#voila le soir qui tombe
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Voilà, le soir qui tombe / Behold, night falls
Trying a proof of concept here: my plan is to start posting my translations + annotations of the Les Misérables Original French Concept Album. For each set of lyrics, I plan to make a text post as well as providing a link to a PDF where the French and English lyrics are side by side with footnotes at the bottom.
I'm starting with a short song that has minimal notes/annotations, sung by Éponine about the lead up to the attack on the Rue Plumet. The PDF can be found here: Voilà le soir qui tombe translation
Voilà, le soir qui tombe ; hélà! trêve de rêve Ils vont venir en nombre, l’attaque est pour cette nuit
Behold, night falls; alas! that’s enough dreaming They’re going to come in numbers, the attack is for this night
C’est l’aut’jour comme ça par hasard que j’ai retrouvé sa¹ trace En faisant le guet devant pour ce coquin² de Montparnasse Qu’avait repéré c’te belle villa déserte, abandonnée Et qui voulait qu’j’vérifie, qu’on pouvait la vider en paix ;
It was the other day, just like that, by chance, I found their¹ trail again While keeping watch out front for this scoundrel² Montparnasse Who had spotted this beautiful house- deserted, abandoned And who wanted me to verify that it could be emptied in peace;
NOTES 1. “sa trace” – I just wanted to note that I’m using “their” in the singular since the French “sa” is the third person possessive (his/hers/its/their). While I assume Éponine is referring to Cosette’s trail, I wanted to keep it ambiguous, as it is in the original.
2. “coquin” – Other translations include: “scoundrel, rascal, rogue, little devil” etc.
L’endroit n’était pas vide, j’ai vu un vieux monsieur Le père, le vieux mécène, avec une jeune fille J’ai su tout d’suite que c’était elle J’ai dit, danger, c’est louche à c’te villa, pas touche!³
The place wasn’t empty, I saw an old gentleman The father, the old benefactor, with a young girl I knew at once that it was her I said, “danger, it’s shady at this house, hands off!”³
NOTES 3. I added quotation marks here in the translation just to make things a little clearer. Éponine is explaining what she said to the Patron-Minette.
J’ai voulu protéger l’amour Sans rien trahir pourtant dans mon discours Mais je sens qu’ils viendront quand même Et mon père, s’il s’évade, de même
I wanted to protect love Without betraying anything in my speech But I feel they’ll still come And my father, too, if he escapes
Courez vite auprès d’elle Lui dire que vous l’aimez Je reste en sentinelle Chacun sa destinée⁴
Run quickly to her side Tell her you love her I’m staying to keep watch To each their destiny⁴
NOTES 4. This was the hardest line to translate and if any native speakers can weigh in I would love it. French has two words for destiny or fate, “destinée” (the one in the song), and “destin”. From my understanding, “destin” refers to the idea of a divine fate, something that you cannot change. “Destinée” can also refer to that divine fate, but it seems to refer more to someone’s own destiny in life which they can make themselves. Poetically, and in literature, it can also mean “life, existence.” In the lyrics, I can’t be sure whether the writers used it intentionally as opposed to “destin,” or whether it just fit the rhyme better.
#lm 4.8.4#les mis musical#translation#les mis original french concept album#voila le soir qui tombe#eponine#patron minette#french#concept album translations
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Hey! Excuse-moi
Est-ce qu'on peut parler deux minutes?
Ce sera pas long je te promets
Après je disparais
Il fallait juste que je te parle de quelque chose
Et je me connais
Si je le fais pas maintenant je vais encore me défiler et m'en vouloir
Voila, j'arrive pas à te sortir de mes pensées
Je peux pas te le dire autrement
En même temps c'est pas très compliqué
Je pense que tu comprends
Je suis désolé si c'est un peu direct mais je me dis qu'on n'a qu'une vie
Qu'elle est trop courte, trop fragile
Et puis vaut mieux avoir des remords que des regrets
Je sais pas d'où ça sort
Je sais pas d'où ça vient
Je pourrais pas te l'expliquer
Et je comprendrais que tu me prennes pour un dingue
Je t'en voudrais pas
C'est juste que quand je te vois
Il y a des flashs dans ma tête
Il y a des images qui se répètent en boucle
Et j'ai besoin d'en avoir le cœur net
Je nous vois danser au ralenti sur du rub a dub
Et toi tu me déposes des mots précieux au creux de l'oreille
On se regarde droit dans les yeux
On veille jusqu'au lever du soleil
Je nous vois sortir marcher boire et partir sans payer
Tirer des plans sur la comète
Et faire l'amour les fenêtres ouvertes
Je vais pas te mentir sur le marché je suis pas forcément ce qu'il y a de meilleur
Parce que je suis bancal menteur pas fiable jamais à l'heure
Mais si tu veux je peux me faire boxeur, voleur, chauffeur, docteur, serviteur, dresseur de lions
Je vais pas te la faire a l'envers, tu pourras forcément trouver mieux
Parce que je suis maladroit, nerveux, égoïste et coléreux
Mais si tu veux je peux être souriant et même heureux, poli, généreux
Écrire des morceaux moins teigneux
Ou même des chansons pour les amoureux
C'est marrant parce que je me sens à la fois un peu ridicule de te balancer tout ça d'un coup
Et en même temps tu sais ça me fait beaucoup de bien
D'abord parce que je peux enfin être fixé sur ce qui se passe de ton côté
Mais aussi parce que je réalise la chance que j'ai
De pouvoir encore avoir des sentiments pour un être-human autre que moi
Ça me change tellement la vie
Tu te rends pas compte je crois
J'ai l'impression de plus être la même personne
C'est comme si d'un coup je me remettais d'une cuite qui avait duré genre deux ans
C'est long deux ans
Je me sens différent
J'ai envie de me lever à l'heure
De me remettre en mouvement
De moins fumer
De moins boire
Et puis, de plus draguer n'importe qui par peur de la solitude
Je sais pas d'où ça sort
Je sais pas d'où ça vient
Je pourrais pas te l'expliquer encore une fois
Ça faisait tellement longtemps que ça m'était pas arrivé
Et là ça me tombe dessus comme ça
Moi jusque-là je faisais un peu n'importe quoi
Je passais d'une personne à une autre sans réussir à m'attacher vraiment
C'était assez glauque mais bon
Je suis comme tout le monde, qu'est-ce que tu veux?
Alors que là je nous vois carrément danser au ralenti sur du rub a dub au corps à corps
On se regarde droit dans les yeux et puis on repart en tirant des bords
Je nous vois courir nager nus rougir transpirer jusqu'à brûler
Tirer des plans sur Jupiter et faire l'amour sous les éclairs
Alors je vais pas te mentir sur le marché je suis pas forcément ce qu'il y a de meilleur
Parce que je suis bancal menteur pas fiable jamais à l'heure
Mais si tu veux je peux me faire boxeur, voleur, chauffeur, docteur, serviteur, dresseur de lions
Je vais pas te mentir tu pourras forcément trouver mieux
Parce que je suis maladroit, nerveux, égoïste et coléreux
Mais si tu veux je peux être souriant et même heureux, poli, généreux
Écrire des morceaux moins teigneux
Ou même des chansons pour les amoureux
Et même si je sais
Que je suis loin d'être parfait
Si tu veux qu'on se lance
Qu'on essaie
Moi je pense que ça peut donner quelque chose de beau
Parce qu'après tout on sait jamais
Et même si tu vois
Que je suis pas quelqu'un pour toi
Si le soir quand ça va pas
Que t'es triste
Qu'il y a quoique ce soit
Fais-moi signe
Je serai là
Je te promets
Je bouge pas
Non vraiment, vraiment je vais pas te mentir
Sur le marché je suis pas forcément ce qu'il y a de meilleur
Parce que je suis bancal menteur pas fiable jamais à l'heure
Mais si tu veux je peux me faire boxeur, voleur, docteur, serviteur, colporteur
Dresseur de lions
Je vais pas te mentir tu pourras forcément trouver mieux, c'est sur
Parce que je suis maladroit, nerveux, égoïste et coléreux
Mais si tu veux je peux être souriant et même heureux, poli, généreux
Écrire des morceaux moins teigneux
Ou même des chansons pour les amoureux
Et même si je sais
Que je suis loin d'être parfait
Si tu veux qu'on se lance
Qu'on essaie
Moi je pense que ça peut donner quelque chose de beau
Parce qu'après tout on sait jamais
Et même si tu vois
Que je suis pas quelqu'un pour toi
Si le soir quand ça va pas
Que t'es triste
Qu'il y a quoique ce soit
Fais-moi signe
Je serai là
Je te promets
Je voudrais pas que tu te fasses de fausses idées non plus
J'ai pas l'intention de te demander en mariage
Et même si évidemment je peux pas te forcer à me fréquenter
Par contre je peux te demander de me croire quand je te dis tout ce que je te dis ce soir
Je suis pas un énième connard qui veut juste coucher avec toi
Me mets pas dans le même sac
C'est tout ce que je te demande, c'est tout ce que je te demande
Allez, je vais te laisser tranquille maintenant
Je parle beaucoup, je sais, je suis désolé
Mais t'es pas obliger de me répondre tout suite tu sais
Puis en attendant, comme je te disais je bouge pas, je bouge pas
Bonne soirée.
Rub a dub, Fauve
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Saison 4 épisode 23: Coda
C’est la fin les amis!
Je vous préviens tout de suite: pour un dernier épisode c’est un peu chiant, il ne se passe vraiment (presque) rien. Je sais que je dis ça à chaque épisode mais là c’est vré.
Dawson s’en va plus tôt que les autres à l’université car il s’est inscrit aux cours d’été.
Il passe une dernière journée en compagnie de Jack, Jen et Joer.
Le soir ils vont au cinéma, mais Mitche lui fait tout une scène comme quoi il devrait passer sa dernière soirée en famille, ceux-là aussi les Leery quand ils se réveillent pour être chiants ils sont forts.
Dossonne lui tient tête et va au cinéma.
(on passe American Graffiti)
à la fin du film on sent bien qu’ils n’ont pas envie de se séparer, mais il faut, ils déposent Joey en premier et on sent bien que c’est pas les adieux qu’ils auraient voulu.
Puis Jack et Jen offrent un PORTABLE à Dossone! Pour rester en contact!
So 2001.
à propos de portable, on voit Pacey, en chemise hawaïenne qui appelle Dosson pour prendre et donner des nouvelles, mais il dit qu’il n’est pas prêt à appeler Joer encore.
What a bromance.
J’en profite pour dire merci à Pacey, c’était vraiment notre perso pref pendant cette saison, avant que les scénaristent le tuent pour en arriver à cette fin de saison nullasse.
D’ailleurs pour vous réchauffer le coeur voici la comment aurait du s’appeler la série:
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A post shared by Bridie ♡ (@foolforfilm)
https://www.instagram.com/p/CMme28Ajamm/
(aussi le lien pour ceux pour qui ça fonctionne pas, parce que: tumblr).
C’est aussi le dernier soir de la mémé et Jen dans la maison, elles se font un thé et se racontent des vieux souvenir, Jack les rejoint finalement, ils sont mignons mais c’est un peu chiant (comme tout cet épisode).
Dossonne n’arrive pas à faire sa valise, il ragequit sa chambre et sort pour aller chez Joer et paf il tombe sur Joer qui faisait de même.
Ils reviennent dans sa chambre et regardent E.T. puis se disent des choses comme olala c’est trop bien notre amitier, olala le futur, olala la vie et puis VOILA
VOILA OU NOUS EMMENAIENT LES SCENARISTES DEPUIS 200 EPISODES
AU MOMENT DE PARTIR ILS SE ROULENT UNE PELLE
SUPER BRAVO 20/20
ON REMET UNE PIECE DANS LA MACHINE.
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L’île de l’amour
Résumé : Rosie revoit un de ses amis, le monstre vert refait surface.
Avertissement : Blessures, méga angst! (Finalement ma fic est assez sombre 😅) Comme toujours les photos ne m’appartiennent pas.
Chapitre 7
Il ne fût plus question de Louise. Marshall continua d’agir comme si de rien était. Il continua de travailler fort et d’aimer follement sa Rosie.
Leur seul désaccord concernait la contraception, chaque matin Rosie prenait sa pilule religieusement même si Marshall essayait de l’en empêcher.
Un matin alors qu’il la prenait à bras le corps pour l’empêcher d’accéder à ses contraceptifs dans sa salle de bain, elle se fâcha.
-Arrête! Laisse-moi prendre ma pilule.
-Arrête-les ! S’il te plaît Chérie. Sa voix et son regard l’implorait. Elle savait à quel point c’était important pour lui. Elle s’assit sur le lit, toute nue, l’emballage de contraceptif dans ses mains. Marshall se passa les mains sur le visage et se recoucha dans le lit les bras en croix.
-Tu étais prête il y a 5 ans pourquoi maintenant tu n’es plus prête? Tu m’as promis…. Tu as changer d’avis ?
-Non, je veux encore des enfants, je veux tes enfants mon amour mais … Elle soupira en triturant l’emballage d’aluminium et le déposa sur la table de nuit. Quand j’essayais d’avoir des enfants, j’avais une belle carrière, un bon salaire, une grande maison. J’étais en couple depuis 5 ans. Ma vie était stable. Elle se leva et commença à s’habiller pour aller travailler. Maintenant c’est différent, plus rien n’est stable. Je sais que tu en veux vraiment mais c’est trop tôt pour moi. C’est quoi l’urgence?
Elle se rendit dans la salle de bain et entreprit de de brosser sa chevelure rouge feu. Marshall la suivit et s’appuya flambant nu dans le cadre de la porte, les bras croisés.
-On est stable nous. Le reste c’est uniquement du matériel. Tu ne manquera jamais de rien avec moi, ma chérie.
Il s’approcha et mit les mains sur ses épaules et appuya son menton sur le sommet de sa tête elle se retourna contre lui.
-Je trouve ça vite, dit-elle en mettant les mains sur sa poitrine.
- Je vais avoir 36 ans ce printemps et je veux plusieurs enfants. Si ça prend du temps avant que tu tombe enceinte aussi bien commencer tout de suite. Il caressa doucement ses joues de ses pouces et lui donna un baiser sur le front.
-Laisse moi y penser pendant que tu vas à Londres. Tu pars quand demain?
-Demain matin. Pourquoi tu ne viens pas avec moi. On pourrait faire un petit Syverson à Londres…
Elle se lova contre sa poitrine.
-Les dernières semaines ont été dures pour moi aussi. Je vais en profiter pour relaxer et j’ai promis à Sarah d’être là.
-D’accord, on en reparlera à mon retour.
-On se voit se soir?
-Bien sur je vais te donner une bonne raison de t’ennuyer de moi.
Marshall partit le lendemain matin pour une semaine de formation sur l’agriculture biologique. Rosie avait envie de passer sa semaine sans lui à relaxer et faire le point sur toutes les nouvelles informations qu’elle avait eu dernièrement mais les choses ne se passèrent pas comme prévu.
Le mardi après-midi, durant la deuxième visite touristique, Rosie eut la surprise de retrouver un ancien collègue de travail.
-Adam qu’est ce que tu fais ici? Dit-elle agréablement surprise pendant que les autres touristes arrivaient pour la visite.
Adam McDreamy était un jeune homme qu’elle avait connu à Londres quand elle y travaillait à la Desjardins Bank. Ils avaient flirté un peu ensemble quand Rosie était devenue célibataire. Ils avaient même couché ensemble après une soirée bien arrosée.
Adam était toujours aussi craquant. Un grand châtain au yeux noisette et au sourire contagieux.
-Je fais un peu de tourisme. On m’a dit qu’il y avait une visite à Saint-Martin fabuleuse. Je suis venu voir et je tombe sur toi. Quelle bonne surprise!
Cette après-midi là, Adam flirtait ouvertement avec elle. Adam était charmeur et de bonne compagnie. À la fin de la visite, il lui proposa d’aller boire un café.
-Désolée, je ne peux pas, je travaille au pub du village ce soir. Pourquoi ne viendrais-tu pas prendre un verre là-bas?
-Super.
Rosie fut bien contente de le revoir au pub ce soir là. Ils parlèrent du bon vieux temps.
-Dis-moi, pourquoi tu ne travaille plus à la banque? J’ai su qu’on t’avait proposé un poste à Londres?
Rosie lui donna une bière et répondit à sa question entre deux clients.
-J’aime Jersey, je suis bien ici. Je me suis fait une nouvelle vie que j’adore.
Durant toute la semaine, Adam fréquenta le Rivers Shack. Un soir, il paya quelques verres à la jeune femme et lui vola un baiser elle le repoussa bien vite même si elle était vraiment éméchée,
-Non, désolé Adam mais j’ai un amoureux que j’aime vraiment beaucoup.
Adam était déçu.
-Pourquoi tu n’en n’as pas parler avant ? On s’est vu toute la semaine. Il est ou?
Rosie bu un shot de gin, elle venait de finir son service.
-Il est en voyage à Londres il revient demain. On a pas parler de nos amoureux voila tout. Je t’ai dit que j’avais une nouvelle vie ici.
Ce soir là, Rosie bu plus que de raison.
-Viens, je te ramène. Tu es torchée.
Les heures qui suivirent furent plutôt floues pour Rosie.
Elle se réveilla toute habillée le lendemain matin aux sons des coups sur la porte. Tout son corps était dans le brouillard. La tête lui tournait.
Adam ouvrit la porte et Rosie entendit des grognements et des éclats de voix.
-Qu’est ce que tu fais dans l’appartement de ma copine?
Marshall était totalement furieux et hors de lui. Les yeux exorbités, il tenait Adam par la gorge au-dessus de la balustrade et le menaçait de son point. Au dessous trois mètres de vide le séparait du sol.
-Marshall!!! Arrête!!! Il n’a rien fait de mal.
Marshall la regardait un instant, ses yeux flamboyants de colère et de jalousie.
-Il n’a rien fait de mal? Il est à poil chez toi!
La pluie tombait drue ce matin là.
-Ta baiser ma femme ? Dit-il en poussant un peu plus sur Adam par-dessus la rambarde.
Rosie essayait de le faire lâcher sa prise sur son ami mais c’était aussi dur que de déplacer un mur de brique. Ils étaient tous les trois trempés.
-Il ne m’as pas touché…
Rosie tira très fort sur son avant-bras mais sa prise glissa en un instant elle bascula dans les escaliers mouillés. Elle roula une première fois tête première puis son pied droit se coinça dans la rambarde stoppant net sa course. Elle hurla de douleur avant de perdre connaissance.
Elle se réveilla dans l’ambulance et se mit à pleurer quand elle comprit qu’elle était fermement attachée à la civière. On avait placé sa tête dans un genre de coussin pour l’empêcher de bouger. De même que ses épaules. On avait mit une couverture entre ses jambes et on les avait attachée ensembles.
Totalement immobile, elle ne pouvait bouger que les yeux et les doigts. La terreur l’envahit toute entière.
-Mademoiselle Gagné rester calme tout va bien aller, lui dit l’ambulancière en lui tenant la main. Elle lui essuya délicatement les yeux complètement indifférents au chaos de la route et au hurlement des sirènes.
-J’ai mal à la jambe… Où est Marshall? Je veux mon homme. Dit-elle en français.
Elle regarda autour d’elle du mieux qu’elle pu.
-Marshall va nous rejoindre à l’hôpital. Ne vous inquiété pas. Tout va bien aller maintenant. On va bien prendre soin de vous.
Le trajet jusqu’à l’hôpital sembla durer une éternité à Rosie mais il ne fallut que quelques minutes pour arriver à l’hôpital de Saint-Hélier.
Rosie pleura de douleur et de peur tout le long du trajet.
On prit des radiographies de tout son corps, sa cheville avait été disloquée, son genou tordu et les muscles de sa cuisse avait faillit déchiré mais somme toute elle s’en sortait bien. On avait craint pour sa colonne vertébrale mais elle n’avait rien à part quelques bleus.
Elle ne revit pas Adam. Marshall se trouvait dans sa chambre quand elle revint de ses examens. Visiblement, il avait l’air inquiet mais il ne l’approcha pas même si elle lui tendait les bras.
-Je vais apporter quelques affaires chez moi, tu ne peux pas monter 3 étages avec une jambes comme ça, dit-il en se levant pour partir.
-Marshall tu es fâché? Je n’ai rien fait de mal.
Le jeune homme lui renvoya un regard triste.
-On en reparlera à la maison.
Il revint la chercher le lendemain quand elle eut son congé. Le trajet de 20 minutes se fit dans le silence le plus complet. Arriver à la ferme, Marshall l’aida à entrer dans la maison la touchant le moins possible.
Rosie ne comprenait rien, il était tellement froid et distant avec elle.
-J’ai installé tes affaires dans la chambre d’amis. Repose-toi, dit-il en sortant par la cuisine.
-Quoi? Pourquoi? Je veux dormir avec toi!
Il hésita la main sur la poigné de porte.
-Tu m’as trompé, je ne veux pas de toi dans mon lit.
Rosie crut qu’elle allait s’évanouir.
-Non!!! Je n’ai pas fait ça…
Marshall sortit en claquant la porte. Les larmes inondaient ses joues avant qu’elle n’ait atteint la chambre d’invité avec ses béquilles. Elle s’assit sur le bord du lit et balança ses béquilles en travers de sa chambre.
« Il pense vraiment que j’ai pu faire une chose pareille? »
Elle fini par s’endormir au bout de ses larmes.
Quand elle se réveilla, il faisait noir dans la chambre. La douleur dans sa chambre était horriblement vive, sa tête lui faisait mal aussi. Elle ne trouva pas ses antidouleurs dans la chambre. Elle prit ses béquilles et clopina vers la cuisine.
À mi-chemin, elle entendit une conversation dans le salon.
-Ça n’a aucun sens Marsh’, elle t’a trompée et tu l’héberge chez toi. Fou la dehors! Disait Sarah.
-C’est de ma faute si elle est blessée, je ne peux pas la laissé…
Rosie s’avança lentement et vit Marshall regarder le feu, un verre d’alcool ambré à la main. Il regardait le feu appuyé sur le manteau de cheminé. Ses épaules affaissées semblaient porter le poids du monde. Sarah était debout au milieu du salon à faire les cents pas autour de la table basse.
-Ce n’est pas ta faute si elle est tombée! Putain Marsh’, si elle n’avait pas coucher avec ce gars on en serait pas là. Rosie s’avança un peu plus, Marshall la vit dans le reflet du miroir au dessus de la cheminée.
-Pourquoi vous ne me demander pas ma version? Dit-elle en cognant rageusement sa béquille au sol.
Sarah s’enflamma.
-Je t’ai vu embrasser ce type qui est venu te voir tous les soirs et il t’a ramené chez toi. Facile de savoir ce que vous avez fait!
Marshall continuait de regarder le feu sans les regarder, Rosie voyait ses mâchoires se crisper de colère.
-Marshall je n’ai rien fait de mal, je ne t’ai pas trompé. Mon amour …
Sarah monta les deux marches qui séparaient le salon de la cuisine où Rosie chancelait sur ses béquilles.
-Tu n’es qu’une menteuse, je t’ai vu avec lui !! Cria-t-elle à quelques centimètres de son visage.
Rosie tremblait de tout son corps la douleur, la rage et la peine courait dans ses veines.
-Je n’ai rien fait de mal… Je lui ai dit pour Marshall, je lui ai dit que j’avais quelqu’un dans ma vie…
-Tu gâche la vie de mon frère. Tu ne trouve pas qu’il a assez souffert comme ça?
-ASSEZ! Ragea Marshall. Sarah va-t’en!
-Ne laissa pas cette sorcière t’ensorceler encore!
Elle claqua la porte en sortant.
Rosie était complètement vidée, sa jambe l’élançait terriblement et sa tête aussi.
Elle s’affala sur un banc de l’îlot de cuisine la tête entre les mains. La nausée lui retournait l’estomac tellement elle avait mal.
-Où sont mes antidouleurs? S’il te plaît j’ai mal.
Marshall ne bougea pas toujours absorbé dans la contemplation du feu.
-Est-ce que c’est vrai? Tu l’as embrassé?
Sa voix grave avait des accents encore plus rauques que d’habitude. Rosie se força à prendre de grandes inspirations pour calmer la nausée.
-Où sont mes pilules?
Marshall hurla :
-Réponds-moi!
Rosie se leva lentement, la douleur était si vive, les hauts le cœur la gagnèrent pour de bon.
-Je vais être malade.
Elle clopina vers la salle de bain et s’effondra devant la cuvette pour vomir. Une fois la première vague de nausée passée, elle ferma les yeux la joue sur la porcelaine froide et essayait de calmer les vagues de nausée. Elle se sentait dégueulasse, elle avait besoin d’un verre d’eau et ses médicaments. Tous son corps lui faisait mal, elle avait besoin de l’aide de Marshall mais il ne semblait pas décidé à l’aider. Les larmes continuaient de rouler sur ses joues autant de douleur que de tristesse. Une autre crise de vomissement la terrassa avant que Marshall ne vienne la voir. Il lui donna ses médicaments avec un verre d’eau.
Elle ne réussit même pas à avaler une gorgée d’eau sans qu’elle ne ressorte. La jeune femme n’avait même plus la force d’essayer de se lever. Marshall finit par soulever ses cheveux humides et lui mettre une serviette mouillée sur la nuque. Pour la première fois depuis des heures, Rosie le regarda dans les yeux et y vit tellement de colère et de tristesse.
Elle n’osa rien dire, elle n’avait plus la force de se défendre. La douleur était éblouissante, assise au sol sa jambe était trop tendue.
-J’ai trop mal.
Elle tenta de se lever mais tout devient noir rapidement et elle se sentit glisser sur la céramique.
-Merde ma chérie…
Il la prit dans ses bras et l’emmena semi-consciente dans la chambre d’invité et la déposa doucement sur le lit. Elle se réveilla au moment où il revenait avec un verre d’eau, une bassine, ses médicaments et une serviette froide. Il mit la serviette sur son front. Elle ouvrit les yeux pendant qu’il la bordait doucement. Elle retint son bras faiblement.
-Reste ici j’ai besoin de toi…
Marshall se leva sans la regarder.
-Repose-toi.
Rosie prit ses médicaments et s’endormit les larmes aux yeux.
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Préquel - Maël, Alexia & Milo
Petit préquel datant de l’année de première des protagoniste se déroulant en mai. Elle se déroule après la rupture d’Alexia et Milo en décembre ainsi que la mise en couple de Maël & d’Alexia. Il s’agit de la première confrontation entre Milo & Maël. (et si vous avez shippé un trouple vis à vis du titre, sachez que si vous vous voulez écrire dessus, faites le, mais bon courage pour que ce soit pas toxique vu Milo VOILA).
youtube
TW : scarifications / insultes misogynes/homophobes
C’était le mois de mai. Élisa avait organisé une soirée chez elle. Maël accompagnait pour la première fois sa copine à une soirée chez des amis plus proches d’elle que de lui. C’était un peu angoissant. Surtout que invité par des amis d’amis, Milo venait. Milo l’ex d’Alexia. Ça promettait d’être plutôt gênant. Surtout que Milo le renvoyait beaucoup à ses propres insécurités. Milo était grand, mince mais musclé, sportif, avait un certain charisme mais dégageait surtout cette impression du parfait gendre. Il était poli, droit dans ses bottes et ne buvait même pas d’alcool. C’était son parfait opposé. Il en avait parlé avec Alex, car il ne comprenait pas comment elle avait pu sortir avec l’un puis l’autre. Bon, elle était perdue, avait-elle admis, quand elle avait rencontré Milo. Mais c’était troublant pour lui. Souvent il se demandait si elle n’allait pas regretter, et se barrer. Elle n’aurait pas eut tort. Sauf sur la politique, là Milo avait l’air assez con. Mais pour le reste, il aurait trouvé ça tellement logique. Il se mordit les lèvres. Ne pas penser à ça. La dernière fois, ça avait dérapé, et ses cicatrices étaient encore fraîches. Quel abruti. Il détestait avoir cette attitude. Mais c’était le seul moyen qu’il avait trouvé pour décharger toute cette honte et cette colère. Bon, il allait tout faire pour que ce soir se passe pas trop mal. Il verrait bien.
Quand Milo était entré, il avait cru rêver. Alexia était en train d’embrasser la petite lavette rousse de leur classe ? Le même avec qui elle avait parlé à Halloween. Il vit son monde s’effondrer. C’était pour ça qu’elle l’avait quitté ? Pour ce mec ? Ils étaient ensembles ? Pourquoi personne ne l’avait prévenu ? Il se sentit trahi. Trahi par Alexia, par ses amis, par le monde entier. C’était dégueulasse. Il ne méritait pas ça.
Maël l’avait vu s’approcher du bar. Il allait tenter. Ça allait surement être dur, mais si il n'essayait pas, ce serait impossible de savoir comment ça se passerait. Alors que le grand blond cendré commençait à prendre un verre, le petit rouquin s’incrusta.
“Tu veux que je te fasse un cocktail ? Je suis pas un pro, mais comme j’ai proposé à tout le mond…
- Je bois pas d’alcool.
- Un sans alcool ?
- Fous moi la paix. “
Qu’est ce qu’il avait cru ? C’était stupide d’enclencher la discussion comme ça. Autant tenter d’être honnête. Il rattrapa en trottinant les quelques pas que Milo avait fait de ses grandes jambes.
“Écoutes, je suis désolé de ce qu’il s’est passé, vraiment. Si tu veux pas me parler, je comprends. C’est juste que voulais que tu saches que j’avais jamais voulu détruire votre couple ou quoi, et que si tu as senti ça, je suis désolé.”
Ses yeux marrons fixait le regard de Milo. Il essayait de déchiffrer l’expression du visage de l’autre. Entre une colère noire et une tristesse froide ? Il sentait ça mal. Quelle idée de merde il avait eut. Quelle idée de merd…
“Je sais pas ce qu’elle fout avec un mec comme toi. Ça ne durera pas, tu peux pas comprendre. Elle et moi c’était fort, là elle s’est juste perdue. Tu n’es rien, ni pour elle, ni pour moi, alors ne crois pas que tu me fait peur.”
C’était vraiment une idée à la con. Milo lui fit un dernier regard empli de condescendance et fit volte face pour aller parler à Eric. Bordel. Il ne s’attendait pas à ça. Milo avait tapé sur toutes ces insécurités. Et il était super flippant. Comment il pensait que c’était encore possible entre lui et Alex ? Vu ce qu’elle en avais raconté… Et si il se gourait… Et si elle lui avait menti, en fait. Et si elle s’était perdue, en se mettant avec lui ? Il sentit les larmes venir et courut aux toilettes.
Alexia venait d'apercevoir Milo parlant avec Maël, et la courses de son copain vers les WCs. Bordel de merde. Pourquoi Maël avait voulu lui parler à lui ? Ce qu’il pouvait être neuneu quand il voulait aussi ! C’était évident qu’il allait le haïr. Enfin, évident. Pour elle. Alexia soupira. Quelle merde. Elle parti en direction des toilettes pour y rejoindre le rouquin.
“Maël… ça va ?
- Oui. Oui.”
Ça, ça voulait dire que ça n’allait pas du tout. Et si… il faisait des conneries ? Elle l’avait remarqué il y avait à peine deux semaines. Des cicatrices sur le bas du dos. Invisibles avec des fringues, mais une fois torse nu, c’était dur à cacher. Une montée d’angoisse attrapa le corps d’Alexia. Elle devait faire quelque chose. Tambourinant à la porte, elle hurla un “Sors de là, s’il te plaît !”, avant de voir, Maël ouvrir sans comprendre, les yeux encore rougis. Quelle pauvre conne.
Maël ne s’attendait pas à ce qu’en sortant des toilettes, il tombe sur une Alexia complètement affolée qui le pris dans ses bras brusquement.
“Euh, ça va ?
- C’est pas à toi de me demander ça, mais plutôt le contraire, non ?, marmonna Alexia d’une voix vacillante. T’as pas… t’as pas fait de conneries ?”
Meeeerde. Elle s’était inquiété. Par sa faute. Quel abruti. Une vague de culpabilité le submergea et il se mit à s’effondrer dans les bras de sa petite amie, en pleurs. Super. Tout pour désamorcer la situation.
Alexia et Maël étaient assis dehors sur le perron. Ils avaient discuté à demi mot de ce qui s’était passé, de la soirée, et de Milo. Alexia avait toujours un peu évité le sujet, et s’était risquée à en parler plus en détails ce soir. Ça avait été long, plutôt angoissant au départ, mais Maël avait fini par être plutôt rassuré. Et à s’excuser environ 18 fois d���être allé lui parler.
“C’est vraiment pas de ta faute… Ok c’était maladroit, mais… C’est moi qui ais déconné dans l’histoire et c’est lui est borné maintenant.”
Maël la trouva qu’elle portait un peu trop toute cette histoire sur ses épaules. Oui, elle s’était trompée, certes, mais Milo s’était pas mal voilé la face, non ? Enfin, il ne voulait pas trop tirer de conclusions hâtives après l’avoir vu un soir. Même si évidemment, le mépris apparent de Milo n’avait pas aidé comme première rencontre. Ni le fait qu’il était plutôt à droite. Il soupira. Il n’aimait pas se faire une idée déformée des gens, juste parce qu’ils étaient dans une position qui n’était pas en leur faveur. Mais même si il essayait de repousser cette insidieuse idée, elle était là. Il n’aimait pas Milo.
Quelle sombre merde. Voilà la bien piètre opinion qu’avait l’autre intéressé de Maël. Tandis qu’il avait vu le couple s’éclipser, il ruminait dans la cuisine. Qu’est ce qu’Alex trouvait à ce mec ? C’était un pauvre type, incapable de la rendre heureuse, qui n’avait ni charisme, ni virilité, ni même un tant soit peu de romantisme. Bon, il l’avait vu 5 minutes, mais ça se sentait. Tout comme il sentait que tout n’était pas fini avec Alexia. Elle l’avait dit, mais ça avait été trop brusque. Tout ne pouvait pas se finir comme ça.
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Fauve Mini Series 1/3 - Tom Hiddleston : Rub a Dub
Pairing : Tom Hiddleston x POC Plus Size Reader
Word Count : 2k
A/N : Fic based on the song “Rub a Dub” by the French band Fauve. The lyrics are partly translated in Tom’s dialogue. I hope you’ll like it, it’s kinda out of my comfort zone to write something so fluffy.
Hey! Excuse-moi Est-ce qu’on peut parler deux minutes? Ce sera pas long je te promets Après je disparais Il fallait juste que je te parle de quelque chose Et je me connais Si je le fais pas maintenant je vais encore me défiler et m’en vouloir Voila, j’arrive pas à te sortir de mes pensées Je peux pas te le dire autrement En même temps c’est pas très compliqué Je pense que tu comprends Je suis désolé si c’est un peu direct mais je me dis qu’on n’a qu’une vie Qu’elle est trop courte, trop fragile Et puis vaut mieux avoir des remords que des regrets
Je sais pas d’où ça sort Je sais pas d’où ça vient Je pourrais pas te l’expliquer Et je comprendrais que tu me prennes pour un dingue Je t’en voudrais pas C’est juste que quand je te vois Il y a des flashs dans ma tête Il y a des images qui se répètent en boucle Et j’ai besoin d’en avoir le cœur net Je nous vois danser au ralenti sur du rub a dub Et toi tu me déposes des mots précieux au creux de l’oreille On se regarde droit dans les yeux On veille jusqu'au lever du soleil Je nous vois sortir marcher boire et partir sans payer Tirer des plans sur la comète Et faire l’amour les fenêtres ouvertes Je vais pas te mentir sur le marché je suis pas forcément ce qu’il y a de meilleur Parce que je suis bancal menteur pas fiable jamais à l’heure Mais si tu veux je peux me faire boxeur, voleur, chauffeur, docteur, serviteur, dresseur de lions
You looked at the crowd, a slight frown crossing your features, looking for your boyfriend. You saw one of his friends pass by you and asked for him, "Have you seen Tom?". But before he could answer, Tom's melodic voice was heard across the room. You turned your head towards the source and saw him standing in the middle of the stage, a mic in front of him. Soon after, the first notes of one of your favorite songs resonated across the room.
"Hey, excuse me. Can I take two minutes to talk with you?", he began and you gasped once realizing that he translated the lyrics from the French song in English. "It won't take long, I promise. After that, I'm done", he smiled. Your best friend indicated you the front seat and you shyly sat down, mouth agape. ‘What are you doing?’, you mouthed to him to which he smiled brightly. "I needed to tell you something and I know myself, if I don't do it now, I'll chicken out and would regret it", he stated like the original lyrics.
"Here it is : I can't stop getting you out of my thoughts. I don't know how to say it otherwise but at the same time, you know what I'm talking about. I'm sorry that it's so straightforward but we only have one life and it's a short and fragile one. Besides I rather have remorses than regrets.” He took a small break, his eyes locked with yours, nothing and no one else important anymore. "I don't know where this comes from, I can't tell you and you will probably think I'm crazy but I have those flashes in my head. Images going over and over and I need to have to know. I see ourselves slowly dancing on a rub a dub. You dropping sweet nothings on the crock of my neck, our eyes piercing at one another. I see us watching the sunrise together, walking side by side to a pub, have a drink and flee the scene without paying. I see us shot pictures of the comets and make love with wide open windows", he chanted with a wide grin. You heard the audience laugh and holler at the last part of the phrase and you couldn't help yourself into joining them.
Je vais pas te la faire a l'envers, tu pourras forcément trouver mieux Parce que je suis maladroit, nerveux, égoïste et coléreux Mais si tu veux je peux être souriant et même heureux, poli, généreux Écrire des morceaux moins teigneux Ou même des chansons pour les amoureux C’est marrant parce que je me sens à la fois un peu ridicule de te balancer tout ça d’un coup Et en même temps tu sais ça me fait beaucoup de bien D'abord parce que je peux enfin être fixé sur ce qui se passe de ton côté Mais aussi parce que je réalise la chance que j’ai De pouvoir encore avoir des sentiments pour un être-human autre que moi Ça me change tellement la vie Tu te rends pas compte je crois J’ai l’impression de plus être la même personne C’est comme si d’un coup je me remettais d’une cuite qui avait duré genre deux ans C’est long deux ans Je me sens différent J’ai envie de me lever à l’heure De me remettre en mouvement De moins fumer De moins boire Et puis, de plus draguer n’importe qui par peur de la solitude
"I'm not gonna lie, I'm not the best looking out there because I'm unsound, liar, not reliable, never on time but if you'd want I can be a boxer, pilot, driver, doctor, maid or a lion tamer. I won't trick you, I know you can find better. I'm nervous, selfish, quick-tempered but for you I can be happy, polite, generous. Write songs less pessimist and even write love songs." He chuckled at the next part of his text, "It's funny because in one hand I feel ridiculous to tell you all of this and in the other I feel relived. I can't realize the luck I have right now, to have such powerful feelings for another being. It's life changing, I don't think you understand. I have the feeling I’m not the same person anymore, like I've been hangover for the past 2 years and I finally woke up. Two years hangover, that's a long time". You smiled widely, your eyed beginning to tear, all the love you felt for him creep up and vibrate in your soul.
Je sais pas d’où ça sort Je sais pas d’où ça vient Je pourrais pas te l’expliquer encore une fois Ça faisait tellement longtemps que ça m’était pas arrivé Et là ça me tombe dessus comme ça Moi jusque-là je faisais un peu n’importe quoi Je passais d’une personne à une autre sans réussir à m’attacher vraiment C’était assez glauque mais bon Je suis comme tout le monde, qu'est-ce que tu veux? Alors que là je nous vois carrément danser au ralenti sur du rub a dub au corps à corps On se regarde droit dans les yeux et puis on repart en tirant des bords Je nous vois courir nager nus rougir transpirer jusqu'à brûler Tirer des plans sur Jupiter et faire l’amour sous les éclairs Alors je vais pas te mentir sur le marché je suis pas forcément ce qu’il y a de meilleur Parce que je suis bancal menteur pas fiable jamais à l’heure Mais si tu veux je peux me faire boxeur, voleur, chauffeur, docteur, serviteur, dresseur de lions Je vais pas te mentir tu pourras forcément trouver mieux Parce que je suis maladroit, nerveux, égoïste et coléreux Mais si tu veux je peux être souriant et même heureux, poli, généreux Écrire des morceaux moins teigneux Ou même des chansons pour les amoureux
"Again, I don't know where this all come from, I can't explain it to you. It's been so long since it happened to me and then 'bam' it just hits me. I would always spend my time with someone and then move on. I know this sounds creepy but yeah, I'm like everyone else what can I say? But now I see us dancing in slow-motion to a rub a dub, our bodies close. We look deeply at each other's eyes and to end up running naked with flushed faces to the nearest river. Shooting pictures of Jupiter and making love under the thunder. I won't lie to you, I'm not the best in the market. I'm unsound, liar, not reliable and never on time but for you I can be a vampire, a spy or a king of Asgard." You laughed at his smart addition about some of the characters he played in the big screen.
Et même si je sais Que je suis loin d’être parfait Si tu veux qu’on se lance Qu’on essaie Moi je pense que ça peut donner quelque chose de beau Parce qu’après tout on sait jamais Et même si tu vois Que je suis pas quelqu'un pour toi Si le soir quand ça va pas Que t’es triste Qu’il y a quoique ce soit Fais-moi signe Je serai là Je te promets Je bouge pas
"Even if I know that I'm far from being perfect, I want us to try cause something beautiful could come out of it. Even if you see that I'm not the one for you, whenever you're sad at night, anything, call me. I will always be there for you, I promise. I'm not going away." He slowly marched towards you and asked for your hand, to which you gladly took. You crushed your bodies together, slowly dancing along the final notes of the song. Your silent tears rolling down your face, while he continued to mouther the rest of the lyrics and while you followed along by citing them in French.
Et même si je sais Que je suis loin d’être parfait Si tu veux qu’on se lance Qu’on essaie Moi je pense que ça peut donner quelque chose de beau Parce qu’après tout on sait jamais Et même si tu vois Que je suis pas quelqu'un pour toi Si le soir quand ça va pas Que t’es triste Qu’il y a quoique ce soit Fais-moi signe Je serai là Je te promets
"I love you", you whispered in his ear and felt him smiling next to your neck. "I don't want you to mislead all of this, I'm not gonna ask you to marry me and of course, I don't want to force you into being together. But I want you to believe me when I tell you that what I feel is not a one night thing. I'm not another asshole that wants just to sleep with you, the only thing I ask you is not to put me in the same box as them. I leaving you at peace now. I'm sorry I talk to much and you don't have to answer just yet but in the meantime I won't move out of your life. I will always be here for you. Good night ", he finished the song. The room erupted in cheers and Tom took your cheeks in his hands, "Hey love", while he cleaned the leaking tears of your face. You crashed your lips with his in a needy and passionate kiss, pouring all your love for him.
Je voudrais pas que tu te fasses de fausses idées non plus J’ai pas l’intention de te demander en mariage Et même si évidemment je peux pas te forcer à me fréquenter Par contre je peux te demander de me croire quand je te dis tout ce que je te dis ce soir Je suis pas un énième connard qui veut juste coucher avec toi Me mets pas dans le même sac C’est tout ce que je te demande, c’est tout ce que je te demande Allez, je vais te laisser tranquille maintenant Je parle beaucoup, je sais, je suis désolé Mais t'es pas obliger de me répondre tout suite tu sais Puis en attendant, comme je te disais je bouge pas, je bouge pas Bonne soirée
"I guess that's a little to late for the wedding proposal. Ladies and Gentlemen, make a huge applause for Mr and Mrs Hiddleston. And now let's rock this wedding." You and Tom chuckled at the Dj's words and soon the guests reached the dancefloor and let their bodies express for themselves along the music's rhythm. "I love you so much and you're perfect", you told him. He captured your lips again in a breathtaking kiss and hummed in content. "And I love you Y/N Hiddleston."
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Hey! Excuse-moi est-ce qu’on peut parler deux minutes? Ce sera pas long je te promets après je disparais. Il fallait juste que je te parle de quelque chose et je me connais si je le fais pas maintenant je vais encore me défiler et m’en vouloir. Voila, j’arrive pas à te sortir de mes pensées. Je peux pas te le dire autrement en même temps c’est pas très compliqué je pense que tu comprends. Je suis désolé si c’est un peu direct mais je me dis qu’on n’a qu’une vie qu’elle est trop courte, trop fragile. Et puis vaut mieux avoir des remords que des regrets. Je sais pas d’où ça sort, je sais pas d’où ça vient, je pourrais pas te l’expliquer et je comprendrais que tu me prennes pour un dingue, je t’en voudrais pas. C’est juste que quand je te vois il y a des flashs dans ma tête, il y a des images qui se répètent en boucle et j’ai besoin d’en avoir le cœur net. Je nous vois danser au ralenti sur du rub a dub, et toi tu me déposes des mots précieux au creux de l’oreille. On se regarde droit dans les yeux, on veille jusqu'au lever du soleil. Je nous vois sortir marcher boire et partir sans payer, tirer des plans sur la comète et faire l’amour les fenêtres ouvertes.
Je vais pas te mentir sur le marché je suis pas forcément ce qu’il y a de meilleur parce que je suis bancal menteur pas fiable jamais à l’heure. Mais si tu veux je peux me faire boxeur, voleur, chauffeur, docteur, serviteur, dresseur de lions. Je vais pas te la faire a l'envers, tu pourras forcément trouver mieux parce que je suis maladroit, nerveux, égoïste et coléreux. Mais si tu veux je peux être souriant et même heureux, poli, généreux, écrire des morceaux moins teigneux ou même des chansons pour les amoureux. C’est marrant parce que je me sens à la fois un peu ridicule de te balancer tout ça d’un coup et en même temps tu sais ça me fait beaucoup de bien. D'abord parce que je peux enfin être fixé sur ce qui se passe de ton côté maussi parce que je réalise la chance que j’ai de pouvoir encore avoir des sentiments pour un être-humain autre que moi.
Ça me change tellement la vie, ru te rends pas compte je crois, j'ai l’impression de plus être la même personne. C’est comme si d’un coup je me remettais d’une cuite qui avait duré genre deux ans. C’est long deux ans. Je me sens différent, j’ai envie de me lever à l’heure, de me remettre en mouvement, de moins fumer, de moins boire. Et puis, de plus draguer n’importe qui par peur de la solitude.
Je sais pas d’où ça sort, je sais pas d’où ça vient, je pourrais pas te l’expliquer encore une fois. Ça faisait tellement longtemps que ça m’était pas arrivé et là ça me tombe dessus comme ça.
Moi jusque-là je faisais un peu n’importe quoi. Je passais d’une personne à une autre sans réussir à m’attacher vraiment, c'était assez glauque mais bon. Je suis comme tout le monde, qu'est-ce que tu veux? Alors que là je nous vois carrément danser au ralenti sur du rub a dub au corps à corps. On se regarde droit dans les yeux et puis on repart en tirant des bords. Je nous vois courir nager nus rougir transpirer jusqu'à brûler, tirer des plans sur Jupiter et faire l’amour sous les éclairs. Alors je vais pas te mentir sur le marché je suis pas forcément ce qu’il y a de meilleur parce que je suis bancal menteur pas fiable jamais à l’heure. Mais si tu veux je peux me faire boxeur, voleur, chauffeur, docteur, serviteur, dresseur de lions.
Je vais pas te mentir tu pourras forcément trouver mieux parce que je suis maladroit, nerveux, égoïste et coléreux. Mais si tu veux je peux être souriant et même heureux, poli, généreux, écrire des morceaux moins teigneux ou même des chansons pour les amoureux.
Et même si je sais que je suis loin d’être parfait si tu veux qu’on se lance, qu’on essaie moi je pense que ça peut donner quelque chose de beau parce qu’après tout on sait jamais. Et même si tu vois que je suis pas quelqu'un pour toi, si le soir quand ça va pas, que t’es triste, qu’il y a quoique ce soit, fais-moi signe je serai là, je te promets, je bouge pas.
Non vraiment, vraiment je vais pas te mentir sur le marché je suis pas forcément ce qu’il y a de meilleur parce que je suis bancal menteur pas fiable jamais à l’heure. Mais si tu veux je peux me faire boxeur, voleur, docteur, serviteur, colporteur, dresseur de lions. Je vais pas te mentir tu pourras forcément trouver mieux, c'est sur parce que je suis maladroit, nerveux, égoïste et coléreux. Mais si tu veux je peux être souriant et même heureux, poli, généreux, écrire des morceaux moins teigneux ou même des chansons pour les amoureux.
Et même si je sais que je suis loin d’être parfait si tu veux qu’on se lance, qu’on essaie moi je pense que ça peut donner quelque chose de beau parce qu’après tout on sait jamais. Et même si tu vois que je suis pas quelqu'un pour toi, si le soir quand ça va pas, que t’es triste, qu’il y a quoique ce soit fais-moi signe, je serai là, je te promets.
Je voudrais pas que tu te fasses de fausses idées non plus, j’ai pas l’intention de te demander en mariage. Et même si évidemment je peux pas te forcer à me fréquenter. Par contre je peux te demander de me croire quand je te dis tout ce que je te dis ce soir. Je suis pas un énième connard qui veut juste coucher avec toi. Me mets pas dans le même sac, c’est tout ce que je te demande, c’est tout ce que je te demande. Allez, je vais te laisser tranquille maintenant. Je parle beaucoup, je sais, je suis désolé, mais t'es pas obliger de me répondre tout suite tu sais. Puis en attendant, comme je te disais je bouge pas, je bouge pas. Bonne soirée.
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Sorry this took so long! I was tagged by @beautifulcrownmentality
Rules: we’re snooping on your playlist. Put your entire music library in shuffle and list the first ten songs, then choose ten victims.
Voila le Soir Qui Tombe, Les Miserables Original French Concept Album (Approximately equivalent to Attack on Rue Plumet in the English version)
Alla Luce Dal Sole, Josh Groban (I swear my library isn’t all foreign language)
Under the Fall, Toby Keith (I don’t know this song. I have no idea what it sounds like)
Mona, James Taylor (Why is this on my phone? I don’t even like this song)
Wall of Death, Shawn Colvin (Likewise, I have no idea what this song is. Clearly I never listen to my library on shuffle)
Who’s The Thief?, Joseph and the Amazing Technicolor Dreamcoat (At last! A long I can sing!)
Catch Me If I Try, David Wilcox (This is a very good song)
When The Work’s All Done This Fall, Michael Martin Murphy (I don’t know this song, but my husband really likes the album, so at least I know why I have it)
Dynamite in the Distance, David Wilcox (this is probably an accurate measure of David Wilcox representation in my library)
Unburn All Our Bridges, Josh Turner
Social anxiety will not allow me to tag anyone, so please consider yourself tagged if you’d like to play
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Le premier post- pour les rares qui l’ont commenté ( hors site WordPress) – a suscité les réactions attendues : certains n’évoquent rien que le texte, d’autres paraissent avoir apprécié surtout les “voisines de clavier”, le plus cher ( et lointain) des amis me tape sur les doigts au sujet des nus- naturellement pas le nu, mais l’irrespect du genre féminin, et “ça” ne passe que parce que c’est moi.
sinon :
J’avoue que j’ai un peu exagéré la provocation, sur la conviction que l’érotisme et la culture vont de pair. Beaucoup de sociétés “intégristes” ( dont notre si vieille culture occidentale) l’ont prouvé ou le montrent encore, a contrario.
Donc, je vais simplement tenter de trouver un équilibre. Bientôt 70 ans que je m’entraine! Bon, c’est vrai, au tout début, l’image de la femme, c’était mère et grands mères. Je me suis rattrapé.
Ce matin ( publié ce soir) : Avez-vous vu Guy?
Après cette excellente Nancy (“Lèvres de pierre“), l’autre jour, j’ai continué un peu à errer dans le bonheur du soleil, quartier Saint Germain.
Désolé pour les copains, une joyeuse qui court, une visiteuse qui s’étonne du paysage parisien,
ça m’émeut toujours, même après 50 ans de footing.
Ce quartier, Paris centre plus si chic,
D’accord, il y a 75 % de touristes, dont 75 % anglo-saxons, dont 75% de grands buveurs, mais aussi 24,5 % qui sont là pour l’ambiance : serveurs, vendeurs, passantes acharnées à marcher avec des shorts plus courts qu’elles mêmes,
et …moi.
Tout cela finit au cinéma, en soirée : le film de LUTZ : “GUY”. Le comédien y est superbe, entré dans son rôle de chanteur vieillissant qui vit un ” come back” assez imprévisible, après des années plus ” noires” . Parti-pris : un jeune documentariste fait un reportage ” live et vérité, suivant partout la chanteur, y compris chez lui. Le suspense( léger) tient à ce que le reporter est un fils ( inconnu) de la vedette : se tisse lentement une amitié vraie, posée sur une base fausse. Dans la série philosophie de trottoir : ce ne sont pas les plus fragiles !
Mais on sent que chacun vit une relation qu’il aurait aimé voir exister entre père et fils. On a (presque tous) eu des pères, et parfois des fils. Thème de cinéma banal.Ici, l’émotion vient de ce que le fils caché filme le père se découvrant. On ne saura jamais si le fils annonce ce qu’il est. Entre temps, alors que la relation se construit, discrète, toute une série de scènes attendrissantes ou cocasses : concerts du “vieux beau”, dîners d’après scène, répétitions ( avec Julien Clerc, autre vieux beau attachant) , voyages de la troupe en car, signatures, moments de dialogue documentariste/chanteur, échanges rudes entre les deux « héros »,et beaucoup d’instant saisis dans le cabanon” de Provence où vit le chanteur , avec une comédienne…et ses chevaux. Trois parodies, aussi ( mais légères, amicales) d’émissions de “promo”…En fait, entre Buci et ciné, je suis passé devant la vitrine d’un tatoueur BCBG : on a bavardé, il se disait spécialisé en fleurs sur fleurs. Langage archaîque, et pas tant que tellement respectueux du genre féminin, passons, d’autant que le travail est superbe. C’est parce qu’il n’à pas voulu m’engager comme apprenti préparateur de champ opératoire que j’ai finalement opté pour »GUY » !
Tout cela est juste, bien fait, jamais lourd. Je parle de « Guy » ! Mais l’intérêt du film, outre la relation indicible quasi père/fils , tient dans l’approfondissement progressif de la ” personnalité” du chanteur : beaucoup moins superficiel qu’il y paraît, pas du tout si con, et même très lucide sur la vie, et sur ses propres limites, faiblesses, petitesses…Travail del’âge : on court moins vite et on pense plus profond…Je vous tiendrai au courant pour mon propre cas. Lui ne se fait pas d’illusions sur ce succès, il en use, et il tente de vivre au mieux ce qu’il sent être bientôt en train de disparaître : ses forces (scène où il est tombé de cheval, scène de fatigue après le concert), ses liens ( scène de rare déjeuner avec le vrai fils, scène d’engueulade violente avec sa compagne), ses bases ( « Tous des connards » hurle t-il en parlant de son producteur). Il aime les femmes et l’alcool, banal, et joliment ( tendrement) mis en image dans les scènes finales, où il partage avec son documentariste de fils clandestin.
Touchant, et idée banale pour une type de mon âge animé de sentiments fraternels pour son prochain : oui, derrière chaque vitrine publique, il y a un comptoir privé, mais surtout, en-dessous du comptoir : les méandres complexes mais attachants d’une personne. Avec humour et légéreté , voila ce que dit aussi le film ( qui n’est pas une démonstration, c’est drôle et rapide) : on gagne à creuser l’autre ( mis à part quelques uns méritant …Mmm).
Ensuite on est allés dîner à une terrasse à trois ( lui, à trois et à Paris, hihihi). Ah, la langue !
Si vous avez un ciné à porté de regard, allez-y ( faut se dépêcher, de moins en moins de films réussissent à durer sur l’écran ciné). Sinon, notez pour un soir VOD: ” Guy”, de et avec A.LUTZ, 101 mn garanties de grande qualité.
Bon, la prochaine fois, je reviens avec un livre.
Bizot et les horreurs des Kmers rouges?
»14 juillet », un tout petit et superbe roman ?
Ma collection préférée de photos de femmes nues ? ( oui, je sais « femmes nues » ça fait ado ou prolo, je ne suis plus aucun des deux. « Voisines de clavier »alors.
Bon, je vais pas me faire des amies!
Et si vous êtes bonne lectrice bon lecteur , envoyez moi vos témoignages d’émotion.
François-louise Toffin
Vous avez pas vu Guy ? La Tourneuse 2 Le premier post- pour les rares qui l'ont commenté ( hors site WordPress) - a suscité les réactions attendues : certains n'évoquent rien que le texte, d'autres paraissent avoir apprécié surtout les "voisines de clavier", le plus cher ( et lointain) des amis me tape sur les doigts au sujet des…
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Je voulais savoir si ça te disait qu’enfin, on parte tous les deux, ouai je sais ça parait complètement barge dit comme ça mais imagine on se casse, là, maintenant à l’autre bout de la terre sans se retourner. Ah de toute façon la terre est ronde, regarder droit devant soi c’est un peu comme regarder derrière non ?
Mais arrête de sourire je suis sérieux qu’est-ce que tu dirais ? T’as jamais eu envie de balancer ta caisse, de claquer ta porte, de gifler ton voisin ? Je sais pas, ya pas des soirs ou t’as la tête qui tourne à vide dans ton lit ? Eh t’as pas des rêves au galop dans la poitrine toi ? Eh ils font quoi tes rêves ? Ils piétinent, ils marchent sur les pieds, ils ont des chaussettes ?
Allé, allé viens on part, on crit on danse, mieux mieux mieux, viens viens on tombe amoureux. On ferait deux fois le tour du monde parce que le premier on se sera pas quitté des yeux.
On prendrait la voiture, le taxi, le vélo, la trottinette, le bateau enfin on s’en fou pourvu que ca avance, pourvu que ça gronde, pourvu que ça nous arrache à ce décors morbide qui pue la mélancolie. Et puis si ya des gens qui sont pas d’accord, si ya des gens pour pas y croire, et jeter sur nos rires leur regards d’oiseau velu et démoniaque et ben on les emmerdra voila ! Je sais même pas si j’ai le droit de dire ça mais on s’en fou alors on les emmerdra d’accord ! On vivra d’amour et de cookies, on récitera des vers uniquement parce que c’est joli. « Madame, si les baisers s’envoyaient par écrit, vous liriez ma lettre avec les lèvres, que m’importe le jour, que m’importe le monde je dirais qu’ils sont beaux quand tes yeux l’auront dit ».
On sera de ceux qui marchent pas sur les lignes de pavé de supermarché, on sera de ceux qui ont des fous rires à minuit, on sera de ceux qui se réveillent pour se dire « je t’aime », de ceux qui se disent « farouche » et « pédoncule » parce que ça sonne tout bizarre dans la bouche.
D’ailleurs ça fait combien de temps que t’as pas fait la course ? Ça fait combien de temps que tu t’es pas tapé des barres en regardant les nuages en forme de caniche dans le ciel, que tu t’es pas bien fait kiffer, mais je veux dire réellement fait kiffer ça fait combien de temps hein ?
Eh allé t’entends pas dans ta poitrine, eh c’est pas ton cœur qui bat, c’est l’enfant en toi qui frappe et il est temps d’ouvrir allé quoi la vie ça brule, la vie ça brule et si ça brule pas c’est que tu vis pas tu comprends pas ? Ecoute pas les gens qui disent « oh ba il est mort à 83 ans il a bien vécu » c’est que des conneries ! C’est quoi 83 ans face à l’éternité ? C’est quoi 83 ans face à la voie lacté ? Face à 197 pays, à tous ces rêves qui nous restent à rêver, à accomplir ?
Eh t’as pas envie d’hurler toi ? T’as pas envie de secouer l’univers, t’as pas envie de lécher le sommet du mont blanc, de dessiner des cœurs dans les dunes du Sahara, de faire un basket sur la lune ? Je sais pas allé un peu de fantaisie quoi, un peu d’folie que diable, un peu d’insolence.
De quoi t’as envie, pose-toi la question là maintenant, de quoi t’as envie ? Je te jure on le fait, la première chose qui te viens allé, tu l’ajoutes à l’itinéraire, c’est que ça la vie de toute façon, une succession de déviations. Nous on veut des virages, on veut des bosses, on veut des PV d’excès d’ivresse, on veut de la musique à fond dans les casques et des lettres d’amour dans nos boites à courrier, parce qu’il est l’heure de s’enivrer.
Félix Radu
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J'avais 16 ans à l'époque, j'ai rencontré via les réseaux sociaux de ma région mon ex qui avait 21 ans. J'étais déjà avec un garçon. Pourtant il a su trouver les mots pour que je tombe sous son emprise. Et bien sûr une autre copine, ce que j'ai su bien plus tard. Il m'a montée la tête, fait passer pour folle et c’en est même allé jusqu’aux mains avec cette fille qui me ressemblait beaucoup. Il m’a trompée en me mentant droit dans les yeux, jetée nombre et nombre de fois, et revenait que quand ça lui plaisait. Le pire pour moi ça a été de l’aimer du plus profond de mon âme et de l'avoir laissé me faire tout ce qu'il m'a fait. Un jour je lui ai dis que j’étais peut être enceinte et qu'il serait bien que je fasse un test. J'ai payé le test avec mon argent de poche. Nous étions en plein carrefour, il m'a dit “vas le faire aux toilettes je t'attends”. Il m'a laissée seule. Inutile de vous préciser que c'était positif. Il m'a ramenée chez moi et plaquée le soir même. J'ai dû avorter. J’ai pleuré toute les larmes de mon corps pendant des mois ! Le genre de démarche traumatisante pour une gamine toute seule. Un mois après, il est revenu comme une fleur, comme si rien ne s'était passé ! Il m'a totalement détruite. Le pire dans tout ça c'est que cela a duré 7 ans. 7 ans de manipulations où il me tenait, où il m'as trompée avec ses exs et d'autres filles. J'ai fini par déménager à cause de ma situation familiale. Il aura fallu 200 km pour avoir la paix. Du moins au début car il m'a encore tenue pendant 1 an en me disant tout ce que je voulais entendre. On se voyait épisodiquement. Il était avec d'autres copines mais il les trompait avec moi systématiquement. Je devais accepter qu’il ait d'autres copines car je n'étais pas présente mais qu'il m"aimait quand même. Ça a complètement bousillé ma vie de femme. Passé la vingtaine j'étais jalouse, possessive, blessée, meurtrie et je n'avais plus confiance en moi ni en n'importe quel homme d'ailleurs. Tous les ans jusqu’à cette année il revenait et j’étais encore bien trop naïve pour espérer. De toute façon son ultime coup a été de partir au canada avec une fille qu’il avait rencontrée depuis un petit moment. Encore une de ces victimes cocue avec moi... Bref pour en finir à toutes les occasions que j’ai pu je n’ai eu de cesse de prévenir ces filles du prédateur qu’il était. En vain car je passais pour une folle qu’elles devaient toutes bloquer sous peine de grosse dispute. Aujourd’hui ce qui me console de cette relation de manipulation et de mensonge et où j’ai souffert, c'est que j’ai rencontré quelqu’un de bien, d'aimant, et qui me traite bien ! Grâce à cette personne j’ai enfin pu envoyer chier mon ex en lui disant que cette fois il n'avait plus d'emprise et que désormais j'étais guérie de cette relation. Ce qui me console c'est que dans le dernier message reçu il s'en mord les doigts et ceci est ma plus grande victoire. Je cite “j'étais jeune, je ne savais pas ce que je voulais ”. Voila désormais je suis heureuse et épanouie, lui non, et ne pourra jamais s'enlever son manteau de menteur manipulateur.
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Une soirée improbable
Tandis que nous prenons quelques bières en happy hours dans une pizzeria (à tout hasard), l'appel du gras et du fromage fondant se fit sentir ! Il faut dire qu'on a craqué qu'une seule fois en 2 mois !
Nous allons donc manger dans une très bonne pizzeria « Mea culpa », cuisson au feu de bois, ce qui est assez rare au Cambodge. Celle-ci est un peu excentrée, nous marchons 10 min avant d'y arriver.
C'était vraiment ce qu'il nous fallait, les pizzas étaient très bien garnies et très bonnes ! Nous partons donc bien repus !
Nous prenons un chemin différent de l'aller qui était censé nous amener tout droit à notre guesthouse. Cependant après quelques minutes de marche on tombe sur un sens interdit ; la rue est bloquée pour un mariage…
En effet au Cambodge, ils ont tendance à faire leur réception de mariage en plein milieu des routes sous un long chapiteau, bloquant ainsi le passage…
Ne voulons pas faire demi-tour, on s'est dit qu'on allait passer sur le côté incognito ! Raté…
Déjà il n'y avait pas de moyen de passer sur les côtés..Trop tard nous étions déjà engagés, nous essayons de traverser rapido le chapiteau au milieu des tables.
Les gens nous ont alors regardé, un grand sourire aux lèvres, en nous criant hello avec un signe de la main !!
Ça y est on était repéré…
Un mec me tend alors une canette de bière que je refuse tout d'abord mais que je finis par accepté devant son insistance puis un autre se lève et me donne également une canette…je finis par avoir 3 canettes de bière dans les mains, impossible de continuer notre chemin nous étions assaillis !
C’est alors qu'ils ont fait de la place sur une table pour qu'on se joigne à eux !
Un peu gêné, nous acceptons, et ce fût le début d'une soirée inoubliable !
On a vite compris que lorsqu'on trinque avec eux il faut boire le verre cul sec…Et bien sur chacun voulait trinquer avec nous et nous faire boire ! Eux c'est facile ils remplissent le verre a moitié, mettent des glaçons et boient à la paille. On a fait l'erreur de remplir les verres à rabord comme d'habitude...Ah ils surveillaient bien qu'on finisse tout d'une traite ! Un verre vide était inconcevable, ils se dépêchaient de le remplir…
Impossible de compter le nombre de bière que j'ai bu ce soir là !
Les plats étaient encore sur la table au milieu, une sorte de buffet avec du poisson grillé, du riz, des cacahuètes et j'en passe et les desserts également. Et là ils nous amènent des bols pour qu'on mange sauf qu'on avait plus faim…entre les pizzas et les bières..
Mais ils insistent et afin de ne pas être malpolis nous prenons un dessert (assez lourd à la pate de riz) puis un second tellement ils nous faisaient pression !
Les mariés lancent ensemble le bouquet et c'est un homme qui le reçoit ! Et oui la bas les hommes participent au lancer de bouquet !
Puis ils cassent la montagne de fruit (ce n'est pas une pièce montée mais plein de fruits entreposés en pyramide).
Les gens de notre table s'empressent alors de nous ramener tous les fruits exotiques possible !
On assiste à la première danse, un slow, puis ça y est la piste de danse est ouverte !
On nous propose d'aller danser, on refuse toujours gêné.. sauf qu'ils se lèvent tous et nous emmènent sur la piste !
Nous voila en train de danser à un mariage au milieu de Cambodgiens, je vous laisse imaginer la chose !
Ils dansent en faisant des mouvements de poignets en cercle en piétinant. C'était drôle, on ne s'est pas du tout senti exclu, les gens venaient danser avec nous, les femmes me montraient les pas de danse et souriaient en nous regardant ! On devait être beau à voir !
C'est pas tout ça mais après plusieurs minutes de danse on transpirait pas mal, il faisait lourd…
On est donc retourné à table pour se reposer et... boire des bières !
C'est alors qu'ils nous ont offert à chacun des kramas, foulards cambodgiens à carreaux généralement fait main. Le mien était rose (difficile de faire plus rose), celui de Thomas bleu ! On savait pas trop comment les accepter d'autant plus qu'on n’avait rien en échange…alors on a fait des selfies avec eux ! Ça leur a beaucoup plus !
Je m'excuse de ne pouvoir mettre des photos de cette soirée car elles sont sur mon appareil photo et non sur le portable.
Après quelques minutes de rigolades ils sont repartis chez eux, nous serrant la main à tour de rôle.
On sentait leur sincérité, on n’était pas juste des bêtes de foire !
On reparti donc sur notre chemin avec chacun une bière à la main !
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San Cristobal et les villages de Zinacantan et Chamula
6:30 arrivée a San Cristobal. Nous n’avons pas d’hôtel, nous n’avons pas de plan. Enfin profiter au max de cette journée afin de repartir le soir. Oui on est comme ça nous, on rentabilise au max.
L’avantage dans les gares routières mexicaines est qu’on peut y laisser nos bagages. On les laisse donc pour la journée et on part à la visite de la ville, avec comme objectif trouver un endroit pour prendre le petit déjeuner !!
Mais mon dieu qu’est ce qu’il fait froid a San Cristobal. On met polaires, doudounes et gants, non je blague, pas de gants mais quand meme il faisait bien 12 degres mais en ressenti c’etait bien au moins 6!! Mais on avait prevu et on savait que passés 10h il aurait fait chaud... la vie en montagne quoi.
En tout cas c’est tellement agréable de se balader dans les villes au lever du soleil. Il n’y a personne, pas de voitures (ou presque), les petits marchants de tacos ou tamales s’installent afin de servir le petit dejeuner dans la rue pour les travailleurs, les rayons du soleil sont doux et illuminent les petites maisons colorées de San Cristobal... même si tout est encore fermé on s’y sent bien.
Le guide du routard nous avait conseillé le Café Museo qui a sans doute fermé depuis, on a donc été au Gran café sur la plage principale où l’on a pris un petit dej de champion!!
Il etait temps de decider d’un plan : visiter la ville puis visiter les villages indigènes ou visiter les villages puis la ville de san Cristobal. On se décide pour l’option 2, puisqu’il se fera plus simple pour nous de gérer le temps une fois dans la ville que le contraire.
L’office de tourisme étant toujours fermé à 8h30 on décide de se renseigner aupres d’une agence de tourisme qui bien entendu nous propose un tour des villages voisins de 9h-13h. Nous acceptons. Il valait mieux avoir un guide avec nous qui connait les traditions et niveau timing c’était parfait.
Nous voila donc en route pour les villages de Zinacatan et Chamula. L’un est réputé pour ses tissus et l’autre pour ses fleurs. Au village de Zinacatan on nous a offert un shot de pox, un shot de tequila et une liqueur de cannelle. Puis on a vu comment une femme faisait les tortillas sur feu de bois, on a pu y goûter aussi.
Que ca soit au marché ou dans une association de femmes tisseuses (coopératives) personne ne veut négocier. Personne. Meme si tu prends 20 vêtements un prix est un prix. Seules les personnes vendant à même le sol dans la rue sont prêtes à tout pour avoir un peu d’argent.
Dans l’église de Chamula (2e village) nous avons vu les gens priés sur des feuilles de pin, bougies allumées sur le sol, bouteilles de coca ou fanta en guise d’offrande. Il y avait des bougies partout. Les cloches et toutes les reliques sont enlevées dans les églises mexicaines, ainsi refusant la religion du colon et imposant la leur.
Il est aussi interdit de filmer, de photographier, de porter un chapeau et des lunettes dans ces églises. Le respect est de rigueur, et les appareils sont considérés comme des voleurs d’âmes. Vius n’aurez donc aucune photo de personnes priant, de bougies tapissant le sol ou autre symbole religieux.
Par contre photographier l’église de l’extérieur est possible.
Toujours à Chamula, nous avons été au cimetière, un cimetière très typique puisse que les tombes sont ornées de feuilles de pin séchées. Les croix ont des couleurs très symboliques : le blanc pour les enfants, le bleu pour les jeunes adultes et le noir pour les plus vieux... un endroit vraiment incroyable.
Voila pour la découverte des villages de Zinacatan et Chamula.
Retour sur San Cristobal.
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JAJA - GRÈCE - JOUR 3 PARTONS LA MER EST BELLE
Oh! Le réveil est tôt, je ne trouve plus le sommeil, j’essaie car je sais que la journée sera longue avec notre départ pour la Crête de nuit. J’entends Manu ronronner, je me fais un café sans bruit et retourne au lit pour écrire. 1 heure plus tard, toujours le ronron de Manu, je prends une mini-douche, je me crème, me maquille, me frise les cheveux… je prépare ma valise. Toujours pas de Manu éveillé. Je retourne me faire un café et je me frise un peu plus.. Enfin, vers 10H, elle se réveille en trombe et me dit : Heille jaja, faut partir bientot, jaja t’es ou ? Je sors de la chambre toute pomponner, elle me regarde avec ses paupières de 4 tonnes et balbutie quelque chose comme : t’es don ben checker !?... Ben! Oui,, ca fait 3 heures que je me chercher quelque chose à faire! Je lui sert un café. Nous finalisons les bagages en mangeant un sandwich grillé et en regardant nos options pour aller mettre nos bagages en consigne pour la journée. 11h30, nous devons quitter l’appart. Manu se penche et met la clé sous le tapis qui est dessous la table de salle a manger. Je trouve ca bizarre comme endroit pour laisser la clé? ..je la regarde, elle me regarde perplexe elle-même. Elle décide de relire les consignes laissées au sujet de la clé par la proprio. C’est écrit : laissez la clé sur la table.. Je suis crampée, elle se penche reprends la clé sous le tapis, sous la table et m’explique qu’elle a confondu avec d’autres indications imaginées… bla bla bla… est cute! Je suis crampée.. Comme nous voulons finaliser le blog de la journée d’hier, nous nous arrêterons avec tout nos bagages dans un café tout près. Bien installée sur un divan de cuir rouge, nous parcourons le web un peu..
toujours la même nouvelle qui s’étend depuis le Québec, Gilbert, Eric…Eric, Gilbert. Nous émettons quelques opinions, sans plus, sujet non pertinent en ce moment, on relaxe.. Mais pas autant que le viel homme qui dort littéralement sur sa chaise, devant son café. Nos sujets passe du coq à l’âne et tout a coup Manu me demande si ma pelosité a diminé avec l’age..? Bof! Pas vraiment, je suis quasi imberbe anyway.. ce qui me tanne le plus c’est le poil du nez. Ses yeux s’écarquillent de surprise, elle me dit : t’as des poils de nez? Ouais… je les rasent. Dans la demi-seconde, elle porte son doigt vers une narine pour voir si EllE en a !? Son regard inquiet..un visage crispé…elle murmure : j’en ai tu?? Ça me déclenche un fou-rire instantanément.. Moments croc-vif.. que j’adore…ça ne s’explique pas bien, mais ça se rit tellement longtemps.. Manu est décollé aussi, on en pleure!
GPS en main nous entrons dans le métro pour quelques stations vers le dépôt bagages. Comme des pros, nous trouvons l’endroit facilement. Nous reconnaissons cette partie de la ville, nous y avons marché hier, il me semble. Oui, nous y étions, donc on part de l’autre coté pour explorer autour de l’Acropole, on fait quelques boutiques, je cherche le cadeau de Noel 2017, pas vu encore... 15h.. le plateau est servie sur une terrasse bien animée. La bière est froide, le repas parfait et Manu est joyeuse 😅
C’est reparti pour l’expédition direction Acropole. On monte, on monte, on monte.. les rues deviennent de plus en plus étroites et puis de simples passages à piétions.
Plusieurs y vivent encore dans ces maisons perchées dans ce labyrinthe. Les chats sont partout. La vue est magnifique. Athènes est une ville avec une âme transpirante. La descente se fait bien, la rencontre d’amis Nigérien et Ganéen, venus faire de la fraude en Grèce, vendant rien d’autres que des mensonges, me rappelle des souvenirs, j’oublie vite…HA ces manipulateurs de M….. des polluants…BON! Nous sommes repartis vers le centre-ville pour récupérer nos bagages. Ils semblent plus lourd que ce matin!! Direction Métro, quelques stations à faire jusqu’au port de Pirée.
Le soir tombe sur le port, c’est beau. Nous embarquons tot sur le traversier, nous avons besoin de repos et de tranquillité un peu..
La cabine est confortable, nous déposons nos bagages avant d’aller prendre l’apéro au bar sur le 7e pont. Ca me rappelle mes traversée de nuit vers Terre-Neuve… je n’oublierais jamais la première, wow.. j’étais tombée amoureuse.. je le suis encore, c’est juste que l’amour le plus fort gagne toujours!
L’heure de manger un peu avant le dodo, la salle à manger est chic et les banquettes semblent parfaites pour un souper parfait. Nous voila à imaginer que les avions pourrait être confortable comme les bateaux.. des banquettes pour s’étendre.. on rêve de vols plus facile à faire.. Le vin est excellent ce soir, vin blanc Grec très aromatique.. humm. Deux plats de pâtes, le mien avec crevettes. Maudisse..comme dirait Manu! Les crevettes sont entières.. Ostifi.. que j’hais ça jouer dans mon assiette pour enlever le stock qui ne se mange pas… c’est tellement insignifiant, non pertinent, juste bon à avoir les doigts sales.. J’HAIS ÇA!! Mais s’était vraiment bon au final… temps d’aller cuver tout cela dans notre mignonne cabine.. Bonne traversée ma bestie! Xx
Ιστιοπλοΐα στην ευτυχία
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Bonsoir.
Une.petite nouvelle car je connais une personne qui est en manque. Manque de sa.Maîtresse. Manque d ordres. Manque des récits que sa Maitresse envoie Alors une pensée pour cette chose. Maîtresse il est tard. Vous savez que je travaille demain et que je dois dormir. Comment ?Dis moi que j ai mal entendu. Je te veux dans 1/2 devant.l hôtel. Ensuite je verrai. A l heure dite, il est en bas et je.le.prends au passage. Non tu ne t assois pas sur le siège. Sur le tapis de sol, allez lui dis je en appuyant.sur.sa.tete. Maîtresse si on vous arrête ? Et bien je dirai que ma chienne ne.monte pas sur.le.siege On passe par.le.bois mais ce soir pas d arrêt. Direction la maison. Au parking. Descends chienne,à.quatre pattes près de.la.voiture. Je lui mets son collier et sa laisse. Allez on avance chienne. Maîtresse, et si on rencontre du monde? Dis donc avec des si....On ne ferait plus rien. Allez on avance jusqu à la maison.. La.porte s ouvre . Je suis obligée de tirer sur la laisse. Allez avance chienne. On va pas te manger. Mais qui est ce Maîtresse ?Tais toi chienne et rentre. Tu as du prendre ta douche donc.va donc te mettre en tenue. C est donc.lui li a chochotte qui s est enfin réveillée et s est révélée être une salope ? C est ça. Et bien on va voir ce que cela donne. Allez files donc.t.habiller la.salope. Tu.me regardes. Maîtresse que dois je mettre pour vous plaire. Je te pousse dans.le.dos. Avance dans.la.chambre. Tes vêtements sont.deja.prets. Maîtresseeeee.Vous m avez gâté !J ai.meme des chaussures ! Magne.toi soubrette. Ce soir on commence par ça. Non mais,ta bite elle est droite. Approche pute. Je sors une.cordelette et je lui attache couilles et bite Puis je passe la.cordelette par derrière. Je tire bien et attache la corde autour de sa taille. Ainsi sa bite est cachee Voila une vraie petite pute. Maintenant viens donc.pres de.nous. Debout à.nos côtés. Tu attends.les ordres. Café car nous avons déjà mangé Pas.toi,petite Merde? Vas voir je t ai préparée une assiette. Tu viendras la.manger à.nos.cotes. Ça ne te plaît pas? Il y a tout nos déchets (gras, épluchures)et un supplément. Tu apportés le.cafe et prends ta gamelle pour manger. Maîtresse est ce que ce sont. vos besoins qu il y a dans la gamelle? Oui truie. 'mange. MANGE. Et je lui appuie sur la tête Tu en voulais.voila. AVALE truie Elle est un peu encore précieuse me.dit mon ami. Il prend de la Merde et te l étale sur toi. Tu as.un mouvement de recul. Ola salope. Ne.bouge pas.. Oui,mais je sais qu elle est prête et qu elle a beaucoup évolué.Je le vois à son regard que je ne vois pas. Car elle garde les yeux baissés.Chose qu elle ne faisait pas. Femelle range tout et revient ici. A quatre pattes ma pute. Je tiens mon fouet arabe en main. C est celui ci qui te faisait envie. Alors tu vas le goûter petite Merde Disons que c est tes fesses qui font le goûter. Et je sais je peux marquer mais attention Je lève le bras et Clac la lanière tombe. Clac Clac. Je te vois te dandiner. Alors femelle ça te manquait.le cuir sur ton q. Ça te manquait les coups. Et je te pousse du pied. Redresse toi salope. Clac Clac. Un autre fouet entre en jeu. Oh Maîtresse c est bon. Ding dong On sonne. Tu attends quelqu un salope ? Non. Et toi dis je à mon invité ? Oui!Je.me suis permis de convier ma femme. Super. Vas donc.ouvrir lui dis je Toi femelle je vais terminer avec mes .mains. Clac caresse Clac caresse Pétrissage des couilles Tirage de la bite toujours en arrière. Hummm cela faisait longtemps que j en avais senti ta peau de chienne. Allez reste à quatre pattes chienne. Je te siffle quand.j ai besoin de toi. ......
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Jour 7: kuta madre, nous voila!
Ce matin on se leve avant notre reveil, 1e reflexe: regarder le score du match de la belgique. Mon dieu qui aurait pu croire qu’un jour je ferai ça? 😂 haha
On prend le petit dej tranquille et on va se préparer: aujourd’hui on va dans notre dernier point de chute: Kuta. Encore un peu plus touristique et grande ville qu’ubud, mais c’est près de la plage.
Le trajet fut interminable. Je suais comme jamais, les fenetres de notre taxi ne s’ouvraient pas et l’air co n’allait pas vraiment!!! En entrant dans la ville, on hallucine: c’est une grande ville relativement comme nous voyons une grande ville européanisée etc... c’est dingue ces différences des qu’on passe d’un endroit à l’autre... tant bien que mal, on trouve notre hotel. Bon c’est vachement rudimentaire, autant qu’à batur, mais on est là pour deux nuits. Nos sacs posés, on n’a qu’une idée en tête: trouver la plage!!!
Comme à notre habitude, on part presqu’à l’aveugle explorer les lieux. C’est une vraie ville. Une vraie ville avec de la circulation, des magasins « de luxe », des hotels « de luxe » etc.. et la rue à coté, on est de nouveau plongé dans le coeur de bali comme nous l’avons découvert ces jours ci.. je ne suis pas spécialement conquise par ce mix. On continue notre « avancée » et on tombe sur la plage! C’est vraiment beau et agréable. Le décor change totalement de ce qu’on avait vu jusque là! On se balade tout le long de l’océan indien, les pieds dans l’eau. Ensuite, on décide d’explorer un peu plus le coté « ville » et en tant que bonne accro au shopping que je suis (on ne se refait pas en une semaine, désolée) nous marchons une heure pour arriver dans un magasin que je veux absolument voir! Après essayage et achat, on décide de revenir par la plage. Il fait nuit noire et on trouve sur la plage un endroit posé avec un petit concert! On s’installe et on profite.
Une bonne demie heure apres, on redémarre, on se balade les pieds dans l’eau dans la nuit. Arrive le moment où il faut retrouver les rues afin de rejoindre notre hotel. On sort donc de la plage et là... on tombe sur un centre commerciale ouvert (il est 22h) rempli de toutes nos enseignes!!! On hallucine. Pull and bear, h&m, zara etc... et un enoooorme magasin de friandises. C’est surréaliste et completement gigantestque. Le centre ferme a minuit. On y fait donc un tour histoire de voir ce monde nocturne. Une fois ce tour accompli: on se dirige donc pour retrouver notre hotel et là... on découvre une nouvelle ville. Le kuta nocturne. Mis effrayée, mi amusée, j’admire l’ambiance. Discoteques en plein air, bars branchés, la musique et les lumières viennent de partout. On nous propose de tout. Haschisch, magic mushroom, drugs en tout genre, viagra...j’avoue que je ne me sens pas a mon aise. On passe de rue hyper éclairée et fréquentée à des rue assez sombre et vide... je ne suis pas mécontente d’avoir rejoins mon lit pour ce soir!
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