Nous voilà, suspendus, dans cet étrange espace – temps du confinement, encore étourdis par l'actualité mondiale et avec le fort désir d’un monde commun. Lire l'édito ici... Le CCO, mais aussi des artistes, des associations et des participants vous partagent des articles, images, conseils et inspirations. Nous invitons chacun à y contribuer. #les invisibles fantastiquesUn appel à création ouvert à toutes et tous pour créer des êtres fantastiques. #Un monde communDes initiatives, alternatives pour faire autrement en temps de crise et après. #Nouvelle grammaireDes liens pour continuer de cultiver son esprit mais aussi son corps. #Émissions légèresIntermèdes et expressions d'artistes #un fort désirUne question ? On a peut-être la réponse !
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Voici l'épisode 2 des “Chroniques d’une caissière-covid”, le feuilleton de l'été !
Dans cette chronique j'observe les gens (moi y compris) et j'en tire de la matière pour réfléchir sur la période que l'on vit. Tout le monde semble savoir que les caissières et caissiers sont généralement déconsidéré.e.s, or la crise du Covid a mis en lumière l'importance de ce m��tier. Je ne sais pas ce qu'on retiendra de cette pandémie ni de celles qui suivront mais je crois qu'à l'annonce du confinement, j'ai eu comme un besoin vital de faire quelque chose. Certain.e.s ont fait des masques, d'autres ont sauvé des vies, beaucoup se sont tout simplement réapproprié la leur. Moi, j'ai pris un boulot de caissière et j'en ai fait une BD.
Découvrez l’épisode complet par ici > https://www.facebook.com/pg/Lappluie/photos/?tab=album&album_id=301924364535708
Merci à Céline (ancienne stagiaire au CCO) de nous partager ces épisodes.
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Bonjour et bienvenue parmi les Komainu Yosakoi Lyon pour partager un moment de détente et de culture, à la découverte d’une danse Japonaise.
Les Komainu sont des créatures à l’apparence de Lion issues du folklore japonais, chasseurs de mauvais esprits, ils sont les gardiens des temples et sanctuaires du pays ; Komainu c’est aussi une association Villeurbannaise créée en septembre 2018 et domiciliée au CCO.
Aujourd’hui c’est une trentaine de membres se réunissent deux fois par semaine pour partager leur passion du Japon à travers une danse originale et pleines de surprises : le Yosakoi.
Inventée dans les années 50 au Japon, cette danse, traditionnelle mais pas trop, est l’audacieux projet des élus de la ville de Kôchi pour revaloriser la région et redonner le sourire à ses habitants dans l’après-guerre. Le Yosakoi peut être dansé sur scène ou lors de grandes parades colorées dans les rues ; ses rythmes peuvent être lents ou endiablés, enjoués ou plus mélancoliques, ses pas sont en général faciles à mémoriser et à exécuter, si bien que tout le monde peut se joindre à la danse. Le Yosakoi se danse avec toutes sortes d’accessoires même si les Narukos (castagnettes), règnent encore en maitre.
Aujourd’hui nous vous proposons un tutoriel de Seicho, la toute première chorégraphie de Yosakoi ayant été créée.
Êtes-vous prêts à danser ?
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La Pluie est un projet artistique qui mêle écriture, musique, dessin, journalisme (et même beatmaking!). Initié par Céline Fabre, ancienne stagiaire au sein de la recherche-action Palimpseste au CCO présente le premier épisode de la série "Les chroniques d'une caissière-covid"
Cette série de 10 épisodes s'inspire de mon expérience de caissière en grande surface pendant le confinement. Au fil des pages publiées chaque dimanche soir, vous suivrez mes observations, réflexions, élucubrations dans ce cadre si particulier de crise sanitaire mondiale. Je suis très heureuse de partager ce projet avec vous et je serais ravie d'avoir vos retours ! Très bonne lecture, La Pluie
Découvrez l’épisode intégral ici
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La lune et la nuit de Jacques Prévert Une vidéo poème présentée par Myriam Gharbi - Compagnie L
La Cie.L domiciliée au CCO à pour objet la création théâtrale. Rendre accessible au plus grand nombre les textes l'acte de création dans un esprit d'éducation populaire. Comédienne et metteur en scène depuis 1992, Myriam Gharbi est également diplômée d'État d'enseignement du théâtre depuis 2006. En 2013, elle est à l’initiative de la création de la Compagnie L où elle met en scène et joue “Lili la bagarre” de Rachel Corenblith spectacle tout public. En 2018 elle crée “Je réfléchis” de Kazuo Iwamura avec Carole Got et prochainement création en 2021 De "La chienne de l'ourse" de Catherine Zambon au Théâtre de l'Iris.
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RÉZOTOPIA - TROPHÉES DE L'ENGAGEMENT DES JEUNES 2020
Atelier Capacités, nouveau cco-worker propose de voter pour leur projet RézoTopia présenté aux Trophées de l’Engagement des Jeunes 2020. Vous avez jusqu’au 10 juin !
Qu’est-ce que Rézotopia ?
Il s’agit d’un projet de réseau d’îlots de biodiversité en toiture, permettant de concilier les enjeux de densification urbaine et d’animation de la vie locale avec les impératifs écologiques et sociaux. L’objectif est de créer un maillage d’espaces aménagés (publics ou privés) en toiture plate / terrasse, afin de favoriser entre autres la biodiversité, l’agriculture urbaine et le lien social entre les citoyens. Pour poursuivre cette démarche de réappropriation et de végétalisation des toitures, ils ont aujourd'hui besoin de vous !
👉 http://trophees-engagement.fr
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En Quête de Sens est l’histoire de deux amis qui se retrouvent après 10 ans et que tout oppose.. Marc exporte de l’eau en bouteille à New York, Nathanaël travaille lui dans la gestion collective de l’eau. Les deux amis se retrouvent juste avant le début de la crise de 2008 qui sera comme un détonateur. Marc cloué au lit après s’être cassé le pied finit par visionner les documentaires laissés par son ami, il prend alors conscience qu’en exportant de l’eau minérale, il fait lui aussi partie du problème.
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Les jeunes engagés “Les Kapseurs” ne manquent pas de bonnes idées ! Les Kolocations à Projets Solidaires permettent à des jeunes de vivre en colocation et de s’engager avec les habitants dans des quartiers populaires. Concept innovant et original, inspiré des Kots-à-Projets de nos voisins belges, les Kaps reposent sur un principe simple : à chaque colocation correspond une action de solidarité menée avec les habitants, pour favoriser le vivre ensemble. Les Kaps répondent aujourd’hui à un défi majeur : comment remettre de l’humain dans l’urbain ? Du côté des jeunes en Kaps qui sont restés sur Villeurbanne, leur engagement est pour l'instant mis en stand bye, mais ils ont créé quelques initiatives originales, comme cette colocation à Charpennes qui a réalisé une grande banderole en soutient aux habitants alentours. Mais aussi en proposant leurs aides aux plus démunis et aux voisins la Boube et de la Clairière (Buers Croix-Luizet).
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Les créations fantastiques continuent de fleurir durant les beaux jours !
Une création réalisée par Marion
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Ironie du sort...
Un texte proposé par Christophe Hanniet, artiste du Piano vagabond, association accompagnée par le CCO. Depuis quelques semaines, la place est déserte. J’ai l’habitude de la traverser rapidement depuis le début du confinement, mais mon regard est encore arrêté aujourd'hui par un détail, toujours le même… Malgré cette atmosphère de "fin du monde" due à l’épidémie qui semble pétrifier toute la ville, la vidant, en apparence, de toute âme… une sorte de personnage sorti d'un Guignol continue d'esquisser un sourire à sa fenêtre, sur la grand-place ! Et pas seulement à vingt heures pétantes, moment du rendez-vous devenu rituel, mais du matin au soir… et du soir au matin, tel la Joconde !
Cet individu se fait également remarquer, malgré la fermeture de tous les salons de coiffure, par sa belle et longue chevelure grise, impeccablement bouclée… Une perruque, peut-être ? En fait, cet homme est peint. Un portrait en trompe-l’œil, cadré par une fausse fenêtre ouverte, elle-même dessinée dans le coin d'une grande bâche, couleur crépi, qui habille un échafaudage de ravalement de facade…Le personnage écarquille les yeux comme s'il comprenait soudain - ou reconnaissait quelque chose - en regardant la place… Une main posée sur le faux rebord ; l'autre tenant un livre avec une certaine ostentation…Mais qu'est-ce donc que cette improbable marionnette, et quel est son message ? On peut lire un nom sur le faux mur, à gauche du portrait, ainsi que deux dates : Jean-Baptiste GOIFFON 1658-1730.
M'arrêtant un instant au milieu de la place, je découvre, en ouvrant très vite un autre genre de fenêtre - cette fois sur mon minuscule écran magique portatif - qu’il s’agit, d'après son nom, d’un grand médecin lyonnais du début du XVIIIème siècle… Et je lis dans la foulée que c'est dans cet immeuble du 8, place Bellecour que ce fameux docteur Goiffon avait en son temps son cabinet de ville. D'où, me dis-je, cet hommage patrimonial in situ, permettant d’honorer, le temps du chantier, une personnalité ayant vécu là. Bon, très bonne idée… Et je reprends mon chemin. A cette fenêtre du deuxième étage (je devrais dire du premier, car cet immeuble lyonnais comporte un typique entresol, sorte de mini-premier étage qui compte ici pour du beurre !), trône donc cette figure plaisamment perruquée ; elle est vraisemblablement là pour créer un peu de vie, distraire le passant pendant la durée des travaux… Ces derniers ayant débuté en septembre 2019, donc bien avant la pandémie mondiale qui, à présent paralyse tous les chantiers.
Mais je reste invariablement sur ma faim à chaque fois que je passe au pied de cette fresque, car il n'y a pas moyen de lire le titre du livre que cet homme tient à la main ; quelle frustration pour mon esprit curieux ! Mais quel est donc ce livre ? Je sens qu'il faut absolument que je le sache, mais pourquoi ? Cette petite énigme me taquine de plus belle, cette semaine-là. Mais rien à faire ; les caractères, vus d'en bas, sont désespérément trop petits…Il faudrait une longue vue, ou bien voler à cinq mètres du sol, au-dessus de la chaussée avec un drone ! Très peu pour moi ! Et où trouver des jumelles, en ce moment ?
Alors, un matin, j'essaie de "zoomer" sur la fresque en passant, comme ça, juste par curiosité, juché sur un banc, en face… avec mon téléphone, faute d'appareil photo. Je veux aussi, je crois, rassurer mes yeux et mon esprit fatigués, qui, depuis quelques temps, croient distinguer sur la page de titre un mot… assez effrayant, en vérité. Je veux en avoir le cœur net. Je tends le bras et clique sur le déclencheur.
Regardant alors mon écran et agrandissant entre mes doigts l'image capturée, je crois avoir la berlue en voyant ces trois mots, enfin lisibles sur la couverture : …Sur la Peste…
Sidéré, je recherche vite les références de l’ouvrage, prenant à peine le temps de respirer. Et je dévore alors tout ce que je lis sur cet homme. Jean-Baptiste Goiffon est bien l'auteur de plusieurs ouvrages et articles sur la peste, publiés dans les années 1720. (le peintre s'était nécessaire-ment documenté l'été dernier !). Sous le titre d’Observations faites sur la Peste qui règne à présent à Marseille et dans la Provence, le livre en question, écrit il y a exactement trois cents ans, a été édité à Lyon en 1721.
Il s'agit d'un ouvrage collectif, une sorte de rapport détaillé et commenté des actes de soins et investigations d’une équipe médicale pendant la Grande Peste de 1720. Arrivé sur le dos de quelques puces dans une cargaison d'étoffes et de soieries, ce fléau a décimé en six mois la moitié de la population de Marseille, et tué, rien qu’en France, cent mille personnes au bas mot, dans des circonstances absolument atroces...
Jean-Baptiste Goiffon, après s'être illustré en botanique et en anatomie au XVIIème siècle, deviendra relativement célèbre en tant qu'"infectiologue" avant l'heure, ses conceptions visionnaires sur les modes de contagion, notamment, faisant lui, de manière posthume, un des précurseurs de la théorie microbienne.
Au sein du corps médical, ce médecin très réputé passait pourtant pour un illuminé, ou du moins pour un original… Non pas à cause de ses longs cheveux gris - plus que banals à l'époque ! - mais parce qu'il parlait devant ses collègues de quelque chose pouvant sembler un peu irréel, en effet… mais qui s'imposait chaque jour de plus en plus nettement à sa raison : La présence nécessaire, pour expliquer les principaux processus de contagion, d'êtres minuscules, de "vermisseaux invisibles", "se mouvant comme des vers ou des insectes et se multipliant de foudroyante façon, transportés par les personnes, les bêtes et les marchandises". "Les causes de la peste sont animées", disait-il.
Mais les spéculations géniales de notre savant paraissaient un peu folles aux yeux de presque tous ses collègues. Alors qu'elles n'étaient en réalité qu'un peu (beaucoup) en avance sur la technique et la science ! Notre Goiffon commençait à envisager l'existence d'un univers - devenu aujourd'hui très banal : celui de l'infiniment petit en biologie, ce grouillement de myriades de micro-organismes… lesquels ne seront réellement observables et objectivables qu'à la fin du siècle suivant.
On doit tout de même à cet homme d'avoir réussi à barrer la route, en 1721, à la redoutable peste de Marseille, évitant qu'elle ne remonte toute la vallée du Rhône et contamine le Lyonnais… Devenu échevin de la ville et imposant coûte que coûte ses vues aux bureaux urbains de santé, il obtient, en effet, mais non sans efforts, que des mesures d'hygiène très strictes soient prises pour enrayer la peste noire galopante qui semait la mort depuis un an dans le Sud du royaume. Des mesures comme, par exemple, le débarrassage et le nettoyage des rues, l'interdiction de s'y rassembler à plus de quatre personnes, l'isolement et la prise en charge éventuelle des mendiants, ou encore l'installation de "quarantaines" où toutes les marchandises en transit devaient être désinfectées. Les convictions et la détermination du docteur Goiffon permettront de stopper cette vague mortifère, en sauvant la cité de Lyon et toute sa région - déjà durement éprouvées au siècle précédent par une épidémie de peste mémorable…
Et voilà que, par pur hasard, exactement trois cents ans plus tard, au cœur même de la cité et en plein épisode de Covid 19… un trompe-l’œil nous remet involontairement en mémoire, pour notre plus grand intérêt, ce trop peu connu docteur Goiffon, pionnier de l'épidémiologie…. Sidérante coïncidence ! Sachant que ce tulle de chantier a été vraisemblablement posé fin août 2019, donc en toute innocence !
Ironie du sort !
Ce médecin génial, quoi qu'il en soit, semble aujourd'hui nous interpeller depuis sa fenêtre… Aurait-il une nouvelle idée ? Serait-il le Super Goiffon que nous attendons tous ? Peut-être bien… que non. Hélas !... Une chose est certaine, c'est qu'il avait de l'inspiration et du talent, ses hypothèses ayant, en 1720, cent cinquante ans d'avance sur la découverte des microbes et autres bactéries - lesquels ne commenceront à être visualisés et "officialisés" qu'à partir de 1870, à la faveur du génie de Pasteur, entre autres, et d'un perfectionnement incessant de nos microscopes (sans dis-continuer jusqu'à aujourd'hui, les minuscules virus, eux, n'étant visibles, par exemple, que depuis quelques dizaines d'années…).
Vision saisissante, en tout cas, que celle de l'ami Jean-Baptiste avec sa perruque-cocon sur la tête, comme confiné dans le cadre de sa fenêtre, de ses appartements… et censément de son époque, se réveillant de trois siècles de sommeil, comme dans un conte, et semblant nous narguer avec ironie… Invité fortuitement à observer - d'un œil avisé mais éberlué - l'apparition et l'évolution d'une nouvelle pandémie, pour lui passionnante !
Jean-Baptiste Goiffon pourrait aussi tout simplement nous dire : "Mais faites donc comme moi prenez un bon gros livre et restez chez vous !”
Lyon, mai 2020
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Covid-19 : Comment bien mettre un masque par les équipes du CHU de Nantes Une vidéo éducative et ludique pour expliquer les bonnes pratiques à suivre quand on porte un masque de protection (papier ou tissu) afin d'éviter la propagation du virus.
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Une création fleurie et printanière de Marie-Christine !
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Jeu participatif "de Fenêtres en Fenêtres" - Cie le Vieil'Art Mobilisés sur le projet autour du bien-vivre ensemble que nous construisons sur le quartier des Brosses avec la collaboration de plusieurs acteurs du territoire et celle de la Compagnie du Vieil’Art. Cette dernière propose un jeu participatif et ludique. Pour participer, rien de plus simple : 1- Filmez vous devant votre fenêtre, parlez-nous de vos souhaits, vos rêves, vos pensées, ce que vous voyez par votre fenêtre, ou alors dansez... en 40 secondes ! 2- envoyez-nous votre vidéo à [email protected]
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Pour vivre autrement le festival Mémoire Vive - Les Invisibles Fantastiques. Ce poème nous a été transmis par Raphaëlle et Marc, tous deux membres du Détachement International du Muerto Coco. Collectif marseillais, qui travaille depuis 2009 sur la poésie contemporaine et ses extensions sonores, vocales, et électroniques. Le poème sonore explique pourquoi ce monde a du mal à être commun, et d'une époque où peut-être ça l'était. Vous les découvrirez sous une autre facette lors de l’Aventure Ordinaire (Du 1er au 3 octobre prochain).
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YoGAurelitA | Ujjayi (la respiration de l’océan) Bien démarrer la journée, avec un atelier de respiration « Ujjayi Pranayama » autrement appelée respiration de l’océan. Elle est idéale avant une méditation.
Le Ujjayi pranayama a plusieurs bienfaits : - Excellent pour le système nerveux, un vrai tranquillisant naturel, - Il aide à traiter les problèmes de ronflements et de l’apnée du sommeil. - Ainsi qu’à améliorer notre respiration et augmenter notre capacité pulmonaire et à fortifier le corps - Apaise notre mental.
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PODCAST 🎧 La norme et la culture. Comment le cadre s'impose...
Emmaüs Défi présente 5 épisodes documentaire. Avec ces podcast, découvrez les parcours de vie cabossés, qui retrouvent grâce à un travail « pas comme les autres » le chemin de l’insertion et de la dignité, et faites connaissance avec celles et ceux qui les accompagnent dans ce cheminement.
Dans cet épisode, vous entendrez des témoignages de salariés en insertion qui ont du s'adapter à une nouvelle norme, une nouvelle culture, une nouvelle façon de se projeter dans leur vie. Vous en découvrirez également plus sur l'histoire de Emmaüs Défi, occupants au CCO La Rayonne grâce à la Banque Solidaire de l’Équipement (BSE). Très bonne écoute !
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L'Atelier du Zéphyr
, nouvel arrivant au CCO La Rayonne, est une association qui propose des formations à l'auto-construction autour de l'énergie. L'objectif ? Répondre aux besoins en énergie au quotidien (chauffer sa maison, cuisiner, produire son électricité …) par des moyens que l'on peut fabriquer soi-même, et donc réparer, entretenir, améliorer… Dans le contexte actuel, pas facile de se projeter dans le futur… Nos dernières activités ont toutes été reportées mais nous avons décidé de proposer un programme de formations pour cet été, quitte à faire face à de nouveaux reports. N'hésitez pas à vous inscrire, nous vous tiendrons informé·e·s de l'évolution de la situation !
>> Le programme c'est par ici <<
A bientôt !
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La Fresque des gens des Brosses La Compagnie Systèmes K en résidence au CCO La Rayonne, vous propose de participer à sa nouvelle création en envoyant un dessin, en participant à des jeux ou encore des ateliers d’écriture. Pour faire partie de l’aventure et réaliser ensemble cette fresque : → Envoyez un mail à [email protected] - un message vous sera envoyé tous les mercredis pour vous guider.
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