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QUI ÊTES VOUS ? QUE ME VOULEZ VOUS ?
Du bien, je vous veux du bien. C'est toute la génèse de ce site. De cette démarche. Le bien être. Ce site traite de trois grandes thématiques dans une démarche de changement et d'amélioraton : l'activité physique, la nutrition et le mental. S'ajoute une catégorie un peu transverse, le lifestyle car en effet, cette thématique les englobe un peu toutes parfois si ce n'est tout le temps.
21 pour 21 : 21 chapitres pour 2021, l'année où comme la planète, l'humain doit se comprendre pour se changer. Vous allez vite voir qu'il y en a plus, mais ça c'est parce que plus on est de fous plus on rit.
Ce site est un guide pratique et complet pour atteindre une santé, une condition physique et un bien être à la mesure des efforts que l'on veut bien consacrer à sa vie. C'est une démarque pas un programme, ici on change les perspectives avant tout.
Ceci n'est pas un blog, il n'a pas vocation a être constamment étoffé pour attirer toujours plus de visiteurs. Ici, toutes les principales choses à savoir sont dites en une fois, ce qui n'est pas dit aujourd'hui n'a pas à l'être demain. Parce que c'est le deuxième fondement de ce site. Rien n'est nouveau. Ici, pas de nouvelles techniques, pas de miracles, pas d'invention. Que la vérité vraie et rien de plus, rien de moins.
À qui s'adresse ce site ?
À n'importe quelle personne qui remplirait au moins une de ces 3 conditions :
une volonté profonde et puissante de changer, s'améliorer.
une volonté d'apprendre plus sur la science de la préparation physique, du bien être et de la performance sportive.
une envie d'aller plus loin sur un processus déjà engagé et qui ne fonctionnerait pas / plus.
Ce que ce site apporte ? Le bien être. Que vous vouliez courir un marathon en 2h30, perdre 20kg, devenir un ironman, grimper l'Everest, dormir la nuit sur vos deux oreilles. La clé est en chacun de soi, encore faut-il trouver la serrure. L'histoire est différente pour chaque, la discipline demeurera la même. Ce n'est ni un régime ni un plan d'entrainement : c'est un art de vivre.Un changement de paradigme.
Comment marche ce site ?
Il s'articule autour de deux grandes divisions : le temps et la catégorie. Les articles sont plutôt dans un sens chronologique autour de 4 grands moments : Commencer, Continuer, Peaufiner et Maitriser. Ce sont les 4 'niveaux' de conseils, tips et explications. La deuxième dimension c'est le sujet : mental, sport, nutrition ou lifestyle. Dans le menu à n'importe quel moment on peut rassembler tous les chapitres par l'une ou l'autre de ces thématiques. C'est à vous de vous balader selon vos envies.
Les chapitres sont des réponses aux questions que vous allez surement vous poser au fur et à mesure de vos avancées. Ici, pas de nouveaux problèmes, je n'apporte que des solutions. S'il existe des questions ici que vous vous ne vous posez pas, ne lisez pas ! C'est aussi simple que ça. La question risque de venir plus tard alors...
On peut tout lire d'un coup, on peut le lire petit à petit voire même au fil de sa transformation physique qui peut prendre des mois. Chacun avance à la vitesse qu'il désire. Les articles ne sont pas égaux dans leur taille et conteni. Certains seront très documentés avec des dizaines de tableaux et images, d'autres en texte brut. Parfois il faudra 5 min pour le lire, parfois 30. Chaque sujet et chapitre possède une essence et une philosophie différente d'un autre. Un rappel vers des notions plus ou moins complexes qu'il faut étayer avant de commencer. Ce sera la surprise à chaque ouverture !
Je suis une petite voix dans votre tête mais même si c'est agréable d'être guidé, ici je vous explique qui je suis.
Je suis passé de ça à ça : (de faire 3,5km à 10km en 30 min sur tapis)
et de ça à ça (pas besoin d'explication là je présume)
Bon alors, prêts ? C'est parti !
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EXISTE T-IL UN ‘BON MOMENT’ POUR S’Y METTRE ?
C'est la grande question que l'on se pose tous, toujours. Le 1er janvier ? Un lundi ? Le lendemain de son anniversaire ? Faut-il marquer d'une pierre blanche le jour du départ ? Même s'il n'existe pas une réponse absolue du bon moment, on peut tout de même partir de certains principes pour décider quand il est judicieux de s'y mettre.
Un bon moment se provoque, il ne se subit pas.
C'est la premiere leçon. Difficile de s'engager dans une démarche quand on ne maitrise pas le planning. Tout est une histoire de visualisation. Alors forcement on ne veut pas rater la premiere date qui est (avec la fin) primordiale. Il y a des avantages et des inconvénients entre les deux méthodes. Celle de se rendre compte de la situation, d'avoir envie de se lever du canapé et changer. Même si on est jeudi 21h. Il y a aussi des avantages à se dire "demain j'ai XX ans / on est en 202X, je dois me bouger". Sans prendre forcement parti, je veux analyser les avantages et inconvénients des deux méthodes.
Le moment est aléatoirement choisi
AvantagesInconvénientsOn a le choix, on peut s'y preparerPlus difficile d'y adosser un plan précisDéfinitivement calqué sur la motivationPlus difficile de matérialiser l'objectif finalMoins de pression exterieureDifficile d'avoir une émulation extérieureVrai travail sur l'envie de changerPlus facile d'en sortir / arranger à sa convenanceRespecte la philosophie du changement définitifMoins aligné avec la philosophie 'il est temps de'
Le dernier avantage, on ne va pas se le cacher, est presque un KO dans ce combat. En effet ; c'est une notion que l'on va parcourir dans énormément de chapitres, la philosophie de ce site est simple : le changement est définitif. Meme s'il comporte des notions qui auront pour vocation de s'atténuer voire de disparaitre avec le temps, quasiment toutes les choses que l'on apprendra ici sont des reflexes, des façons de vivre qui seront définitives. Ce n'est pas un régime, ce n'est pas une 'remise en forme' c'est un lifechanger. C'est une nouvelle voie, empruntée et calquée sur la façon dont le corps humain du XXIe siècle est censé fonctionner.
Donc répondons maintenant à la vraie question : Comment provoque t-on ce moment ?
Ce moment c'est une cocote minute qui ne supporte plus la pression. Et pour en arriver la, le gaz, il se monte à la main. Ce moment se provoque, il faut enfermer dans cette boite toute la frustration qui monte/ Ces différents moments qui donnent envie de se bouger mais qui ne constituent pas à eux seuls des triggers de lancement. Pour être plus clair, vous êtes en vacances, vous voyez ce mec / cette nana au corps de rêve. Tous les yeux sont rivés sur cette personne. Mais est ce que vous voulez être cette personne ? Peut être pas à ce moment là précis. Peut être que c'est une tâche de fond qui tournera et se réactivera quand vous jalouserez votre collègue de se régaler d'une salade au déjeuner quand vous ne pouvez vous passer du sandwich / patisserie habituel. Et peut être que ca explosera quand vous verrez autour de vous, 3 mois plus tard, tout votre entourage se découvrir une passion fitness en confinement. Chaque moment de ce genre, on le roule en boule et on le met dans cette boite, cette cocotte minute qui finira par exploser et créer ce fameux moment clé.
La terre gronde, vous êtes maintenant prêt. C'est le jour 0.
Maintenant le vrai travail commence. Vous avez accumulé assez de pression pour avoir envie de changer. Faites un checkup. Etes-vous prêt à changer ? Si la réponse n'est pas équivoque alors la cocotte minute n'est pas prête. Vous n'êtes pas sur de la réponse ? Il existe un exercice très simple. On est jeudi. Ce soir après un énième Uber Eat vous n'êtes pas fier. Loin de là c'est pire que ça. Il faut changer ! Pour savoir si c'est un 'Moment 0' alors c'est très simple. Attendez lundi. Si lundi l'énergie est toujours là alors c'est bon. Sinon, c'est juste un moment à ajouter à la cocotte minute. Pourquoi attendre ? Parce que votre pire ennemi (oui c'est vous même mais c'est plus compliqué que ça) c'est la frustration de se décevoir. Rien de pire que 4 tentatives ratées pour ne pas en enclencher une 5eme. Personne ne vous connait mieux que vous. Vous et vous seul pouvez savoir ce qui est un moment charnière et un moment random. La motivation n'est pas innée elle se provoque et la provoquer c'est 50% du travail.
La peur de l'échec peut provoquer deux comportements selon le caractère de chacun.
Soit on est paralysé devant l'éventualité d'un échec. Soit on se booste. Tout ce site consiste à vous faire passer de l'hypothèse 1 à l'hypothèse 2. La peur est bénéfique si elle est maitrisée, comprise et calculée.
Et si ce moment ne vient jamais ?
C'est ce qu'il y a de plus simple. S'il n'arrive jamais, vous n'avez pas besoin de changer. Le changement est personnel et intérieur. Ni l'entourage ni la société doit vous dicter ce que vous devez faire / être. Il n'y a rien de plus simple, c'est l'hypothèse qui fait gagner du temps à tout le monde. Tous les corps sont des temples mais toutes les âmes ne sont pas des prêtres.
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FAUT IL CHOISIR UN SEUL SPORT ?
Oui oui oui et oui. Je commence par le sport. Pas la nutrition, pas le lifestyle. Encore que, vous n'êtes pas (si vous avez bien suivi) obligés de lire les articles à la suite. Guide de lecture n'est pas loi c'est pas le IV Reich du fitness ici. Donc oui, on va parler sport dès maintenant histoire d'évacuer le sujet au plus vite.
Surtout, je dois malheureusement annoncer une mauvaise nouvelle assez rapidement sur le site. Le sport et l'activité physique est un point crucial dans la réussite de l'épreuve.
La sédentarité (manque d'activité physique) est considérée comme le quatrième facteur de risque de décès dans le monde (6%). On estime par ailleurs qu'elle est la cause principale de 21 à 25% des cancers du sein ou du colon, de 27% des cas de diabète et d'environ 30% des cas de cardiopathie ischémique. Les adultes âgés de 18 à 64 ans devraient pratiquer au moins, au cours de la semaine, 150 minutes d’activité d��endurance d’intensité modérée ou au moins 75 minutes d’activité d’endurance d’intensité soutenue, ou une combinaison équivalente d’activité d’intensité modérée et soutenue. Pour pouvoir en retirer des bénéfices supplémentaires sur le plan de la santé, les adultes devraient augmenter la durée de leur activité d’endurance d’intensité modérée de façon à atteindre 300 minutes par semaine ou pratiquer 150 minutes par semaine d’activité d’endurance d’intensité soutenue.
OMS
Qu'on se comprenne bien. Pour vivre tel l'être humain que la nature a conçu : il faut faire du sport 20 min par jour MI-NI-MUM. C'est le fonctionnement vital, celui pour ne pas tomber malade. Pour être en bonne santé, pour s'optimiser et pour pouvoir améliorer et prolonger ces bénéfices, on passe à 45 min. Et ceci mes amis : à vie.
Vous êtes enfermés à vie avec cette contrainte. Alors la seule chose qui reste à faire : tourner cette contrainte en plaisir.
Un sport ? Plusieurs sports. La réponse est (vous commencez doucement à comprendre) plus complexe. La réponse dépend de vous. Vous êtes plutôt coté fenêtre dans le train ? Pour pouvoir vous accouder à la fenêtre, ne pas être dérangé ? Ou côté couloir ? On surveille les entrées sortie, on pas besoin de l'autre pour aller au wagon bar, se dégourdir les jambes, téléphoner ou aller au WC. Il y a des statistiques, les places coté fenêtre partent plus vite mais encore une fois, c'est comme on préfère : pas de règle. Tout ça pour dire deux choses : oui, on n'y coupe pas sans le sport, oui on peut maigrir sans en faire, mais ce n'est pas pérenne et surtout, ce n'est pas le but de la méthode. Ici ce n'est pas être fit qui nous importe, c'est être en bonne santé. La deuxième chose : choisir un sport ou en choisir plusieurs, c'est s'adosser les services de puissants alliés dans cette guerre de tous les jours. Plus vous prenez du plaisir dans un ou plusieurs disciplines, plus vous avez de chance d'aimer pratiquer une activité physique, moins vous allez avoir l'impression de faire des efforts.
Pour parler de mon experience personnelle, j'ai commencé avec la course à pied. Pourquoi ? Parce que c'est le sport qui vous aidera le plus à perdre. Par pitié ne venez pas me jeter à la figure des articles putassiers de blogs / sites qui vous expliquent que nager ou marcher brulent autant voire plus de calories que la course à pied. La course à pied est un sport non porté à impact, forcement il vous fait vous dépenser plus. Comparer les sports entre eux c'est stupide, tout depend du niveau d'intensité avec lequel il est pratiqué et ce niveau d'intensité dépend de beaucoup trop de facteurs (aisance, structure musculaire, appétence ou attrait spécifique) pour être résumé par un 'journaliste' qui avant de vous dire que le Yoga était plus efficace que le crossfit, écrivait sur les 10 tendances de l'été en matière d'épilation ou les 5 recettes de soupes à ne pas manquer pour thanksgiving. La course à pied a été salvateur pour moi. Déjà car même si j'ai toujours été un grand sportif (à 27 ans j'avais derrière moi 12 ans de foot et 3 ans de boxe et de MMA) j'ai toujours détesté le cardio. J'étais le boxeur cuit au 3e R et l'ailier qui se faisait remplacer à la 75e. Je me souviens encore des ces tours de terrains grugés en me cachant derrière les tribunes. Courir vite et court oui, longtemps et doucement JA-MAIS. Et comme il ne faut jamais dire jamais, c'est bien ce sport que j'eu choisis pour parfaire ma panoplie de jeune homme prêt à me remettre en forme. Si je dois être tout à fait franc, c'est plus compliqué que ça.
Du jour au lendemain, mon choix passait de "Pas de sport hormis le pauvre urban foot bi-annuel" à "3 à 4x par semaine". La structure était simple : 3 fois salle de muscu le midi et samedi matin cardio. Mo programme à la salle était plutôt simple : 15min de cardio 15 min de musculation 15 min de Hammam / Jaccuzi (merci petit centre sportif de Levallois, à jamais dans mon coeur). Le samedi, c'était 30 à 40 min de footing. À l'époque je faisais 93kg pour 1m70 autant dire que mes genoux ont rapidement commencé à parler allemand face à la charge. Car oui, c'est la premiere excuse que vous allez trouver : vos genoux. Oui vous avez mal et un medecin de famille vous a même surement dit un jour que à cause de votre genou / Hanche / pied le sport c'était proscrit. Qu'il aille au diable. Des footballers reprennent le chemin des clubs pro après avoir vu leur jambe cassée en 4 par un tacle assassin, des skieurs reprendre les super G avec avoir vu leur genoux fonctionner dans le sens contraire. Ne me faites pas linker les vidéos atroces de ces moments. Alors c'est pas votre genou / pied / hanche douloureux qui va vous empêcher de le faire. Quand on veut on peut. Si votre douleur vous empêche de le faire, pas la peine de lire une ligne de ce site de plus, vous n'êtes pas prêt.
Pendant environ deux ans, je me suis attelé à ce programme. Je l'ai un peu allongé, de 15 à 20 de tapis de course mais au lieu de faire 2,5km en 15 min j'en ai fait 3 puis 4 en 20 puis 5 en 20. Et la musculation au lieu de porter des haltères en developper couché de 12 kg je suis passé à 16 puis 18 puis 22. Aujourd'hui si je faisais cet exact training, j'en serai à 6km en 20 minutes et des haltères de 32kg.
En terme de sport pur et dur, en 7 ans, je me suis diversifié : vélo, natation, crossfit, boxe, escalade, apnée, foot,... Je pratique tout ce qui m'intéresse et plus je suis en forme, plus il est facile de commencer un nouveau sport à un assez bon niveau, on se prend vite au jeu.
Pour répondre à la question initiale je vais dire : il n'y a pas de bonne méthode, pour choisir un ou des sports voici la checklist de questions à se poser :
Est-ce que j'aime ou j'aimerai ce sport si je devais le pratiques plusieurs fois par semaine pendant des mois et des années ?
Y a t-il des gens de mon entourage qui le pratique également avec lesquels je peux en parler ou m'entrainer ?
Y a t-il une fédération, une mouvance, des événements (salon, compétition, colloques,..), qui me permettront d'animer mon entrainement et casser la lassitude éventuelle ?
Ce sport me permet-il de m'épanouir en avançant des échelons (du 5km au marathon pour la course à pied, des ceintures pour les arts martiaux, des certifications pour le crossfit) ?
Ai-je les moyens financiers, de temps, d'aménagement pour le pratiquer dans les meilleurs conditions ? (abonnement /proximité de la salle, prix de courses exorbitant, achat de matériel, ou tout simplement volume minimal d'entrainement qui peut varier de 1 à 10h min hebdo selon les sports)
Est-ce que je vais prendre du plaisir ? Est ce que je vais aimer en parler, me prendre en photo ?
Peut il devenir un mode de vie ? Me donner envie de me surpasser, de me lever plus tôt, de me coucher plus tôt, de voyager, de discuter, de partager ?
Course à pied, cyclisme, marche nordique, musculation, on s'en fiche. Le plus important c'est de se faire plaisir, si le sport que vous avez en tête coche les cases , GO. Si ce n'est pas le cas, pas de panique, il en existe des dizaines d'autres !
Conseil 1 : Variez les sports.
Pour moi, la découverte du triathlon a été un renouveau car quand un des sports devient rébarbatif, on peut se fondre dans un autre et ainsi de suite. Idem en cas de blessure ou de gène. On est libre !
Pour finir avec mon propre exemple je pratique tous les jours : le renforcement musculaire, le vélo (hometrainer ou exterieur) et la course à pied (tapis, piste, ville ou trail). Tous les mois au moins : la boxe, le MMA et le JJB, la musculation en salle ou poids de corps, la natation (libre ou piscine). Tous les ans au moins : le foot, l'escalade de bloc,
Conseil 2 : Choisir un / des sports à variation
En effet, COVID ou pas, le mieux c'est un sport que l'on peut pratiquer de manière différente. La course à pied ? On peut la faire sur tapis et faire des entrainements / courses virtuelles. On peut courir en foret, on peut courir en pars et dans les rues, sur piste, partout. On peut courir vite sur des courtes distances de quelques minutes, ou faire des ultra trails de plusieurs heures. Idem pour le vélo ou la musculation.
Conseil 3 : Kiffez !
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FAUT-IL TOUT PLANIFIER, TOUT RETRANSCRIRE ?
Bon. Là il y match. On va pas y répondre aussi facilement que les autres textes je le crains. Car ma première envie c’est de vous laisser choisir vous même. Mais je dois quand même interférer et prendre partie car il est possible que sans planification les résultats soient quasi nuls...
Retranscrire et planifier c'est savoir à l'avance ce que l'on doit affronter. C'est savoir ce que l'on vise.
A goal without a plan is just a wish
Je pense que la nuance réside dans le ‘tout’. Car tout planifier rend la vie compliquée plus que de la simplifier. Cependant, certains auront besoin de tout compter, tout répertorier, tout calculer. C’est mon cas. Pourquoi? Parce que si je ne compte pas tout a quoi bon? Pourquoi finir ce 20e km si difficile quand je peux simplement arrêter là et tout de même apprécier ma performance ? Parce que le planning prévoit 20. Pas 19. 20. Alors je vais courir 20. Sans planification, on ouvre la porte au laisser aller. Et dans la première phase, pas de laisser aller. Il faut être déterminé.
Sans planification il est quasiment impossible d’envisager la réussite de l’opération parce que de toute façon la planification va permettre de pouvoir avoir un objectif fixe fixe sans planification c’est pas un plan c’est juste un rêve si on veut que le rêve bien la réalité il faut pouvoir mettre un plan en marche
Il existe plein d'outil pour s'aider à planifier, souvent payant. Garmin Connect, Training peaks, Today's plan ou même Strava dans une moindre mesure. Mais il faut pouvoir projeter sa semaine, son mois. Une pièce puis une pièce et une image finale du puzzle que l'on met en place. Alors je ne vais me lancer dans un comparatif des plateformes les unes après les autres, je pense que certains font ça bien mieux que moi. Ce que je peux faire en revanche, c'est de vous décrire celle que moi j'utilise et pourquoi.
1 : Forme générale : Garmin Connect
Grâce à une data essentielle présente dans les montres connectées modernes : on peut connaitre sa forme générale. Rapport d'intensité des séances Aerobie et Anaerobie et cela accouche sur pas mal de data interessantes : VO2 max, statut d'entrainement, body batterie, etc etc.
Toutes ces data me servent à connaitre l'intensité de mes entrainements, dans quelle phase de forme je suis, si je me sous ou sur entraine etc. Un must have quand on ne veut pas laisser ça aux seules impressions. Si je passe par Garmin, c'est que c'est plus simple car ma montre tracke tout, du sommeil à l'oxygène dans le sang, elle est la plus à même de connaitre mon état de forme général, sans spécificités liées aux différents sports que je pratique quotidiennement. Pour les adeptes de dashboard à tout va : c'est la Mecque (et c'est gratuit pour les possesseurs de hardware).
2 : Le réseau social et mon journal intime du sport : Strava (version payante)
Linké à tous mes capteurs, mon compte Strava n'a pas de capacité technique. Cette platforme sert à pouvoir faire le décompte de toutes ses sorties : Km totaux, KOM, temps passés disons qu'on reste sur la surface des data. On va pas se chercher du TSS ou du watt / kg. On est sur les grosses patates et le moyen de se comparer aux autres, de rejoindre des défis, des clubs ou des events. Il faut définitivement être moins geek pour tout comprendre et se verser dedans, on rejoint ici la masse des sportifs et c'est assez sympa de socialiser. On peut y découvrir les gens qui courent aux mêmes endroits que vous où passer sa vie à report les gens à vélo qui enregistrent ça comme des courses à pied et vous volent vos KOM.
3 : La vie de triathlète : Training Peak (version gratuite)
On arrive dans un peu plus de geekeries donc je vais passer plus vite car j'y reviendrai plus en détails dans les prochains chapitres.
Ici : on se parle TSS, Normalised Power, Intensity Factor, VAM ou encore pw:hr, toutes ces données permettent de pouvoir analyser toutes mes sorties vélo et course à pied. Ca me permet de savoir l'intensité de mes semaines et potentiellement prévoir les entrainement à gérer. Cette plateforme pour moi est très liée au triathlon car pour le running spécifiquement qui reste ma discipline préférée, j'utilise Stryd.
Les spécificités de cette plateforme et de la suivante seront reprises dans les chapitres suivants car très spécifiques à la pratique d'un niveau assez soutenu.
4 : le très sérieux suivi du running : Stryd (version gratuite et payante)
Pareil que pour la précédente les spécificités seront revues plus tard quand on pourra rentrer dans le détail (pour celles et ceux que ca intéressent of course) de la spécificité de l'entrainement très soutenu �� haut niveau.
5 : myFitnessPal : Calories fever
Si vous voulez un suivi efficace IN et OUT des calories, cette petite appli peut être un vrai avantage : elle a en magasin toutes les nourritures du monde, cela devient super facile de faire ses comptes et de connaitre précisément combien on consomme de cal. Associée à Garmin pour les calories OUT vous allez avoir le delta pour savoir ou vous en êtes de votre diete.
Le comptage de calories est un chapitre à part entière que je vous invite à découvrir.
Place à la planification.
Ensuite, maintenant que vous avez les outils, je dirais que la forme importe peu. Un fichier excel, une note sur l'app iPhone, un powerpoint de 230 slides. Retranscrire et planifier c'est savoir à l'avance ce que l'on doit affronter. Mais n'oubliez pas, on doit savoir ce qui nous arrive et les performances prévues et on doit pouvoir à chaque instant comparer ses performances à celles du passé.
Pour conclure, planifier c'est vital. La forme importe peu mais il faut pouvoir se rendre compte de tous les efforts que l'on produit quotidiennement pour se motiver, se rappeler pourquoi on le fait, pour que l'on puisse eventuellement ajuster : durcir ou alleger.
En conclusion, oui mon conseil est de retranscrire. Les écrits restes, les calories s’envolent. Si on veut être sérieux, si on veut être régulier, il faut retranscrire, les séances de sports, les km parcourus, les calories à consommer. Cela vous aide à vous y retrouver, à vous comparer et surtout à voir l’évolution.
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FAUT-IL S’Y METTRE SEUL OU AVEC UNE AUTRE PERSONNE ?
Encore une question à double tranchant. C’est souvent le point de départ et le coup d’arrêt des personnes qui se mettent à l’activité physique. Elles suivent un ami, collègue copain copine etc. Et oui c’est un super starter, c’est beaucoup plus facile de s’y mettre avec une autre personne et il y a 1000 raisons de se choisir un buddy de sport. Mais aussi 1000 de ne pas le choisir. Comme des ados boutonneux choisissant un(e) cavalier(e) pour le bal : on va faire une liste de choses pour et une liste de choses contre.
Pour +
Plus facile de commencer
On a une / plusieurs personne(s) avec qui échanger sur le sujet
Moins la flemme de se déplacer à la salle ou le lieu d’activité on sait qu’on y retrouve quelqu’un
On est engagé, on peut moins facilement abandonner
On peut en profiter pour y adosser d’autres activités avant ou après
Motivation commune en cas de coup de mou
On est dans le partage, cela donne une dimension supplémentaire à l’activité
Contre –
On est engagé donc moins libre
Si les autres personnes n’ont pas le même niveau cela peut vite devenir un handicap
Si la ou les autres personnes lâchent, on a 99% de chance de lâcher aussi
La démotivation peut vite être contagieuse
Il faut s’adapter aux contraintes de l’autre
On rate une partie d’introspection et de plaisir personnel à la pratique
Ce n’est forcement, par définition, pas pérenne
En conclusion
Selon son emploi du temps, là on l’on se trouve dans sa vie, son niveau de motivation et ses objectifs finaux, il faut prendre en considération l’attrait ou le rejet de ces points vu précédemment. Il peut y en avoir des rédhibitoires pour certains et pas pour d’autres. Mon avis personnel la dessus est un peu plus engagé. Pour moi, le changement de vie, de cycle, le début d’une activité physique pérenne ne peut se faire que seul. Evidemment se faire accompagner est une bonne chose, mais il faut voir ce voyage comme quelque chose de permanent et une quête de soi. Cette quête personnelle peut évidemment avoir des aspects de partage et c’est une bonne chose, mais cela doit rester minoritaire. Votre objectif, votre but est personnel, il ne peut être partagé car nous sommes tous différents et ce serait une erreur de partager le rêve d’un autre. Alors la solution miracle n’existe pas mais les clés de réussite sont simple : certaines activités peuvent être partagées, une fois par semaine ou un certain type d’exercice comme un footing hebdomadaire par exemple. Mais cela veut dire être assez fort pour y aller seul si l’autre ou les autres drop la sortie de la semaine ! Dans le cadre d’un contrat ‘timé’ (4 semaines de sèche, summer camp,…) peut être que se choisir un ou des partenaires peut s’avérer efficace. Mais selon moi, pas le cadre d’un changement de vie et c’est le cap que nous voulons nous donner ici.
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COMMENT ORGANISER ET GÉRER MON NOUVEAU RYTHME DE VIE ?
Mon dieu cette question pourrait faire l'objet d'un livre entier ! Voici un florilège de ce que vous allez entendre, une fois bien parti sur votre lancée.
"Quelle chance tu as d'avoir le temps de faire du sport"
"Moi avec le petit dernier, impossible de trouver du temps !
"Nocturne tous les soirs, aucune force de me bouger à la salle.
Story time, nous sommes le lundi 11 juin 2018 : je suis au milieu du gros module d'entrainement pour mon ironman. Sur la semaine glissante, j'ai 340km de vélo dans les jambes, 94km de course a pied et 2h de nage dans les bras. la veille, je me suis levé à 6h du matin pour rouler mes 160km de sortie longue pendant +5h. Je me lève à l'heure normale. Je chausse mes chaussures et je pars en courant au travail. 10km allure réveil musculaire plus tard et douché j'enchaine avec la dernière réunion avant une très grosse présentation pour le plus gros client (l'Oréal) de mon agence (Publicis). Personne se carre de ma vie de triathlète, je ne bosse pas dans un milieu qui apprécie ou admire le sport. C'est même plutôt l'inverse. Apéro / resto / bar c'est ça la vie de la com à Paris. On finalise donc la présentation qui aura lieu devant la directrice Marketing France et la Chief digital officer worldwide sur une refonte stratégique de leur framework social media. Présentation que j'ai du porter seul, sans aide. Pause dej, je file à la salle de sport pour 1h de wattbike haute intensité. Je ressors, la veine du front près à exploser pendant cette journée chaude pour un mois de juin. Les 140 slides de ma présentation sont prêtes et direction Levallois pour la presentation shaker à la main "héhé toi et tes poudres hein" ma collègue a l'air fière de sa blague. 3h plus tard, retour à l'agence je lis mes mails et rattrape le retard. Puis 19h, je ferme mon ordinateur. Retour à la salle pour la deuxième séance wattbike, 1h de vélo allure ironman avec enchainement course à pied jusque chez moi pour 10km supplémentaires en séance brick (enchainement vélo course). Je vous passe la logistique, les vêtements, les douches, les presentations cloud pour pouvoir la reprendre partout. Et je booke 4x1h d'entrainement.
Donc ton enfant, tes séries, tes potes, ton boss, ta tendinite. Rien ne peut t'empêcher de te sortir TES doigts de TON cul si c'est ce que tu veux. Les casu trouvent des excuses, les champions des solutions.
Cette histoire n'a pas pour but de me faire reluire la pelote, c'est plutôt pour montrer grâce à un exemple le maxime qui peut le plus peut le moins. Si on peut s'entrainer 16h par semaine avec un job de cadre d'une boite du cac40, on peut trouver 1h ou meme 30 min pour s'entrainer. Maintenant, reprenons depuis le début.
Première étape : on oublie la notion de temps. Seule compte la notion d'effort.
Et oui, première base à déconstruire, le temps n'a aucune valeur ici citoyen. On peut perdre 200 calories en 5, 15 ou 35 min. Vous avez déjà surement entendu parler du HIIT ou autre terme barbare ? Oui en effet, un workout très très appuyé de 15 min peut être plus bénéfique qu'un workout de 45. Il suffit de 'taper'. Donc le but n'est pas de s'échiner 10 min par jour comme un dératé tous les jours. Il faut varier. Il faut planifier sa semaine, selon ses contraintes. Parfois du long et chill et quand on a pas le temps, du très intense. Le but n'est pas de cracher sur l'un ou l'autre c'est simplement de sortir de sa tête cette croyance que le temps fait l'efficacité. Si vous n'avez que 10 ou 15 min avant de partir au travail avant la douche alors on fait le workout très intense prévu à cet effet. La clé ? avoir une bibliothèque d'exercices qui peuvent parer à toutes les situations : le lieu, le temps, la forme du moment. On sort le WO qu'il faut où il faut quand il faut. Et pour pouvoir construire sa bibliothèque : point suivant !
Deuxième étape : on maximise le choix des sports en fonction de son train de vie.
Si on travaille trop, si on a des enfants en bas age ou si on aime trop sortir et socialise, on ne va pas se mettre au triathlon. Cela parait évident et pourtant ! Ma façon de voir les choses est simple : un chapitre est dédié au sport à choisir donc je vais passer rapidement ici mais gardez bien en tête que pour avoir une bibliothèque assez large pour couvrir tout une semaine d'imprévu et de timing serré, mieux en choisir plusieurs et dont on aime la pratique. Sinon forcement c'est voué à l'échec.
il faut faire la liste de sa vie et scruter tous les temps morts, les temps optimisables
Faire du stretching ou du vélo d'intérieur en regardant sa série. Sauter la pause dej et aller à la salle. Emmener les enfants à vélo en courant. Faire un 7 min workout ALLOUT le matin avant la douche. Se lever une heure plus tot pour aller courir. Aller au travail à vélo de manière sportive. Ou un aller ou un retour en courant.
Dernière étape : on organise son année puis son mois, puis sa semaine, puis sa journée.
De l'infiniment loin à l'infiniment petit c'est dans cet ordre que l'on prend les choses. Un Gameplan c'est d'abord le rêve, puis les pourtours de l'execution, puis le concret et enfin tous les détails.
Comme je disais, tout est une question d'optimisation, on peut trouver énooooormement de blanc dans la journée de quelqu'un, je pars courir, je croise mes voisins qui attendent l'ascenceur le plus long du monde pour monter deux étages, MAIS MONTE À PIED !! Doublement gagnant Temps / effort ! C'est ça aussi l'activité physique. Et puis les gens qui font la queue mon dieu, à la boulangerie, dans les magasins : CHOISISSEZ VOS HORAIRES ! Quand je prends la journée de la personne lambda, les 5 min quotidiennes perdues à attendre les ascenseurs, les 10 minutes perdues pour récupérer le sandwich du midi alors qu'il suffit d'aller plus tot ou plus tard, à attendre un tapis libre ou l'attente pour les rapides courses du soir en heure de pointe. Avancer une station de métro quand il bouche au lieu d'attendre sur le quai... Rien que de l'optimisation d'horaire peut faire gagner de 30 à 45 min. C'est justement le temps dont on a besoin pour une séance de sport quotidien.
Changer le paradigme, pas de formule magique...
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Sommes-nous ce que nous mangeons ?
Question alambiquée pour article simple. Quel est le rapport avec la nourriture dans tout ça ? Le grand débat manger pour maigrir ou faire du sport pour manger est abordé dans un sujet spécifique. Ici le sujet est tout autre : quel est l'intérêt, pourquoi, manger sainement ?
Risque de cancer, diminution des risques liés au surpoids à une alimentation trop grasse trop salé ou trop sucré tout est bénéfique dans la recherche de l'équilibre alimentaire.
Il n'existe pas de recette ni de régime alimentaire miracle pour bien manger. Avant tout, cela revient à adopter une alimentation variée et équilibrée. En résumé : on peut manger de tout, mais en quantités adaptées, en privilégiant les aliments bénéfiques à notre santé (fruits, légumes, féculents, poissons…) et en limitant la consommation de produits sucrés (confiseries, boissons sucrées…), salés (gâteaux apéritifs, chips…) et gras (charcuterie, beurre, crème…).
Au delà de ça, ce qu'il faut avoir en tête c'est que le corps humain n'est pas fait pour s'enquiller ce que vous vous enquiller. LE gras, le sel , les calories. La plupart des gens ne rendent même pas compte de leur apport calorique démentiel ! Une femme de 60kg doit manger 1500 calories par jour pour ne pas prendre de poids. Et vous allez me dire "mais quoi prendre du poids cava". Mais prendre du poids c'est manger trop. Le dématrixage de la société est en fait un nouveau matrixage lui même. Oui c'est méta. Mais le paradigme actuel ne prend pas en considération que le corps humain n'est pas fait pour ca. Si on mange plus il stocke le gras qu'il croise. Ce n'est pas sain.
Être maigre et healthy ce n'est pas pour répondre aux canons esthétiques de la société, c'est pour respecter ton corps qui se tue à la tâche pour toi tous les jours de l'année. La moindre des choses c'est de ne pas l'ensevelir sous des acides gras saturés, des aliments tellement transformés que leur indice glycémique crève le plafond.
Le corps humain est fait pour fonctionner avec un apport Glucide / Lipide / protéine précis et à chaque verre d'alcool, à chaque Pizza Dominos Pizza et à chaque tacos, on lui fait du mal.
Manger équilibré c'est un rythme à prendre, c'est une philosophie de vie. Et c'est pour ça que je decorelle ce chapitre du reste. Parce que ça n'a rien à voir avec le sport, la perte de poids. C'est autre chose. C'est être bien dans sa peau. Sentir les nutriments faire leur travail, avoir un transit et un sommeil du tonnerre. C'est simplement se sentir bien. Et honnêtement, il existe des millions de bonnes recettes saines, peu caloriques et savoureuses. LA preuve sur mon insta ici : https://www.instagram.com/stories/highlights/17861245979259767/
En conclusion : we are what we eat. Il n'existe aucune transformation, aucun progrès si on garde un problème avec la nourriture. LE régime n'est pas la solution, les méthodes miracles ne sont pas la solution. Réapprendre à manger c'est long, chiant et fastidieux et comme pour le sport, il faut un certain temps avant d'en éprouver les bénéfices ET le plaisir. C'est ingrat comme le gras mais c'est comme ça. Comme d'hab : si c'était facile, tout le monde le ferait.
Mon conseil : trouver les recettes qui marchent, les bonnes ficelles et s'y tenir. Et surtout se focus sur le changement pas le résultat.
L'important, ce n'est pas la destination, mais le voyage en lui-même
LouLou Stenvenson
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DOIS-JE PARLER DE MA DÉMARCHE AUTOUR DE MOI ?
Deux écoles. Deux salles deux ambiances. Et comme à chaque fois que nous nous retrouvons face à un dilemme quasi manichéen, on va se faire une petite liste de pour et. contre de chaque et il suffira de choisir quels sont les points bloquants pour déterminer quelle est la meilleure strat. Donc je vais énumérer tous ces points et disons que si un point parait être un no go absolu pour vous, alors il faut renoncer à cette méthode et lui préférer la deuxième. Alors ces deux méthodes sont facilement résumables : la première on le dit à tout le monde, on inclut son entourage et ses abonnés pour les plus influenceurs d’entre vous. La deuxième : on opère en sous marin, dans l’ombre tel un ninja pour laisser les actes être plus fort que les mots.
Problème lorsque l’on décide d’en parler autour de soi : on est assigné à résultat. Car marteler à qui veut l’entendre que l’on change de vie, de sport, de nutrition pour retomber dans ses anciens travers c’est le pire qu’il puisse vous arriver. Surtout que l’on a cette fâcheuse tendance à en faire trop. Du genre
“ouaiiii moi maintenant que je me suis mis au quinoa oh la la mais impossible de revenir à mes vieilles pâtes classiques”
ou encore
“ouaiiiii le sport c’est le fuel de la vie, maintenant que j’y suis habitué mon corps en redemande, ça fait carrément partie de moi je crois ouai...”
Et on ne peut pas en tenir rigueur, forcement qu’on en fait des caisses car les effets positifs sont nombreux et que l’on meurt forcement d’envie de les partages avec le plus grand nombre. Certaines pistes pour ne pas arriver dans le cas extreme sont simples comme essayer de se contenir pendant la première phase, celle de la lune de miel. Ensuite il faut aussi être plus mesuré face à ses anciens choix de vie. Au moment où vous vous décider à en parler, vous ne savez pas encore si vous aller tenir. Tenir en l’état, ou changer encore 2/3 choses avant d’arriver à votre vitesse de croisière on l’espère. Moi à titre personnel, je me mets à écrire sur le bien être et l’activité physique car je vais fêter dans quelques mois mes 10 ans de HealthLife. Donc enfin, maintenant je commence à considérer que c’est derrière moi. Ce n’était pas encore le cas il y a deux ans. Aujourd’hui je peux enfin dire que je sais que cet état est mon état stationnaire qui me défini et non plus celui de la prise de poids, arrêt du sport. Il faut du temps et de l’energie, il faut des contrecoups, des hauts et des bas. LEs déceptions nous en apprennent plus sur nous que les contentements. Et il aura m’aura fallu échouer plusieurs fois pour me voir me relever autant de fois et être certain aujourd’hui que je tiens le bon cap.
Parler de sa démarche peut parfois être plus puissant que la démarche elle même.
En effet, lorsque l’on commence, on peut avoir beaucoup de questions, on peut manquer d’expérience ou de confiance en soi. En parler à plusieurs avantages:
Donner une existence à la démarche
Construire et rationaliser la démarche (recevoir des questions, se rendre compte qu’il existe d’autres façons, de meilleurs ajustement,...)
Echanger, recevoir des avis, des critiques qui peuvent être stimulantes (dans un sens comme dans l’autre) mais aussi se faire challenger, se faire piquer l’égo qui donnera encore plus de chances à celle-ci d’aboutir.
Rester motivé quand le temps se fait long : en effet on se prend des rappels, des remarques ‘t’en es ou alors?’ cela nous force à rester focus sur l’objectif.
Motiver d’autres personnes à rejoindre le mouvement
Trouver par le biais d’autres personnes de son entourage, des gens dans le même processus, prêt à aiguiller, conseiller et aider.
Mais ce n’est pas sans défaut. Ainsi on pourra noter que
Les critiques peuvent inhiber la motivation
On se retrouve dans l’obligation de délivrer du résultat
On ne peut pas faire marche arrière
Pour répondre de manière franche : oui il faut en parler. Ensuite il y a plusieurs écoles; ceux qui préfèrent délivrer un minimum de résultats au préalable, d’autres qui ont besoin à tout prix de le dire tout de suite de tout montrer, tout raconter. Il est clair que l’on ne le fait pas ‘pour les autres’ mais nous avons besoin des autres pour avancer. Ce n’est pas une règle du bien être mais une règle humaine forte de 4000 ans de civilisations.
Le jour 1, le jour 30 ou le jour 1000, décidez du moment où vous aimeriez le dire et en parler. Mais faites-le !
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FAUT-IL Y PRENDRE DU PLAISIR ? TOUT LE TEMPS ?
Non !
Fin de l’article.
Plus sérieusement, non il ne faut pas et il y a plusieurs raisons à cela.
1. Si on prend tout le temps du plaisir, on ne pourra pas fournir assez d’efforts
Je suis pratiquement sur que cette phrase pourrait se trouver dans un article ‘les idées reçues sur le sport’ de n’importe quel magazine inutile qui ose prendre la parole sur le bien être simplement pour vendre des clics ou des programmes minceurs. Pourtant ce n’est pas une idée reçue. Oui, pour il est possible et recommander de faire du sport plaisir, juste pour le plaisir de la pratique, pour se faire du bien etc. Mais sauf si on le répète encore encore et encore, il y a peu de chance que l’on trouve autant de résultats que les séances dures qui elles, marquent la différence.
2. Il faut revoir sa définition du plaisir. Il arrive, mais après.
Il faut en effet fournir de l’effort et le plaisir vient ensuite. Plus c’est dur, plus les résultats sont flagrants. On prend autant de plaisir détrompez-vous. Mais simplement ce plaisir est décalé. C’est à dire que le plaisir sera ressenti après la séance, avec la belle dose d’endorphine mais également le plaisir est doublé à l’approche et à la vision des résultats. Oui on prend du plaisir mais pas tout de suite, c’est un peu l’inverse de la malbouffe.
3. Le goût de l’effort physique forge le caractère
Savoir en chier sur le tapis, dans les bois ou sur le vélo c’est savoir affronter la vie de manière pus hargneuse. Il existe depuis l’antiquité, une étroite relation entre le culte du corps et du sport et les relations politiques et son caractère endurant et hargneux à la tâche. Sparte avait deux rois pour gérer les affaires mais ils s’entrainaient au même endroit. Pour reprendre l’exemple de Sparte, les citoyens étaient considérés comme matures à la vie politique, passés 30 ans et après avoir fini leur service militaire et terminé leur entrainement physique. Les deux sont liés. Même sans un point de vue grégaire, cette relation reste vraie et éprouvée au fil des siècles.
4. Si c’était facile, tout le monde le ferait
Et oui, c’est important de se sentir exceptionnel dans ce que l’on essaye d’accomplir. si le beau frère et la voisine le font également aussi facilement ou est l’intérêt ?
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COMMENT ORGANISER SA JOURNÉE POUR TOUT RÉUSSIR ?
Ah si j’avais la réponse je serais riche non ?
Bon blague à part ce point est un point crucial pour la réussite du projet. Parce que la planification c’est 90% du travail. 99% des efforts (Quasiment) pour réussir à se reprendre en main. En fait, une journée c’est assez long quand on y pense et la possibilité de caser de l’entrainement n’est pas si dur. Ce n’est qu’une question de volonté et de priorité. Voici une checklist pour savoir si vraiment c’est impossible de programmer une séance demain ou si votre inconscient est en train de créer toutes les excuses du monde pour vous empêcher d’y arriver.
1/ Il existe 3 créneaux simples : sont-ils pris?
Le matin, le midi le soir. 3 possibilités simples. Pour pouvoir répondre ‘OUI’ à cette question cela veut dire qu’il est impossible pour vous de vous réveiller plus tôt pour faire votre heure de sport. Amener les enfants à l’école à une heure précise vous en empêche ? D’accord et ce midi ? Un déjeuner client impossible à esquiver? D’accord il reste encore le soir. On part plus tôt et on va à la salle / courir / à la piscine / etc. Une assez large plage horaires s’offre à vous. Bon je vais faire semblant de vous croire, mettons que même le soir vous avez un 3eme empêchement. Ce n’est pas grave, il reste encore une solution !
2/ Quid des créneaux plus ‘compliqués’ ?
Les créneaux compliqués sont les créneaux comme le trajet vers son activité, qui peut être fait en courant par exemple ou à vélo. Rater 1h de sport le mardi peut être égal à aller au travail à vélo les 3 jours suivants pour compenser. Voire en courant une fois ou en marchant toute la semaine. Le plus important c’est de compenser. Cela peut aussi être arriver plus tard au travail. Si son activité représente 2 ou 3 contraintes dans la journée alors il faut avoir le courage d’empiéter aussi. Il existe quelques créneaux qui permettent en effet de caler un peu de sport et il faut envisager toutes les possibilités, votre vie ne doit pas vous empêcher d’avoir 45 min à vous, sinon quelque chose ne va pas.
3/ À quoi ressemble ma semaine ?
Il est toujours possible de re-adapter sa semaine pour pallier à un impératif impossible à changer. Mais c’est le dernier recours car adapter sa semaine, c’est faire une prêt bancaire. On ne repousse / reprogramme pas une séance si on est pas certain de la rembourser. Les conséquences ? Aucune, mais vous venez d’ouvrir la boite de pandore. Une fois que l’on donne à son cerveau la possibilité de s’enfuir alors il ne voudra plus jamais faire l’effort. Il faut s’empêcher à tout prix d’aller sur cette route. C’est comme si vous arrêtiez de fumer, c’est à jamais et la : si une séance est programme elle doit être faite ou adaptée. Sinon, tout ceci ne sert à rien, vous n’arriverez pas à tenir et cela nous amène au point suivant.
4/ Mais qu’est ce qui est important pour vous dans le fond ?
Tout ceci est impossible ? Donc pour pouvoir se dire que tout est perdu il faut me garantir que vous n’avez pas regardé un seul épisode de série, regardé la TV une seule minute, que vous n’avez pas eu plus de 20 min de la journée pour vos 3 repas. ce n’est pas possible. Sauf blessure ou maladie, vous allez vite vous rendre compte que c’est une question de volonté plus que d’agenda. La planification c’est avant tout un exercice de style. Vous trouverez TOUJOURS 30 à 45 min dans n’importe quelle journée pour réussir. Sinon, c’est que vous ne le voulez pas vraiment et que le problème est ailleurs...
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TOUS LES SPORTS SE VALENT-ILS ?
Rendez-vous le 6 novembre ...
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DOIS-JE MANGER POUR FUELER MON SPORT OU FAIRE DU SPORT POUR PERDRE CE QUE JE MANGE ?
Rendez vous le 12 novembre
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MAIS À QUELS SAINTS SE VOUER ? QUI ÉCOUTER ? QUI SUIVRE ? QUI À RAISON ?
Rendez-vous le 21 novembre
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FAUT-IL PASSER SA VIE À PARLER DE SA NOUVELLE VIE ?
Rendez vous le 28 novembre
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QUELS OUTILS, MATERIELS POUR ALLER PLUS LOIN DANS MES OBJECTIFS SPORTIFS ?
Rendez vous le 1er decembre
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DOIS-JE SUIVRE UN PLAN D’ENTRAINEMENT ?
Rendez-vous le 3 décembre
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DOIS JE COMPTER LES CALORIES ?
Rendez vous le 6 décembre
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