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     Bilan du billet
 Au cours de la session, nous avons vu ensemble que lâĂ©mergence de lâinternet avec les nouveaux mĂ©dias qui selon Proulx « ont Ă©tĂ©Ì identifiĂ©s comme Ă©tant des diffuseurs d'information indispensables aux citoyens pour les aider aÌ comprendre ce qui se passe dans leur sociĂ©tĂ©Ì et prendre des dĂ©cisions Ă©clairĂ©es »,ont donnĂ© naissance Ă des nouvelles pratiques par le biais de diffĂ©rentes plateformes que ce soit de diffusion, de collaboration ou de discussion pour favoriser des nouveaux liens sociaux  notamment avec Facebook oĂč lâusager est au centre du dispositif. Ce qui isole les individus du monde rĂ©el en les entrainant dans des relations virtuelles. - « Des Pratiques socio-culturelles de Convergence car, les utilisateurs utilisent simultanĂ©ment plusieurs technologies de mĂ©dias, comme Ă©couter de la musique tout en regardant la tĂ©lĂ©vision ou en jouant Ă des jeux vidĂ©o ».
En plus de cela, ces nouvelles pratiques Ă©mergent un besoin de visibilitĂ© et de sociabilitĂ©, câest la fin de la vie privĂ©e avec la notion de la plateformisation de soi sur internet par lâindividualitĂ© entre le clair-obscur de Cardon (2008) et le « lifting identitaire » de Lardellier & al (2010). Tout peut ĂȘtre rendu public dâoĂč lâangoisse et le vertige du numĂ©rique car Ă travers ce dernier, nos donnĂ©es personnelles sont retracĂ©es. Aujourdâhui, Facebook a la possibilitĂ© de collecter nos informations personnelles mĂȘme si nous ne sommes pas connectĂ©s, ces traces numĂ©riques reprĂ©sentent les informations relatives Ă un individu, laissĂ©es par celui-ci lors de sa navigation sur les diffĂ©rents rĂ©gimes numĂ©riques (Internet, carte Ă puce, etcâŠ) ». Ce qui entraine des piratages, le vol de compte, des rĂ©seaux criminels en ligne, lâintimidation.
Quel enjeu pour la vie prive et la dĂ©mocratie au sein de notre sociĂ©tĂ©. Bien que lâon se voie assister Ă une culture participative  qui selon « Henry Jenkins est « une culture dans laquelle les fans et dâautres consommateurs sont invitĂ©s Ă participer activement Ă la crĂ©ation et Ă la circulation de nouveaux contenus » (p290). On se voit passer dâune dĂ©mocratie reprĂ©sentative a une dĂ©mocratie collaborative. Cette culture participative confie certes un pouvoir aux citoyens dans la production des contenus mais il faut souligner le problĂšme de lâanonymat et de fausse nouvelle notamment Vias les mĂ©dias sociaux qui viennent provoquer une confusion entre la vraie information et celle truquĂ©e. Elle engendre une mutation au sein du journalisme et amĂšne la notion du journalisme citoyen sous prĂ©texte dâinformer la population. De ce fait, nous nous retrouvons confronter Ă une multitude de contenu sur lâinternet dont certaines informations sont biaiser et proviennent de source non vĂ©rifiable.
    Conscientiser par les enjeux et problĂšme du numĂ©rique, Ă travers ce cours, je me questionne sur mes pratiques dâavant. Je pense dĂ©sormais ĂȘtre plus sensibiliser par rapport Ă lâangoisse du numĂ©rique que ce soit au niveau de ma plateformisation, au niveau de mes traces numĂ©rique ou du moins dans ma façon de consommer lâinformation circuler Ă travers lâinternet. Il est aussi important de revoir quelle information allons-nous accepter de partager Ă notre propos car, comme a si bien dit Foucault, « lâessentiel, câest que lâon se sache surveiller ». Ainsi, comme je lâai mentionnĂ© dans mon autre billet sur le vertige du numĂ©rique lâinternet ne peut ĂȘtre considĂ©rer comme sĂ©curitaire pour les usages. Câest la raison pour laquelle, parmi les thĂ©matiques aborder je me concentre beaucoup plus sur la plateformisation et par le dĂ©voilement de soi qui accompagne les processus complexes de sĂ©lection et d'influence, de constitution du capital social en ligne et du contrĂŽle des coĂ»ts qu'il engendre, de recherche d'un Ă©quilibre entre relations de bonding et de bridging.
    file:///C:/Users/Marie-France/Downloads/Proulx%202012%20(5).pdf
file:///C:/Users/Marie-France/Downloads/Proulx-Goldenberg%202010%20(1).pdf
ile:///C:/Users/Marie-France/Downloads/Latzo-Toth,%20Pastinepdflli%20-%20Gallant%202017%20(4).
 file:///C:/Users/Marie-France/Downloads/Gr%C3%A9goire%20-Tinland%202016%20(3).pdf
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Thématique :  médias numériques et démocratie
Sujet : RÎle des médias sociaux dans la démocratie
Les mĂ©dias sociaux sont devenus des outils indispensables Ă la sociĂ©tĂ©. Ils dĂ©signent « lâensemble des services permettant de dĂ©velopper des conversations et des interactions sociales sur internet ou en situation de mobilitĂ© » leurs Ă©mergences favoriseront une sociĂ©tĂ© interactive, oĂč la dĂ©mocratie reprĂ©sentative qui est celle ou les citoyens sâexprimaient Ă travers des reprĂ©sentants va ĂȘtre remplacĂ© par une dĂ©mocratie participative ou coopĂ©rative, donnant place Ă chaque individu de pouvoir participer Ă la prise de dĂ©cision politique. Dans cette perspective les mĂ©dias sociaux rependent du pouvoir sur le peuple. Tel le relate Dominique Cardon, 2012 « Communication plus facile et Ă©quitable dans les plateformes collaborative, avec lâexemple de lâencyclopĂ©die collective, oĂč « chaque auteur peut faire aux autres internautes de ses compĂ©tences. Ces derniers pouvant librement intervenir et corriger ». MalgrĂ© cela, la libertĂ© dâexpression est limitĂ©e, dans certains pays par la censure, et bien sĂ»r la surveillance sur lâinternet qui sont tout de mĂȘme des contraintes Ă la dĂ©mocratie. Ce qui mâamenĂ© Ă me poser la question, Ă savoir : Est-ce que ces mĂ©dias sociaux sont un frein pour la dĂ©mocratie? Ainsi je pense quâil est important de comprendre les enjeux et problĂšmes de ces derniers ainsi que leurs rĂŽles dans la dĂ©mocratie. Dans son sens large, la dĂ©mocratie peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme Ă©tant la libre circulation des opinions sans considĂ©ration de frontiĂšre. Face Ă cette vision, les rĂ©seaux vont offrir un retour Ă la libertĂ© dâexpression, mais de cette mĂȘme libertĂ© vont profiter quelques-uns, dont les Ătats-Unis dâAmĂ©rique. Par exemple, lors de la guerre en Lybie, le gouvernement des Ătats unies ont fait la demande à « HBGary FĂ©dĂ©ral » de dĂ©velopper un logiciel qui va permettre de crĂ©er plusieurs faux comptes dans les rĂ©seaux sociaux afin dâinfluencer lâopinion publique et diaboliser le rĂ©gime de Kadhafi dans lâobjectif de donner place Ă une sociĂ©tĂ© dĂ©mocratique. On peut ici parler de la question de lâanonymat sur les mĂ©dias sociaux qui posent dâĂ©normes problĂšmes dans la mesure oĂč ces faux comptes nâavaient aucun, pas mĂȘme de numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone et les informations qui ont Ă©tĂ© diffusĂ©es aux usagers Ă©taient des fausses informations et nâĂ©taient pas diffusĂ©es par des individus mais par ce fameux logiciel.- Ce qui renvoie Ă lâauteur Dominique Cardon, dans son article ambiguĂŻtĂ© dâinternet, dit que« La grande visibilitĂ© permise par le web peut donner Ă l'intervention d'un inconnu une force qui n'aurait aucune chance d'apparaĂźtre dans les mĂ©dias traditionnels, Dominique Cardon, p4,Ambigute dâinternet ».
 Dans mĂȘme logique, en Chine les mĂ©dias sociaux ont Ă©tĂ© des outils mobilisateurs et ont donnĂ© naissance Ă une espace public dans laquelle chaque citoyen donne son point de vue et discute des sujets qui sont importants pour lâorganisation sociale. Nous pouvons conclure que les mĂ©dias sociaux jouent un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant dans la dĂ©mocratie sans Ă©carter lâusage propagandiste et dĂ©tourner que les antagonistes politiques et autres de ces derniers, ce qui fait quâils peuvent Ă©galement un frein Ă la dĂ©mocratie. [i]
https://www.mondialisation.ca/la-guerre-de-libye-une-cause-juste/26845
file:///C:/Users/Marie-France/Downloads/TRANS_123_0065-3.pdf
file:///C:/Users/Marie-France/Downloads/lambiguite-politique-dinternet_Vitali-Rosati%20(3).pdf
file:///C:/Users/Marie-France/Dow
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Thématique : visibilité et plateformisation de soi
Sujet : mes pratiques de visibilité sur Facebook
Aujourdâhui, nous Ă©voluons dans une sociĂ©tĂ© dâimage, or, on dit toujours quâune image vaut mille mots, dans cette logique la plateformisation de soi devient un vĂ©ritable enjeu avec les nouvelles plateformes car, lâinternet est de plus en plus plateformiser. Notre prĂ©sence en ligne en ligne passe par une forme de dĂ©monstration en recherchant la visibilitĂ©. Cette visibilitĂ© que recherchent les usagers peut porter atteinte Ă lâimage de soi si la personne en question ne sĂ©lectionne pas ce qui doit ĂȘtre rendu visible, comme a si bien dit Foucault, lâessentiel, câest que lâon se sache surveiller. Cette notion de visibilitĂ© va ĂȘtre dĂ©finie par Thompson tel « Le visible est ce qui peut ĂȘtre vue, ce qui est notoire au sens de la vision; lâinvisible est ce qui ne peut pas ĂȘtre vue, ce qui nâest pas notoire ou cachĂ© au sens de la vision » (Thompson, 2008). A cette fin, Il faut sâassurer de structurer sa prĂ©sence sur les rĂ©seaux sociaux si lâon dĂ©sir y augmenter sa visibilitĂ© ou dâĂȘtre visible. Ce qui fait que plusieurs vont utiliser leurs photos dans ce contexte-ci. Dans cette nouvelle pratique, nombreux sont ceux qui veulent se rendre visible dans les plateformes numĂ©riques y compris Ă©galement les entreprises de marketing, afin de promouvoir leurs produits sur le net vont utiliser des plateformes comme Instagram, Facebook et autres.
Par exemple pour une question dâesthĂ©tique, je publie mes photos oĂč je participe Ă des activitĂ©s assez intĂ©ressantes, oĂč je suis dans mes plus belles tenues, je mâassure quâelles vont plaire Ă tout le monde. Histoire aussi de contribuer Ă une construction de ma personne, câest-Ă - dire bĂątir un capital social. Dans la mesure oĂč lâon me voit non seulement chic (Ă©lĂ©gante), mais Ă des endroits et/ou activitĂ©s rĂ©servĂ©s Ă une catĂ©gorie sociale bien spĂ©cifique. Câest aussi un moyen pour moi dâexprimer mes humeurs et mes Ă©motions. Quand je suis content, je fais voir Ă tout le monde que je peux ĂȘtre heureux en dĂ©pit de tout. Je publie des photos qui expriment ma solitude en sachant quâelles vont susciter les rĂ©actions des internautes. De fait, je deviens le centre dâattention de tous.
file:///C:/Users/Marie-France/Downloads/Casili%202012.pdf
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Thématique : Billet sur la vie privée, sociabilité au temps de Facebook
Sujet : Facebook dans le renforcement des liens sociaux
Aujourdâhui, nous vivons dans une sociĂ©tĂ© selon laquelle les technologies en rĂ©seaux gagnent de plus en plus de terrain dans notre quotidien avec des messageries instantanĂ©s, des rĂ©seaux sociaux etc. Tout un ensemble dâoutils qui se sont dĂ©veloppĂ©s autour de la sociĂ©tĂ© et qui vont justement permettre aux usagers de tisser des liens sociaux/Ă©motionnels, dâentamer des relations de proximitĂ©, spĂ©cialement avec Facebook qui est lâun des outils le plus utilisĂ©s actuellement et qui est rĂ©putĂ© comme rĂ©seau ou rĂšgne une harmonie sociale.
En dĂ©pit de tout cela, il yâa une sorte de marchandisation sur Facebook, Ă ce titre « Devumi vend des abonnĂ©s twitter et des retweets Ă des cĂ©lĂ©britĂ©s, Ă des entreprises et Ă tous ceux qui veulent apparaitre plus populaires ou exercer une influence en ligne.
Ainsi, ne devrions-nous pas nous questionner de comment est-ce que ces technologies en réseaux vont- ils permettre la sociabilité? Rétablissent-ils les liens sociaux ou les renforcent?
Nous savons que le rĂ©gime sert de lieu de discussion, de nĂ©gociation, de dĂ©veloppement collectif (Jaquet 2013) tout une pĂ©nĂ©tration dans la sphĂšre dâinteraction avec la communautĂ© en ligne ou « les enjeux personnels se font collectif et le dĂ©voilement de soit apparait de plus en plus lie Ă la crĂ©ation de lien social en ligne, sâintĂ©grant dans de vĂ©ritables stratĂ©gies dâusage finaliser Ă la capacitation personnelle, professionnelle, culturelle ou politique » (Grayon et DĂ©noue 2013)
Dâun cĂŽtĂ©, il est vrai que lâutilisation de ces technologies en rĂ©seau amĂ©liore la communication et les liens sociaux en rĂ©alisant des activitĂ©s de socialisation indirecte qui sont valorisĂ©es dans le monde rĂ©el tel de rester en contact avec sa famille, car pour Margot Bernadoni, « la sociabilitĂ© est une notion appartient Ă la sociologie, câest lâensemble des relations sociales vĂ©cus, qui relient les individus entre eux par des liens interpersonnels et ou de groupe ». Mais dâun autre cĂŽtĂ©, comment puis-je dire que Facebook favorise la sociabilitĂ© alors que les individus sont isolĂ©s dans un monde virtuel, entretiennent des contacts avec des inconnus. Car dorĂ©navant, la sociĂ©tĂ© traditionnelle dont parlait Ferdinand Tönnies dans laquelle les individus se fondent dans le collectif, communiquent entre eux. Cette solidaritĂ© mĂ©canique est remplacĂ©e par une solidaritĂ© organique, une sociĂ©tĂ© individualisme.
Ne devrions-nous pas dire beaucoup plus que Facebook accentue lâisolement social?
file:///C:/Users/Marie-France/Downloads/Gr%C3%A9goire%20-Tinland%202016%20(1).pdf
http://socialonline.over-blog.com/le-role-des-reseaux-sociaux-dans-la-sociabilite.html
http://chrizada.e-monsite.com/pages/iii-cependant-ces-reseaux-sociaux-n-engendrent-pas-seulement-des-effets-negatifs/a-les-reseaux-sociaux-renforcent-la-sociabilite.html
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Sujet : Mes pratique dans la culture participative
Avec la montĂ©e en puissance du web 2.0, on est passĂ© dâune sociĂ©tĂ© de consommation Ă une culture participative, oĂč les individus ne sont plus considĂ©rĂ©s comme des simples spectateurs mais sâinvestissent dans diffĂ©rentes activitĂ©s sur internet. Henry Jenkins dĂ©finit amplement cette participation mĂ©diatique comme Ă©tant « une culture dans laquelle les fans et dâautres consommateurs sont invitĂ©s Ă participer activement Ă la crĂ©ation et Ă la circulation de nouveaux contenus » (p290). Dans cette nouvelle pratique du web, les utilisateurs consomment, produisent, circulent mais aussi partagent lâinformation. Plusieurs participent dans des discussions sur les forums, dâautres crĂ©ent des blogs, des pages pĂ©dagogiques. La culture participative a brisĂ© ce mythe du consommateur passif, dans la mesure oĂč cette participation pousserait les individus Ă ne plus abandonner aux seuls entreprises mĂ©diatiques et industries culturelles le pouvoir dâintervenir dans lâespace public (Blondeau et Allard, 2007, 2010). Mais il est aussi important de souligner ses multiples impacts sur la sociĂ©tĂ©, parce que nous nous retrouvons avec une multitude de contenus sur le net, nâimporte quel internaute peut produit lâinformation et la faire circuler Ă travers la plateforme numĂ©rique. DerriĂšre cette culture participative, quâen est-il de la fiabilitĂ©, plus prĂ©cisĂ©ment de la crĂ©dibilitĂ© de ces informations diffusĂ©es?
Dans cette optique, je me questionne sur mes pratiques numĂ©riques en matiĂšre de consommation, de production de circulation et de partage dâinformation parce que jâutilise les sites communautaires tel que Facebook, les blogs, des magazines en ligne pour collecter des informations. Ă partir de ce cours, je constate quâil est vrai que jâai plus de choix, toute une diversitĂ© dâinformations. Mais ĂȘtre plus informĂ© ne veut pas dire ĂȘtre mieux informĂ©. Car, il faut vĂ©rifier la crĂ©dibilitĂ© de la source dâoĂč provient lâinformation reçue.
En matiĂšre de production, jâai crĂ©Ă© deux pages Facebook, (OPVDH) organisation pour le vrai dĂ©veloppement dâHaĂŻti, sur laquelle, je rĂ©dige frĂ©quemment des paragraphes concernant les enjeux sociaux dans le but de susciter des rĂ©flexions au sein de la communautĂ©, pour ensuite les publier sur dâautres groupes et faire le partage entre amis afin de faciliter la circulation le plus rapidement possible. Je produis des contenus pour dâautres pages tel que le PIP, parce que nous partageons les mĂȘmes intĂ©rĂȘts politiques et sociaux.
En gros la culture participative du numĂ©rique engendre lâimplication de tous, que ce soit dans la production ou la consommation de lâinformation. DorĂ©navant, les dĂ©cisions seront prises collectivement. Henry Jenkins, techno-dĂ©terminisme vs culture participative. Comme a si bien dit lâauteur, « Grace Ă des techniques de dĂ©veloppement nouvelles- sur les blogs, les forums de discussions, les wikis, les sites de rĂ©seaux sociaux, câest chaque internaute qui se voit donner la possibilitĂ© dâĂȘtre Ă la fois lecteurs et contributeurs » (Aurey, 2010)
file:///C:/Users/Marie-France/Downloads/Henry%20Jenkins,%20La%20Culture%20de%20la%20convergence.%20Des%20m%C3%A9dias%20au%20transm%C3%A9dia%20(3).pdf
https://www.inaglobal.fr/numerique/note-de-lecture/henry-jenkins-mizuko-ito-danah-boyd/participatory-culture-networked-era/qu
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Thématique : Angoisse et vertige du numérique
Sujet : pratiques de mes traces numériques
Comme le relate Emmanuel Cacamo dans son article intitulĂ© « lâemprise du numĂ©rique », lâinternet et les nouvelles technologies ont colonisĂ© nos vies. En tant quâinternaute je mâapproprie de plus en plus de ces outils qui sont devenus omniprĂ©sents dans mes activitĂ©s quotidiennes. Façonner par les applications numĂ©riques, je me rends compte que mes pratiques numĂ©riques sont retracĂ©es Ă travers les archives. Car il est possible de collecter toute une sĂ©rie dâinformation Ă partir dâune simple connexion parce que nous sommes dans une culture participative, on nâest retracĂ© Ă travers nos profils, nos donnĂ©es individuelles.
Avec lâĂ©mergence du web 2.0, nos donnĂ©es sont dorĂ©navant plus faciles Ă opĂ©rer. DâoĂč mes inquiĂ©tudes face Ă lâemprise du numĂ©rique, lâangoisse par le fait de me sentir surveiller sur le web. Parce que, je suis consciente de laisser des traces dans mes archives transactionnelles, en utilisant ma carte de crĂ©dit pour faire des achats en ligne.
Sur les rĂ©seaux sociaux, tels que Facebook, qui requiĂšrent une identitĂ© dĂ©clarative (date de naissance, mes photo postĂ©es, lâadresse de mon domicile, mon numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone, mes centres dâintĂ©rĂȘts, mon orientation sexuelle, ma situation amoureuse et tant dâautre). Ces derniers vont Ă©galement ĂȘtre utilisĂ©s par les capitalistes qui vont cibler nos attentes dans le but dâenvoyer des publicitĂ©s correspondantes Ă nos valeurs, nos prĂ©fĂ©rences etc.
Notamment Ă travers mon identitĂ© calculĂ©e qui me permet en autre dâĂȘtre visible sur le web, qui peut ĂȘtre expliquĂ© par ma prĂ©sence constance.
A travers les moteurs de recherche comme Google, WikipĂ©dia, instagramme, YouTube, parce que les sites auxquels je me suis connectĂ© reconnaissent mon adresse IP mais aussi jâai compris que mon historique de navigation peut ĂȘtre utilisĂ© comme piste de recherche. Or nous savons pertinemment que les rĂ©seaux sociaux favorisent grandement le terrorisme, la criminalitĂ© et nos identitĂ©s en ligne qui sont exposĂ©s aux dangers du piratage. Nâimporte quels autres utilisateurs Ă nâimporte quel moment peuvent nous gĂ©olocaliser Ă lâaide dâun ensemble de donnĂ©e personnels, mais aussi peut rendre public Ă lâaide du systĂšme de piratage mes informations privĂ©es. Ătant donnĂ© quâil y a toujours un moyen de retracer mon profil, la rĂ©solution est donc dĂšs Ă prĂ©sent de limiter mes informations en ligne. Conscience de toutes ces enjeux, aujourdâhui je me questionne sur le fait quâinternet puisse ĂȘtre un endroit sĂ©curitaire.
file:///C:/Users/Marie-France/Downloads/Caccamo-2014_0%20(1).pdf
https://identitenumeriqueguyonhuteau.wordpress.com/tag/identite-declarative/
http://eduscol.education.fr/cdi/culture-de-l-information/medias-soc-idnum/traces-numeriques
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ThĂ©matique : la culture de la gratuite de lâinternet : mon analyse
Sujet : mon analyse de la gratuite
Dans un contexte de mondialisation avec lâĂ©mergence des nouvelles technologies oĂč nous sommes constamment Ă la recherche de lâinformation et donc la connaissance qui est devenue une affaire de tous, lâinternet dĂ©tient une place cruciale dans cette transformation comme moyen de communication et dâoutil de distraction. Car, nombreux sont ceux, qui pour se divertir, lâutilisent pour participer Ă des jeux en ligne, regarder des films et des vidĂ©os dans une perspective dâĂ©panouissement gratuit. En tant quâusager, cette notion de la gratuitĂ© de lâinternet me laisse perplexe.
Dâabord, câest quoi la gratuitĂ© de nos jours? Elle impliquerait aux consommateurs de profiter sans contre parti, un accĂšs libre et illimitĂ©. Cette façon dâenvisager lâinternet dĂšs les premiers usages est vue comme une culture de libertĂ© a nĂ©anmoins, selon moi, autant dâavantages que des inconvĂ©nients, aussi bien du point de vue Ă©conomique que social. Dans une certaine mesure, Le fait dâĂȘtre gratuit, engendrerait une accessibilitĂ© Ă tout le monde, ce qui est un meilleur moyen dâattirer le plus grand nombre en sachant quâils nâont pas besoin du payant pour bĂ©nĂ©ficier de ces biens et services, au lieu de faire fuir la clientĂšle, parce que les utilisateurs nâont pas la culture de payer en accĂ©dant Ă ce service. Elle facilite aussi les recherches afin dâenrichir, dâĂ©largir le champ de la connaissance. Ainsi, les internautes sâinforment Ă travers une diversitĂ© de presse en ligne mise Ă la disposition des usagers et sâinstruisent Ă partir des recherches sur les plateformes collaboratives (Google, WikipĂ©dia etcâŠ) gratuitement.
Cependant, dans une logique de capitaliste (tout est payant) cette gratuitĂ© amĂšnerait les industries culturelles Ă leur perte, câest-Ă -dire dire les producteurs potentiels de cette industrie. Et que deviendrait le journalisme en ligne avec les multiples rĂ©dacteurs qui investissent dans des blogs, vont-ils continuer Ă payer les employĂ©s Ă partir des espaces publicitaires ? Et lâavenir des services en ligne?
Du point de vue social, cette gratuitĂ©, dâoĂč lâaccĂšs facile et illimitĂ© provoque une addiction, en particulier chez le public jeune qui passe la moitiĂ© de leurs temps sur internet. Et empĂȘche Ă©galement ces derniers de dĂ©velopper des relations rĂ©elles par le fait de sâeffondre dans des relations virtuelles. Cette mĂȘme notion de gratuitĂ© rencontre dâautres enjeux sociaux pour la sĂ©curitĂ© des usagers le fait quâelle favorise des hackers, des pirates, des rĂ©seaux criminels, des terroristes en ligne. Qui est causĂ© par cet accĂšs Ă tout. Mais dans une autre vision, je suis pour la gratuitĂ© de cette industrie parce quâil faut la libre circulation des connaissances afin que chaque internaute soit capable de profiter grandement.
file:///C:/Users/Marie-France/Downloads/Proulx-Goldenberg%202010.pdf[i]
 gratuite.internet
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