#yann allée
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Et le pitit bonus
Mon cadeau du Secret Santa organisé par le serveur Discord Commu RPZ, pour Loucia et reprenant une scène de sa fic Et Ton Pote Yann
My blurbos
#RPZ#GTARPZ#RPZ Families#found family#Alternate Universe#Commu RPZ#fanfic illustration#Bénédicte Concombre#Thomas Giorno#Liam Dunne#Yann Allée#Marcello Capone#MT#Twain Logan#Lucie Lambert#yann veut s'assoir sur la banquette#thomas veut des nouveaux parents#my art
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Une bête ignorance - RPZ
Résumé:
« Tu ne crois pas à quoi ? - Aux dragons. »
Personnages : Twain M.T. Logan, Yann Allée
CW/TW : consommation d’alcool, guerre (mention)
Liste des fanfics que je vais publier en 2024
J'adore les listes! :D Alors en voici une autre, vu que je suis auteur de fanfics, eheh
J'espère en tout cas que certaines de mes fics (très majoritairement sur RPZ, je ne m'en excuse pas du tout, c'est ce que je suis) vous plairont!
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I've never been there
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Yo I finally put actual efforts in a SwaDric sketch x)
I started writing a short story about this moment, but I'm really not confident in my writing so idk if I should share it, but I'll do a quick summary for you:
Swann was at the castle when a bal was happening. He decided to get Cedric and invited him on a walk. Music could be heard outside, so Swann forced himself to be courageous and asked Cedric if they could dance together. Surprisingly, he accepted, and that's how it happened x)
At this point, both have romantic feelings towards each others but are too shy to admit it. It's in the beggining of the third act in their relationship.
For the most part of the process, I was listening to "J'y suis jamais allé" by Yann Tiersen, it's also this music that inspired this drawing
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Even though the hands holding were a struggle, I'm mostly happy with how it came out, I'm not really proud of how I do Cedric's hair but I really like how I made his face and expression. I love seeing him happy, it just feels me with joy, he deserves to be happy
(btw I kinda have a entire notebook dedicated to them now? Idk how long it will last and if it's gonna stay just for this ship but, I like the idea of having a notebook for a specific ship, I should do that with others)
#artists on tumblr#traditional art#art#drawing#self ship#self insert#fanart#dune tevenn#sketch#dunetevenn ship#cedric sofia the first#sofia the first#cedric the sensational#cedric the great#cedric the sorcerer#SwaDric#oc x canon#self insert x canon#Youtube
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Dimanche 14 juillet 2024
Cat Power under the thunder : soirée de loser
Je n'étais plus aussi chaud qu'avant concernant ce concert de Cat Power. Je ne sais pas, enfin, peut être que la flemme jouait un rôle là dedans. L'idée de prendre le bus et d'aller me fourrer dans un hôtel à deux heures de chez moi ne m'enchantait guère trop. Mais, hé, après tout c'était gratuit, j'aurais été bête d'y renoncer et en plus mon frère n'aurait pas apprécié que je n'y aille pas, si je lui avait fait faux bond pour ce concert et l'article qui devait suivre, il aurait mit un moment à me le pardonner.
Le trajet ne me paru pas bien long, occupé que j'étais à écouter Bruce Springsteen et à lire ce bouquin tout juste entamé, passionnant, « Bukowski, une vie », par Neeli Cherkovski. Dans lequel j'ai appris des nombreuses choses comme par exemple le fait que Bukowski n'était nullement homophobe, une prouesse, pour un mec de son temps, ça ne me le fait que l'aimer encore plus... j'aime aussi beaucoup sa haine du conformisme. Je me retrouve en lui, qui n'a jamais su garder un travail et qui ne vivait que pour l'écriture...longue vie à son œuvre !
Une fois arrivé à Perrache, voilà que, exactement comme la dernière fois et malgré le fait que j'y sois allé trois ou quatre fois, j'ai manqué de ne pas trouve mon chemin pour accéder à ce foutu hôtel Victoria qui est pourtant situé à environ 3 minutes de marche de la gare. Je suis finalement arriver à bon port, transpirant déjà bien trop.
J'ai réglé le prix d'une nuit et j'ai filé au 4ème étage retrouver ma modeste chambre.
Il faisait très chaud, j'ai dû prendre une douche dans une minuscule salle de bain, ça n'a pas rendu la tâche particulièrement facile. Et puis je me suis posé sur mon lit, j'avais des heures à tuer avant d'aller au concert alors j'ai repris ma lecture sur la vie de mon écrivain alcoolique préféré, tournant les pages avec une passion non feinte. Le temps passe vite quand on a de quoi lire !
Le moment venu, je suis parti prendre un Uber (je me déplace toujours en Uber, vous le savez si vous me lisez régulièrement, je hais les transports en commun) et je fut vite amené à bon port.
Je me suis dirigé vers l'entré des invités, loin de l'entrée de la plèbe où les gens faisaient la queue, queue qui me semblait interminable, j'étais fatigué rien qu'en voyant sa longueur.
Et puis je me suis dirigé vers ce comptoir où les gens invités annonçaient leur nom pour récupérer un précieux ticket.
Devant moi, une dame assez âgée qui semblait ne plus avoir toute sa tête, ne cessait de parler de Bob Dylan. « Bob Dylan, Bon Dylan c'est pas Bob Dylan, quoi ? Mais c'est marqué Bob Dylan ?! C'est qui Cat Power ?» (il était indiqué sur le ticket « Cat Power chante Bob Dylan »). Elle semblait très déçue.
Pendant ce temps j'ai annoncé mon nom, « Yann Pinguet pour Slowshow », et on m'a donné le ticket. J'ai pensé « ouf, je suis vraiment sur la liste, j'ai toujours du mal à y croire décidément! ».
Après ça j'ai foncé vers les stands de nourriture et j'étais le tout premier client. J'avais très faim mais ils n'avaient que de la nourriture exotique à me proposer, alors que moi je ne demandais qu'à engloutir un hot-dog de base, voir un burger., ce genre là... Faute de quoi j'ai décidé de me contenter d'une gaufre au chocolat que j'ai arrosée avec un Pepsi, à défaut de Coca Cola.
Après ça j'ai filé rejoindre ma place. La place en question était pas mal, j'étais pas loin et en face de la scène.
Les ennuis ont commencés à ce moment là. Il faisait gris et l'application météo de mon téléphone annonçait un orage imminent. Par chance, je portais un grand imperméable parce que ma mère me l'avait conseillé à plusieurs reprises jusqu'à que je finisse par lui faire confiance. Il a commencé à pleuvoir et j'ai mis ma capuche, en pensant « quelle bonne idée, cet imper ! ».
Il s'est mis à pleuvoir avec une intensité de plus en plus forte et au moment du début de la première partie du concert je commençais à m'inquiéter parce que mon imper ne couvrait que le haut de mon corps et mes genoux s'en trouvés progressivement trempés.
Sur scène, l'artiste nommé Blumi assurait un show que je commençais à trouver intéressant, lorsque la dernière chanson fut jouée. A ce moment là, je me suis mis debout, totalement hébété, j'avais tout le pantalon trempé et mes chaussures étaient dans le même état. J'ai songé à me casser de là tout de suite, je n'avais qu'une envie, c'était d'être au sec quelque part. Mais je suis resté et le concert a finit par commencer.
A ce moment la le ciel s'était assombrit. Deux musiciens sont arrivés sur la scène, suivis de celle qu'on attendait tous, Chan Marshall, alias Cat Power.
Premier constat : la dame a pris de l'âge, c'est évident,et la personne qui s'installait devant le micro était loin de l'image que je me faisais de Cat Power, à savoir une jolie brune aux cheveux longs coiffés d'une fameuse franche.
A la place se tenait une femme aux contours épais et aux cheveux courts.
Mais après tout, ces considérations esthétiques ne sont pas très importantes, l'important c'est la voix et quand elle a entonné la première chanson, j'ai constaté qu'elle l'avait conservée et en bon état, malgré la clope qu'elle avait cru bon de s'allumer en plein milieu de la chanson.
J'ai ainsi pu écouter cette première chanson, de Dylan, donc. C'était « She Belongs To Me ».
Merveilleux, j'en oubliais presque le fait que j'avais le cul mouillé et les pieds qui pataugeaient dans l'eau. La nuit était tombé et des premières éclairs se faisaient entendre.
Débuta ensuite la seconde chanson, « Fourth Time Around ».
Et là, la chanteuse a interrompu le concert une première fois, pour nous dire qu'elle était effrayé par l'orage, que ce n'était peut être pas prudent de continuer.
Elle a fini par déguerpir une première fois et les gens ont commencés à râler, à siffler... un responsable est arrivé sur la scène, bien embêté, pour nous dire qu'il ne savait pas trop comment allait se dérouler la suite, ce fut la confusion, et puis Cat Power est revenue, et puis elle a repris la chanson exactement là où elle l'avait arrêté, mais l'orage était toujours présent et après quelques éclairs elle a définitivement foutue le camp.
A ce stade là les gens étaient mécontents et ils ont commencés peu à peu à partir, toujours sous la pluie.
Je n'ai pas perdu de temps et je me suis cassé au plus vite, je n'avais qu'une idée en tête, me mettre à l'abri au plus vite, et pour ça il fallait rejoindre mon hôtel.
Tâche ardue, il faisait nuit et pleuvait de plus belle.
Je ne savais même pas quel chemin prendre, alors j'ai suivi des gens et j'ai rejoins une vieille rue étroite qui descendait très bas, et j'ai marché ainsi pendant un bon kilomètre. J'avais ces vieilles rues en souvenir, de l'époque où j'y étais passé avec Marz, mon ex amoureuse mexicaine... c'était beaucoup moins romantique désormais, la rue n'en finissait plus et j'ai fini par retrouver une route et donc, la civilisation, je pouvais enfin appeler un Uber. C'est ce que j'ai fait et je suis parti m'abriter sous un porche en attentant le véhicule.
Finalement j'ai pu enfin rentré à l'hôtel, avec le bas de mon corps totalement trempé.
Résultat des courses, je me suis retrouvé en caleçon sur le lit de ma modeste chambre d'hôtel, sans avoir la possibilité de porter des affaires de rechange et je me suis dit que, vraiment, il était désormais peu probable que je m'aventure un jour à aller revoir un concert de Cat Power !!!
Bande son : Born To Run, Bruce Springsteen
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Συννεφιά, μελαγχολία, κι εγώ να κάνω μονοκοντυλιές στο 608, με το "J'y suis jamais allé" του Yann Tiersen να παίζει συνέχεια στο κεφάλι μου...
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Larfeuille et Collier
L'insignifiant sublimé par l'écriture.
Ce ne sont pas du tout les faits qui sont insignifiants mais l'accumulation de détails au sujet du contenu du larf' (le larfeuille), écueil "gautierisant" (le syndrome Théophile Gauthier ou la description inutile et chiante).
Yann, jeune écrivain traité comme une merde par Le Dilettante (je ne les insulte plus, ils sont intéressés par moi) il y a environ 6 mois, je l'avais défendu, m'étais fait vomir dessus par deux cinglés (dont la fameuse connasse qui m'avait traité de "nain littéraire" sans aucune raison sinon sa maladie mentale doublée de haine créée par les fakes et diffamations délirantes du gang pédo-sat kahaniste du Gorille et du Lion CL ; mais aussi...un membre particulièrement barbare d'un gang pédo-sat, néo-nazi celui-ci), montre ici que cette hallucinante propension qu'il a à raconter par le menu des détails de sa vie sans aucun intérêt ni humour peut être utile à des récits portés par du style et une sorte de mystère à la Eugène Transpire ou Edgar Pot, avec un style bien au-dessus de nombre de figures de proutte de la littérature éditée, dont la "femelle" et la Quechua.
Qu'est-il arrivé au larf' ? Quelles seront les nouvelles aventures du dodog au collier luminescent ?
Basile Pesso, Land of Somewhere, 18 novembre 2 024 (Fb) Revelino, Don't Lead Me Down
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Bref moment de panique, hier soir.
Alors que je venais de sortir d'un bistrot du centre de Versailles qui proposait des cocktails à cinq euros dans le cadre d'un happy hours, je m'aperçois avec stupeur que mon portefeuille a disparu de la poche intérieure de mon manteau. Ce geste s'apparente un peu à un tic : je vérifie régulièrement, en palpant mes poches, que mon téléphone portable ainsi que mon portefeuille sont toujours sur moi. Ce tic peut parfois s'avérer salvateur.
Je retourne précipitamment au bistrot pour leur demander s'ils n'ont pas vu mon portefeuille : "non, on n'a rien vu".
L'angoisse est alors à son comble. Je commence à évaluer les dégâts et à songer à toutes les démarches fastidieuses qu'il va me falloir accomplir : mettre mes trois cartes bancaires en opposition, refaire ma carte vitale, de même que celles de la bibliothèque de Paris et du club de remise en forme, appeler mon administration pour les avertir que j'ai perdu ma carte professionnelle étant donné qu'elle est toujours dans mon portefeuille, faire une déclaration de perte pour ma carte d'identité... Je crois que c'est tout. Mais c'est déjà beaucoup.
En revanche, l'argent liquide, ce n'est pas un problème : j'en ai rarement sur moi. Ce soir là, je n'avais que vingt centimes.
Soudain, un jeune couple s'avance vers moi. Le garçon me tend mon portefeuille. Je leur dis : "Je vous remercie. Merci beaucoup !" Et ils s'éloignent.
Je me demande comment ils ont pu deviner que c'était le mien et je m'interroge encore maintenant. A mon avis, ils ont dû penser, en voyant un type affolé courir dans tous les sens en scrutant le sol et en fouillant dans les bacs à fleurs municipaux : "ça doit être lui".
Parfois, j'en viens à me demander si tout cela n'est pas une question de Karma. Il m'est arrivé, à deux ou trois reprises, de trouver un téléphone portable dans le RER C et je l'ai systématiquement restitué à son propriétaire. Ou aux objets perdus. Il en fut de même pour ce portefeuille posé, l'année dernière, sur un banc des vestiaires du club de remise en forme : j'étais allé le porter immédiatement à l'accueil. A chaque fois, je me dis que si un tel drame me touchait, j'aimerais que l'objet perdu tombe dans les mains d'une personne aussi honnête que moi. D'ailleurs, la fois où j'ai rendu son téléphone portable à un malien, employé au centre commercial Parly 2, il m'a chaleureusement félicité et m'a lancé : "Merci mon bon Monsieur : très peu de gens auraient agi comme vous !". Il avait raison. Les transports en commun franciliens sont une véritable cour des miracles.
Cependant, tout cela n'explique pas comment j'ai fait pour perdre mon portefeuille. A un moment donné, tandis que je me penchais en avant pour remettre le collier lumineux du chien, qui venait de se détacher, l'autre imbécile a brusquement tiré sur sa laisse pour se diriger vers la rue où déboulait un livreur Uber Eats en scooter. Son imprudence m'a obligé à me pencher davantage en avant pour le retenir. Mais c'est juste une hypothèse. C'est pourquoi, faute de preuves, je n'ai pas engueulé le chien...'
(Yann Wannepain)
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Sortie pédestre du 31 juillet : Belle balade forestière pour 25 randonneurs accompagnés de leurs 2 guides Charles et Yann. Au départ d'Oderfang, ils sont allés vers la forêt de Longeville par le pont Ferdinand puis vers le restaurant du moulin d'Ambach. 10 km au total pour ce joli parcours.
Prochaine sortie le lundi 7 août à 9h avec un nouveau lieu de départ : parking de l'école de Folschviller (place de l'église).
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Distinguer les dyslexies phonologiques ou de surface, c'est has-been
En réponse à cet article sur un livret de description des différents types de dys, Stéphane Clerc m’a indiqué un épisode de La science, CQFD sur France Culture. Alors pouf, je suis allée écouter cela, car c’était bien intéressant. Je ne sais pas si j’ai écouté le bon épisode, mais il parlait de dyslexie. Source Yann Mikaeloff, neuropédiatre, professeur des universités à la faculté de médecine…
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Marseille.
Aujourd’hui je suis allé au musée “Regards de Provence”, où il y a 2 expos.
La première : “Vues sur Mer’’
- Julien Boullay - "Calanque de Sormiou”
- Eric Bourret - “Zéro l'Infini - 445 (003)”
- Eric Bourret - "Zéro l'Infini - 5732 (002)”
- Marc Chostakoff - “Horizon 40 - Carry-le-Rouet”
- Jean-Jacques Surian - “Ces Gens sur mon Plongeoir”
- Yann Letestu - "Le Grand Saut”
#marseille#expo#musée#regards de provence#art#art contemporain#mer#pin#sormiou#calanque#calanque de sormiou#julien boullay#éric bourret#infini#marc chostakoff#carry-le-rouet#jean-jacques surian#yann letestu#carte
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SAMEDI 11 SEPTEMBRE 2021 (Billet 2 / 4)
« BOÎTE NOIRE » (2h 9min)
Un film de Yann Gozlan, avec Pierre Niney, Lou de laâge, André Dussollier…
Un avion vient de s’écraser dans les Alpes. Un technicien se met à étudier les boites noires et suspecte un attentat… Yann Gozlan signe un polar mental dopé par l’interprétation de Pierre Niney.
Après le crash d'un avion, le BEA doit décrypter la boîte noire de l'appareil. Est-ce un acte terroriste ou un tragique accident dû à un problème mécanique ? Même les experts se contredisent. Dès le début du film, Gozlan plonge ses spectateurs dans la cabine au moment de l’impact. La séquence est percutante mais le doute s’installe. A-t-on vraiment vu se lever un homme suspect au dernier moment ? Est-ce qu’on a vraiment entendu un « Allah ouakbar » ? C’est la question qui va également ronger Mathieu Vasseur (Pierre Niney). Cet ingénieur prend rapidement en charge l'enquête. Rigoureux c’est un technicien à l’oreille absolue mais qui est aussi buté qu’arrogant. En épousant le point de vue de ce héros ambigu, Gozlan joue avec le réalisme des procédures et des décors. La quête obsessionnelle de Vasseur se déploie dans une mise en scène sophistiquée qui font de « Boite noire » un polar paranoïaque efficace. Et puis à mi-parcours, Gozlan quitte les rives de l’enquête scientifique, pour celles du thriller d’action. Plus balisé, le film multiplie les course-poursuites et le jeu de piste se muscle… Dans les deux cas, l’interprétation de Pierre Niney oblige le spectateur à revoir à chaque fois ses certitudes sur la confiance qu’on peut faire à ce technicien à deux doigts d’emmener le monde dans sa folie.
(Source : « premiere.fr »)
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Dans les sorties de films du mercredi, c’est celui-ci qui nous a tentés en premier. Nous y sommes allés jeudi.
Les critiques étaient en général bonnes, la promo sur les plateaux de télé bien faite… et nous avouons tous les deux un petit faible pour Pierre Niney. Nous n’avons pas été déçus mais nous vous le disons tout net : nous n’avons pas tout compris. Il y a 2 ou 3 articulations dans le scénario qui nous ont échappé complètement. Rien de grave, on a pu suivre quand même le déroulement de l’histoire mais nous serions bien incapables d’expliquer certains passages.
Pierre Niney est remarquable de bout en bout et l’actrice Lou de Laâge joue très bien. Dommage d’ailleurs qu’on ne la voie pas plus souvent au cinéma…
A cause de certains rebondissements dans l’action trop rapidement éludés, nous ne lui avons attribué tous les deux que ♥♥♥,5 sur 5. Mais cela reste un film que nous vous conseillons…
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J'ai trop de putains de chats dans mes dossiers aled ça déborde tout le temps, c'est un dégât des eaux jsp si ça passe à l'assurance
Quelques designs de chats que j'ai fait (refait pour certains *tousse* haylie)
J'ai pris des suggestions du Discord et je suis plutôt satisfait de tous- Sauf de Earl genre j'aime bien son design mais je sais pas si on dirait vraiment Earl quoi ?? J'aurais voulu qu'il ressemble un chouilla à Kenneth pour pouvoir le blâmer pour ses conneries mais mission failed Il ressemble à une belette quoi c'est le seul point que j'ai réussi jpp
Deux fanarts pour un banger de fic que @lb1412 a écrit sur l'AU genre wsh ok poto
Le premier illustre Béa se rendant à l'équivalent de la Pierre/Source de Lune (trouvaille de LB cte génie)
Le deuxième représente un chat du Clan des Etoiles (Yann) dans un design inspiré de l'esthétique du projet Starless Night
et des croquis à l'arrache
#rpz#alternate universe#my art#LGDC!RPZ#my furry trash i am swimming in it and its stinky#Haylie James#Earl Bailey#Sally Sullivan#Kenneth Manbrock#Didier Traoul#Béatrice du Tournesol#Liam Dunne#Yann Allée#Angelo Grimaldi#Thomas Giorno#fanfic illustration
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BD, comics et mangas : nos nouveautés de septembre.
Tamba, l’enfant soldat, de Marion Achard et Yann Dégruel :
Dans un village d'Afrique, les gens se rassemblent dans un bâtiment pour une audience dirigée par la Commission de Vérité et Réconciliation. Au centre, le jeune Tamba, 16 ans, est invité à témoigner de sa participation aux violations des Droits de l'homme dans ce pays qui se remet difficilement de la guerre qui cherche à comprendre et à pardonner pour se reconstruire. Tamba : "J'avais huit ans lorsqu'on m'a kidnappé..."
A Silent Voice, tome 3, de Yoshitoki Oima :
A la grande surprise de Shoya, Shoko a accepté de renouer contact avec lui, et à force de tenter comme il le peut de réparer les pots cassés du passé, il se lie peut à peu d'amitié avec la jeune fille, mais aussi avec Tomohiro, un camarade de classe exubérant, mais franc, et Yuzuru, la petite soeur de Shoko auprès de laquelle il a réussi à se faire accepter malgré les horreurs commises dans son enfance. Celui qui voulait mettre fin à ses jours a pris une autre voie sans s'en rendre compte, celle de la reconstruction, au point d'avoir désormais un téléphone portable qui lui sera extrêmement utile, ne serait-ce que pour communiquer avec Shoko. Mais ce qu'il souhaite par dessus tout, c'est reconstruire l'enfance brisée de Shoko, lui rendre le bonheur qu'il lui a volé. Et cela passe par une reprise de contact avec ses anciens camarades de classe du primaire, en tête Miyoko, la fillette qui était venue en aide à Shoko à l'époque où elle était martyrisée et qui a dû changer d'école à cause de ça, et la peste Naoka. Seulement, les choses se dérouleront-elles aussi bien que le souhaite le jeune garçon ?
Chico & Rita, de Fernando Trueba et Javier Marsical :
Cuba, 1948: Chico aime Rita. Rita aime Chico. Mais les aléas de la gloire les séparent. Les jeux de l'amour et du hasard se nouent sur un tempo de jazz afro-cubain. Un roman graphique langoureux qui signe le retour du grand Mariscal sur le devant de la scène BD.
V pour Vendetta, d’Alan Moore et David Lloyd :
1997 : une Angleterre qui aurait pu exister... Dirigé par un gouvernement fasciste, le pays a sombré dans la paranoïa et la surveillance à outrance. Les «ennemis politiques» sont invariablement envoyés dans des camps et la terreur et l'apathie règnent en maître. Mais un homme a décidé de se dresser contre l’oppression. Dissimulé derrière un masque au sourire énigmatique, il répond au nom de V : V pour Vérité, V pour Valeurs... V pour Vendetta !
L’Arabe du Futur, tome 4 : Une jeunesse au Moyen-Orient (1987-1992), de Riad Sattouf :
Ce quatrième tome du succès mondial L'Arabe du futur couvre les années 1987-1992…Âgé de neuf ans au début de ce volume, le petit Riad devient adolescent. Une adolescence d'autant plus compliquée qu'il est tiraillé entre ses deux cultures – française et syrienne – et que ses parents ne s'entendent plus. Son père est parti seul travailler en Arabie saoudite et se tourne de plus en plus vers la religion... Sa mère est rentrée en Bretagne avec les enfants, elle ne supporte plus le virage religieux de son mari. C'est alors que la famille au complet doit retourner en Syrie...
Tamara Drewe, de Posy Simmonds :
Avec son nez refait, ses jambes interminables, ses airs de princesse sexy, son job dans la presse de caniveau, ses aspirations à la célébrité et sa facilité à briser les cœurs, Tamara Drewe est l'Amazone urbaine du XXIᵉ siècle. Son retour à la campagne, dans le village où a vécu sa mère, est un choc pour la petite communauté qui y prospère en paix. Hommes et femmes, bobos et ruraux, auteur à gros tirage, universitaire frustré, rock star au rancart, fils du pays, teenagers locales gavées de people, tous et toutes sont attirés par Tamara, dont la beauté pyromane, les liaisons dangereuses et les divagations amoureuses éveillent d'obscures passions et provoquent un enchaînement de circonstances aboutissant à une tragédie à la Posy Simmonds, c'est-à-dire à la fois poignante et absurde. Librement inspiré du roman de Thomas Hardy, Loin de la foule déchaînée, un portrait à charge délicieusement cruel et ironique de l'Angleterre d'aujourd'hui.
Gemma Bovery, de Posy Simmonds :
Exaspérée par l’intrusion incessante dans sa vie des enfants et de l’ex de Charlie, son nouveau mari, Gemma Bovery décide de quitter Londres et de partir s’installer avec lui dans un romantique cottage du bocage normand. Dans un premier temps, c’est la découverte émerveillée des charmes de la French Way of Life. L’existence simple et paisible, les voisins avenants, l’authenticité des choses, le pain merveilleux de Joubert, le boulanger intello de Bailleville. Mais l’exotisme a ses limites. L’argent manque. L’ennui guette. Charlie se laisse aller. Le joli cottage suinte l’humidité. L’authenticité se révèle frelatée et les voisins moins plaisants que prévu. Alors, Gemma prend un amant, sous l’œil inquisiteur de Joubert qui s’improvise chroniqueur de sa déchéance amoureuse. Si le décor, le destin et le nom de l’héroïne nous rappellent quelqu’un, ce n’est en aucun cas fortuit.
Un jour au musée avec les Bidochon, de Bidet :
Raymonde Bidochon, par on ne sait quel miracle, est parvenue à traîner son rustre de mari dans un musée! Le choc culturel est total. Comment va réagir Robert en découvrant les toiles de Picasso, Degas, Bacon, Manet, Soulages ou Bruegel, entre autres? C'est ce que vous découvrirez en lisant ce livre. En association avec les musées des Beaux-Arts de Caen et de Lyon, Binet nous régale des réactions des Bidochon face à ces toiles de maîtres, magnifiquement reproduites. 20 tableaux prestigieux, exposés dans ces musées, ont été choisis par l'auteur, qui a ensuite dessiné les réactions de ses personnages. Et leurs conservateurs nous éclairent aussi sur le contexte historique et de manière ludique.
Le Gourmet solitaire, suivi de Les Rêveries d’un Gourmet, de Jirô Taniguchi :
On ne sait presque rien de lui. Il travaille dans le commerce, mais ce n'est pas un homme pressé; il aime les femmes, mais préfère vivre seul; c'est un gastronome, mais il apprécie par-dessus tout la cuisine simple des quartiers populaires... Cet homme, c'est le gourmet solitaire. Depuis sa première déambulation en 1994, il a conquis, au fil de deux décennies de flâneries propices à des expériences culinaires précieuses et intimes, un public japonais et occidental toujours grandissant. L'intégralité de ses trente-deux repas est ici réunie pour la première fois.
Les Gardiens du Louvre, de Jirô Taniguchi :
Au terme d'un voyage collectif en Europe, un dessinateur japonais fait étape en solitaire à Paris, dans l'idée de visiter les musées de la capitale. Mais, cloué au lit de sa chambre d'hôtel par une fièvre insidieuse, il se trouve confronté avant tout à une forme de solitude absolue, celle des souffrants en terre étrangère, privés de tout recours immédiat au cœur de l'inconnu. Alors que le mal lui laisse quelque répit, il met son projet à exécution, et se perd dans les allées bondées du Louvre. Très vite, il va découvrir bien des facettes insoupçonnées de ce musée-monde, à la rencontre d’œuvres et d'artistes de diverses époques, au cours d'un périple oscillant entre rêve et réalité, qui le mènera pour finir à la croisée des chemins entre tragédie collective et histoire personnelle.
Venise, de Jirô Taniguchi :
Un homme arpente Venise hors des sentiers touristiques, sur les traces de son histoire familiale. Il se surprend parfois à flâner, se perd le long des canaux, s'arrête pour observer. A mesure que les brumes du passé se dissipent, c'est une nouvelle cartographie de la Sérénissime qui se dessine: contemplative et intrigante, majestueuse et intime…
L’Homme qui marche, de Jirô Taniguchi :
Qui prend encore le temps, aujourd’hui, de grimper à un arbre, en pleine ville? D’observer les oiseaux, ou de jouer dans les flaques d’eau après la pluie? D’aller jusqu’à la mer pour lui rendre un coquillage dont on ne sait comment il est arrivé chez soi? L homme qui marche, que l’on apprend à connaître à travers ses balades, souvent muettes et solitaires, rencontre parfois un autre promeneur avec qui partager, en silence, le bonheur de déambuler au hasard…
Furari, de Jirô Taniguchi :
A la fin du XVIIIe siècle, un homme arpente Edo, l'ancienne Tokyo, avec pour ambition de cartographier la capitale, pas après pas. Dix sun font un shaku, six shaku font un ken, soixante ken font un chô, trente-six chô font un ri. Mais si ce marcheur s'efforce, par rigueur scientifique, d'adopter le pas le plus régulier possible, son entreprise se mue bien souvent en flâneries émerveillées face à la beauté de la ville, en observation curieuse de ses habitants, en haltes gourmandes le long des rues, et en rêveries qui lui font redécouvrir les paysages à travers les yeux d'un oiseau, d'une tortue ou d'un chat…
#bd#comics#manga#nouveautés#nouveautés septembre#scénariste : marion achard#dessinateur : yann dégruel#autrice : yoshitoki oima#scénariste : fernando trueba#dessinateur : javier mariscal#scénariste : alan moore#dessinateur : david lloyd#auteur : riad sattouf#autrice : posy simmonds#auteur : pierre binet#auteur : jirô taniguchi
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🥀 and 🕸️ for that ask game!! (@candyheartedchy)
If no ship is precised, SwaDric is the default answer to me hehe :3
🥀: favorite thing about your ship?
That I managed to make it a safe space for both me and Cedric. I like to think about them and go "he's okay with Swann.". My favorite thing about my ship is the thought of Cedric being free and happy with me/my sona
🕸️ : any song that reminds you of your ship?
I actually answered this in an other ask game, but hey I got an update!! "J'y suis jamais allé" and "Comptine d'un autre été l'après midi" by Yann Tiersen from the "Amélie Poulain" movie are still very much attached to SwaDric in my brain, but recently, while drawing them there is a song by AURORA that I ended up associating with my ship, but... I wanted to keep it secret until I post the final drawing :'3 I'm just still hesitating to make it really official, because I'm picky when it comes to choosing musics to attach to my ships
#dune tevenn#the pile of sand is talking#SwaDric#ask#ask game#self ship#selfship#oc x canon#selfinsert#candyheartedchy
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Hello can you do the same with my son Arthur? :)
ahaha okay, though i have to warn you beforehand i am not the biggest arthur stan for two reasons
1) i don’t really get all the hype he gets over characters I personally find more interesting (like Alexia or Yann) and tbh if Arthur gets a season but Eliott doesn’t I will lose my marbles he’s just very “cute skinny average white boy” to me tbh
2) he just looks and behaves a lot like my high school nemesis so part of my annoyance is wholly irrational lmaooooo. he just has a very snobbish way of talking that i feel might get lost in translation
however :
Do I like them : the above put aside i do find him intriguing. He’s always so supportive of his friends and sincerely happy for their happiness. We know so little about him, so he’s a mystery and there’s a lot to be done with him. On the other hand that scene in which he tries to guilt trip/pressure Daphné into “giving Basile a chance” annoyed the shit out of me, it was probably my least favorite moment of the season. He’s Basile’s enabler way too much of the time. Or that moment during the fight with Lucas he uses him not feeling well against him or makes that joke about his family i’m ughhhhh
5 good qualities : funny, supportive, loyal, sarcastic….?
3 bad qualities: well, he’s a teenage boy, so average yikes moments. too loyal maybe. can be quite mean.
Fave episode : when he’s so supportive of Lucas’s coming out in ep 7
Otp: .?????????????????????????
Brotp : Arthur x Basile. Even though they were annoying a lot of the time I do admire the way Arthur often tries to both uplift Basile and keep him in check and act as his social awareness lol
OT3 : ??????????????????????????????????????
notp : him and that 35 year old like what the fuck ??????????????????
best quote : “Je me suis dis je suis allé dans un bar, euh un bar gay, c’était trop bien” etc.
headcanon : I think (hope) that story about the 35 year old is fake and that he’s actually a huge liar lmao, that he has a façade even worse than Lucas. I really, really like the idea that he’s actually asexual, that he makes up these outrageous stories because he wants to fit in, that maybe he had a phase of thinking he was gay and made that forum post, and that his overinvestment in getting Basile laid is also a way to distract from himself. That would make me a lot more interested in his character. If they wanted to go much darker they could make that relationship real and about predatory relationships but Idk if Skam should and has the ability to go there tbh. Like that would be a hella depressing season.
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Amélie - J'Y Suis Jamais Allé -Yann Tiersen (extended original)
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