#wynfic
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so Kinky Boots was ridiculously fun and I wrote this at midnight on the car ride home. it’s a WIP, part of a bigger thing that I will find time to write who knows when. for the rare person who has not seen the boots Stark Sands wears briefly towards the end of the show, this is from his instagram
“Can I get a jack on the rocks?”
“You got it,” the bartender said, slapping a coaster in front of him. There was a crowd of people at the other end of the bar and she drifted off towards them, and Mike leaned against the bar and waited.
His gaze wandered around the room, looking properly for the first time. When he entered the club, he’d been dazzled by the amount of feathers and glitter everywhere; it had seemed like a rather over the top strip show, to be sure, but nothing fundamentally different. With a more critical gaze, now, he noticed a few unfamiliar elements. Some of the performers were undoubtedly drag queens; their makeup was uniformly excellent, but not all of them bothered to cover bulging biceps or stubble, or even to disguise their voices. And now that he looked again, he doubted all the women were straight, either. A few of them were wearing pinstriped suits and seemed to be devoting most of their attention to the women in the audience. There was an unusual number of those, too. It was the closest Mike had ever seen to an equal-gender audience at a strip show.
Something was wriggling in his stomach, but he laced his fingers together and forced himself to be calm. He was here for Rudy’s bachelor party. It had been Rudy’s idea. There was no need for him to feel any way about it at all.
His scan of the room ended at the corner of the bar, and there he lingered. There was a man leaning against the bar, like him, except he was very obviously a performer. There was a light sheen of makeup on his face, accentuated with eyeliner and coral pink lipstick, and he was wearing some kind of mesh thing that barely qualified as a shirt. The most striking thing about his appearance, though, were The Boots. Scarlet leather, laced halfway up his thighs, with at least a four inch heel. They had to be a devil to get into, let alone walk in.
“What do you think?”
Mike realized he was staring, and he jerked his eyes up. The man was watching him expectantly, and he almost had to reassess; the boots were striking, but so were the man’s eye’s, clear green and sharp. Not defensive—offensive. When Mike didn’t respond immediately he popped his foot.
“Nice, right?”
“Be honest—can you really walk in those?” Mike asked, the corner of his mouth lifting in a smile, and the edge to the man’s face softened. He was young, really, not more than twenty-four and probably younger.
“Well, I’m wearing them for a burlesque dance, and that tends to involve walking, yes.”
“Leaning pretty heavily on that bar,” Mike said. Some part of his mind informed him he was teasing him, but he set that aside for now.
The man raised his eyebrows, sighed, and pushed himself off the bar. He took three steady steps backwards and held out his hands. Then he twirled for good measure, and Mike chuckled.
“Okay, you’ve convinced me.”
“Vodka martini,” the bartender said as she hustled back over to their end of the bar. “Sorry about the wait, Nate.”
“Don’t worry about it,” the man said, waving her away. “I’ve got a tab open. Thanks.” He picked up the glass and turned to go, but his gaze fell on Mike again and he paused for a moment. “Nate Fick,” he said suddenly. “I’m on the schedule for eleven. If you need anymore proof.”
“I’m already sold. But yeah, I think I’ll be sticking around. Mike Wynn.”
He held out his hand to shake, but Nate breezed right by it. He touched a hand to Mike’s shoulder lightly and bumped their cheeks together in a vaguely European kiss kind of way. Despite his attire, he was wearing men’s cologne, and Mike found himself inhaling with the faintest shiver.
“Pleasure.”
He walked away, and almost despite himself Mike looked over his shoulder. There was a swagger to his step; he showed no discomfort with his ridiculous boots, which incidentally were doing pretty great things to an ass already displayed to advantage in white leather shorts.
“That’s Nate,” the bartender said mischievously. Mike turned back to the bar.
“Yeah, I got that.”
“He’s pretty awesome.”
“I ordered a jack on the rocks,” he reminded her.
“Coming right up,” she chuckled.
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Chapitre V / Tome I
Vendredi 12 Septembre Point de vue, Niall.
_______Je ne sais pas ce qu'il y a de pire. Que je sois mort d'inquiétude pour Sara, que je ne connais que depuis la rentré, soit depuis 9 jours, et que je ne lui ai parlé que pendant deux jours ou que je sois le seul, autre que certains profs, à m'inquiéter pour elle. Mais le pire dans tout ceci, c'est que tous le monde s'en fou, de ce qui peut lui arriver. _______Quand j'arrive devant la chambre 307 de l'hôpital où elle a été hospitalisée, il y a quelqu'un. Surement sa gouvernante. Elle m'invite à entrer et à rester auprès de Sara, comme si j'étais un de ses amis.. Elle à l'air si triste. Elle me raconte que Sara est dans le coma depuis 5 jours, et que si tout ce passe bien, elle devrait se réveiller bientôt. Les médecins ne savent juste pas quand. _______Aux environs de 19h30, elle ouvrait les yeux. J'étais tellement heureux que je ne pouvais pas m'empêcher de la prendre dans mes bras. J'ai tellement eu peur qu'elle .. qu'elle.. enfin, vous voyez .. - Tu m'étouffe blondinet ! - Désolé.. Désolé. Ca va ? Tu va bien ? - Oui, oui.. Oh mon dieu, Blondinette pleure ! - Te fou pas de moi, c'est une poussière c'est tout ! - M'ouais. Pourquoi t'es là ? - Tu étais dans le coma.. DANS LE COMA ! - Hey t'énerve pas.. _______Elle toussait. Elle me demandait si je pouvais lui passer l'eau, sur la table a coté de moi mais je continuais à la regarder. Elle était si belle comme ça. A moitié endormie avec sa voix enrouée. - Niall.. - Oh oui, l'eau. Tiens ma belle. - Merci.. Au faite, t'a dis j'étais dans le coma.. C'est vrai ? - Oui, pendant 5 jours.. D'ailleurs, ne regarde pas ton portable.. _______Elle l'avait regardé quand même et elle s'était un peu foutue de ma gueule parce qu'en plus d'avoir laissé des messages comme ça, j'avais osé chialer devant elle. A mon avis elle m'a pas cru pour la poussière.. Tellement bateau comme excuse. Je lui parlais pendant une heure, peut-être deux et elle avait insisté pour que je ne l'a laisse pas seule cette nuit. Elle avait peur du noir.. Non mais vous y croyez vous ? Peur de noir, a son age. Le problème c'est qu'elle avait tellement l'air effrayée que j'avais cédé.
Lundi 15 Septembre Point de vue, Sara.
_______Je suis de retour chez moi. Je ne sais pas si je dois m'en réjouir ou pas. Mais d'abord, laissez moi vous dire un truc. Niall a été le plus gentil garçon de toute la Terre avec moi depuis qu'il m'a vu à l'hopital. Le lendemain de mon réveil, je l'ai trouvé en train de dormir sur moi. Enfin, il avait sa tete sur mon ventre. J'ai trouvé ça tellement adorable que j'ai essayé de me rendormir pour le laisser dormir un peu. Puis deux heures plus tard, vers 10h, quand je me suis re-reveillée, il venait tout juste de rentrer du Starbuck qui est a quelques minutes de l'hopital, où il avait été me chercher un chocolats chaud, parce que Nancy lui avait dis que j'adorais ça. Je ne crois pas que quelqu'un, à part Nancy, m'ai déjà apporté un chocolat chaud spécialement pour me faire plaisir. On a passer la journée à regarder des films qui passaient à la télévision et il a encore dormis avec moi. Quand je suis rentrée chez moi hier, après avoir passé une séries d'examen qui n'en finissaient jamais, c'est LUI qui m'a ramené. Il a aussi proposé de venir me chercher ce matin pour aller au lycée mais j'ai refusé. Je ne veux pas qu'il ai des problème par ma faute.. Alors il a accepté. Ne croyez pas qu'il est comme Luke. Je lui ai dis que je préférais y aller seule parce que je ne savais pas si j'allais y aller ce matin ou cette après midi. Bien-sûr, je savais que j'irai ce matin. _______En faite, je sais très bien qu'il n'aura jamais de problème par ma faute. C'est un garçon libre et indépendant. Il m'a dis qu'il avait une bande d'amis ici, qu'ils étaient tous proche les uns des autres. Bien-sûr, j'aurai pu savoir de qui ils s'agissaient si j'avais fait gaffe à qui il parlait ou avec qui il traînait à part les mecs de l'équipe qui sont dans la même classe que nous. Je ne sais pas si je peux réellement avoir confiance en lui, mais ce que je sais, c'est que je vais vraiment perdre si il continu à jouer le gentil petit garçon, qui prend soin de moi etc.. Et si ce n'est qu'un jeu à ses yeux ? Alors là, je peux vous dire qu'il se fera demonter par une fille et que je ferai ça devant tout le lycée, quitte à me prendre des coups par tous le monde après.
« La vie est comme un livre. Ne saute aucun chapitre et continues de tourner les pages. Tôt ou tard, tu comprendras pourquoi chaque chapitre était nécessaire » _______En arrivant au lycée a 7h30, j'étais a 90% sûr de ne croiser personne. Les gens ici arrivent plus souvent vers 8h, soit 30 minutes avant les cours. Vous vous souvenez quand j'ai dis a Luke, ou à moi même d'ailleurs, que le destin était contre moi ? Vous ne me croirez jamais si je vous dis QUI était là, avant moi, devant la salle où j'avais cours une heure après... - Sara ? C'est bien toi ? Tu vas bien ? - Lucas Robert Hemmings.. Qu'est ce que tu fou ici à 7h30 ? - Je te retourne la question. Et répond ! Comment tu vas ? - Je suis venue plus tôt pour ne pas croiser ta sale gueule. Ironique n'est-ce-pas ? - T'es têtue, je l'avais presque oublié.. _______Je décidais de partir d'ici. Une minute de plus et il se serai passer quelque chose de pas très plaisant pour lui. Et je sais que ça me serai retombé dessus alors.. Je retournais dehors, prendre l'air. Réfléchissant à où j'irai pour ne voir personne avant la sonnerie mais, avec Luke devant notre salle de classe, c'était pas gagné. Vous vous demandez surement pourquoi je veux ABSOLUMENT attendre devant la salle de cours. C'est très simple. Ici, personne n'y va avant la sonnerie. Je suis l'une des seules personnes ici à le faire. C'est pas que j'aime ça, les cours, mais j'aime être tranquille, dans mon coin. Des habitudes de solitaire, je sais. Entre le moment où j'étais dehors il y a cinq minutes et maintenant, il s'est mis à pleuvoir.. mais genre, beaucoup ! J'adore ça, la pluie. Quand j'étais petite, chaque fois qu'il pleuvait, je courais pour être en dessous. C'est donc avec cette logique que je ne peux pas m'empêcher d'aller en dessous. Je passe sans doute pour une folle mais je suis comme ça.
Point de vue, Niall.
_______Il pleuvait. Non mais, depuis quand il pleut comme ça alors que c'est a peine la fin de l'été ? D'habitude, on a un beau temps non-stop jusqu'à mi-octobre, fin septembre minimum. Mais non, là, le temps avait décidé de bien me faire chier. Bon, je suis en voiture, c'est pas comme si j'allais au lycée à pied mais quand même.
« L'imperfection est beauté, la folie est génie et il vaut mieux être totalement ridicule que totalement ennuyeux » _______Quand j'arrivais au lycée et que j'avais garé ma jolie voiture, parce que oui, j'aime ma voiture, j'attendais les gars devant le lycée. Ce qui est bien quand on est à ma place, dans l'équipe de football, c'est qu'on a toujours deux bandes de potes. L'équipe, et les autres. Les vrais amis, si vous préférez. Moi, j'ai la chance d'avoir l'un de mes meilleurs amis dans l'équipe, ce qui fais que je ne suis jamais trop dépaysé de mes autres meilleurs amis. Mais les attendre sous la pluie, c'étais moins cool. Je me décidais à rentrer dans le lycée, les bâtiments quoi, quand je l'ai vu. Elle était en plein milieu de la cours, avec ce sourire, vous savez, ce sourire magnifique qu'a une fille quand elle est réellement heureuse.. Et bah elle l'avait. Je ne l'ai jamais vu sourire comme ça. Oui, en quelques jours, vous aller me dire, c'est normal mais quand même. Je doute qu'elle sourit comme ça souvent. Cela se lit sur son visage. Elle est toujours triste. Mais pas là. Je m'approchais doucement d'elle, dans son dos, pour essayer de lui faire peur. Et c'est que ça marchait. - Bouh ! - AAAAAAAAAAAH MAIS CA VA PAS ? Oh, Niall.. Tu m'as fais peur blondinet, j'aurai pu avoir une crise cardiaque ! - Désolé, c'étais beaucoup trop tentant. Tu va bien ? T'aurai du me dire, je serai venu te chercher. - J'ai décidé au dernier moment de venir. Puis.. Y'a du monde devant la salle de cours.. - Aller, viens ! On y va. T'es toute trempée ! - J'adore ça, la pluie.. - Je vois ça, mais tu va attraper quelque chose et je veux pas que tu retourne à l'hopital. _______Je lui souriais et elle me le rendis avec un autre de ses jolies sourires. Quand on arrivait devant la salle, il y avait déjà Luke, que j'allais saluer. Il regardait Sara avec.. Je sais pas comment expliquer. Colère ? Regret ? Jalousie ? A mon avis, c'était de la colère. Sinon, je vois pas pourquoi lui et les autres gars de l'équipe lui aurai fait subir des choses pas très.. sympa. On avait cours de Littérature, comme tous les Lundis matin jusqu'au moins de juin.. Dix moi de cours, c'est terrible. Sara se tenait à distance de moi, à l'opposé de là où se trouvait Luke. Plus elle s'éloignait de moi, plus je me rapprochais. Faudra qu'un jour elle comprenne que je ne suis pas les autres. Jamais je ne l'a blesserai.
« Ils n'étaient pas toujours d'accord, en fait ils n'étaient jamais d'accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fous l'un de l'autre... » _______La journée était passée super vite. Je me suis placé à coté de Sara à chaque cours, et à chaque cours j'ai cru qu'elle allait m'en mettre une parce qu'à chaque cours elle me disait que la prochaine fois, j'y aurai le droit. Je ne sais pas pourquoi mais j'adore la charier comme ça. Elle m'a envoyé 20 sms pour me dire que j'étais un gros con et que si elle avait des problème à cause de mon comportement, mes couilles prendraient chère. Je sais qu'elle essaie de m'éloigner d'elle, mais c'est même pas la peine qu'elle y pense. Depuis que je l'ai vu sur ce lit d'hopital, inconsciente, je ne peux m'empêcher de vouloir la protéger. - Sara, tu rentre avec moi ? - Chez toi ? T'es un malade toi.. - S'il te plait ! Je veux te présenter mes meilleurs amis et je te promet qu'ils ne sont pas comme les gars de l'équipe. S'il te plait.. - Ils sont du lycée ? - Oui - Alors non. _______Si je vous dis que j'ai réussi à la traîner jusqu'à chez moi, vous me croyez ? Non ? Vous avez raison.. Tant pis pour elle, demain matin, elle verra mes meilleurs amis et elle verra bien qu'ils sont différents. De plus, ils ne m'ont jamais rien dis de mal sur elle. ______________✉ Je peux te demander quelque chose ? ______________✉ Ce que tu veux. ______________✉ T'es sincère ou tu veux juste gagner ton pari ? ______________✉ Je ne joue jamais. Même quand je veux gagner. ______________✉ D'accord.. Bonne nuit blondinet. ______________✉ Bonne nuit, Sara. Xx
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#Write Your Name#WYNFic#Louis Tomlinson#Liam Payne#One Direction#Niall Horan#Harry Styles#Zayn Malik#Luke Hemmings
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Nate/Wynn
“Let’s give it time. If we’re gonna do this, let’s do it right.”
#wynfic#wynnfic#aesthetics#not the best one I've ever done tbh#I couldn't get the colors balanced right#but hey the FEEL is what I was going for
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nate/wynn + "Stop trying to cheer me up!"
“This is not good,” Nate mumbled again, chewing the end of his pen, and Mike paused the DVR.
“What’s going on?”
“Hm?” Nate glanced up and blinked at Mike and the screen as if he was startled to find them in the room. “Oh, nothing. Go ahead, you can keep watching.”
“It’s nothing interesting anyway. What’s not good? Also, why the hell are you so far away?”
Despite his apparent distress, Nate managed a grin, and unfolded himself from his position in Mike’s favorite big comfy armchair. He stretched as he stood, cracking something in his back, and his dark blue Berkeley t-shirt rode up on his stomach. He was wearing pajama pants that hung low on his hips, and two days ago that probably would have been enough to interrupt their conversation entirely. But they had had plenty of time to reacquaint themselves since then, and Mike was able to not ravish Nate when he sat down again, this time on the couch, and curled up against Mike’s shoulder. He was clutching a sheaf of paper, and he smacked the front sheet for emphasis.
“I’ve got fifty-two quizzes and fifty-two essays to grade, I’m only two-thirds of the way through the quizzes and I’ve had to give ten grades under 70. And some of these are such stupid mistakes! Like mixing up countries–I don’t expect you to be mixing up any countries by Thanksgiving break, honestly, but I’ll grudgingly allow it for something like Yemen and Oman, or Kyrgyzstan and Tajikistan. But Turkey and Saudi Arabia? No!”
“The nerve,” Mike drawled. Nate craned his head to glare at him.
“This is actually serious. We’re well into the early modern period now, and students are still confusing two of the major influential players.”
“I know it’s serious, baby,” Mike said soothingly, pressing a kiss to his temple. “I’m just sayin’, you can mark ’em down and move on. No use getting yourself all worked up about it.”
“Fine,” Nate huffed. “If you’re okay with the fact that the US is currently at war with two Muslim-majority countries, that complex theology and history is regularly being reduced to two-second soundbites on the news, and that I have eight students attending the highest-ranked public university in the country who think the Arabic word for a protected monotheistic group is hummus, then sure, I’m okay with it, too.”
“Okay, yeah, that’s probably not good.” Mike paused. “Dhimma?”
“Full marks,” Nate smiled. He gave Mike a peck on the cheek and wiggled, adjusting so he was leaning against Mike’s chest and thus freeing up both arms for grading. He set aside the top quiz and scanned the next one in the pile. “If this is what the quizzes are like, I’m dreading the essays. They’re only four to five pages, but…”
“Do you really have to do all of this on your vacation?”
“I’m sorry,” he frowned. “I know it’s getting in the way, but–”
“Nah, I didn’t mean it like that. Being in the same room is enough for me, and if you’ve got work I’m a grown man who can entertain himself without whining. I was thinking more about how traveling from Berkeley to here to Baltimore and back sounds like enough to keep you busy. You didn’t want to take a real vacation?”
“I promised I’d get these back before they turned in their papers, so I really need to finish the quizzes at least.” He snorted. “Brad suggested I need to drink more whiskey when I’m grading. Ray says I should give everyone a B minus and watch them implode. Sad thing is, for some of these people that would be a significantly higher grade.”
“Well, look on the bright side,” Mike said. He wrapped an arm around Nate’s shoulders and kissed him again, this time just at the nape of his neck. Their libidos may have been temporarily sated, but damn, he was really enjoying this cuddling shit. “In four and a half years you’ll be done with your program, and most of these kids will be just graduating. That gives you–what, three years to fix the Middle East before they really start fucking shit up? Plenty of time.”
“Stop trying to cheer me up. But--yeah, keep doing that.”
“This is not going to get your grading done,” Mike murmured as he trailed his mouth down Nate’s neck, then up again on the side, beneath the hollow of his ear. Nate leaned into his touch and tossed the papers onto the couch beside him.
“Fuck it. I’m on vacation.”
#wynfic#I might have to write like two dozen more things in this verse by the by#my fic#series: gen kill#wynnfic#guygardsner
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GK Bingo: Cross-dressing, Wynn/Fick
This fic needs some introduction. 1) cw for homophobic language. 2) this is a stand-alone follow-up to this WIP I posted after going to see Kinky Boots. 3) these are the boots Stark Sands wears for one scene in Kinky Boots. 4) shoutout to @antiquecompass for coming up with SEVERAL potential songs for Nate in this fic, including what I ended up going with. (@onlythenuns and @lovenolo also had suggestions, which I might use in any later installments of this verse, which is very fun and which I would like to write more of.)
“Why are there faggots here?” Trombley asked, just a little too loud, and the marines fell over themselves trying to reprimand him. Ray hissed “shut the fuck up,” Lilley said “brah, that’s not cool” in a disappointed voice, Brad slapped him in the back of the head, and Poke asked the group at large who had invited this motherfucker in the first place.
Mike’s first instinct was to look around and see if any of the crowd had heard. There was a performance happening on the main stage, and the room was pretty loud overall. Trombley’s inelegant question might have gone unnoticed—but of course they weren’t that lucky. He had bumped into a dancer at the bar earlier, and of course the man (Nate) was standing not fifteen feet away, with his eyes narrowed at the knot of marines. He glanced at Mike’s face, and Mike opened his mouth to apologize on Trombley’s behalf.
But before he could get a word out, the dancer winked. Mike had no idea what to make of that, and then suddenly the dancer was sauntering over to their curved booth, as casually as a man in red leather thigh-high boots with a 4-inch platform heel could be.
“Evening, boys,” he said cheerfully. “Let me guess—first time?”
Despite the innuendo in his words, his voice was casual and matter-of-fact, and that threw Trombley off guard. He frowned at Nate for a moment and then turned to Brad and said “I thought we were going to a strip show.”
“Good thing, ’cause that’s where you ended up. Welcome to the Rocky Roxie bimonthly egalitarian GLBT-friendly burlesque. Best in LA. Do you mind?” he asked, gesturing to the space at the end of the booth next to Mike.
“Go right ahead,” he said. He gestured with the hand holding his drink, and then took a sip to hide his expression in case the other guys looked at him funny. Mike had pretty good control over his own features—you didn’t get far as an enlisted man if the officers could read every thought on your face—but his mouth had moved faster than his brain, in this instance, and he didn’t want them to see if he was embarrassed.
“Thanks,” Nate said with a charming smile. Then, graceful as a cat, he sat down in the booth and swung his red-leather-clad-legs over Mike’s lap.
So much for being stoic. He was pretty sure his cheeks were the same color as the boots.
“So. Alamitos or Seal Beach? Or did you boys drive all the way up from Oceanside?”
“How the fuck—” Ray began.
“High and tights all around,” he said, waving vaguely at their heads. “Lucky guess.”
“I’m fucking leaving,” Trombley announced. He stood up with a pointed look at Nate, and Brad rolled his eyes.
“Sit the fuck down, Trombley. That’s a fucking order, lance corporal,” he added, and the other man grudgingly sat. “The guest of honor isn’t even here yet. You sit, you wait, you say congratu-fucking-lations, you give him your five dollars, and then you leave.”
“Yeah, sarge,” Trombley muttered. Then he stood up again. “I’m going to get a drink,” he said defiantly.
“Oh, honey, could you get me a vodka martini?” Nate called. Ray cackled, and the back of Trombley’s neck turned red. “I have a tab open, you wouldn’t even have to pay—God, sometimes it’s too easy,” he snorted, falling back against the booth as Trombley stomped away without acknowledging him at all. “So—must be Oceanside. That’s a long way to come for our cozy little show.”
“One of our sergeants is getting married,” Lilley explained. “He can’t have the whole unit at his bachelor party, ’cause we’d break the town, but we told him we’d take him out to a strip club, and this is what he chose.”
“Well, it is the best in the business.” He draped an arm around Mike’s neck casually, eyeing the bar, and Mike rolled his eyes and smiled. “I should have guessed Oceanside straight off—we get a lot of marines here.”
He winked at Brad, who eyed him dubiously.
“You do not.”
“We get enough. More sailors, though, it’s true. Whether that’s proximity or something else, I’ll leave it up to you to decide.” He paused, and some of the humor faded from his voice. “I almost joined the Marines.”
“You know, that’s funny,” Poke laughed. “I almost became a stripper.”
“Look, all due respect, marines don’t give a shit about almosts,” Brad said, tossing back his drink. “It’s some kind of compulsion for you people—everyone who’s ever seen that fucking commercial just has to tell a marine about how he thought about joining the Corps for five whole minutes.”
“Whoo-hoo, dress blues with a sword!” Lilley chorused on cue.
“I did three and a half years of ROTC.”
“Hold the fuck up,” Ray said loudly. “You were going to be an officer? That’s it, homes, you’re gonna have to go. I don’t think we can hang out with someone whose lifestyle and morals are so profoundly counter to our own.”
“You did ROTC?” Brad repeated. “Marine Corps ROTC?”
A ghost of a smile flitted across Nate’s face.
“Navy ROTC, Marine option, UC Berkeley.”
“What happened with the last half year?” Poke asked.
“Did you flunk out?” Ray asked solemnly. He was drinking something fruity and ridiculous, with an umbrella, and Mike wondered how many he had already had—his tongue seemed to be turning blue. “Makes sense, Berkeley is famous for enrolling dumbasses.”
“I wasn’t actually a student at Berkeley—I was at Stanford. They have an affiliation. As for what happened…” He paused for a moment. Then, suddenly, he swung his legs off of Mike’s lap. He clacked his heels together like Dorothy and leaned forward with his hands on his knees. “Gentlemen, I don’t want to shock you,” he said in a very serious voice. “But it can’t be helped. I am—a homosexual.”
Ray gave an obliging gasp.
“I know, I hide it very well. I did when I was in college, anyway. Then, for my birthday senior year, some friends took me to a club in San Francisco. As it happens, I stayed out too late. The trains had stopped running, and a new friend very kindly offered to let me stay the night.”
Lilley and Ray whistled. Nate held up a hand in sheepish acknowledgement.
“Yeah, well. The next morning, he escorted me to the station. Some of the other ROTC guys were going the other way, and they saw him bidding me a fond farewell, and that was that. The CO was a bit of a DADT hardliner.”
“Wait, DADT applies to ROTC, too?” Ray asked. Brad cuffed him in the shoulder.
“Obviously, dumbass.”
“’Course it does, dog. You can’t un-tell something once it’s out.”
Ray tried to defend his ignorance, and the other marines insulted him. Mike looked at Nate. He had told the story with humor, and it was a few years removed at this point, but there was a kind of wistfulness on his face as he watched the marines shoving at each other. Was he picturing how his life would have been different, if he hadn’t been caught? Was he still bitter about it, or had it turned out to be a blessing in disguise? He had to be a lot freer now than before. He clearly enjoyed doing this burlesque thing, and flaunting in front of guys like Trombley. And flirting with guys like Mike.
On the other hand… three and a half years of commuting between Stanford and Berkeley, taking on extra classes and drill, planning for a career as an officer… that wasn’t nothing. And to have that ripped away because you went out and got laid on your fucking birthday—shit.
“That’s some bullshit,” Mike said in a firm voice. Nate was startled out of his reverie, and he flashed Mike a charming smile and rested a hand on his chest.
“You’re sweet.”
“Yeah, seriously, homes,” Ray chimed in. “Those guys sound like some fucking POG douchebags.”
“It all worked out,” Nate said with a shrug. “Olive drab was never my color anyway.” The red leather of his boots glittered in the lights as he crossed one leg over the other.
Before the conversation could pick up again, Trombley dropped back into his seat with a half-empty beer.
“Rudy’s here,” he grumbled.
Mike looked up at the entrance and saw Rudy, followed by Pappy and Walt, beaming at the group and lifting his arm to get their attention. Then his gaze settled on Nate, and his jaw dropped.
“Nate?!”
“Rudy!”
Nate leapt up from the couch, and quicker than should have been possible in those boots he was across the booth, hugging Rudy Reyes tight and getting body glitter all over his tight black t-shirt.
“It’s so good to see you! Shit, brother, I thought you were going to quit drag?”
Nate held Rudy at arm’s length and laughed, shaking his head.
“God, Rudy, every time I almost forget that you’re straight, you go and say something stupid like that and I remember. This is not drag.”
“That is not drag?” Ray repeated dubiously. “Also, what the fuck, you know Fruity Rudy?”
“This is not drag, as per the rules established by vice squads throughout history. Two pieces of men’s clothing means I’m off the hook.”
“You’re wearing two pieces of clothing?” Brad said with his eyebrows raised, and Nate batted his lashes. Aside from the boots, he was wearing a very short pair of shorts and a top that looked more like a fishing net than a t-shirt.
“Wouldn’t you like to find out? This is barely cross-dressing and certainly not drag. And of course I know Rudy; his girlfriend—sorry, fiancee—and I are both at UCLA. Different programs, but her office is right across the hall from mine. I should have known they belonged to you,” he said to Rudy, shoving playfully at his chest. Mike felt a surge of jealousy run through his veins and knew it was ridiculous. “They’re very good sports. Especially Mike,” he said with a smile.
The jealousy dissipated and was replaced by an emotion he didn’t recognize—it felt like sunshine warming bare skin. Mike smiled back, and only belatedly realized the marines on the couch were all staring at him with confusion on their faces. Shit—they had never actually introduced themselves, had they?
“We met at the bar, earlier,” he explained.
“That’s right, we’re practically old friends. It’s Nate, by the way, Nate Fick.”
The other guys introduced themselves—although Trombley only mumbled his last name—and then Nate turned back to Rudy.
“Listen, I have to go—I’m going to be on the main stage soon. But I’ll drop in again later, okay?”
“You better, my man,” Rudy grinned. “What are you dancing to? Is Lola still your song?”
“Here? Nah. Wrong energy. Tonight we’re going with Pour Some Sugar on Me.”
“Good song,” Mike said without thinking, and Nate grinned at him.
“Thanks, sugar. Gentlemen, enjoy the show.”
He waved and disappeared through the crowd. Mike watched him go.
A sigh escaped him as he sat back against the booth and turned his head towards the other marines. They were talking to each other, gesturing, leaning close, laughing, but it was all a jumble of noise to him. He sat there for a few minutes, listening mostly to the buzzing in his ear, and then brought his glass to his lips. It was empty except for a small, melting ice cube that tasted only weakly of whiskey. A drink. He could use another drink.
He clapped Rudy on the back before he got up and made his way back to the bar.
“Another Jack and Coke, please,” he said to the bartender.
“You got it.” She poured his drink and pushed it towards him. “Don’t worry about it,” she said when he reached for the wad of cash in his pocket. “It’s on Nate’s tab. One for you and one for Rudy, he said, so don’t let your friends get ideas. Here.”
She handed him a folded cocktail napkin and walked over to the end of the bar to serve another patron. Mike flipped over the napkin.
I could tell Trombley was pissing you off, too, but you didn’t have to play along, so thanks. Plus this makes up for any of the glitter I got on your clothes. Nate.
The note made Mike smile. He stared down at it for a long moment; the other man at the bar was ordering for a group, so the bartender was busy pouring drinks and didn’t bother him. He should get back to his table. Most of the guys had arrived, and Rudy was here, and they were probably going to get some of the female performers to come over to their table, and he should be there for that. He was at the club with a group of other marines—this was not the time to be doing this.
Someone had left a pen on the bar when they signed their receipt. Mike picked it up and scrawled his cell phone number across the bottom of the napkin before he could talk himself out of it.
He should add a note, he thought nervously, to remind Nate not to leave a message or anything like that—but there was no room left on the napkin. Besides, it would be fine. Nate was a smart guy and he would figure it out. He was a frigging PhD student, for God’s sake… Stanford grad….
This is a fucking bad idea.
“Step inside—walk this way—you and me babe—hey hey!”
A grin tugged at his lips. Mike took a healthy gulp of his drink and folded the napkin in half. He waved at the bartender to get her attention and held up the note.
“Could you give this back when he closes out?”
“Sure, no problem.”
“Thanks.”
He straightened up and started to walk back towards the marines’ booth, but before he could get there his steps slowed. He turned towards the main stage to watch, for just a second. Nate was strutting down the short runway, hips swinging in time with the melody. There was black and glittery gold eyeshadow framing his eyes now, and he had acquired a top hat, a black leather vest, and a red feather boa. He looked ridiculous. He looked like he was having the time of his life. God, he was stupidly attractive.
Somehow, Nate picked him out of the crowd. He winked and shimmied his shoulders, and Mike couldn’t help but grin back.
“Rock on,” he mouthed, holding up his hand in the classic rock and roll salute, and for a second Nate laughed and went off-beat. He recovered quickly, though, and Mike returned to his marines. He felt like he was walking on air.
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Chapitre IV / Tome I
Lundi 8 septembre Messages de Niall à Sara
✉ Salut ! Alors la belle au bois dormant, t'a décidé de sêcher les cours et même pas tu dis à moi ? On aurai pu sêcher ensemble ! (9:00) ✉ Je m'ennuie en cours. On a Histoire tu sais.. Le prof est chelou laisse tombé on dirai il s'est prit une cuite hier soir et qu'il a pas décuvé ! (9:35) ✉ En faite, tu fais une grasse matinée pétasse ! (10:24) ✉ Bon appetit ! ( N'hésite pas à m'envoyer un sms quand tu sera reveillée !) xx (12:20) ✉ J'ai essayé de ne pas te harceler de messages cette aprèm mais ça t'empechais pas de m'en envoyer au moins un x) (17:15) ✉ Bonne nuit .. (22:45)
Mercredi 10 septembre
✉ T'es encore absente et je sais pas ce qui m'inquiète le plus. Ton obstination à ne pas me répondre, ou la gueule de la prof de Litterature quand elle a fait l'appel et que tu n'a pas répondu. (8:35) ✉ Pourquoi les profs trouvent ton absence chelou ? T'es une surdouée c'est ça en faite. Tu ne sèche jamais mais t'as décidé de te rebeller? (11:15) ✉ J'appel chez toi ce soir, d'accord ? Répond au moins à ça ! (13:20) ✉ Ta gouvernante m'a dis que je devais être patient... J'ai tellement rien compris à ce qu'elle me racontait que j'ai raccroché.. (18:03) ✉ BON D'ACCORD c'est elle qui à raccroché. (18:05)
Vendredi 12 septembre
✉ J'ai VRAIMENT eu du mal pour savoir ce qu'il t'arrivais. Je passe te voir après les cours.. Je t'en supplie, reste. (10:52)
#One Direction#WYNFic#Write Your Name#Niall Horan#Louis Tomlinson#Liam Payne#Zayn Malik#Harry Styles#Luke Hemmings
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Chapitre II / Tome I
Lundi 23 juin Journal de Sara
_______Cher journal, aujourd'hui, nous sommes le 23 juin. Le lundi 23 juin. Je suis chez moi. Enfin, chez mes parents . Luke m'a viré de chez lui pour que ses potes puissent dormir chez lui, s'entraîner et aller en plus de ça aux entraînements prévue par l'entraîneur au lycée. Voilà, je parle comme lui, à donner des excuses a ce connard qui viens de m'abandonner pour ces gens qui ne sont même pas de vrais amis. Je suis sa meilleure amie, enfin je le pensais, et il me jarte de sa vie, comme ça ! Il me connait pourtant mieux que personne, il sait de quoi je suis capable.. Pourquoi il me fais ça ? Pourquoi, alors que je venais de lui dire que j'avais envie d'être avec lui ! J'en reviens pas.
« Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d'être avec quelqu'un ? Pour finir par avoir le cœur brisé... »
- D
_______J'ai l'impression qu'au fond de lui, ça lui fait du bien, d'être débarrassé de moi. C'est vrai quoi, on s'est toujours connu. Nous avons toujours été amis, c'est mon meilleur ami depuis toujours. Je n'ai jamais pensé qu'un jour ça se terminerait comme ça. Je ne pensais déjà pas qu'il laisserai ces gens me taper dessus comme ça. Je sais que c'est ma faute, que c'est moi qui lui ai dit de laisser courir, que j'en avais rien à faire, que cela ne m'ateingnais pas mais j'ai menti. J'ai menti pour le protéger, parce que c'est ce que font les amis non ? Ils se protègent mutuellement. En faite, je crois que ça à toujours été comme ça. Je suis toujours passée après tous le monde dans le coeur de Luke, mais on ne s'en est jamais rendu compte parce que pour nous, ça a toujours été comme ça. Enfin, pour lui. Pour moi, il passait avant tout. Avant moi. Avant mes rêves.
« On dit que rien n'arrive par accident, on se prend parfois la réalité en pleine figure, et parfois, elle s'impose lentement à nous, malgré tout nos efforts pour l'ignorer.. »
- B
_______J'ai l'impression d'être une ingrate en ce moment même. C'est vrai, comment je peux me permettre de parler de lui comme ça dans mon journal, alors que sans lui, j'aurai sans doute dû aller rejoindre mes parents dans leur nombreux déplacements. Ils auraient fini par me detester, et j'aurai fini en penssionnat pour jeunes filles où j'aurai vécu l'enfer totale. _______PS : Nancy est revenue quand j'ai dis a Maman que j'étais rentrée. Heureusement. Je n'aurai jamais pu survivre un jour de plus ici, toute seule, dans le noir...
Mercredi 3 septembre Journal de Sara
_______Cher journal. Putain c'que c'est idiot de faire comme si je parlais à mon journal alors qu'en faite, c'est juste un putain de monologue. C'est vrai quoi, toi, t'es en papier ! EN PAPIER ! T'imagine même pas la chance que tu as sérieusement. Si j'étais en papier, j'aurai pas eu des “vacances” comme celles que je viens de passer. Sincèrement, c'est quoi le but de la vie ? Nous détruire, nous amener au plus bas, pour qu'ensuite on se galère à remonter.. Et qu'elle nous fasse replonger ? Je ne vois pas pourquoi c'est une salope comme ça.. Tu pense que son mec l'a trompé ? C'est obligé que ça soit ça. Ou elle a perdue son petit chien. Ou elle a ses règles.. Même moi quand j'ai mes règles je pète pas des crises comme ça ! Ce sera court aujourd'hui, parce que devine quoi ? J'ai cours dans une heure. UNE HEURE. Si les parents ne m'avaient pas obligé, menacé serai plus juste, d'y retourner, j'aurai pu dormir. Et mon dieu, qu'est ce que tu sais toi, à quel point j'ai besoin de sommeil.. Surtout en ce moment. Bon, je vais aller me préparer. Je te dirai comment ça c'est (mal) passé ce soir.
Journal de Luke
_______C'est la rentrée. ENFIN. Je sais qu'avec Sara s'est.. tendue. Mais je vais quand même pouvoir la revoir. Elle m'a manqué, ma petite Sara, avec ses jolies cheveux roux, que seule les rayons du soleil font apparaître ses reflets rouge. Ses formes que j'aime tant, son jolie sourire. Tout en elle m'a manqué, pendant ces deux long mois sans elle. J'ai appelé chez elle plusieurs fois cet été. C'est Nancy, sa gouvernante, qui m'a répondu à chaque fois. Elle m'a dis que Sara ne voulait pas me parler, ni à moi, ni à personne. Elle m'a aussi dit qu'elle traversait une sombre, mauvaise, période. Mais elle a refusé de m'en dire plus. Je ne sais même pas si c'est grave ou non. Je ne pense pas, j'aurai été le premier au courant, mais quand même. Ce soir là, j'aurai dû lui dire. Lui dire que je l'aimais plus que tout au monde. M'aurait-elle cru ?
#One Direction#Write Your Name#WYNFic#Louis Tomlinson#Niall Horan#Liam Payne#Diaries#Harry Styles#Zayn Malik
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Chapitre I / Tome I
- Connasse ! Un coup de poing. - Salope ! Encore un coup de poing.
_______Chaque jour je l'a vois, en train de se faire brutaliser par les brutes du lycée, et par leur garce de copines. Mais chaque jour, je ne peux rien faire pour l'aider, parce que si j'ose l'aider, je perds tout. Ma place de capitaine de l'équipe de football et ma popularité. Je sais, vous devez penser que je suis égoïste de laisser ma meilleure amie dans la merde, juste pour une question de popularité. Le problème qui se pose, c'est que le basket peut me permettre d'aller à la fac. Pas que j'ai besoin d'une bourse, au contraire, mais j'ai besoin d'être pris dans une université de Droit pour mes compétences sportives. En réalité, je suis tellement nul en cours, que si j'ai mon diplôme de fin d'étude, ça tiendra du miracle. Mais vous savez ce qui m'étonne le plus dans tout ça ? C'est que chaque soir, quand je rentre à la maison, elle est là. Qu'il soit 17 heures et que je rentre des cours, ou 20 heures après l'entrainement de football, elle m'attend avec le plus beau des sourire. Un vrai sourire, sincère. Comme si la journée avait été bonne. Cela fait déjà deux ans qu'elle vit ce cauchemards. D'abord au collège, lors de notre dernière année, puis cette année, au lycée. Malgré ça, je ne l'ai jamais entendue se plaindre que ça n'allait pas. J'aime vraiment cette fille, et je l'admire énormément. Sara vit chez moi depuis qu'elle a 15 ans. Ses parents, et les miens, ne sont jamais à la maison. Ils ont montés un cabinet d'avocat, Hemmings&James, il y a 10 ans et depuis, il est devenu le plus grand cabinet d'avocats du pays. Et comme elle a peur du noir et de la solitude, nous installer dans la même maison était plus pratique nous et nos parents. Et tous le monde sait que, de ce fait, Sara et moi on est très proche et du coup très riche. Enfin, nos familles. Sauf que Sara n'étale pas son argent comme ça. Elle s'habille simplement, et ne porte rien qui coûte plus de 50€, mise à part la lingerie. Je crois que c'est la raison pour laquelle ils s'attaquent tous à elle. A cause de ça, mais aussi à cause de moi. _______Et comme si ce n'était pas suffisant, les gars de l'équipe de football ont eu la merveilleuse idée de venir s'installer chez moi, pendant les vacances d'été, pour pouvoir s'entrainer, même en dehors des entrainement d'été qu'on aura au lycée tous les jours, pour maintenir notre niveau. A la rentré scolaire, j'ai dû leur promettre que je ne parlais plus à Sara, et je suppose qu'ils pensent, qu'ils savent, que j'ai menti. Et qu'elle vit toujours chez moi. Comment annoncé a ma jolie princesse qu'elle va devoir retourner vivre chez elle, dans la maison de ses parents, toute seule ?
- Mon amour !
_______J'aime tellement quand elle m'appelle comme ça. Tous les soir, j'avais le même accueil. Un mot d'amour, un calin, un bisou sur la joue et encore un calin. Elle me serrait contre elle quelques minutes, fort, avant de me demander comment s'est passé ma journée. Et comme tous les soirs, je lui répond que la journée à été bonne, mais jamais je ne lui retourne cette question. Parce que je sais, que sa journée n'a pas été bonne, et je m'en veux chaque jour un peu plus de l'abandonner.
- Tu m'as manqué aujourd'hui ! Tu sais, j'ai eu une idée ! Les grandes vacances approche et je sais que c'est,, audacieux de ma part de te demander ça mais, tu sais,.. Comme on en parlait l'autre soir, tu sais, de nos sentiments... Alors je me suis dis qu'on aurai pu sortir ensemble, cet été.. On pourrait partir en vacances, loins d'ici. Comme ça, personne aurait besoin de le savoir... Puis on pourrait en profiter pour fai,,,
_______Je l'embrassais, avec tous l'amour que je lui portais, pour qu'elle se taise. J'avais tellement envie de l'embrasser, depuis si longtemps. Et je sais que elle aussi, en avais terriblement envie. Sauf que je perds tout contrôle.Je l'a coince entre moi et le mur, me collant bien à elle pour qu'elle sente mon erection contre elle. Son visage entre mes mains, je sens qu'elle est surprise et malgré sa timidité, elle aussi, perds le contrôle. Ses mains passent sous mon t-shirt, caresse doucement mon torse pour finir par enlever mon t-shirt, sans jamais cesser de m'embrasser.. Je descendais mes mains sur ses fesses, puis la portais. Elle passait ses jambes autour de ma taille, puis je l'amenais dans la chambre, en essayant d'éviter de foncer dans les murs, puis l'allongeais sur le lit avant d'enlever son jolie haut rose qui mettait si bien en valeurs ses formes que j'aimais tant. Formes qu'elle cachait beaucoup trop souvent sous des pulls trop large.Peu de temps après, nos jeans rejoingnaient nos jeans. J'embrassais ses lèvres, sa joue, son coup, sa poitrine tout en enlevant sa lingerie. J'admirais son corps, ce qui l'a faisait rougir. Elle était tellement belle comme ça, presque entièrement nue, sur mon lit ..
- Je suis prête Luke.. - Sure ? - Plus que jamais..
« Et soudain ça arrive, quelque chose se déclenche et à ce moment-là tu sais que les choses vont changer, elles ont déjà changé. Et à partir de là plus rien ne sera jamais pareil. »
- H
_J'avais envie de lui dire, pour cet été, avant qu'on fasse ça. Elle va sans aucun doute me detesté après qu'elle saura et elle regrettera de m'avoir donné tout ce qu'elle avait de plus cher au monde. Mais elle préferait me..divertir plutôt que d'avoir une conversation sérieuse. Elle se debarrassait de mon boxer et du dernier bout de tissus qu'elle portait, et m'embrassait, comme si sa vie en dépendait. Quand mon portable sonna une première fois, je ne m'en occupais pas, preferant détendre ma princesse, pour qu'elle n'aie pas trop mal quand je lui ferai l'amour.. Lui faire l'amour. Moi qui à toujours préféré baisé, parce que sans sentiments, tout est tellement plus simple. Pourtant, je m'appretais bien a lui faire l'amour, à elle, la seule fille que j'ai vraiment aimé.. Mais mon portable sonnait, encore et encore et elle abandonnait.. Tout.
- Sara ? Tu..Tu va où ? - Je me rhabille, je.. suis désolé, mais ça à l'air important, vu que ça n'arrête pas de sonner et.. - Bébé..
« Et tout à coup tu te rends compte que tout est fini, pour de bon. Il n'y a pas de marche arrière, tu le sens. Et puis après tu essaies de te rappeler à quel moment tout a commencé et tu découvres que c'est plus vieux que ce que tu pensais, bien plus vieux. Et c'est là, seulement à ce moment-là que tu réalises que les choses n'arrivent qu'une fois. Et quelques soient tes efforts, tu ne ressentiras plus jamais la même chose, tu n'auras jamais plus la sensation d'être à trois mètres au-dessus du ciel. »
- H
#One Direction#FanFiction#WYNFic#Niall Horan#Liam Payne#Louis Tomlinson#Zayn Malik#Luke Hemmings#Harry Styles
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Prologue - Tome I
« Il y a toujours un moment où le chemin bifurque. Chacun prend une direction différente en pensant que les chemins finiront par ce rejoindre. De ton chemin tu vois l'autre personne devenir de plus en plus petite. Ce n'est pas grave, on est fait l'un pour l'autre, à la fin elle sera là. Mais à la fin il n'arrive qu'une chose... Un putain d'hiver. »
- H
#WYNFic#One Direction#Niall Horan#Louis Tomlinson#Zayn Malik#Luke Hemmings#Harry Styles#Liam Payne#FanFiction#Fiction
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