#vague belge
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3. Petit historique - partie 3 (pseudossier : le phénomène ovni)
À lire avant pour ne pas être trop perdu :
1. Petit historique - Partie 1
Pseudocomplément : l'affaire Roswell
2. Petit historique - Partie 2
Je remercie les chercheuses et chercheurs cité·e·s dans ce pseudossier pour leurs travaux. Pour réaliser ce pseudossier, je me suis appuyé sur des films documentaires, des interviews vidéos, des ouvrages, des articles de presse ou de sites internet. Je remercie les pseudosphéristes passionnés qui en sont à l’origine.
Principales pseudosources :
Je me suis appuyé sur l’ouvrage suivant pour l’ensemble de ce pseudossier : Franck Maurin, Les mystères du phénomène ovni - de la préhistoire à nos jours, Éditions La Vallée Heureuse, 2016
Pour ce chapitre, je me suis également appuyé sur la page Wikipédia qui recense de manière chronologique les principaux cas d’ovni, il est possible à partir de cette page, d’accéder à des articles plus détaillés : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_de_l%27ufologie
Ovni de l'Amarante : http://www.ldi5.net/ovni/sepra/nt17.php
Vol Japan Airlines 1628 : https://ufologie.patrickgross.org/htm/japan86f.htm Leslie Kean, Ovnis, des généraux des pilotes et des officiels parlent, Editions Dervy, 2010 (pages 301 à 310) (en anglais) https://en.wikipedia.org/wiki/Japan_Air_Lines_Cargo_Flight_1628_incident
Vague de l'Hudson River et survol de la centrale d'Indian Point : Leslie Kean, Ovnis, des généraux des pilotes et des officiels parlent, Editions Dervy, 2010 (pages 214 à 225) Stéphane Royer, Didier Gomez, Ovnis et nucléaire : sommes-vous sous surveillance, Éditions JMG, 2021 (pages 225 à 228)
Vague belge : Leslie Kean, Ovnis, des généraux des pilotes et des officiels parlent, Editions Dervy, 2010 (pages 33 à 55) https://fr.wikipedia.org/wiki/Vague_belge_d%27ovnis
Vague d’ovni de 1990 en France : http://univers-ovni.com/sepra/culte_5_novembre.html https://www.parismatch.com/Actu/Insolite/Vague-d-OVNIs-du-05-11-1990-Un-temoignage-inedit-L-objet-enorme-masquait-les-etoiles-862295 Egon Kragel et Yves Couprie, Ovnis - Enquête sur un secret d'États, Éditions Le cherche midi, 2010 (pages 220 à 228)
Crop circle : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cercle_de_culture http://www.bltresearch.com/ (en anglais) https://en.wikipedia.org/wiki/Arecibo_message https://www.lecosmographe.com/blogs/article/message-arecibo/
Vol Paris-Nice, 1994 : https://actu.fr/ile-de-france/coulommiers_77131/seine-et-marne-ovnis-a-coulommiers-que-s-est-il-passe-pendant-le-vol-af-3532_35376616.html Leslie Kean, Ovnis, des généraux des pilotes et des officiels parlent, Editions Dervy, 2010 (pages 183 à 184) Chaine Nuréa TV, « Rencontres entre Pilotes et OVNIs » avec Franck Maurin (https://www.youtube.com/watch?v=RDYFt3DCf2w&t=9397s, à partir de 2 h 27 et 40 s)
Ovni de l’école d’Ariel : Randall Nickerson, Ariel Phenomenon, 2018, String Theory Films https://rr0.org/science/crypto/ufo/enquete/dossier/Zimbabwe/ Chaine Nuréa TV, Ovnis au Zimbabwé : Le cas Ariel avec Fabrice Bonvin (https://www.youtube.com/watch?v=8_Q6kF4Yl6I)
Missions STS : Chaine Nuréa TV, Missions Spatiales & Ovnis (https://www.youtube.com/watch?v=_PAs7kCx3_U et https://www.youtube.com/watch?v=FRGNDt5J1v8 (à partir de 52 min pour la mission STS-80))
Mission STS-115 et Mary Anne Stefany Shyn-Piper : Ikaris n°13, magazine bimestriel, Février - Mars 2020, Gemini Édition (page 52) http://messagesdelanature.ek.la/ces-ovnis-que-la-nasa-veut-cacher-p186368 https://www.youtube.com/watch?time_continue=3&v=tK40WwEe1Qc&feature=emb_logo Chaine Nuréa TV, Missions Spatiales & Ovnis (https://www.youtube.com/watch?v=FRGNDt5J1v8 à 1 h 12)
Affaire Varginha : (en portugais) https://www.varginhaonline.com.br/175732/et-de-varginha-23-anos-relembre-um-dos-casos-da-ufologia-mais-conhecidos-do-mundo.html Film documentaire Moment of Contact réalisé par James Fox et sorti en 2022 Bimestriel Ikaris n°16, Gémini édition, août-septembre 2020 (pages 34 à 44) Philippe Auger, OVNI l'affaire Varginha, Ankama Éditions, 2009 http://www.ovni.ch/guest/leir.htm https://www.paperblog.fr/2770159/varginha-un-crash-d-ovni-au-bresil-premiere-partie-par-gildas-bourdais/
Lumières de Phœnix : https://www.noxfrance.com/post/les-lumi%C3%A8res-de-phoenix Leslie Kean, Ovnis, des généraux des pilotes et des officiels parlent, Editions Dervy, 2010 (pages 334 à 362) (en anglais) https://en.wikipedia.org/wiki/Phoenix_Lights
Affaire d'Haravilliers : http://www.lesconfins.com/HARAVILLIERS02.pdf Bimestriel Ikaris n°21, Gémini édition, juin-juillet 2021 (pages 8 à 15) https://rr0.org/science/crypto/ufo/enquete/dossier/Haravilliers/ Chaine BTLV, OVNI, L'AFFAIRE HARAVILLIERS avec Joslan F.Keller et Cynthia Casanobe (https://www.youtube.com/watch?v=FIXVfTOW4Wo)
Incident du Nimitz : (en anglais) https://theufodatabase.com/incidents/uss-nimitz-ufo-incident (en anglais) https://www.explorescu.org/post/2004-uss-nimitz-strike-navy-group-incident-report https://theconversation.com/videos-d-ovni-declassifiees-par-le-pentagone-decryptage-et-precisions-137857 Ikaris n°7, magazine bimestriel, Février - Mars 2019, Gemini Édition (pages 30 à 33)
Vidéos de l’armée américaine authentifiées : https://information.tv5monde.com/info/ovni-la-marine-americaine-confirme-que-trois-videos-sont-authentiques-322315 https://theconversation.com/videos-d-ovni-declassifiees-par-le-pentagone-decryptage-et-precisions-137857
Ovnis géants au-dessus de la Manche : Leslie Kean, Ovnis, des généraux des pilotes et des officiels parlent, Editions Dervy, 2010 (pages 98 à 109) Chaine Nuréa TV, « Rencontres entre Pilotes et OVNIs » avec Franck Maurin (https://www.youtube.com/watch?v=RDYFt3DCf2w&t=9397s, à partir de 2 h 33 m)
Ovni de Stephenville : (en anglais) https://abcnews.go.com/GMA/story?id=4142232&page=1 (en anglais) https://www.texasmonthly.com/articles/the-searcher/ https://en.wikinews.org/wiki/MUFON_releases_report_on_UFO_sighting_in_Stephenville,_Texas https://documents.theblackvault.com/documents/MUFON/Journals/2008/August_2008.pdf https://www.ufocasebook.com/pdf/mufonstephenvilleradarreport.pdf
Flotille d’ovnis au-dessus de Lima en 2007 : https://www.youtube.com/watch?v=dkNdXncScmY
Ovni au-dessus de l’aéroport international de Xiaoshan (Chine) en 2010 : http://messagesdelanature.ek.la/l-ovni-de-hangzhou-2010-p1487506
Ovni de Porto Rico en 2013 : Chaine Nuréa TV, « Rencontres entre Pilotes et OVNIs » avec Franck Maurin (https://www.youtube.com/watch?v=RDYFt3DCf2w&t=9397s, à partir de 2 h 47 et 35 s)
Ovni de Houston en 2014 : https://www.cnews.fr/paranormal/2014-08-22/ovni-de-houston-des-centaines-de-temoins-689379
Ovnis dans les Philippines en 2015 : https://mysterium-incognita.com/2020/03/16/les-ovni-des-philippines-de-2015/
Ovnis et confinement : https://www.lesacdechips.com/2015/05/14/8-recentes-videos-etranges-impliquant-des-ovnis (en anglais) https://www.cnet.com/news/ufo-sightings-spiked-dramatically-during-the-coronavirus-pandemic/ https://www.telegraph.co.uk/news/2020/04/02/coronavirus-blame-record-number-ufo-sightings-belgium/
#pseudossier#phenomene ovni#extraterrestre#soucoupe volante#pan#Trans-en-Provence#Hudson River#vague belge#5 novembre 1990#crop circle#Ariel school#Varginha#Lumières de Phoenix#Haravilliers#Manche 2007#Nimitz#Stephenville#BD#humour
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Coucou tout le monde ! Cette journée a été nettement plus satisfaisante que la précédente : j'ai fait une bonne grande balade qui m'a pris la journée (avec beaucoup de pauses pour bouquiner), avec alternance entre grand soleil et grosse averse !
J'ai croisé mon voisin de bus d'hier en me promenant le long du littoral ... Apparemment, je me suis endormie sur son épaule pendant le trajet... Oups :')
Du coup, le chemin alternait entre forêt et bord de mer, c'était très sympa !
Il faisait très officiellement beaucoup trop pas beau la plupart du temps pour aller se baigner, donc pas de trempette aujourd'hui... (Se réchauffer avec un vent de tous les diables quand on est dans une eau à 20°, c'est limite) par contre il y avait des vagues magnifiques !
Je réalise d'ailleurs que comme, forcément, les meilleures photos sont celles sans nuage (marrant comme le soleil rend la mer turquoise tiens), vous risquez de me prendre pour une grosse ingrate météorologique. Tant pis \o/
Pendant une petite pause ensoleillée, je me pose sur un rocher pour lire, et je fais la rencontre au bout d'un quart d'heure d'un petit être de la faune locale que je ne connaissais pour le moment que de nom ...
... malheureusement, pas de koala, mais une "Fire Ant", soit une fourmi de feu.
Alors, comparé au sumac, c'est de la gnognotte, mais AIE ! Pire que les fourmis rousses cette saleté >< en plus c'était gratuit.
Je suis bien contente de ne pas avoir rencontré ses copines de la fourmilière tiens !
La journée se termine tranquillement sur une soirée "fromage et vin" gratuite organisée par l'auberge (décidément, c'est high level ici), où je papote une bonne heure avec un gars de Sydney et une belge ! Une bonne petite soirée pour finir une bonne petite journée 🤗
J'espère que tout va bien en France, je vous aime très fort, des bizouuuuux !
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Une Semaine d'Expériences avec Dieu(SED N°362024)
Dimanche, 13 octobre 2024
"Le SEIGNEUR déclare : « Vos pensées ne sont pas mes pensées, mes façons de faire ne sont pas les vôtres. Il y a une grande distance entre mes façons de faire et les vôtres, entre mes pensées et vos pensées. Elle est aussi grande que la distance entre le ciel et la terre."
Ésaïe 55,8&9(PDV)
Les voies de Dieu !
Suite du témoignage de Lifa:
"[...]Quelques mois plus tard, j’ai reçu une prophétie dans laquelle le Seigneur m’appelait à être un meneur d’hommes. J’ai dû faire le choix difficile de jouer dans une division inférieure bien que j’avais le rêve d’exceller dans ce domaine. En effet, Dieu a déposé un autre rêve dans mon cœur : celui de devenir avocat. J’ai entrepris le Master en droit mais beaucoup m’ont découragé. On m’a demandé à plusieurs reprises si j’étais réellement capable de réussir un cursus universitaire mais la voix de Dieu était plus forte que toutes les autres. Me voilà donc en première année de Master en droit, les examens arrivent, j’échoue, je recommence et j’échoue encore et cela pendant trois ans ! À plusieurs reprises, j’ai voulu abandonner. Je voyais le rêve de Dieu s’éloigner mais je me rappelais la promesse qu’il m’avait donnée. Tant bien que mal je suis sorti diplômé d’un Bachelier en droit mais cela m’a pris cinq ans au lieu de trois.
À 21 ans, le Seigneur m’a béni en me permettant d’épouser Emmanuelle et un an après nos noces, nous avons vu notre famille s’agrandir avec notre petite Noémie. En 2007, Dieu nous a envoyés en mission en Martinique. Avec mon bachelier en droit belge, j’avais du mal à trouver du travail et je ne pouvais pas non plus être avocat parce qu’il faut un Master (Bac+5). J’ai repris mes études de droit à Fort de France. J’ai réussi le Master 1 et nous sommes rentrés en Belgique.
De retour chez nous, j’ai affronté quatre ans de chômage étant donné que je ne pouvais pas devenir avocat avec un Master 1 français et je ne trouvais aucun travail. Après avoir postulé, parcouru la Belgique pour des entretiens d’embauche qui finissaient toujours par un refus, le Seigneur m’a fait comprendre que c’était d’abord lui, que je devais juste le chercher lui ! J’ai donc arrêté toutes recherches et je me suis mis à la poursuite du seul but de ma vie : chercher le royaume des cieux et sa justice" (Source: http://xn--topchrtien-g7a.com/).
Mon ami(e), comme tu peux le remarquer, les voies de Dieu peuvent parfois sembler difficiles, compliquées, incompréhensibles. Toutefois, elles sont sûres et infaillibles dans le sens où elles conduisent toujours vers l'accomplissement du plan parfait de Dieu dont les desseins ne peuvent être jamais contrecarrés. C'est pourquoi, même lorsque les voies de Dieu te semblent incompréhensibles, persévères-y tout en gardant confiance en Sa sagesse et en Son plan.
Prions le Seigneur
"Quand je ne vois pas le chemin,
je compte sur toi.
Je crois en ta parole, je compte sur toi.
Même si je m'enfonce, coule sous les vagues,
Je compte sur toi.
Je sais que tu me guideras vers la terre ferme" (Je compte sur toi, John de Jong).
Amen !!!
Merci d'être fidèle !
Kwami Pétro
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Les dérèglements climatiques rendent la vie de tous les jours de plus en plus difficile. Il est crucial que les négociateur·rices pour la formation du gouvernement fédéral aient cela en tête au terme de leur pause familiale, avant d’entrer dans le vif des négociations. Dans une Lettre Ouverte, des scientifiques et des mouvements de citoyen·nes (soit 320 signataires) leur demandent d’inclure une politique climatique ambitieuse au cœur de la déclaration de politique fédérale.
2024 restera probablement dans les livres d’histoire comme une année des records de chaleur. Le réchauffement de la planète s’est accéléré, entraînant une série choquante de phénomènes météorologiques extrêmes : sécheresses, vagues de chaleur, inondations, tempêtes intenses et incendies de forêt. Le chaos, les souffrances humaines et les pertes économiques causés par ces phénomènes sont incalculables.
Notre pays n’a pas été épargné. « Les pires de l’histoire » : c’est ainsi que les habitant·es de la commune limbourgeoise des Fourons décrivent les inondations qui les ont frappés récemment. L’eau est montée jusqu’hauteur de poitrine. Les habitant·es ont dû fuir leur maison. Les souvenirs, traumatisants, des inondations en Wallonie, en 2021 ont été ravivés. Il y a à peine un mois, nous avons commémoré les premiers « morts climatiques » belges.
Sur le plan économique également, le bilan de 2024 est lourd : il suffit de penser aux mauvaises récoltes et aux cultures pourries que nos agriculteurs et agricultrices ont dû endurer en raison des précipitations sans précédent. Mais ce n’est qu’un signe avant-coureur de ce qui nous attend à mesure que les dérèglements se poursuivent. Les données scientifiques sont claires et précises : chaque fraction de degré de réchauffement supplémentaire a des conséquences dévastatrices pour nos écosystèmes, la santé publique et les économies du monde entier. On estime que la crise climatique pourrait coûter plus de 9,5 milliards d’euros par an à la Belgique en raison d’événements météorologiques extrêmes.
Le climat doit donc être une priorité absolue pour les négociateur·rices politiques. Des ambitions claires et des mesures sociales concrètes en matière de climat sont essentielles pour relever les défis. Mais les documents de négociation qui ont fait l’objet de fuites ne laissent entrevoir que des révisions, des reculs et des remises en question des engagements existants sur le climat.
Nous profitons de la fin de la « semaine de pause » dans les négociations pour rappeler aux formateur·rices fédéraux la situation exceptionnelle et inquiétante dans laquelle nous nous trouvons. Pour stopper le réchauffement, les émissions de gaz à effet de serre doivent être drastiquement réduites avant 2030. La Belgique doit y contribuer. Non seulement en réduisant ses propres émissions, mais aussi en s’engageant dans une coopération internationale et européenne forte.
Pour les pays qui ont le moins contribué à la crise climatique, les conditions météorologiques extrêmes sont une réalité quotidienne depuis de nombreuses années. Les typhons, les sécheresses et les ouragans augmentent et exacerbent les inégalités. La crise climatique ne s’arrête pas à la frontière belge. La solidarité et la coopération internationales sont essentielles pour faire face à cette crise climatique. Jusqu’à présent, la Belgique n’a pas pris au sérieux cet appel urgent. Les plans actuels de réduction de nos émissions ne sont pas conformes aux accords européens. Ils ne sont pas non plus conformes à l'arrêt climat, qui a jugé que la politique climatique de la Belgique violait les droits de l'homme de ses citoyen.ne.s et imposait une réduction des gaz à effet de serre d'au moins 55 % d'ici à 2030. C'est le strict minimum que notre pays doit faire pour éviter un réchauffement dangereux de plus de 1,5 °C.
Cette négligence est écologiquement, économiquement et socialement irresponsable. Les solutions et les technologies nécessaires à une politique climatique forte sont disponibles. Une politique qui associe le climat et la justice sociale peut permettre de réduire les coûts énergétiques, d’améliorer considérablement la santé grâce à un air plus pur, de créer des emplois dans les technologies propres et de restaurer une nature vivante et résiliente. En outre, le soutien est là : depuis des années, une majorité de Belges se prononce en faveur d’une politique climatique vigoureuse. Des sondages tels que l’Eurobaromètre (2024) le montrent. 82 % des Belges se disent directement concernés par les problèmes environnementaux, 91 % pensent qu’une législation européenne est nécessaire pour limiter les conséquences du changement climatique et protéger l’environnement, et 82 % estiment que nous devrions aider les pays non européens dans leur politique climatique.
Il n’y a donc aucune raison de ne pas placer la transition climatique en tête de l’agenda. Faire preuve de courage politique aujourd’hui signifie un monde plus sûr et plus prospère pour toutes et tous demain. Nous appelons les négociateur·rices fédéraux à faire preuve de la détermination et de l’ambition nécessaires pour faire face à cette crise. Pour garantir à nouveau une société vivable et saine, aujourd’hui et dans l’avenir de nos enfants et petits-enfants. Il n’y a pas de meilleur moment que celui de la formation du gouvernement.
Signataires Els Hertogen, directrice générale 11.11.11 Benjamin Clarysse, coordinateur politique Bond Beter Leefmilieu Sylvie Meekers, directrice générale Canopea Selena Carbonero, Secrétaire fédérale FGTB Anka Stenten, COO WWF Belgique Valerie Trouet, directrice scientifique Belgian Climate Centre Benjamin Van Bunderen Robberechts, Climate Justice for Rosa sable Inge Jonckheere, Head Green Solutions Division European Space Agency David Van Reybrouck, Écrivain Zanna Vanrenterghem, vice-présidente Coalition climat Paul Blume, Observatoire de l’anthropocène Sarah Tak, Directrice Klimaatzaak - l'Affaire Climat asbl Philippe Sonnet, Grands parents pour le climat Wim Thiery, Professeur climatologie VUB [...] Sources : Bond Beter Leef Milieu Canopea Le Soir
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Bossa nova, une passion française
Henri Salvador, Claude Nougaro, Georges Moustaki, Bernard Lavilliers et tant d'autres : depuis quarante ans, grâce au pionnier Pierre Barouh, quantités de musiciens français s'abreuvent au miel brésilien.
Par Bruno Lesprit Publié le 09 juillet 2005 à 14h26, modifié le 09 juillet 2005 à 14h34
L'auriverde, - le jaune et le vert - est à la mode en France. Avec le mannequin Gisele Bundchen en ambassadrice de charme, les grands magasins montent des opérations spéciales avec offres exceptionnelles sur les maillots, de bain ou de football. Le Brésil évoquera toujours les plages de Copacabana et le stade de Maracana, le carnaval de Rio et ses métisses en plumes, se déhanchant sur des tambours de samba. En matière d'exotisme de pacotille, la France a aggravé son cas. C'est ici que fut inventée la lambada, artefact d'un air bolivien travesti en danse brésilienne par TF1 et une marque de boisson gazeuse. Ici aussi qu'une chanson mineure de Chico Buarque (Essa Moça tâ Diferente ) devient un tube tardif grâce à une publicité sexy.
Pour autant, la France aime durablement la musique populaire brésilienne. "De tous les pays d'Europe jusqu'où la vague bossa-nova a pu rouler, il semble que ce soient la France et l'Italie qui lui aient réservé le meilleur accueil" , note dans Brasil Bossa Nova (Edisud, 1988) l'écrivain journaliste Jean-Paul Delfino, auteur du roman Corcovado (Métailié, 408 p., 20 €). Surprenante pour une nation non lusophone, cette passion a été entretenue par les quêtes individuelles de passeurs obstinés. Le premier d'entre eux se nomme Pierre Barouh, fondateur de la maison de disques et de la librairie Saravah. De son troisième voyage au Brésil, en 1969, il a rapporté un document précieux, Saravah , qui vient d'être édité en DVD (Frémeaux). En trois jours de tournage, il a pu filmer le vétéran - et monument - Pixinguinha, les jeunes Baden Powell, Maria Bethania et Paulinho da Viola à l'aube de la gloire.
Barouh quitte en 1959 son quartier général de Saint-Germain-des-Prés et file en stop au Portugal. A Lisbonne, il rencontre Sivuca, un musicien nordestin qui l'initie, et achète dans la foulée le disque Chega de Saudade , nouveauté d'un chanteur-guitariste nommé Joao Gilberto. "J'ai usé les sillons jour et nuit sur mon Teppaz, se souvient Barouh. Je n'avais jamais imaginé des enchaînements harmoniques pareils. Mon colocataire dans le quartier du Barrio Alto était un guitariste belge de jazz, qui avait joué avec Stan Getz. En entendant Desafinado , il a fait cette remarque prémonitoire : "Si Getz s'en empare, c'est un carton planétaire"." En 1964, le fameux disque Getz-Gilberto lancera la vogue internationale de la bossa-nova.
Barouh embarque sur un cargo en route pour le Brésil, décidé à rencontrer le trio infernal à l'origine de Chega de Saudade: outre Joao Gilberto, le compositeur Tom Jobim et le poète diplomate Vinicius de Moraes. Trois jours d'escale à Rio n'y suffiront pas. Revenu à Paris, Barouh devient VRP de la bossa naissante, fait écouter son sésame à tous ceux qu'ils croisent Michel Legrand et Georges Moustaki seront les premiers conquis. Un soir, dans un bistrot de Paris, il chantonne à un ami un air de la diva carioca Dolorès Duran. "A la table d'à côté, une femme dresse l'oreille : "Comment pouvez-vous connaître ça ?" Elle m'invite le lendemain à une petite fête chez elle, rue Suger. J'y trouve Vinicius et Baden Powell. J'avais fait 9 000 kilomètres pour rien !"
Barouh se lie d'amitié avec les deux Brésiliens et travaille derechef à des adaptations de leurs chansons. La plus célèbre, Samba Sarava (d'après Samba da Bençao ), fut enregistrée à Rio chez le guitariste Baden Powell, génie de l'afro-samba. A 8 heures du matin, peu avant le départ de Barouh. A Orly, il est accueilli par Claude Lelouch. Le cinéaste écoute Samba Sarava et décide de l'intégrer derechef dans Un homme et une femme (1966) qui triomphe au Festival de Cannes.
EN 1959, une autre Palme d'or française avait déjà révélé la beauté de la bossa. Réalisé à partir d'une pièce de Vinicius de Moraes transposant le mythe d'Orphée et Eurydice dans les favelas, Orfeu Negro de Marcel Camus, permit de diffuser les chansons de Luiz Bonfa et de Tom Jobim. Décrié aujourd'hui pour son angélisme, le film a eu le mérite de sensibiliser le public à la saudade - mélancolie rêveuse -, quand l'exotisme "festif" était de mise. Genre Si tu vas à Rio de Dario Moreno.
Le malentendu sur l'identité brésilienne est ancien, puisqu'on en trouve trace dès La Vie parisienne d'Offenbach (1866) avec l'air Je suis Brésilien, j'ai de l'or. Au début du XXe siècle, l'intérêt vaut surtout pour la danse. Une mode fait fureur à Montmartre et à Montparnasse, le maxixe ou "tango brésilien." La vedette en est le Duque, un ancien dentiste qui ouvre un cours et une boîte. Le succès est tel qu'il entre en concurrence avec le tango argentin.
En 1922, le Duque fait venir les Batudas, l'orchestre de Pixinguinha. Programmés pour une semaine au cabaret Le Schéhérazade, les musiciens y resteront six mois. Capitale européenne du jazz, Paris s'amourache de cette confrérie joyeuse et explosive qui rivalise avec les big bands américains.
L'attrait de la samba touche même la musique savante. Secrétaire de Paul Claudel lors d'une mission consulaire au Brésil, le compositeur Darius Milhaud en rapporte Le Boeuf sur le toit , ballet pour orchestre créé en 1919 avec Jean Cocteau. L'oeuvre prête encore aujourd'hui à polémique : n'est-elle pas un pur plagiat (le premier d'une longue série), sous forme de collage, des airs d'une dizaine de musiciens brésiliens notamment le sambiste Donga ?
La seconde guerre mondiale resserre les liens entre musiciens des deux pays. Neutre, le Brésil accueille les tournées de Jean Sablon (qui interprétera plus tard Aquarela do Brasil et des compositions de Dorival Caymmi) et de Ray Ventura et ses Collégiens. Dans cet orchestre, il y a alors un guitariste nommé Henri Salvador, qui résidera à Rio de Janeiro jusqu'en 1944. Le Guyanais se souvient du premier concert au Copacabana Palace : "Il y avait 40 musiciens tropicaux sur scène et nous offrions 40 minutes de jazz. Le premier soir s'est mal passé, le public avait un masque de mort . Ventura m'a dit : "Sauve-nous !" J'ai fait une imitation de Popeye et le lendemain, j'étais en première page du journal. Ils ont pensé que j'étais brésilien à cause de la couleur de peau !"
En 1941, Ventura gagne Hollywood. Salvador reste à Rio, apprend le brésilien en quinze jours, joue au casino d'Urca. Le patriarche qui participera le 13 juillet, place de la Bastille à Paris, à un grand concert brésilien, a-t-il, comme il le laisse entendre, "inventé" la bossa-nova avec sa chanson Dans mon île (1957) ? Tom Jobim aurait eu l'idée de ralentir le tempo de la samba après avoir vu le film italien pour lequel fut composé ce boléro.
L'acte fondateur de la bossa reste cependant Chega de Saudade et son laboratoire, l'appartement des parents de la chanteuse Nara Leao. Tous sont là. Dans la baignoire, Vinicius écrit ses poèmes, la Remington posée sur une planchette, whisky et cigarettes en vue.
Le Brésil vit sur un nuage. La démocratie a deux ans, la Seleçao triomphe en Suède avec Pelé, une capitale futuriste se construit à Brasilia. La bossa offre "l'amour, le sourire et la fleur" et à l'étranger des sensations autres que rythmiques et sudatoires.
Fils de libraire, Georges Moustaki avait d'abord rêvé du Brésil en lisant Marmorto du romancier Jorge Amado. Le chanteur, qui prit "deux cours de bossa, l'un avec Jobim, l'autre avec Toquinho" , évoque les difficultés qu'il rencontra : "Cette complexité rythmique extraordinaire avec des morceaux à huit, à onze temps, ces harmonies très élaborées qui sont pour eux celles de débutants, alors qu'ils ne savent pas jouer un la mineur ! Et pour un pianiste médiocre comme moi, c'est injouable, c'est du Chopin avec la pulsation ! C'étaient des érudits qui faisaient de la musique populaire, du jazz mêlé au fado et aux rythmes noirs."
Moustaki signera, en présence des auteurs, les plus fidèles traductions des oeuvres de Vinicius et Jobim (notamment Aguas de Beber/Les Eaux de mars ). La passion du Brésil ne l'a jamais quitté. Il vient d'enregistrer un album à Rio avec un pianiste historique de la bossa, Francis Hime. Pourtant, en dehors de Barouh et de lui, "la bossa-nova n'est pas comprise dans un premier temps", rappelle Dominique Dreyfus, commissaire de l'exposition Musique populaire brésilienne. "Le parolier Eddy Marnay avait craqué et adapté tous les tubes. Pas un seul éditeur n'en voulait."
Après, ce sera la déferlante. Dans les années 1960 et 1970, tout le monde s'y met : Marcel Zanini et Brigitte Bardot, qui se disputent Tu veux ou tu veux pas (Nao vem que nao tem , de Carlos Imperial), Bourvil, Jeanne Moreau, Nana Mouskouri, Joe Dassin, Isabelle Aubret, Françoise Hardy, Carlos... Sorte de nouveau Jeux interdits pour les apprentis guitaristes, La Fille d'Ipanema est déclinée dans toutes les langues, chez nous par Jacqueline François avant d'être martyrisée bien plus tard par Lio. Il y aura beaucoup d'outrages et quelques francs succès, pour Michel Fugain (Fais comme l'oiseau /Voce Abusou , d'Antonio Carlos et Jocafi) ou Pierre Vassiliu (Qui c'est celui-là ?/Partido Alto de Chico Buarque).
Tous n'ont pas les scrupules de Moustaki et de Barouh. Les contresens et les clichés sont presque systématiques. Interprété par Nicoletta, Fio Maravilla devient un vibrant hommage à un chanteur des favelas. L'original de Jorge Ben décrivait un but exceptionnel sur un terrain de foot...
Heureusement, il y a Claude Nougaro. "La musique brésilienne ? Au début, je n'en connaissais que le folklore que l'on jouait dans nos campagnes. Après les vendanges, les vignerons poussaient une jambe en haut et une jambe en bas sur un air de samba à la Luis Mariano" , s'amusait-il. Sa pulsation se maria à merveille avec les mots et le phrasé de l'Occitan dans Tu verras (Que Sera , de Chico Buarque). Par l'entremise de Barouh, Nougaro rencontre Baden Powell en 1964. Il transforme Berimbau en Bidonville pour évoquer une misère universelle. 1968. Pendant que Paris rêve de révolution et imagine une plage sous ses pavés, il est inconvenant de céder à l'hédonisme tropical. Les Brésiliens subissent le durcissement d'une dictature instaurée en 1964. "Au lieu de boycotter ce pays devenu fasciste, les producteurs français en profitent, écrit Jean-Paul Delfino dans Brasil a Musica (éd. Parenthèses, 1998). Dans les salles de concerts brésiliennes, des agents dits artistiques exportent des chanteurs qui, même dans l'Hexagone, ne font plus recette (...) : Demis Roussos, Mike Brant, Hervé Vilard (...)."
Sur les murs des villes, une affiche apparaît : "Aime le Brésil ou quitte-le !" , rapidement complétée par "Et le dernier éteint la lumière !" , détournement dû au journal contestataire O Jaguar . La bossa ne survit pas au régime des généraux. Déchus parfois de leur nationalité, les chanteurs s'exilent. A Paris, on trouve Baden Powell, Vinicius de Moraes, Toquinho et Nara Leao. A Londres, Caetano Veloso et Gilberto Gil, symboles d'un nouveau courant plus radical, le tropicalisme, qui mêle la samba au rock et au funk.
La diaspora parisienne se réconforte dans une boîte comme Le Discophage, rue des Ecoles. "Il y avait un spectacle de cabaret avec guitare, percussion et voix, se souvient Bernard Lavilliers. Je faisais la partie française. Il y eut un événement avec l'apparition des Etoiles, les premières drag-queens."
Lavilliers se retrouve dans la parole protestataire et les provocations tropicalistes. Un premier voyage, en 1965, a mené le Stéphanois dans le Nordeste. Il y découvre "Luis Gonzaga et les cangaceiros, les chants de Recife et le forro de Pernambouc, ces chansons de foire qui sont aussi des danses populaires. Un petit accordéon, un triangle, une flûte, une guitare, parfois un violon" . Loin des plages, il raconte "l'intérieur des terres, le désert et la rocaille, la chaleur terrible , les ruraux illettrés qui survivent loin de la civilisation" dans Sertao (1979), p remier forro en langue française.
Avec Véronique Sanson, Etienne Daho, Patrick Bruel et, récemment, le groupe Nouvelle Vague, le Brésil n'a cessé d'irriguer la chanson française. Sans réciprocité. Les anciennes générations parlaient le français, l'anglais l'a détrôné. "La relation est à sens unique, l'ignorance du public brésilien est affligeante, estime Dominique Dreyfus. Au mieux, il connaît Bécaud, Aznavour, Piaf dont La Foule a été un tube . Les Brésiliens sont autosuffisants musicalement, la brèche est occupée par les Anglo-Saxons. Nous ne sommes pas un peuple très musicien mais un peuple de passeurs : pour la bossa, mais aussi le jazz, le zouk, le raï, la salsa, le reggae."
Paris, 17 septembre 1974. Claude Nougaro avec le guitariste Baden Powell ( à droite) à l'Olympia.
Bruno Lesprit
#Le Monde#Bossa Nova#Bruno Lesprit#Chico Buarque#Pixinguinha#Baden Powell#Maria Bethania#Paulinho da Viola#Sivuca#Joao Gilberto#Stan Getz#Antonio Carlos Jobim#Tom Jobim#Vinicius de Moraes#Michel Legrand#Dolores Duran#Darius Milhaud#Luiz Bonfa#Marcel Camus#Jean Cocteau#Jean Sablon#Dorival Caymmi#Ray Ventura#Henri Salvador#Nara Leão#Pelé#Jorge Amado#Dominique Dreyfus#Marcel Zanini#Brigitte Bardot
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Covid en Belgique et journalistes propagandistes de la peur...
Ça faisait un moment que je n'avais pas pris de nouvelles du réalisateur de "Malaria Business" et de "Ceci n'est pas un complot"...
Du coup, je jette un œil sur Facebook et je tombe sur ça :
Un post repartagé de Christophe de Brouwer.
Ça date d'aujourd'hui, 22 juillet 2024.
Je vous laisse lire l'intégralité du message et je me concentre sur l'intro :
Sur le front du covid et autres en Belgique. Certains de nos journaleux-propagandistes de la peur parlent d'une nouvelle vague ... À part les jolies vagues de la mer, profitez, profitez, le reste ne sont que des vaguelettes, et encore, pour faire vendre du canard plus que faisandé, pourri.
Oulala. "Journaleux-propagandistes de la peur".
C'est terrible ça. Encore une fois les médias qui nous manipulent à coups de publications anxiogènes.
Heureusement que Christophe de Brouwer, professeur honoraire à l'Université Libre de Bruxelle, est là pour dénoncer ces manigances (et que Bernard Crutzen, connu pour ses enquêtes journalistiques de haute volée est là pour donner de la visibilité au message d'origine).
Du coup, j'ai fouillé dans les médias belges pour chercher ce que ces journalistes propagandistes de la peur racontaient pour effrayer le public.
Attention, âmes sensibles s'abstenir.
Vous êtes prévenues les âmes sensibles.
C'est bon ?
Les enfants sont couchés ?
Je peux y aller avec la propagande de la peur ?
Voici donc ce que j'ai trouvé de plus récent sur le sujet, en date du 17 juillet 2024, sur le site de la RTBF :
Coronavirus en Belgique : la circulation est en train de diminuer, selon les derniers chiffres, rassurants, publiés par Sciensano
Prenez le soin de lire l'article dans sa globalité, hein.
J'ai rien trouvé de plus récent. 17 juillet. Et le post Facebook sur les propagandistes de la peur est daté du 22 juillet.
Et sinon ?
Ben on trouve des articles un peu plus anciens qui relatent une hausse des cas de Covid (précision : oui, les cas de Covid étaient à la hausse en Belgique en juin et en début juillet, comme dans d'autres coins en Europe). J'ai pas trouvé sur les site de la RTBF cependant. Alors j'ai regardé sur d'autres gros médias belges.
Alors je trouve des trucs du genre :
Un article de L'Avenir du 19 juin, dans lequel on cite un virologue qui explique :
"Il (le nouveau variant) échappe donc un peu mieux à notre immunité, et c'est probablement à cause de cela que nous connaissons une évolution à la hausse même s'il n'est pas considéré comme une urgence et qu'il n'est pas forcément plus agressif que ses prédécesseurs" (...)
"On peut s'attendre à ce qu'il y ait une vague continue mais modérée durant la période estivale. Ce qui montre que ce virus déjoue les pronostics et ne peut pas être considéré comme endémique ou plus stable comme la grippe, il évolue en effet toujours un peu plus rapidement et se déclare souvent en dehors de l'hiver"
Et on conclut en évoquant une campagne de vaccination pour l'automne qui "concerne principalement les plus de 65 ans, les malades chroniques et les personnes immunodéprimées".
Le 3 juillet, Sud Info titre : "Le nombre d’infections au coronavirus en forte hausse en Belgique : « Il est encore plus facile pour le virus d’échapper à notre immunité »"
On cite le même virologue :
Le scientifique ne se montre toutefois pas excessivement inquiet. Le temps estival devrait normalement permettre de dissiper cette vague d’infections et d’éviter aux hôpitaux d’être submergés. La prudence reste malgré tout de mise. « Toute personne malade doit ainsi rester à la maison ou porter un masque », rappelle ainsi Steven Van Gucht.
Et on trouve d'autres articles du genre, dans les premiers jours de juillet, qui tous se réfèrent à ce même virologue, avec toujours la même conclusion : les chiffres devraient redescendre avec l'arrivée du beau temps.
Ou ça :
Je cite :
Mais en attendant la prochaine phase et face à cette nouvelle recrudescence, devons-nous remettre en place les gestes barrières tels que le port du masque ? "Non, les gens n'ont pas à s'inquiéter, sauf si vous avez une santé fragile ou êtes très sensible aux infections. Si vous êtes malade, il vaut mieux rester à la maison ou porter un masque, et bien sûr, nous encourageons à penser à une bonne ventilation des espaces intérieurs", explique Steven Van Gucht. Son optimisme est également dû au nombre d'hospitalisation qui reste faible malgré l'augmentation des cas. "Les hôpitaux notent une légère augmentation et il y a encore des gens qui doivent être admis, mais ces chiffres restent globalement raisonnables."
Et là, cet article du Soir, je peux pas le lire, il est réservé aux abonnés : "Les chiffres du Covid-19 repartent à la hausse"...
...Mais le chapeau semble assez clair : "12 % de cas en plus mais pas encore de quoi s’alarmer. Évitons cependant de prendre des risques inutiles."
Et on peut consulter le premier paragraphe :
L’Institut de santé publique Sciensano, chargé de la surveillance des virus, confirmait il y a quelques jours l’augmentation du taux de positivité du Covid-19 en Belgique. Le variant circulant actuellement est, depuis décembre dernier, le « JN1 ». Les résultats pour le nouveau variant – celui en provenance des États-Unis, qui est plus facilement transmissible mais moins grave – sont quant à eux toujours en cours d’analyse. « Certes, nous assistons à une augmentation de 12 % du nombre de cas de “JN1” en Belgique (15 % dans le monde), mais il convient de la relativiser », nous explique le Dr Yves Van Laethem, infectiologue, président du Conseil de la Santé. « Il s’agit d’une hausse de 12 % par rapport à… peu de cas.
Je vous avais prévenu : propagande de la peur, âmes sensibles s'abstenir.
Et sur le site de la RTBF, je vous l'ai dit, je n'ai rien trouvé ces dernières semaines sur cette hausse des cas de Covid en Belgique, à part l'article cité plus haut, "Coronavirus en Belgique : la circulation est en train de diminuer, selon les derniers chiffres, rassurants, publiés par Sciensano"...
Article que la RTBF a d'ailleurs repris dans sa rubrique "Le top des bonnes nouvelles de la semaine, du 15 au 21 juillet : 5 infos qui font du bien" !
Je vous laisse fouiller dans leur site, mais franchement, je pense qu'il n'y a rien d'autre :
Donc voilà pour ces journalistes belges, propagandistes de la peur dénoncés par M le Professeur Honoraire Christophe de Brouwer.
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas ce monsieur, jetez donc un œil à cet article, ça vous donnera une idée de ses méthodes : "Les chiffres de l'Institut de santé publique belge ne démontrent pas une "efficacité négative" des vaccins contre le Covid-19"
Et puis sinon, le profil Facebook vous donnera déjà une bonne idée du personnage (en guise de références : Kairos Presse, Réseau Internationnal, etc.)
Revenons donc à nos à nos "nos journaleux-propagandistes de la peur."
Le mécanisme ici est un grand classique. Balancer des affirmations sur ce que les médias ont dit... En visant un public qui de toutes manières ne s'intéresse pas à ces fameux médias. On peut donc jouer à "les médias disent ceci" à volonté.
Le public cible n'ira pas vérifier.
Remarquons qu'il y a un autre grand classique dans le genre, encore plus fréquent peut-être. c'est de jouer à "ça les médias n'en parlent pas" pour un sujet qui a pourtant bel et bien été traité dans divers grands médias.
Je vais conclure avec un paradoxe.
La rhétorique de la "manipulation par la peur", qui connaît diverses formulations ("communication anxiogène", etc.)
Vous l'aurez souvent vu passer depuis le début de la pandémie.
On vous manipule. On vous ment. On cherche à vous faire peur.
Mais si vous y réfléchissez, ce "on", regroupe pas mal de monde. Les gouvernements, les médias, les toubibs, les chercheurs, etc.
Tout ce beau monde conspirant contre vous, pour vous imposer des mesures liberticides sans aucune utilité, pour vous priver de traitements efficaces, pour vous injecter une thérapie génique expérimentale sous prétexte de vaccination, etc.
Et ça, si vous y croyez, ça vous fout pas la trouille ?
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Un Belge disparaît dans les vagues à Phuket : le corps sans vie d’Allan Luvovadio, 28 ans, a été retrouvé échoué à Freedom Beach
https://www.sudinfo.be/id851408/article/2024-06-24/un-belge-disparait-dans-les-vagues-phuket-le-corps-sans-vie-dallan-luvovadio-28
Source: sudinfo
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Love Lies Bleeding au BIFFF.
parlons de quelque chose qui me révolte.
le BIFFF (Brussels International Fantastic Film Festival) est un festival belge qui a lieu ce mois-ci. Pendant la projection du film “Love Lies Bleeding”, des propos ʟᴇꜱʙᴏᴘʜᴏʙᴇꜱ et ʜᴏᴍᴏᴘʜᴏʙᴇꜱ ont été scandés dans la salle. Des hommes cis qui sont peut-être venus dans cette salle en espérant voir un ᴘᴏʀɴᴏ lesbien ont décidé de se comporter de manière déplorable avant, pendant et après la projection, laissant de nombreuses personnes (surtout des lesbiennes) partir au milieu de la séance. Le BIFFF a publié un communiqué vague et très neutre, affirmant ne pas vouloir prendre parti. Ils ont qualifié ʟ'ʜᴏᴍᴏᴘʜᴏʙɪᴇ subie par de jeunes lesbiennes de “plaisanterie”. avec ce communiqué, le BIFFF exprime qu'il ne souhaite pas contrarier qui que ce soit, mais je peux vous dire que la communauté queer est indignée.
pourquoi le film “Loves Lies Bleeding” de Rose Glass est-il attendu par la communauté lesbienne.
le film de Rose Glass n'est pas diffusé dans de nombreux pays en raison de la stratégie de survente d'A24, ce qui décourage les productions locales de l'acheter et de le diffuser. ce jour-là, le BIFFF (Brussels International Fantastic Film Festival) a offert aux lesbiennes et aux non-lesbiennes une opportunité de voir un bon film avec une représentation authentique. c'était un moyen pour la communauté de se sentir vue et représentée.
le bifff aurait dû prendre une position claire contre toute forme de discrimination et condamner fermement les comportements offensants dans leur communiqué. en minimisant les actes ᴅ'ʜᴏᴍᴏᴘʜᴏʙɪᴇ comme de simples “plaisanteries”, le festival montre un manque de soutien envers les personnes concernées et envers la lutte pour l'égalité et le respect.
il est important que les festivals et les événements culturels prennent leurs responsabilités en promouvant des environnements inclusifs et sécuritaires pour tous les participants. la communauté queer a le droit de se sentir respectée et représentée dans ces espaces, et il est impératif que les organisateurs prennent des mesures concrètes pour garantir cela à l'avenir.
Parig
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Mbakhana, un village de la commune de Gandon (région de Saint-Louis), a accueilli, dans les années 1880, la première usine à vapeur d’eau en Afrique noire afin d’approvisionner, en eau potable, Saint-Louis, pendant 67 ans. Aujourd’hui, il ne reste plus qu’un bâtiment en ruine qui menace de tomber. Le site, dans un état de délabrement assez avancé, est abandonné et exposé aux effets dévastateurs du temps. Mbakhana (Saint-Louis) A la découverte de la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire Ancien château du gouverneur du sénégal La « Folie » abandonnée du Baron Roger à Richard-Toll Nichée à côté des dunes de sable qui s’élèvent fièrement en plein cœur de la forêt de la paisible commune de Gandon, à 12 km de Saint-Louis, Mbakhana porte encore les vestiges de son passé. Le village, qui a abrité la première usine à vapeur d’eau en Afrique, a la forme d’une savane avec ses marigots, ses lacs, cette fraîcheur humide impuissante face aux vagues de chaleur. Il faut abandonner le véhicule et progresser encore sur la terre fine, aux allures de carrière, entre les pieds de manguiers et des palmiers, pour prendre la direction de l’usine. Au bout d’une piste mal dégagée, se dresse la demeure de Mamadou Keita dit Iba. Il se passionne à expliquer l’histoire de cette infrastructure qui permettait d’étancher la soif des habitants de l’ancienne capitale du Sénégal. Dans une grande concession, aux bâtiments dépourvus de peinture, le notable à la chevelure blanche, radio scotchée à l’oreille, accepte volontiers de trainer délicatement sa silhouette à l’aide d’un morceau de bois, pour braver la chaleur et nous conduire sur l’un des sites classés patrimoine historique par le Sénégal. Une bonté qui frise la naïveté Des Belges ont promis de réhabiliter le site de l’usine Natif de la commune, Iba Keita, qui accuse le poids des années, est d’une bonté qui frise la naïveté. Visage ridé, il est joyeux comme une drille lorsqu’il évoque le passé et le présent de l’usine. Dans cette partie du département de Saint-Louis, sur la route qui mène à Dagana et parsemé de cours d’eau, le souffle humide du vent se heurte à une température qui déshydrate le corps. Mbakhana, non loin du village de Ndiawdoune, contigu à Diama, est composé de quelques maisons en dur. Fermeture des deux joyaux, un coup dur →A lire aussi Les gorilles de montagne nourrissent le tourisme en Ouganda Il faut prendre la droite du rond-point de Diama, à côté des vastes champs de pommes de terre des Grands domaines du Sénégal (Gds) pour entrer dans ce village peuplé de Wolofs et de Peuls. Mbakhana ressemble à une immense carrière truffée d’arbres, l’élégance d’une vierge et la forme d’un site en pleine urbanisation. Château d’eau, poteaux électriques et paraboles décorent l’endroit qui a abrité la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire. Mais, comme pratiquement tous les édifices de l’époque coloniale, l’usine garde encore son imposante posture devant la forêt dense qui l’étouffe. Mbakhana (Saint-Louis) A la découverte de la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire →A lire aussi Signature d’une convention de partenariat pour la promotion du tourisme religieux Située à quelques mètres du fleuve, elle est devenue un bâtiment sombre et décati qui manque d’entretien. Par conséquent, des pans de murs lâchent et se détachent. La rouille a fini de ronger le fer du portail. Les rats s’y prélassent. Les animaux domestiques y errent, notamment les chèvres qui ont érigé ce monument en lieu de repos. « Il y avait des tuyaux qui aspiraient l’eau. On puisait dans le lac pour refouler l’eau traitée à Bango où, en période d’hivernage, l’eau était salée. Il y avait une usine à Bango qui recevait l’eau de Mbakhana et qui était immédiatement, après traitement, envoyée à Khor qui avait des châteaux d’eau. À partir de là, toute la région de Saint-Louis était desservie en eau potable », relate Iba Keita. 67 ans de mise en service Drame à la cité Nouvel Horizon Un enfant de 12 ans emporté par les inondations 1
Aujourd’hui, la ville de Saint-Louis s’approvisionne en eau potable à partir de la réserve d’eau douce de Bango, alimentée par des défluents du delta du fleuve Sénégal. Et, Mbakhana se morfond dans son passé piétiné. Sur une stèle fixée au mur de l’ancienne usine, le message suivant a été gravé : « Sept mois par an, lors de la décrue du fleuve Sénégal, l’île de Saint-Louis se retrouve entourée d’eau salée. Jusqu’au milieu du 19e siècle, l’eau douce destinée aux habitants était alors apportée par un bateau-citerne qui la prélevait assez loin en amont du fleuve. En 1859, Faidherbe fut le premier à entreprendre la réalisation d’un projet destiné à transformer le marigot de Kassak, au Nord-Est de Saint-Louis, en un réservoir naturel d’eau douce. Mbakhana Usine vapeur →A lire aussi Travel Awards 2018: L’Hôtellerie et le Tourisme célébrés au Sénégal sous le signe d’encouragement Après divers aléas, ce projet fut finalement mené à bien par le Gouverneur Brière de l’Isle. Une première usine fut construite à Mbakhana. Elle était équipée de deux machines à vapeur avec leurs chaudières et leurs pompes. L’eau du marigot était refoulée sur la ville par une conduite longue de 17 km, traversant le fleuve au moyen d’un siphon. Ainsi, les machines furent construites en 1882 et l’usine va entrer en activité en 1885 ». Mais, les usines de Mbakhana ne sont plus ces magnifiques monuments, entourés de somptueux jardins, à côté des masses d’eaux. Le temps a mis leur âme en errance pour enfouir leur superbe dans les méandres de la déchéance. Fenêtres défalquées, murs fissurés, tuyaux vétustes… Mbakhana (Saint-Louis) A la découverte de la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire Les deux poteaux en fer qui se chargeaient de propager la fumée sont toujours debout, mais portent les stigmates de la vieillesse. C’est un endroit qui menace de s’affaisser. « Vous voyez qu’on utilisait du bois pour faire fonctionner la machine à vapeur où on mettait l’eau du fleuve », explique Iba Keita, la mort dans l’âme en voyant le site dans cet état. « Tout le matériel venait de France, mais les montages ont été réalisés à Mbakhana. Comme les bateaux ne pouvaient pas accéder à notre village, depuis Saint-Louis, on les transportait à travers des pirogues pour les acheminer ici », précise le sexagénaire, nostalgique. →A lire aussi Développer le tourisme en Côte d'Ivoire [Business Africa] Laissé à l’abandon dans la brousse, depuis sa fermeture en 1952, après 67 ans de mise en service, l’usine de Mbakhana possède toujours sa désuète cheminée, haute de 18 mètres et les machines sont dans un état cahoteux car, martyrisées par l’usure. N’empêche, le village, comme Dékheulé avec le mausolée de Lat Dior ou encore la statue de Ndatté Yalla à Dagana, garde son histoire, ses petits secrets que l’histoire lui a réservés. En attendant peut-être une réhabilitation.
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Mbakhana, un village de la commune de Gandon (région de Saint-Louis), a accueilli, dans les années 1880, la première usine à vapeur d’eau en Afrique noire afin d’approvisionner, en eau potable, Saint-Louis, pendant 67 ans. Aujourd’hui, il ne reste plus qu’un bâtiment en ruine qui menace de tomber. Le site, dans un état de délabrement assez avancé, est abandonné et exposé aux effets dévastateurs du temps. Mbakhana (Saint-Louis) A la découverte de la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire Ancien château du gouverneur du sénégal La « Folie » abandonnée du Baron Roger à Richard-Toll Nichée à côté des dunes de sable qui s’élèvent fièrement en plein cœur de la forêt de la paisible commune de Gandon, à 12 km de Saint-Louis, Mbakhana porte encore les vestiges de son passé. Le village, qui a abrité la première usine à vapeur d’eau en Afrique, a la forme d’une savane avec ses marigots, ses lacs, cette fraîcheur humide impuissante face aux vagues de chaleur. Il faut abandonner le véhicule et progresser encore sur la terre fine, aux allures de carrière, entre les pieds de manguiers et des palmiers, pour prendre la direction de l’usine. Au bout d’une piste mal dégagée, se dresse la demeure de Mamadou Keita dit Iba. Il se passionne à expliquer l’histoire de cette infrastructure qui permettait d’étancher la soif des habitants de l’ancienne capitale du Sénégal. Dans une grande concession, aux bâtiments dépourvus de peinture, le notable à la chevelure blanche, radio scotchée à l’oreille, accepte volontiers de trainer délicatement sa silhouette à l’aide d’un morceau de bois, pour braver la chaleur et nous conduire sur l’un des sites classés patrimoine historique par le Sénégal. Une bonté qui frise la naïveté Des Belges ont promis de réhabiliter le site de l’usine Natif de la commune, Iba Keita, qui accuse le poids des années, est d’une bonté qui frise la naïveté. Visage ridé, il est joyeux comme une drille lorsqu’il évoque le passé et le présent de l’usine. Dans cette partie du département de Saint-Louis, sur la route qui mène à Dagana et parsemé de cours d’eau, le souffle humide du vent se heurte à une température qui déshydrate le corps. Mbakhana, non loin du village de Ndiawdoune, contigu à Diama, est composé de quelques maisons en dur. Fermeture des deux joyaux, un coup dur →A lire aussi Les gorilles de montagne nourrissent le tourisme en Ouganda Il faut prendre la droite du rond-point de Diama, à côté des vastes champs de pommes de terre des Grands domaines du Sénégal (Gds) pour entrer dans ce village peuplé de Wolofs et de Peuls. Mbakhana ressemble à une immense carrière truffée d’arbres, l’élégance d’une vierge et la forme d’un site en pleine urbanisation. Château d’eau, poteaux électriques et paraboles décorent l’endroit qui a abrité la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire. Mais, comme pratiquement tous les édifices de l’époque coloniale, l’usine garde encore son imposante posture devant la forêt dense qui l’étouffe. Mbakhana (Saint-Louis) A la découverte de la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire →A lire aussi Signature d’une convention de partenariat pour la promotion du tourisme religieux Située à quelques mètres du fleuve, elle est devenue un bâtiment sombre et décati qui manque d’entretien. Par conséquent, des pans de murs lâchent et se détachent. La rouille a fini de ronger le fer du portail. Les rats s’y prélassent. Les animaux domestiques y errent, notamment les chèvres qui ont érigé ce monument en lieu de repos. « Il y avait des tuyaux qui aspiraient l’eau. On puisait dans le lac pour refouler l’eau traitée à Bango où, en période d’hivernage, l’eau était salée. Il y avait une usine à Bango qui recevait l’eau de Mbakhana et qui était immédiatement, après traitement, envoyée à Khor qui avait des châteaux d’eau. À partir de là, toute la région de Saint-Louis était desservie en eau potable », relate Iba Keita. 67 ans de mise en service Drame à la cité Nouvel Horizon Un enfant de 12 ans emporté par les inondations 1
Aujourd’hui, la ville de Saint-Louis s’approvisionne en eau potable à partir de la réserve d’eau douce de Bango, alimentée par des défluents du delta du fleuve Sénégal. Et, Mbakhana se morfond dans son passé piétiné. Sur une stèle fixée au mur de l’ancienne usine, le message suivant a été gravé : « Sept mois par an, lors de la décrue du fleuve Sénégal, l’île de Saint-Louis se retrouve entourée d’eau salée. Jusqu’au milieu du 19e siècle, l’eau douce destinée aux habitants était alors apportée par un bateau-citerne qui la prélevait assez loin en amont du fleuve. En 1859, Faidherbe fut le premier à entreprendre la réalisation d’un projet destiné à transformer le marigot de Kassak, au Nord-Est de Saint-Louis, en un réservoir naturel d’eau douce. Mbakhana Usine vapeur →A lire aussi Travel Awards 2018: L’Hôtellerie et le Tourisme célébrés au Sénégal sous le signe d’encouragement Après divers aléas, ce projet fut finalement mené à bien par le Gouverneur Brière de l’Isle. Une première usine fut construite à Mbakhana. Elle était équipée de deux machines à vapeur avec leurs chaudières et leurs pompes. L’eau du marigot était refoulée sur la ville par une conduite longue de 17 km, traversant le fleuve au moyen d’un siphon. Ainsi, les machines furent construites en 1882 et l’usine va entrer en activité en 1885 ». Mais, les usines de Mbakhana ne sont plus ces magnifiques monuments, entourés de somptueux jardins, à côté des masses d’eaux. Le temps a mis leur âme en errance pour enfouir leur superbe dans les méandres de la déchéance. Fenêtres défalquées, murs fissurés, tuyaux vétustes… Mbakhana (Saint-Louis) A la découverte de la première usine à vapeur d’eau d’Afrique noire Les deux poteaux en fer qui se chargeaient de propager la fumée sont toujours debout, mais portent les stigmates de la vieillesse. C’est un endroit qui menace de s’affaisser. « Vous voyez qu’on utilisait du bois pour faire fonctionner la machine à vapeur où on mettait l’eau du fleuve », explique Iba Keita, la mort dans l’âme en voyant le site dans cet état. « Tout le matériel venait de France, mais les montages ont été réalisés à Mbakhana. Comme les bateaux ne pouvaient pas accéder à notre village, depuis Saint-Louis, on les transportait à travers des pirogues pour les acheminer ici », précise le sexagénaire, nostalgique. →A lire aussi Développer le tourisme en Côte d'Ivoire [Business Africa] Laissé à l’abandon dans la brousse, depuis sa fermeture en 1952, après 67 ans de mise en service, l’usine de Mbakhana possède toujours sa désuète cheminée, haute de 18 mètres et les machines sont dans un état cahoteux car, martyrisées par l’usure. N’empêche, le village, comme Dékheulé avec le mausolée de Lat Dior ou encore la statue de Ndatté Yalla à Dagana, garde son histoire, ses petits secrets que l’histoire lui a réservés. En attendant peut-être une réhabilitation.
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// CHRONIQUE ALBUM //
Black Box Revelation - Poetic Rivals
Le blues rock avait indéniablement le vent en poupe au début des années 2000, toute une audience un peu las de cette vague indie rock créative certes mais un peu teenage et manquant de crasse sous les doigts et de sang sur les cordes, retrouvant dans le blues rock un mélange du punk, du stoner et le côté sexy de la soul chanté par des barbus aux cheveux longs transpirants et cette mouvance était incarnée par deux groupes vitrines du genre ou devrais-je dire deux duo ; les Black keys de Dan Auerbach et Patrick Carney et les White Stripes de Jack et Meg White.
Nombreuses étaient les formations de l'époque à proner la même recette en moins marquant, la plupart nous venant du pays de l'oncle Sam mais un troisième duo celui-ci complètement européen et même très proche de nous avait particulièrement attiré notre attention, les belges de Black Box Revelation. On a encore en tête et dans les oreilles la déflagration que l'on s'etait prise avec "Silver Treats" sorti en 2010 servie par ces deux gus, j'ai nommé le chanteur et guitariste Jan Paternoster et son batteur Dries Van Dijck qui 5 ans après leur dernier long format "Tattooed smiles" sortent "Poetic Rivals" le 31 mars.
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On avait déja entraperçu la direction plus pop des belges dans leurs compo et leurs melodies et c'est d'autant plus marqué sur celui-ci ouvrant d'entrée avec la guitare calibrée et la batterie (trop) propre de "Wrecking Bed Posts" mais surtout sur des balades comme "Losing a Friend" ou "poetic rivals" justement ou carrement le très teenage "Coastline" qui laisseront un peu sur leur faim ceux comme nous qui ont encore en tête et au coeur ce blues rock fievreux et sale qui sentait bon la transpi et la bière au fond des salles de club bas de plafond mais BBR confirment qu'ils en ont encore sous le pied pour servir ce genre d'ambiance comme sur "heads or tails", "Silver Lining", le très frontal et simpliste "alcohol" ou le meilleur morceau de cet album "Mr Big Mouth" qui brille par sa basse lourde et le chant difficilement dissociable d'un certain Liam Gallagher, il se dit d'ailleurs que le morceau serait adressé à cette grande gueule de liam à qui Jan est souvent comparé.
Reste qu'en toute objectivité et si on fait abstraction de ce à quoi les deux belges nous avaient habitué à leurs débuts, "Poetic Rivals" est un bon album de rock où l'on retrouvera ce côté plaisir coupable, simple et régressif du genre mais dans lequel les afficionados de la première heure qui regrette déjà le tournant pop des Black Keys ne trouveront pas forcément leur bonheur.
Poppy
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Man Utd prépare un transfert de 20 millions de livres sterling pour un prodige belge de 18 ans qui laisse Toby Alderweireld stupéfait
MANCHESTER UNITED garde un œil sur la starlette belge Arthur Vermeeren, a-t-on affirmé. Le milieu de terrain de 18 ans a fait de sérieuses vagues au Royal Antwerp cette saison, à tel point qu’il a attiré l’attention de plusieurs clubs. 2 Manchester United garde un œil sur le milieu de terrain du Royal Antwerp Arthur Vermeeren1 crédit 2 Le joueur de 18 ans a impressionné les dépisteurs des Red…
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Ce pays d’Amérique Centrale est peuplé de plus de dix-sept-millions d’habitants. La capitale, du même nom que le pays, située sur un plateau de la cordillère à mille-cinq-cents mètres d’altitude, avec son agglomération, compte plus de quatre millions d’habitants.
Les Mayas étaient les habitants majoritaires dans ce pays, avant l’arrivée des conquistadors espagnols en 1520. Après trois siècles de domination espagnole, en 1821, le pays devint indépendant. Après l’indépendance, deux vagues de colons Belges et Allemands, s’installèrent dans le pays.
De nombreux conflits ont émaillé l’histoire de ce pays : conflits contre les indigènes, conflits entre factions fidèles au pouvoir espagnol et factions indépendantistes, guerres civiles pour l’accès au pouvoir, révolutions, dictatures militaires… faisant des centaines de milliers de victimes, surtout parmi la population d’origine indigène.
La corruption au sommet de l’État est presque une institution ! Quand certaines affaires éclatent, les responsables sont souvent impunis.
Le pays connaît un taux élevé de crimes classés sans suite. Il y a, en moyenne, seize assassinats par jour, faisant de ce pays l’un des plus violents d’Amérique latine. Il existe des liens entre le crime organisé et le secteur économique.
La détresse de certains est telle qu’ils sont prêts à migrer dans des conditions risquées comme le rapporte cet article.
Dans ce contexte, le catholicisme (religion des puissants), qui était la religion dominante jusque dans les années 1960, connaît un grand recul au profit des Églises évangéliques, qui, aujourd’hui, comptent plus de quarante pour cent de la population, surtout parmi les classes populaires. Chez les Mayas catholiques, diverses formes culturelles apparaissent, créant un syncrétisme religieux particulier.
L’Espagnol est la langue officielle du pays, mais il existe plus d’une vingtaine de langues locales.
« Seigneur, nous te prions pour ce pays qui est gangréné par la corruption, la violence, l’insécurité, afin qu’il sorte de ce cercle destructeur, et qu’un temps de paix, de droiture soit instauré.
Nous te prions pour que les chrétiens, nés de nouveau, influencent toute la société, et que ceux qui sont plongés dans un syncrétisme religieux en sortent, en entrant dans une relation vraie et vivante avec Jésus.
Merci Seigneur de bénir le Guatemala et tous les Guatémaltèques qui ont émigré en France, en Espagne, aux USA, et ailleurs dans le monde, au nom de Jésus, amen ! »
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Des températures dépassant les 50°: après un été marqué par des vagues de chaleur, faut-il s’inquiéter pour 2024?
Cet été 2023 a été marqué par les catastrophes naturelles. Les incendies, les inondations et les vagues de chaleur se sont multipliés. Pour évoquer ces dérèglements climatiques, Jean-Pascal van Ypersele était l’invité du RTL info Signatures ce mercredi 30 août. Le spécialiste belge du réchauffement climatique a répondu aux questions de Luc Gilson et Christophe Deborsu.
Au niveau mondial, le mois de juillet a été le plus chaud jamais enregistré, depuis que l’on mesure la température. En Belgique, ce fut supportable. Mais faut-il dès lors s’inquiéter pour l’année prochaine ? Il risque de faire assez chaud ?
"Pour notre pays, c’est vraiment trop tôt pour le dire mais, dans le monde, on risque d’avoir une année 2024 encore plus chaude en moyenne annuelle qu’en 2023", prévoit le climatologue.
Et pourquoi les températures vont-elles encore grimper ? "Parce l’événement El Niño, qui est ce réchauffement que l’on connait dans l’est du Pacifique, n’est qu’au début de son existence et cet événement El Niño, cette grande surface océanique particulièrement chaude, va influencer le climat encore plus en 2024 qu’en 2023", explique Jean-Pascal van Ypersele.
Alors que les vacances d’été se terminent, certains pensent déjà à l’année prochaine. Quels conseils pourrait-on leur donner ? Faut-il plutôt réserver dans un pays du nord ou rester en Belgique pour éviter de griller au soleil ?
"On peut effectivement se poser la question. Ceux qui sont allés en Norvège pensant échapper à la chaleur ont trouvé des inondations et ceux qui sont allés en Grèce ou dans le sud de l’Europe ont eu trop chaud", répond le professeur à l’UCLouvain.
Ce n’est donc pas qu’un problème de chaleur. Tous les phénomènes climatiques sont amplifiés. "Le système climatique est véritablement dopé par un supplément d’énergie qui est piégé par le fait que nous sommes en train d’installer une couverture de gaz à effet de serre de plus en plus épaisse autour de la Terre. En dessous de cette couverture, il fait de plus en plus chaud et cela donne plus d’énergie aux événements extrêmes, aussi bien les sécheresses que les pluies extrêmes ou les cyclones tropicaux", explique le climatologue.
Voir l'interview en intégralité sur RTL Info Signatures
Jean Jouzel : "En France, nous pourrions aller, en cas de canicule, à des températures supérieures à 50 degrés"
Inondations et coulées de boues, incendies ravageurs… Le réchauffement climatique devient-il palpable ? C'est du moins la conclusion de Jean Jouzel, invité de Pierre Weill. Le climatologue affirme que les conséquences du moindre degré supplémentaire sont déjà nettement visibles dans le monde. Sur France Inter, le 15 aout 2017, ré-écouter l'interview de Jean Jouzel, climatologue et vice-président du GIEC de 2002 à 2015.
"L'effondrement climatique a commencé", António Guterres, le chef de l'ONU Canicules, sécheresses, inondations ou incendies ont frappé l'Asie, l'Europe et l'Amérique du Nord sur cette période, dans des proportions dramatiques et souvent inédites, avec leur prix en vies humaines et en dégâts sur les économies et l'environnement. La Libre Belgique du 6 septembre 2023 Réchauffement climatique, silence ça brûle. "Décarboner nos économies", Jean-Pascal van Ypersele, climatologue, professeur à l'UCLouvain. L’écart entre les scientifiques et les décideurs s'agrandit.
Sur LN24, le 9 septembre 2023
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Elle surfait sur des vagues de sang qui émanait de la blessure de son cœur. Même en étant brisée, elle arrivait à y voir une aventure à explorer
Xaykers, l’astronaute oublié
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New Music Video From KVOP CBTT - La Vague Belge
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