit résignation, dis routine, c'est peut-être la constellation du Taureau qui m'influence, je me rappelle qu'en avril j'ai envoyé au diable les personnes et les taff qui me montaient les nerfs. Que vais je faire sous l'influence du gémeau? Qui sait avec la poussée d'air, j'ai hâte de voir du changement évolutif et des contraintes en moins. Ce qui me rassure c'est qu'en réalité les choses changent, elles peuvent changer du jour au lendemain... La résignation du changement, drôle d'antiphrase...
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Mon envie de blasphémer est forte, des femmes de ma famille me tapent sur le système avec leurs références aux lois religieuses pour se dicter ce qu'il faut faire ou pas... Euh d'accord crois ce que tu crois mais ne m'emmerde pas avec des phrases du genre:
"la vie d'ici, c'est rien",
"pense au salut de ton âme",
"la météo c'est du mytho",
"personne n'est allé sur la Lune",
"c'est ça la vérité, parce qu'il y a des preuves scientifiques",
"regarde, c'est des signes de la fin du monde"
Je suis sortie peu à peu de ma religion de naissance, ça me gonfle cette pitié envers moi égarée, la différence c'est que je réfléchis à une morale qui s'ajuste en fonction des situations et pas à des dictats infantilisants et aspirant à une soumission de ses croyants.
Vous me faites chier, je ne suis pas athée, ni agnostique, je dis pas mes croyances pour pas emmerder ceux qui sont pas concernés...
N'hésitez pas à commenter vos expériences du genre, cela me fera plaisir.
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Ce jour, j'ai vu une vidéo d'une conférence d'un célèbre psychiatre, il y définit la psychologie positive, la différencie du développement personnel et d'une autre forme de psychologie courante.
De façon anecdotique, il y a une image très perturbante qu'il a affiché en diapo, il y a deux réponses possibles, et à mon grand malheur celle que j'ai choisi témoignerai d'un état dépressif ou d'une façon différente de fonctionner au niveau du cerveau...
Je trouve que le courant des psychologues positifs est plus galvanisant, innovateur et nous évite de nous fixer dans une réalité victimaire, fragile et pessimiste.
En effet il relate l'efficacité à relever chez le patient les côtés positifs et négatifs, pour éviter les ressassements
Elle peut réparer aussi l'estime de nous même sans passer par le côté trop affectueux familier, en appuyant sur les points positifs de la vie du patient, ainsi son estime remontera, il est des études qui le prouvent.
Il parle aussi de la méditation pleine conscience mais moi ayant un TDAH, l'effet ce cette dernière me rend encore plus tête en l'air.
Je vous laisse regarder la vidéo.
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J'ai connu differentes passions qui n'étaient pas issues d'un héritage, ces dernières n'avaient aucun fil conducteur entre elles, je dirai même qu'elles pouvaient être ennemies. En effet une passion en éteint une précédente, la decridibilise (je ne peux comprendre le concept de polyamour).
J'ai été passionnée par le muay thai pendant 6 ans, la psychanalyse pendant 3 ans, les chats (je connaissais quasiment toutes les races, les maladies, l'âge idéal de sevrage...), Harry Potter (livres, films, magazines, posters), le BDSM (en tant que dominatrice), l'art de cracher du feu, la religion musulmane (j'étais passionée par la prière, je l'ai aimé pour sa convivialité, pour sa modestie lorsque je me prosternais... mais les écrits coraniques me paraissaient inadéquates, j'ai eu une compréhension littérale, les femmes sont en second plan et la légitimité de possession d'esclaves m'en a éloigné), j'ai été passionnée par l'ésotérisme (la différence entre un voyant et un medium, le medium entre en contact avec les défunts et esprits, il peut aider à faire passer une âme errante qui hante dans l'au delà et le voyant voit l'avenir, le présent et le futur), pour moi le libre arbitre reste maître. En effet j'ai eu des prédictions et j'ai pu aller à l'encontre, ces personnes ont des dons de télépathie entre autres. Ces êtres ont une réelle aptitude malmenée en sciences, cependant lorsqu'elles parlent de notre vie sentimentale et professionnelle ce n'est que le reflet de ce que nous ressentons vis à vis d'une personne et l'image que nous pensons avoir auprès d'elles.
La seule qui ne m'abandonnera jamais c'est la philosophie et l'outil est la contemplation de mes rencontres et expériences bonnes ou mauvaises.
Des rencontres ont allumés et éteins des passions, j'ai plus appris lorsque j'ai éprouvé de l'attachement pour des individus qui me paraissaient supérieurs car talentueux et populaires.
Je ne me sentais pas à la hauteur mais c'était très stimulant, je souhaitais rattraper ce retard, leur côté inspirant me passionnait.
Et en fait ce qui m'a toujours paru inouïe c'est qu'il arrivait qu'ils s'inspiraient de moi, je me dis toujours qu'ils se trompent, ils découvriront ma médiocrité...
C'est souvent pour ça que je fuis la proximité avec ces personnes si passionnantes et magnétiques, je préfère toujours être dans la distance et eux aussi.
#passion #foi
#psychanalyse #experiences
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La socialisation est un amont de codes contextuels appris, si une personne a des difficultés d'apprentissage il en résultera une difficulté d'integration...
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Diagnostiquée sur le tard, j'ai eu l'explication de mes nombreux échecs et de mes multiples passions changeantes.
Je suis à l'heure actuelle en train d'aménager ma vie pour avoir une meilleure hygiène de vie grâce à un traitement non sans effets secondaires.
-manger des choses plus saines à des heures adéquates
-mieux gérer mes priorités au niveau de mes dépenses.
-aller au bout de mes projets pro (meilleure capacité de concentration et d'apprentissage grâce au traitement).
-Dyscalculie amoindrie.
J'évite un diabète, une prise de poids de plus en plus conséquente et ainsi une mort précoce.
Il me reste la dépression à soigner... J'aimerai m'éviter un anti depresseur medicamenteux. Jadis j'ai essayé le neurofeedback cela a été efficace mais sans mon traitement je me demande s'il sera tout aussi efficace avec, cela à un coût, 60€ la seance...
Le TDAH est un trouble neurodeveloppemental, il n'est pas visible en imagerie cérébrale et est multifactoriel.
En conséquence le diagnostique est clinique, c'est un trouble très fréquent qui a un point positif qui n'est pas des moindres qui est l'esprit explorateur et créatif.
Je publie le lien qui en parle à merveille.
N'hésitez pas à m'en parler en MP ou en commentaires, cela me fera plaisir d'échanger avec vous.
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SILVIA FEDERICI
Par de là les frontières du corps
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« Être seul comme on était seul, enfant, lorsque les adultes allaient et venaient, pris dans des affaires qui semblaient importantes et considérables, puisque les grandes personnes avaient l'air très occupées et parce qu'on ne comprenait rien à leurs gestes. Lorsqu'on s'aperçoit un beau jour que leurs occupations sont piètres, leur métier figé et qu'ils n'ont plus de lien avec la vie, pourquoi ne pas continuer, tel un enfant, à porter là-dessus le même regard que sur ce qui est étranger. »
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Une collègue: j'ai 20 ans, je vis avec mon copain, pour l'instant je suis aide-soignante, j'ai passé un concours infirmier, j'ai raté l'oral car ma mère m'avait punie et m'avait forcé à avorter, je me sentais pas bien, avant ça j'avais une famille très soudée, très complice, je me suis enfuie, je ne parle plus à ma famille et je me porte très bien, je profite de la vie et je ne pense presque jamais à eux.
Moi: personne te manque ?
C: si un peu mon petit frère, mais ils lui ont interdit de me parler.
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Le bout d'une vie d'une collègue me fait penser au film la couleur des sentiments de Spielberg.
C'est l'heure du goûter à l'EHPAD, on est dans la salle à manger, table en bois, assise sur son fauteuil, une résidente chante à tue-tête. Je me dis que c'est son truc qu' elle a trouvé pour se sentir, se rassurer. Ma collègue une belle grand camerounaise se lève, me parle: j'habite très loin d'ici, ce sont les formateurs qui ont choisit de m'envoyer ici, j'ai déjà fait un stage près de chez moi, j'étais la seule femme de couleur. Un jour je voulais aller aux toilettes et une aide soignante en sortait, elle m'a dit "toi tu ne peux pas utiliser ces toilettes tu vas nous refiler tes microbes, utilisent celles avec les résidents." sachant qu'il y a un résident qui était porteur d'une infection urinaire.
Quelques jours sont passés, j'ai pris des pâtisseries pour tout le monde, je suis hypocondriaque je fais souvent des prises de sang, je l'ai prise au mot j'ai ramené le papier qui prouve que je n'ai rien à refiler comme microbes. Le jour même je lui ait montré mon papier, je l'ai allumé devant tout ses collègues en rapportant les faits. Elle s'est excusée, la direction s'est excusée, j'ai dit à la fameuse personne "un seul regard travers et ça finira à la police, je ne suis pas née ici mais je paye mes impôts"
Moi: non mais attends, on est en 2019!
C: c'était en 2018
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Une collègue: lorsque je me suis mariée, mon mari me réveillait toutes les nuits à 5h, pour me faire l'amour, j'avais 21 ans, j'en pleurais. Lorsque je suis fatiguée et que je dors je le laisse faire, et parfois j'y prends goût.
Moi: pourquoi tu lui dit pas d'arrêter ?
C: parce que si je lui résiste il ira voir ailleurs
Plusieurs collègues se sont jointes à son avis
#sex #violconjugal #couple #mentalité
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Jeune femme de 26 ans: avec toutes tes questions je me suis rendue compte que je ne suis pas une passionnée de la vie, des gens, de ma propre mère..., je ne comprends pas et ne sait pas quoi dire aux personnes qui me disent qu'ils m'aiment... Et je pense que ça ne changera pas, je ne suis d'ailleurs jamais tombée amoureuse, je n'aime pas trop les voyages, je n'aime pas les enfants, je déteste les massages, je ne suis pas tactile, je n'ai aucune expérience amoureuse, ça n'est pas par abstinence ou chasteté, ça ne m'intéresse pas... La jeune femme commence à pleurer, elle me dit qu'elle culpalbilise face aux personnes qui lui disent "je t'aime"
Je lui ait dit on s'en fou des gens, soi toi même, il y a bien des femmes qui assument et arborent leurs poils sous leurs aisselles. Tu as le droit de pas aimer, mais stp sois heureuse d'être comme tu es.
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Une collègue d'une soixantaine d'années: je ne veux pas que ma fille s'occupe de moi quand je serai bonne à rien, je souhaite aller en maison de retraite, ma fille est en Afrique du Sud, que veux tu que j'y fasse, nos enfants ne nous appartiennent pas...
Moi: c'est bien les mœurs d'ici, dans d'autres cultures, les personnes âgées ne sont pas considérées comme un fardeau mais comme des personnes pleines de sagesse qu'il faut écouter et chérir. Tu verras plus tard la personne la plus précieuse que tu voudra voir à tes côtés sera ta descendance, j'estime que les soignants ne sont pas censés être aimants mais bienveillants.
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Un collègue: je suis un ancien militaire, ça m'a appris à agir au plus vite, ça m'a appris à ne pas trop me poser des questions, car j'ai remarqué qu'aucune décision n'est sans conséquence. Ne pas agir est aussi une décision, trop réfléchir c'est pas bon et plus tu réfléchis moins tu agis...
Mon père était très carré et dur, je sais faire la lessive, les camarades de l'armée me payaient pour que je leur fasse leur linge, je n'aime pas rien faire, je ne regarde pas la télé, je suis beaucoup en mouvement.
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Les femmes ont été malmenées c'est un fait, le traumatisme est ancré depuis des millénaires...
En effet j'ai succombé sans aller jusqu'à l'échange charnel au charme de femmes et j'ai constaté que même lors de relations amoureuses entre elles, elles ont peu confiance en elles...
Elles ne ressentent pas la légitimité d'être aimées pour ce qu'elles sont, si elles ne sont pas dans la recherche de la réassurance, dépendantes de l'autre, elles jaugent les motivations de l'autre.
Lorsqu'elles sont entreprenantes, elles peuvent devenir possessives, c'est ce que j'ai vécu à titre personnel.
Je ne trouve pas la sérénité, elles sont évidemment perspicaces, clairvoyantes mais je me demande si ce qualificatif d'enquêtrice découle de toute l'inquiétude et la sensation d'illégitimité dans l'amour, les femmes souffrent essayent de lutter contre leur propre mysoginie sans s'en rendre compte.
Elles recherchent des preuves plus à travers des actes que des mots, la suspicion peut être grande, ainsi elles peuvent se crée une forteresse mystique narcissique inaccessible protectrice cependant elles peuvent t'observer de loin...
J'avoue qu'elles me font peur, il en découle une part mysogine à éteindre chez moi, car il y a eu trop de mystère representatives erotiques de nos désirs actifs, se perdre avec une femme est fascinant mais le plus inquiétant c'est l'inconnu et la complexité de leurs désirs qui alimentent certainement nos peurs les plus profondes...
Les hommes seraient violent par peur de se sentir impuissants face aux femmes, peut être parce que l'être nourricier qui l'a mis au monde en est une.
Peut-être qu'en fait ce n'est pas tant le soucis de l'angoisse de castration mais un complexe de ne pas pouvoir porter la vie, ils naissent, ils meurent, les femmes naissent, créent une vie et meurent.
J'ai ouïe dire que la grossesse est une sensation d'immortalité temporaire.
Je ne définis pas ici la femme dans sa dimension de genre social ou biologique, je la définis au niveau de sa représentation psychanalytique, car la première femme de notre vie est notre mère.
La dépendance affective, les papillons ne sont pour moi que des conséquences d'un être meurtri qui recherche une réparation...
C'est une chimère, personne dans la relation d'adulte ne peut panser de manière définitive cette structure psychique.
La seule chose qui pour moi est intéressante à vivre c'est l'inspiration, l'autre peut être un miroir de ce que l'on est ainsi il nourrit des qualités créatives, l'autre est là pour laisser jaillir certaines belles choses qui sont déjà là en nous .
Ce qui peut être davantage merveilleux c'est de voir l'autre s'inspirer de moi...
En dépit toutes nos failles narcissiques, cette mélodie vaut la peine d'être vécue.
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Il était une fois, une idée après un énième échec amoureux cisgenre. Considérant que l'amour peut se vivre sans tourment de l'ego, comme un flot heureux pur saupoudré de tendresse, de soutien et d'attirance... J'ai alors eu un rencard avec une Sissy toute jeune, timide, innocente, frileuse, petite, aimant l'esthétisme des vêtements et d'une maison. La rencard fut prudent, conduit de beaucoup d'écoute venant de moi, j'ai fait effectivement pas mal de gaffes à mon sens en disant en gros que l'avenir d'une Sissy est jonché d'échecs sentimentaux mais d'une abondance charnelle. Cette personne m'a paru clairement comme étant dans la quête du désir de l'autre pour s'épanouir comme une fleur au Soleil. Elle se fichait pas mal de mon esthétisme. Je fus assez mutique, car en ce moment je ne supporte pas m'écouter conter ma vie peu passionnante en dehors des discussions philosophiques. Il y a eu un baiser, je n'étais pas très motivée mais pas rebutée, le cadre était idyllique, devant la Seine sans personne en plein milieu de la nuit... La magie n'a pas opéré, (pas encore) malgré que j'ai été charmé par quelques expressions uniques de son visage. A la suite de ce rencard, je me suis sentie extrêmement vide, effectivement mon ego était totalement mort pendant deux jours. Durant ces deux jours je n'écoutais plus de musique, je songeais même à la mort comme étant salvatrice, il y a eu je pense un deuil, car dans cette misère profonde j'ai su renaître en contemplant simplement les étoiles en respirant, j'ai eu la sensation d'un amour inconditionnel sans affection physique, le ciel m'a paru comme familier, l'air comme généreux. J'ai été surprise de ressentir autant de joie et d'émerveillement. Je fais partie de ce tout, la sensation de vide est un deuil. Affaire à suivre...
#amour #sissy #vide #rencard #attirance
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