(Alex, 6 yo. send this letter to B. Obama to ask him about Omran, syrian kid, seen on a pic who turn around the world)
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Revue de presse 1er semestre 2017
Emmanuel Macron en visite en Algérie évoque la colonisation en la qualifiant de crime contre l’humanité. http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/macron-et-la-colonisation-le-mot-vraiment-sensible-aurait-ete-genocide_1880028.html
Je vous invite au spectacle sur Morning Spank http://www.morningspank.com/cest-beau-cest-belge/
et toujours sur Morning Spank : http://www.morningspank.com/bricolo-larchitecte/
Quid de la gauche, à la veille de l’éléction présidentielle. http://www.francetvinfo.fr/politique/benoit-hamon/dans-15-jours-hamon-il-est-mort-avilleurbanne-comment-melenchon-a-siphonne-l-electorat-du-ps_2142540.html#xtor=CS1-746
Johan Hufnagel, directeur en charge des éditions de Libération revient sur la une du Libé du 6 avril. Une image liée à l’attaque au gaz perpétrée par Bachar-El-Assad. http://www.liberation.fr/futurs/2017/04/06/l-histoire-de-cette-une-qui-nous-hante_1561009
C’est vieux, mais çà ne fait pas de mal de se souvenir - de Pierre Bernard, graphiste : http://www.telerama.fr/scenes/pierre-bernard-conscience-sociale-du-graphisme-disparait-a-l-age-de-73-ans,134702.php
Paula Scher, pointure du graphisme, a peint le monde en grand : http://www.cafebabel.fr/article/paula-scher-jai-dessine-le-monde-entier.html
Un livre sur son travail sort, retrouvez mon article ici : http://etapes.com/paula-scher-works-retour-sur-la-carriere-d-une-graphiste-influente
Les résultats du 1er tour de l’élection présidentielle français, vu d’ailleurs : https://www.franceinter.fr/emissions/les-histoires-du-monde/les-histoires-du-monde-24-avril-2017
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Revue de presse
Décembre, Syrie : Alep : l’humanité disparait peu à peu à Alep par les décès sous les bombes de BEA de ceux qui la faisaient vivre
http://www.francetvinfo.fr/monde/revolte-en-syrie/il-aidait-les-enfants-en-leur-apportant-du-bonheur-en-syrie-le-clown-d-alep-est-mort_1951405.html
Novembre, #culture : Je dérive sur Tati, Tati, et Tatie sur Morning Spank
http://www.morningspank.com/the-tatie-toux/
Novembre, France : Tchao Pantin !
http://www.courrierinternational.com/article/vu-dailleurs-defaite-de-sarkozy-clap-de-fin-pour-le-berlusconi-francais?utm_source=Facebook&utm_medium=Social&utm_campaign=Echobox#link_time=1479729671
Novembre, Syrie : Alep sous une situation extrêmement difficile
http://www.lemonde.fr/syrie/article/2016/11/19/les-etats-unis-denoncent-les-bombardements-atroces-a-alep_5034402_1618247.html?utm_medium=Social&utm_campaign=Echobox&utm_source=Facebook&utm_term=Autofeed#link_time=1479579818
Novembre, France : La grève à Itélé se termine, avec 25 départs de journalistes : http://teleobs.nouvelobs.com/actualites/20161119.OBS1423/itele-reprend-l-antenne-apres-31-jours-de-greve.html
(Sans date précise-) Abdennour Bidar, essayiste et philosophe du monde musulman, proposant un Islam de la modernité, publiait en avril dernier Lettre ouverte au monde musulman. Elle est lisible dans sa première version ici : http://www.marianne.net/Lettre-ouverte-au-monde-musulman_a241765.html
EN : http://www.marianne.net/Dear-Muslim-World_a243724.html
Octobre, Pologne : Après l’étude d’une proposition de loi sur l’interdiction totale, ayant suscité un vif élan de contestation, le gouvernement fait marche arrière : https://www.theguardian.com/world/2016/oct/05/polish-government-performs-u-turn-on-total-abortion-ban
Septembre, France : La politique extérieure de Sarkozy concernant la Libye lourdement remise en cause : http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/27745-libye-nicolas-sarkozy-egratine-rapport-parlementaire.html
Septembre, France - Monde : 15 ans après la tragédie du 11 septembre, le politologue et chercheur Francois Burgat s’interroge sur le rôle des Occidentaux dans le développement du djihadisme.
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1558309-du-11-septembre-2001-a-daech-combattre-les-djihadistes-ou-cesser-de-les-fabriquer.html
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Il faut toujours être ivre. Tout est là : c’est l’unique question. Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous ! Et si, quelquefois, sur les marches d’un palais, sur l’herbe verte d’un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l’ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l’étoile, à l’oiseau, à l’horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l’étoile, l’oiseau, l’horloge, vous répondront : « Il est l’heure de s’enivrer ! Pour n’être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise.
Charles Baudelaire
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Cracovie, l'infini et la beauté.
Evidemment, on ne reste pas indifférent à une ville où l’on a vécu 5 mois, dans un cadre international. Mais ce n’est pas seulement cela. J’aurais pu me plaire dans de nombreuses villes, je suis tombée amoureuse de celle ci. Tout a commencé ce jour d’octobre où je suis arrivée sur la place principale (Rynek Glowny) sous son ciel très bleu, avec ses bâtiments disposés de façon presque illogique (la Basilique Sainte Marie, la Halle aux draps ...). Les premières heures d’automne étaient ici radieuses et les gens profitaient en terrasse de cette incontestable dolce vita version nordique - słodkie życie - dira t’on sur place.
Ce que j’ai fais (entre autres !)
Manger typiquement polonais dans les milks bars ou des restaurants. Les premiers - littéralement bars à lait - ont 100 ans (le concept) mais n’ont pas pris une ride. Ils ont connu leur apogée à l’ère communiste : cantines des petites entreprises et de leurs ouvriers, des professeurs, des étudiants et de tous les autres revenus modestes. Des repas typiquement polonais version cuisine de grands-mère, souvent des intérieurs absolument uniques, on y mange un plat et un café pour 3 à 8 euros. Un exemple : le Milkbar de la rue Tomasza ou Stary Port - Tawerna Żeglarska sur la rue Straszewskiego. Il y aussi des restaurants plus chics, avec une nourriture cuisinée un peu plus finement : le Pod Baranem, le Pod Wawelem, le Czarna Kaczka, le Miód Malina. Les prix du coup grimpent un peu, compter entre 12 et 20 euros pour plat, dessert et boisson.
Boire typiquement polonais dans les bars à petits prix. La bière bien sûr, mais il est surtout impossible d’échapper à la vodka. Si on tente l’expérience, il est possible qu’un polonais s’en alerte et vienne nous offrir lui même un shot. “Heureusement” il existe de nombreux coktails pour faire passer cela plus facilement, mais toujours en shots. On les retrouve notamment au Bania Luka et au Pijalnia qui possèdent chacun 3 bars en ville. L’alcool y est pas cher, mais ils sont souvent très fréquentés. On est certains d’y trouver un bon nombre de touristes mais aussi quelques piliers de bars purement polonais et surement plus résistants que les premiers ! A gouter : la Zubrowka et la Soplica.
Visiter Wawel, doux havre de paix au coeur de la ville ou plus exactement son chateau, dont la construction débuta au XIème siècle, demeure royale et la cathédrale, dont la construction débuta au XIVème siècle dont les nombreux apports architecturaux ou ornementaux successifs en font l’extrême unicité.
Essayer de se faire comprendre au marché, les fruits et légumes y sont souvent de meilleure qualité que dans les supermarchés ! Ils sont aussi un témoignage de la vie cracovienne. Il y en a plusieurs dans la ville : plac Nowy à Kazimierz, Stary Kleparz et Nowy Kleparz au sud du centre-ville.
Rentrer dans quelques églises. Il n’y a pas loin à aller : la ville en comporte plus de 120, ce qui lui vaut le surnom de Rome du Nord (je n’étais donc pas si loin en parlant de dolce vita nordique !). Des plus visibles comme la basilique Saint Marie (photo) et son plafond remarquables aux plus cachées, celles coincées entre bâtiments, et aux chapelles aménagées dans de grandes maisons.
Le nouvel an sur la place principale, pour le concert, l’ambiance et les accolades de bonne année avec le tout Cracovie.
Se perdre à Nowa Huta (qui signifie Nouvelle Fonderie). Nowa Huta s’est construite à la toute fin des années 40 et dans les années 50 à l’Ouest de Cracovie, autour de nouvelles fonderies et métallurgies. Staline l’envisageait comme une vitrine du socialisme. Ses bâtiments sont ainsi dans un style particulier, certaines architectures sont particulièrement représentatives : Théatre Ludowy, Eglise św.Bartłmieja . Afin de bien comprendre l’histoire du quartier et la vie à Cracovie sous l’ère communiste, il est recommandé de se rendre dans les deux musées à ce sujet : Historical Museum of Krakow , Department of History of Nowa Huta et le Musée PRL.
Visiter les lieux de mémoire liés à l’histoire polonaise.
- Le tristement célèbre camp d’Auschwitz-Birkenau, situé à moins à une heure de car de Cracovie, visite importante pour ne pas oublier ce que fut l’histoire de notre continent il y a seulement 60 ans.
- Le moins connu camp de travail puis de concentration de Płaszów dont il ne reste que de très rares éléments.
- Le quartier de Podgórze, qui était l’emplacement du ghetto juif entre 1941 et 1943. Et l’usine de Schindler : l’un des lieux ou Oskar Schindler a fait travailler des juifs, leur permettant d’échapper à la déportation. Une histoire racontée avec plus ou moins de justesse dans le film : La liste de Schindler.
youtube
Néanmoins, le musée de l’usine de Schindler ne se concentre pas sur le tournage du film ni même particulièrement sur l’histoire associée aux usines d’Oskar Schindler mais sur l’histoire globale des juifs de Cracovie au XXème siècle. Très ludique et documenté, un musée incontournable !
- Kazimierz. L’historique quartier juif dont la culture perdure aujourd’hui à travers 7 synagogues, le Festival de la Culture Juive, l’excellente Galicia Jewish Museum. Abandonné dans les années 40, il a connu une incroyable renaissance au crépuscule du XXème siècle et est aujourd’hui un lieu incontournable de la vie culturelle mais aussi nocturne. De plus, sa Ulica Szeroka, où se trouve la synagogue Remuh et la Stara Synagoga (Vieille Synagogue), aujourd’hui transformée en musée, mais aussi plusieurs restaurants où vous pouvez manger typiquement polonais ou typiquement israelite, est d’un charme fou !
Fréquenter le Bunkier ... la galerie et le café. Situé le long des Planty, le Bunkier est une galerie qui accueille régulièrement des expositions de très bonne qualité, le plus souvent associées à l’image (litographies, photographies, dessins ...). Son café mitoyen possède une verrière charmante, on peut y passer des heures entières ! Cracovie possède de nombreux cafés bourrés de charme comme le Maggia ou le Massolit Café.
Chiner aux puces de la Hala Targowa le dimanche matin, des vélos aux appareils photos vintage, en passant par les vieux journaux polonais et autres objets de l’ère communiste.
Se laisser enchanter les tympans. Plusieurs club de Jazz existent : le Harris Piano Jazz par exemple. De nombreux concerts ont lieux dans toutes la ville dans les lieux conventionnels ou en extérieur. L’artiste Andy Grabowski joue certains soirs du violoncelle dans la rue Grodzka en face de l’église des apôtres Pierre et Paul ... et c’est un délice.
Filer à la montagne. A une heure de car au sud de Cracovie se trouve la chaine de montagne commune à la Pologne et la Slovaquie : les Hautes Tatras avec dix sommets de plus de 2600m d’altitude. Une bonne possibilité pour le ski mais aussi pour la randonnée, par exemple vers le lac Morsie Oko, à proximité de la station de Zakopane, lac classé par le Wall Street Journal parmi les 5 plus beaux du monde.
Se promener le long des Planty ou de la Vistule. Tout autour du centre ville se trouve une promenade arborée.. En choisissant les berge de la Vistule, on peut rencontrer le dragon cracheur de feu ou atteindre l'abbaye bénédictine de Tyniec, tout de même à 13 kilomètres (à l’Ouest) du centre ville.
Attendre pour déguster les meilleures glaces de la ville : à Lody na Starowislnej dans le quartier Kazimierz. les goûts proposés ne sont pas nombreux, les touristes et cracoviens qui patientent si, mais heureusement la promesse faites a vos papilles est brillamment tenue.
Y retourner encore et encore ! Cracovie est une ville qui n’en finit pas. De par ses nombreux musées, ses nombreux événements : (Festival Audio Art, Festival Anima, Triennale du design graphique, Festival du cinéma, Mois de la photographie etc), mais aussi par ce qu’elle ne contrôle pas, son ambiance, incroyable et toujours changeante, sa multitude de petits détails que l’on découvre par hasard ... Enfin, bon bref, jestem zakochana w tym mieście !
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Gdańsk, Sopot, Gdynia + Malborck : l’air de la mer Baltique
Cap au Nord ! Après une nuit de train, nous voici arrivé esà Gdańsk, sixième ville de la Pologne et lieu de villégiature de ses habitants. Ancienne Prussienne, la ville a un passé historique riche.
Ce que nous avons fait à Gdansk :
Un free tour. Un classique ;) Nous avons découvert : la Grue portuaire, la place principale et sa fontaine de Neptune, la rue Mariacka et ses marchands d’ambre ...
Un tour en bateau pirate direction Westerplatte où eut lieue une bataille polonaise-allemande en septembre 1939. La ville de Dantzig (Gdańsk) était alors sous la protection de la Société des Nations Unies après avoir été un siècle et demi allemande.
Ecouter un concert d’orgue à Oliwa. On peut se rendre dans ce quartier de la ville de Gdańsk en train, et y flâner dans son parc botanique, visiter son musée ethnographique ou sa collection d’art moderne située dans le palais des abbés, tout comme écouter jouer l’orgue de la cathédrale en admirant le spectacle de l’animation de ses figurines.
Découvrir l’histoire de Solidarnosc au Centre de la solidarité européenne, Europejskie Centrum Solidarności, un lieu qui comporte une médiathèque, un centre universitaire, des sièges d’associations, des salles de conférence, et un musée consacré au mouvement polonais mené par Lech Walesa. Le batîment, construit dans le quartier des chantier navals, ne paie pas de mine vu de l’extérieur mais son intérieur est remarquable. Le musée consacré à Solidarnośc retrace l’histoire de la révolte ouvrière débutée en 1980 alors que le gouvernement communiste n’autorisait pas les syndicats, il apporte énormément de documentation, témoignages audio, vidéos, objets authentiques de l’époque, photographies, explications. Il est très dense, il faut compter 3h30/4h pour pouvoir le parcourir sans se presser.
Ce que nous avons fait à Sopot et Gdynia :
Aller à la plage ! Sopot et Gdynia ne sont pas des villes très intéressantes en elle-même. La seconde d’entre elles, Gdynia est une ville qui a été développée et construite au XXème siècle, elle était en 1870, le village de Gdingen et ne comptait alors que 1 200 habitants. Elle est donc moderne. Ses principaux points d’intérêt sont son port et ses plages. Sopot est largement plus petite mais aussi largement plus agréable, elle possède une longue jetée et une jolie plage, mais également de nombreux restaurants et bars. Les polonais la désignent comme idéale pour sortir, il y règne en tout cas une bonne ambiance.
Ce que nous avons fait à Malbork :
Visiter le chateau, ou autrement dit la forteresse teutonique de Marienbourg. Une très longue histoire qui débute au XIIIème siècle avec les chevaliers teutoniques de retour de croisades, pour se poursuivre avec les Prusses et les rois Polonais.
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Bratislava, pittoresque, charmante et relaxante
Une fois n’est pas coutume, j’arrive à nouveau en bus à Bratislava. Sitôt sortie du cas, sitôt accueillie par un type qui cherche à m’aider (la voyageuse que je suis semble plus ou moins constituer pour lui l’attraction de sa journée). Et quel bonheur de n’avoir d’avoir à marcher pour se retrouver dans le centre. Adieu le métro à la Viennoise ?
Ce que j’ai fais :
Un free tour. Le free-tour, guidé par un(e) local(e) permet toujours d’avoir un aperçu général des principaux points de la ville et de ses bons plans (restaus...). C’est une activité idéale pour lorsqu’on arrive dans une ville. http://www.befreetours.com/
(Presque) 36 points d’intérêts. L’office de tourisme m’a fourni une carte avec les 36 lieux à voir dans la ville. Une journée sur un rythme tranquille suffit à les voir tous. Parmi ces points d’intérêt : une paire de bâtiments communistes, la tour de la TV, la Blue Church (photo ci dessus), des églises, la porte Michel, Palais Grassalkovitch, le château (photo ci dessous). Ce dernier se situe plus en hauteur et surplombe le Danube et date originellement du 10ème siècle. En réalité, il a été de nombreuses fois modifié voir détruit, le château actuel date des années 1960/70 mais sur un plan du début du 19ème siècle (le chateau a souffert d’un incendie en 1811 puis de négligence et d’abandon).
Fréquenter les locales. Et du coup se rendre compte que la ville est plus grande qu’elle en a l’air. Elle reste malgré tout une petite capitale : 414 391 habitants recensés en 2012. La périphérie de la ville se trouve à 45 minutes de bus de son centre.
Prendre le temps. Le coeur de ville est certes vite vu mais il est d’un charme fou. Flâner dans ses rues colorées permet de découvrir quelques passages et maisons où le temps semble avoir été suspendu. Alors que la vie est plus rapide en dehors du centre, celui-ci est un doux havre de paix ! Les berges du Danube, plus sauvages qu’à Budapest, comporte néanmoins quelques bars des plus charmants.
Prendre une glace chez le -dit- meilleur glacier de la ville. Koun, rue Panská.
Aller à la galerie Nedbalka (rue Nedbalova). Une chouette galerie autour des peintres et sculpteurs slovaques des différents mouvements du XXème siècle. Bratislava comporte de nombreuses autres galeries/musées.
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Vienne, (trop) monumentale, spanicisée et accueillante
J’arrive à Vienne à nouveau en bus. Il me faudra rejoindre l’hôtel et me perdre assez rapidement devant la carte des lignes de métro. Heureusement, assez rapidement, une personne vient à ma rencontre pour m’aider - et dans un anglais parfait. L’un des points positifs de Vienne : les gens sont de façon générale assez accueillants, plusieurs fois, carte en main et l’air perdue, des gens se sont proposés de me remettre dans le droit chemin.
Ce que j’ai fais :
Avoir la sensation d’être dans un pays limitrophe de la France, avec le retour de l’Euro (et les prix conséquents) et de la langue allemande mais aussi avec l’architecture et l’urbanisme (rue plus larges ...) qui m’a personnellement rappelé certaines villes d’Allemagne ou de Suisse. Vienne est certainement la plus à l’Ouest des capitales de l’Est.
Sortir avec des locaux, toujours le bon plan pour avoir une vraie idée de la ville. Nous sommes sortis en discothèque, la ville en compte de très nombreuses; le Platzhirsch où nous étions propose des soirées discos assez sympas avec un mix des années 80 et de chansons de la pop viennoises très connues.
Me perdre et prendre le métro, ayant l’habitude de tenir une carte et de m’orienter par moi-même, il faut dire qu’ici mon habitude m’a menée à l’échec. Les rues partent dans tout les sens et la signalétique pourrait être revue. Il n’y a pas d’axe principal pour se repérer (exceptée la Ring - un grand boulevard qui encercle le centre-ville et auprès duquel sont visibles de nombreux monuments) et ce qui apparait comme prendre 5 minutes à pied sur la carte en prend en réalité 20. Plusieurs fois, j’ai renoncé, et ai fini par prendre le métro malgré le prix du ticket : pas moins de 2,20 euros.
Croiser des espagnols, plein d’espagnols, partout, partout, partout. Aussi insolite que çà puisse paraître, j’ai amélioré mon espagnol à Vienne (ne parlant pas allemand, je ne risquais pas d’améliorer cette langue). Après quelques recherches, je n’ai pourtant pas trouvé de liens historique, économique, ou culturel particulier entre les deux pays.
Etre éblouie par le Theseus temple... situé dans le parc fleuri du Volksgarten. Plus blanc que blanc, le petit batiment a été érigé en 1820 par le sculpteur italien Antonio Canova en l’honneur du héros grec Thésée.
... et quelques autres purs produits du néo-clacissisme (XIXème siècle) : l'Opéra national, Le Burgtheater (Théatre), le Parlement etc
Admirer Klimt au Palais du Belvédère. Ce dernier, dans un style baroque, fut construit au XIIXème siècle et fur la résidence du Prince Eugène, un général français très renommé qui mena pendant près de 50 ans l’armée du Saint-Empire romain germanique. Le Palais comporte un jardin et deux bâtiments qui proposent une importante collection de peinture.
Se promener au Château de Schönbrunn, XVII ème siècle, et dans son parc comportant la Gloriette (XVIIIème), la palmeraie et un zoo. 42 pièces du chateau, sur les 1 441 sont visitables.
Trouver la Hundertwasserhaus. Immeuble viennois des années 80 (1980′s !) particulièrement original. (photo ci-dessous)
Trouver la ville ennuyante ... et fuir (oups). Effectivement, la ville comporte de nombreux bâtiments à voir, mais nombre d’entre eux manquent un peu d’authenticité : tout ceux de la période du XIXème siècle : l’Opéra, le Théâtre, le Parlement, le Rathaus (la mairie), sont construits dans un style néo-renaissance (soit néo-gothique, soit néo-classique). Leur monumentalité, la multiplicité de colonnes et de sculptures deviennent vite lassantes. Ces bâtiments durent servir à démontrer la puissance de l’Empire d’Autriche ... Heureusement les trois palais de la ville (le troisième, celui d’Hofburg, est situé en coeur de ville) possèdent une histoire plus dense et plus intéressante. Malheureusement, le prix des (nombreux et divers) musées et des palais ainsi que de la vie en général (transport, nourriture) et le fait d’avoir une sensation de déjà connu ... m’ont encouragé à rejoindre la prochaine étape.
#vienne#wien#belvedere#theseus temple#schonbrunn#klimt#stefan platz#Hundertwasserhaus#autriche#austria
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Budapest, effervescente et festive
Aux trajets en car reconnaissants les petits budgets : notre première image de Budapest ne sera donc pas la plus ravissante : celle de sa gare routière et du hall de métro proche, et ses junkies entassés misérablement sur ses matelas. Une image fréquente à Budapest - enfin en ce sens où nous avons perdu l’habitude d’y être confrontés - mais heureusement (ou malheureusement) de nombreuses images plus jolies viennent faire oublier celle-ci.
Ce que nous avons fait :
Un free tour. Le free walking tour est fréquent dans les capitales ou grandes villes d’Europe. Un guide local fait découvrir les principaux points représentatifs d’un thème particulier en lien avec la ville et son histoire. Suivant ce free walking tour, mais également par nous même, nous avons découvert : le Château de Buda (photo ci dessous), le bastion des pêcheurs, la basilique Saint-Etienne de Pest (photos ci dessus), nous avons vu le Parlement, la grande Synagogue, la place Deák Ferenc tér, nous nous sommes engouffrés dans le marché central et avons longé le coté droit du Danube, qui offre à voir quelques sculptures, et son tramway jaune qui court tout le long de la berge.
Rencontrer des gens dans les ruins bars... considérés comme les plus bars les plus cools d’Europe, il faut concéder que les ruins bars sont vraiment chouettes : ils se situent dans la rue rue Kazinczy ou autour. Leur particularité : pas de bling bling ! : ils ont pris place dans le début des années 2000 (même si ils paraissent avoir été toujours là) dans des immeubles désaffectés. Sur plusieurs étages ou dans les cours, ils sont décorés par tout un tas de brics et de brocs récupérés çà et là. Ils sont vraiment atypiques ! Nous avons également dansé à l’Instant, un club dans le même esprit. Ces lieux mêlent touristes et locaux, nous avons dons sympathisé avec plusieurs personnes.
Flâner sur le pont aux chaînes. Ce fameux pont suspendu est alors fermé à la circulation (contrairement à d’habitude). Il est alors devenu le rendez-vous de la jeunesse budapestoise qui en fin de journée grimpait sur la structure pour se détendre en admirant la ville.
Rencontrer Little G. Weevil sur le tournage de son vidéoclip. (vidéo à venir !)
Grimper en haut du Mont Gellért, situé du coté Ouest de la ville (Buda). En haut se trouve la Citadelle, construite par les Autrichiens au XIXème siècle. Elle comprend notamment un musée. Se dresse également la statue de la liberté, sculpture de Zsigmond Kisfaludi Strobl érigée en 1947 en souvenir de la Libération de Budapest par les troupes soviétiques. Le Mont offre surtout une vue imprenable sur la ville, permettant notamment d’apercevoir le coté de Buda, souvent biens moins fréquenté car plus résidentiel et avec moins de choses à voir.
Sur le chemin des termes, rencontrer le Château de Vajdahunyad, le parc Városliget, la place des héros (photo ci dessous). Puis se baigner bien entendu ! Il existe à Budapest 5 thermes différents, une tradition apporté au XVIème et XVIIème siècle par les Ottomans. Nous sommes allées au Bains Széchenyi, ils possèdent un extérieur magnifique, mais sont très fréquentés.
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Prague, romantique, charmante mais touristique.
Nous arrivons à Prague après un trajet en car immensément long donc nous étions dans tous les cas heureuses d’arriver. Nous rejoignons notre AirBnB, qui se trouve à l’arrière d’une superbe galerie retro 60′s dont la page Facebook se trouve ici : https://www.facebook.com/retroartdesign.cz/?fref=ts. Nous sortons rejoindre le centre ville, ce soleil couchant sur la Vltava semble murmurer à nos oreilles que oui, Prague sera belle.
Ce que nous avons fait :
Emprunter plusieurs fois le Pont Charles, en tchèque “Karlův most” qui relie la partie la plus petite partie de la ville (comportant le Chateau) à la vieille ville. Karlův, Charles donc, était un empereur romain au XIVème siècle, qui a fait agrandir la ville de Prague et crée sa première université. Le pont se pare de nombreuses statues de Saints, et est très fréquenté par les touristes qui y flânent au rythme des airs de musiques ou en jetant un oeil aux stands éphémères de quelques camelots.
Manger typiquement tchèque, s’intéresser pour cela au petit restaus dans ou plutôt plutôt autour du centre-ville. Les cuisines des pays de l’Est comportent de nombreuses similitudes, mais des menus spéciaux “gastronomie du pays” sont conçus ou alors on peut demander au serveur de nous suggérer les meilleurs mets. L’une des soupes tchèques est la Ceska bramborova, un potage à base de pommes de terre, de champignons et de carottes. En plat, le goulash de boeuf, plat en sauce, est présent, comme en Hongrie ou en Pologne. Il est servi avec des Knedlky, quelque chose à base de pomme de terre entre la quenelle et le pain. D’autres plats en sauce ou panés ou frits existent aussi. La bière est de rigueur pour accompagner le repas. Le Trdelník est une patisserie à base de cannelle et de pate de farine qui se vend un peu partout en ville, à manger seule ou accompagnée de glace ou nutella, chocolat, fruits ... Plutôt bon à la première bouchée, attention à l’écoeurement à la fin !
Boire une bière au Chapeau Rouge (Jakubska 2, Old Town, Prague 1), lumière rouge et déco atypique, fréquenté majoritairement par des Praguois, mais tout de même quelques touristes. La bière est pas chère et aux alentours de 00h/1h le bar se ferme et la clientèle descend avec au choix 3 étages et 3 styles de musiques. Nous n’avons finalement pas pris le temps d’aller au Buddha Bar qui nous a été également recommandé, ni au Francouzská Restaurace Art Nouveau qui se situe dans un bâtiment art nouveau comportant également un autre restaurant et un hôtel. Pour ce dernier, bien que la décoration nous ai donné largement envie, le prix nous a un peu refroidi (7 euros le café + part de gateau).
Payer 8 euros un thé et un Coca de 25 cl tourisme estival oblige, certains cafés ou restaurateurs font leur business ! Non seulement les touristes étaient nombreux mais l’offre commerciale qui va avec aussi ! Nous avons été souvent alpagués - et même souvent en français - pour participer à tel ou tel tour de la ville - croisière sur la Vltava et dîner dans tel restaurant. Nous croisions dans tous les cas de nombreux touristes dans les lieux à voir de la ville, alors autant de pas en rajouter en se précipitant dans tous les pièges conçus ... pour les touristes.
Regarder le soleil se coucher sur la ville puis les matchs de l’Euro 2016 au parc Riegrovy Sady, situé dans la partie Ouest de la ville, le parc est fréquenté en début de soirée par les Praguois qui regardent le jour s’éteindre. Avec quelques beers-trucks et food-trucks, c’est un lien idéal pour “chiller out” ou comme en cette période de tournoi de football, regarder les matchs grâce aux grands écrans disposés pour l’occasion.
Prendre un verre avec des locaux, toujours quelque chose à faire si on en a la possibilité. Nous les avons rencontrés au parc Riegrovy Sady (voir ci-dessus), c’était des étudiants qui nous ont proposé de se joindre à eux le temps d’un verre. Ils avaient la meilleure vision de Prague qui soit, une ville étudiante, et sans fin, ils nous ont donc recommandé d’y retourner, car une fois qu’on a fait les “trucs de touristes”, c’est alors qu’on est amené à chercher autre chose et qu’on découvre véritablement l’âme de la ville.
Voir la Dancing House (en vrai !), bâtiment connu (au moins) de ceux qui auront étudié le design et l’architecture. Un immeuble de bureaux, achevé en 1996, oeuvre conjointe de l'architecte croato-tchèque Vlado Milunić et de l'architecte américano-canadien Frank Gehry, connu pour son Guggenheim à Bilbao ou plus récemment la Fondation Louis Vuitton à Paris.
Visiter le Château, celui-ci est situé à l’Ouest de la ville. Le premier élément construit de ce site était au IXème siècle des fortifications de bois, puis ses bâtiments religieux. Sous l’appellation communément adoptée de Chateau se réunissent en réalité plusieurs architectures, jardins, cours et ruelles : la basilique Saint-Georges, la cathédrale Saint-Guy, la chapelle de la Sainte-Croix, l’ancien palais du Burgrave, le palais Lobkovic, le couvent Saint-Georges, le Château en lui même avec quelques salles visitables : la salle de la Diete des États de Boheme, la salle Vladislav etc etc... Ainsi que la fameuse “ruelle d’or” qui est la plus ancienne rue de Prague. En tout une cinquantaine de points d’intérêt. Des pass proposant des formules de visite sont proposés.
Aller à l’autre Château, “Château de Vyšehrad” situé au Sud de la vieille ville, du coté Est de la Vltava. Tandis que le château évoqué ci-dessus se construisait petit à petit, celui ci fut le premier siège des rois de Bohème, au XIème siècle.
Pédaler sur Vltava, affluent de l’Elbe, où entre le pont Jiráskův (en référence à l’écrivain Alois Jirásek fin XIXème-XXème) et le pont Karlův most se situent trois îles. Nous nous sommes rendues sur deux de celles-ci. Slovansky ostrov - l’île des Slaves - la plus proche du quai Est, est la plus intéressante. Elle comporte le palais Žofínský - détenu par un propriétaire privé - qui accueille des concerts, des réceptions et des bals réservés au gotta praguois. Mais cette île accueille aussi, à son autre extrémité (vers le Nord), deux petites boutiques qui louent des pédalos et autres kayaks, quelque peu un attrape-touriste, pourtant testé et apprécié !
Visiter le Musée Mucha, Alfons Mucha est une figure de l’Art Nouveau (fin XIXème siècle, début XXème). Il a particulièrement marqué le mouvement avec ses dessins et ses travaux d’affiches. C’est sur ces derniers que le musée se concentre avec des originaux et des reproductions exposées. Un petit musée, agréable et rapide à faire qui apporte quelques éléments sur la vie de l’artiste, toutefois la quantité n’est pas vraiment au rendez-vous ce qui est un peu décevant (la qualité bien sûr y est, mais cela est dû au talent de Mucha).
Renoncer à visiter le Musée des Arts Décoratifs, celui ci est fermé jusqu’en juillet 2017 ! Un musée qui s’annonçait toutefois intéressant, selon un modèle similaire au Musée des Arts Décoratifs de Paris, dans la ville de Prague qui possède encore dans nombreuses de ses architectures des caractéristiques du mouvement (lever la tête en l’air permet d’admirer la diversité et la richesse de certains bâtiments).
Ecouter les Beatles devant le John Lennon��s wall, Velkopřevorské náměstí (c’est le nom de la rue, qui se situe coté Ouest de la ville ; il ne faut pas hésiter à demander son chemin car le mur n’est pas facilement trouvable lorsqu’on ne connait pas). Pourquoi un mur à la gloire de John Lennon ici ? Tout simplement parce qu’au début des années 80, les Beatles, et ce qu’ils représentaient ont inspiré la jeunesse praguoise (à l’époque sous la dépendance communiste). Pour rendre hommage à John Lennon, suite à son décès, les premiers graffitis à son effigie sont apparus sur ce mur, préservé aujourd’hui, mais couverts depuis par de multiples autres graffitis, chacun étant autorisé à réaliser le sien.
Des kilomètres à pieds, nous avons effectivement privilégié ce mode de transport, qui reste le plus fiable ! C’est tout simplement que la ville le permet, ce qui est particulièrement agréable (il faut quand même compter des distances de quelques kilomètres entre certains points). Pour les moins courageux ou ceux qui veulent aller plus vite (exemple, si on reste seulement 2/3 jours), bien entendu un réseau de transports en commun existe.
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L'amour n'est pas rationnel. On "tombe" amoureux. On perd pied.
Woody Allen, Café Society (trailer)
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La nuit je mens Je prends des trains à travers la plaine La nuit je mens, Je m'en lave les mains. J'ai dans les bottes des montagnes de questions Où subsiste encore ton écho Où subsiste encore ton écho.
Alain Bashung, la nuit je mens
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Adieu tristesse, Bonjour tristesse. Tu es inscrite dans les lignes du plafond. Tu es inscrite dans les yeux que j’aime Tu n’es pas tout à fait la misère, Car les lèvres les plus pauvres te dénoncent Par un sourire. Bonjour tristesse. Amour des corps aimables. Puissance de l’amour Dont l’amabilité surgit Comme un monstre sans corps. Tête désappointée. Tristesse, beau visage.
Paul Éluard, “À Peine Défigurée” (La vie immédiate, 1932)
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