#wicked première
Explore tagged Tumblr posts
arianapics · 2 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media
535 notes · View notes
sh0esuke · 7 months ago
Text
" Wicked Obsession "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Jason Todd / Red Hood
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Son visage me hantait nuit et jour, et en vue de la force avec laquelle il occupait mes pensées, j'étais persuadée que ça allait causer ma perte.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : tentative d'enlèvement.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟕,𝟓𝟓𝟒.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Tumblr media Tumblr media
Victor Zsasz.. Ça n'était pas rare que l'on entende parler de lui. Il était plutôt connu, non pas parce que c'était un criminel incarcéré à Arkham, mais plutôt parce qu'il était si particulier, si tordu, que parfois la simple énonciation de son prénom suffisait à nous faire oublier l'existence de bien pire criminels. Il avait récemment fait parler de lui après une énième évasion ⸺d'autres détenus tels que Poison Ivy et Double Face aussi, mais c'était la sienne qui avait retenu mon attention. Je n'avais pas pu résister. Quelques jours plus tard, je m'étais penchée sur son cas. Les psychopathes n'étaient habituellement pas ma came, mais après avoir vu une photo de lui sur les chaînes de télévision de Gotham, son visage m'avait hanté jusque dans mes songes. J'avais fini par céder, rongée par la curiosité; j'avais commencé à faire des recherches sur lui.
Victor Zsasz n'était ni créature ni monstre, c'était un humain comme moi ou l'étudiant assis à l'opposé de la pièce. Il était différent du Joker ou de Solomon Grundy. Il n'avait même rien à envier à Mister Pig. Ni clown, ni mutant, ni défiguré par de l'acide, il avait une couleur de peau claire et hormis un manque de pilosité sur l'entièreté de son corps, il paraissait banal. C'était ce que j'avais pensé au début.
Plus j'avais recherché des articles à son propos et puis je m'étais enfonc��e dans ce puits sans fond.
Il apparaissait toujours de manière similaire : le corps à moitié nu, ou vêtu de son uniforme d'Arkham. Ses paupières ne se fermaient jamais. Il avait toujours les yeux grand ouverts, lui conférant l'apparence d'un véritable malade mental. C'était dérangeant. Il fixait les caméras d'une intensité saisissante, comme si il voyait au travers, comme si il regardait directement son public dans les yeux. La première fois que nos regards s'étaient 'croisés' j'avais finie bouche bée. Cependant, la chose qui ressortait le plus à mes yeux, était le nombre de cicatrices qui parsemaient son corps.
Je ne savais pas jusqu'où elles s'en allaient, mais selon Victor Zsasz lui-même, il comptait à l'aide de ses marques le nombre de victimes dont il avait ôté la vie. Ses cicatrices se composaient de quatre traits puis d'un cinquième les barrant à la verticale.
Sa peau en était recouverte.
Du torse, des bras, jusqu'au crâne.
Partout, il en avait partout.
Depuis son énième incarcération, j'avais ressenti le besoin ardent de me renseigner. Comment un tel monstre pouvait-il vivre à Gotham ? Comment procédait-il ? Et pourquoi diable Batman le laissait-il vivre ici au lieu de l'envoyer croupir six pieds sous terre ? C'était de la pure folie !
Je ne ressentais aucune once d'admiration, cette obsession était plutôt le résultat de ma peur et curiosité combinée. Il n'était pas impossible que nos chemins se croisent à l'avenir ⸺les vilains et civils c'était une grande histoire d'amour dans notre ville⸺ et.. je n'en savais rien. Je voulais juste savoir à quoi j'avais à faire.
Je savais que si je croisais la route du Joker, il me suffirait de me faire petite ⸺trop pris par l'idée d'attirer l'attention de Batman il s'en irait⸺ ainsi je pourrais me mettre à courir aussi vite que possible. Si je croisais Poison Ivy il me suffirait de lui confesser que j'avais des orchidées à la maison et que j'en prenais très grand soin ⸺mensonge de moitié : elles étaient en plastique, pour Double Face ne surtout pas lui adresser la parole, ainsi de suite. Mais Victor Zsasz, alors..? Me traquerait-il ? Où m'emmènerait-il ? C'était terrifiant !
Ce fut ce qui me retint ici.
Il avait été quatorze heure et demie lorsque je m'étais installée à ma bibliothèque universitaire. J'avais ouvert mon ordinateur, branché mon casque pour écouter un peu de musique puis fatalement, je m'étais mise à faire mes devoirs. J'avais rattrapé quelques cours, corrigé des feuilles volantes dont j'avais oublié le rôle, stabiloté des éléments essentiels comportant dates et définitions, ainsi de suite. Puis, lorsque l'ennui avait frappé à ma porte, mes pensées s'étaient faites curieuses. À ce moment là, j'avais été presque avachie contre la paume de ma main, des morceaux de papiers et des crayons éparpillés partout sur la grande table rectangulaire.
J'avais recommencé mes recherches sur Victor Zsasz.
Une vingtaine de fenêtres ouvertes sur mon site de recherche et plus d'une dizaine d'interviews visionnées plus tard, je n'avais toujours pas remarqué que le ciel était à présent d'un noir opaque.
Mes cours étaient recouverts de notes; des questions, des réflexions et surtout informations à son propos. Tout ce qui aurait pu m'en apprendre plus sur ce psychopathe. J'en avais un peu partout, mais principalement dans mon esprit. Ce qui y restait imprimé en grand était surtout son regard. Il continuait de me poursuivre. Je ne pouvais pas lui échapper même en restant éveillée et, à vrai dire, ça n'était pas en regardant des reportages sur lui ou en le voyant se faire arrêter sur vidéo que cela allait m'aider... J'avais besoin de le fuir.
Cette réflexion m'ouvrit les yeux.
Immédiatement, je fermai mon ordinateur, je laissai l'écran s'éteindre, soudain frappée par l'envie de bailler. Je me laissai aller, rangeant au même moment mes affaires. Je me dépêchais.
Je ne le remarquais qu'en cet instant ; il était terriblement tard. Presque vingt et une heure... Dans d'autres ville ce détail serait paru futile mais pas ici, pas à Gotham. Mes yeux s'étaient écarquillés dès l'instant où je m'en étais rendue compte. Juste après, j'avais senti mon portable vibrer sur la table.
Je m'arrêtai dans ma tâche pour m'en saisir.
« Tu rentres ? » m'avait-on écrit.
C'était Jason. La sécheresse présente dans son message ne me choqua pas. Je lui répondis de manière similaire.
« Oui. »
« T'es à la maison ? » insistai-je.
« Ouais. »
« D'accord. »
Trois petits points se mirent à tressaillir de son côté, il tapait sa réponse. Je restais assise sur le bord de la chaise, mes coudes posés sur la table avec mon portable en mains. Je dévisageai l'écran avec attention. Ravie n'aurait pas été le mot adapté pour qualifier ce que je ressentais, je n'étais pas ravie de parler avec lui, je n'étais pas ravie de lui rendre des comptes, pour autant, je n'étais pas ravie d'être fâchée contre lui.
Pas un seul instant l'idée d'éteindre mon portable ne me passa par la tête. J'attendis qu'il me parle. Même si ça avait pris plus longtemps que prévu, j'avais patienté calmement en m'étant occupée avec nos précédents messages.
« Je viens te chercher ? »
Me mordant l'intérieur de la joue, j'hésitai un moment. Je tapai, finalement :
« Je me débrouille. »
Habituellement j'aurais accepté. Ça n'était pas rare qu'il se charge de me raccompagner, surtout en vue d'où nous habitions. Jason venait souvent me chercher en moto, il nous faisait faire le tour de la ville, acheter de quoi manger dans un petit restaurant familial, puis manger dans un parc ou à la maison. Sauf que là, j'étais dans un tel esprit de contradiction que la simple idée d'accepter me semblait folle. À mes yeux, ça signifiait que je m'excusais, je le refusais, c'était purement inconcevable.
J'étais consciente que je jouais à un jeu dangereux, aveuglée par ma rancœur, je n'en fis rien.
Abandonnant mon portable et commençant à ranger mes affaires, j'ignorai le vacarme que cela provoquait. Mes feuilles se froissèrent, mon casque se tordit dans mon sac et mon ordinateur se cogna contre le fessier de ma chaise dans sa chute ⸺puisque je m'étais levée entre temps. Il ne restait pas grand chose à faire après ça. Peut-être vérifier que je n'avais rien oublié et enfiler ma veste en cuir. L'ambiance de la bibliothèque était agréable, rester ici quelques minutes de plus ne m'aurait pas déplu. Je n'étais pas particulièrement charmée par ce qui allait suivre. Presser le pas dans la rue en pleine nuit et vérifier chaque coin de rue n'était pas mon passe-temps favoris.. Je me réconfortais avec la promesse de faire plus attention la prochaine fois, et aussi avec la pensée que dans quelques heures j'aurais enfin rejoint mon lit.
Ma carte d'étudiante m'accompagnait dans ma sortie, comme d'habitude; je l'avais utilisé sur la petite porte électronique. Celle-ci s'ouvrit sans mal, j'en profitai pour saluer les employés ⸺une jeune femme et un vieux monsieur⸺ avant de quitter les lieux. Je la rangeai dans ma poche et commençai à marcher en direction de chez moi.
Il y avait un centre commercial pas très loin, il devait être fermé depuis quelques minutes en vue de l'heure. De même pour les boutiques qui se trouvaient aux alentours de la bibliothèque universitaire. L'endroit était vachement désert. Hormis les lampadaires qui éclairaient mon chemin, je ne vis rien d'intéressant.
Il n'y avait pas un chat.
Malgré tout, je ne lui fis pas confiance. Ce calme plat pouvait bien me tourner autour et me susurrer des mots doux au creux de l'oreille, je m'en fichais éperdument. D'une vitesse alarmante, je marchais. Mon sac au plus près de moi, mon portable dans ma main et dans l'autre un taser, je restais sur mes gardes. Je ne l'écoutais pas, je ne m'attardais pas ici, au beau milieu de la nuit, quitte à le laisser détourner mon attention.
Mon objectif restait le même : retourner à la maison.
Sur ma route, mes pensées se mirent à divaguer, rapidement, je me mis à songer à Jason. Enfermé à la maison, il devait être fou d'inquiétude. Sachant que ce que je faisais était le sujet de notre dispute, je ne pouvais pas m'empêcher de culpabiliser. On ne se disputait pas souvent, presque jamais à vrai dire. Nous étions constamment sur la même longueur d'ondes. Mais lorsqu'il s'agissait de choses qui lui déplaisaient, Jason avait tendance à rapidement perdre son calme.
Notre confrontation remontait à une semaine, néanmoins sa fraîcheur restait indemne. C'était presque comme si nous nous étions disputés hier, voire ce matin même.
À cette pensée, je soufflai.
C'était ridicule. Non. Il était ridicule.
N'étant pas d'humeur à revivre notre altercation, je pris la décision de me concentrer sur mon trajet. J'avais retrouvé un trottoir avec sur sa droite une route. Ici j'étais plus dans un quartier résidentiel, mon université n'était plus qu'un lointain souvenir. Je jetai un coup d'œil au ciel recouvert d'étoiles, puis les buildings sur les côtés de la route. J'admirais leur structure, couleurs et les silhouettes de leur habitants lorsque j'apercevais des fenêtres illuminées de silhouettes animées. Le temps de quelques minutes, j'étais distraite, je ne pensais plus à rien.
Puis, je sentis quelqu'un m'approcher par derrière. Ça avait été soudain.
J'avais senti un frisson remonter mon échine et des bruits de pas s'intensifier. J'avais immédiatement tourné la tête, pas par panique mais plus par réflexe. J'avais resserré ma prise sur mon taser. Rien ne m'apparut, seule une ombre à quelques mètres de moi, se faufilant à l'intérieur d'une ruelle m'alarma. Ma respiration s'accélérait.
Je n'avais pas rêvé, quelqu'un me suivait.
Les mots de Jason me revinrent en tête, le nombre de fois où il m'avait promettre de faire attention, de ne jamais partir de quelque part sans le prévenir lorsqu'il faisait nuit.. Ça n'était pas la première fois que je risquais ma vie dans le noir mais ça restait toujours aussi terrifiant. J'en venais à me demander si ça avait un rapport avec mes recherches sur Victor Zsasz ⸺un agresseur habituellement ne cherchait pas à se cacher : il avait plutôt tendance à marcher derrière sa victime histoire de jouer au chasseur et à la proie⸺ Est-ce que.. Est-ce que j'étais visée..?
Non, c'était inconcevable. C'était idiot.
Je n'étais qu'une étudiante banale. Certes, je sortais avec le fils de Bruce Wayne, mais ça n'était pas l'information la plus partagée auprès des médias de Gotham. Ça n'était qu'un pur hasard, voilà tout. Il me suffirait de marcher plus vite que lui, voire de l'attaquer si il venait à trop s'approcher.
Une fois retournée, je commençai à foncer direction chez moi. J'ignorai le bruit de pas qui persistait à me suivre, pareil pour l'impression d'être épiée de haut en bas. Je me dépêchais autant que possible, mon sac encré dans ma peau et mon portable broyé contre ma paume de main. J'étais tant paniquée, l'idée d'appeler Jason à l'aide ne me traversa pas l'esprit. J'étais plus concentrée sur l'objectif de m'en sortir, je n'étais pas persuadée qu'en passant un coup de fil j'allais mourir, c'était juste que je n'y pensais pas. Mon portable n'avait aucune fonction sur le moment, outre celle de support émotionnel. Je tapai des pieds en marchant. Il avait dû comprendre que je l'avais repéré car désormais il ne se cachait plus, je le sentais non seulement plus proche mais je l'entendais aussi. Je n'osais pas considérer depuis combien de temps il m'avait suivie. La librairie universitaire ? Le quartier résidentiel ?
Je clignai des yeux d'un geste alarmé, au même moment, il se saisit de mon bras.
Mon corps fut emporté contre mon gré, ça avait été aussi violent que je l'avais imaginé. Aucune once de délicatesse, j'avais été tirée sur le côté contre une surface horriblement dure et la prise exercée sur mon bras forçait un grognement hors de mes lèvres.
Ce à quoi je ne m'étais pas attendue, en revanche, fut de sentir mes pieds se décoller du sol, enfin, je m'étais attendue à être plaquée contre un mur, mais pas à sentir le vent me frapper en plein visage et à avoir soudain froid. Mes paupières restèrent gluées sur elles-mêmes; ça ne pouvait être qu'un mauvais rêve. J'allais sûrement me réveiller dans les bras de Jason et tout irait mieux. Je l'imaginais déjà me réconforter et accompagner mon matin d'un délicieux petit-déjeuner.
C'était⸺
« Eh, eh, ça va ? »
Je rouvris les yeux.
« Tu m'entends ? Comment tu te sens ? »
La voix était tendre, robotique certes, mais d'une délicatesse perturbante. Sachant que j'étais sur le point de me faire attaquer, ça n'était pas vraiment le genre de ton auquel je m'étais attendue.. Toutefois, je comprenais rapidement la situation en ouvrant les yeux. Tout fit immédiatement sens.
« R⸺Red Hood ? »
Abasourdie, je m'accrochai à ses épaules, mon portable et taser en tombèrent par terre. Je regardai autour de nous. Il.. Je⸺ C'était plus fou que prévu.
J'avais été sauvé par un vigilante ? Moi ?
« On dirait que je suis arrivé à temps. » dit-il.
Nous étions sur le balcon d'un immeuble, pas très haut. Je n'avais aucune idée de comment il avait fait ça, la seule chose dont j'étais certaine était que le danger avait été écarté, je ne voyais plus l'homme. Il venait de me sauver. Cela suffit à faire s'emballer mon cœur.
« Merci, oh mon Dieu, merci infiniment ! »
Je le pris dans mes bras avant de me séparer de lui.
« J'avais vraiment pas envie de courir pour ma vie, vous m'avez sauvée. Vous êtes un héros ! » m'exclamai-je.
« C'était trois fois rien, t'en fais pas. »
S'abaissant, il récupéra mes affaires et me les tendit. L'écran de mon portable s'allumait au même moment. Je récupérai le tout et en profitai pour encore le remercier. Ce genre de sauvetage était une routine pour un héros comme lui, il le faisait matin et soir c'était certain, donc le remercier ne signifiait sûrement rien à ses yeux, ça devait même lui paraître un peu bête, mais j'étais incapable de me retenir. Je lui étais terriblement reconnaissance. Qui sait ce qui aurait pu m'arriver...
« C'est dangereux de traîner ici la nuit, tu le sais, non ? »
« Mhh, désolée. »
Il arqua un sourcil.
« Qu'est-ce que tu faisais ? »
« Je travaillais à la bibliothèque, j'avais des cours à rattraper et.. »
Je zieutai nerveusement mon portable. Cliquant sur un des boutons de sa droite, il se ralluma et me dévoila la photo de Jason que j'avais mise en fond d'écran ainsi que l'heure tardive. La simple vue de son sourire me réchauffa le cœur. Je relevai ensuite la tête, embarrassée. Red Hood avait dû le voir. Il ne fit aucun commentaire dessus, tant mieux.
« Pardon, je voulais vraiment pas vous importuner. C'est idiot. »
« Si j'étais pas arrivé Dieu sait ce qui aurait pu se passer. » il acquiesça. « Tu devrais pas sortir à une telle heure, ton copain te l'a jamais dit ? »
J'esquissai un rictus.
« Vous parlez comme lui.. »
Red Hood me tapota l'épaule. Toutefois, à m'y méprendre, cela ressembla plus à une caresse.
« Alors il serait peut-être temps de l'écouter. Gotham c'est pas vraiment l'endroit rêver pour se balader tard, surtout quand on est une si jolie fille. »
« Mhh, mhh, je m'en souviendrai. »
Je rangeai rapidement mes affaires dans les poches avant de mon sac et jetai un coup d'œil sur la vue que nous avions d'ici. Cela ne tarda pas à me mettre mal à l'aise. Après tout, ce balcon appartenait à quelqu'un.. C'était illégal, non ? Je ne me sentais pas très confortable à l'idée de m'attarder ici, surtout que, après un tel évènement, j'avais dix fois plus envie de rentrer chez moi. La présence d'un héros était toujours rassurante, toutefois rien n'égalait le confort de mon lit.
« Dites, euhm.. ça vous dérange de m'aider à descendre ? Il faut vraiment que je rentre. »
Je me grattai nerveusement la joue.
« Bien sûr. » répliqua Red Hood. « Tu permets que je te raccompagne ? J'aimerais pas qu'il t'arrive quelque chose en cours de route. » il renchérit.
« Si ça vous dérange pas, c'est gentil.  » souris-je.
Notre proximité ne me fut pas aussi désagréable que prévue. À le sentir passer ses bras derrière mon corps afin de me mettre en position de jeune mariée, me forçant au passage à enrouler mes bras autour de sa nuque, tout cela me sembla étrangement familier. Ça me rappelait Jason, tout simplement. Mais.. ce n'était pas que la position. C'était la manière avec laquelle Red Hood s'assurait que mon sac tienne contre moi, la manière dont il me regardait avant de se jeter dans le vide, un peu comme si.. comme si il m'avait déjà serrée dans ses bras. Était-ce parce qu'il avait l'habitude de sauver des demoiselles en détresse ? Sûrement. Toutefois, le fait que nos corps réagissent aussi bien l'un auprès de l'autre me laissait perplexe.
Je n'avais pas l'habitude de sauter dans les bras du premier garçon venu, alors pourquoi ça m'était si naturel maintenant ? Même la forme de son corps, l'épaisseur de ses biceps.. Tout ça m'était étrangement familier. Je ne le connaissais ni d'Adam ni d'Ève, c'était la première fois que je rencontrais Red Hood. L'aisance avec laquelle nous avions discuté et nous étions rapprochés laissa un goût âcre dans ma bouche. Je ne comprenais pas.
Mes yeux ne quittèrent pas son masque, pas jusqu'à ce qu'il atterrisse sur le trottoir. Red Hood m'aida à me redresser, je posai mes pieds chaussés de mocassins au sol et rapportai immédiatement mon sac à mon épaule. Quant à lui, il scannait les alentours ⸺j'imaginais qu'il était à la recherche du mystérieux inconnu.
« Vous savez.. Vous me rappelez mon copain. » avouai-je.
« Mhh ? »
Red Hood baissa la tête dans ma direction, même avec son masque recouvrant ses yeux je le sentis me dévisager.
« Il s'appelle Jason. »
« Jason ? Chic prénom. » il répéta.
Sa simple évocation suffit à me rendre embarrassée. J'apportai mes mains derrière mon dos.
« N'est-ce pas ? »
« Il sait que t'es toute seule dehors à une telle heure ton Jason ? Ça me paraît pas responsable. »
Je secouai la tête.
« C'est ma faute. »
Sans m'interrompre, Red Hood posa sa main dans le bas de mon dos. L'aisance avec laquelle il avait agi ne m'avait pas surprise au départ, encore une fois, ça m'avait semblé naturel. La manière dont il s'était approché, m'avait frôlée puis guidée dans une ruelle parut presque habituelle, pour nous, ou son métier en tant que héros ? Toutefois, j'avais rapidement repris mes esprits ⸺comment pouvait-il me toucher aussi intimement alors qu'il me savait prise ?⸺ et lui avais jeté un petit coup d'œil sévère. Le vigilante se retira sans attendre. C'était bien mieux comme ça, il était évident que quelque chose d'étrange s'était produit entre nous, mais j'avais quelqu'un. J'aimais Jason. Ça n'était pas parce que ce Red Hood m'avait sauvée que je me devais de le remercier de cette manière.
Peut-être que je m'emballais, je tirais une conclusion très rapide, je préférais tout de même mettre les choses au clair. Pas de main sur mon corps.
« Vous vous êtes disputés ? C'est pour ça que tu es sortie travailler ce soir ? »
« Ah ! Vous faites dans la thérapie maintenant les héros ? » le questionnai-je dans un rire.
« Pas spécialement. » il sourit. « C'est juste que tu dois avoir une bonne raison pour t'être mise en danger ce soir. »
La ruelle était assez étroite, nous la traversâmes sans encombre avant de voir d'autres trottoirs et une route les coupant. Sur ma gauche, j'aperçus une moto. Red Hood me guida vers elle.
« C'est débile.. »
Extirpant un casque sous le siège il me le tendit. Je l'enfilai tout en déblatérant mes problèmes à ce parfait inconnu.
« Dites, vous vous êtes déjà battus contre Victor Zsasz ? »
« Jamais. »
« Batman l'a fait une tonne de fois, non ? »
« Batman... Batman fait ce qu'il peut pour garder ces cinglés sous verrous ouais. En revanche, je vois pas le rapport entre un psychopathe et une petite étudiante comme toi. »
« Moi ? Oh rien ! » je m'exclamai. « C'est juste que je l'ai vu pour la première fois y'a quelques semaines, bien sûr j'avais entendu parler de lui, mais c'est comme Double Face, le Chapelier Fou, à un moment donné on arrête d'y penser et on laisse Nightwing ou Batman s'en charger. Ou vous, bien sûr. »
Red Hood acquiesça. De ce simple geste, il m'incitait à poursuivre, ce que je fis sans hésitation.
« Il m'a fait peur. »
« Peur ? »
« Je le regardais à travers un écran.. pourtant j'ai eu cette impression que c'était lui qui me voyait. »
Nerveusement, je me mis à triturer mes doigts, c'était un peu humiliant à confesser. Tous les vilains à Gotham faisaient peur, il n'y avait aucune honte à l'avouer, qu'ils soient gros, fins, petits, grands, ils avaient tous une sale allure qui faisaient faire des cauchemars même aux plus grands. Surtout le Joker. Mais l'avouer à quelqu'un qui combattait ces choses du matin au soir c'était une sacrée expérience.. À l'instar d'avoir dit que j'avais fait pipi au lit. J'avouais que moi, une jeune adulte, j'étais terrifiée par des malades mentaux. C'était bizarre, non ? Je n'en savais rien... C'était juste ce que je ressentais.
Face au silence de Red Hood, je conclus donc.
« Je n'en ai parlé à personne. Ni à Jason, ni à mes amis, c'est juste trop étrange. » dis-je. « Mais cette impression qu'il me connaissait et qu'il me suivait ne me lâchait pas. Je sais que le Joker est plus fou que lui mais jusqu'à maintenant je n'avais jamais croisé un tel regard. »
« Tu ne te sens pas en sécurité ? »
« Mhh ? »
« Chez toi. »
« Si je me sens menacée ? »
Il fit oui.
« Non ! Absolument pas. Vous connaissez pas mon copain, il fait au moins dix fois votre taille, c'est un vrai colosse ! » plaisantai-je.
« Un colosse, hein ? »
« Je sais que je risque rien tant qu'il est là, même si on est fâchés. » j'affirmai. « Ça n'était qu'une sensation, un truc que j'arrive toujours pas à contrôler. Je me suis dis que si je me renseignais sur lui, que je m'habituais à son visage ça m'aiderait. »
« Et ça a fonctionné ? »
J'haussai les épaules de manière évasive.
« Pas vraiment.. »
« Je parie que tu lui en as pas parlé. »
« De ? »
« De tout ça, à ton copain. »
Je lui jetai un sourire anxieux.
« Pour dire quoi ? Je vous l'ai expliqué, c'est trop étrange.. Je vais pas lui dire que le regard d'un psychopathe m'obsède, il est trop mignon pour que je l'embête avec un truc aussi idiot ! »
Red Hood se gratta la nuque. Je l'entendais peu après se racler la gorge. Il me fit rapidement signe de m'asseoir sur sa moto, je lui obéis.
« Te bile pas, je suis certain que ça va s'arranger. Ton Jason a l'air d'être un chic type vu comment tu parles de lui. »
Il me rejoignit, je passai par pur automatisme mes bras autour de sa taille, je m'accrochai à lui, le laissant faire démarrer sa moto et retirer la cale. Ma joue se colla à son dos, mes yeux se fermèrent.
Puis, dans un murmur je lui répondis :
« C'est le meilleur. »
Le guider jusqu'à chez moi fut plus facile que prévu, il n'y avait personne sur la route et Red Hood roulait relativement vite. Je me permettais de commenter, le guidant à travers les rues de Gotham, je bravais vents et tempêtes pour les pointer du doigt. Red Hood m'écouta attentivement tout le long, il n'allait pas trop vite de manière à ne pas me mettre mal à l'aise, mais je le sentais quand même se dépêcher un peu. À une telle vitesse, je pouvais non seulement me décoller de lui, mais aussi relever la tête. Le ciel ne fut pas la seule chose que je contemplais; il y avait les bâtiments autour de nous, les lampadaires tamisés, les coins d'ombres provenant de nombreuses ruelles et certains passants qui pressaient le pas.
Le trajet ne fut pas très long, je n'habitais pas loin de mon université ⸺habituellement je prenais le bus⸺, nous fûmes donc arrivés sous peu. Je signalai à Red Hood mon immeuble ⸺d'un style new-yorkais⸺ et il se garait juste devant, entre deux grosses voitures noires. Il éteignit le moteur et fit tanguer sa moto.
Il enclencha la cale, je descendis juste après. Tranquillement, je montai sur le trottoir de mon immeuble.
« Encore merci, Red Hood. »
Je m'étais retournée afin de lui parler. Deux doigts contre sa tempe, il me salua.
« Va retrouver ton copain, miss, je suis sûr qu'il se fait un sang d'encre pour toi. » il dit simplement.
« Mhh, vous avez raison. »
Cet au revoir était assez déprimant, mais la nuit ne faisait que débuter, Red Hood devait avoir tant d'autres personnes à sauver.. L'idée de le monopoliser en dépit de la détresse d'autrui me déplus. Je me contentais donc de cette maigre interaction. Son casque entre mes mains, je le lui tendis finalement. Red Hood le récupéra accompagné d'un hochement de tête.
« Je vais vous laisser. Prenez soin de vous. »
« Je te retourne le conseil. » il me taquina.
« C'est promis. » souris-je.
Il me fit un petit signe de la tête désignant mon immeuble, je comprenais sans mal qu'il voulait me voir rentrer avant de s'en aller.
Ne désirant pas lui faire perdre plus de temps, je m'en allai rapidement grimper les escaliers de mon chez moi. C'était déjà gentil de sa part d'attendre.. Mes doigts se tenaient contre la vieille rambarde métallique. Elle tremblait sous ma prise, sans parler de la peinture noire dessus qui s'écaillait. Je tapai ensuite le code d'entrée menant au hall et me frayai un chemin à l'intérieur. J'avais agi par pure habitude. J'en profitai pour jeter un coup d'œil aux boîtes aux lettres, et me retourner, désirant apercevoir Red Hood.
Je le vis de justesse, il avait redémarré sa moto et s'en allait sous mes yeux. Il ne me remarquait pas ⸺il devait penser que je ne m'étais pas retournée⸺. Mon regard restait rivé sur lui. J'attendis qu'il ait entièrement disparu.
Puis, finalement, je me tournai.
Rapprochant la lanière de mon sac sur mon épaule, je poussai celui-ci contre ma hanche. Avec mon ordinateur, mon casque, et le reste de mes affaires dedans, il se faisait lourd; surtout que je ne le portais que d'un côté.. Je le transportais avec moi depuis ce matin, j'étais en train d'atteindre ma limite. J'avais hâte de m'en débarrasser. N'ayant aucun ascenseur disponible, je fus contrainte d'emprunter un second escalier. Heureusement pour moi, je n'habitais qu'au deuxième étage. Guidée par une dernière goutte de volonté, je me mis en route. J'avais déjà la chance d'avoir été déposée ici, je m'estimais heureuse de ne pas avoir eu à prendre les transports ou marcher à pieds de la bibliothèque universitaire jusqu'ici.
Les lumières automatiques m'accompagnèrent dans ma montée. Avec pour seuls bruits, ceux que je faisais en marchant et en respirant. La cage d'escalier était, sans surprise, vide, je n'entendais rien provenant de chez les voisins, rien depuis l'extérieur. Le changement d'ambiance était radical.
Passée la porte d'entrée de mon chez moi, je fus immédiatement accueillie par un profond silence. Mon sac de cours restait contre mon épaule, ma main libre, elle, sur la poignée. Là, bêtement figée sur le palier, j'observai avec curiosité l'intérieur de l'appartement, silencieux au possible et aussi plongé dans l'obscurité, avec comme seule source de lumière les baies vitrées au fond du salon sur la gauche. Pas de lumière dans la cuisine, ni dans le couloir menant aux deux dernières pièces, rien, l'endroit était désert. L'appartement était plongé dans un état de mutisme angoissant, j'en eus presque l'envie de faire demi-tour.
Habituellement, Jason était scotché à son ordinateur auprès des fenêtres, ou alors il regardait la télévision, voire il parfumait toute la maison à l'aide de ses talents culinaires. Habituellement, Jason m'attendait.
Je fermai la porte d'entrée. Faisant mon entrée dans le salon, j'abandonnai mon sac au sol et me séparai de mes souliers. Je me saisis de mes mocassins et cherchai une petite place dans la commode juste à côté, nous n'avions pas une tonne de chaussures mais le meuble restait étroit. Je parvins à les ranger une fois les vieux chaussons de Jason pliés et écrasés. Je fermai ensuite le placard, me retournai et retirai ma veste. Ce fut tranquillement que j'avais commencé à enlever mon surplus de vêtements, j'évitais de faire trop de bruit. Le calme instauré me forçait à faire attention. Il était étrangement réconfortant. Ou alors j'étais peut-être juste épuisée, ça devait aller ensemble, le trajet m'avait davantage fatiguée, mon lit me manquait terriblement.
Je ne tardai pas à faire volte-face, un bruit m'avait surprise. Une porte s'était close.
Une silhouette naquit depuis la pénombre du couloir, une imposante et familière silhouette. Une voix s'éleva au même moment. La sienne.
« ⸺la chercher. Ouais. Merci Bruce. »
Jason raccrocha.
Il était habillé des pieds à la tête, chaussures, manteau ⸺qu'il venait d'enfiler⸺, pantalon, ainsi de suite. Il était prêt à sortir.
Jason et moi avions eu une réaction similaire lorsque nos regards s'étaient croisés. Il s'était figé sur place. Au même moment, ses chaussures avaient grincé contre le parquet près de la table de la salle à manger. Ses yeux étaient grand ouvert.
« Hey. » je soufflai.
Il répondit sans attendre, abandonnant son portable au passage.
« Hey. »
Je marchai jusqu'à lui.
Jason avait l'air plus que préoccupé, il me dévisageait avec inquiétude. Je n'étais honnêtement pas sûre d'être toujours fâchée contre lui, après cette soirée, je ne voulais qu'une chose et c'était rester auprès de lui. Je me fichais des jurons que nous avions pu  échanger je m'en fichais de sa colère, je m'en fichais de la mienne.
Jason me questionnait du regard. Il avança d'un pas afin de me rejoindre.
« J'allais justement venir te⸺ »
Je le coupai, me saisissant de sa main.
Elle était douce, une aura de chaleur en émanait ce qui contrastait avec mes doigts glacés. Jason ne me refusait pas. Je le sentis désespéré, il entrelaçait rapidement ses doigts aux miens, m'empêchant ainsi de m'en aller. Le contact entre son épiderme et le mien fit paniquer mon cœur. Cela faisait combien de jours que nous ne nous étions pas touchés ? J'en avais oublié à quel point il était addictif... Il était tout autour de moi, dans mon regard, dans mon esprit, contre ma peau, auprès de mon cœur. Il en devenait mon oxygène. Son eau de Cologne se fraya un chemin au travers de mes narines jusqu'à repeindre l'intérieur de mes poumons.
Ce fut à l'instar d'un poison, une sorte de potion qui, une fois inhalée, me rendit totalement charmée par lui.
Mes lèvres se plissèrent. Je les forçai à former une fine ligne, le temps de chercher quoi lui dire. Cela me prit un peu de temps. Puis, finalement..
« Je suis désolée. »
Mon cœur s'emballait.
« Je t'aime, j'ai pas envie qu'on reste fâchés. J'aurais dû t'appeler. »
« Tu déconnes ? C'est ma faute à moi. »
Jason apporta sa seconde main derrière ma tête, il me rapprocha de lui pour déposer un baiser contre ma tempe.
« T'es une grande fille, j'avais pas à m'énerver. » dit-il. « Je suis rassuré que tu sois là, je commençais à m'inquiéter. T'es rentrée en bus ? »
« J'ai.. Je⸺ Oui. J'ai pris le bus. »
Loin de moi l'idée de l'inquiéter.
Jason méritait mieux que ça, mieux que d'apprendre que j'étais une immense idiote et que j'avais failli mourir à cause de ma fierté. J'avais compris ma leçon. Alors qu'il me faisait face, que ses beaux yeux bleu pétillant se perdaient dans les miens, que ma main reposait contre la sienne dans une douce enlace au parfum de romance, la simple idée de briser son illusion me broyait le cœur. Il était si doux.. Jason ne méritait pas de payer pour mes bêtises, il méritait que je m'améliore.
Il méritait une meilleure version de moi.
« Vraiment ? » s'étonna-t-il. « Tant mieux. »
« La prochaine fois viens, s'il te plaît. Je préfère rentrer avec toi. »
« Bien sûr. »
Jason retira sa main de mes cheveux, il déposa le dos de ses doigts contre ma joue, qu'il se mit ensuite à tendrement caresser. Jason accompagnait le tout d'un fin sourire.
« Tout ce que tu veux. »
Quant à moi, je passai mon bras libre autour de sa taille et collai ma joue libre à son torse. Le besoin de me rapprocher de lui m'était vital. J'écoutais attentivement les battements de son cœur, le regard perdu dans le vide et ma main toujours accrochée à la sienne. Tout s'était passé si vite, j'avais l'impression que ma rencontre avec Red Hood n'était plus qu'un distant souvenir. Une hallucination, un mirage embrumant le reste de ma mémoire. Surtout, ma proximité avec le vigilante m'avait rappelé à quel point j'aimais Jason. Ça n'était pas la première fois que je ressentais le besoin ardent de le toucher, de me recueillir auprès de lui, mais c'était une chose puissante, un désir contre lequel j'étais désarmée.
Nous restions ainsi.
Ni Jason ni moi ne bougeâmes.
Au cœur de notre appartement, plongés dans la pénombre, il n'y avait que nous deux. Pas un son, pas un geste. Ce fut intime. Nos corps avaient fusionnés le temps de cette étreinte, le temps de nous laisser récupérer. Le temps de nous remémorer les sensations que nous procuraient le simple fait d'être l'un contre l'autre.
J'aimais entendre son cœur battre. Il palpitait contre sa peau d'une vitesse folle, mais je n'étais pas en mesure de le lui reprocher, sachant que le mien battait en symbiose avec le sien. Ses battements s'étaient synchronisés et, bêtement, j'espérais que Jason s'en rende compte. J'espérais qu'au travers de nos mains, de ma joue, n'importe quoi, il saisisse la force de mes sentiments. Il n'était pas seul. Moi aussi je l'aimais à la folie. Je l'admirais tout autant. Je le désirais.
« T'es sûre que tu vas bien ? » murmura Jason. « Tu m'as l'air secouée. » insista-t-il.
Je fis oui de la tête.
Mon bras se resserra sur sa taille.
« Reste avec moi, c'est tout. »
« D'accord, d'accord, je bouge pas. Je suis là je reste là. »
Jason embrassa de nouveau ma tempe. Il chercha à me rassurer, baisant ma peau, caressant le dos de ma main de son pouce, il ne recula devant rien pour m'apaiser. Cela fonctionna à merveille.
Un soupir d'aise m'échappait.
« Est-ce qu'on peut aller se coucher ? Je tiens plus debout. »
« C'est toi qui décide, mon cœur. »
Sa main se sépara de mon visage. Jason replaçait quelques mèches de mes cheveux derrière mon oreille sans me lâcher du regard, je l'observais à mon tour. C'était innocent. La manière dont nos yeux s'adoraient, perdus dans leur contemplation, celle dont nos cœurs battaient à l'unisson, tout me rappelait ce pourquoi j'étais tombée amoureuse de lui.
Derrière sa montagne de muscles, Jason cachait une vie remplie de mystères, des secrets et regrets à n'en plus finir. Jusqu'à présent je n'avais pas été mise dans la confidence. Son père adoptif Bruce Wayne me paraissait complice mais je n'osais pas le questionner, ça n'était pas ma place. Je l'aimais malgré le poids qu'il portait sur ses épaules et même malgré les cicatrices qui tâchaient sa chair. J'avais confiance en lui. Nuit et jour il me rendait heureuse. Depuis que nous avions commencé notre relation, hauts et bas nous avaient testé, mais mon affection pour lui n'avait cessé de grandir. Je l'aimais avec un grand A. Je l'aimais comme on aimait l'univers, comme on aimait la simplicité et la fatalité dans notre mortalité. Je l'aimais comme l'on inspirait, expirait. Je l'adorais.
La main de Jason quittait la mienne, sa seconde s'écartait encore de mon visage. Il se reculait un peu de moi.
« Tu veux pas dîner avant ? »
« Non merci. » répondis-je.
Il arqua un sourcil.
« Tu vas directement au lit, alors ? »
« Je prendrai ma douche demain matin si ça te dérange pas. Je vais tomber sinon. »
« J'ai connu pire. » il me rassura dans un sourire taquin. « Je te ferai un bon petit-déjeuner quand tu te réveilleras, promis. »
« Ça me paraît bien.. »
« J'en suis certain. »
« Merci, Jason. »
Il secoua la tête.
« Me remercie pas, c'est le moins que je puisse faire. Je serais un terrible petit-ami si je prenais pas soin de toi. »
« Mhh, non. »
Ce fut à mon tour de secouer la tête.
« Tu es le meilleur. » j'affirmai. « N'en doute pas. »
Penchée dans sa direction, je me saisis de son visage en coupe. Jason étouffa un rire.
« Si tu le dis je suis forcé de te croire. »
Il me suivit tandis que je le guidai jusqu'à moi.
« Tant mieux, parce que t'as pas le choix. Maintenant embrasse moi. »
« Tout de suite, madame. »
Mes lèvres effleurèrent les siennes puis, dans un geste hâté, elles se rencontrèrent. Je l'embrassais tendrement. Le temps de le retrouver, de le goûter autant que je le pouvais même avec cette cruelle fatigue qui épuisait mes muscles, je me perdis dans la tendresse de notre échange. Je me reculai, histoire de respirer, mais revins aussitôt à la charge pour bécoter de nouveau ses lèvres. Jason fit de même. Il attrapait mes hanches, les yeux clos, il m'embrassait en retour de la même manière. Cela me suffit. Cela nous suffit.
J'embrassai la commissure de ses lèvres, je baisai sa mâchoire.
Mes bisous ne furent pas rapides, ni trop forts d'ailleurs, je bougeai et le chouchoutai avec grand calme. Ce moment que nous partagions n'était pas éternel, il était la preuve de notre affection éphémère l'un pour l'autre, il n'était pas là pour le marquer à vie ou pour nous en faire mal au cœur. Il était là pour exprimer la véracité de nos sentiments ce qui, à mes yeux, était amplement suffisant.
Pas besoin de caresses sensuelles, pas besoin de finir à bout de souffle. Ces légers baisers étaient les porteurs d'un bien plus lourd message.
Après avoir déposé une traînée de baisers sur mon visage, Jason se recula de moi. Il récupéra son portable.
« Tu veux boire un truc avant ? »
« De l'eau, oui. J'ai un peu soif. »
« Je vais te chercher une bouteille, m'attends pas, va dans la chambre. »
« Mhh, d'accord. »
Jason me pinça gentiment la joue en guise de salutation. Il ne tardait pas à entrer dans la cuisine ouverte sur le salon et à s'approcher du frigo. De mon côté, je rejoignis le couloir, direction notre chambre à coucher.
Je ne me sentais pas particulièrement propre, une douche aurait été la bienvenue mais j'étais vraiment fatiguée.. Si j'y allais maintenant, j'allais sûrement m'endormir sous l'eau. Ignorer ma routine du soir juste une fois ne me ferait pas de mal, sachant que je me faisais la promesse de ne pas recommencer. Je n'avais même pas la force d'enfiler un pyjama. Je laissai donc traîner mes vêtements d'aujourd'hui à même le sol ⸺aux pieds du lit⸺ et grimpai sur notre matelas. Je me rapprochai de la tête du lit, me frayai un chemin sous la couette. Mes jambes se mirent immédiatement à frissonner. Elle était glacée, chose étrange. J'avais pensé Jason couché depuis le temps ⸺surtout à cause du manque de lumière lors de mon arrivée⸺ pourtant les draps étaient frigorifiés, un peu comme si il avait laissé la fenêtre ouverte toute la soirée ?
J'apportai ma peluche ⸺reposant sous mon oreiller⸺ contre ma joue et relevai mon portable en direction mon coussin. Je l'y plaquai. Je m'étais allongée de profil me permettant ainsi de pouvoir traîner un peu dessus en attendant que Jason revienne.
Quelques informations concernant Gotham me parvinrent, rien sur Arkham ni Batman pour l'instant. Il y avait des histoires sur le maire, le GCPD et ses effectifs ou même Bruce Wayne et l'énième entreprise dans laquelle il avait investie. Je ne cliquais sur aucun des liens proposés, je me contentais de lire les titres ainsi que les premières lignes les précédant puis je passais au suivant. J'attendais en même temps que mes draps se réchauffent. Je frottai mes chevilles contre le matelas, parfois frappée par une flopée de frissons dont la fraîcheur me fit nombre de fois grincer des dents.
Il faisait tout aussi sombre dans la chambre.
J'étais bien là, emmitouflée sous ma couverture et bientôt réchauffée. J'étais bien loin de mon université ou de mes préoccupations habituelles, celles-ci me semblèrent futiles sur le moment. Sans parler du calme plat qui régnait tout autant ici. J'appréciais entendre les petits bruits du quotidien ⸺télévision, éclats de voix, crépitement de la nourriture sur la poêle, vaisselle, douce, musique⸺, c'étaient des choses futiles mais qui rappelaient à quel point la vie était belle. Toutefois, ce silence aussi était agréable. Il n'était pas seul. Il était réconfortant en quelque sorte.
Il me donnait l'impression d'être seule au monde et de n'avoir rien à craindre.
Finissant de descendre sur ma page internet, je poussai un petit soupir. J'étais sur le point de me redresser. Jason n'était pas revenu depuis plusieurs minutes déjà, ça commençait à me déranger. Je me demandais ce qu'il pouvait bien faire.
Je me stoppai à la vue de Victor Zsasz.
Depuis l'écran de mon portable, un article traitant de son retour à Arkham titilla mon attention. L'article était composé de son titre, d'un début de texte mais aussi d'une photo du criminel. Et sans surprise, il avait de nouveau su m'ébranler. Jusqu'aux os. Je le dévisageai. Ses yeux globuleux me fixèrent en retour, d'un sinistre effarant.
Je cliquai sur la page.
Une seconde photographie apparut, j'ignorais la forme écrite de l'article pour me focaliser dessus : cette fois-ci Batman était dedans. Il tenait Victor Zsasz prêt de lui, menotté, il le remettait au commissaire Gordon. Les deux hommes parlaient, quant à Zsasz, il fixait la caméra. Il me fixait.
« J'ai pas trouvé d'eau fraîche. Désolé j'ai dû oublier d'en re⸺ »
Prise sur le fait, je me redressai.
« Hey. »
Jason fermait la porte derrière lui, dubitatif, il me dévisageait.
« Hey.. » répondit-il. « Qu'est-ce que tu fais ? »
« Rien. »
J'attrapai la bouteille qu'il me tendit, j'en bus une gorgée le temps qu'il se déshabille lui aussi. Ses vêtements rejoignirent les miens au sol. Jason s'était dépêché.
« Il est tard, tu devrais commencer à dormir. »
« Je sais, je t'attendais. » confessai-je.
Il s'assit, étendit son bras dans ma direction et me poussa contre son torse. Le temps de s'allonger confortablement, il m'avait volé ma bouteille et l'avait laissée à choir sur sa table de nuit. Il ne regardait pas exactement où elle atterrissait, il avait juste voulu s'en débarrasser le plus vite possible.
Jason s'assura que nous étions bien couvert, il me pressa contre lui et posa ses lèvres contre les miennes. Il me vola un baiser.
« Repose toi. »
« J'y vais.. » chuchotai-je.
Nos jambes se rejoignaient, les siennes étaient chaudes, j'en profitais pour me coller à lui. Il était chaud des pieds à la tête.
J'étais allongée contre son flanc de mon ventre, ma joue plaquée sur son torse, quant à Jason il avait un bras autour de ma taille et sa main sur ma joue. Il la caressait. Du dos de ses doigts, il me frôlait, puis s'amusait avec les mèches rebelles de mes cheveux. Notre enlace était si étroite que la seule chose que je pouvais respirer était son odeur. Tout ce que je sentais était sa peau contre la mienne. J'étais solidement accrochée à lui, et lui me maintenait fermement en place. C'était habituel pour nous. Jason et moi dormions toujours collés, même si nous venions à nous séparer durant la nuit, ça nous était indispensable de nous endormir en nous touchant. Je ne pouvais pas me reposer sans le savoir proche de moi..
« Eh, t'es sûre que ça va..? »
« Mhh.. »
Jason me frottait le dos de sa main.
« Merci, Jason. » je murmurai.
Il resta muet un instant. J'entendis sa respiration se stopper.
« Pourquoi ? »
« Je sais pas. Merci d'être là. »
Mon portable était depuis longtemps oublié, caché sous mon oreiller, ma peluche pressée contre ma poitrine, j'avais fermé mes yeux.
J'étais bien là, je ne désirais rien de plus. J'en oubliais tout, même mes pires cauchemars.
22 notes · View notes
creatreasurebox · 11 months ago
Text
Tumblr media
Étape de la création du header pour Wicked Little Town. Je vais tenter d'expliquer comme je peux mon processus de création. Désolé si c'est un peu bordélique. 😅 Vous pouvez cliquer sur afficher davantage pour voir:
J'ai choisi la première photo avec la fenêtre car j'aimais le reflet sur le parquet et que ça marcherait avec l'extérieur enneigé que j'imaginais. J'aimais aussi les moulures sur le mur, je les ai donc gardé mais moins fan du chandelier, surtout qu'il n'était centré, je l'ai fais disparaitre. Puis voulant une scène plus aérée, j'ai utilisé le "generative fill" de photoshop et le "stamp tool" pour agrandir la pièce. Je suis partie à la recherche d'élément qui pourrait raconter l'histoire des personnes qui vivraient dans cette maison, un canapé, un chien, un chat, un couple qui avait une excellente ombre qui marcherait super bien avec ma fenêtre (parfois, je cherche pas trop loin 😂 ). Le design devant représenter la saint Valentin sans être trop "romantique" et le thème de l'anniversaire sans être trop "anniversaire". J'ai rajouté des petits chapeaux sur le chien et le chat, des fanions, une photo du couple sur la commode et sur l'étagère, la décoration de leur gâteau de mariage. A chaque élément ajouté, il fallait donner une ombre, un reflet dans le parquet si nécessaire et changer le coloring des objets pour qu'ils correspondent à l'ambiance de la pièce. Et puis, j'adore les plantes et les livres, donc il fallait évidemment que j'en rajoute. Je trouve que ça donne un côté plus cosy. Pour l'extérieur, étant donné que la ville où se trouve le forum a un lac et est entouré de forêt, je suis partie sur ça. Pour la version sombre, j'ai changé l'image d'extérieur avec une qui avait des reflets de la maison allumée dans l'eau du lac. Et c'était parfait pour le Corgi, il existe tellement de photos d'eux que j'en ai trouvé un allongé, quant au chat, il est parti à l'aventure. J'ai changé le verre d'eau sur la table pour un verre de vin, l'horloge au mur montre maintenant 1h du matin et puis, j'ai allumé les lumières. C'est des petits détails, mais je trouve que ça continue à raconter un peu l'histoire du couple, peut être qu'ils se sont installés sur le canapé pour boire un verre et le chien s'est endormi alors qu'ils discutaient ? 😊 Pour l'animation, j'ai passé les headers à After effects, j'ai trouvé sur pexels une vidéo d'un chat noir, il a donc été rajouté à l'extérieur et il cherche son amie, la chatte à l'intérieur de la maison. (peut être qu'elle est allée le retrouver la nuit 👀), j'ai rajouté un effet neige qui tombe que j'ai trouvé sur youtube et la nuit, un oiseau qui passe rapidement devant la fenêtre. C'est assez discret, mais on peut voir le reflet de la neige animé sur le parquet, surtout la version sombre. Pour la typographie du titre, j'ai utilisé Scotch Display qui est un fond Adobe, je trouvais que une typographie serif donnait un côté plus cosy et romantique. Et pour la tagline, c'est Caslon, parce que j'aime Caslon. 👀 Je pense que j'ai fais le tour, si vous avez des questions, hésitez pas à les poser dans les commentaires de ce poste et merci d'avoir réussi à lire jusque là. 🫣 liste des images utilisées: pexels-eberhard-grossgasteiger-1624503 pexels-serkan-atay-19730755 pexels_videos_1536279 (1080p) Falling Snow Realistic Overlay Loop pexels-curtis-adams-8583905 pexels-taryn-elliott-4440123 pexels-emma-bauso-2253870 pexels-karolina-grabowska-5726036 pickawood-rwa0Yh38FeA-unsplash samantha-gades-BlIhVfXbi9s-unsplash kari-shea-3_cyj5YkhTs-unsplash jeffery-ho-TIN_Lh9-Y7g-unsplash markus-spiske-UaQ1t-nQHyk-unsplash annie-spratt-JruJFy08KB8-unsplash pexels-maksim-goncharenok-4352247 sunguk-kim-WTKvaChRvBg-unsplash pexels-karolina-grabowska-5726036 nataliia-kvitovska-MYwbqIfccvg-unsplash pickawood-rwa0Yh38FeA-unsplash filipp-romanovski-pDbhjYjrWpk-unsplash content-pixie-6CFCrt-7tHw-unsplash fatty-corgi-EpRAM95thHU-unsplash pexels-serkan-atay-19730755 fatty-corgi-wHgkrmuMFOY-unsplash pexels-anna-shvets-4587992 alexander-london-mJaD10XeD7w-unsplash
36 notes · View notes
alexlacquemanne · 11 months ago
Text
Février MMXXIV
Films
Maigret voit rouge (1963) de Gilles Grangier avec Jean Gabin, Michel Constantin, Vittorio Sanipoli, Paul Frankeur, Guy Decomble, Françoise Fabian, Paulette Dubost, Laurence Badie, Roland Armontel et Jacques Dynam
L’Étau (Topaz) (1969) d'Alfred Hitchcock avec Frederick Stafford, Dany Robin, Claude Jade, Michel Subor, Karin Dor, John Vernon, Michel Piccoli, Philippe Noiret et John Forsythe
Flic Story (1975) de Jacques Deray avec Alain Delon, Jean-Louis Trintignant, Renato Salvatori, Claudine Auger, Maurice Biraud, André Pousse, Mario David et Paul Crauchet
Poupoupidou (2011) de Gérald Hustache-Mathieu avec Jean-Paul Rouve, Sophie Quinton, Guillaume Gouix, Olivier Rabourdin, Joséphine de Meaux, Arsinée Khanjian, Clara Ponsot et Éric Ruf
Air Force One (1997) de Wolfgang Petersen avec Harrison Ford, Gary Oldman, Glenn Close, Wendy Crewson, Liesel Matthews, Paul Guilfoyle, William H. Macy et Dean Stockwell
Bob Marley: One Love (2024) de Reinaldo Marcus Green avec Kingsley Ben-Adir, Lashana Lynch, James Norton, Henry Douthwaite, Sevana, Hector Lewis et Tosin Cole
Sister Act (1992) d'Emile Ardolino avec Whoopi Goldberg, Maggie Smith, Kathy Najimy, Wendy Makkena, Mary Wickes, Harvey Keitel, Bill Nunn et Robert Miranda
Astérix : Le Domaine des dieux (2014) d'Alexandre Astier et Louis Clichy avec Roger Carel, Lorànt Deutsch, Guillaume Briat, Alexandre Astier, Alain Chabat, Élie Semoun, Géraldine Nakache, Artus de Penguern, Lionnel Astier et François Morel
Race for Glory: Audi vs. Lancia (2024) de Stefano Mordini avec Riccardo Scamarcio, Daniel Brühl, Volker Bruch, Katie Clarkson-Hill, Esther Garrel, Gianmaria Martini : Hannu Mikkola et Haley Bennett
Buster (1988) de David Green avec Phil Collins, Julie Walters, Larry Lamb, Stephanie Lawrence, Ellie Beaven, Michael Attwell, Ralph Brown et Anthony Quayle
Laura (1944) d'Otto Preminger avec Gene Tierney, Dana Andrews, Clifton Webb, Vincent Price, Judith Anderson, Dorothy Adams et Lane Chandler
Séries
Affaires sensibles
Présidentielle de 1995 : un scandale d'Etat - Michèle Mouton, le Groupe B et les Finlandais volants - Les Ecoutes de la République - La secte du temple solaire, le drame d’une société secrète - Munich 1972 : destin tragique d'un rêve olympique - Les révoltés des Jeux olympiques - Le crash de la Germanwings - Alexandre Litvinenko, victime d’un permis de tuer - Martin Luther King : la naissance d’une icône - Martin Luther King : du rêve au cauchemar - Dans l'ombre de Gérard Lebovici - Macron 2017, le traitre méthodique - Kurt Cobain, portrait d’une génération - Crash au mont Saint Odile
Maguy Saison 1
Rose et Marguerite, c'est le bouquet - Babar et Bécassine se mènent en bateau - Docteur j'abuse - L'union fait le divorce - L'annonce faite à Maguy - Le coupe-Georges - Amoral, morale et demie - Cinquante bougies, ça vous éteint ! - A visage redécouvert'' - Le serment d'hypocrite - Tu me trompes ou je me trompe ? - Comment boire sans déboires - Un veuf brouillé - Le père Noël dans ses petits souliers - L'emprunt ruse - Tous les couples sont permis - L'amant de la famille - Travail, famille, pas triste - Blague de fiançailles - Macho, boulot, dodo - Mi-flic, mi-raisin - Trop polyvalent pour être honnête - La traîtresse de maison - Les trois font la paire - Un grain peut en cacher un autre - La quittance déloyale - Belle-mère, tel fils - Manège à quatre - Comme un neveu sur la soupe - Toutou, mais pas ça ! - A corde et à cri - Jamais deux sans quatre - L'amant comme il respire - Le chômage, ça vous travaille ? - La faillite nous voilà ! - Le divin divan - Toubib or not toubib - L'écolo est fini - Loto, route du bonheur
La croisière s'amuse Saison 2
Un contrat en or - Le Magicien - Copie confuse - Un travail d'équipe - Accrochez-vous au bastingage - Le Célèbre Triangle - Joyeux Anniversaire : première partie - Il y a si longtemps déjà - Passion - Un coup de roulis - Docteur, vous êtes fou - La Petite Illusion - Donne moi ma chance - Qui vivra verra - Réunion de travail : deuxième partie - Méfiez vous de votre meilleure amie - Vague à l'âme - L'amour est aveugle - Chassé croisé
Downton Abbey Saison 6
À l'aube d'un nouveau monde - Le Piège des émotions - En pleine effervescence - Une histoire moderne - Plus de peur que de mal - En toute franchise - Aller de l'avant - Les Sœurs ennemies - Le Plus Beau des cadeaux
Kaamelott Livre IV
Le Jeu de la guerre - Le Rêve d’Ygerne - Les Chaperons - L’Habitué - Le Camp romain - L’Usurpateur - Loth et le Graal - Le Paladin - Perceval fait ritournelle - La Dame et le Lac - Beaucoup de bruit pour rien - L’Ultimatum - Le Oud II - La Répétition - Le Discours - Le Choix de Gauvain - Fluctuat nec mergitur - Le Face-à-face : première partie - Le Face-à-face : deuxième partie - L’Entente cordiale - L’Approbation - Alone in the Dark II - La Blessure d’Yvain - Corpore sano II - L’Enchanteur - Les Bien Nommés - La Prisonnière - Les Paris III - Les Plaques de dissimulation - Le Vice de forme - Le Renoncement première partie - Le Renoncement deuxième partie - L’Inspiration - Les Endettés - Double Dragon - Le Sauvetage - Le Désordre et la Nuit
Coffre à Catch
#153 : Finlay, le retour ! - #154 : Gloire aux Heels ! - #155 : Les débuts historiques de Sheamus ! - #156 : Les Bella Twins arrivent à la ECW ! - #18 ; CM Punk continue d'impressionner & quelqu'un fait du vélo ! - #12 : Le Push de CM Punk + Bsahtek le Bikini !
Castle Saison 4
Sexpionnage - Jeux de pouvoir - Une vie de chien - Le Papillon Blue - Pandore, première partie - Pandore, deuxième partie - Il était une fois un crime - Danse avec la mort - 47 secondes - Au service de sa majesté - Chasseurs de têtes - Mort vivant - Jusqu'à la mort s'il le faut
Les Brigades du Tigre Saison 1
Ce siècle avait sept ans… - Nez de chien - Les Vautours - Visite incognito - La Confrérie des loups - La Main noire
Alfred Hitchcock présente Saison 2, 6
Incident de parcours - Pièce de musée - Reconnaissance
The Grand Tour Saison 5
Trop de sable
La ville Noire
Première partie - Deuxième partie
Les Petits Meurtres d'Agatha Christie Saison 3
Mortel Karma
Spectacles
Monsieur chasse (1978) de Alain Feydeau avec Michel Roux, William Sabatier, Françoise Fleury, Yvonne Gaudeau, Pierre Mirat, Xavier Vanderberghe, Michel Mayou, Bernard Durand et Roland Oberlin
La Bagatelle (1977) de Jean Meyer avec Amarande, Patrick Préjean, Jacques Balutin, Brigitte Chamarande Bel, René Lefevre, Pierre Aufrey et Didier Roussel
Femmes en colère (2023) de Stéphane Hillel avec Lisa Martino, Gilles Kneusé, Hugo Lebreton, Nathalie Boutefeu, Fabrice de la Villehervé, Sophie Artur, Clément Koch, Magali Lange, Aude Thirion et Béatrice Michel
La Pélerine écossaise (1972) de Sacha Guitry avec Jean Piat, Geneviève Casile, Philippe Etesse, Robert Manuel, Raymond Baillet, Françoise Petit, Alain Souchères, Janine Roux et Ly Sary
Livres
Piège de chaleur de Richard Castle
Spirou et Fantasio, tome 15 : Z comme Zorglub de André Franquin, Jidéhem et Greg
Kaamelott, tome 1 : L'Armée du Nécromant d'Alexandre Astier, Benoît Bekaert et Steven Dupré
OSS 117 : Tactique Arctique de Jean Bruce
Astérix, tome 17 : Le Domaine des dieux de René Goscinny et Albert Uderzo
4 notes · View notes
warmania · 1 year ago
Video
PRE-DRINK from Midi La Nuit on Vimeo.
2017 | 23 min | French with English Subtitles | 4:3 | Couleur | 5.1 - ALEXE est une jeune femme trans, et CARL un homme gai. Meilleurs amis depuis toujours, une soirée passée ensemble déstabilise ALEXE, lorsque les deux décident de coucher ensemble pour la première fois. - ALEXE is a young trans woman, and CARL a gay man. Best friends since forever, an evening spent together destabilizes ALEXE, when both decide to have sex together for the first time. -
Un film de / A film by : Marc-Antoine Lemire Produit par / Produced by : Maria Gracia Turgeon (Midi La Nuit) Distribué par / Distributed by : H264 Distribution
CAST Pascale Drevillon - Alex Trahan
CREW Cinematographer: Léna Mill-Reuillard Editor: Anouk Deschênes Sound: Laurent Ouellette Sound Mixer & Editor: Theo Porcet - Jean-David Perron Key Gaffer & Grip: Olivier Racine 1st Assistant Camera: Ariane Aubin-Cloutier Art Director: Marc-Antoine Lemire Costumes: Alexandra Bégin- Laurie-Anne Viens - Renée Sawtelle Make-up: Andie Wisdom Dawson Hair: Tania Lacoste-Major - Andie Wisdom Dawson Executive Producers: Annick Blanc - Evren Boisjoli - Item 7 1st Assistant Director: Catherine Kirouac Coordinator: Kelyna N. Lauzier Production Intern: Gabrielle De Cevins Production Assistant: Lysandre Leduc Boudreau Catering: France Turgeon Traducer: Guylaine Jacob
Festivals: Toronto International Film Festival – Short Cuts, 2017 *Best Canadian Short Film Talent tout court/Not Short on Talent – Cannes Film Festival, 2017 Atlantic International Film Festival, 2017 Festival international du film francophone de Namur, 2017 Festival international du film de Bordeaux, 2017 Taipei Golden Horse Film Festival, 2017 Prends Ça Court Trouville, 2017 Festival international du film francophone d’Acadie, 2017 Whistler Film Festival, 2017 Thess International Short Film Festival, 2017 *Cinematic Achievement Award Southwest International Film Festival, 2018 Taos Shortz Film Fest, 2018 Flickerfest, 2018 Tampere Film Festival, 2018 Antitube, 2018 Canada’s Top Ten Film Festival, 2018 Canadian Screen Awards, 2018 *Nominated for Best Short Film 15e Gala Prends ça court *Audience Award, Post-Moderne Award Rendez-vous Québec Cinéma, 2018 *Best Fiction Short Film Melbourne Queer Film Festival, 2018 Nashville Film Festival, 2018 KASHISH Mumbai International Queer Film Festival, 2018 On vous ment : Festival Documenteur, 2018 InsideOut LGBT Film Festival, 2018 Seoul International Women Film Festival, 2018 Gala Iris Québec Cinéma, 2018 *Best Fiction Short Film OutFilm : Connecticut LGBT Film Festival, 2018 Kansas City LGBT Film Festival, 2018 Festival 48 Images Seconde, 2018 – *Jury Prize Festival Longue Vue sur le court, 2018 – *Best Script Moscow International Film Festival, 2018 Sicilia Queer Film Fest, 2018 Mostra La Ploma, 2018 Kortfilmfestivale, 2018 fliQs: Queer Film Nights, 2018 Frameline, San Francisco, 2018 Festival MIX Milano, 2018 Korea Queer Film Festival, 2018 Outfest Los Angeles, 2018 Odense International Film Festival, 2018 Seattle International Film Festival, 2018 Transgender Film Festival Zurich, 2018 Lovers Film Festival – Torino Lgbtqi Visions, 2018 Festival Internacional de Cine IBAFF, 2018 Wicked Queer: Boston LGBT Film Festival, 2018 CinemaQuebecItalia, 2018 Vancouver Queer Film Festival, 2018 Meziprata Film Festival, 2018 *Best Short Film award Festival Internacional de Cine de Murcia IBAFF, 2018 Norwegian Short Film Festival – Grimstad, 2018 Écrans Mixtes Lyon, 2018 Lviv International Short Film Festival Wiz-Art, 2018 Reel Affirmations: Washington, DC’s LGBTQ Film Festival, 2018 Off-Courts Trouville 2018 Queergestreift Filmfestival, 2018 Zinegoak, International LGTB Film and Performing Arts Festival, 2018 Mardi Gras Film Festival, 2018 Festival de cinéma de la ville de Québec, 2018 Les Percéides, 2018 L’Espace Filmique, 2018 Cinéma Diverse, Palm Spring LGBT Film Festival, 2018 Q Cinema – Fort Worth, 2018 PROUD film festival, 2018 Louisville LGBT film festival, 2018 TWIST Seattle film festival, 2018 Durham film festival, 2018 Mix Copenhagen LGBTQ film festival, 2018 NewFest: The NYC LGBT film festival, 2018 Reel Affirmation film festival, 2018 Inside Out 2018 Ottawa LGBT Film Festival, 2018 Austin Gay and Lesbian International Film Festival, 2018 Iris Prize Festival, 2018 *Finalist – Iris Prize Encounters Bristol, 2018 BENT: the 27th annual Sacramento LGBTQ Film Festival, 2018 Out On Film/Atlanta, 2018 Trans Film Fest Stockholm, 2018 SPASM, 2018 *Audience Award Chéries-Chéris, Festival LGBT à Paris, 2018 *Grand Prize Nahia Film Fest: International Short Film Festival, 2018 *Special Jury Award Plein(s) Écran(s), 2018 26th MIX BRASIL FESTIVAL, 2018 Queer Screen – Sydney, 2019 ReelOut – Kingston’s Queer film + Video festival, 2019 Qflix Philadelphia, 2019 Go Short – Netherlands, 2019 Queen’s World film festival, 2019 Vues d’en Face – Grenoble, 2019 Académie des Césars – Nuits en Or, 2019 Prague Pride screening – Meziprata Film Festival, 2019
2 notes · View notes
the-wicked-deep · 2 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
THE WICKED DEEP
Projet inspiré des oeuvres the sorcery of thorns (Margaret Rogerson) , The Scholomance (Naomi Novik) et La Passe-miroir (Christelle Dabos).
DISCORD
EXPLICATIONS
---- ENCLAVE OZERA, Avril 2023
La nuit vient de tomber, les ténèbres se sont emparées de ses moindres recoins alors qu’on entend les bavardages des grimoires et les pas assidus des Keepers, faisant leur ronde autour des prémisses. Les barrières menant au coffre des grimoires les plus dangereux sont fermées, protégées par deux Keepers, qui eux ne bougent pas. Stoïques, les yeux vrillés ci et là de la bibliothèque, les choses semblent être normales ce soir. 
Et pourtant… une fumée épaisse s’imprègne lentement, mais sûrement des murs. Les Keepers tombent tous un à un alors que leur vision leur est retirée pour quelques minutes. Des cris de panique se font entendre, mais il est déjà trop tard. Les grilles menant au coffre sont ouvertes et dans son cœur un grimoire a disparu. Un des huit grimoires les plus dangereux au monde. 
---- AUJOURD’HUI
La chasseuse s’empare de son infuseur et insuffle son incantation, lui donnant pour quelques minutes une force décuplée. Elle s’empare de sa rapière et se lance en direction du Mal qui vient de s’engager dans l’enclave des Blackthorn. Les sorciers qui l’entourent courent en panique, cherchant en vain leurs infuseurs pour se défendre. Mais le monstre a faim, le monstre qui ne devrait pas être là, ne pas exister. 
La chasseuse, elle, n’hésite pas une seule seconde. Elle le pousse de tout son poids afin qu’il lâche sa proie, et enfonce sa rapière dans sa gorge. Elle sait que ça ne sera pas suffisant pour le tuer, mais assez pour le déconcentrer quelques minutes. Elle attrape un os de lézard et lui insuffle une seconde incantation. Le monstre, à présent en colère, se retourne vers elle pour lui asséner un coup. Mais avec sa force et surtout sa rapidité, la chasseuse ne lui laisse pas la chance et use de cette opportunité pour enfoncer son poing dans ce qui semble être sa tête. Le monstre recule, mais montre ses dents. 
S’ensuit un duel qui finira dans la mort du Mal, la destruction de quelques champs de protection de l’enclave Blackthorn. Plus de peur que de mal dira la matriarche de la famille.. mais ce n’est pas la première, ni la dernière attaque. Et les conséquences deviennent toujours plus graves, élevant les questions: qui vole les grimoires et pourquoi les Mals refont leur apparition alors qu’ils étaient enfermés dans les enfers? Les huits enclaves sortiront-elles indemnes de ce plan bien plus élaboré qu’il n’y paraît?
3 notes · View notes
marinelevel · 1 month ago
Text
Film - Wicked, partie 1
On m'a demandé mon avis sur Wicked, l'adaptation du musical du même nom que j'adore ! Le film sort demain et je vous dis tout !!!
Film – Wicked, partie 1Vu en VOST en avant première le 22 Novembre 2024 Continue reading Film – Wicked, partie 1
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
lectures-dune-marmotte · 2 months ago
Text
Bonjour chères lecteurs et lectrices,
Ce mois ci j’ai lu cinq livres.
📓La confiance en soi ça se construit. J’ai réalisé un article complet juste avant celui ci. Si vous voulez en savoir plus je vous invite à y jeter un coup d’œil 🫣.
📓Avant le labyrinthe La braise de James Dashner publié aux éditions PKJ. Son prix est de 18,50 💶 . Ce livre est l’ultime tome (5) de la saga Le labyrinthe. Nous allons comprendre le début du commencement, de l’histoire du labyrinthe. Notre personnage principal ne s’appelle pas Thomas mais Stephen. C’est l’équipe du Wicked qui tue ces parents et l’emmène avec sa sœur alors qu’ils sont très jeunes. Le wicked le sépare de sa sœur. Et ils insistent sur son prénom que le wicked le baptise Thomas. Il va vivre pendant des années dans le bâtiment de cette organisation et de là nous allons au fur et à mesure retrouver tout les personnages depuis le tome 1. Leur objectif est de trouver un remède pour lutter contre la maladie (La braise). Ils vont faire des expériences sur des enfants comme des rats de laboratoire. La braise est un virus qui te fait devenir fou. Le virus s’attaque au cerveau et il est dans l’air que l’on respire. Le wicked a choisi l’adolescent pour élaborer le labyrinthe : 2 filles et 2 garcons. Cela fait 10 ans que le wicked travaille dessus. Nous apprenons qu’il reste seulement 10% de la population mondiale et le wicked ne veut pas que l’ère humaine disparaisse. Nous découvrons aussi comment Thomas, Teresa, Aris et Rachel ont intégré les labyrinthes car il y en a bien 2. Le premier avec des garçons et une fille et le second avec des fille et un garçon. Nous découvrons également que parmi les 4 personnages deux vont trahir les deux autres. Des 5 tomes c’est ce dernier et le premier dont j’ai le plus aimé lire.
Et vous, connaissez vous cette saga et qu’en avez vous pensez ?
📔L’année perdue de Katherine Marsh publié chez Gallimard jeunesse en 2023. C’est un livre traduit de l’anglais américain au prix de 17,90💶. Le chapitre 1 s’intitule Matthew, on y découvre ce personnage ainsi que sa mère et son arrière grand mère. Nous apprenons que c’est la période du Covid et donc de son confinement et que Matthew est accro à Zelda (jeux vidéo). Son arrière grand mère vient vivre avec eux car elle était dans un EPAD mais sa mère est partie la chercher. Son père vit en France pour le travail et eux sont dans l’Etat de New Jersey et son père vivait à Brooklyn (NYC). Quand il y a des descriptions c’est au passé et pendant les dialogues c’est au présent. Dans ce deuxième chapitre nous découvrons le personnage de Mila. Elle a douze ans et vit en URSS. On y comprend très vite qu’il y a des conflits avec d’autres communautés au sein de son pays. Elle vit avec son père et sa nounou car sa mère est morte. Son père est militaire pour Staline. Elle vit à Kiev (Ukraine). Nous sommes à deux époques différentes. Matthew en 2020 et Mila en 1932. Au chapitre 4 on découvre Helen le troisième personnage du roman. Elle vit aux États Unis pendant l’année 1932 et est originaire de l’Ukraine. C’est au chapitre 7 que nous verrons le lien entre l’histoire qui se passe en 2020 et l’histoire qui se passe en 1932. Nous verrons que Mila et l’arrière grand mère de Matthew se connaissaient.
📓En apnée de Meg Grehan publié aux éditions Talents Hauts en 2020 au prix de 14 💶. C’est une histoire en vers libre. La protagoniste parle à la première personne du singulier. Le récit fait énormément référence à l’eau et aux poissons. La narratrice se cherche niveau identité sexuelle. Elle s’appelle Maxime car au départ les parents pensaient qu’ils allaient avoir un garçon mais finalement c’était une fille. Vers le milieu du livre nous comprenons que Maxime cherche à dire à sa mère qu’elle aime les filles mais n’ose pas, ne sait pas comment s’y prendre et surtout ne sait pas si c’est normal. Elle décide alors d’aller à la bibliothèque pour trouver les réponses à ses questions dans un livre. La première personne à qui elle parle de ses questionnements c’est à la bibliothécaire qui la rassure en lui disant que c’est normal ce qu’elle ressent. Elle va donc trouver le courage de le dire à sa mère et sa mère le prend bien.
Mon avis : je n’ai pas du tout aimé ce livre.
📓Sable bleu de Yves Grevet aux éditions Syros 2021 destiné à la jeunesse. Prix en vente de 16,95💶. Tess est une jeune lycéenne qui avec son amie s’investissent dans un mouvement écologique « Planet Reboot » mais des événements viennent perturber la population. En effet, Tess pendant une nuit entend du bruit dans sa salle de bain, elle pense alors à sa maman qui prend des médicaments pour soigner une dépression. Sauf que le matin au réveil sa mère est en colère car elle ne retrouve pas ses médicaments. Évidemment ils ont disparu et elle accuse sa fille. Sa fille va prouver à ses parents que ce n’est pas elle car c’est un événement très à la mode depuis un petit moment. A priori des gens volent dans la nuit. Mais un autre soir Tess entend du bruit dans la cuisine et ne voit personne. Pourtant elle sent une puissance invisible qui par ailleurs laisse une odeur atroce derrière elle. Le lendemain matin de la nourriture a disparu mais cette fois ci les parents ne l’accuse t pas car ils savent qu’ils ne sont pas les seuls à subir ce genre d’acte. Pendant son mouvement d’écologie, Tess va faire la rencontre d’autres filles dont une qui s’appelle Leonor. Elles vont très vite s’attacher l’une à l’autre en transformant une histoire d’amitié en histoire d’amour. Dans ce livre, nous aborderons des thèmes comme l’homosexualité mais aussi l’écologie. Le livre y attache une grande importance du début jusqu’à la fin. L’auteur aborde le sujet de l’adoption à travers l’adolescente Tess. Il dédramatise la police puisque Tess deviendra l’amie d’une agent. Nous découvrirons les manifestations et les dessous de celle ci. Le côté extraterrestre y est abordé et Tess peut communiquer avec cette force invisible. Le titre du livre devient logique vers la fin de l’histoire.
Ce n’est pas le livre de l’année.
À bientôt pour de nouvelles découvertes.
Xoxo
La marmotte
0 notes
theoriedelesthetique · 3 months ago
Text
Tumblr media
𝐡 𝐢 𝐬 𝐬 𝐭 𝐨 𝐫 𝐲 ;
Lee Hwan, contrairement à ses amis, n’a jamais rien vu d’autre que WICKED. C’est au cœur du laboratoire qu’il est né, et c’est au cœur du laboratoire qu’il grandit. Hwan ne devrait pas pouvoir se plaindre - après tout, il est un enfant désiré. Mais à quel prix, finalement? Parce que ses parents ne veulent pas spécialement d’un enfant à proprement parler. Ils veulent une expérience, un rat de laboratoire. Quelque chose qui permettra de les faire bien voir par l’agence, pour laquelle ils travaillent. Avec la crise de la Braise sur les bras, de plus en plus, on parle d’expérimenter sur des enfants - c’est leur chance, donc, d’apporter leur pierre à l’édifice. Un enfant, eux, ils n’ont pas besoin d’en enlever, ils en ont un tout prêt. C’est comme ça qu’ils l’élèvent, donc, les premières années. Comme une putain d’expérience. Hwan ne connaît pas la chaleur de l’amour parental, ne sait pas ce que c’est, un sourire, dire “je t’aime”, et ne reçoit jamais un tant soit peu d’affection. Hwan, dans le fond, est juste seul. 
Et puis, quand il a dix ans à peu près, il quitte ce qui lui sert d’appartement au sein des laboratoires, et découvre sa propre chambre, aux côtés de celle d’un gosse visiblement traumatisé qui passe son temps à pleurer, Seo-Joon. Pour la première fois de sa vie, Hwan n’est plus seul. Et il a à peu près le même âge quand il fait la rencontre de Ji-Hae, qui traverse une situation similaire, fils d’une des directrices de WICKED. Mais Hwan, lui, se délecte de ses nouvelles amitiés - il est prêt à endurer toutes les expériences de WICKED, s’il peut passer ses soirées en compagnie de ses amis. Après Seo-Joon et Ji-Hae, Hwan fait également la rencontre de Minjun et de Tae-Hee. Et ce dernier, aux yeux de Hwan, ça n’est pas n’importe qui. L’enfant qui assiste les infirmiers, c’est celui qui soulage tous ses maux, de plus d’une façon. 
Mais la situation dans les laboratoires devient de plus en plus insoutenable - Hwan et Ji-Hae connaissant les lieux mieux que les autres garçons mettent alors en place une tentative d’évasion. Mais ils ne sont, finalement, que des enfants, et lamentablement, leur essai échoue. Ils se font attraper rapidement, et aussi rapidement, ils sont punis. Leur sanction? Interdiction de se fréquenter. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que Hwan ne vit pas tellement bien cette séparation. Ses parents, qui sont plus de simples géniteurs qu’autre chose, se retrouvent avec un adolescent rebelle sur les bras, en proie à une crise perpétuelle face à l’autorité. Il refuse, les expériences, la torture, tout, tant qu’il ne retrouve pas ses amis.
Et puis, Ji-Hae disparait.
Et puis, Minjun.
Hwan ne comprend pas bien qu’il est le prochain, quand il voit Tae-Hee pour la dernière fois, quand ce dernier lui injecte quelque chose, mais pour la première fois depuis longtemps, Hwan sourit. Il a retrouvé celui qu’il aimait. 
Et il l’oublie.
Il oublie tout, alors qu’il ouvre les yeux dans la Boîte, cet immense ascenseur qui l’amène au Bloc. Il n’a plus que son nom en tête - et il n’a que ça à offrir aux quelques garçons déjà présents dans le Bloc, dont deux, qu’il n’a pas conscience de déjà connaître. Ji-Hae et Minjun. L’un est devenu le chef du Bloc, l’autre est le maton des coureurs. Et Dieu qu’il en faut du temps, à Hwan, pour comprendre les règles du Bloc, et pour chercher à les appliquer - durant ses premiers jours, donc, les conflits sont récurrents avec les autres. Ce n’est pas entièrement de sa faute, cependant. Après tout, il a été envoyé dans le Bloc avec ce même état de rébellion qu’il connaissait dans le laboratoire. Mais sa hargne a une utilité, et sa place, il finit par la trouver. Il devient Bâtisseur, puis maton des Bâtisseurs, quand celui qu’il remplace finit par mettre fin à ses jours, ne supportant pas la pression du Bloc. Un corps de plus, finalement, que Hwan doit jeter dans le cimetière, au fond de la forêt.
Et Hwan n’est… pas facile à vivre. Il est constamment fermé, effraie les petits nouveaux, avec son visage dur, et il n’a jamais vraiment l’air d’être de bonne humeur. Mais sa froideur, et sa rigueur, l’empêche d’être trop affecté émotionnellement quand il s’agit d’aller enterrer ceux qui abandonnent, ou ceux qui se perdent aux mains des Griffeurs. 
Mais il y a aussi ceux à qui Hwan s’est profondément attaché. Ji-Hae, et Minjun, évidemment, mais aussi Seo-Joon, le cuisinier terrorisé, et puis, Tae-Hee, leur medjack. Visiblement, peu importe le monde dans lequel ils évoluent, Hwan est tout simplement programmé pour aimer Tae-Hee, et le Bloc ne fait pas exception. Avec le temps, finalement, Hwan se dit que sa vie, il pourrait la faire ici, dans cette communauté, que ça ne lui poserait pas de problèmes, s’ils maintenaient un semblant de paix. 
Il n’a toujours pas compris, Hwan, que ça n’était pas lui qui décidait, et que le Bloc avait ses propres règles.
Et le Bloc, lui, a décidé qu’il était temps pour eux de partir.
Tumblr media
𝐡 𝐢 𝐬 𝐭 𝐫 𝐢 𝐯 𝐢 𝐚 ;
⁕ Hwan n’a jamais tellement hésité à se servir de la violence si nécessaire, notamment parce qu’il est un savant mélange d’impulsivité et de besoin de protection. On dit souvent qu’à lui seul, Hwan pourrait causer un massacre, si on venait à s’en prendre à ses amis.
⁕ Hwan fait partie de ceux qui sont immunisés, ce qu’il apprendra de la bouche de ses parents, quand ils retourneront à WICKED. Ils ne feront preuve d’aucune compassion face à ce qu’ils lui ont fait subir, préférant au contraire se féliciter de la réussite de leur expérience. Hwan finira par les abattre - pas par la colère, mais par pitié pour eux.
⁕ Hwan exprimera plus d’une fois sa fierté quant au fait qu’un grand nombre des aménagements du Bloc lui soit dû - une façon, pour lui, d’avoir su se rendre utile. Il n’hésitera pas, même, à avancer comme argument le fait de ne pas vouloir quitter le Bloc, pour ne pas avoir à quitter ses plus belles œuvres d’art. En réalité, c’est sa manière à lui de cacher sa peur, face au monde extérieur.
⁕ Ce qui fait dégoupiller Hwan en trois secondes, c’est le fait qu’on s’en prenne à ses amis. C’est cela, son trait de caractère principal : Hwan est particulièrement (trop) protecteur avec les quatre autres Blocards à qui il s’est inévitablement allié. Considérant que c’est son rôle de les protéger, il vaudrait mieux ne pas croiser son chemin lorsqu’il est en pleine de crise de rage - de nombreux meubles du Bloc ont déjà subi les conséquences des accès de colère de Hwan.
𝐚 𝐩 𝐩 𝐞 𝐚 𝐫 𝐚 𝐧 𝐜 𝐞 ;
Physiquement, Hwan est grand, et plutôt bien bâti - ce qui va franchement lui servir au sein du Bloc. Il apparaît donc assez impressionnant physiquement, et n’hésite pas à montrer ses muscles pour se montrer relativement intimidant. Il a les cheveux longs, parce qu’il n’a jamais pris la peine de les couper - mais il a tendance à attacher ces derniers, négligemment, parce qu’ils le gênent dans son travail régulier. Sur son visage se trouve une cicatrice, le long de sa joue droite, résultat d’une rencontre hasardeuse entre un Blocard et lui, durant ses premiers jours de Bloc. Dans le Bloc, il n’est pas rare de voir Hwan sans son tee-shirt, et même si ça ne lui permet probablement pas de se protéger correctement, c’est surtout pour narguer Tae-Hee, son amour de toujours. 
𝐩 𝐞 𝐫 𝐬 𝐨 𝐧 𝐚 𝐥 𝐢 𝐭 𝐲 ;
Au regard de sa personnalité, Hwan peut être perçu comme relativement bourrin. Il n’a pas de filtre, n’hésite pas à mettre les pieds dans le plat, et privilégie toujours la vérité, même si elle est dure à entendre. Son sens de l’honnêteté ne comprend donc pas l’idée de mettre des gants pour dire les choses, ce qui renforce définitivement l’idée selon laquelle il est particulièrement intimidant. De plus, Hwan est plutôt impulsif. Véritable tête brûlée, il a cependant un sens aigü de la survie, avec un sacré instinct de conservation
Tumblr media
1 note · View note
saltypeanutnerd · 4 months ago
Text
Fibroïne de soie (SF), Prévisions de la Taille du Marché Mondial, Classement et Part de Marché des 10 Premières Entreprises
Selon le nouveau rapport d'étude de marché “Rapport sur le marché mondial de Fibroïne de soie (SF) 2024-2030”, publié par QYResearch, la taille du marché mondial de Fibroïne de soie (SF) devrait atteindre 47 millions de dollars d'ici 2030, à un TCAC de 6.2% au cours de la période de prévision.
Figure 1. Taille du marché mondial de Fibroïne de soie (SF) (en millions de dollars américains), 2019-2030
Tumblr media
Selon QYResearch, les principaux fabricants mondiaux de Fibroïne de soie (SF) comprennent Croda, Huzhou Xintiansi Bio-tech, etc. En 2023, les trois premiers acteurs mondiaux détenaient une part d'environ 43.0% en termes de chiffre d'affaires.
Figure 2. Classement et part de marché des 10 premiers acteurs mondiaux de Fibroïne de soie (SF) (Le classement est basé sur le chiffre d'affaires de 2023, continuellement mis à jour)
Tumblr media
The key market drivers for the Silk Fibroin (SF) market:
1. Growing Demand for Sustainable and Biodegradable Materials: The increasing focus on environmental sustainability and the shift towards eco-friendly materials have driven the demand for silk fibroin, a natural and biodegradable polymer.
2. Expansion of the Biomedical and Pharmaceutical Industries: The use of silk fibroin in various biomedical and pharmaceutical applications, such as drug delivery systems, tissue engineering, and wound dressings, has been a significant market driver.
3. Rising Adoption in the Cosmetics and Personal Care Sector: The incorporation of silk fibroin in cosmetic and personal care products, due to its exceptional moisturizing, anti-aging, and skin-soothing properties, has contributed to the market's growth.
4. Increasing Demand for High-Performance Textiles and Apparel: The unique properties of silk fibroin, including its strength, softness, and moisture-wicking capabilities, have led to its widespread use in the textiles and apparel industry.
5. Advancements in Silk Fibroin Extraction and Purification Techniques: Improvements in silk fibroin extraction and purification processes have made these materials more accessible and cost-effective, driving their adoption across various industries.
6. Growing Interest in Natural and Luxury Products: The increasing consumer preference for natural and luxury products has fueled the demand for silk fibroin, which is often associated with high-end and premium offerings.
7. Expansion of the Automotive and Transportation Sector: The use of silk fibroin in automotive and transportation applications, such as in interior components and composite materials, has been a market driver.
8. Increasing Adoption in the Electronics and Sensor Industry: The unique properties of silk fibroin, including its flexibility, biocompatibility, and piezoelectric characteristics, have led to its adoption in various electronic and sensor applications.
9. Rising Demand for Innovative and Functional Biomaterials: The growing interest in novel and functional biomaterials, such as silk fibroin, for a wide range of applications has been a key market driver.
10. Supportive Regulatory Frameworks and Initiatives: Favorable regulatory frameworks and government initiatives promoting the use of sustainable and renewable materials have contributed to the growth of the silk fibroin market.
À propos de QYResearch
QYResearch a été fondée en 2007 en Californie aux États-Unis. C'est une société de conseil et d'étude de marché de premier plan à l'échelle mondiale. Avec plus de 17 ans d'expérience et une équipe de recherche professionnelle dans différentes villes du monde, QYResearch se concentre sur le conseil en gestion, les services de base de données et de séminaires, le conseil en IPO, la recherche de la chaîne industrielle et la recherche personnalisée. Nous société a pour objectif d’aider nos clients à réussir en leur fournissant un modèle de revenus non linéaire. Nous sommes mondialement reconnus pour notre vaste portefeuille de services, notre bonne citoyenneté d'entreprise et notre fort engagement envers la durabilité. Jusqu'à présent, nous avons coopéré avec plus de 60 000 clients sur les cinq continents. Coopérons et bâtissons ensemble un avenir prometteur et meilleur.
QYResearch est une société de conseil de grande envergure de renommée mondiale. Elle couvre divers segments de marché de la chaîne industrielle de haute technologie, notamment la chaîne industrielle des semi-conducteurs (équipements et pièces de semi-conducteurs, matériaux semi-conducteurs, circuits intégrés, fonderie, emballage et test, dispositifs discrets, capteurs, dispositifs optoélectroniques), la chaîne industrielle photovoltaïque (équipements, cellules, modules, supports de matériaux auxiliaires, onduleurs, terminaux de centrales électriques), la chaîne industrielle des véhicules électriques à énergie nouvelle (batteries et matériaux, pièces automobiles, batteries, moteurs, commande électronique, semi-conducteurs automobiles, etc.), la chaîne industrielle des communications (équipements de système de communication, équipements terminaux, composants électroniques, frontaux RF, modules optiques, 4G/5G/6G, large bande, IoT, économie numérique, IA), la chaîne industrielle des matériaux avancés (matériaux métalliques, polymères, céramiques, nano matériaux, etc.), la chaîne industrielle de fabrication de machines (machines-outils CNC, machines de construction, machines électriques, automatisation 3C, robots industriels, lasers, contrôle industriel, drones), l'alimentation, les boissons et les produits pharmaceutiques, l'équipement médical, l'agriculture, etc.
0 notes
supergardenertiger · 5 months ago
Text
Vajèn van den Bosch komt naar Vlaanderen Muziekland op 8 augustus
Pickx+ is zeer blij een nieuwe naam toe te voegen aan de line-up van Vlaanderen Muziekland op 8 augustus in Nieuwpoort. Niemand minder dan de hoofdrolspeelster uit de Nederlandse versie van de musical FROZEN komt naar Vlaanderen voor de opnames.  Vajèn van den Bosch speelde eerder al de hoofdrollen in bekende musicals als Les Miserables, Wicked, Tarzan en On Your Feet!. Sinds de première van de…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
ilovetheater-nl · 5 months ago
Text
Vlaanderen Muziekland laat Vajèn van den Bosch (Elsa) uit de Nederlandse musical Disney FROZEN los op 8 augustus in Nieuwpoort
Pickx+ is zeer blij een nieuwe naam toe te voegen aan de line-up van Vlaanderen Muziekland op 8 augustus in Nieuwpoort. Niemand minder dan de hoofdrolspeelster uit de Nederlandse versie van de musical FROZEN komt naar Vlaanderen voor de opnames.  Vajèn van den Bosch speelde eerder al de hoofdrollen in bekende musicals als Les Miserables, Wicked, Tarzan en On Your Feet!. Sinds de première van de…
0 notes
seoulserpents · 7 months ago
Text
𝗖͟𝗛͟𝗢͟ 𝗝͟𝗜͟-𝗛͟𝗔͟𝗘 ;
Tumblr media
Ji-hae occupe le rôle de leader du Bloc, celui qui prend les décisions, celui qui est le plus respecté parmi tous les blocards. C’est surtout parce qu’il est l’un des premiers à être rentré dans le bloc. Il est le deuxième, à vrai dire. Quand il sort de cet ascenseur bancal, la première chose qu’il voit c’est un garçon, peut-être son âge ou à peine plus vieux, mais il se lie bien vite d’amitié avec ce dernier. En même temps ils sont tous les deux dans la même merde, tous les deux sont apeurés, tous les deux ne comprennent pas pourquoi ils sont ici, pourquoi ils doivent vivre dans cet endroit et décideront de se serrer les coudes. Il essaie tant bien que mal, en attendant que le troisième garçon arrive, de créer un coin agréable, de voir ce qu’ils peuvent faire de cet endroit. Mais les accidents arrivent bien vite. Son ami, Ryuk, est bien vite intrigué par le labyrinthe, comparé à Ji-hae qui refuse d’y mettre les pieds parce qu’il ne sait pas ce qui se trouve là dedans et qu’il ne fait pas confiance à cet endroit. Le plus âgé décide un jour de s’y rendre, sans penser aux portes, sans imaginer qu’il pourrait se retrouver coincer dans le labyrinthe. Ils ne savent pas ce qui se trouve dans ce labyrinthe, n’ont encore jamais eu à faire à un griffeur, pourtant Ryuk reste enfermé. Ji-hae passe une nuit d’angoisse, seul, sans se douter de ce qui l’attend le lendemain. Les portes s’ouvrent de nouveau, sauf qu’au lieu d’être accueilli par son ami et son éternel sourire insolent, il se trouve nez à nez avec un morceau de son t-shirt, ensanglanté et laissé à l’entrée du labyrinthe. Comme un avertissement, comme pour le prévenir qu’il ne faut pas traîner quand les portes se referment. Ji-hae reste une semaine tout seul, avant que le troisième garçon soit envoyé à son tour. Puis les autres, et pour ce garçon qui a eu très peur, qui a perdu son premier ami ici, c’est plus facile de se donner à fond pour assurer la sécurité des blocards, pour assurer l’autorité, parce qu’il ne veut pas qu’un autre accident du genre arrive. C’est comme ça qu’il obtient sa place de chef - qu’il ne cherchait pas à avoir - parce que les nouveaux jugent qu’il est le plus légitime à leur dire quoi faire pour survivre dans cet environnement. Il s’occupe des visites, de citer les règles, de montrer les différents aspects du Bloc, de leur trouver un endroit pour dormir dans le Bloc qui n’est pas encore construit. Ce qui fait qu’il est plutôt facile de lui faire confiance. Petit à petit, ils se retrouvent presque une cinquantaine. Cinquante garçons qui ne se connaissent pas et qui doivent apprendre à vivre en communauté pour que tout se passe bien. Ses amis, eux, il les retrouve dans le Bloc. Et même s’il n’a aucun souvenir, même s’il ne se souvient pas avoir été ami avec eux, c’est avec une logique déconcertante qu’ils reforment le même groupe qu’ils avaient lorsqu’ils étaient enfants. 
Comment a-t-il été sélectionné ? Ji-hae ne se souvient même pas comment il a été sélectionné pour faire partie de cette expérience. Du peu de souvenirs qu’il lui reste, il est le fils d’une des directrices de WICKED qui, lorsqu’il est enfant, lui promets mondes et merveilles et un avenir meilleur, mais qui lui ment en pleine figure en lui assurant que lui et ses copains seront envoyés dans un endroit merveilleux. Cependant, il s’en fiche parce qu’il est heureux, du moins les premières années de sa vie. Ça lui suffit, au petit garçon de neuf ans, de passer ses journées avec ses meilleurs amis - Minjun, Hwan, Tae-hee et Seojoon - entre deux prises de sang. Ils se retrouvent tous les soirs dans le même dortoir, à improviser des soirées pyjamas plutôt bancales. Mais leur karma finit par les rattraper, parce que Ji-hae et Hwan, incapables de rester tranquilles, décident de fuguer. C’est plus de la curiosité mal placée qu’autre chose, pour ces deux garçons qui ne voient rien d'autre que le même couloir depuis des années et qui ont envie de goûter au monde extérieur. Ils n’en ont pas le temps cependant, parce qu’à peine arrivés à la porte principale, ils sont rattrapés par un des gardes de WICKED.
Plus de sortie, interdiction de se rendre visite entre eux et terminées, les pseudo soirées comme ils avaient l’habitude de le faire. Tout comme ses amis, Ji-hae sera envoyé à l’isolement, dans cette même chambre avec ces mêmes murs blancs qui ne cesseront de le rendre angoissé. C’est long pour le jeune homme qui n’a le droit à des contacts physiques que lorsqu’il se rend à sa prise de sang quotidienne. Immunisé contre la braise, il sera le deuxième à être envoyé dans le Bloc et tous ses souvenirs seront effacés. Il les retrouve dans le bloc, et c’est logique que les cinq amis reforment un groupe, sans imaginer que des années en arrière, ils le faisaient déjà. Ferme mais juste, le garçon ne supporte pas la violence, ne supporte pas l’injustice. Il peut se montrer sévère quand ça concerne les sentences, il s’en veut souvent quand il doit envoyer des blocards désobligeants dans le labyrinthe, mais il sait que sans ça, le bloc sera guidé au chaos.
A côté de sa position de leader, Ji-hae est un des coureurs, faisant souvent équipe avec Minjun. Cependant, il sera bien vite mis sur la touche, après un accident malheureux. Lui et son meilleur ami sont en train de faire leur ronde quotidienne dans le labyrinthe, quand ils tombent sur une zone qu’ils n’ont jamais exploré jusqu’à maintenant. Peut-être qu’ils perdent du temps, trop curieux concernant cette nouvelle section, mais ils doivent se dépêcher pour rentrer. Sur le retour, Ji-hae se fait piquer par un griffeur, qui n’avait aucune raison de roder en pleine journée. Mais ça ne loupe pas, le leader est déjà pris par la transformation. Il ne se souvient pas tellement de sa nuit dans le labyrinthe, ni même de l’état dans lequel il était. Mais pour sûr, il se souvient de ce qu’il a vu, de certains souvenirs. La Braise, les moments passés avec ses amis dans les laboratoires de WICKED. Mais il y’a également tous les tests, les prises de sang, et surtout Tae-hee. C’est un de ses meilleurs amis, le medjack du Bloc, et dans ses souvenirs il le revoit avec sa blouse blanche, sa seringue et les différents produits qu’il lui injecte dans les bras. Il ne sait pas que son ami a été recruté pour aider les scientifiques de WICKED, mais il se doute bien que son ami a son rôle dans toute cette expérience. Mais parce qu’il est loyal et qu’il ne veut pas lui attirer des problèmes, il ment. Il nie, affirmant haut et fort qu’il ne se souvient pas de ce qu’il a vu pendant sa transformation. Pourtant, déjà qu’il ne dormait pas beaucoup, il est maintenant en proie à de violents cauchemars. Puis il y’a Misha. Misha c’est un peu, à la fois une bonne nouvelle et une mauvaise nouvelle. Elle est la seule fille du bloc mais aussi la dernière personne à être envoyée, signant leur perte. Les portes du labyrinthe ne se ferment plus, plus aucune denrée ne leur ait envoyé, c’est le chaos le plus total, la panique, mais Ji-hae se promet une chose. Même si leurs rapports, au début, ne sont pas les meilleurs, il fera toujours tout pour garder un œil sur la jeune femme et pour la sortir d’ici.
1 note · View note
castlesims · 8 months ago
Text
Tumblr media
Notre Cassiopée devient adulte et est fin prête à devenir une femme en faisant sa première fois avec son petit-ami qu'elle aime tant, lui était plus pressé qu'elle, elle avait le temps d'attendre encore un peu mais il a beaucoup insisté donc elle a accepter sa proposition (merci wicked)
0 notes
autemimperator · 9 months ago
Note
opinion on john wick?
je ne le referai pas. j'ai appris ma leçon la première fois. j'ai envie de vivre maintenant et je NE referai pas cette merde😭
1 note · View note
alexlacquemanne · 9 months ago
Text
Mars MMXXIV
Films
Le Petit Baigneur (1968) de Robert Dhéry avec Louis de Funès, Andréa Parisy, Franco Fabrizi, Robert Dhéry, Colette Brosset, Michel Galabru, Jacques Legras et Pierre Tornade
Coup de foudre (1983) de Diane Kurys avec Isabelle Huppert, Miou-Miou, Guy Marchand, Jean-Pierre Bacri, Robin Renucci, Patrick Bauchau et Jacques Alric
Agence matrimoniale (1952) de Jean Paul Le Chanois avec Bernard Blier, Michèle Alfa, Julien Carette, Marcelle Praince, Madeleine Barbulée et Anne Campion
Les Suffragettes (Suffragette) (2015) de Sarah Gavron avec Carey Mulligan, Helena Bonham Carter, Brendan Gleeson, Ben Whishaw, Anne-Marie Duff, Meryl Streep et Natalie Press
Titanic (1997) de James Cameron avec Leonardo DiCaprio, Kate Winslet, Billy Zane, Frances Fisher, Danny Nucci, Gloria Stuart, Bill Paxton et Suzy Amis
Boléro (2024) d'Anne Fontaine avec Raphaël Personnaz, Doria Tillier, Jeanne Balibar, Emmanuelle Devos, Vincent Perez, Sophie Guillemin, Anne Alvaro et Alexandre Tharaud
Le Coup de l'escalier (Odds Against Tomorrow) (1959) de Robert Wise avec Harry Belafonte, Robert Ryan, Shelley Winters, Ed Begley, Gloria Grahame, Will Kuluva, Kim Hamilton et Mae Barnes
Sister Act, acte 2 (Sister Act 2: Back in the Habit) de Bill Duke avec Whoopi Goldberg, Kathy Najimy, Wendy Makkena, Maggie Smith, Mary Wickes, Lauryn Hill, James Coburn et Jennifer Love Hewitt
Le Discours d'un roi (The King's Speech) (2010) de Tom Hooper avec Colin Firth, Geoffrey Rush, Helena Bonham Carter, Guy Pearce, Michael Gambon, Timothy Spall, Jennifer Ehle et Derek Jacobi
Downton Abbey (2019) de Michael Engler avec Hugh Bonneville, Elizabeth McGovern, Michelle Dockery, Laura Carmichael, Maggie Smith, Allen Leech, Brendan Coyle, Rob James-Collier, Joanne Froggatt et Tuppence Middleton
Dune, deuxième partie (Dune: Part Two) (2024) de Denis Villeneuve avec Timothée Chalamet, Zendaya, Rebecca Ferguson, Josh Brolin, Austin Butler, Florence Pugh, Dave Bautista, Christopher Walken et Léa Seydoux
Katia (1959) de Robert Siodmak avec Romy Schneider, Curd Jürgens, Pierre Blanchar, Antoine Balpêtré, Françoise Brion, Monique Mélinand, Michel Bouquet et Bernard Dhéran
Séries
Maguy Saison 1, 2
Crise cardiaque - Aux armes mitoyens ! - Le prix concours - Fou et usage de fou - Le péril John - La position du démissionnaire - Changer de look, quel souk ! - Échec aux maths - Ni fête, ni à faire - Maguy lave plus blanc - Un ami qui vous veut trop de bien - En avant l'amnésique - Connu comme le loulou blanc - Pour le meilleur et pour le Pierre - Play black - Médecin malgré elle - Juste a rigolo - L'entre deux mères - Cœur de pierre - La plus belle girl - L'homo, ça pince - C'est grève, docteur ? - La marche funeste - Un mari classé ex - Électrode à la joie - Le vide par le nettoyage - Héla ! Elle est là - A votre bunker, messieurs dames - Souvent l'infâme varie - Fossiles et marteaux - Recherche sosie désespérément - Macho effroi - La comtesse aux pieds noirs - L'humour en héritage - L'amère porteuse - Hip hip hip Oural - Ça déménage à trois - Papy fait de la résidence - L'envers du jeu - Silence, hospitalité ! - Des flics et des claques - Une Maguy… démagogue - Épouse et maire - Fiançailles aïe ! aïe ! aïe ! - Tiens-toi à Caro
La croisière s'amuse Saison 2, 3, 4
La Fête à bord - Meurtre au large - La Fête des mères - Tiens mon frère - Mais vous êtes toujours jeune - La Sérénade - Sauve qui peut ! - Du rythme, toujours du rythme - Un peu de cœur, que diable ! - La Perfection - Bizarre, bizarre - Sacré Gopher ! - Les Amis - Ah ! C'est la fête - Qui est le maniaque ? - Amis et Amours - La Proposition : première partie - La Proposition : deuxième partie - Un trait de génie - Folie double - Boomerang
The Grand Tour Saison 4, 1
Seamen - Virée à l'Italienne
Les Simpson Saison 2
Aide-toi, le ciel t'aidera - Le Saut de la mort - Simpson et Delila - Simpson Horror Show - Sous le signe du poisson - Le Dieu du stade - Mini golf, maxi beauf - La Fugue de Bart - Tous à la manif - Toute la vérité, rien que la vérité - Un poisson nommé Fugu - Il était une fois Homer et Marge - Tu ne déroberas point - Jamais deux sans toi - Fluctuat Homergitur - Une vie de chien - Un amour de grand-père - Le Pinceau qui tue - Mon prof, ce héros au sourire si doux - La Guerre des Simpson - Un pour tous, tous contre un - Le sang, c'est de l'argent
Affaires sensibles
La malédiction du triangle des Bermudes - Les Brigades rouges : la fin de l'exil ? - Qui a eu la peau du tramway ? - Le « Grand smog » de 1952 : Londres asphyxiée - 1972, le rapport Meadows : premier cri d’alarme pour la planète - Le roi maudit de Pyongyang - Mediapart, l’indépendance en bandoulière - Jeffrey Epstein, le prédateur de la Jet Set - Front National : petit meurtre en famille - Ku Klux Klan : histoire d'une Amérique de la haine - La rumeur d'Orléans : l'histoire d'un délire antisémite - Les zones d'ombre de l'affiche rouge
Coffre à Catch
#157 : Goldust ne vieillit pas! - #158 : Prochain arrêt : Night of Champions 2009! - #159 : Christian ECW Champion 2.0 ! - #160 : Extreme Rules avec Dimby !
Messieurs les jurés
L'Affaire Lusanger - L'Affaire Hamblain - L'Affaire Savigné Montory
Les Petits Meurtres d'Agatha Christie Saison 3
Meurtres au Pensionnat
Kaamelott Livre V
Corvus corone - La Roche et le Fer - Vae soli
Commissaire Dupin
Un cadavre disparait
Castle Saison 5
Après la tempête - Nuageux avec risques de meurtre - Œil pour œil - Meurtre dans les Hamptons - Sans doute possible - Tueur intergalactique - Rock haine roll - Seuls dans la nuit - Pas de pitié pour le père Noël
Alfred Hitchcock présente Saison 4, 5, 7
La Gentille Serveuse - La commère - Flic d'un jour
Top Gear France Saison 9
Ceux qui partent en Allemagne - Ceux qui infiltrent la police - Ceux qui revivent leurs années tuning
Inspecteur Barnaby Saison 23
La fin du monde - Secrets et mensonges
Les Brigades du Tigre Saison 2
Collection 1909 - L'Auxiliaire - Les Compagnons de l'Apocalypse - Le Défi - La Couronne du Tzar - De la poudre et des balles
Meurtres au paradis Saison 13
Une vie gâchee
Spectacles
Billy Cobham & George Duke Band Live At Montreux Jazz Festival (1976)
Deux sur la balançoire (2006) de Bernard Murat avec Jean Dujardin et Alexandra Lamy
Billy Idol In Super Overdrive (2009) Live from Congress Theater, Chicago
Bungalow 21 (2024) de Jérémie Lippmann et Sarah Gellé avec Mathilde Seigner, Emmanuelle Seigner, Michaël Cohen et Vincent Winterhalter
Livres
Une enquête du commissaire Dupin : L'inconnu de Port Bélon de Jean-Luc Bannalec
Kaamelott, tome 2 : Les Sièges de Transport d'Alexandre Astier, Steven Dupré et Benoît Bekaert
Kaamelott, tome 3 : L'Énigme du Coffre d'Alexandre Astier, Steven Dupré et Benoît Bekaert
Deux sur la balançoire de William Gibson et Jean-Loup Dabadie
J'écris mon premier roman de Louis Timbal-Duclaux
0 notes