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« Moi je vise l’ASA hein ! »
Ces mots, Brice les répétait depuis la fin de son année de prépa. Il était plus déterminé que jamais, prêt à tout pour rejoindre cette école. Plus déterminé même que pour intégrer les gobelins. Mais les raisons de son implication n’étaient pas que professionnelles ou artistiques, bien au contraire…
Depuis plus d’un an, il avait repéré ce garçon à la douce et blonde chevelure de chèvre bien peignée. Il l’observait, le dessinait sans cesse. Il n’arrivait pas à le sortir de ses pensées. Pourtant Brice était persuadé d’être hétéro, alors pourquoi ? Pourquoi lui ? Brice continuait de regarder le jeune homme, tous les jours, toutes les semaines. Toute l’année. Il n’arrivait pas à trouver le petit truc, la chose en plus qui faisait que c’était pour lui qu’il avait des sentiments. Il avait eu du mal à l’admettre, du mal à l’accepter, mais il aimait profondément Roman. Ils étaient devenus proches au fur et à mesure de l’année, et quand Roman réussit le concours de l’ASA, le cœur de Brice se brisa un peu à l’idée de ne plus pouvoir voir son amour tous les jours.
Mais cette année c’était sûr, cette année il réussira le concours et pourra enfin changer de bâtiment, avoir la chance de le voir plus souvent. En attendant, il se contentait des peu de fois où Roman passait au 77.
Malgré les mois qu’ils avaient passé ensemble, jamais Brice n’avait osé lui toucher mot à Roman de l’impression que celui-ci lui laissait. Il se contentait d’y penser. Tout le temps. Surtout lorsqu’il était seul, dans son lit le soir ; la moindre pensée, la moindre image de Roman lui passant par l’esprit provoqua tout à coup chez lui un désir intense. L’excitation montait, et ne pouvant se retenir plus d’une seconde, Brice se défit de son pyjama au motif répété de Baggaïd, son pokémon préféré. Il glissa la main dans son caleçon, revoyant ses souvenirs, Roman, son sourire, son corps, ses attitudes, tout ne faisait qu’augmenter la puissance et la vitesse avec laquelle Brice se masturbait ardemment. Il ne faisait que gagner en amplitude, jusqu’au dernier moment, auquel il chuchota « Roman… »
Il attrapa les mouchoirs sur sa table de chevet, pris soin de ne laisser aucune trace sur les draps que sa mère avait changé la veille. Il éteignit la lumière et se mit à fixer le plafond, imaginant Roman, nu et frais dans la rosée du matin, gambadant dans un champ de blé. Son allure éthérée et la teinte rosée de la peau de ses fesses ne le rendaient indifférent, et il succomba au sommeil, espérant que l’objet de tous ses fantasmes sera présent au 77 le lendemain.
Au petit matin, Brice se préparait avec attention ; il démêla interminablement sa longue chevelure ébène et remis en place sa volumineuse barbe, attrapa une tartine et sorti en criant « bonne journée ! » à sa mère. Sur le trajet, Brice comme à son habitude pensait à Roman. Mais ce jour était différent, ils allaient se voir, se parler, peut-être s’effleurer. Rien qu’à cette idée, Brice était tout émoustillé. Arrivé à l’école, il ne réussit pas à écouter son cours d’illustration, toutes ses productions ressemblaient de près ou de loin à Roman. Notamment un magnifique dessin de chèvre, le poil soyeux au vent, courant le long d’un champ de tournesol… L’après-midi arrivait de plus en plus vite et avec elle, Roman. Il angoissait, s’imaginait un millier de situation, se demandait ce qu’il allait pouvoir lui dire et comment. Il aurait voulu avoir le courage d’exprimer ses sentiments profonds à celui qu’il admirait tant, mais chaque jour il repoussait l’échéance. Il espérait secrètement que Roman fasse un pas vers lui, il n’osait pas avouer devant tout le monde qu’il était gay as fuck.
En arrivant au 77, Brice croisa Catherine, partant manger avec sa fidèle Jedi. Roman ne devait plus tarder à arriver, et le cœur de Brice battait la chamade. Il ne voyait plus le monde qui l’entourait, et rapidement, les ASA firent leur apparition. Nono d’abord entra dans l’atelier, sa chevelure flamboyante attirant le regard du jeune garçon. Roman le suivait. Lorsqu’il entra dans la pièce, c’est tout le monde de Brice qui s’illuminait.
« Salut » lâcha-t-il nonchalamment. Brice rougit et répondit, d’une petite voix « H..Hey ! Ca va ? »
Roman prit à peine la peine de lui répondre, mais cela suffisait à Brice. Il rigolait à toutes ses blagues, répondait à toutes ses questions, et les quelques heures qu’ils passèrent ensemble parurent pour Brice être de simples minutes. Roman devait déjà partir.
« Attends ! » Brice le rattrapa devant le 77. « Oui ? » Roman semblait plein d’attentes. Les mains de Brice étaient aussi mouillées que la chatte à ta mère, et il parvenait à peine à balbutier des mots pourtant simples. « Ca te dirait que.. qu’on sorte un de ces quatre ? » Roman semblait interloqué, probablement par la gêne de Brice davantage que par sa demande. « Bien sûr ! Mais t’as qu’à venir avec nous si tu veux, on va chez moi regarder un film. » Le cœur de Brice loupa un battement, il n’a jamais même osé rêver d’une telle occasion et accepta immédiatement. Il suivait Roman et Nono qui discutaient de trucs super intéressants d’animation de gens qui sont en école, et bien qu’il essayât de temps en temps, il n’arrivait pas plus que ça à s’intégrer à la discussion.
Arrivés devant un immense immeuble, Roman dit à ses amis « nous y voilà ! ». Ils entrèrent, montèrent les quatre cent soixante-treize étages, et atteignirent enfin l’appartement de Roman. Une fois à l’intérieur, Brice vit l’exact opposé de ce qu’il pensait voir. Partout se trouvaient des sextoys, des accessoires, des cordes en tous genre, des fouets ainsi que des tas de costumes en latex disposés çà et là. « Wow, j… je » Brice avait perdu ses mots. « Bah quoi, tu t’attendais à autre chose ? »
Roman savait très bien ce qu’il faisait en emmenant ses deux comparses chez lui, Brice, naïf, se disait que c’étaient les restes d’une soirée costumée. Nono quant à lui se délectait de la tournure que prenaient les évènements, et s’amusait de voir Brice rougissant en avançant de la porte d’entrée vers le canapé. Il le trouvait plutôt mignon.
Une fois qu’ils furent tous trois assis, Roman ouvrit son ordinateur. Un site à caractère pornographique était déjà ouvert, ce qui fit rougir Brice de plus belle. Il ne comprenait pas ce qui arrivait et baissait la tête, se demandant s’il devait partir ou rester. Soudainement, il sentit des mains dans son cou, et comme une sensation d’étranglement. Roman venait de lui mettre un collier, auquel il accrocha une laisse. « T’es mon petit chien maintenant, Brice. »
Brice se raidit, dans tous les sens du terme. « C..Comment ? » « T’es mon petit chien. »
Nono rit d’un rire perçant, qui traversa les deux autres au plus profond de leurs âmes. « Laisse-moi faire », dit-il à Roman. Il saisit la laisse de Brice et la tira violemment, entrainant le jeune homme qui se retrouva à quatre pattes par terre. Roman récupéra la laisse, « tu vois bien que t’es mon petit chien. », Brice ne comprenait plus ce qui était en train de lui arriver, la seule chose qu’il savait était qu’il aimait ça. Nono passa derrière Roman, l’embrassa et lui ôta son tee shirt. Pris dans l’excitation, Roman déshabilla Nono aussi, oubliant qu’il était en train de tenir la laisse de Brice. Celui-ci se leva puisqu’il en eut la possibilité, mais le remarquant, Nono lui attrapa le bras. Pendant qu’il le menottait, Roman s’occupait d’ôter le pantalon du petit intermédia. « Assis. » Brice obéit. « Bon chien. » On devinait l’érection de Brice à travers ses sous-vêtements, mais Roman et Nono avaient prévu autre chose que de s’occuper de son membre. Roman retira son pantalon, puis son caleçon, sortant son énorme chibre en érection. Il l’approchait de Brice qui, spontanément, avançait sa bouche jusqu’à goûter le bout de son gland. Roman pris de plaisir enfonça soudainement son membre dans la bouche de son cadet qui eût un léger mouvement de recul, avant d’accepter cette situation et de pratiquer sur Roman une fellation des plus qualitatives.
Nono se sentant seul se déshabilla, et à la vue de la taille de son engin, les yeux de Brice s’écarquillèrent. Il faisait au moins trente centimètres. Nono poussa violemment Roman, s’empara de Brice par le collier, lui ôta ses menottes et le jeta par terre. A 4 pattes, Brice sonné en voulait à Nono d’avoir interrompu son acte amoureux en compagnie de Roman.
Mais Nono savait se faire pardonner, il caressa les fesses de Brice délicatement avant de glisser délicatement un doigt, puis deux, dans son anus. Il les retira aussitôt, et d’une violence inouïe, il pénétra Brice, qui lâcha un léger cri entre douleur et plaisir. Roman regardait la scène tout en se masturbant, et après quelques va-et-vient de Nono sur Brice, il décida d’à nouveau demander une fellation à ce dernier. Brice s’exécuta, des larmes de joies coulaient sur ses joues, il était sur le point d’atteindre l’orgasme. Il pensait à Roman, à tout ce qu’il avait imaginé, et à toute la vérité qui était tellement loin de ses fantasmes. Tout à coup il sentit les deux extrémités de son corps s’emplir d’un liquide chaud et visqueux, « Avale », dit Roman. Il obéit cette fois encore, et à l’idée du sperme de Roman parcourant sa trachée, Brice jouit dans son caleçon.
A cet instant il en était sûr, Brice voulait réellement intégrer l’ASA.
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Jean baptiste etait arrivé en avance aujourd'hui comme a son habitude. Le 77 etait quasiment vide. Il avait sorti son cahier, cependant quelque chose le deconcentrait: a cause de la quantité de travail qu'il s'imposait, Jb n'avait pas pu se masturber la bite depuis 1 semaine.
Il n'en pouvait plus; il suait de la jute. Il prit la decision d'aller dans les toilettes pour se soulager, mais elles etaient toute les deux occupées, dont une par des travaux. Pas le choix, il allait au fond de l'atelier 3. Quelqu'un avait posé ses affaire mais c'etait trop tard. Jb avait deja sorti son bon sexe bien dur et surtout au bord de l'explosion (et par explosion on parle bien sur ici d'explosion de sperme) mais quelqu'un l'interrompit. Jb se retourna et vit en face de lui un etre a la criniere turquoise le regarder droit dans la bite: c'etait Nono. Nono n'avait pas choisit cette rencontre mais c'etait tout de meme une bonne suprise, une suprise bien dure et surtout tremblante.
Jb etait terrorisé. Nono le regardait avec appetit.
-Desole je en fait parcejavaisenvievd
Comme a son habitude Jb etait incapable de formuler une phrase face a une situtation de stress
Nono repondit:
-Nan mais c'est vraiment pas la peine de te justifier, par contre il va falloir acheter mon silence, dit il avec une relative assurance, qui fonctionnait tout de meme
-OUIOUIOUI Je ferais tout ce que tu veux C'était cette phrase que Nono attendait, cette phrase qui declencha son excitation
-Et bien mon grand j'ai une surprise pour toi dans ces cas la.
Ni une ni deux, Nono degrafa son jean, puis enleva son caleçon, quelle ne fut pas la surprise de Jb quand il vit,
Une ENORME queue Immense, l'equivalent d'un demi bras Jb n'en revenait pas, et sans s'en rendre compte il se remit a se donner du plaisir
Nono dit simplement "a genoux"
Il s'executa, et avant que Nono puisse prononcer le moindre mot, il se mit a sucer son gros dard. Une telle colonne de chair, ça ne se refuse pas.
Mais Nono ne comptait pas en rester la: il le prit par les cheveux, et lui baisa la gorge, au rythme de son envie, Jb etait probablement en train de battre le record d'apnée statique francais (qui est a 11 minutes et 35 secondes et detenu par Stefan Mifsud)
Apres 12 minutes demontage de machoire, Nono joui... une trainée? Non, 4 trainée de sperme extremement liquide car dieu sait qu'il aime se masturber (ca le rend le sperme plus liquide) Jb le bu goulument tel une canette d'ice tea.
Une fois son affaire terminer, Nono remballa sa matraque encore humide de la salive du jeune intermedia, puis il cria :
-AH il y a pas a dire, ca fait du bien
Et apres un rot de Jb au gout acre, Nono parti.
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Monsieur le president
"Monsieur le President?????" criai-je dans le couloir.
"Que se passe t'il? On est à court de pains au lait?" Répondit alors Max, d'un ton devasté
"Non rien d'aussi grave. Je viens juste de réaliser quelque chose de très important..."
"Qu'est ce donc? On est très proches, tu peux tout me dire tu sais"
"Ce n'est pas très professionnel......"
"AH dans ce cas je ne sais pas si..."
"JE T'AIME"
"quoi"
"je t'ai toujours aimer, depuis l'election, depuis que nous partageons le throne... nos pains au lait....tous ces allers retours chez carrefour ensemble... on a les meme initiales... "M"... ça rime avec je t'aime"
Maxence prit un air gêné. Il détourna son regard, avant de lancer :
"Il faut que j'y aille, je dois montrer mes carnets à Bataille. On se voit en layout."
Team huile d'olive
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Alors qu’il se trouvait en cours de character design, Brice se mit à songer à un chara de jeune homme, en vu de son projet personnel. Ne sachant pas par où commencer, Brice se laissa emporter par son crayon, imaginant peu à peu un beau garçon, tel que son esprit le concevait. En peu de temps, une silhouette claire semblait se dégager, et Brice observa avec étonnement ce nouveau personnage. Plus il le regardait, plus il semblait reconnaître Yann sous ces traits... Brice se mit à trembler, en pensant qu’il l’avait imaginé comme son idéal amoureux. Par ailleurs, il semblait dans l’incapacité de se contrôler, et se précipita vers les toilettes pour se rafraîchir et pour réfléchir à ce qui s’était passé, contre sa volonté.
En retournant à sa place, Brice se pétrifia sur place. Face à lui, Yann, qui observait avec amusement le dessin que Brice avait fait juste avant.
« C’est marrant, il me ressemble », dit Yann d’un air amusé
Brice ne savait quoi faire, honteux d’avoir pu imaginé son ami Yann dans un tel rôle de beau jeune homme, qu’il avait commencé à concevoir comme son idéal amoureux. Confus, Brice tenta d’expliquer que ce personnage était inspiré d’un jeux vidéo et que la ressemblance n’était sans aucun doute qu’une pure coïncidence. Yann, qui semblait un peu déçu partit rejoindre sa classe, sous les yeux perdus de Brice...
Toute la nuit, Brice s’en est voulu de ces médiocres explications qu’il avait donné à Yann. Il n’arrivait d’ailleurs pas à dormir à cause de cela. En proie aux doutes, Brice se retourna dans son lit, et aperçu à côté de lui le dessin de Yann qu’il avait fait quelques heures plus tot. Se remettant à trembler, Brice commença à éprouver une forte excitation qu’il ne pouvait maîtriser, après avoir revu ce dessin. Bien qu’il tentait de refouler les plus profondes pensées, il finit finalement par craquer. Brice se leva immédiatement, s’assit face à son bureau et commença à dessiner Yann pour de bon, mais cette fois-ci nu, et dans différentes positions toutes plus variées les unes que les autres, au gré de son imagination...
Le lendemain, Brice se retrouvait au 77 dans l’atelier 2, quant à 19h30, Yann fit son apparition pour la premiere fois de la journée. Brice tenta d’esquiver le regard de Yann, mais n’y arrivant pas, il décida de quitter précipitamment l’école avec ses affaires entre les mains. Pourtant, tellement confus qu’il était, il bouscula violemment Yann, ce qui fit tomber les deux par terre, ainsi que les dessins de Yann nu, restés malencontreusement entre deux carnets la veille... Yann se releva et observa ces croquis tombés à terre, sous le regard médusé de Brice. En un instant, Yann se reconnu, et Brice ne savait plus quoi faire, craignant un mépris profond de son camarade. Et au contraire, Yann sembla esquisser un regard complice à Brice, ce qui le surprit fortement. Yann prit la main de Brice, l’emmena vers les toilettes puis referma brutalement la porte, et embrassa Brice.
Brice, surpris, repoussa Yann, puis tenta de faire le point sur ce qui se passait. Mais cela était inutile, et il le savait bien ce qui se passait. Aussitôt il cessa de lutter, et s’offrit tout entier à Yann.
« Je le savais, dit Yann sur un air coquin .
-Quoi donc? Répondit Brice
-Que tu m’aimais en secret, tout simplement »
Aussitôt Yann retira le pantalon de Brice avec insistance et commença à le masturber avec délicatesse.
Brice, face à son plus grand fantasme ne put résister bien longtemps à la tentation et déshabilla à son tour Yann, remarquant à quel point son corps était bien bâti. Il effleura de sa main le corps de Yann, qui se mit à trembler d’excitation à son tour. Se jouant comme un dominateur à cet instant, Brice en profita pour retourner Yann contre la porte des toilettes avec force, et cédant à ses pulsions les plus profondes, sans crier garde, il pénétra Yann, qui lâcha un cri aigu, à peine perceptible. La sensation était exquise pour Brice qui se libérait de ses démons qui l’habitaient depuis toujours. Yann, qui prenait lui aussi un grand plaisir à tout cela, tenta de reprendre la donne en arrêtant Brice, pour lui procurer une nouvelle forme de plaisir, notamment par une fellation qui fit trembler de tout son être Brice. Les actions se répétèrent durant 20 minutes, jusqu’à la limite de Brice, qui, n’en pouvant plus décida d’en finir avec Yann en lui répandant son sperme sur son corps qu’il avait si longtemps idolâtré. Yann, de son côté avait atteint sa limite depuis quelques minutes déjà, mais n’avait rien montré de peur de décevoir Brice.
Les deux se regardèrent un long moment, haletant chacun les bras dans l’autre.
« Ca sera notre secret, conclut Yann »
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"Bon, ça va être l'heure. Et n'oubliez pas, il faut toujours penser aux clés. "
La sonnerie retentit, Monsieur mazingarbe pose sa craie et tout le monde s'empresse de rejoindre la Porte donnant vers la cour. Aujourdhui, c'est la rentrée, et si chaque élève veut trouver un club qui lui convienne, il va falloir faire vite, car certaines places sont très convoitées.
La queue de cheval en overlaps, un élève se dirige droit vers le club de ses rêves. Si l'année dernière, Brice n'avait pas pu y être accepté, cette année, il ne se laisserait pas faire. Le club de rap battle serait sien, et il rien ni personne ne pourra l'arrêter.
Au seuil de La Porte, toutefois, Les souvenirs viennent envahir son esprit et tarir sa soif d'aventure. Et il se souvient que son cher benjamin avait cherché à l'avertir la veille.
-"Tu es sur de toi mon amour? J'ai peur pour toi, j'ai peur Pour nous. Ce club est rempli de gens monstrueux, et certaines personnes n'en sont pas ressorties les mêmes. " Le regard de benjamin etait alors rempli d'inquiétude pour brice. Mais, fronçant les sourcils, il ne manqua pas de répondre:
-" Tu n'as pas confiance en moi, pas confiance en ce que j'ai bâti depuis des années? C'est mon reve Que je réalise là, Ma chance De pouvoir montrer à tout le monde ce que je vaut vraiment. TOI même tu m'as dit que javais Le potentiel pour réussir et Pour gagner. "
Ses yeux commençaient à s'humidifier. -"oH, benjamin, fais Moi confiance, s'il te plaît. Je t'aime trop pour tenter quelque chose en sachant que je risquerai de te perdre. Jamais je ne pourrai faire ça. "
Avoir laissé son âme sœur ainsi sans dire un mot de plus fait Maintenant ressentir quelques remords dans le coeur De brice. Mais il était déterminé, Et savait que son Bien aimé serait fier de Lui une fois qu'il serait revenu victorieux et respecté par ce club. Sur ces pensées, Le jeune élève ouvre la porte, Et interpelle les membres du club qui se retournent tous, embaumant l'air d'une atmosphère tendue.
-"B-Bonjour. Je voudrais faire partie du club de rap battle. Je saurai me montrer à la hauteur et écraser la vermine que vous êtes. "
Dans la tête de Brice, ces mots sonnaient beaucoup mieux. Mais il essaye de se rassurer quand il devine le petit sourire satisfait de certains des membres du club...
... jusquà ce qu'il se rende compte Que leur sourire etait Pour La personne derrière Lui. Se retournant, Brice se trouve nez à nez devant l'ombre d'un élève menacant, dont Le regard foudroyant brille de détermination et de volonté. C'est sur, Lui Aussi s'est préparé depuis un moment pour entrer dans ce club.
Mais une seule Place est en jeu.
[Fin de l'épilogue, à suivre ]
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