Tumgik
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get to know me meme: [1/5] Celebrity Crushes ↳ Lindsey Stirling “ Don’t let the world tell you who you are or what you can do. You are the only one who can decide that for yourself. Take inspiration from people you love and admire, and then make something great of yourself. Love yourself and be the best you can be. You are worth it. ” 
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Books are magical
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Quand je pense à nous. ♡
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From Ao Haru Ride(See from weheartit)
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Ao Haru Ride
My answer is Yes.
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me: give me that.
friend: what are the magic words ?
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me:
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Bestfriends ~
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Japan’s Legendary Sea Otter Mikoshiba Momotarou (ノ^ヮ^)ノ*:・゚✧
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studio ghibli wallpapers [16:9]
insp. x 
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♥ J.K. Rowling ♥ Veronica Roth ♥ James Dashner ♥ Suzanne Collins ♥ Rick Riordan ♥ Sophie Audouin-Mamikonian ♥
Don’t forget who are the true wizard !
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“Listen…do you…like me?”
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Une fin absolument insoutenable. S11E22.
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Parfois la douleur est si intense, si dévastatrice que le corps cesse de ce battre. A quoi bon avancer si l'on ne sait pas ou l'on va ? A ce moment là, tout bascule et tu t'eteins à petit feu, jusqu'à devenir poussière.
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The Perks to Being a Wallflower ♥
Un jour, sur une feuille de papier jaune aux lignes vertes Il a écrit un poème Et il l’a appelé “Chops” Parce que c’était le nom de son chien Et que c’était de ça que ça parlait Et son professeur lui a mis A Et l’a félicité Et sa mère l’accroché sur la porte de la cuisine Et l’a lu à ses tantes Cette année-là, le Père Tracy a emmené tous les enfants au zoo Et il les a laissés chanter dans le bus Et sa petite soeur est née Chauve, avec de minuscules ongles aux orteils Et son père et sa mère s’embrassaient beaucoup Et la fille qui habitait à côté lui a envoyé Une carte de la Saint-Valentin avec une rangée de coeurs Et il a dû demander à son père ce que les coeurs voulaient dire Et son père le bordait tout les soirs dans son lit Il était toujours là pour le faire
Un jour, sur une feuille de papier blanc aux lignes bleues Il a écrit un poème Et il l’a appelé “Automne” Parce que c’était le nom de la saison Et parce que c’était de ça que ça parlait Et son professeur lui a mis A Et lui a demandé d’écrire plus lisiblement Et sa mère ne l’a pas accroché sur la porte de la cuisine À cause de la nouvelle peinture Et les gamins lui ont dit Que le père Tracy fumait des cigares Et laissait les mégots sur les bancs de l’église Et que parfois il brûlaient et laissaient des marques Cette année-là, sa soeur a eu des lunettes Avec des verres épais et une monture noire Et la fille qui habitait à côté a ri Quand il l’a invitée à aller voir le Père Noël Et les autres gamins lui ont expliqués pourquoi Son père et sa mère s’embrassaient beaucoup Et son père ne le bordait jamais le soir dans son lit Et quand il pleurait pour qu’il le fasse Son père se mettait en colère
Un jour, sur une feuille arrachée à son cahier Il a écrit un poème Et il l’a appelé “Innocence : une question” Parce que c’était la question qu’il se posait sur sa copine Et que c’était de ça que ça parlait Et son professeur lui a mis A Et l’a regardé fixement, d’un drôle d’air Et sa mère ne l’a jamais accroché sur la porte de la cuisine Parce qu’il ne le lui a jamais montré Cette année-là, le Père Tracy est mort Et lui, il a oublié comment se terminait Le Credo des Apôtres Et il a surpris sa soeur En train de se faire le type sur la véranda Et son père et sa mère ne s’embrassaient jamais Et ne se parlaient plus Et la fille qui habitait à côté Se maquillait trop Ça le faisait tousser quand il l’embrassait Mais il l’embrassait quand même Parce que c’est ce qui se fait Et à trois heures du matin il se bordait lui-même Pendant que son père ronflait fort
C’est pour ça qu’au verso d’un sac en papier Il a essayé un autre poème Et il l’a appelé “Absolument rien” Parce que c’était de ça que ça parlait Et il s’est mis A Et il a tracé une putain d’entaille sur chaque poignet Et il l’a accroché à la porte de la salle de bains Parce que cette fois il n’était pas sûr De pouvoir atteindre la cuisine
(via sofatnotbeautiful)
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Il faut d’abord que tu saches que je suis à la fois triste et heureux, et que j’ai toujours pas compris comment ça se fait.
Stephen Chbosky, “Le monde de Charlie” (via au-vent-amer)
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Hayao Miyasaki.
Un réalisateur bourré de talent, 34 films fait.
Un homme, 40 ans de carrière.
Humble, 3 prix.
Polyvalent, 12 métiers exercés.
Un rêve? Le rencontrer. 
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I once lost you and look what it had happened. So now I won’t let you go 
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