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“The Cloud of Unknowing”
James Bridle
J’ai découvert cet œuvre et j’aimerais la partager avec vous car c’est littéralement l’œuvre qui m’as le plus touché et m’a fait beaucoup réfléchir. Elle traite un sujet qui nous concerne tous. Chaque personne devrait comprendre et réfléchir à sujet.
Ce dont j’aimerais vous parler ces l’incroyable œuvre de James Bridle, qui est une œuvre conceptuelle et critique qui traite des infrastructures cachées de l’ère numérique, en particulier les systèmes de stockage et de gestion des données, appelés “le Cloud”.
Pour rappel le cloud est un espace qui stock nos données, il est devenu le lieux où l’on stocke nos documents, nos souvenirs, nos vie.
Mais quand est il réellement? Qui contrôle les données ? Où sont-elles stockées ?
James Bridle viens nous questionner sur des sujets au quel personne ne pense mais tout le monde connaît et utilise ces cloud qui semble insignifiant.
Je ne suis pas parvenu à trouver des images de ces expositions pour illustrer mes propos mais il l’explique lui même dans une vidéo qui est tellement intéressante.
youtube
Bridle dans son exposition cherche à rendre visible cette infrastructure invisible. Il dénonce comment les géants de la technologie, comme Amazon Web Services, Google et Microsoft, utilisent l’idée du “Cloud” pour masquer la centralisation et le contrôle de nos données, ainsi que l’impact écologique de ces systèmes.
James critique l’idée que nos données sont “immatérielles”, alors qu’elles nécessitent une infrastructure physique intensive.
Le projet montre à quel point la plupart des gens sont déconnectés de la réalité physique de la technologie qu’ils utilisent tous les jours.
Il obligent le spectateur à réfléchir sur sa propre utilisation du Cloud et sur les implications éthiques et écologiques.
Il utilise beaucoup de médium différents lors de ces expositions, comme la vidéo, la photo, le traitement des données, cartographie interactive etc.
Il nous montre en temps réel les mouvements des données ou les connexions des serveurs autour du monde, créant une visualisation hypnotique en manipulant les données pour découvrir les liens entre différentes parties du monde numérique.
Ses expositions traduisent des données invisibles en expériences visuelles captiventes, permettant aux spectateurs de réfléchir sur leur rôle dans ce système globalisé.
J’adore cette idée de remise en question de personnes qui utilise le cloud sans même avoir la moindre idée de ce que c’est vraiment et quelles sont les côté caché de cette technologie.
Je pourrais écrire beaucoup de pages à ce sujet mais je vous invite à vous intéresser car c’est une problématique qui nous touche tous et toutes particulièrement.
Si vous êtes intéressés, cette audio ultra intéressant c’est James qui l’as fait écouter le.
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One Last Journey
Projet photo réalisé par un ex-étudiant de l'Ecal, Alexey Chernikov, exposé à Image Vevey cette année.
J'ai vu cette œuvre et j'ai été sous le choc.
Alexey nous présente des Polaroïds moyen format qui semblent réels. Ces Polaroïds sont bien réels, mais là où il surprend et interroge, c'est que ces images pourtant analogiques ont été créées avec l'IA.
Ce qui est fou, c'est que personne ne remet en question l'utilisation de l'IA dans l'analogique, car cette technologie est instantanée et ne traite pas avec la technologie numérique mais avec la chimie.
Ce qu'on voit écrit en noir, c'est le prompt qu'il a utilisé pour générer ces photos. Impossible pour nous, êtres humains, de ne pas se faire avoir vu le réalisme qu'utilise l'IA.
Une fois son image créée sur ordinateur, il l'expose sur l'image Polaroid pour créer cette fausse illusion d'instantané et d'image réelle que nous aurions pu prendre aussi.
Cette œuvre m'a déboussolé par son génie, mais m'a aussi grandement fait peur quant à la perte de confiance que j'accordais aux technologies analogiques, qui pour moi étaient le médium de la photo le plus authentique et avec lequel on ne pouvait pas tricher, encore moins avec l'IA.
Venant d'un jeune étudiant de l'Ecal, c'est très fort de sa part, et je le félicite pour sa remise en question de nos croyances envers l'authenticité de certaines techniques photographiques qui sont maintenant mises en danger avec l'utilisation de l'IA.
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The Next Rembrandt.
En 2016, au Mauritshuis d’Amsterdam. Le musée hollandais est envahi par la crème des historiens et de la critique d’art. Tous sont venus pour voir ce tableau " The Next Rembrandt ".
Ils sont tous arrivés à la mêmes conclusions, que cette oeuvre est bien une oeuvre du Peintre Rembrandt. (Peintre majeur néerlandais est l’une des grandes figures du baroque). Pourtant l'artiste était décéder il y a 347 ans.
Tous ce sont fait duper par l'oeuvre, qui est en réalité l'oeuvre d'un algorithme, Il aura fallu plus de dix-huit mois pour élaborer la technologie nécessaire à la cration d’un tableau original. L' algorithme a été conçu pour imiter à la perfection le style du célèbre peintre Rembrandt. Le projet est baptisé The Next Rembrandt.
Tout cela interroge... Peux on encore prétendre reconnaître des oeuvre crée par l'homme si les machine peuvent appliquer leur styles pour nous duper?
Si la technologie est capable d’imiter l’homme, peut-elle pour autant la crée?
Qu’est-ce que l’art finalement puisque la machine provoque une émotion comparable à celle de l’artiste?
Je trouve cette approche très pertinente car elle remet en question des concept essentiel a l'art et notre vision de celle ci.
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