#scénariste : marion achard
Explore tagged Tumblr posts
Text
BD, comics et mangas : nos nouveautés de septembre.
Tamba, l’enfant soldat, de Marion Achard et Yann Dégruel :
Dans un village d'Afrique, les gens se rassemblent dans un bâtiment pour une audience dirigée par la Commission de Vérité et Réconciliation. Au centre, le jeune Tamba, 16 ans, est invité à témoigner de sa participation aux violations des Droits de l'homme dans ce pays qui se remet difficilement de la guerre qui cherche à comprendre et à pardonner pour se reconstruire. Tamba : "J'avais huit ans lorsqu'on m'a kidnappé..."
A Silent Voice, tome 3, de Yoshitoki Oima :
A la grande surprise de Shoya, Shoko a accepté de renouer contact avec lui, et à force de tenter comme il le peut de réparer les pots cassés du passé, il se lie peut à peu d'amitié avec la jeune fille, mais aussi avec Tomohiro, un camarade de classe exubérant, mais franc, et Yuzuru, la petite soeur de Shoko auprès de laquelle il a réussi à se faire accepter malgré les horreurs commises dans son enfance. Celui qui voulait mettre fin à ses jours a pris une autre voie sans s'en rendre compte, celle de la reconstruction, au point d'avoir désormais un téléphone portable qui lui sera extrêmement utile, ne serait-ce que pour communiquer avec Shoko. Mais ce qu'il souhaite par dessus tout, c'est reconstruire l'enfance brisée de Shoko, lui rendre le bonheur qu'il lui a volé. Et cela passe par une reprise de contact avec ses anciens camarades de classe du primaire, en tête Miyoko, la fillette qui était venue en aide à Shoko à l'époque où elle était martyrisée et qui a dû changer d'école à cause de ça, et la peste Naoka. Seulement, les choses se dérouleront-elles aussi bien que le souhaite le jeune garçon ?
Chico & Rita, de Fernando Trueba et Javier Marsical :
Cuba, 1948: Chico aime Rita. Rita aime Chico. Mais les aléas de la gloire les séparent. Les jeux de l'amour et du hasard se nouent sur un tempo de jazz afro-cubain. Un roman graphique langoureux qui signe le retour du grand Mariscal sur le devant de la scène BD.
V pour Vendetta, d’Alan Moore et David Lloyd :
1997 : une Angleterre qui aurait pu exister... Dirigé par un gouvernement fasciste, le pays a sombré dans la paranoïa et la surveillance à outrance. Les «ennemis politiques» sont invariablement envoyés dans des camps et la terreur et l'apathie règnent en maître. Mais un homme a décidé de se dresser contre l’oppression. Dissimulé derrière un masque au sourire énigmatique, il répond au nom de V : V pour Vérité, V pour Valeurs... V pour Vendetta !
L’Arabe du Futur, tome 4 : Une jeunesse au Moyen-Orient (1987-1992), de Riad Sattouf :
Ce quatrième tome du succès mondial L'Arabe du futur couvre les années 1987-1992…Âgé de neuf ans au début de ce volume, le petit Riad devient adolescent. Une adolescence d'autant plus compliquée qu'il est tiraillé entre ses deux cultures – française et syrienne – et que ses parents ne s'entendent plus. Son père est parti seul travailler en Arabie saoudite et se tourne de plus en plus vers la religion... Sa mère est rentrée en Bretagne avec les enfants, elle ne supporte plus le virage religieux de son mari. C'est alors que la famille au complet doit retourner en Syrie...
Tamara Drewe, de Posy Simmonds :
Avec son nez refait, ses jambes interminables, ses airs de princesse sexy, son job dans la presse de caniveau, ses aspirations à la célébrité et sa facilité à briser les cœurs, Tamara Drewe est l'Amazone urbaine du XXIᵉ siècle. Son retour à la campagne, dans le village où a vécu sa mère, est un choc pour la petite communauté qui y prospère en paix. Hommes et femmes, bobos et ruraux, auteur à gros tirage, universitaire frustré, rock star au rancart, fils du pays, teenagers locales gavées de people, tous et toutes sont attirés par Tamara, dont la beauté pyromane, les liaisons dangereuses et les divagations amoureuses éveillent d'obscures passions et provoquent un enchaînement de circonstances aboutissant à une tragédie à la Posy Simmonds, c'est-à-dire à la fois poignante et absurde. Librement inspiré du roman de Thomas Hardy, Loin de la foule déchaînée, un portrait à charge délicieusement cruel et ironique de l'Angleterre d'aujourd'hui.
Gemma Bovery, de Posy Simmonds :
Exaspérée par l’intrusion incessante dans sa vie des enfants et de l’ex de Charlie, son nouveau mari, Gemma Bovery décide de quitter Londres et de partir s’installer avec lui dans un romantique cottage du bocage normand. Dans un premier temps, c’est la découverte émerveillée des charmes de la French Way of Life. L’existence simple et paisible, les voisins avenants, l’authenticité des choses, le pain merveilleux de Joubert, le boulanger intello de Bailleville. Mais l’exotisme a ses limites. L’argent manque. L’ennui guette. Charlie se laisse aller. Le joli cottage suinte l’humidité. L’authenticité se révèle frelatée et les voisins moins plaisants que prévu. Alors, Gemma prend un amant, sous l’œil inquisiteur de Joubert qui s’improvise chroniqueur de sa déchéance amoureuse. Si le décor, le destin et le nom de l’héroïne nous rappellent quelqu’un, ce n’est en aucun cas fortuit.
Un jour au musée avec les Bidochon, de Bidet :
Raymonde Bidochon, par on ne sait quel miracle, est parvenue à traîner son rustre de mari dans un musée! Le choc culturel est total. Comment va réagir Robert en découvrant les toiles de Picasso, Degas, Bacon, Manet, Soulages ou Bruegel, entre autres? C'est ce que vous découvrirez en lisant ce livre. En association avec les musées des Beaux-Arts de Caen et de Lyon, Binet nous régale des réactions des Bidochon face à ces toiles de maîtres, magnifiquement reproduites. 20 tableaux prestigieux, exposés dans ces musées, ont été choisis par l'auteur, qui a ensuite dessiné les réactions de ses personnages. Et leurs conservateurs nous éclairent aussi sur le contexte historique et de manière ludique.
Le Gourmet solitaire, suivi de Les Rêveries d’un Gourmet, de Jirô Taniguchi :
On ne sait presque rien de lui. Il travaille dans le commerce, mais ce n'est pas un homme pressé; il aime les femmes, mais préfère vivre seul; c'est un gastronome, mais il apprécie par-dessus tout la cuisine simple des quartiers populaires... Cet homme, c'est le gourmet solitaire. Depuis sa première déambulation en 1994, il a conquis, au fil de deux décennies de flâneries propices à des expériences culinaires précieuses et intimes, un public japonais et occidental toujours grandissant. L'intégralité de ses trente-deux repas est ici réunie pour la première fois.
Les Gardiens du Louvre, de Jirô Taniguchi :
Au terme d'un voyage collectif en Europe, un dessinateur japonais fait étape en solitaire à Paris, dans l'idée de visiter les musées de la capitale. Mais, cloué au lit de sa chambre d'hôtel par une fièvre insidieuse, il se trouve confronté avant tout à une forme de solitude absolue, celle des souffrants en terre étrangère, privés de tout recours immédiat au cœur de l'inconnu. Alors que le mal lui laisse quelque répit, il met son projet à exécution, et se perd dans les allées bondées du Louvre. Très vite, il va découvrir bien des facettes insoupçonnées de ce musée-monde, à la rencontre d’œuvres et d'artistes de diverses époques, au cours d'un périple oscillant entre rêve et réalité, qui le mènera pour finir à la croisée des chemins entre tragédie collective et histoire personnelle.
Venise, de Jirô Taniguchi :
Un homme arpente Venise hors des sentiers touristiques, sur les traces de son histoire familiale. Il se surprend parfois à flâner, se perd le long des canaux, s'arrête pour observer. A mesure que les brumes du passé se dissipent, c'est une nouvelle cartographie de la Sérénissime qui se dessine: contemplative et intrigante, majestueuse et intime…
L’Homme qui marche, de Jirô Taniguchi :
Qui prend encore le temps, aujourd’hui, de grimper à un arbre, en pleine ville? D’observer les oiseaux, ou de jouer dans les flaques d’eau après la pluie? D’aller jusqu’à la mer pour lui rendre un coquillage dont on ne sait comment il est arrivé chez soi? L homme qui marche, que l’on apprend à connaître à travers ses balades, souvent muettes et solitaires, rencontre parfois un autre promeneur avec qui partager, en silence, le bonheur de déambuler au hasard…
Furari, de Jirô Taniguchi :
A la fin du XVIIIe siècle, un homme arpente Edo, l'ancienne Tokyo, avec pour ambition de cartographier la capitale, pas après pas. Dix sun font un shaku, six shaku font un ken, soixante ken font un chô, trente-six chô font un ri. Mais si ce marcheur s'efforce, par rigueur scientifique, d'adopter le pas le plus régulier possible, son entreprise se mue bien souvent en flâneries émerveillées face à la beauté de la ville, en observation curieuse de ses habitants, en haltes gourmandes le long des rues, et en rêveries qui lui font redécouvrir les paysages à travers les yeux d'un oiseau, d'une tortue ou d'un chat…
#bd#comics#manga#nouveautés#nouveautés septembre#scénariste : marion achard#dessinateur : yann dégruel#autrice : yoshitoki oima#scénariste : fernando trueba#dessinateur : javier mariscal#scénariste : alan moore#dessinateur : david lloyd#auteur : riad sattouf#autrice : posy simmonds#auteur : pierre binet#auteur : jirô taniguchi
4 notes
·
View notes