Tumgik
virteal · 3 years
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Named values
Almost 30 years ago, I developped a computer language named Emul, Smalltalk inspired somehow. In addition to a type, all values had a name. It was surprisingly convenient. I'am thinking about a new language that would be Forth inspired with named values. That's for microcontrolers with limited memory. For the IoT, LoRaWAN for example.
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virteal · 7 years
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J'ai déplacé ma 'permanence de campagne' vers ma résidence d'été
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virteal · 7 years
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virteal · 8 years
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Turning the Internet into a decision making platform
The peer to peer collaboration on Internet would be greatly facilitated if people could follow recommendations from other people, automatically in some cases.
For example, I would like to automatically petition like some of my friends.
I am unaware of any existing mechanism to do that, hence this proposal.
The "Proposition" data format for Internet Democracy
rev 1, may 24 2016 by @jhr
The "Proposition" data format provides the first large scale solution to implement efficiently the most democratic of all the democratic systems, direct democracy : one person, one vote.
Democracy in the future will work thanks to a division of labor between citizens that cooperate with other citizens using "internet recommendations" about votes, petitions, subscriptions and other types of actions.
Such recommendations will no longer be just text. They will be actionable items with an action (to actually vote, to actually sign, etc) that can be performed automatically by secure software agents acting as a proxy.
Collaborative platforms where people can voice their opinion are everywhere. However, there is a lack of interconnection besides the relaying of the various propositions on social networks. That lack of interconnection prevent the efficient cooperation of citizens. The "Proposition" data format enables that interconnection.
A recommendation is about a proposition, a proposition is web resource with an url. At that url, a server provides data that describes the proposition. Such urls are propagated like other urls, using social networks or other means.
"title" -- Title for the proposition
"description" -- A short description of the proposition
"description_url" -- Optional url to a longer description
"method" -- referendum, petition, subscribe, etc
"tag" -- A list of tags
"author" -- Who issued the proposition
"published_time" -- When the proposition was issued
"modified_time" -- When the proposition was last changed
"expiration_time" -- Time limit to act on the proposition
"root_url" -- Most propositions are about an existing proposition
"url" -- cannonical url to a direct human action
"accept_info" -- how the "root" proposition is accepted (or rejected)
"accept_url" -- url to accept the author proposition
"register_url" -- url to get a token first
"accept_token" -- token to use to accept the proposition
"modified_url" -- When proposition supercedes an older one, same author
"related_url" -- Related propositions that the author recommends too
When embedded into an html page (versus json), the encoding is the Open Graph Protocol using the "article.proposition" og:type. That html page may propose a way for the visitor to bookmark the proposition, to find other propositions, to follow the author, to register in order to vote, etc. See http://ogp.me/
If no accept_url is provided, a request to the root_url should be used instead with the accept_info as parameter. The accept_info typical values include "accept", "reject", "neutral", a rank, an enumeration, etc (depending on the "method"). One can provide such info, with potential modifications, to the accept_url or the root_url.
Authentication is done using JSON Web tokens. Such tokens are delivered, possibly using the register_url if provided, using the accept_token attribute. The register server may accept tokens from trusted parties in order to automatize registration. Attempts to run actions with no valid token should provide info about where to get a valid token. If the "register_url" was visited before, there is no need to ask for another token. Attempts to accept a proposition may provide information about the last valid attempts, to help voters detect frauds.
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virteal · 8 years
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Les compétences en politique
Pour gouverner, il faut des compétences.
La particularité de la démocratie, c'est de croire que le peuple est compétent pour se gouverner lui même.
Compétent “collectivement”. Se gouverner lui-même, c'est à dire sans que ce soit d'autres qui le fassent à sa place, pas des élus donc.
Alors, bien sur, on peut croire que le peuple n'est pas compétent, on peut penser qu'il vaut mieux que ce soit des élus qui gouvernent.
Et, pour aller au bout du raisonnement, si ne croit pas à la compétence du peuple, inutile de se réclamer de la démocratie. Mieux vaut alors, par soucis de précision par exemple, se réclamer du gouvernement “des meilleurs”, en grec “aristos”, une aristocratie élective donc, où le peuple choisirait les meilleurs.
Quel étrange idée quand même. Le peuple serait compétent pour choisir les meilleurs, des meilleurs qui seraient nécessaire en raison de l'incompétence du peuple, mais serait incompétent pour se gouverner lui-même ?
Il faudrait choisir. Soit le peuple est compétent, collectivement, et alors autant se passer des élus, ça n'a que des inconvénients de nos jours. Soit le peuple n'est pas compétent, et alors il ne l'est pas non plus pour choisir les meilleurs.
Ou bien, soyons moins caricatural, le peuple est compétent pour choisir les meilleurs à moins que ce soit les élus qui sont compétents pour se faire élire.
Mon avis, c'est que le peuple se croit généralement compétent pour choisir les meilleurs et que, en pratique, il se trompe souvent et avec de graves conséquences.
Est-ce la preuve de l'incompétence du peuple ou est-ce la confirmation de l'idée que le peuple doit se gouverner lui-même ? Est-ce la preuve que les élus sont nécessaire ou est-ce la preuve qu'il faut surtout les éviter ?
Selon qu'on est partisan du système représentatif ou de la démocratie directe, on répond radicalement différemment à ces questions.
Des penseurs prestigieux nous l'avaient dit : la compétence du peuple, ce n'est pas l'addition de la compétence des meilleurs, c'est l’agrégation mystérieuse de toutes les compétences, jugées bonnes ou pas, car à la fin “le tout est supérieur à la somme des parties”.
La compétence, selon ces auteurs, Aristote en tête, Rousseau pas loin, bien d'autres, en quelques sorte “émerge”, un peu comme le vivant émerge du minéral, comme le conscient émerge du vivant : sans qu'on sache comment.
C'est pourquoi, en matières politiques, le “mérite”, valeur qu'une société un temps associe à certaines aptitudes, ça n'est pas la bonne valeur ; voilà pourquoi la bonne valeur c'est la diversité, l'inclusion des compétences diverses, sans jugement, sans exclusion, en laissant opérer une alchimie à laquelle nous ne comprenons rien pour l'instant.
En Corse, les compétences en matière politique sont abondantes, particulièrement les compétence en politique "politicienne". Mais entre les corse du nord et ceux du sud, ceux de la mer et ceux de la montagne, ceux de l'été et ceux de l'hiver, ceux d'ici et ceux d'ailleurs, la diversité ne manque pas non plus.
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virteal · 8 years
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Au sujet du vote anonyme : prudence.
Au sujet du vote anonyme : prudence. Dans l'esprit d'un grand nombre de personne, le vote à bulletin secret est une garantie démocratique. Elles pensent donc que sans bulletins secrets, pas de démocratie.
C'est une simplification.
En réalité, il y a des situations où l'on fonctionne avec des bulletins publics et où ça ne pose pas de problème. C'est par exemple le cas lors des AGs NuitDebout, où l'on votent carrément “à main levée”. Dans la vie quotidienne c'est par exemple le cas lors d'une assemblée de copropriétaires.
Le vote à bulletin public fait peur en raison de deux risques principaux : 1/ des pressions directes (lors d'élection très locales typiquement). 2/ de la surveillance par l'état.
Les lois sur le vote à bulletin secret ont été votées il y a cent ans. Parfois à l'initiative du pouvoir en place. Parfois de l'opposition. Les motivations sont assez obscures en général et plus de nature électoraliste que véritablement dédiée à la protection du citoyen…
S'agissant de pressions directes, les mœurs ont tout de même évolué depuis. Quelqu'un exerçant une pression pourrait par exemple aujourd'hui être poursuivi pour harcèlement. D'ailleurs, qui s'est déjà senti “pressuré” ? moi, jamais.
S'agissant de la surveillance par l'état… un état qui pratiquerait cela, typiquement pour conserver le pouvoir, serait clairement anti-démocratique ; ce serait une forme de dictature. Beaucoup craignent que l'état deviennent dictatorial. Ils n'ont pas tord. Mais la solution, est-ce l'anonymat des votes ou bien des lois de transparence et de contrôle permettant de sanctionner l'état s'il utilise des pratiques de surveillance abusive ?
Dans un état de droit qui serait démocratique, il est évident que serait votées des lois (et des budgets) pour combattre de tel agissement abusifs au sein de l'état.
En résumé : le vote anonyme, c'est surtout utile… en dictature. En démocratie, la loi doit protéger le citoyen et lui garantir la paix et la sécurité quand il exprime publiquement une opinion politique.
Cependant, je ne rêve pas, pendant longtemps encore nombreux seront ceux qui accepteront sans beaucoup y réfléchir l'idée que démocratie égal vote secret, autant que ceux qui pensent que démocratie = élections.
Par conséquent, le pragmatisme commande une solution progressive. Cette solution consiste à considérer que certains scrutins, “sensibles” (et rares) méritent le vote secret alors que d'autres, moins critiques (et les plus fréquents) peuvent s'en passer car l'enjeux y est faible.
A partir de cette idée, scrutins “sensible” et scrutins “banals”, il devient utile de mesure que la fraude est nettement plus difficile lorsque le vote est à bulletin public.
Ceux qui sont plus inquiets que les autres, qui pensent que l'état risque de frauder en cas de vote par Internet, ceux la devraient logiquement être en faveur de davantage de scrutins à bulletin publics, faciles à vérifier. Hélas, au lieu de ça, ils sont généralement en faveur de ne surtout rien changer et de continuer à voter avec des bulletins papiers imprimé, une technologie vielle de 500 ans donc.
Pour résumer : l'authenticité du vote est facile à vérifier si le votant est facile à identifier ; elle est difficile à vérifier si le votant est anonyme ; fraude ou perte d'anonymat, il faut choisir quel risque prioritiser, de préférence au cas par cas.
Personnellement, pour rendre possible le vote par Internet (et la procuration à des logiciels, condition nécessaire à la division du travail citoyen avec l'aide de logiciels), je suis en faveur du vote à bulletin public.
Je suis donc en faveur d'une société où exprimer sans crainte son opinion est le but à atteindre. On peut rêver. C'est encore autorisé.
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virteal · 8 years
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NuitDebout, inseme
J'ai commencé le développement d'une petite application web visant à permettre la participation à distance aux assemblées organisées selon la méthode "Nuit Debout".
Cette méthode, destinée à des assemblées où les personnes sont présentes physiquement, consiste à organiser la participation sur la base de signaux visuels, de gestes.
C'est ainsi qu'il y a un geste, simple, pour demander la parole : lever la main. Et d'autres geste pour manifester son accord, son opposition, son besoin d'explications ou au contraire son ennuit en cas de répétition de l'orateur, etc.
La page web est accessible à cette adresse : https://inseme.firebaseapp.com
"Inseme" veut dire "ensemble", en langue corse.
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virteal · 9 years
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Démocratie directe, 2.0, à toutes les échelles
La démocratie directe, c'est quand chacun peut voter toutes les lois, peut participer efficacement à toutes les prises de décisions, sans être obligé d'élire quelqu'un qui fait ça à sa place.
Cependant, c'est une masse de travail immense. Il y a vraiment beaucoup de décisions à prendre, sans arrêt.
Il faut donc une solution pour diviser le travail entre les citoyens.
L'informatique nous en offre une nouvelle, impensable sans elle. Notre système représentatif archaïque n'est plus nécessaire, on peut le remplace par mieux.
Cette meilleure solution consiste à 1/ autoriser le vote par Internet et surtout 2/ autoriser la procuration à des logiciels.
De cette façon chacun peut soit 1/ voter directement, soit 2/ laisser des logiciels qu'il a configuré le faire pour lui (ou l'aider à le faire).
Un logiciel peut par exemple être configuré par le citoyen pour voter en copiant le vote d'une personne de confiance désignée par le citoyen. Ce cas simple est similaire au système actuel. Cependant, en cas de perte de confiance, le citoyen peut à tout moment désigner une autre personne, qu'il choisit librement, et non pas dans une liste restrictive.
Un logiciel peut aussi voter en copiant le vote de plusieurs personnes, chacune ayant sa spécialité.
Un autre logiciel, à inventer, pourra voter selon d'autres logiques, par exemple selon le vote majoritaire parmi un ensemble de personnes ou d'organisations, selon des recommendations de vote reçues d'organismes divers (partis, associations, syndicats, organes de presse, etc) auprès desquels le citoyen s'abonne, etc.
Toutes ces façons et celles à inventer pouvant être combinées, sous le contrôle du citoyen.
Le vote par Internet et la procuration à des logiciels suffisent donc pour donner les possibilités de participation les plus étendues imaginables au citoyen, avec pour seule limite l'effort qu'il décide de consacrer à ce travail de participation et l'efficacité des logiciels qu'il choisit d'utiliser.
Effort faible s'il se contente de tout confier à quelqu'un d'autre. Effort plus conséquent s'il vote directement parfois ou prend le temps d'utiliser des logiciels pour voter à sa place ou l'aider à voter directement davantage. Au choix.
Comme dans la vrai vie, si le citoyen change d'avis, il doit pouvoir changer son vote, jusqu'à la date limite de fermeture du scrutin. De cette façon des résultats partiels sont en permanence disponibles, rendant les sondages d'opinion inutiles (et inoffensifs).
Ceux qui préfèrent ne pas utiliser Internet pourront continuer comme aujourd'hui d'aller à la marie pour y désigner la personne destinée à les représenter, tout les 5 ans si c'est ce qu'ils veulent, ou plus souvent. Ils pourront aussi aller voter directement quand l'enjeux d'un scrutin les motivent suffisament à le faire.
Des méthodes pour sécuriser les votes sur Internet devront être choisies, ce choix appartient lui aussi aux citoyens et fera donc l'objet de votes, comme toutes les autres décisions à prendre.
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virteal · 9 years
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La démocratie agile
L'informatique permettrait d'être représenté ou de voter directement. Au programme : le meilleur du système représentatif et de la démocratie directe, sans les inconvénients, à la carte.
Qui décide ? qui détient le "pouvoir" ? les différents régimes politiques se distinguent les uns des autres selon les réponses à ces questions. Celle du régime démocratique est, en théorie, simple : le peuple.
En pratique, l'affaire se complique. Qui, parmi ce peuple, décide ? de quoi ? comment ?
La réponse que la société a progressivement élaboré à ces questions s'observe dans les lois et les usages. Ces lois et ces usages, au sujet des décisions à prendre, sont en quelque sorte nos "règles du jeux". Un texte, la Constitution, en énumère les plus importantes.
Pour toute sortes de raisons qu'il est inutile de rappeler ici, nous sommes collectivement attachés à un grand principe qui y figure : l'égalité. Selon ce principe, c'est le nombre qui compte et pas les qualités particulières de l'un ou de l'autre. En découle immédiatement l'idée que la décision à prendre, c'est celle que la majorité souhaite et qu'on découvre à l'occasion d'un scrutin, par la mesure des différents votes.
Dans une démocratie, c'est donc, en théorie, le plus "nombreux" qui gagne et donc, toujours en théorie, nécessairement le peuple, c'est à dire le groupe englobant les autres. Chacun sait bien qu'en pratique, il n'en est rien. Depuis toujours ce sont les plus riches qui dictent les lois qui les favorisent.
Quel est cet écart entre la théorie et la pratique ? comment le réduire ?
Le coupable que beaucoup désignent se nomme "représentation". On accuse les représentants de n'être pas vraiment représentatifs. Et ce même quand c'est le peuple lui-même qui les désigne.
Les différentes tentatives pour augmenter la fidélité des représentants ont toutes échoué. Les solutions connues ne marchent pas. Aucune. Les avantages de chacune des solutions n'ont jamais réussit à surpasser les inconvénients qui vont avec.
Quelque chose de nouveau manque. Ou, plus exactement, manquait. Car le moyen de se passer de représentants est à présent disponible. Le moyen pour les citoyens d'exprimer directement leur avis existe enfin. Ce moyen, c'est l'informatique qui nous l'offre.
A défaut d'avis personnel, il est raisonnable de s'abstenir ou de se reposer sur l'avis d'autres personnes. Pour l'instant, le choix est restreint, il est limité à un petit nombre de candidats se présentant aux différentes élections, voter directement est rarement une option. L'informatique permet d'étendre ce choix.
De l'étendre considérablement. En allant du choix actuel, c'est à dire en se rangeant systèmatiquement à l'avis d'un candidat proposé par un parti, jusqu'à par exemple le choix le plus futuriste consistant à se ranger à l'avis d'une intelligence artificielle, en passant par un choix raisonnable consistant à adopter habituellement l'avis de telle ou telle personne qu'on juge compétente sur tel ou tel sujet et voter directement quand l'enjeu le mérite.
Avec une telle facilité à choisir, à décider, quels rôles dans la société, à part les plus subalternes, continueraient de réclamer qu'on les assigne à une personne particulière autrement que de façon éphémère, de façon prolongée, à l'image d'un mandat quinquenal par exemple ? Bien peu. Ceux dévolus à quelques sages dont on voudrait qu'ils soient à l'abris des soubresauts de l'actualité et des modes. Ceux des chefs militaires, en temps de guerre. Guère plus.
Cette façon nouvelle d'attribuer du pouvoir, d'une grande flexibilité, permise par l'informatique, n'ira pas sans tatonnements, sans erreurs. Une telle agilité ne sera pas facile à dompter.
Les adversaires de la démocratie, les partisans de l'ordre établi, ne manqueront pas d'instrumentaliser la peur que l'inconnu engendre. Leur imagination est d'autant plus débordante qu'ils ont beaucoup à perdre. Voyons ce qu'ils vont inventer face à la plus grande menace qu'ils affrontent depuis l'imprimerie : Internet.
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virteal · 9 years
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Secte des Bouders
Flash spécial.
Contexte : http://fr.netlog.com/JeanHuguesRobert/blog/blogid=423203
En raison du désarroi généralisé, le YanUg a décidé de sortir de sa cave pour annoncer un message d'espoir. Il nous livre ses prédictions.
" La racine non pas du mal mais des troubles que nous vivons actuellement, est l'alphabétisation ou plus exactement la croissance des niveaux d'éducation, amplifiée par Internet.
Elle provoque une remise en question de l'autorité traditionnelle et du statu quo. Aussi bien au sein des familles et du peuple que dans les cercles du pouvoir. Ces derniers s'en trouvent fragilisés.
Des aspirants au pouvoir saisissent actuellement cette opportunité pour tenter de prendre le pouvoir. Ils instrumentalisent les idéologies les plus populaires du moment afin de rallier le peuple à leur cause.
Ils obtiennent le soutien d'une partie significative de la population qui est la plus opprimée et qui accepte cela de moins en moins à mesure que les inégalités économiques, réelles ou seulement perçues, se creusent.
Si chez vous les forces opposés au pouvoir en place sont divisées, deux factions au moins sont apparus, l'une étant progressiste, l'autre réactionnaire.
Les aspirants au pouvoir cherchent le soutien financier et logistique de pays étrangers qui interviennent de façon opportuniste selon leurs intérêts propres, sans se soucier de ceux des populations locales, sans se soucier de vous.
S'agissant de Daech, c'est un mouvement d'opposition de type réactionnaire opportuniste apparut après que la révolte initiale de type "printemps arabe" en 2011 s'est enlisée.
Il s'appuie sur le soutien populaire des populations les plus arriérées rendues plus misérables encore en raison de la désorganisation de la région. Il instrumentalise la religion et le nationalisme pour remettre un semblant d'ordre et attire à lui les déçus de tout bord en mal d'aventure.
Il est soutenu par les pays qui souhaitent le renversement du pouvoir en place.
S'agissant de la France, cette grille de lecture fonctionne aussi mais de façon plus sophistiquée en raison du niveau élevé d'éducation.
On y trouve là aussi un pouvoir fragilisé, des électeurs moins naïfs car plus éduqués politiquement, une crise économique et des inégalités perçues comme croissantes, des opposants aux pouvoirs traditionnels ("anti-système") et l'instrumentalisation de la religion et du nationalisme. Les candidats au pouvoir crédibles bénéficient ici aussi de financements étrangers, ce qui en dit long sur le caractère "bananier" de la République Française.
En Corse, les pouvoirs traditionnels claniques sont fragilisés par l'austérité. Le peuple mécontent se tourne vers les nationalistes, momentanément tous alliés, progressistes et réactionnaires confondus. L'absence de financement étrangers (y compris français) illustre le peu d'intérêt stratégique que représente désormais la Corse.
Nous verrons ensemble, à l'épreuve du temps, que cette modélisation que le YanUg propose à un pouvoir prédictif.
L'issue la plus probable de ces crises autant de la morale que du moral est dans un premier temps le renversement des pouvoirs anciens et l'apparition de pouvoirs nouveaux à caractère autoritaire et anti-démocratique.
A long terme, nous ne sommes n'est pas à l'abri d'une bonne surprise, en raison de la poursuite de l'élévation du niveau de conscience du peuple qui restera amplifiée par Internet de façon durable. Ceci dit, le pouvoir concentré ne cédera pas la place au peuple sans combattre, éventuellement par l'instrumentalisation de la guerre s'il désespère gravement.
Rendez vous donc dans 5/10 ans pour la première étape et 20/30 ans pour la seconde... Sauf peut-être en Corse qui pourrait bien être "à la pointe" comme il y a 300 ans.
On est pas content ! On est pas content ! "
Signé : Le Grand Boudeur NostraYanug.
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virteal · 9 years
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Kudocracy, twitter + ifttt for direct democracy
Kudocracy - Prototype number 2, highly scalable. First draft.
The goal of Kudocracy is to provide the first pragmatic large scale solution to actually implement efficiently the most democratic of all the democratic systems, direct democracy : one person, one vote, for all the decisions.
It works because of the division of labor between citizens that cooperate with other citizens they trust using Internet tools. Cooperation to that extend was not possible before. Internet changes everything, civic participation too.
Kudocracy is an ecosystem. It is a vote recommendation marketplace. "Vote this on that" or "Sign this petition" are typical recommendations.
However, this is the innovation, such recommendations are not just textual advices with Kudocracy, they are actionnable items whose corresponding action (to actually vote, to actually sign) can be automatized by software agents acting as a proxy.
In this marketplace, there are recommendation providers and consumers. But any consumer can become a provider at any time.
Providers and consumers use tools to be efficient. Provider tools help to design and promote recommendations. Consumer tools help to vote/petition according to recommendations that are easy to find.
Vote recommendations are about propositions. Those who design such propositions need tools too. Both to build new propositions and to promote them. Promotion toward recommendation provider to leverage their audience. Promotion toward consumers to have them vote in favor of their propositions and also to maybe turn them into recommendation providers that will promote these propositions. Such tools make it easier to design and communicate propositions such as a petition, participation to a civic online consultation in some direction, a physical vote for some idea or some candidate (one day, with robots), etc.
Hence a marketplace with multiple products
Proposition designer tools
Proposition platforms
Recommendation provider tools
Voter/petitioner tools
Initially the ecosystem is boostrapped using
a centralized database of propositions and recommendations
open source API SDK
open source vote and petition platform
open source tool for proposition designers
open source tool for recommendation power users
and a simple open source tool for those who are mostly recommendation consumers or direct voters/petitioners
The central database is then populated with existing propositions from well established sources like change.org, avaaz.org and emerging open source vote platforms like loomio, democracyos, etc.
Then the designer tool is advertized to those who created the propositions on theses platforms and to the platform software developers themselves.
The power user tool is advertized to those who promote existing propositions from various platforms to their audience, facebook, twitter, etc.
It is then expected that they will promote the simple consumer tool to their followers as a side effect.
Prototype v1 http://kudocracy.com
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virteal · 10 years
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L'équation démocratique
La "crise" de la démocratie représentative s'accroit pendant que sur Internet des formes "directes" de votes prolifèrent.
Le déficit de démocratie hors Internet engendre un appétit de démocratie, frustré. La parole bridée veut s'exprimer. Sur Internet, c'est possible. Ailleurs, non. Ca ne durera pas.
Mais, il y a un mais, cet appétit, les expériences le montrent, est vite rassasié. Voter, oui, mais quand on veut. Et le temps manque. Et les sujets sont nombreux. En sorte que, quand le vote directe est proposé, rapidement, la participation s'effondre.
Certains évoquent alors le manque d'implication des citoyens. Leur appatie. Leur individualisme. Bref, leur incompétence.
C'est un mauvais proçés. Qu'un électeur se mobilise sur un sujet qui l'intéresse, c'est normal. Qu'il ne le fasse pas sur un sujet pour lui moins critique, ça l'est tout autant. C'est un choix rationnel.
Mais ce choix, de ne pas participer activement, est aussi un piège. Celui du "qui ne dit mot consent". Celui du "représentant" qui décide sans consulter sa base. Le piège parfait : l'électeur prisonnier de son représentant ; représentant nécessaire, représentant infidèle.
Confier son vote à des tiers de confiance, quand on n'a pas le temps de voter soi-même, c'est efficace. Le faire pour 5 ans, à une seule personne, sur tous les sujets, sans recours, quelle folie ! Celle de nos démocraties "représentatives", qui, du coup, ne représentent plus que l'intérêt des professionels de la politique, évidément.
Si la démocratie directe demande trop d'efforts, si la démocratie représentative est pervertie, quelle méthode employer ?
La démocratie "liquide". Celle consistant à déléguer sa voix "à la carte". Non plus tous les 5 ans mais quand on veut. Non plus à un individu unique mais à plusieurs. Non plus sur tous les sujets à la fois mais sujet par sujet. Et pouvoir voter directement, quand on préfère.
Cette démocratie "à la carte", loin du "plat unique" que nous connaissons, est possible.
http://kudocracy.com/help
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virteal · 10 years
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Sur recours d’un particulier, le TA vient d’annuler le PLU approuvé le 8 juin 2013. Le PLU est sanctionné en raison des illégalités suivantes : -      Alors que le […]
PLU, pas de miracle.
J'avais salué en 2012 le projet du maire de Tallone associant les agriculteurs au développement touristique. J'espérai alors que ce bel exemple serait suivit. http://virteal.tumblr.com/post/18667618510
C'était trop beau pour être vrai. Il y avait anguille sous roche. Et voilà, retour à la case départ, le PLU est annulé.
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virteal · 10 years
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#kudocracy. Who are the "delegates" in a http://en.wikipedia.org/wiki/Delegative_democracy (aka #LiquidDemocracy)? It can been a person you trust. It could be something else. One of the interesting ideas in Liquid Democracy is the notion of "recommendations". Ie. what you choose depends on someone (or something) else, that provides "recommendations". Thanks to the notion of "remote delegates", that I introduced recently, one can not only delegate to someone *inside* his/her community but also to someone outside. What if the outside "someone" was not a person? What if that someone was say a news paper or a political party or a non profit organization? I call "Opinion as service" an ecosystem where 1/ opinions matters 2/ you can buy them. Ie. "Opinions as a Service" OaaS. With "Opinion providers" and "Opinion consumers". That's what #kudocracy is about, on the long run. http://kudocracy.com Nota: buying "opinions", ie paying for recommendations, is not at all similar to buying votes, ie "briding".
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virteal · 10 years
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Corse - Au lieu d'espérer une union impossible (et un peu contraire à la valeur moderne qu'incarne la diversité), il semble effectivement utile de proposer plusieurs choix au premier tour. Il serait cependant préférable d'établir une union préalable sur les règles du désistement au second tour, afin d'éviter que la division ne profite trop à l'adversaire. Cette règle, peut-être celle privilégiant celui qui a le plus gros score (c'est un classique), doit impérativement contenir des concessions de part et d'autre, avant le second tour mais pour ensuite aussi, pour ceux qui seraient élus avec l'aide des autres. Tout ceci dans le cadre d'une méthode de concertation à définir, et qui pourrait être plus démocratique que la simple loi du plus fort (ou du plus nombreux). Dit autrement : il manque au mouvement national une assemblée constituée de tout ses membres et agissant selon les règles d'une constitution. Cet absence d'état de droit au sein du mouvement inquiète une partie de la population qui craint que les élus issus du mouvement ne se comportent encore plus mal que les anciens, en l'absence de contrôles permettant de limiter les abus de pouvoir, dont on sait combien ils prolifèrent facilement.
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virteal · 10 years
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Scalable Liquid Democracy
Liquid Democracy is a continuous (vs "once in a while") vote system where everyone can either vote directly (like direct democracy) or select a "delegate" on specific topics (unlike representative democracy's 'all topics' model).
In pratice, representative democracy works using old technologies (paper, print). It is adapted to physical constraints that no longer apply.
With the Internet, questions arise. What are the "electorates" you belong to? How frequently can you vote? How secret can your vote be?
In this blog entry, I want to introduce the notion of remote delegate as a solution to a scalable liquid democracy system. What is a "remote delegate"?
A Remote Delegate is a delegate that does not belong to your community but may have an orientation on topics/issues at hand inside your community.
What is it for? When an issue arise, if that issue is relevant in multiple "places", then it makes sense for someone in some "place" to delegate to someone else in some other "place" about the same issue.
In #kudocracy, such "places" are identified using an URL. That URL is an end point where an API can be queried to monitor the orientation of a delegate on issues about topics.
A "remote delegate" is therefore someone (kudocracy uses twitter names) whose orientations are vocalized in one or multiple "places".
Consequently, #kudocracy will soon enable "@someone.some.domain.com" to reference the potential orientations of @someone. Delegations "@someone #tag1 #tag2" (eg "@john politics environmental") will use orientations from all "domains" where @john's orientations are know to be potentially available.
The combination of "direct voters", "local delegates" and "remote delegates" makes it possible to create a federation of voting "domains" that will make it possible 1/ to delegate to someone outside your "place" 2/ consolidate multiple "domains" results to get larger scale results.
This works from very local places, an area in a city, up to whole countries.
I will present this idea at the "1st European Liquid Democracy Meetup" in Brussel, nov 29/30. https://juliareda.eu/events/liquid-democracy-meetup/
http://kudocracy.com
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virteal · 10 years
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Pourquoi tout va si mal ? C'est parce que nos "institutions" organisent de fait le désordre, pour que règne la loi de la jungle. L'état de droit autant que la démocratie sont instrumentalisés par les "dirigeants". Au détriment de l'intérêt général. Ce problème existe partout. En Corse, l'envers du décord est plus visible qu'ailleurs tant est grande l'impunité. La sophistication des montages "politiques", immense ici, ne parvient plus à cacher l'ampleur des abus. La solution passe par un contrôle serré des institutions par les citoyens eux-mêmes et non par des "représentants" dorénavant largement décrédibilisés. Le drame c'est que les nationalistes arrivent à se faire élire au moment où la représentativité des élus est mise en doute comme jamais. C'est bien d'un "déni de démocratie" qu'il s'agit. Sauf que nos institutions sont devenus anti-démocratiques. Et c'est donc de ça qu'il faut parler : - Quelles institutions véritablement démocratiques voulons nous pour la Corse ? - Comment les obtenir ? Continuer de jouer le jeu des institutions en place, celles se présentant faussement comme "démocratiques", celà est une stratégie insuffisante, son intérêt principal est qu'elle montre à tous combien le jeu est truqué et pourquoi ses règles sont à revoir de fond en comble. Les catalans n'ont pas attendu l'autorisation de leurs institutions. Ils ont manifesté leur force, celle du grand nombre. C'est qu'un projet les rassemble, un espoir les anime.
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