unpocopiu

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J'imagine que l'intérêt de tout ça, c'est qu'on ne le connaitra jamais. Je suppose que c'est ça qui donne ce connait existant. C'est que tout, mais vraiment tout peut arriver. Le mauvais mais surtout le bon. C'est que chaque journée peut annoncer une nouvelle aventure et on en pas la moindre idée lorsqu'on franchit la porte chaque matin.

(via prendre-le-temps-de-rever)

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Peut-être très sensible, mais bien assez entier, pour n'être ni soumis, ni naïf, ni docile, encore moins résigné…

V. H. SCORP (via vhscorp)

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“Of course, you never really forget anyone, but you certainly release them. You stop allowing their history to have any meaning for you today. You let them change their haircut, let them move, let them fall in love again. And when you see this person you have let go, you realize that there is no reason to be sad. The person you knew exists somewhere, but you are separated by too much time to reach them again.”

How We Let People Go (via naturaekos)

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Vivre une vie cultivée et sans passion, au souffle capricieux des idées, en lisant, en rêvant, en songeant à écrire, une vie suffisamment lente pour être toujours au bord de l’ennui, suffisamment réfléchie pour n’y tomber jamais. Vivre cette vie loin des émotions et des pensées, avec seulement l’idée des émotions, et l’émotion des idées. Stagner au soleil en se teignant d’or, comme un lac obscur bordé de fleurs. Avoir, dans l’ombre, cette noblesse de l’individualisme qui consiste à ne rien réclamer, jamais, de la vie.

Fernando Pessoa -  Le Livre de l’Intranquilité, p.79 (via laurentblaise)

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Background Photo: 2 Rights Make 1 Wrong, SOPHIE L B WEDGWOOD

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On est trois. #partiels

Je suis aussi productive qu’un navet en ce moment…

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l’amour est éternel

Les boîtes perdent leur couvercle, les tasses leur sous-tasse, les chaussettes leur semblable et je continue à espérer que l’amour est éternel.

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http://www.collective-evolution.com/2013/12/05/the-illusion-of-matter-our-physical-material-world-isnt-really-physical-at-all/

http://discovermagazine.com/2013/dec/09-do-we-live-in-the-matrix

http://www.nytimes.com/2014/02/16/opinion/sunday/is-the-universe-a-simulation.html?_r=0

http://www.nature.com/news/simulations-back-up-theory-that-universe-is-a-hologram-1.14328

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Révisions = Echec ?

Et chaque année c'est la même histoire, je regrette... Je regrette de ne pas avoir passé au moins ne serait-ce que deux heures par jour sur mes cours à apprendre.

Ce que je fais n'est pas inintéressant mais c'est tellement théorique et peu concernant, qu'on en oublie l'intérêt d'imprimer toute cette doxa ( économique et financière pour mon cas) dans notre cerveau. Pourtant c'est ce que font les publicitaires aujourd'hui, tous les jours par les mass médias, ils impriment des slogans, des idées, des besoins superficiels dans notre cerveau qui ne nous concernent pas mais qui finissent par nous concerner.

Oui, à chaque fin d'année scolaire je me retrouve à paniquer, stresser car je sais, en étant réaliste, que mémoriser tous ce qu'on m'a donné à ingurgiter au cours de l'année ne rentrera pas en quelques jours de "révision", pardon,d' "apprentissage".

Je ne suis pas plus bête qu'un autre, je suis juste moins malin ou moins enclein à rentrer dans les camps encore à mon âge. Tout ce qu'on me demande c'est de rabacher, bachoter et de recracher des connaissances purement théoriques et basiques. Et pourtant j'échoue.

Ajourd'hui je me retrouve dans cet état d'esprit, prêt à tout pour m'épanouir mais je n'ai ni les outils, ni la -auto-discipline pour réaliser ce but.

Au final, pourquoi je regrette ? J'ai choisis de ne pas travaillé assidument et d'avoir appris sagement mes leçons au jour le jour.

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Any book recommendations? :)

The Catcher in the Rye, J.D. Salinger: It shows you what a teenager thinks. His fears, what does he loves and how can they react.

On the Road, Jack Kerouac: The author can make you feel that you are traveling on the routes of United States in late 40s. He can make you feel free.

High Fidelity, Nick Hornby: I love music and this is a perfect book for music lovers. In the end, is a book about love, but in the middle of it is full of songs.

Ham on Rye, Charles Bukowski: Hank is one of my favorites writers (his poetry is amazing) and this is an autobiography. Every anecdote makes us understand why Bukowski thinks as he does.

A Moveable Feast, Ernest Hemingway: This book narrates Hemingway’s life in París in the 20s as an expatriate writer. You can read it 30 times.

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Lucas et moi on est pareil sous ces aspects de gosses de la République. On ne sait rien faire de nos dix doigts et l’on nous fait croire que la mollesse de nos connaissances scolaires sera suffisante à nous procurer de quoi vivre décemment. La différence entre Lucas et moi c’est qu’il y croit...

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Partager: La vérité sur l'affaire Harry Quebert

— Vous essayez de me parler d’amour, Marcus, mais l’amour, c’est compliqué. L’amour, c’est très compliqué. C’est à la fois la plus extraordinaire et la pire chose qui puisse arriver. Vous le découvrirez un jour. L’amour, ça peut faire très mal. Vous ne devez pas pour autant avoir peur de tomber, et surtout pas de tomber amoureux, car l’amour, c’est aussi très beau, mais comme tout ce qui est beau, ça vous éblouit et ça vous fait mal aux yeux. C’est pour ça que souvent, on pleure après (Moon+ Reader Pro v2.0, La vérité sur l'affaire Harry Quebert)

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Pensate, abbiamo avuto la fortuna di nascere nell'epoca del Tomorrowland e dei Bastille, dei cuori blu su Whatsapp e delle discoteche in riva al mare. Non sapete quanto siamo fortunati ad avere la possibilità di postare immagini porno su Tumblr e video in cui ci tagliamo su Ask.fm. Ve lo giuro, non saprei proprio immaginarmela un'epoca migliore: abbiamo Berlusconi, ma che ci importa? Tanto poi ce ne andiamo ad Ibiza a darla via come se non fosse nostra. Ma sì, chi se ne frega di Calciopoli, abbiamo vinto i Mondiali e Martin Luther King mica tira in porta come Balotelli, eh. Siamo stati fortunatissimi e non ce ne rendiamo conto, siamo cresciuti in un paese che si lamenta per la fuga dei cervelli ma che continua a sponsorizzare le tette. Insomma, perché mai dovremmo rimpiangere Woodstock se abbiamo la possibilità di andare in discoteca a impasticcarci il sabato sera? Ma che ci importa della libertà? Noi abbiamo l'omertà e la sottomissione. Mi raccomando, teniamoceli stretti questi anni di merda, tra contratti a tempo determinatissimo e pompini come strette di mano. Teniamoci la crisi e le apparenze, Angry Birds e Marco Mengoni. Insomma, cosa dovremmo mai farci con Mandela se abbiamo la Rodriguez e la sua farfallina? E non ditemi che sono troppo malinconica o retrò, ma non me ne faccio nulla di Giulia Carcasi e di Instagram quando vedo un'intera generazione in fila davanti l'Apple Store il giorno dell'uscita di un nuovo I-Phone e girare la testa, facendo finta di non sentire, quando ammazzano di botte un ragazzo omosessuale o ridicolizzano una ragazza in carne. Abbiamo i leggins stracolarati, ma la personalità in bianco e nero, le Vans con le quali calpestiamo ripetutamente chi ha un'opinione diversa dalla nostra, chi è più sensibile e chi non è mai sceso a compromessi. E non ditemi che questi sono gli anni zero, no. Magari lo fossero, potremmo ripartire da quello zero, crearci una nuova identità, una cultura sana, libera e non soggetta alla riforma Gelmini e ai continui tagli. Potremmo permetterci di restare qui, a girare in Vespa per le vie di Roma o ammirare la bellezza senza tempo di Firenze, potremmo provare sentirci a casa in qualunque posto, pagarci l'università e comprare un cassetto solo per i sogni, senza dover trovare una spazio striminzito tra le pagine in cui abbiamo scritto quando ci siamo sentiti criticare da una bionda tutta tette o un figlio di papà che non sa coniugare un congiuntivo, dall'alto della sua scrivania in radica di noce. Ma che ci importa se non abbiamo la materia grigia, ragazzi, noi possiamo tingerci i capelli di blu.

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