#vertigal species
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huntertag · 3 years ago
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THE RAIDERS SPECIES: VERTIGAL (plural: Vertixes)
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Coming from the frozen world of Vertences, Vertixes are one of few species to know their homeworld. This race of fox like canines are very centered on military and technological advancement. They are known mostly for their six ears and small size. Despite their size they are very strong as their planet is slightly more massive than others. Because of the frozen nature of their planet, all life on Vertences, including Vertixes, live beneath the surface in and near geothermal caves, but a great many things also live in the colder caves. Due to the low light of many of these caves, Vertixes mainly use echolocation to see and have such precise hearing that they can feel texture with sound. They also possess great night vision as bioluminesence tends to lighten many flora filled caves. Their legs are great at jumping which helps them navigate the greater caves of their world and their thick fur keeps them warm. Vertigan cities are very unique, typically being shaped by the caves they are built in. They are typically built in massive caves, one by an underground ocean is typically the best choice. Despite their limited surface access, vertixes have achieved intersteller status as of millenia ago like many others and have spread influence, becoming a very common species. Their similar genes to many also allowed cross-breeding to give many other common races the digitigrade legs they have. Vertixes come in two colors, blue and green, and some even grow horns and split horns like small antlers. The horns are often seen as a sign of power and strength, as many high ranked officials have them. Another type of vertigal is said to exist but hasn't been confirmed yet. A multicolor, bioluminesent, deep cave dwelling vertigal, that may have gone extinct hundreds of years ago.
After the century war, a Vertigan ship was on its patrol when it stumbled across an anomalous reading in a nearby system. The ship went to investigate, a deeper scan in system showed the signal to be coming from a moon. The ship moved in slow, maintaining scans. The signal source came from. A leftover berretans moonbase that was completed just after the war, too late to enter. Penetrating scans would not enter the structure, so the vertigan ship began using a drill beam to cut under the surface. The moonbase however was occupied by pereta forces and this would be the day of their awakening. The moonbase grabbed the vertigan ship with an attractor beam and was waiting to charge weapons to destroy it. The vertigan ship had weapons troubles as the gimbals were locked by the beam. Eventually they ere able to blast the emitter and get free. They pulled away to warn the galaxy, but were being jammed and a giant berretans warship, now under pereta control, went to intercept the destroyer. A chase battle commensed. A scan revealed holes in the destroyers shields and the vertigan ship maneuvered for a missile Salvo. The massive gemini-class was disabled and broke away, but the vertixes were too late. The moonbases weapons came online and blasted the ship to dust. Moonbase Alpha had come alive and later Bravo, Charlie, Delta, and Epsilon followed. The Reconstruction War had begun.
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dephasage-blog · 8 years ago
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Déphasage #131 - 14.12.16
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01/ Jung An Tagen - Die hand lässt niemals los (Das Fest Der Reichen / Editions Mego / Octobre 2016)   02/ Jung An Tagen - Der klare blick (Das Fest Der Reichen / Editions Mego / Octobre 2016)  03/ Rashad Becker – Themes VIII (Traditional Music of Notional Species Vol. II /Pan/ Decembre 2016)  04/ Rashad Becker – Dances V (Traditional Music of Notional Species Vol. II / Pan / Decembre 2016)  05/ Rashad Becker – Dances VIII (Traditional Music of Notional Species Vol. II / Pan / Decembre 2016) 06/ Andrew Pekler – Humidity index / Khao sok (chopped and screwed) (Tristes tropiques /Faitiche/ Octobre 2016) 07/ Andrew Pekler – A savage topography (Tristes tropiques / Faitiche / Octobre 2016) 08/ Andrew Pekler – Bororo (Tristes tropiques / Faitiche / Octobre 2016) 09/ John Zorn – Invocation (IAO / Tzadik/ 2002) 10/ John Zorn – Sacred rites of the left hand path (IAO / Tzadik / 2002)
[Timothée]
Entièrement composé à l’institut de recherche virtuelle à Vienne (VIV) et dernier projet à son actif, « Le festival des riches » combine synthèse soustractive et techniques d’échantillonnages. Jung An Tagen, est le pseudo choisi par un Stefan Juster tenant à se dissimuler. Il s’agit d’une musique d’ordinateur, aux ravissantes et fantastiques couleurs; pensée pour supports audiovisuels. Les timbres généreux et gracieux pourraient apparaitre en premier lieu comme des constituants sensibles et émotifs, à éprouver immédiatement, or il est vite évident que comme dans la vie, ce n’est pas facile. L’humain flotte ici hors de lui, à travers une oeuvre dénuée de toutes émotions rationnelles et pratiquées de l’homme. Des figures répétitives comme motifs en premier plan, croisent elles même leurs propres ombrages et réponses du flux aléatoire sur lequel elles dansent. Indépendamment des effets d’ombres, la matière en itération et son moiré se déforment à vive cadence, laissant l’analyse de notre perception échouer à nous permettre d’accéder à des données purement sensibles. La représentation d’un objet calibré dans un environnement et les sensations haptiques étant brouillées, le phénomène acidulé dévore et obstrue tout ce qui pourrait constituer une grille interprétative logique; comme substance absolument envahissante, absorbant ses âmes sons entre fable et anecdote.
[Antoine]
Tant attendue, cette suite poursuit l’ethnomusicologie inversée de l’artiste allemand, oreille absolue d’un grand nombre de sorties masterisées par ses soins. Son inconscient nourri par cette quantité de productions électroniques qui ont croisées son chemin, il expulse tout cela pour en retirer la substance, l’essence même, afin d’inventer une musique innommable. Les fantômes, tout autant des sons que des manières de les composer sont présents ici. A l’écoute, on se laisse porter dans l’étourdissement, et parfois emporté par cette compression/expansion qui oeuvre autant dans l’intensité, que dans les choix d’harmonie et de dissonance et aussi dans l’âme des sons. La sensation que ce qui grouille devant nos oreilles tend par moment vers l’entropie et à d’autres vers la néguentropie. Une maitrise de l’ordre et du chaos sonore et musical qui nous tient en haleine tout au long des 8 compositions. L’existence physique du son n’est ici pas à remettre en question, tant des êtres vivants s’animent devant nous. La frontière entre ces derniers et la musique qu’ils peuvent produire devient finalement plus mince. Mais peut-on réellement définir, en partie du moins, une espèce ou une civilisation par sa musique ? En opérant une découverte à l’envers, sorte d’ingénierie musicale à contre-courant Rashad Becker nous fait une fois de plus réfléchir réellement au sens et à la place de la musique aussi bien dans un monde tant réel qu’imaginaire.
[Thomas]
Sorties depuis novembre chez Faitiche, les « Tristes tropiques » d'Andrew Pekler enserrent une selve épaisse et intrigante rendue envisageable par des traitements électroniques qu'il serait pourtant facile de considérer comme désincarnés. Bloqué dans cette forêt d'origamis dont la facticité n’empêche pas la prégnance sur les imaginaires, l'auditeur touche du doigt ce que pourrait être une traduction actuelle du « quatrième monde » de John Hassel : théorisation musicale d'un exotisme fantasmé traduit par des esthétiques futuristes. La démarche n'est donc pas neuve mais l’écho qu'elle continue à rencontrer au creux des oreilles reste conforté. Qu'il arrive en quatrième ou en trente-septième position sur une typologie des états d'écoute, le monde en question naît de la jonction de plusieurs autres, intérieurs ceux-là ; il va chercher l'imagination et joue sur elle plus que sur un renvoi à une convention musicale installée ou à un environnement existant. Point de réalisme, donc, sur Tristes tropiques, dont le nom fait plus office d'hommage que de véritable ambition lévi-straussienne. Si Pekler pose sa tente dans ces paysages psychiques c'est avec des phénomènes magiques pour seuls objets d'études, et sa volonté est moins de les décortiquer que de s'y plonger toujours plus avant.
Ce chemin du dépaysement postiche par les machines et les visions préconçues a déjà été emprunté sur Faitiche à la rentrée par le binôme gagnant que composent Jan Jilenek et Masayoshi Fujita, avec  leur album Schaum, qu'Antoine avait présenté ici. Ces deux sorties successives rappellent ainsi l'influence exercée par l'anthropologie sur la ligne directrice du label, dont le nom provient d'un néologisme inventé par Bruno Latour (le « faitiche »exprimant un dépassement de la dichotomie entre les « faits » objectifs et les « fétiches » illusoires). Pour autant, Andrew Pekler va plus loin que ses deux confrères pour ce qui est de l'évocation des images d’Épinal du monde tropical, tout en modélisant sa futaie comme un objet chimérique, lui prêtant des facultés hallucinatoires qui perdent l'auditeur dans de rassurantes bizarreries. Saisissant des branchages ondulants, celui-ci se retrouve le témoin étourdi de dédoublements inexplicables, prisonnier de la jungle du corps, et mieux, celle de l'esprit.
[Simon]
Inspiré par les travaux de l’occulte Aleister Crowley, qui décidément fascine, et par le cinéma de l’étrange Kenneth Anger, l’album IAO, sous titré “Music in Sacred Light” est le 69ème album de John Zorn, musicien américain inclassable, actif depuis les années 70. Passé par toute sortes de périodes musicales très éloignées, jonglant du classique au hardcore sans problèmes apparent, passant par le klezmer, l’ambient, le jazz, le métal, a toute vitesse, Zorn assume et mélange ses influences sans se limiter. Son disque est un assemblage d’éléments hétéroclites, qui pourrait sembler douteux sur le papier, mais qui fait mouche et prend sens dès la première écoute. On pourra au fil du disque assister à d’étranges rituels, où dansent sous la pleine lune immense d’hypnotisantes boucles synthétiques et des pianos droits en bois d’ébène, ou encore au déclin noir du roi Salomon et de ses mille concubines dans un bruissement électrique. Sous le signe de la magie et de l’occulte, IAO, qui tire son nom d’un mot secret de la Kabbale, ressemble à la BO d’un film interdit, qui ferait une tentative effroyablement juste de synthèse de tous les écrits sur le mystique, le sacré et le magique : un manifeste pour une secte hybride d’un nouveau genre, à l’imagerie disparate, faite de rituels absurdes et pourtant inexplicablement familiers, et dont les chants rassemblent et agenouillement des milliers de fidèles aux coupes impossibles, attirés par le vertige du déjà-vu réinventé, comme autant de papillons bruns par la lumière dangereuse d’une bougie de cire.
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huntertag · 4 years ago
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The Vertigal species has several variances. The most common is the Blue Vertigal
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They, like ever other vertigals have 6 ears. 4 normal sized ones on the back of the head, and 2 small ones on top.
A little less common is the green Vertigal.
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Exactly the same, but with green instead of blue.
Both can come with horns near their smallest ears.
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Less common than just horns are split horns.
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