C'est le bazar dans ma tête, alors des fois je range ici, des fois chez mon psy
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Je te remercie d'être venu m'aider lundi. Tu avais tous les droits de refuser, d'envoyer l'un de tes employés ou de me dire de contacter une autre entreprise.
Ta présence m'a rassurée, ton regard m'a donné la réponse qu'il me fallait : tu n'as pas joué avec moi, tout était bien réel.
J'ai eu la sensation de pouvoir respirer de nouveau après des mois en apnée. Je peux être moi, forte et vulnérable, parce que tu peux être toi, parce que je vois tes parts d'ombres, tes doutes que tu caches au monde par ton assurance et ta prestance.
Nous n'aurions pas dû céder à nos envies et pourtant je n'arrive pas à le regretter, j'avais besoin de ton corps contre le mien, de tes baisers, de tes caresses, de la sensualité, de l'intensité qui se dégage de toi.
Si tu savais comme tu m'as manqué. Si tu savais comme tu me manques.
La tristesse est là mais je ne suis plus brisée, je sens que je suis sur le chemin de la guérison, enfin !
Je t'aimerais toujours, c'est une certitude mais aujourd'hui j'ai l'espoir de pouvoir tomber amoureuse d'un autre, un qui sera libre de m'aimer en retour.
Prends soin de toi Maxime, arrêtes de te faire passer après les autres pour avoir une chance de t'épanouir.
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Comment je vais ?
Mal, Maxime. Je regrette tellement de t'avoir rencontré. Cette histoire m'a brisée et je ne sais pas comment me relever. C'est la première fois que je reste aussi longtemps sans savoir comment je vais m'en sortir, ni si je vais m'en sortir. Toutes les V.S.S subies ne m'ont pas vaincue, tomber amoureuse m'aura perdue.
Notre rupture a eu lieu le 21 décembre 2023. Depuis j'ai fait tellement d'insomnie que j'ai largement assez de mes 10 doigts pour compter les nuits complètes. Et ça, le manque de sommeil, c'est dur, très dur.
Ton appel du 1er janvier à 00h03. Je ne sais toujours pas pourquoi tu m'as appelé à ce moment-là. Alors oui, tu m'as donné une explication mais je ne suis pas convaincue. Nous nous étions mis d'accord : plus aucun contact entre nous.
Je crois que c'est le moment où j'ai pris conscience que tu avais pu jouer avec moi durant notre histoire.
Et puis j'ai découvert que j'étais enceinte, après 22 ans à me croire stérile. Je ne t'explique pas le choc psychologique, ni celui physique parce que 4 mois après, une part de moi reste dans le déni.
L'interruption précoce de grossesse. La perturbation, encore.
Vivre tout ça seule parce que je ne voulais pas te stresser. Sauf que j'aurais eu besoin de toi, j'aurai eu besoin de soutien et j'étais, je suis, seule pour gérer tout ce que ça a entraîné. Les effets physiques commencent seulement à se calmer. C'est long.
Nos échanges irréguliers, parce qu'aucun d'entre nous n'a su résisté.
Ton annonce que ça n'allait plus avec ta femme. Comme je t'en veux de m'avoir donné une lueur d'espoir ce jour-là, encore.
Ta promesse à ta femme de ne plus la tromper. Tes messages me disant que tu avais envie de moi. Ta présence sur Gleeden. Toujours, malgré ta promesse.
Et puis le contact de trop, celui où j'ai décidé de dire STOP. Parce que tu es égoïste, parce que tu joues avec moi, avec mes sentiments.
Alors je t'ai demandé de sortir définitivement de ma vie. Et je me suis brisée un peu plus à l'idée que cette fois, c'était terminé pour de bon.
J'ai commencé à tomber malade juste après. Mon état a empiré jour après jour, jusqu'à ne plus pouvoir me lever, ne plus pouvoir manger, vomir encore et encore.
Je remonte doucement, plus d'un mois après. Je n'ai aucune idée de comment m'en sortir. J'ai l'impression de n'avoir que de la tristesse et de la colère en moi. Je ne sais plus où est l'espoir, où est la joie. Et c'est dur. Très dur pour l'optimiste que je suis normalement.
Et ce questionnement autour du non-désir d'enfant qui ne me quitte pas, auquel je ne trouve aucune réponse, n'aide pas.
Tu m'as brisée Maxime. Dans un peu plus d'un mois cela fera un an que nous nous sommes rencontrés et j'aimerais tellement revenir en arrière pour me dire d'annuler ce rendez-vous.
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Aujourd'hui quelqu'un m'a dit qu'il n'aurait jamais pensé pouvoir me toucher émotionnellement tellement je me protège au quotidien contre l'extérieur.
Cette phrase tourne depuis plusieurs heures dans ma tête.
Avec toi je me suis ouverte, totalement. Tu en sais plus que mes meilleures amies et quasiment autant que mon psy.
J'ai bien senti que depuis notre rupture je me refermais sur moi-même mais pas à ce point et pourtant...
Maxime. Tu m'auras fait tellement de mal.
Je suis malade depuis 3 semaine maintenant. Malade au point de ne pas avoir pu me lever. Malade au point de ne plus pouvoir manger. Malade au point que ma médecin, qui déteste les analyses et trouve ça inutile, m'a fait prélever 10 flacons de sang cette semaine. Je n'ai pas encore les résultats mais je n'aime pas ça.
J'en parlais ce soir et la personne m'a demandé depuis combien de temps je t'avais demandé de sortir de ma vie.
3 semaines Maxime.
3 semaines que je t'ai demandé de sortir de ma vie définitivement et 3 semaines que je suis malade.
Je ne crois pas aux coïncidences, tu le sais.
J'aurais préféré ne pas te connaître Maxime.
Sans cette rencontre je ne serais pas tombée amoureuse, je n'aurais pas eu le cœur brisé, je ne serais pas tombée enceinte, je n'aurais pas vécu une interruption précoce de grossesse, je n'aurais pas ce sentiment permanent d'être seule, même quand je suis entourée.
Maxime.
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C'est fait. Je t'ai demandé de sortir définitivement de ma vie.
Maxime, si tu savais comme ça fait mal, si tu savais comme tu me fais souffrir.
Je regrette de t'avoir rencontré. J'aimerai revenir au 22 juin et refuser cette rencontre.
Parce que depuis le 22 décembre je ne dors plus, je n'ai pas fait une seule nuit complète depuis, je suis épuisée.
Parce que cette grossesse a un impact physique et psychologique auquel je ne m'attendais pas. Je refuse ce qu'elle vient travailler.
Parce que tu mens. Tout le temps. Que je ne peux pas te faire confiance. J'ai longtemps pensé que tu étais perdu, que tu te mentais à toi-même et donc aux autres. Aujourd'hui je pense que tu m'as menti consciemment, que tu as joué avec moi et ça c'est non. Tu es l'une des rares personnes à connaître ma vulnérabilité et tu en as profité.
Parce que tu me mets en colère, suffisamment pour que, parfois, j'ai la tentation de prévenir ta femme. Mais je ne veux pas lui faire du mal, tu lui en fais assez. Je lui souhaite de te quitter, elle mérite tellement mieux que toi !
Tu lui as promis de ne plus être infidèle mais tu continue de me dire que tu as envie de moi. Tu lui as promis de ne plus être infidèle et pourtant tu es toujours très actif sur un site de rencontres infidèles bien connu...
Tu n'en n'as pas marre de mentir et de causer de la souffrance aux personnes que tu dis aimer et respecter ?
J'en viens à te détester et pire encore : à me détester de t'avoir laissé me traiter comme ça, de m'avoir brisé un peu plus que je ne l'étais déjà.
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Tu ne me rends pas les choses faciles.
Tu me demandes s'il vaut mieux être fidèle à ta femme et malheureux ou infidèle et heureux.
Tu me donnes envies de hurler.
Il n'y a pas que ces deux solutions. Et même si j'aimerais avoir une vraie relation avec toi, ce n'est pas forcément ce que je te souhaite.
Parce que je t'aime, je veux que tu trouves ta place, que tu trouves ton bonheur. Avec ou sans moi. Mais des solutions, il en existe bien plus que ces deux-là.
Je ne hurle pas mais je t'ai mis un coup de pied au cul quand même. Il le fallait.
Je ne sais pas si tu oublie l'amour que je te porte, si tu t'en moque, si tu joue ou si la partie de toi que tu ne connais pas encore, que tu évite, m'aime aussi mais qu'est-ce que tu me fais mal parfois.
Je suis perdue.
Si je devais faire un vœu à propos de cette journée, ce serait de te voir, d'être dans tes bras, même juste quelques secondes. Et en même temps, je sais que c'est une très mauvaise idée.
Tu as chamboulé ma vie, je ne sais plus comment faire pour la ranger. Je me sens très seule alors que j'ai la chance d'avoir des amies d'exception.
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Je ne dors plus. Depuis notre rupture je ne dors plus. Plus de 3 mois d'insomnies.
Je suis au bout, moralement, physiquement, je suis épuisée.
J'essaie de t'oublier, de te sortir de ma tête, de mon cœur mais je n'y arrive pas.
Souvent j'ai l'impression que la seule chose qui me permettra d'aller mieux c'est que tu me prenne dans tes bras.
Alors que c'est ce qu'il faut absolument éviter.
Je me retiens de t'écrire, de prendre de tes nouvelles et ça me rend folle de ne pas savoir comment tu vas.
Je me retiens de te proposer de passer, parce que je sais que si je te le propose, tu ne résistera pas ou pas longtemps.
Je sais que tu as peur. Tu as peur parce que tu as besoin de sécurité et que je ne la représente pas du tout.
Tu as peur car tu sais qu'avec moi tu devrais assumer qui tu es vraiment, partir à la découverte de toi-même et te libérer.
Te libérer des schémas familiaux, te libérer du regard de la société, te libérer de ton éducation religieuse.
Et en même temps, est-ce que tu as peur ou est-ce que tu joue simplement avec moi ?
Est-ce que tu me mens, est-ce que tu te mens ?
J'aimerais tellement que nous ayons une véritable discussion, sans faux-semblants, sans secrets, en assumant tous les deux nos erreurs, nos envies, nos espoirs même si nous pensons ne jamais les voir se réaliser.
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Je sais depuis l'âge de 12 que je n'aurais pas d'enfant, je n'en veux pas.
Mais cette grossesse, tomber enceinte de toi, a bousculé 22 ans de certitudes.
Je ne sais plus du tout où j'en suis.
Ma seule certitude c'est de ne pas vouloir d'enfant avec un autre.
Et mon autre certitude c'est que toi et moi, c'est presque sans espoir.
Presque, parce que tes mots, tes actes, m'en donnent un peu, parfois. Et je t'en veux de me faire subir ça.
Tu me connais, tu sais que je suis entière, que je n'ai jamais été amoureuse avant et toi, tu te permets de jouer avec moi. Alors évidemment, tu affirmes ne pas jouer, tu affirmes que c'est difficile pour toi aussi mais j'ai de plus en plus de mal à te croire Maxime.
Parfois j'aimerais avoir la force de te bloquer définitivement, de te sortir de ma vie, que tu ne puisse plus jamais y avoir la moindre place mais je n'y arrive pas.
Parfois, je souhaite ne jamais t'avoir rencontré.
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Je ne te fais plus confiance
Je ne te fais plus confiance. Il y a un tel décalage entre tes actes et tes mots.
Parfois dans un sens.
Parfois dans l'autre.
Et moi, je ne sais plus.
Alors je ne te fais plus confiance.
Je ne me fais plus confiance lorsqu'il s'agit de toi.
Tu as mis un tel bazar, un tel chamboulement dans ma vie.
Maxime.
Tu m'as demandé si je regrettais notre histoire.
Je t'ai dit non. J'avais un doute à ce moment-là mais le "non" l'emportait.
Aujourd'hui je me dis que j'aurais préféré ne jamais te rencontrer.
Mon ex-mari c'est 10 ans de violences conjugales.
Toi c'est 6 mois de relation extraordinaire.
Et pourtant, c'est toi qui m'a fait le plus de mal. C'est toi qui as réussi à me briser.
Si tu savais comme je me bats depuis 3 mois pour retrouver celle que je suis.
Si tu savais comme c'est dur de ranger ce bazar que je t'ai laissé mettre.
Maxime.
Tu connais mes sentiments pour toi, tu sais parfaitement que je suis entière, que j'ai besoin de temps mais tu continue de m'écrire de temps en temps.
Me disant même que je t'ai apporté énormément, que tu as envie de me voir, que tu espère me revoir.
Tu me fais espérer, tu joues avec moi et si j'arrive à te dire que nous ne devons pas nous voir, j'ai un mal fou à faire taire l'espoir.
J'aimerais tellement ne t'avoir jamais rencontré. Ne pas savoir qui tu es. Ne pas savoir ce que c'est d'être amoureuse. Ne pas savoir ce que c'est, un cœur brisé.
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Mon ventre est vide.
Mon ventre est vide. Il l’est depuis le 26 janvier, veille de mon anniversaire.
J’ai senti que j’étais enceinte, sans avoir réellement de symptômes mais je savais. Je savais qu’il s’agissait d’une fille, aussi.
Et puis quelques symptômes sont arrivés : les seins plus gros, plus lourds, l’absence de SPM, l’absence de règles…
J'avais conscience que mon âme, ma tête, mon cœur et mon corps l'avait choisis, lui. Lui et personne d'autre. J'en ai eu la preuve avec cette grossesse.
Alors j’ai veillé à provoquer une fausse-couche. Parce que c’était plus facile que de faire un choix. Parce que j’avais peur de la décision que je prendrais. Je n’étais pas absolument certaine de passer par l’avortement. Parce que c’est la fille de Maxime.
Je ne souhaite pas vivre une grossesse ni un accouchement donc je pense que j’aurai avorté, mais de là à en être absolument certaine… Je ne le suis toujours pas.
Une part de moi a espéré avoir fait un déni de grossesse. Une part infime mais quand même présente.
Heureusement, je n’étais enceinte que de quelques semaines et j’ai fait une fausse-couche. Merci à mon endométriose et mon SOPK d’avoir facilité ça.
J’ai perdu notre enfant, notre fille.
Et sans m’y attarder, sans lui dire au revoir, je suis passée à autre chose. J’ai enfermé ce qui se passait dans ma tête, jeté ce coffre dans un coin et j’ai continué.
Mais.
Mais j’y pense de plus en plus chaque jour. Encore plus depuis que j’ai eu mes règles cette fois. J’ai ressenti le vide. L’absence de cette enfant. L’absence d’un futur lié à Maxime.
Parce qu’aujourd’hui, plus rien ne me lie à lui. Et c’est douloureux, ce vide.
Alors je m’interroge : est-ce que je suis certaine de ne pas vouloir d’enfant ?
La réponse n’est pas aussi simple qu’un oui ou un non.
La réponse est que je ne veux pas vivre une grossesse ni un accouchement. La réponse est que je ne veux pas perdre ma liberté ni mon indépendance.
La réponse est que si je n’avais pas eu à vivre la grossesse ni un accouchement, que j’avais des moyens suffisants en terme de temps, de finances, d’énergie, j’aurais eu cette enfant. La réponse est que je ne me vois pas maman, pas à temps plein.
La réponse est que je pourrais potentiellement être belle-mère. Avec la bonne personne, construire une famille différente mais où règnent l’amour et la bienveillance, serait une jolie aventure.
Mon ventre est vide, mon sein droit a perdu plus que ce qu’il a pris, me rappelant chaque jour dans le miroir que je ne suis plus enceinte. Et parfois je le vis bien, parfois je le vis mal.
Je ne sais pas comment expliquer ce que je ressens. C’est le bazar dans ma tête.
Ce que je sais, c’est que j’aurais aimé pouvoir en parler avec lui, qu’il me prenne dans ses bras en me disant que tout ira bien, même si mon ventre est vide, même si notre relation est terminée, même si nous ne devons plus jamais avoir de contact.
Ce que j’aurais aimé, c’est qu’il soit honnête. Qu’il s’ouvre à moi comme je l’ai fait. Peu importe ce qu’il en ressort, pourvu qu’il le pense réellement et pas pour 10 minutes comme le reste.
J’aurais aimé savoir si ce ventre vide le soulage totalement. J’aurais aimé savoir si une part de lui aurait eu envie d’autre chose, même infime. J’aurais aimé savoir si je lui manque ou si au contraire, il est passé à autre chose. J’aurais aimé savoir s’il a des regrets. J’aurais aimé savoir comment il dessinerait sa vie si tout était possible, sans limites, sans contraintes.
Je ne saurais jamais, parce que nous ne sommes plus en contact et qu’il n’est plus possible de l’être.
Mon ventre est vide et je suis chamboulée d’en être perturbée.
Mon ventre est vide et c’est le bazar dans ma tête.
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