Je réfléchis à des choses, partout, toujours, tout le temps.
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LE RACISME ANTI BLANC N’EXISTE PAS
- à l'intersection. Podcast sur l’expérience de la diaspora nordaf, asiateuropéenne et afroeuropéenne en France dans toute son intersectionalité.
Le racisme anti blanc. Le mythe du racisme anti-blanc déconstruit à travers un épisode qui plonge dans les racines historiques, politiques et sociales d'une notion sujette à de nombreux débats.
- Sans blanc de rien. Podcast sur la blanchité et le racisme en Belgique.Sans Blanc de Rien est un projet qui lutte pour l’égalité des chances et contre le racisme, les préjugés et les stéréotypes raciaux véhiculés par notre culture qui aboutissent à la discrimination des minorités ethniques visibles. Ce projet est né de l’association de trois jeunes femmes Bruxelloises qui, suite à de nombreuses conversations avec leur entourage sur le racisme, se sont réunies autour de la frustration de ne pas pouvoir aborder avec leurs ami.e.s blanc.he.s la responsabilité blanche sans se heurter contre un mur de refus, d'excuses ou de lieux communs. Ces podcasts ont pour but d’initier un dialogue à l’échelle nationale, d’informer et de sensibiliser les personnes blanches sur leurs rôles au sein de la lutte antiraciste.
Le déni. Témoin d'un évènement banal mais bouleversant, nous vivons l'histoire d'une jeune femme blanche qui se lance à la recherche de réponses à des questions auxquelles elle n'a jamais du penser : qu'est ce que le racisme ? Existe il toujours ? Est-il anti blanc ? Qui en est à l'origine ? Ces réponses tracent le début d'un long chemin de deconstruction qui réfléchi aux biais, aux privilèges et à la place des blancs dans tout ça.
Culpabilité. La tête pleine de question, notre protagoniste décide de mettre de côté son ordinateur et de partir à la recherche de personnes qui savent répondre à ses questions. Elle se trouve submergé par la quantité de matière et l'obscurité des termes qui lui sont présentés... Qu'est ce que tout là veut dire ? Qu'est ce qu'à avoir avec elle ? Une conversation avec un ami la laisse frustrée lorsqu'elle doit faire face à son propre silence.
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VIOLENCES POLICIERES
- à l'intersection. Podcast sur l’expérience de la diaspora nordaf, asiateuropéenne et afroeuropéenne en France dans toute son intersectionalité.
VIOLENCES POLICIÈRES, LA PAROLE AUX JEUNES DE QUARTIERS.Les concernés par les violences policières, les contrôles au faciès et autres abus de la police dans les quartiers et les banlieues sont les grands oubliés des débats médiatiques. Dans cet épisode du podcast, ils ont été nombreux à venir témoigner de leurs sentiments et leurs expériences face aux forces de l'ordre pour libérer leur parole et se faire enfin entendre.
- Programme B. Pour mieux comprendre ce qui se joue dans le monde, Thomas Rozec s’empare d’une question d’actualité et la soumet à celles et ceux qui seront à même d’y répondre.
Adama, une histoire de la violence.Emblème des violences policières, l’affaire Adama Traoré occupe les esprits et les médias depuis juillet 2016, date à laquelle le jeune homme est décédé à la gendarmerie de Persan après son interpellation. Circonstances suspectes et non-dits font de cette affaire un cas complexe pour lequel la famille d’Adama se bat encore aujourd’hui. Rappel.
Steve, un an déjà. 21 Juin 2019, à Nantes : pendant la fête de la musique, Steve Maia Caniço, est porté disparu. Son corps sans vie est retrouvé dans la Loire un mois plus tard. La chute aurait été provoquée par un assaut des forces de police, et leur utilisation de gaz lacrymogènes, sur les quais de la ville. Depuis, les enquêtes se multiplient pour essayer de déterminer les responsabilités dans ce drame. Une histoire loin d’être unique, ni en France, où la question des violences policières est désormais partout, ni même à Nantes, qui expérimente depuis des années déjà la brutalisation du maintien de l’ordre.
Armes de dissuasion massives. Fin septembre 2020, Amnesty International dénonçait le traitement des manifestant·e·s en France ces derniers mois. Arrestations, répressions, violences policières… Le gouvernement et sa police continuent d’être critiqués.Au coeur de la question, on trouve les armes utilisées par les forces de l’ordre. Comment et pourquoi cet arsenal a-t-il fait son apparition ? De quelle façon et dans quel but est-il utilisé ? Thomas Rozec reçoit Paul Rocher, économiste et auteur de « Gazer, mutiler, soumettre : Politique de l’arme non létale »
Manifs, le choc des photos. Pendant et après chaque manifestation, les photos fleurissent sur les réseaux sociaux. Partager les pancartes, les chants, mais aussi les violences subies est devenu une habitude. Les chaînes d’info se contentant souvent des images d’affrontement, les photojournalistes qui peuplent les cortèges se retrouvent empli d’une mission importante : relater les manifestations dans leur totalité, le bon, comme le mauvais, et en tirer parfois la photo qui deviendra le symbole des protestations du moment. Comment rendre en image la réalité des manifestations d’aujourd’hui ?
Si, il y a une histoire raciste de la police. Dans les débats autour du racisme dans la police qui se multiplient, revient régulièrement un argument présenté comme définitif : l’Histoire de notre pays et de ses institutions parlerait pour elle-même, et il n’y aurait pas de racisme d’Etat en France. Cette vision des choses omet de nombreux faits historiques qui tendent à démontrer que, si, il y a bien dans notre passé des éléments prouvant l’existence de pratiques et de lois racistes. Exemple avec les forces de l’ordre, dont l’une des missions au XIXe siècle était le contrôle et le fichage des populations noires.Thomas Rozec interroge Grégory Pierrot, professeur associé à l’Université du Connecticut et auteur d’une tribune dans Libération sur le sujet.
Violences policières, le poids des images. Depuis quelques jours, les manifestations contre le racisme et les violences policières se multiplient à travers le monde. D’abord aux États-Unis, où l’on proteste contre le meurtre de Georges Floyd, puis en France, où l’on fait le parallèle avec la mort d’Adama Traoré et le combat de sa famille. À la périphérie des combats contre les violences policières, la question de la multiplication de vidéos difficiles sur les réseaux, qui détaillent les coups et les agressions. Une martyrisation des corps noirs, une mise en scène qui interroge. Thomas Rozec interroge Rokhaya Diallo, journaliste, autrice et réalisatrice.
Police, le choix des armes. Après des mois de déni, l’exécutif esquisse un début de prise de conscience du problème que sont devenues les violences policières. Désormais au coeur du débat, elles sont cependant régulièrement traitées uniquement du point de vue de la doctrine du maintien de l’ordre ou de l’usure – réelle – des forces de l’ordre très sollicitées.Une autre question, pourtant, reste en suspens, celle de l’arsenal utilisé par ces dernières. Ces armes, dont les noms reviennent souvent dans l’actualité, ces LBD, ces grenades de désencerclement, ces gazs lacrymogènes, ont aussi un sens politique.Comment et pourquoi ces armes ont-elles fait leur apparition ? De quelle façon et dans quel but sont-elles utilisées ?
À quoi sert la police des polices ? Dans un contexte où beaucoup observent et dénoncent une hausse des violences policières, l’IGPN, la police des polices, devrait tenir un rôle central dans la démocratie. Comment fonctionne cette entité aujourd’hui ? Quelle est son histoire et sa légitimité ? Et sert-elle à autre chose que de légitimer ces violences ?Thomas Rozec interroge Mathieu Zagrodzki, chercheur en sciences politiques.
- Les pieds sur terre. Tous les jours, une demi-heure de reportage sans commentaire.Inspirés par la célébrissime émission de radio américaine This American Life, "Les Pieds sur Terre" s’organisent désormais autour de récits, d’histoires vraies, une, deux ou trois par émission, qui tournent autour d’un même thème. Ces histoires sont racontées à la première personne et nourries d’éléments de reportage.
De Creys Malville à Sivens : Vital Michalon et Rémi Fraisse. Le 31 Juillet 1977, sur le site dédié à la centrale nucléaire Superphenix, et le 25 octobre 2014, sur le site promis au barrage de Sivens, Vital Michalon et Rémi Fraisse, militants écologistes sont tombés sous les grenades offensives de la gendarmerie. Souvenirs de leurs proches.
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VIOLENCES SEXUELLES
- Les couilles sur la table. Victoire Tuaillon parle en profondeur d’un aspect des masculinités contemporaines avec un·e invité·e. Parce qu’on ne naît pas homme, on le devient.
Les vrais hommes ne violent pas. Ceux qui commettent des violences sexuelles ont une chose en commun : ils sont de genre masculin. L’immense majorité des violences sexuelles sont commises par des hommes : entre 94 % et 98 %. Qu’est-ce qui dans la socialisation masculine, la façon dont sont éduqués les garçons, pourrait permettre de l’expliquer ?Comment la dénonciation de certaines violences sexuelles, celle des « tournantes » par les « jeunes de banlieue » par exemple, sert-elle par contraste à construire la figure de « l’homme véritable » ?La culture du viol existe partout dans le monde, mais elle prend en France des formes bien spécifiques, comme l’explique dans son livre Valérie Rey-Robert, autrice du blog féministe Crêpe Georgette. L’argument de la « séduction », de « l’amour courtois » est souvent utilisé pour justifier des comportements sexuels violents.
Qui sont les violeurs. Selon la dernière enquête Ipsos parue en février 2018, 12 % des femmes en France ont été violées. Or on sait que 94 % des auteurs d’agressions sexuelles sur des femmes sont des hommes. Et comme le dit Virginie Despentes, « Si je suis entourée d’amies qui ont été violées, logiquement je suis entourée d’amis qui ont violé. “Dans cet épisode, on réfléchit à ce qu’est le viol, et qui sont les violeurs. Quelles images a-t-on généralement d’un viol et d’un violeur ? Correspondent-elles à la réalité ? Le viol, est-ce que ça relève du pouvoir ou de la sexualité ?Y’a-t-il une séparation radicale entre violences sexuelles et sexualité dite “normale” ?
Sexe sans consentement : le rôle des hommes. Elles ont cédé, ou capitulé. Ce rapport sexuel, elles n’en voulaient pas. Le garçon avec qui elles étaient n’a pas compris – ou pas voulu comprendre – leur “non”.La journaliste et réalisatrice Delphine Dhilly a rencontré des femmes qui ont eu des rapports sexuels non désirés au début de leur vie sexuelle : une expérience très répandue et souvent traumatisante. Six d’entre elles témoignent face caméra dans son documentaire « Sexe Sans Consentement », diffusé sur France 2 le 6 mars 2018 à 22h55. Delphine Dhilly a aussi pris le parti d’interroger une cinquantaine de garçons sur la séduction et le consentement. C’est à eux, à ce qu’ils disent, et à ce qu’ils racontent de notre culture sexuelle, que l’on va s’intéresser dans cet épisode.Pourquoi ces garçons ne comprennent-ils pas, ou refusent-ils d’entendre, le non d’une fille à une relation sexuelle ? Comment leur est (ou non) transmise cette notion de consentement ? Dans quelle mesure ces violences peuvent s’expliquer par des injonctions viriles conquérantes, le poids de l’éducation ? Et si toute notre culture nous montrait que le non-consentement d’une femme est plus excitant que son désir ?
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VIOLENCES CONJUGALES
- Les couilles sur la table. Victoire Tuaillon parle en profondeur d’un aspect des masculinités contemporaines avec un·e invité·e. Parce qu’on ne naît pas homme, on le devient.
Qui sont les conjoints violents ?Si 225 000 femmes sont victimes de violences conjugales chaque année, c’est qu’il existe des centaines de milliers d’hommes violents.Comment expliquer les comportements de ces hommes ? Pourquoi sont-ils souvent dans le déni ? Peuvent-ils changer ? Réponses inattendues avec maître Isabelle Steyer, avocate de victimes, mais aussi intervenante dans les groupes d’hommes condamnés pour violences conjugales.
- Un podcast à soi. Un Podcast à soi mêle intimité et expertise, témoignages et réflexions, pour aborder les questions de genre, de féminismes, d’égalité entre les femmes et les hommes. Un podcast de Charlotte Bienaimé.
Justice pour toutes. Un an après l’affaire Weinstein et le mouvement Me too, Un podcast à soi explore le traitement policier et judiciaire des violences faites aux femmes, et les moyens de l’améliorer. Comment sont prises en charge les femmes victimes de violence ? Dans les commissariats, les gendarmeries, les tribunaux ? Que leur dit-on ? Comment rend-on justice ? Pourquoi les femmes ont préféré l'écran d'ordinateur au bureau d'un juge ? Et n'avaient-elles pas déjà parlé avant ? Avec les témoignages de victimes de violences confrontées à l’indifférence policière et judiciaire, ainsi que des chercheuses et activistes qui élaborent une critique féministe du droit. En travaillant sur la notion de consentement, la définition du viol, la déqualification des crimes sexuels, la négation de la violence, elles donnent des pistes pour faire changer les lois et les comportements .
- Les pieds sur terre. Tous les jours, une demi-heure de reportage sans commentaire.Inspirés par la célébrissime émission de radio américaine This American Life, "Les Pieds sur Terre" s’organisent désormais autour de récits, d’histoires vraies, une, deux ou trois par émission, qui tournent autour d’un même thème. Ces histoires sont racontées à la première personne et nourries d’éléments de reportage.
Des hommes violents.
Condamnés par le tribunal pour violences conjugales, douze hommes sont contraints par la justice de participer à un groupe de parole pendant six mois. Tous viennent d’univers différents : l'un est un homme d’affaires à succès, un autre à la recherche d’emploi, un autre tient un garage... Ils commencent par clamer unanimement leur innocence ou par refuser de reconnaître leurs torts. Puis évoluent, ou pas. Ce podcast s’attache séance après séance à suivre leur avancée, à partir à leur rencontre, à les écouter. Il est nourri des propres interrogations du narrateur, Mathieu Palain, sur le mouvement #metoo et la question des masculinités aujourd’hui. Et mis en perspective par trois récits de victimes.
- Quoi de meuf. Une conversation générationnelle et intersectionnelle sur la pop culture. Aux commandes : Clémentine Gallot co-créatrice de la newsletter du même nom. A ses côtés, vous retrouverez tour à tour : Kiyémis, blogueuse et poétesse afroféministe, Anne-Laure Pineau, journaliste spécialiste des questions LGBT, Pauline Verduzier, journaliste obsédée par les sexualités, et Kaoutar Harchi, chercheure en sociologie qui travaille sur les rapports de pouvoir qui façonnent les mondes de l’art et de la culture.Une discussion déjantée et sans tabou, où l’on prendra Beyoncé très au sérieux.
Les féminicides.Déjà 135 féminicides en France cette année et autant de femmes tuées parce qu’elles sont des femmes.Clémentine et Anne-Laure reviennent sur les évènements.Références entendues dans l’épisode :Adèle Haenel est une actrice française. Le 4 novembre 2019, elle témoigne sur le harcèlement sexuel dont elle a été victime enfant par Christophe Ruggia lors du tournage du film Les Diables. On peut voir et écouter son interview sur le site de Mediapart.
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CRISE DU LOGEMENT A MARSEILLE
- Programme B. Pour mieux comprendre ce qui se joue dans le monde, Thomas Rozec s’empare d’une question d’actualité et la soumet à celles et ceux qui seront à même d’y répondre.
Marseille, vue sur les pauvres. Fin 2018, rue d’Aubagne à Marseille, des immeubles s’effondrent, causant la mort de 8 personnes. Symbole d’une terrible crise du logement, spécifique à Marseille, où les quartiers populaires sont au centre de la ville. Quartiers qui attirent de nouvelles populations, à la recherche d’une certaine “authenticité”… Quitte à la détruire. Les riches y viennent en touristes, engendrant la construction d’un hôtel de luxe qui cohabite avec la misère. Comment se déroule cette cohabitation ? Comment la ville se transforme-t-elle ? Comment les habitants vivent-ils cette évolution ?
- Les pieds sur terre. Tous les jours, une demi-heure de reportage sans commentaire.Inspirés par la célébrissime émission de radio américaine This American Life, "Les Pieds sur Terre" s’organisent désormais autour de récits, d’histoires vraies, une, deux ou trois par émission, qui tournent autour d’un même thème. Ces histoires sont racontées à la première personne et nourries d’éléments de reportage.
Le drame du logement à Marseille : une aubaine pour qui ?Enquête : depuis l’effondrement de deux immeubles à Marseille en novembre dernier, plus de 1 500 personnes ont été évacuées dans des hôtels. En parallèle, des experts particuliers profitent de cette situation pour faire expertiser les logements vétustes, en vue d'un éventuel rachat.
Enquête sur le 3eme arrondissement de Marseille : l’école. Alors que l'école devrait être un refuge, un espoir pour les enfants qui grandissent dans le troisième arrondissement de Marseille, le plus pauvre de France, elle n'est pas épargnée par les problèmes de vétusté et de pauvreté du quartier.
Mon école va craquer. Dans les quartiers nord de Marseille, les écoles publiques ne sont pas épargnées par les problèmes de précarité et de sécurité : tirs de kalachnikov, vétusté, insalubrité sont le quotidien des élèves.
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VIRILITE
- Les couilles sur la table. Victoire Tuaillon parle en profondeur d’un aspect des masculinités contemporaines avec un·e invité·e. Parce qu’on ne naît pas homme, on le devient.
Educations viriles. Coups, rites initiatiques douloureux, humiliations : pourquoi tant de violence dans l’éducation des garçons ? Dans cet épisode, il est question de ce que les hommes font aux autres hommes.On y parle de la pédérastie dans la Grèce antique, du service militaire, des châtiments de l’école républicaine, de l’obéissance fasciste… avec Olivia Gazalé, l’auteure de l’essai Le Mythe de la Virilité, publié en octobre 2017 aux éditions Robert Laffont.
Il n'y a pas de crise de la masculinité.Pour son premier épisode, Victoire Tuaillon reçoit Mélanie Gourarier, chercheuse au CNRS, anthropologue, autrice de « Alpha mâle, séduire les femmes pour s’apprécier entre hommes ». Elles parlent de son travail, de l’étude d’un petit groupe de séducteurs qui permet de comprendre plus largement la manière dont les hommes occupent le pouvoir dans notre société, des études de masculinités, de l’homo-sociabilité (les hommes entre eux), de l’amitié virile et de l’apprentissage du contrôle de soi.
Des villes viriles. La façon dont nous investissons la rue, les bars ou les transports dépend beaucoup de notre genre. Qu’est-ce que ça veut dire, de grandir et de vivre comme un homme en ville ? Comment les choix d’urbanisme et d’architecture façonnent-ils les masculinités contemporaines ? Pourquoi les hommes se sentent autorisés à stationner dans l’espace urbain, et les femmes à seulement le traverser ? On discute du nom des rues, des skateparks, des statues, avec le géographe Yves Raibaud, auteur de “La ville faite par et pour les hommes” (éditions Belin).
Les preuves de la virilité.Dans ce 8e épisode, il est question de pénis, phallus et de testicules. Trop gros, trop petits, vigoureux ou mous : pourquoi les organes génitaux masculins (et leurs fonctions) font-ils l’objet d’une telle obsession ?Les Romains étaient obsédés par leurs sexes et ne cessaient de se traiter d’impuissants ; en France, il a existé pendant plusieurs siècles un Tribunal de l’Impuissance ; et aujourd’hui encore, il est souvent question de couilles dans la vie politique… Réponses et histoires fascinantes avec Olivia Gazalé, philosophe et auteure du Mythe de la Virilité, publié aux éditions Robert Laffont.
Pénétrer. Les hommes pénètrent, les femmes sont pénétrées : les rapports hétérosexuels se déroulent souvent selon le même scénario coït-pénis-vagin, érection-pénétration-éjaculation. Alors qu’elle est physiquement impossible pour certain·e·s, douloureuse pour d’autres, ou qu’elle ne procure que peu de plaisir, pourquoi la pénétration vaginale est-elle au coeur de la sexualité ? Pourquoi les autres pratiques sont reléguées au statut de « préliminaires » ? En quoi cette hiérarchisation des actes sexuels perpétue les normes viriles ?Pour interroger ces normes et les dépasser, l’écrivain Martin Page a récemment publié son essai “Au delà de la pénétration” aux éditions Monstrograph, maison d’édition qu’il a créée avec sa compagne. Loin de dicter de nouvelles normes sexuelles, cet épisode a pour objectif de décomplexer, de libérer les sexualités de chacun·e.
- Camille. A-t-on vraiment besoin du genre sur les papiers d’identité ? Pourquoi traiter quelqu’un d’enculé, c’est homophobe ? Un jeudi sur deux, Camille Regache propose de déconstruire tout ce qui est considéré comme naturel et inné en ce qui concerne l’identité de genre et la sexualité. Camille est un podcast de Binge Audio destiné aux lesbiennes, gay, bi, trans et surtout aux hétéros.
Dans ton cul.Des pénétrant·e·s et des pénétré·e·s, des passif·ve·s et des actif·ve·s. Le modèle de la sexualité procréatrice et hétéronormée pèse lourd sur nos relations sexuelles, enfermant chacun·e dans des rôles contraignants. Pour se reconnecter à nos corps et à nos envies, il faut donc dépasser ce paradigme, quelle que soit notre orientation sexuelle.Pourquoi est-il important d’abandonner la notion de normalité dans notre désir ? Comment interroger les rôles de genre qui traversent nos relations sexuelles ? Comment s’ouvrir à d’autres pratiques et conceptions des relations sexuelles ?Camille Regache en discute avec Diane Saint-Réquier, éducatrice et formatrice en santé sexuelle, fondatrice du site Sexy Soucis, qui se définit comme le « Google du cul ».
Il n’y a pas de théorie du genre. Pour l’Église catholique, Dieu aurait créé des hommes et des femmes, des êtres de nature différente et complémentaire, destiné·e·s à se marier et élever des enfants. Celles et ceux qui pensent autrement seraient, selon le Vatican, des partisan·e·s de ce qu’il appelle « théorie du genre ».Que signifie le mot « genre » ? Qui l’utilise ? Et pour dire quoi ? En quoi le sexe, le genre, et la sexualité sont trois choses différentes ? Pourquoi la soi-disante « théorie du genre » a-t-elle été inventée ? En quoi cette expression utilisée par le Vatican nourrit une vision binaire du monde, un discours religieux qui ne porte pas son nom et des paroles politiques discriminantes ?Pour répondre à ces questions, Camille Regache reçoit Massimo Prearo, chercheur à l’université de Vérone (Italie), spécialiste des mouvements politiques LGBT en France et en Italie, co-auteur d’un livre intitulé « La croisade « anti-genre » : Du Vatican aux manifs pour tous »
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INCESTE ET PEDOCRIMINALITE
- Un podcast à soi. Un Podcast à soi mêle intimité et expertise, témoignages et réflexions, pour aborder les questions de genre, de féminismes, d’égalité entre les femmes et les hommes. Un podcast de Charlotte Bienaimé.
Inceste et pédocriminalité : la loi du silence. En France, environ deux enfants par classe d'école sont victimes d'inceste ou de pédocriminalité. 81% de l’ensemble des violences sexuelles commencent avant 18 ans. Dans 94% des cas, celles-ci sont commises par des proches. La plupart du temps, ces derniers ne seront jamais inquiétés par la justice. Ces chiffres sont connus et répétés depuis longtemps. Et après #MeToo, chaque mois ou presque, de nouvelles révélations éclatent, dans le milieu du cinéma, puis dans le milieu littéraire, puis dans l'Eglise, puis dans le sport... A chaque fois, on s'étonne, on s'insurge. Il ne s'agit pourtant pas de faits isolés ou de lieux spécifiques, mais de tout un système. Un système qui semble peu ou jamais analysé, ni décrypté. C'est ce que cet épisode tente de faire. Pourquoi un tel déni et une telle impunité ? Quel rapport avec le patriarcat ? Avec les questions de dominations ?
- Louie Media. Louie est un studio de podcasts narratifs.
“Ou peut-être une nuit” est consacrée au silence le plus épais qui fait encore taire les victimes de violences sexuelles: celui qui entoure l’inceste. Créée et présentée par Charlotte Pudlowski.
- Quoi de meuf. Une conversation générationnelle et intersectionnelle sur la pop culture. Aux commandes : Clémentine Gallot co-créatrice de la newsletter du même nom. A ses côtés, vous retrouverez tour à tour : Kiyémis, blogueuse et poétesse afroféministe, Anne-Laure Pineau, journaliste spécialiste des questions LGBT, Pauline Verduzier, journaliste obsédée par les sexualités, et Kaoutar Harchi, chercheure en sociologie qui travaille sur les rapports de pouvoir qui façonnent les mondes de l’art et de la culture.Une discussion déjantée et sans tabou, où l’on prendra Beyoncé très au sérieux.
Pédocriminalité : la loi du silence. La parution du premier roman de Vanessa Springora, Le Consentement, et le procès de l’écrivain Gabriel Matzneff qui en découle, ravivent le débat sur la notion de consentement chez les mineurs et témoignent d’un basculement des mentalités face aux crimes sexuels. Comment justifier des décennies d’aveuglement et de tolérance face aux abus sexuels sur mineurs ? Pourquoi la prise de conscience arrive-t-elle si tard ? Clémentine et Anne-Laure reviennent sur tous ces scandales et démêlent le discours construit depuis mai 68 sur la libération sexuelle ayant permis de protéger autant d’auteurs de crimes pédophiles.
- Programme B. Pour mieux comprendre ce qui se joue dans le monde, Thomas Rozec s’empare d’une question d’actualité et la soumet à celles et ceux qui seront à même d’y répondre.
Inceste, le prochain combat. Après 3 ans d’avancées et de réflexions sur les violences faites aux femmes, la prochaine frontière du combat féministe sera-t-elle la lutte contre les violences faites aux enfants ? C’est une des réflexions qui guide la deuxième saison d’Injustices, par nos consoeurs de Louie Media, baptisée « Ou peut-être une nuit ? ».Comment finit-on par parler de l’inceste, alors que tout est fait pour le dissimuler et le garder caché ?
Matzneff, moi, et les autres. Depuis la toute fin de l’année 2019, la bienveillance dont bénéficiait encore l’écrivain Gabriel Matzneff, pédophile revendiqué, a volé en éclats. Avec son livre « Le consentement », l’éditrice et autrice Vanessa Springora, a remis sous l’oeil du public les agissements, les déclarations et surtout la complaisance d’une grande partie du milieu culturel envers celui qui, dès les années 70, professait publiquement son goût pour « les moins de 16 ans ».Se rendre compte que l’on a participé, à sa petite échelle, à ce blanc-seing global laissé à Matzneff est assez douloureux, d’autant plus que des voix s’étaient élevées pour le dénoncer par le passé, comme celle de l’écrivain et médecin Christian Lehmann.
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NUCLEAIRE
- Programme B. Pour mieux comprendre ce qui se joue dans le monde, Thomas Rozec s’empare d’une question d’actualité et la soumet à celles et ceux qui seront à même d’y répondre.
Où est passée la lutte antinucléaire ? C’est un des paradoxes de notre époque. D’un côté, la question environnementale n’a jamais été aussi présente, médiatiquement et politiquement, avec la vaste prise de conscience liée au climat. De l’autre, l’un des piliers de mobilisation des militants écologistes historiques, la lutte anti-nucléaire, a presque disparu. Pire, l’industrie du nucléaire surfe sur la crise climatique et la nécessaire réduction des émissions carbone, se présentant comme la seule alternative viable et « verte » au charbon.Où est passée la lutte antinucléaire ? Comment les militants dont la conscience s’est construite avec ce combat vivent-ils l’époque ?
- LSD, la série documentaire. Documenter toutes les expériences de la vie, des cultures et des savoirs. Chaque semaine, un grand thème en quatre épisodes, autonomes et complémentaires. En ce moment, LSD, La Série Documentaire est en partenariat avec Tënk, la plateforme du documentaire d’auteur.Documentaristes et chargés de réalisation s’emparent de tous les sujets : enjeux politiques, sociétaux, économiques, internationaux, environnementaux… et investissent de nouveaux territoires avec des séries historiques, philosophiques, scientifiques…
Mururoa, le colonialisme nucléaire. C’est l’héritage de l’histoire nucléaire française qui empêche la pleine reconnaissance des victimes des essais nucléaires…
- Les pieds sur terre. Tous les jours, une demi-heure de reportage sans commentaire.Inspirés par la célébrissime émission de radio américaine This American Life, "Les Pieds sur Terre" s’organisent désormais autour de récits, d’histoires vraies, une, deux ou trois par émission, qui tournent autour d’un même thème. Ces histoires sont racontées à la première personne et nourries d’éléments de reportage.
Bure ou la poubelle nucléaire.A côté du village de Bure dans la Meuse, dans une des régions les plus désertiques de France, on prévoit d'enfouir nos pires déchets nucléaires. Sur place, des opposant•e•s s'installent pour relayer les ancien•ne•s et mener "la bataille du nucléaire".
Vivre à côté d'une centrale : Saint-Laurent-des-Eaux. Nicole, Gaston, Jean et Florian vivent tout près de la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux dans le Loir-et-Cher. Habitant, ex-employé, militant et agriculteur, ils ont tous une histoire qui les lient à la centrale.
- Affaires sensibles. Les grandes affaires, les aventures et les procès qui ont marqué les cinquante dernières années.
Le jour où les Américains ont égaré une bombe atomique. 1966 : une collision entre deux avions américains au dessus de l'Espagne et 80 jours d'angoisse pour retrouver l’arme destructrice... Invité Jean-Marie Collin, chercheur consultant indépendant sur les questions de défense et de sécurité internationale (en particulier sur le domaine de la dissuasion nucléaire)
- Nouvelles écoutes. STUDIO DE CRÉATION ET DE PRODUCTION SONORE INDÉPENDANTNouvelles Écoutes imagine, crée et distribuedes programmes audio destinés à être écoutés à la demande
Le nuage. Le 25 août 2020, un accident se déclare dans l’une des plus vieilles centrales françaises, le Douvrey, près de Lyon. Julia Roch-Rivière, directrice de la centrale, va tout tenter pour protéger la population du nuage radioactif. Mais sur sa route, se dresse plus puissant qu’elle.
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EDUCATION A LA SEXUALITE
- “Intime et politique” est le flux de podcasts féministes de Nouvelles Ecoutes, proposé par Lauren Bastide. A travers des documentaires sonores de 4 à 6 heures, « Intime et Politique » s’attaque aux racines des discriminations sexistes et des stéréotypes de genre.
JUSTE AVANT - Dans « Juste Avant », un documentaire en 7 épisodes, sortie le 1er décembre 2019, Ovidie questionne la façon dont on éduque une adolescente quand on est mère et féministe, à travers une série de conversations avec sa fille de 14 ans. Les échanges mère-fille s’entrecroisent avec les témoignages des proches et les réflexions sur sa propre construction.
- Les couilles sur la table. Victoire Tuaillon parle en profondeur d’un aspect des masculinités contemporaines avec un·e invité·e. Parce qu’on ne naît pas homme, on le devient.
L’IMPOSSIBLE EDUCATION SEXUELLE - “ Avec l’équipe de Programme B, l’émission d’actualité quotidienne de Binge Audio, on s’est penchés sur des comptes dédiés à l’éducation sexuelle qui fleurissent sur Instagram : T’as joui, Gangduclito, Jouissance Club, La prédiction, ou Le cul nu. Leur but : être pédagogue et réfléchir avec les internautes sur des questions de désir, de consentement, ou de connaissance de son corps. Pourtant ces comptes sont menacés par les règles du réseau social qui les empêche parfois de poster ou même d’exister. Par ailleurs, l’éducation sexuelle proposée par les cursus scolaires reste disparate. Pour les jeunes et les moins jeunes en quête de réponses sur leur(s) sexualité(s), la question est de savoir vers où ils et elles peuvent se tourner. “
- Quoi de meuf. Une conversation générationnelle et intersectionnelle sur la pop culture. Aux commandes : Clémentine Gallot co-créatrice de la newsletter du même nom. A ses côtés, vous retrouverez tour à tour : Kiyémis, blogueuse et poétesse afroféministe, Anne-Laure Pineau, journaliste spécialiste des questions LGBT, Pauline Verduzier, journaliste obsédée par les sexualités, et Kaoutar Harchi, chercheure en sociologie qui travaille sur les rapports de pouvoir qui façonnent les mondes de l’art et de la culture.Une discussion déjantée et sans tabou, où l’on prendra Beyoncé très au sérieux.
Non, c'est non ! Pour ce sixième épisode de Quoi de meuf, Clémentine Gallot et Mélanie Wanga parlent de harcèlement. Dans la rue, au travail, à la maison, jusque dans l’art, il est partout et touche principalement les femmes. Quelles sont les conséquences psychologiques, professionnelles mais aussi économiques du harcèlement sexuel pour celles qui en sont victimes ? Les hôtesses de l’émission parlent du cas Anita Hill, en 1991, le premier gros scandale pour harcèlement sexuel aux Etats-Unis. Elles reviennent sur l’affaire Weinstein et la libération de la parole qui a suivi. Elles explorent la spécificité du cyberharcèlement, en rappelant le Gamergate.
Le consentement pour les nul·le·s. Pour ce onzième épisode de Quoi de meuf, Mélanie Wanga et Clémentine Gallot parlent du consentement et de la culture du viol.Du côté de la pop culture, vous retrouverez dans cet épisode les séries Girls, Gossip Girl et Skam ainsi que le film Sixteen Candles (Seize bougies pour Sam).Enfin, Clémentine et Mélanie répondent à Hélène qui demande des conseils pour sensibiliser la Direction des Ressources Humaines de son entreprise à la question du harcèlement au travail
- Camille. A-t-on vraiment besoin du genre sur les papiers d’identité ? Pourquoi traiter quelqu’un d’enculé, c’est homophobe ? Un jeudi sur deux, Camille Regache propose de déconstruire tout ce qui est considéré comme naturel et inné en ce qui concerne l’identité de genre et la sexualité. Camille est un podcast de Binge Audio destiné aux lesbiennes, gay, bi, trans et surtout aux hétéros.
À l’école, être hétéro ou ne pas être.En classe comme dans la cour de récré, le monde est divisé en deux : les filles, d’un côté, les garçons, de l’autre, les deux étant toujours supposé·e·s hétéros.Que ce soit dans les programmes, dans les cours d’éducation à la sexualité ou dans les attitudes des professeur·e·s et surveillant·e·s, la manière d’accompagner les adultes en devenir au collège ou au lycée est toujours basée sur une seule norme jamais prononcée, celle de l’hétéronormativité.Pour décrypter ces codes et les dépasser, Camille Regache reçoit Gabrielle Richard, sociologue du genre et autrice de « Hétéro, l’école ? Plaidoyer pour une éducation antioppressive à la sexualité »
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TRAVAIL DU SEXE (ou TDS)
- “Intime et politique” est le flux de podcasts féministes de Nouvelles Ecoutes, proposé par Lauren Bastide. A travers des documentaires sonores de 4 à 6 heures, « Intime et Politique » s’attaque aux racines des discriminations sexistes et des stéréotypes de genre.
“ Océan réalise, avec « La Politique des putes », une enquête en immersion dans laquelle il tend le micro à des travailleuses·rs du sexe. Elles disent le stigmate, la marginalisation, la précarité, les violences systémiques mais aussi les ressources et l’empowerment. Pour elles, l’intime est résistance. Dix épisodes de 30 mn pour briser les préjugés. “
- Un podcast à soi . Chaque premier mercredi du mois, Un Podcast à soi mêle intimité et expertise, témoignages et réflexions, pour aborder les questions de genre, de féminismes, d’égalité entre les femmes et les hommes. Un podcast de Charlotte Bienaimé
LE PRIX DU SEXE “La prostitution est-elle la pire des violences patriarcales exercée sur le corps des femmes, ou un travail pas pire qu'un autre ? Pour protéger les femmes, faut-il l’abolir ou donner plus de droits à celles qui l'exercent ? Ces deux positions antagonistes divisent profondément le mouvement féministe. J'ai voulu tenter de les saisir dans toute leurs complexités et leurs contradictions, notamment à travers les paroles des premières concernées : Rozen, 62 ans, 22 ans de prostitution, se bat pour l'abolition de celle-ci. Anais, 25 ans, n'aime pas particulièrement son travail mais le préfère à d'autres. Elle défend la dépénalisation du travail du sexe pour redonner du pouvoir aux femmes, qui pourraient alors s'organiser entre elles, sans proxénète. Toutes deux racontent comment elles ont décidé de se prostituer, en quoi consiste leur travail, leur quotidien, et, pour Rozen, comment elle en est sortie. “
- Les pieds sur terre. Inspirés par la célébrissime émission de radio américaine This American Life, "Les Pieds sur Terre" s’organisent désormais autour de récits, d’histoires vraies, une, deux ou trois par émission, qui tournent autour d’un même thème. Ces histoires sont racontées à la première personne et nourries d’éléments de reportage.
JOURNAL D’UNE PROSTITUEE DE CAMPAGNE. Marie a cinquante ans et mène deux vies parallèles : l’une de mère de famille, l’autre de travailleuse du sexe, dans une des pièces de sa petite maison perdue en pleine campagne provençale.
ETUDIANTES ET ESCORT GIRL Lolla, Kelly et Amandine sont étudiantes. Pour financer leurs études, elles ont choisi de se prostituer via des sites d'escorts-girls sur internet. Témoignage
- “Les couilles sur la table.” Victoire Tuaillon parle en profondeur d’un aspect des masculinités contemporaines avec un·e invité·e. Parce qu’on ne naît pas homme, on le devient.
PROSTITUTION, CEUX QUI DISENT OUI, CEUX QUI DISENT NON. Être un homme, c’est savoir depuis l’enfance qu’il est possible de payer une femme pour avoir un rapport sexuel. Cela veut aussi dire avoir été racolé au moins une fois dans sa vie.D’ailleurs, la prostitution est partout autour de nous, jusque dans notre langage. “Putain”, “bordel” et “pute” sont des mots que nous prononçons sans y penser parfois plusieurs dizaines de fois par jour…Quel rôle joue la prostitution dans la construction de la virilité ? Pourquoi certains hommes deviennent-ils des “prostitueurs” réguliers, c’est à dire des hommes qui paient des prostituées ? Au contraire, qu’est-ce qui pousse un homme à refuser la prostitution ?
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