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Le but de la vie c’est d’être heureux. Pour être heureux, il faut réduire la souffrance qu’est de vivre.
L’ignorance c’est la souffrance qui englobe toutes les souffrances. Si il n’y existait pas d’ingnorance et que nos connaissances s’étendaient à l’infini, être heureux serait un problème résolu.
La réalité est que l’ignorance de l’Homme est infiniment grand, proportionnelle à l’Univers dans lequel il vie et le constitue. La souffrance de l’ingnorance peut être apaisée, mais non vaincue. Vivre c’est souffrir, malheureusement.
Alors par où commencer? Par le savoir certe! Je sais que se qui guide le mouvement de ma vie, c’est le désir du bonheur. Pour cultiver le bonheur, je dois démasquer mes souffrances que cache l’ignorance. Pour se faire j’utiliserai l’outil du savoir qui les regardera froidement et trouvera des antidotes.
L’antidote de l’ignorance c’est le savoir.
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Le bonheur. La souffrance.
Être heureux, c’est le désire qui guide le mouvement d’une vie. La connaissance du bonheur, c’est donc le plus grand des savoirs.
Le bonheur, c’est un désire. On désir ce que l’on ne possède pas. La souffrance, c’est ce que l’on possède. Plus la souffrance est grande, moins on se sent heureux. La connaissance de la souffrance, c’est le plus grand des savoirs.
Vivre c’est souffrir.
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Philosophie pour tous!
La philosophie c’est l’amour du savoir. Être un humain c’est être un philosophe. L’ignorance est proportionnel à l’Univers qui nous entoure et nous constitue, elle s’étent à l’infini. Cette ignorance cause souffrance et explique notre amour pour le savoir qui cherche à réduire celle-ci, qui infini est en réalité indivisible.
Le savoir nous permet de fonctionner face à l’omniprésence de l’ignorance. Plus il y a manque de savoir, plus la souffrance de l’ingnorance est vif chez nous et il devient d’autant plus dure de voir son savoir être confronté. On s’accroche alors trop fermement a celui-ci et nous devenons nuisible au progrès et à l’étendue de notre savoir.
La faim aussi fait soufrir un Homme. La nourriture lui procure un soulagement éphémère face à la faim qui est infini et reviendra. Enlève l’assiette à l’Homme affamé, et confronté à sa soufrance, il se défendra.
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La lune
Me voilà, au plein centre d’une ruelle, couché dans un lit d’asphalte humide. L’évidence y est, les graffitis, les lampadaires et la lune seront encore cette nuit mes colocs. Il n’y a pas de quoi se plaindre, la lune est magnifique ce soir. Bien qu’elle le soit toujours. Philosopher la tête en l’air les yeux rivés aux cieux à contempler cette gardienne des temps sombre, est mon plus grand bonheur. Hypnotisé par sa beauté qui libère mon imagination, il m’arrive d’avoir l’impression que j’ai encore une famille. J’ai passé d’innombrables années de ma vie à essayer de comprendre ce qui constitue sa beauté. Une beauté si pure et si puissante qu’elle est la seule à faire pleurer les loups solitaires. Je l’ai moi-même souvent pleuré...
La réponse m’a parue un jour évidente. Sa beauté réside dans le fait qu’elle n’appartient à personne, mais que tous la possède. Tous se partage la lune dans la joie et la paix, du moins pour l’instant... Connaissant la nature de l’Homme, je ne peux garantir que jamais un pays essayera de s’approprier la lune à grands coups de canons, de bombes atomiques et de sacrifices humains pour ensuite crier haut et fort - VICTOIRE !!! En prenant bien-sûr précaution de ne rien salir avec leurs mains tachées de sang.
Cette même lune qui m’a enseignée à travers son silence révélateur une myriade de vérités et de ce fait même un profond dégoût de la société. Société dans laquelle nous sommes sept milliards de condamnés. Condamné impuissant à laisser les autres choisir de notre propre sort. Condamné à rentrer dans un moule déjà préconçu et ne jamais en sortir, car cela te mettrait face à une pluie de jugements. Condamné à ouvrir les bras et laisser la liberté, bonheur et temps s’envoler pour disparaître dans l’estomac du capitaliste qui s’en nourrit pour grandir davantage.
Société à laquelle j’ai lutté pour ne pas y être associé. Me voilà donc entre deux poubelles, cigarette au bec, linges troués, barbe mal rasé, sans argent, sans nourriture, sans famille et accro à tous ces cochonneries qui me procurent des plaisirs immenses. J’ai renoncé à la société pour suivre le chemin de la liberté. Libre de faire, libre de penser, libre de dire, mais surtout, libre d’être heureux.
Liberté qui a un prix démesuré. Trente ans et voilà que tranquillement mes yeux se referment sur la lune et que mon corps s’extirpe vers l’arrière levant le cap en direction du plus grand des mystères.
Adieu. Merci. Ma seule et unique possession, la lune...
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