"Dream as if you'll live forever. Live as if you'll die today."
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I'd like to say : "I'm ok", but I'm not. I try, but I fall. Thought we had the time, had our lives. Didn't say goodbye, now I'm frozen in time.
One last word, one last moment, to ask you why you left me here behind. You said you'd grow old with me. We had plans, we had visions. Now I can't see ahead.
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Aujourd'hui sera le dernier jour de mon existence, la dernière fois que je ferme les yeux, mon dernier silence. J'ai longtemps cherché la solution à ces nuisances, ça m’apparaît maintenant comme une évidence. Finit d'être une photocopie. Finies la monotonie, la lobotomie. Aujourd'hui, je mettrai ni ma chemise, ni ma cravate. J'irai pas jusqu'au travail, je donnerais pas la patte. Adieu les employés de bureau, et leur vie bien rangée si tu pouvais rater la tienne ça les arrangerait, ça prendrait un peu de place dans leur cerveau étriqué, ça les conforterait dans leur médiocrité. Adieu les représentants grassouillets, qui boivent jamais d'eau comme si ils ne voulaient pas se mouiller, les commerciaux qui sentent l'aftershave et le cassoulet, mets de la mayonnaise sur leur mallette, ils se la boufferaient. Adieu. Adieu les vieux comptables séniles. Adieu les secrétaires débiles et leurs discussions stériles. Adieu les jeunes cadres fraîchement diplômés, qu'empileraient les cadavres pour arriver jusqu'au sommet. Adieu tous ces grands PDG, essaies d'ouvrir ton parachute doré quand tu te fais défenestrer, ils font leur beurre sur des salariés désespérés et jouent les vierges effarouchées quand ils se font séquestrer. Tous ces fils de quelqu'un. Ces fils d'une pute snob qui partagent les trois quarts des richesses du globe. Adieu ces petits patrons, ces beaufs embourgeoisés qui grattent des RTT pour payer leurs vacances d'été. Adieu les ouvriers, ces produits périmés, c'est la loi du marché mon pote, t'es bon qu'à te faire virer, ça t'empêchera d'engraisser ta gamine affreuse qui se fera sauter par un pompier qui va finir coiffeuse. Adieu la campagne et ses familles crasseuses, proche du porc au point d'attraper la fièvre aphteuse, toutes ces vieilles, ces commères qui se bouffent entre elles, ces vieux radins et leurs économies de bouts de chandelle. Adieu cette France profonde, profondément stupide, cupide, inutile, putride. C'est fini vous êtes en retard d'un siècle, plus personne n'a besoin de vos bandes d’incestes. Adieu tous ces gens prétentieux dans la capitale qu'essaient de prouver qu'ils valent mieux que toi chaque fois qu'ils te parlent. Tous ces connards dans la pub, dans la finance, dans la com', dans la télé, dans la musique, dans la mode. Ces parisiens, jamais content, médisants, faussement cultivés, à peine intelligent. Ces répliquants qui pensent avoir le monopole du bon goût, qui regardent la province d'un œil méprisant. Adieu les sudistes abrutis par leur soleil cuisant, leur seul but dans la vie c'est la troisième mi-temps, accueillant, soit disant... pff, ils te baisent avec le sourire, tu peux le voir à leur façon de conduire. Adieu. Adieu ces nouveaux fascistes, qui justifient leur vie de merde par des idéaux racistes, devenu néo-nazis parce que t'avais aucune passion, au lieu de jouer les SS, trouve une occupation. Adieu les piranhas dans leur banlieue, qui voient pas plus loin que le bout de leur haine au point qu'ils se bouffent entre eux, qui ne sont agressif une fois qu'ils sont à 12, seuls ils lèveraient pas le petit doigt dans un combat de pouce. Adieu les jeunes moyen les pires de tous, ces baltringues supportent pas la moindre petite secousse. Adieu les fils de bourges, qui possèdent tout mais ne savent pas quoi en faire, donne leur l'Eden ils t'en font un Enfer. Adieu tous ces profs dépressifs, t'as raté ta propre vie comment tu comptes élever mes fils? Adieu les grévistes et leur CGT, qui passent moins de temps à chercher des solutions que des slogans pétés, qui fouettent la défaite du survét' au visage, transforme n'importe quelle manif' en fête au village. Adieu les journalistes qui font dire ce qu'ils veulent aux images, vendraient leur propre mère pour écouler quelques tirages. Adieu la ménagère devant son écran, prête à gober la merde qu'on lui jette entre les dents, qui pose pas de question tant qu'elle consomme, qui s'étonne même plus de se faire cogner par son homme. Adieu, ces associations bien-pensante, ces dictateurs de la bonne conscience bien content qu'on leur fasse du tort, c'est à celui qui condamnera le plus fort. Adieu lesbiennes refoulées, surexcitées, qui cherchent dans leur féminité une raison d'exister. Adieu ceux qui vivent à travers leur sexualité. Danser sur des chariots? C'est ça votre fierté? Les bisounours et leur pouvoir de l'arc-en-ciel, qui voudraient me faire croire qu'être hétéro c'est à l'ancienne? Tellement, tellement susceptible pour prouver que t'es pas homophobe faudra bientôt que tu suces des types. Adieu ma nation, tous ces incapables dans les administrations, ces rois de l’inaction avec leur bâtiments qui donnent envie de vomir, qui font exprès d'ouvrir à des heures où personne peut venir. Béééh, tous ces moutons pathétiques, change une fonction dans leur logiciel ils se mettent au chômage technique, à peu près le même Q.I. que ces saletés de flics, qui savent pas construire une phrase en dehors de leurs sales répliques. Adieu les politiques, en parler serait perdre mon temps, tout le système est complètement incompétent. Adieu les sectes, adieu les religieux, ceux qui voudraient m'imposer des règles pour que je vive mieux. Adieu les poivrots qui rentrent jamais chez eux, qui préfèrent se faire enculer par la Française des Jeux. Adieu les banquiers véreux, le monde leur appartient. Adieu tous les pigeons qui leur mangent dans la main. Je comprends que j'ai rien à faire ici quand je branche la 1. Adieu la France de Joséphine Ange-gardien. Adieu les hippies leur naïveté qui changera rien. Adieu les SM libertins et tous ces gens malsains. Adieu ces pseudos artistes engagés plein de banalités démagogues dans la trachée, écouter des chanteurs faire la morale ça me fait chier, essaies d'écrire des bonnes paroles avant de la prêcher. Adieu les p'tits mongoles qui savent écrire qu'en abrégé. Adieu les sans papiers, les clochards tous ces tas de déchets, je les hais. Les sportifs, les hooligans dans les stades, les citadins, les bouseux dans leur étables, les marginaux, les gens respectables, les chômeurs, les emplois stables, les génies, les gens passables de la plus grande crapule à la médaille du mérite, de la première dame au dernier trav' du pays...
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Where do we go when we walk on light? Who do we call at the edge of night? Carry me close like the tear drops in your eyes, all I can give you is memories. Carry them with you and I'll never leave. I'll lay my head down, but when I lay my head down... Don't let me go, hold me in your beating heart. I won't let go, forever is not enough. Let me lay my head down on the shadow by your side.
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Diego, libre dans sa tête. Derrière sa fenêtre, s'endort peut-être.
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Ceci n'est pas un adieu, ne te méprends pas. Je suis nulle pour les adieux de toute façon. Je n'ai jamais voulu de tout ça. De cet amour inconditionnel. Je veux dire, je donnerais ma vie pour toi. Ce n'est plus un choix, mais un besoin permanent. J'aurais souhaité que tout cela se passe autrement. Qu'on ne se rencontre jamais. Mais surtout que ce jour-là ne soit jamais arrivé. Écoute, écoute moi une dernière fois, tu veux bien ? Il m'a fallu tout mon courage pour te montrer mon indifférence, toute ma force pour masquer ma souffrance. Tu ne vois toujours pas de quoi je veux parler ? Bien sûr que je t'aime. Mais on ne peut pas contrôler ses sentiments comme on peut contrôler l'évolution d'un film avec une télécommande. Tu n'as toujours pas compris mon mode de fonctionnement. Moi et ma putain de psychologie inversée. Je t'ai fermé mon cœur pour que tu ne vois plus à quel point je t'aime, pour éviter qu'on se détruise mais c'est pire. Mon cœur hurle ton prénom jusqu'à l'agonie, il te réclame ce connard. Mais pourquoi toi ? Arrête de me dire que tu m'aimes. Enfin, c'est vrai, c'est bien plus que ça. Mais arrête-toi. Je suis là, devant ta gueule, à vouloir te pourrir de bonheur. Te rendre heureux à t'en crever le cœur et à t'en exploser la cervelle. Je sais que je peux, je sais que je suis la seule. Ose me dire le contraire. Je veux voir ton sourire. J'exige notre complicité de malade. Mais, c'est trop tard maintenant. Je mets fin à cette guerre une bonne fois pour toute, je hisse le drapeau blanc avant de me jeter au bord du gouffre. Mais sache que je t'ai aimé comme jamais je n'ai aimé une personne de toute ma vie. Je t'ai aimé comme mon premier amour, celui qu'on n'oubliera jamais. Et je t'aime encore à l'heure actuelle malgré ce merdier qui nous poursuit. Tu sais pourquoi ? Parce que je peux affirmer après tout ça que tu es bel et bien l'amour de ma vie.
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“Après un autre moment de silence, elle a murmuré que j’étais bizarre, qu’elle m’aimait sans doute à cause de cela mais que peut-être un jour je la dégoûterais pour les mêmes raisons.”
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I'm building this house on the moon, like a lost astronaut. Lookin' at you like a star, from a place the world forgot, And there's nothing that I can do, except bury my love for you.
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Quant à moi, maintenant, j'ai fermé mon âme. Je ne dis plus à personne ce que je crois, ce que je pense et ce que j'aime. Me sachant condamné à l'horrible solitude, je regarde les choses, sans jamais émettre mon avis. Que m'importent les opinions, les querelles, les plaisirs, les croyances ! Ne pouvant rien partager avec personne, je me suis désintéressé de tout. Ma pensée, invisible, demeure inexplorée. J'ai des phrases banales pour répondre aux interrogations de chaque jour, et un sourire qui dit “oui”, quand je ne veux même pas prendre la peine de parler.
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Lorsque tu vois un train et que tu te dis; je me casse.
C’est à ce moment précis, que tu sauras. Que tu comprendras que c’est terminé.
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Does he know that we bleed the same?
Don't wanna cry but I break that way.
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Je brûle de peindre celle qui m'est apparue si rarement et qui a fui si vite, comme une belle chose regrettable derrière le voyageur emporté dans la nuit. Comme il y a longtemps déjà qu'elle a disparu.
Elle est belle, et plus que belle; elle est surprenante. En elle le noir abonde : et tout ce qu'elle inspire est nocturne et profond. Ses yeux sont deux antres où scintille vaguement le mystère, et son regard illumine comme l'éclair : c'est une explosion dans les ténèbres.
Je la comparerais à un soleil noir, si l'on pouvait concevoir un astre noir versant la lumière et le bonheur. Mais elle fait plus volontiers penser à la lune, qui sans doute l'a marquée de sa redoutable influence ; non pas la lune blanche des idylles, qui ressemble à une froide mariée, mais la lune sinistre et enivrante, suspendue au fond d'une nuit orageuse et bousculée par les nuées qui courent ; non pas la lune paisible et discrète visitant le sommeil des hommes purs, mais la lune arrachée du ciel, vaincue et révoltée, que les Sorcières thessaliennes contraignent durement à danser sur l'herbe terrifiée. Dans son petit front habitent la volonté tenace et l'amour de la proie. Cependant, au bas de ce visage inquiétant, où des narines mobiles aspirent l'inconnu et l'impossible, éclate, avec une grâce inexprimable, le rire d'une grande bouche, rouge et blanche, et délicieuse, qui fait rêver au miracle d'une superbe fleur éclose dans un terrain volcanique.Il y a des femmes qui inspirent l'envie de les vaincre et de jouir d'elles; mais celle-ci donne le désir de mourir lentement sous son regard.
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J'avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c'est le plus bel âge de la vie.
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Les jours passent mais ça ne compte pas j'ai tant de mal à vivre. Ivre de ce parfum si différent du tien, pire, j'ai compté chaque minute qui me retient à elle comme si j'étais mon propre prisonnier. Ça fait bientôt un an qu'elle m'a sauvé, de toi.
Souvent je me demande où j'en serais, sans toi. Souvent je me demande ce que tu fais, où tu es, qui tu aimes...
J'ai changé d'adresse, de numéro, merci. J'ai balancé tes lettres et tes défauts, même si... j'ai fais semblant d'avoir trouvé la force. Je garde au plus profond de moi tout ce que tu m'as laissé. J'essaye de t'oublier avec une autre, le temps ne semble pas gommer tes fautes. J'essaie de me soigner avec une autre, elle tente en vain de racheter tes fautes.
Elle semble si parfaite, mais rien n'y fait; Je ne l'aime pas comme toi.
Elle a tenté de me consoler, même si, elle n'a pas tes mots ni ton passé. C'est vrai. Mais elle n'a pas ton goût pour la fête, pour la nuit, pour les autres, pour tout ce que je hais. Elle a séché toutes tes larmes tu sais, elle a ramassé tes pots cassés et elle a réglé tout, tes impayés, tes impostures, tes ratures. Tout ce que tu m'as laissé. Elle m'aime comme une folle, elle me connaît par cœur, elle me dit je t'aime parfois durant des heures, mais elle ne sent pas ton odeur. Pourquoi je la respire dans ses bras?
Sors de mes pensées.
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Pourquoi les gens qui s'aiment sont-ils toujours un peu rebelles? Ils ont un monde à eux, que rien n'oblige à ressembler à ceux qu'on nous donne en modèle.
Et moi j'te connais à peine, mais ce serait une veine qu'on s'en aille un peu comme eux. On pourrait se faire sans qu'ça gêne de la place pour deux. Mais si ça n'en vaut pas la peine, que j'y revienne, il faut me le dire au fond des yeux. Quel que soit le temps que ça prenne. Quel que soit l'enjeu.
Je veux être un homme heureux.
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T’es sexy ma biche, t’as le physique normé de la nana qui s’fait pousser des orchidées au creux des seins et qui collectionne les fusils a pompes dans le cagibi de sa piaule. Tu peints, tu danses, tu chiales, t’as pas peur de rire en public ou de courir pieds nus sur le bitume, dans le genre libertaire, je crois que je tiens un spécimen. Tu te déguises en princesse, en démon, en star de films X, et le plus jouissif tu vois, c’est que ça te va à merveille, t’incarnes l’élégance et la vulgarité en un claquement de doigts, et en un claquement de doigts, tu fais rêver les petites pucelles en chaleur. T’as une clope entre les lèvres qui s’agite quand tu t’exprimes, on devine derrière la cendre les mouvements de ta langue, la chaleur de ta bouche, ton haleine de cuir, et parfois, je me retiens, j’ai les mains entre les cuisses. La poésie ne prend pas avec toi, t’es pas le genre à mordre a ces hameçons-là, alors je vais terminer mon verre et t’embarquer sur une bécane très grosse qui va très vite, t'emmener faire le tour du monde en évitant de m’éterniser sur du sentimentalisme à la con.
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Elle a l'amour en prison, Elle n'a pas le temps pour le printemps. Garde son bonheur en détention, Mes sourires font les siens en attendant.
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