yoh-nee
yoh-nee
Mon petit coin fourre-tout
14 posts
Un endroit pour exprimer, partager et rêver
Don't wanna be here? Send us removal request.
yoh-nee · 4 years ago
Note
Hypothetically speaking. ‘ if someone wanted to start drawing at a teen age do you think she or he would as good as the people who worked their whole lives’
I don’t think people fully realise that “teen age” is, how do I put it, Young As Heck? 😭 I understand (and remember) that living for like 12-18 years feels like A LOT, but in a grander scale of things it really isn’t. 25 is young. 33 is young.  So If you do start at a teenage age, you have SO many more years ahead of you, I wouldn’t really be worried about not drawing since you were, say, 5.  It helps, yeah, but it shouldn’t stop you from starting something! No age is too old to start Anything you’re interested in!  Life is (ideally) quite long. There shouldn’t be a certain age you pass and think that, no, I am already too old to start learning that, you aren’t! Life is for learning new things, regardless of ones age^^ And also, there Always will be people better than you at something. There are plenty of 16 year olds with much larger potential and art predisposition than me. Already, so much better than me even if *technically* I had like a 10 year old early start compared to them. There are plenty people my age that aren’t as experienced at art as me. Regardless of your age, it will always go both ways. You will always be better than someone at something you do, and worse than someone else, just because...there are just so many people and it’s just how it works. So I don’t think that comparing yourself (with no experience in drawing) to someone who has been drawing for a long time (and most likely started as inexperienced as you) would be a very healthy approach.  I’d definitely say don’t let your age stop you. Whatever it is. It’s never too late to start something and I Sincerely Mean It. 
2K notes · View notes
yoh-nee · 4 years ago
Photo
Tumblr media
Yeah, you don’t wanna look in there, promise.
Tip Jar
9K notes · View notes
yoh-nee · 5 years ago
Text
La jeunesse est un état d’esprit
Me revoilà, pour vous partager une petite réflexion personnelle sur la vie en général.
Je viens de fêter récemment mes vingt neuf ans, oui je commence à faire partie des gens que les jeunes traitent gentiment de vieux, et je réalise qu’ils n’ont peut être pas tout à fait tord. Pas que je m’estime avoir assez d’expérience dans la vie pour pouvoir le dire de moi même. Mais je commence à dire des phrases de vieux, comme le grand classique : “de mon temps on avait pas tout ça”, cette phrase typique de vieux qui me hérissait quand j’étais gamine XD.
Mais, il y a quand même des trucs qui font réaliser que le temps passe et à une sacré vitesse. J’aurai des tas d’exemples à vous donner, vu que c’est un sujet qui revient régulièrement avec les membres de ma famille et mes amis nés après 2000, mais je vais faire court et ne vous parler que d’une seule chose : le progrès qu’à fait la technologie en vingt.
Je suis une passionnée de technologie, j’adore découvrir les nouveautés du domaine, allant du dernier smartphone en passant par la dernière carte graphique qui fera tourner tel jeu qui vient de sortir et qui repousse toujours plus loin l’immersion et la qualité graphique. Enfant, j’ai fait partie de ces chanceux qui avaient déjà un pc à la maison et j’ai donc pu expérimenter l’aube de l’ADSL, les premiers Iphones, les mp3 et tout un tas d’autres choses qui ont disparu depuis. J’ai vécu l’époque où le portable n’était pas une chose indispensable, oui oui.
Bref, tout ça pour dire, que ça fait plus de dix ans que j’ai quitté le lycée, et pourtant, j’ai l’impression que ce n’était qu’il n’y a que quelques années. 
J’ai récemment repensé à ces dix dernières années, me demandant ce que j’avais fait de ce temps et de qui j’étais à l’époque. Je n’ai jamais été très douée pour me projeter dans dans le futur, mais cette petite introspection dans mes souvenirs m’a permis de réaliser plusieurs choses essentielles.
La première, oui effectivement, ça fait déjà dix ans et je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer depuis. J’ai fait énormément de choses, et regrette certaines que je n’ai pu faire. J’ai encore beaucoup des insécurités que j’avais à l’époque, mais elles me semblent moins importantes, plus faciles à vivre. Je fais encore quelques crises d’angoisse quand je suis travaillée ou qu’un soucis me tombe dessus, mais rien de comparable à l’état dans lequel je me mettais adolescente.
Tout est tellement plus intense quand on est ado. Puis avec le temps et les expériences de la vie, j’ai réalisé que j’étais un peu bête de me rendre malade pour ces choses là. Je suppose que c’est ce que l’on appelle prendre du recul avec l’âge.
Malgré toutes ces réalisations sur le temps passé, je n’ai pas la sensation d’avoir tant changé et je me comporte toujours de la même façon qu’à dix neuf ans. J’aime faire la fête, passer du temps avec des amis, je n’ai pas la sensation d’être une vieille. Certes, j’ai quelques amis qui sont plus jeunes que moi et qui me permettent de rester à la frontière, mais je vois bien certaines personnes du même âge et il est clair que je ne leur ressemble en rien.
De la même façon, j’ai des amis plus vieux - que je connais depuis dix ans - qui approchent de la quarantaine avec qui je peux avoir des discussions sur des sujets plus délicats, qui demande d’avoir quitter les bancs de l’école pour vraiment en saisir le sens.
J’en viens donc à me dire que la jeunesse est un concept abstrait et qu’essayer de se comporter d’une certaine façon parce qu’on prend de l’âge est un peu idiot. Tant que l’on est soi même, quelle importance que les personnes que je côtoie aient dix ans de plus ou de moins ? Si j’apprécie les discussions et les moments que je vis avec eux, qu’est ce qui m’interdit de les vivre ? 
N’est ce pas bien au contraire ? Avoir un point de vue différent de ses amis ne permet il pas d’ouvrir ses horizons et de rester humble ? Et puis, on grandit tous à un rythme différent, pourquoi essayer d’imposer un modèle de vie, qui n’est fait que de généralités qui n’ont aucun sens ?
Prenez le passage à l’age adulte. En France, on dit qu’avoir dix huit ans c’est être adulte. Personnellement, quand j’ai eu dix huit ans, je ne me sentais absolument pas adulte. J’étais tout juste autonome pour vivre seule, je ne me voyais pas assumer les responsabilités qu’avait ma mère. Pourtant, j’ai une amie qui s’est mariée et qui a rapidement eu une petite fille, alors que moi j’en étais encore à faire la fête six jours sur sept.
Vous voyez ? Chacun est différent et fait les choses à son rythme :).
Je ne pense pas que prendre de l’âge soit mauvais, au contraire. Et puis on sait tous que l’on va mourir un jour. Pourquoi se botoxer et lutter contre le vieillissement du corps, qui est totalement normal ? Par contre, savoir rester jeune en esprit, savoir s’amuser sans s’inquiéter du qu’en dira t’on ou de l’opinion des gens, pour moi, c’est ça la jeunesse.
0 notes
yoh-nee · 5 years ago
Text
Manga, manga et encore manga !
Cette fois, j’ai envie de vous faire partager mes coups de coeur sur un autre sujet qui occupe une bonne partie de mon temps libre, les mangas. Je regarde aussi des animes, mais je préfère lire, alors pour aujourd’hui on va se concentrer là dessus ^^.
J’ai découvert l’animation japonaise comme la plupart des gens de ma génération par la télé, notamment France 3 ou M6. Je crois que mon plus vieux souvenir de manga - enfin d’anime pour le coup - c’est Sakura chasseuse de carte qui passait sur M6 Kid à l’époque. Comment vous dire que ce n’était que le début d’une grande histoire d’amour ? Je ne sais pas, mais j’avais un peu moins de neuf ans il me semble. J’ai tenté d’en découvrir plus, mais à la maison, mes parents n’étaient pas trop pour nous laisser regarder la télé en semaine, et on avait que les chaines gratuites. Et puis on n’était encore à l’époque des modems 56k. Autant dire qu’internet n’existait pas xp. J’ai donc peu regardé de grands classiques de l’époque. Par exemple, je n’ai lu et vu Dragonball qu’après le lycée.
Habitant dans le trou du cul du monde, l’accès aux mangas était particulièrement difficile, alors il m’a fallu attendre encore un peu avant de tomber sur Detective Conan. Je me souviens encore que c’était le tome 15 et qu’il n’y avait que celui là de disponible à la bibliothèque de mon village.
Bref, tout ça pour dire, que j’ai pu véritablement donner libre cours à mon envie de lire plus de mangas qu’à partir de mon entrée au collège qui a coïncidé avec le début de la vague du manga en France par le biais de Naruto notamment. Mais c’était encore loin de la popularité actuelle et on passait souvent pour des espèces de nerds (vu que le terme geek n’existait pas xp).
Breeeeeeef, je vous raconte ma vie qui ne vous intéresse certainement pas, alors repassons au sujet principal.
J’ai lu énormément de mangas depuis le temps, certains m’ont marqué plus que d’autres, certains étaient un peu nuls, d’autres de vrais chefs d’oeuvres. C’est aussi par ce biais que j’ai découvert le Japon et que j’ai rencontré pleins de gens passionnés qui m’ont permis de grandir et devenir ce que je suis aujourd’hui.
Comme la fois précédente, je vais vous faire une liste, ne vous fiez pas à l’ordre, ce sont tous des mangas qui m’ont particulièrement marqué, et dont je ne me lasse pas de lire les histoires. Je pense que certains parleront à la plupart, mais j’espère vous en faire découvrir quelques uns ^^. Je mets aussi des liens vers un site qui reste un des plus fournis du web, Nautiljon pour vous donner plus d’infos si ça vous intéresse.
1. Hikaru no go - Hotta Yumi et Obata Takeshi - Fiche
Parce qu’il faut bien commencer par un, je vais vous parler d’un des premiers mangas que j’ai découvert, et qui m’a véritablement rendue curieuse de la culture japonaise. 
Alors ça raconte l’histoire d’un gamin, Hikaru qui se retrouve possédé par le fant��me de Sai, un maniac du je de Go. Là je vous entends déjà dire : “le Go ? C’est quoi cette merde ?” (même si je suis sure que vous êtes tous très polis xp).
Le go est un jeu japonais ressemblant un peu aux échecs, ou encore au Shogi. C’est un jeu de stratégie qui se joue sur un plateau où deux adversaire, noir et blanc s’affronte pour remporter une conquête de territoire.
Maintenant que vous savez ça, bin vous avez pas vraiment besoin d’en savoir plus. 
Parce que le héros principal est comme nous, occidentaux incultes que nous sommes, au départ. C’est un ado qui n’y connais rien au go, et il se retrouve projeté dans ce monde par Sai, le fantôme d’un très grand joueur de l’époque Heïan et un autre enfant de son age, Akira. On le voit évoluer dans cet univers, et son intérêt grandir au fur et à mesure. Même sans comprendre les règles, je me suis très vite attachée aux différents personnages qui croisent la route du drôle de duo, qui ne semblait pas fait pour s’entendre au départ. On voit Hikaru grandir et mûrir, ce qui est un pur plaisir pour les yeux (Il est tellement cute à la fin du manga <3 ) et qui le rend presque réel.
C’est vraiment bien écrit, et le dessin est propre (en même temps c’est le même gars qui dessinera Bakuman ^^). Ça parle d’amitié, mais aussi de dépassement de soi, et de compétition aussi. Et surtout, le lien qui se crée entre Sai et Hikaru est pour moi magique et incroyablement fort. Sans vous spoiler, à chaque fois que je le relis, je pleure toujours pour le même passage ^^’.
2. Fullmetal Alchemist -  Arakawa Hiromu  -  Fiche
Un classique de chez classique, surtout depuis l’anime FMA Brotherhood qui suit l’histoire du manga. Je ne pense pas avoir besoin de vous faire le topo ? Si ? 
Alors pour faire simple, on suit les aventures des deux frère Elrics, Edward et Alphonse, de jeunes alchimistes de talents, dont l’ainé fait partie des alchimistes d’état pour retrouver le corps d’Alphonse et les membres d’Edward. C’est dans un monde complètement imaginaire, ressemblant un peu à l’Allemagne avant la 1ere guerre mondiale (perception de l’univers très personnelle, j’ai surement tort) où les alchimistes sont dotés de grands pouvoirs, et la science est avancée au point qu’ils sont capables de faire des prothèses mécaniques, des automails, qui remplacent les membres perdus.
Un chef d’oeuvre du shonen des années 2000, qui continue toujours à faire parler de lui tellement l’histoire et les persos sont solides.
Je suis une fan inconditionnelle de Mustang, et par extension au RoyAi. La relation entre Ed et Winry est magique. Et Ed est juste génial, surtout quand on parle de sa taille xp. Je ne m’éternise pas sur les personnages, parce qu’il y a tellement à dire.
J’ai découvert par le biais du premier anime qui passait sur canal + en clair, et qui malgré la divergence de l’histoire par rapport à l’histoire originale reste plutôt bon. Bon je ne peux plus le regarder maintenant parce qu’il a assez mal vieilli et que l’histoire racontée dans le 1er anime est un peu bancal, mais pour tous les rageux qui ne comprennent pas pourquoi le 1er anime diffère autant, une petite mise au point :
A l’époque où est sorti le 1er anime (2003 pour ceux que ça intéresse), il n’y avait que les 5 premiers tomes de sortis au Japon. Autant vous dire que c’est un cinquième de l’histoire complète à peu près (bah ouais 5 sur 27 tomes ça fait environ un cinquième u_u), et que le studio qui l’a produit a fait avec ce qu’il avait pour donner une histoire avec un début et surtout une fin. Et puis, il y a eu quand même deux films qui suivaient l’anime dont Shamballa wo Yuku Mono qui a eu pas mal de retours assez négatif parce que beaucoup estimaient que ça partait trop en cacahuète. Alors oui, par rapport à l’histoire de base ça part en cacahuète, mais je trouve que si l’on prend le temps pour voir le 1er anime en marge du manga, c’est plutôt une bonne histoire. 
Et puis, Fullmetal Brotherhood est sorti, et là je dois dire que j’ai été la plus heureuse du monde. Et ne nous mentons pas, cet anime est juste génial. Les musiques sont magnifiques et collent à l’ambiance, les dessins et les scènes de combat sont monstrueuses, et la voix des doubleurs j’adore ^^.
Bref, FMA je pourrai en parler des heures, et je reste une adepte des fanfic dessus, parce que dès que j’ai terminé de lire ou regarder (un des rares animes que j’ai maté plus de 4 fois u_u) j’en veux ENCORE xp.
3. Jusqu’à ce que la mort nous sépare - Takashige Hiroshi & DOUBLE-S - Fiche
Alors là on change un peu de registre et on quitte un peu les shonen pour aller sur un seinen qui m’a beaucoup marqué.
Pitch de base *musique suspense* (quoi j’en fait des caisses ? Et alors ?!) : Une jeune fille, Haruka avec la capacité de prévoir le futur (j’insiste prévoir, pas voir),  est poursuivit par les Yakuzas croise le chemin d’un samouraï des temps modernes devenu aveugle (on a pas d’explication au comment il est devenu avant le tome 15 il me semble) et capable de trancher une balle en deux (oui oui, une balle de pistolet u_u. Enfin ce n’est pas la seule chose qui découpe loiiiiin de là xp), Mamoru Hijikata. Elle lui demande de la protéger, jusqu’à ce que la mort les sépare. Mamoru accepte, et se rend rapidement compte que les problèmes ne font que commencer, pour son plus grand plaisir (et c’est pas ironique xp).
Voilà, là c’est genre vraiment le 1er chapitre du manga, et mon dieu, c’est d’entrée de jeu déjà énorme. Vous vous doutez bien qu’ils leur arrivent pas mal de chose et que l’auteur sait nous tenir en haleine dans de nombreux combats où on craint le pire. Le dessin un peu brouillon au début prend rapidement de l’assurance et c’est un plaisir pour les yeux. J’adore la patte graphique de Double S.
La puissance de ce manga, déjà c’est les personnages. Les deux principaux, chacun dans leur genre, ont une présence énorme dans l’histoire et tout tourne autour de cette relation qu’entretient cette adolescente aux capacités particulières avec cet adulte pas vraiment un modèle de douceur - bah ouais c’est un samouraï A V E U G L E !
Pour les autres, la plupart sont intéressants par leur histoire, qui sont toutes différentes et pas vraiment rose. Mais ça ne rend que tout ça plus intense ^^.
Ce que je veux dire, c’est que c’est une histoire qui se déroule dans un Japon relativement moderne et actuel, et qui exploite pas mal de notions théoriques de la science et des technologies actuelles. Ce qui rend l’histoire plausible et j’adore ce genre de chose. On y découvre le monde de l’ombre, avec des yakusas, des terroristes, mais aussi des gens qui se battent pour empêcher les méchants de faire ce qu’ils veulent. 
Je ne veux pas trop vous en dire, car l’histoire se déroule d’elle même et trop en savoir avant la première la lecture, je trouve ça dommage.
C’est vraiment à lire, vraiment, je le conseille souvent à mes amis et en général il plait ^^.
4. Haikyuu -  Furudate Haruichi - Fiche
Découvert par le biais d’une amie fan de mangas de sport, j’ai commencé par l’anime, qui m’a fait tout simplement rêvé. J’adore le duo Hinata et Kageyama, et le reste de l’équipe. Je ne compte plus les barres de rire que je me suis tapée devant le manga ou l’anime à certains passages ^^.
En général, je suis vite lassée des mangas de sport, parce que je trouve que ça sort un peu trop souvent de la réalité. Je veux dire, des fois (genre Prince of Tennis, pour citer l’un des plus notables), les coups spéciaux et les matchs sont juste trop fous pour être vraiment possible et ça, ça à tendance à vite me lasser. Je veux dire, si j’avais voulu voir des mecs lancer des lasers avec une raquette, j’aurai pas pris la catégorie sport pour ça, ou alors avec un truc complètement What the fuck u_u.
Dans Haikyuu, je ne ressens pas du tout ça. Au départ, ils galèrent vraiment, et souvent l’auteur précise dans les discussions des persos, que les adversaires, qui semblent les surclasser, ne sont que des lycéens finalement.
Même l’évolution d’Hinata est toujours croissante sans faire de bonds incroyables difficilement explicable, et du coup il est encore plus facile de s’attacher à lui. 
Perso, j’attend chaque chapitre avec impatience, et l’anime aussi ^^. Parce qu’il est vraiment propre ^^.
Bref, un bon manga de sport comme je les aime ^^.
Je reste toujours étonnée de voir à quel point j’ai accroché vite et avec quelle facilité je relis le manga ou je revois l’anime quand je n’ai rien d’autre de particulier à faire. Pour moi, ce genre de gros coup de cœur pour manga reste tout de même assez rare, vu la quantité de trucs que je lis, et que ce soit un manga de sport en plus en fait que je pense qu’on peut en penser que c’est un bon manga (cela ne reste que mon avis hein ^^).
5. Shaman King - Takei Hiroyuki - Fiche
Un des premiers mangas dont j’ai acheté la collection, ce qui n’est pas rien. 
On y suit l’histoire de Yoh Asakura, un jeune shaman, une personne capable de voir les fantômes et de se servir de leurs capacités, et ses combats contre des shaman du monde entier dans le shaman fight, un tournoi ayant lieu tout les deux milles ans pour choisir le plus fort qui deviendra le Shaman King. Par exemple, l’auteur sous entend que Bouddha et le Christ auraient été les Shaman King de leur génération.
Seul problème, et pas des moindres, Yoh n’est pas du genre à être un féru de combats. Son seul objectif, devenir Shaman King pour mener une vie tranquille. Sa phrase favorite : “Je veux vivre sans soucis et écouter ma musique préférée tous les jours”. Autant dire qu’il n’est pas au bout de ses peines.
J’aime beaucoup ce manga, car il s’inspire de nombreuses croyances et a de nombreuses références à la culture japonaise et ses croyances. Malgré son côté apathique, Yoh est bien plus complexe qu’il n’y parait au départ et c’est vraiment intéressant de le voir évoluer et de prendre des décisions qui ne sont pas toujours simple. C’est mon personnage préféré et vraiment je l’adore ^^.
Bon après, il fait aussi partie de ma liste que j’appelle “Les mangas dont la fin est une frustration extrême...”. Je parle de tous ces mangas qu’on commence un jour et qui nous plaise, qu’on suit assidûment dès qu’un nouveau tome est là, et puis arrive la fin, et là on se dit “tout ça pour ça ? Sérieux ? Mais c’est pas une fin ça !”.
Parce que comme de nombreux autres shonen, Shaman King est d’abord une publication hebdomadaire avant de devenir un manga relié. Et au Japon, quand votre manga est sérialisé dans un magasine type Shonen Jump, c’est la popularité du manga qui le fait vivre. Et si un manga n’est pas suffisamment populaire, bin il doit s’arrêter.
C’est pour ça que parfois, on a cette sensation de fin bâclée sur certains mangas. C’est tout simplement à cause d’un arrêt précipité par une popularité qui ne suit pas
Alors on a quand même de la chance, car malgré que Shaman King ait été dans ce cas là, on a quand même eu droit à une réédition avec la vraie fin (enfin pas en France, mais bon, là c’est encore différent avec les éditeurs français...) et même une suite qui donne quelques indices supplémentaires sur ce qui a pu se passer après la fin du manga, et ça c’est plutôt cool ^^. 
6. Last Game -  Amano Shinobu - Lien
Bon, abordons un genre que j’affectionne, mais dont les représentants ont rarement grâce à mes yeux (et c’est pas faute d’en avaler), les shojo.
J’adore les histoires d’amours, vraiment. Mais souvent, dans les shojo, on retrouve toujours vite les mêmes choses, dessiner différemment. Par exemple : La rival qui est une garce, le rival de l’amoureux qui fait chavirer le cœur de l’héroine le temps de quelques chapitres, la famille qui s’oppose à leur amour etc.. 
Bref, vous avez compris le message, les shojo c’est bien, mais c’est souvent la même chose.
Et bah là, je vous présente Last Game. Ça commence sur la rencontre du jeune garçon Yanagi, fils de bonne famille et très intelligent, avec Mikoto nouvelle dans sa classe de primaire. Habitué à être adulé par ses camarades, Yanagi va très vite tomber de haut en voyant que Mikoto n’est pas impressionnée et même pire, elle est meilleure que lui partout.
Vous vous en doutez, il se met à la détester et en fait sa rivale. Le temps passe, mais il ne réussit pas à la battre. Dix ans plus tard on retrouve Yanagi et Mikoto à l’université. Les choses auront elles changées ? Absolument pas. Se rendant compte de ça, Yanagi décide de lancer le Last Game, son dernier plan pour réussir à battre Mikoto, et il n’est pas au bout de ses peines ^^.
Ce manga est juste génial. Les situations ne se développent jamais comme elles devraient, au désespoir de Yanagi qui galère, et même dans les moments difficiles, Mikoto est d’un naturel tellement honnête et un peu trop hermétique aux sentiments qu’elle passe souvent à côté de choses qui sont évidentes pour tout le monde sauf elle. 
C’est frais, et tellement mignon, un shojo comme on les aimes ^^.
7. Wotakoi - Fujita- Lien
Ou de son vrai nom : Wotaku ni koi wa muzukashii, l’amour c’est compliqué pour un otaku, est un josei (manga dont la cible est des femmes de quinze à trente ans). C’est une comédie romantique, où l’on suit le quotidien de Narumi, une jeune femme travaillant dans un bureau et qui est une fujoshi (une fan de yaoi, doujinshi etc) et qui fait tout pour le cacher. Son ami d’enfance, Hirotaka, travaille dans la même boite et est un hardcore gamer.
On suit leur quotidien d’otaku et de tout ce que ça implique dans la société japonaise actuelle, car oui, encore aujourd’hui au Japon (et dans une bonne partie du globe), être un otaku n’est pas une chose simple à assumer.
J’adore ce manga, car malgré des situations très banales, c’est hilarant car les personnages sont haut en couleur et très humains.
C’est léger à lire et étant moi même une geek, les nombreuses références de cette culture sont innombrables. Et malgré cette légéreté, le manga aborde tout de même des sujets assez sensibles sur la société et ses “qu’en dira t’on ?” qui peuvent toucher des personnes qui ne sont pas dans les normes.
8. KHR - Amano Akira - Lien  
Je vous présente maintenant l’un de mes chouchous ^^, et aussi l’un des mangas dont la fin ne me satisfait pas xp. Paradoxal, mais je pense que la plupart des gens l’ayant lu sont de mon avis (de ce que j’ai pu voir comme retour^^).
KHR, ou  Katekyô Hitman Reborn! (pour les français : Reborn ! Mon prof le tueur, est un shonen qui raconte l’histoire de Tsunayoshi Sawwada, un collégien âgé de quinze ans, que ses camarades appellent Tsunaze. 
Timide, pas doué en sport ou dans les études, un peu lâche, rien ne lui réussit et ses sentiments pour la jolie Kyoko Sasagawa sont à sens unique.
Jusqu’au jour où sa mère tombe sur une affiche pour des cours particuliers qui lui plaisent et elle décide d’y inscrire Tsuna.
Et ce n’est pas n’importe quel prof qui débarque, et un bébé nommé Reborn débarque dans la vie tranquille de Tsuna pour en faire rapidement un enfer. Il n’a qu’un seul objectif, faire de Tsuna le dixième boss de la famille mafieuse des Vongola.
Bien sur, Tsuna est complètement contre, mais manque clairement de charisme et de volonté pour vraiment s’opposer à Reborn, et il subit les différentes lubies de son tuteur à qui il manque la notion de pitié.
Il se retrouve mêlé aux histoires de succession des Vongola et va devoir se battre à l’aide des flammes de la dernière volonté. 
Malgré tout ça, Tsuna affronte toutes les épreuves qui se présentent à lui et finit par mûrir aussi. Il rencontre aussi ses futurs gardiens, sept personnes choisies par Reborn pour devenir les protecteurs du dixième boss de la famille Vongola.
Je ne veux pas trop vous en dire, parce que vraiment l’histoire est géniale ^^. Il n’y a que la fin qui peut laisser peut être à désirer, mais je pense que c’est surtout parce que l’auteur devait en avoir un peu marre et voulait certainement arrêter.
C’est un pur shonen avec combats incroyables et capacités spéciales (je veux pas trop vous en dire^^), et tous les persos, héros ou méchants sont géniaux, car ils ont tous une certaine profondeur. Et puis Tsuna est juste trop cute ><!. Je fond dès que je le vois ^^. Et puis, malgré son refus catégorique d’accepter le rôle que Reborn veut lui faire endosser, il n’hésite pas à se battre quand il s’agit de protéger ce qui est important pour lui, ses gardiens et amis.
Bon après, les dix premiers tomes sont plutôt des petites histoires sans vraiment de filler, mais au moins on a le temps de rencontrer pleins de personnages secondaires tous haut en couleur ^^. 
En tout cas, il fait partie des classiques du genre, et pour ceux qui ne l’aurait pas encore lu, allez y ^^.
9. Dreamland - Reno - Lien
Celui là, c’est une perle française ^^. Il y a peu de mangas français qui marchent aussi bien d’ailleurs (je pense même qu’il est à la tête u_u). Et en plus, le dessinateur est Montpellierain, comme moi ^^.
Je vous résume le pitch de base ^^ :
Tous les êtres humains rêvent. Et quand ils rêvent, ils vont dans le pays des rêves, Dreamland. Un immense pays, où rêveurs et créatures des rêves se côtoient. Les rêveurs malgré leur nombre, ne sont pas conscients d’aller là bas, mais certains, ceux qui ont vaincus leur plus grande peur, sont capable d’agir et de se souvenir de leurs actions dans le pays des rêves.
L’histoire commence quand le jeune Terrence Meyers affronte sa peur du feu, et deviens l’un des rares contrôleurs du feu existant actuellement à Dreamland. Il a un grand pouvoir, mais reste incapable de le maîtriser. Un monde de possibilités infinies s’ouvrent à lui, mais Terrence étant ce qu’il est, c’est à dire, un crétin un peu naïf, doublé d’un glandeur, il décide d’aider les rêveurs à avoir des rêves paisibles. Il lui faudra du temps, et un groupe de potes aussi taré que lui pour qu’il commence à voir plus grand et commence à laisser sa trace dans le monde incroyable de Dreamland.
J’aime beaucoup ce manga, j’aime le graphisme des dessins, les héros sont hauts en couleurs et pour la plupart de sacré boulets. Ils se retrouvent toujours dans des situations merdiques sans l’avoir vraiment voulu, tout ça à cause de Terrence et Sabba (90% du temps c’est leur faute xp). 
Et puis le monde de Dreamland est incroyable. Déjà par son fonctionnement en différents royaumes dirigés par des créatures des rêves toutes plus originales que les autres (je ne vous en dit pas plus, faut bien vous donner envie de lire xp), et ensuite, justement parce que c’est un monde qui est façonné par les rêves des humains, il y a plein de clins d’oeil et de références qui font sourire (on y voit même un gars ressemblant très fortement à Ace de One Piece xp). Tout ça donne envie d’en savoir plus et de voir jusqu’où Terrence et ses potes vont aller.
10. Solo leveling - Chu Gong, Akira Rei & Jang Seong Rak - Lien
Et pour finir, j’ai envie de vous présenter mon dernier gros coup de coeur ^^. C’est une très bonne amie qui me l’a conseillé, et je n’ai pas été déçue ^^. J’ai littéralement dévoré tous les chapitres dispo (94 en deux jours c’est un record perso xp), et j’attend la suite avec impatience ^^. Je l’ai même déjà relu une fois de plus xp.
C’est un web comic coréen, basé sur une light novel, Na Honjaman Level Up, et je suis complètement séduite par le design et par l’histoire.
Dix ans auparavant, des portails ont commencé à apparaître un peu partout dans le monde. Ces portails ont la particularité de connecter le monde à d'autres dimensions, donjons ou mondes parallèles. En même temps, certaines personnes ont développé des capacités afin de pouvoir chasser ces portails. On appelle ceux qui reçoivent un Éveil, des Chasseurs.
On suit l’histoire de Sung Jin-Woo, un Chasseur de rang E, aussi appelé le Chasseur le plus faible de l’histoire. 
Un jour, pendant une mission dans un dongeon de niveau D, il se retrouve avec ses camarades de raid dans une salle avec des monstres trop haut niveau (s’en ai même choquant de voir la différence) et c’est littéralement un massacre. Sung Jin-Woo est lui aussi blessé mortellement, et au moment de mourir, un étrange message apparaît lui proposant une seconde chance. Il l’accepte et voilà comment commence sa quête pour devenir plus puissant.
C’est super intéressant, car on suit un personnage qui évolue non seulement dans ses capacités à se battre, mais aussi psychologiquement. Son augmentation de pouvoir et la façon dont il l’obtient le transforme, tout en gardant le principal. Et les explications du pourquoi du comment, sont encore aujourd’hui complètement floues, mais des pistes sont données.
Ce qui est génial dans ce manhwa, c’est qu’on a pas le temps de s’ennuyer. L’action s’enchaine et je me suis laissé emportée complètement. D’où la vitesse à laquelle je l’ai lu ^^.
Et voilà, c’était dix mangas que dont je voulais vous parler ^^. J’espère que certains trouveront de quoi s’occuper là dedans ^^.
Et parce que j’aime bien vous quitter en musique, voici le troisième générique de l’anime Haikyuu =D
Yoh
youtube
0 notes
yoh-nee · 5 years ago
Photo
Tumblr media
TKG (Egg over rice) …?
2K notes · View notes
yoh-nee · 5 years ago
Text
Bianchi: You don't think I can fight because I'm a girl.
Shamal: I don't think you can fight because you're wearing a wedding dress. For what it's worth, I don't think Reborn could fight in that dress, either.
Reborn: Perhaps not, but I would make a radiant bride.
863 notes · View notes
yoh-nee · 5 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
HIBARI KYOYA IS A FUCKING SAVAGE
1K notes · View notes
yoh-nee · 6 years ago
Text
Why Royai is Objectively Canon
I love this topic so much and had to enthusiastically yak about it. I’m also nervous making this post… but you know what? Life’s too short to not talk Royai. I said about a week ago that I’d write a post demonstrating why canon material presents romantic Royai as objectively canon. Haha, I don’t believe this is Royai shippers perceiving skewed information for what we want! ^.^
For my perspective, I’m someone who tends not to be drawn to romantic ships, canon or fanon. I rarely ship and I’m almost never gungho about ships. I’m aroace and I find the greatest celebrations in familial platonic and familial relationships. Those are the things I emphasize and look into in my own fictional fixations. I’m slightly cynical by nature that authors intend a close relationship to be implicitly, implied romantic unless there’s obvious sign posts demonstrating that. I’m more likely to argue something implicit isn’t romantic rather than argue it is, honestly. Even if I find myself shipping something (and I do hardcore ship Royai), I keep a strong distinction between what’s canon and what’s fanon, and I don’t care if my ships become canon or not. It doesn’t mean I’m without my bias, but hopefully this gives everyone an angle on what my biases or not are.
Regardless, I firmly believe that Hiromu Arakawa - and in fact every iteration of the FMA franchise - intends Royai to be perceived as romantic interest. It’s written subtly at times, but it’s written intentionally.
Some points I make below will be more objective, undeniable, concrete proofs than others. For each section I’m writing, I’m (generally) putting the strongest, most concrete evidence on top, alongside asterisks to say that this is a VERY important point. But my list also includes minor moments that on their own wouldn’t “prove” Royai. However, in the context of everything else, they provide a gestalt understanding of how Royai interact and are intentionally written/drawn throughout the franchise and especially the manga/FMAB.
I could honestly write essays over EVERY bullet point on this list, but I’ll restrain myself. Yes, this long post is me actually restraining myself. XD
A BRIEF STARTING ESSAY SUMMARIZING KEY POINTS
Tumblr media
Grumman, who’s rather keen in sensing motivation, suggests Roy marry his granddaughter, Riza. Roy’s foster mother Chris suggests that Roy should “play with Elizabeth” when he’s feeling blue. When Roy says another man takes Elizabeth-chan away from him, Vanessa asks if this means Roy’s now romantically available - indicating that Riza is where Roy’s romantic interests lie. In fact, both Roy and Riza demonstrate occasional moments of jealousy when someone shows romantic interest in the other. Roy gets disproportionately defensive when Barry hits on Riza. Riza, meanwhile, tries to sabotage one of Roy’s dates by overloading him with paperwork. When she fails to prevent the date, she goes to the shooting range to noticeably vent, catching both Falman and Fuery’s attention for her abnormal behavior.
Royai tend to use formal language to one another, Riza almost exclusively addressing Mustang as「 大佐 」 (colonel). Roy makes sure to put in「 中尉 」 (lieutenant) lots amidst various second-person pronouns. However, when both are emotionally vulnerable and speaking from their heart about each other, like when Riza thinks she might have to shoot Roy, they drop formalities. Roy then never calls her “lieutenant,” instead exclusively uses a term that can be endearing and affectionate, 「 君 」, and uses this word when he says, “I can’t afford to lose you.” Riza, even more tellingly, calls Mustang 「あなた」- something she never calls him in formal situations - an affectionate term wives use to call their husbands. 
The body language and facial expressions Royai give each other is notably different from how they interact with family and close friends. Mustang isn’t someone who engages in much physical contact, be it with his aunt or his best friend Hughes. He sometimes appears irritated if Hughes hops in for an arm around the shoulder. Riza in turn doesn’t reach out for notable physical contact with Rebecca or other friends. But the look of affection Roy gives when Riza is injured in his arms and he realizes she’s safe… is a look he gives no one else. He cradles her and embraces her so tightly that Mei has to remind him Riza’s still injured. When Mustang loses his eyesight, he doesn’t just grab Riza’s hand to get some navigation guidance… but manages to sling his arm around her shoulder. And while it makes sense for Hawkeye to hold onto him in the final fight to keep him oriented, there is a certain level of intimacy to not just holding him by the shoulder, but putting her hand on his chest, too.
Tumblr media
Royai demonstrate extreme closeness for one another and preference for the other above all else. Romance doesn’t have to be your closest relationship, but the fact that Royai are so emotionally close only adds support to the rest of my points. Riza would be devastated at the thought of losing Mustang, so much she starts crying and gives up on life in “Death of the Undying,” and then in “Beyond the Inferno” says she’d kill herself alongside Mustang. Roy, in turn, has traumatic flashbacks imagining that Hawkeye might get killed by Gluttony, and is so frantic about her health in “Lost Light” that he is oblivious to an enemy almost attacking and killing him from the back. Mustang even admits to Bradley that he almost risked his physical health and the entire country’s safety… because he wanted to do human transmutation to save Hawkeye’s life. He would risk all that for one special woman.
Multiple characters beyond Chris Mustang, Grumman, and Vanessa indicate that they know Royai is close. Envy immediately believes Riza when she suggests she and Mustang are intimate. The gold-toothed alchemist and Bradley both know that Riza is the specific way to get to Roy’s heart. And throughout the story, Royai is written as a parallel point to Edwin. Riza tells Winry that she sticks with the military in support of one man, which helps give Winry the resolution to support the own man she loves. Riza understands Ed’s desire to protect Winry - a woman Riza knows Ed loves - because Riza, too, has someone dear she needs to protect. Everything from in-story parallels to official art often put Edwin and Royai as counters to each other.
An oft-quoted interview with Hiromu Arakawa published in the thing manga art book has the writer answering a question of why Royai aren’t married. If they weren’t romantically inclined, Arakawa would have said that. Instead, she explained that the thing preventing them from joining in matrimony was military anti-fraternization regulations. 
Other material outside of what Arakawa wrote herself or was placed in FMAB depict romantic Royai as well. 4Koma Theatre (which Arakawa also drew panels for in Chronicle) contains jokes where Mustang shows attraction to Hawkeye. The 2003 anime ends with Mustang reaching out to Hawkeye’s hair and calling her beautiful, and the two of them sharing smiles in the marketplace that show emotions they’ve given no one else. The 2003 character song “Rainy Day No Thanks” contains extremely flirtatious lines from both - it’s in fact a love song. Hawkeye calls Mustang’s actions “cute” and says she wants to hold him close, while Mustang says Riza is “a sexy lady to escort with a kiss.” Art from Daughter of the Dusk and Conqueror of Shamballa show Riza with her hand on Roy’s arm, much as you would see couples walk down the street. Mustang, sparkling and grinning in flirtation, calls Hawkeye so beautiful she takes words away in Prince of the Dawn, and is rather keen to hold onto a sexy photograph of her in a stunning dress in (I believe) Daughter of the Dusk. Maes Hughes seems rather interested in the idea of Roy and Riza pairing up for a team event in Dream Carnival, and teases them to the point of suggesting he could see them making out - which gets Riza abashed. 
All this material combined presents what I believe is a clear case to canon Royai romantic affections, regardless of whether or not you wish to ship it! (and no worries, we can all ship what we please!)
Now, this isn’t about the idea that romance is inherently “closer.” Roy and Riza are clearly close. Familial and platonic bonds can be just as close as romance, though. But the proof that this is coded as implicit romance is clear throughout the franchise, and clearly intended by the creator of the characters herself. So many of these things I mentioned would never be the case if not intended to be romantically coded. Vanessa asking if Riza’s departure means Roy’s now romantically available; Hawkeye sabotaging a date; Riza calling Mustang an affectionate term that’s not familial or platonic in nature; Arakawa herself saying Royai would get married if not for work regulations. Roy and Riza might never be able to act upon romantic interests in one another, but their affections are nevertheless underlyingly romantic. 
And now… the list I have. It’s not even anywhere close to comprehensive. But it should more than enough get the point across.
Afficher davantage
998 notes · View notes
yoh-nee · 6 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
BILL WATTERSON - “A Cartoonist’s Advice”
56K notes · View notes
yoh-nee · 6 years ago
Text
La musique est une drogue, qu'est-ce que tu crois ? Vas-y, consomme du clip. La mienne est pure, elle n'est pas coupée, elle est limpide
Une vie sans musique, pour moi, c’est carrément impossible. J’ai une sainte horreur du silence, et je fais tout pour l’éviter. J’ai grandi dans une maison où il y avait toujours du bruit ou de la musique, j’ai fait de la musique (piano, violon et flûte traversière, si ça vous intéresse) et de la danse. Du coup, j’ai toujours de quoi écouter mes morceaux préférés.
Il ne se passe pas une journée sans que j’écoute au moins deux heures de musique en tout genre. Je ne suis pas une difficile et en général je suis assez ouverte d’esprit. Il suffit souvent que la mélodie me plaise, ou que les paroles aient un écho particulier pour moi, que ce soit du rap, du métal, de la variété ou même du classique.
Pour moi, la musique c’est un moyen de s’évader, rêver ou même tout simplement se défouler un bon coup. Ça peut nous aider à aller mieux, à se remettre en question, ou même à mieux comprendre les gens et les différentes cultures qui nous entourent. Regardez le nombre de gens qui ont découverts la Corée par le biais de la K-Pop ^^.
J’écoute un peu de tout, mais là, je suis dans une longue période rap. Je suis une inconditionnelle d’Orelsan et de Disiz la peste - ou alors Disiz, j’ai jamais su lequel c’est maintenant -, et je ne rate jamais un de leur nouveau son, que j’adhère ou pas. Mais j’ai aussi eu une période punk rock pendant mon adolescence, Sum41, Linkin Park ou Simple Plan pour ne citer que les plus gros. J’écoute aussi pas mal de K-Pop et de J-Pop, même si pour le dernier, c’est surtout des morceaux découverts par le biais d’animes. 
De part mes études de musique, je sais apprécier le classique. Je connais aussi mes classiques de la chanson française, Jacques Brel, Aznavour ou encore Jean Jacques Goldman. En général je tombe dedans pendant quelques jours avant de reprendre mes habitudes.  Mon père étant un adepte de jazz, j’écoute et reconnais les artistes sans pouvoir mettre un nom dessus, mais j’apprécie quand même.
Mais en fait, pourquoi je vous raconte ça ? Parce que j’avais envie de vous partager dix sons que j’ai découvert récemment (ou pas xp) et qui m’ont particulièrement plu. Vous avez le droit de vous faire votre propre avis bien sur, mais peut être allez vous trouver une perle et découvrir un artiste qui vous plait ^^.
J’ai parlé de rap, mais il n’y aura pas que ça, même si ce sera la majorité. Et ne vous y trompé pas, même si vous n’aimez pas le rap en général, je n’écoute pas n’importe quoi non plus u_u.
1. When I grow up - NFC - Je l’écoute en boucle depuis quelques temps, j’adore les paroles et le flow de ce rappeur. C’est percutant et dès ma première écoute j’ai validé. J’ai presque l’impression d’entendre Eminem.
2. Transe-Lucide - Disiz - Un de mes morceaux favoris de Disiz. La musique est ouf, et les paroles sont magiques. Je ne sais pas quoi vous dire de plus, il commence à être un peu vieux, mais il est toujours actuel. Le titre est limpide et colle parfaitement au morceau, c’est la transe du lucide. Pour moi, il fait partie de la crème du rap, comme beaucoup de sons de Disiz d’ailleurs u_u.  
3. 레드벨벳 '짐살라빔 (Zimzalabim) - Red Velvet - Je viens de découvrir ce groupe de K-Pop par le biais d’un ami, et à chaque fois que j’écoute ce morceau, j’ai le sourire et une furieuse envie d’écouter des morceaux de fanfare (quoi ? J’adore les fanfares et musiques de majorette - ou chearleaders si vous êtes anglo-fan) et par extension de danser.
4. A qui la faute - Kery James ft Orelsan - Comme souvent avec Kery James, les paroles sont dures, mais ça permet de donner une autre vision de la banlieue, et des gens qui y vivent. On a aussi le point de vue d’Orelsan, l’autre face de la France, qui entend parler de la banlieue sans savoir réellement ce qu’il s’y passe. Le feat marche terriblement bien et j’arrive à m’identifier dans les paroles. 
5. Lavender town - Juice World - Les vrais auront compris avec le titre, c’est une reprise de la musique mythique de Lavanville dans pokemon (la première génération). Là pour moi c’est le double combo : musique de pokemon avec un rap lourd dessus, que demander de plus ?  
6. Pas n’importe quel toon - Casseur Flowters - Un de mes sons favoris d’Orel et Gringe. Hyper rythmé, avec des punchlines mémorables et des références qui me parlent complètement. C’est un son typique du duo, qui mérite d’être écouté.
7. Doom Dada - T.O.P - J’adore ce morceau, la mélodie est top (ahah jeu de mot ^^), le clip juste trop drôle et les paroles complètement wtf ^^. Comme quoi les coréens ont de très bons rappeurs u_u.  
8. La famille, la famille - Orelsan - Suite du morceau Défaite de famille, mais complètement à l’inverse. C’est un message d’amour pour la famille. Même si on est pas toujours ravis de notre famille, ça restera la meilleure famille qu’on est jamais eu (vu que c’est la seule famille qu’on aura). Un bon moyen de se souvenir des bons moments passés avec nos familles.
9. Make it hot - Major Lazer ft Anitta - Un morceau pour danser et kiffer l’été. J’aime beaucoup Major Lazer, ce sont des morceaux où on a toujours envie de danser.
10.  Just right (딱 좋아) - GOT7 - Un morceau plein d’amour, surtout pour soi-même, et ça fait plaisir de temps à autre. Un message qui marche toujours avec moi, et la danse du clip et trop drôle à regarder.
Voilà, c’est fini, j’ai essayé de mettre des artistes différents, mais force est de constater qu’Orelsan revient souvent ^^’. Mais bon, j’avais prévenu que je l’aimais bien xp. A et si vous avez l’occasion, allez écouter la magnifique BO du jeu The Witcher 3. C’est génial, je vous assure :)
Et pour se quitter en musique, je vous met le lien pour Auto-dance de Disiz (ahah le revoilà xp)
youtube
A plus dans l’bus,
Yoh
0 notes
yoh-nee · 6 years ago
Video
tumblr
Finally finished this. This is why you have barely heard from me. Been working on this as well as Freelance and overtime at work @.@. Sadly I cannot upload this on my youtube since it got blocked in the US and Canada X’D Anyways here you go Team Skull grunts singing to “Hurt Feelings” by Flight of the Conchords.
12K notes · View notes
yoh-nee · 6 years ago
Text
Just be yourself
Je pense que ma mère fait partie des originales, et que j’ai passé mon enfance et ma vie à gérer le regard des gens normaux sur ma mère originale.
J’ai appris pendant toutes ces années à respecter et à aimer les gens qui sont pas comme les autres. Ils font plus que  les autres.
Ils font même plus pour les autres.
C’est des gens qui brassent beaucoup, c’est des gens qui arrivent à faire tomber des barrières.
Derrière toute personne un tout petit peu anticonformiste, il y a quelqu’un de riche mais il y a quelqu’un d’isolé aussi.
Alors je m’attendris deux fois pour ces gens-là.
Mais Freud dit qu’à l’adolescence on a le choix, entre se conformer et mourir ou ne pas se conformer et devenir un héros.
La phrase c’est un peu un slogan mais ya un truc chez les gens qui font le pas de vivre leur vie plutôt que de se mettre dans les pompes d’un autre.
Alexandre Astier
youtube
1 note · View note
yoh-nee · 6 years ago
Quote
« À vaincre sans péril on triomphe sans gloire. »
Pierre Corneille, Le Cid (Acte II, Scène 2)
308 notes · View notes
yoh-nee · 6 years ago
Text
Première fois
Bienvenu par ici, dans mon petit coin de paradis perso.
Je ne sais pas trop par quoi commencer en vrai… Je réfléchis, change d’avis sur l’idée d’origine, pour finalement me dire que ça ne va toujours pas... Je me mets peut être un peu trop la pression en fait...
La dernière fois que j’ai tenu un blog – ou quelque chose s’en rapprochant, parce que Facebook ne compte pas – depuis que je suis sortie de ma phase d’adolescente qui a besoin de crier son désespoir au monde via les skyblogs, c’était il y a dix ans (sans commentaires xp). Ouais, je fais partie de cette génération qui trouvait que les skyblogs c’était cool… Je ne le crie pas sur les toits ^^’. Peut-être que c’est pour ça que je n’ai plus retenté l’expérience du blog. Et puis parce que je suis de nature très pudique et que malgré l’envie, j’ai grand mal à parler de moi. Alors préparez vous à un déluge d’infos en vrac.
Bref, tout ça pour dire qu’effectivement, je suis plus proche des trente ans que des vingt. Mais est-ce vraiment important ? Je ne pense pas, parce que malgré le fait que je fasse partie de la catégorie "adulte et parent responsable", je reste une enfant dans l’âme. L’âge n’est qu’une question de temps qui passe, et contre lequel on ne peut rien faire. 
Mais je ne suis pas du genre à m’enfermer dans de petites cases, comme la plupart des gens aiment le faire. Oui je suis une geek, fan de pokemon, de manga et de dessins animés pour les enfants, et JKR est mon dieu, enfin l’un de mes dieux u_u. J’aime l’univers du jeu vidéo, mais ne joue moi même pratiquement pas. J’adore les choses un peu creepy et dérangeantes, tout en ayant horreur des films d’horreur – jolie répétion... –. Mais je suis aussi une violoniste qui adore le rap et qui ne pourrait vivre sans lire de temps à autres un peu de yaoi. J’aime les chats et je suis pourtant la première à insulter le mien quand il fait une connerie. Je suis une fille (comme ça vous ne vous poserez plus la question) mais je ne me maquille pas et passe moins de temps dans la salle de bain que mon petit frère de cœur, qui est le stéréotype même du mec sans aucune subtilité et délicatesse  – pourtant je l’aime ce crétin u_u – et j’ai un humour plus gras que la plupart des hommes que je côtoie au quotidien. Je suis aussi de nature gentille  –  voir trop selon mes amis   –  et conciliante, serviable et tutti conti qui font de moi une personne trop bonne trop conne, et pourtant les gens ont peur de moi quand je ne souris pas. Paradoxal n’est ce pas ? 
J’aime rêver, sur tout et n’importe quoi ; perdre mon temps à lire ou relire des romans, mangas qui me permettent de m’évader le temps de la lecture. J’aime passer du temps allongée dans l’herbe à regarder le ciel, de la musique dans les oreilles, ou alors passer des heures devant mon pc, à écrire, ou traîner dans les méandres d’internet à la recherche d’infos ou de trucs divers et variés. Bien sur, je ne dis jamais non à un film, que ce soit au cinéma avec des amis ou au fond de mon canapé avec de la bouffe. A noter que je fais de la fanfiction, et du rp aussi, si ça vous intéresse d’en savoir plus, venez discuter ^^.
Je raconte ma vie là… Ce qui n’est pas le plus intéressant du monde, j’en conviens. Alors une rapide présentation de ce qu’il va se passer par ici.
Je compte y mettre tout et n’importe quoi, surtout des écrits ou des posts sur des sujets qui me plaisent. Je reprendrais surement des choses qui me plaisent sur lesquelles je suis tombée, vous laisserait peut être quelques uns de mes textes, et mes questionnements sur la vie – parce que malgré qu’on dise que l’adolescence est une période de questionnement, ça ne change pas vraiment à l’âge adulte, on est juste moins naïfs…
Ce ne sera peut-être pas passionnant, mais j’avais envie de le faire, alors je l’ai fait.
Ce sera au grès de mes envies et de mon temps libre, n’attendez pas à voir chez moi une ponctualité. Je suis du genre toujours en retard, même si je me soigne ^^. Ah et avant de vous choquer, j’ai un humour de merde, mais ça va je le vis bien ^^.
Enfin voilà, j’espère avoir quelques visites, pour pouvoir discuter avec des gens (j’adore discuter, je suis une vraie pipelette u_u’), et je vous dis à très bientôt.
Yoh
0 notes