#vêtements d'artistes
Explore tagged Tumblr posts
lamemoiretransparente · 10 months ago
Text
Tumblr media
Richard Tuttle, in collaboration with The Fabric Workshop and Museum, Philadelphia, Pants, 1979. Pigment on bleached cotton muslin. 72 x 26 inches. Limited edition. Photo credit: Will Brown.
7 notes · View notes
1340fatboy · 1 year ago
Text
Tumblr media
Camille Monfort, la légende du "Vampire de l'Amazonie" (1896).
En 1896, Belém s'enrichit en vendant le caoutchouc amazonien au monde entier, enrichissant du jour au lendemain les paysans qui construisent leurs riches demeures avec des matériaux venus d'Europe, tandis que leurs femmes et leurs filles envoient leurs vêtements se faire laver sur le vieux continent et importent de l'eau minérale de Londres pour leurs bains.
Le "Theatro da Paz" était le centre de la vie culturelle en Amazonie, avec des concerts d'artistes européens. Parmi eux, l'un d'entre eux attirait particulièrement l'attention du public, la belle chanteuse d'opéra française Camille Monfort (1869 - 1896), qui suscitait des désirs inavouables chez les riches seigneurs de la région, et une jalousie atroce chez ses épouses en raison de sa grande beauté.
Camille Monfort a également suscité l'indignation pour son comportement affranchi des conventions sociales de son époque. La légende raconte qu'on l'a vue, à moitié nue, danser dans les rues de Belém, alors qu'elle se rafraîchissait sous la pluie de l'après-midi, et la curiosité a également été attisée par ses promenades nocturnes solitaires, lorsqu'on l'a vue dans ses longues robes noires et fluides, sous la pleine lune, sur les rives du fleuve Guajará, vers l'Igarapé das Almas.
Bientôt, autour d'elle, des rumeurs se créent et des commentaires malveillants prennent vie. On disait qu'elle était l'amante de Francisco Bolonha (1872 - 1938), qui l'avait ramenée d'Europe, et qu'il la baignait avec de coûteux champagnes importés d'Europe, dans la baignoire de son manoir.
On disait aussi qu'elle avait été attaquée par le vampirisme à Londres, à cause de sa pâleur et de son apparence maladive, et qu'elle avait apporté ce grand mal à l'Amazonie, ayant une mystérieuse envie de boire du sang humain, au point d'hypnotiser les jeunes femmes avec sa voix lors de ses concerts, les faisant s'endormir dans sa loge, pour que la mystérieuse dame puisse leur atteindre le cou. Ce qui, curieusement, coïncidait avec des rapports d'évanouissements dans le théâtre pendant ses concerts, expliqués simplement comme un effet de la forte émotion que sa musique produisait dans les oreilles du public.
On disait aussi qu'elle avait le pouvoir de communiquer avec les morts et de matérialiser ses esprits dans des brumes éthérées denses de matériaux ectoplasmiques expulsés de son propre corps, lors de séances de médiumnité. Il s'agit sans aucun doute des premières manifestations en Amazonie de ce que l'on appellera plus tard le spiritisme, pratiqué dans des cultes mystérieux dans des palais de Belém, comme le Palacete Pinho.
À la fin de l'année 1896, une terrible épidémie de choléra ravagea la ville de Belém, faisant de Camille Monfort l'une de ses victimes, qui fut enterrée dans le cimetière de Soledade.
Aujourd'hui, sa tombe est toujours là, couverte de boue, de mousse et de feuilles sèches, sous un énorme manguier qui la fait plonger dans l'obscurité de son ombre, seulement éclairée par quelques rayons de soleil projetés à travers les feuilles vertes.
Il s'agit d'un mausolée néoclassique dont la porte est fermée par un vieux cadenas rouillé, d'où l'on peut voir un buste de femme en marbre blanc sur le large couvercle de la tombe abandonnée, et attachée au mur, une petite image encadrée d'une femme vêtue de noir.
Sur sa pierre tombale, on peut lire l'inscription :
« Ci-gît
Camille Marie Monfort (1869 - 1896)
La voix qui a charmé le monde ».
Mais certains affirment encore aujourd'hui que sa tombe est vide, que sa mort et son enterrement n'étaient rien d'autre qu'un acte visant à dissimuler son cas de vampirisme, et que Camille Monfort vit toujours en Europe, aujourd'hui à l'âge de 154 ans.
(L'image originale a été retouchée pour extraire les détails. Et non, ce n'est pas un téléphone portable qu'elle tient dans ses mains, mais un petit carnet).
22 notes · View notes
artisteenvogue · 10 months ago
Text
Tumblr media
Miu Miu avait pour but de mettre en lumière un vestiaire pour tous les âges, portés sur le podium par des femmes comme Gigi Hadid, 28 ans, Kristin Scott Thomas, 63 ans, la chanteuse et musicienne Ethel Cain, 25 ans, Qin Huilan, 70 ans, ou encore Ángela Molina, 68 ans (cette dernière apparaissait déjà dans le 24ème film de la série Women's Tales, en 2022). je n'ai pas eu le temps de faire ma lessive, car j'ai été si occupée et… préparez-vous : c'est le costume de Guslagie Malanda dans le film. Mais dans mon film, au lieu d'avoir une femme qui confronte une autre femme, c'est une femme qui confronte sa mémoire. Il y a un vrai pouvoir dans l'affirmation suivante : “Nos émotions sont réelles, c'est une chose à laquelle nous devons faire face”. To revisit this article, visit My Profile, then View saved storiesTo revisit this article, visit My Profile, then View saved storiesQui est Cécile B. Evans, l'artiste derrière le dernier défilé Miu Miu ? Et quand je regarde cette photo, je vois comment les vêtements ont pu me faire sentir le jour où cette photo a été prise. Elle me faisait beaucoup de retours tout au long du développement du film, à la manière dont un commissaire pourrait le faire. Pas depuis très longtemps, mais je savais que je voulais travailler l’idée d'une femme confrontée à sa mémoire qui lui échappe. Je crois que cela vient du fait que Mme. Prada dirige la Fondation Prada pour l’art contemporain, à Milan, depuis longtemps [la fondation voit le jour en 1995, ndlr]. Elle comprend les artistes, leurs idées et manières de travailler. Qu'est-ce qui vous vient en premier, dans la préparation d'un film : l'image, ou le texte ? Qu'est-ce qui vous vient en premier, dans la préparation d'un film : l'image, ou le texte ? On entend ma voix dans le film que j'ai réalisé pour Miu Miu, et j'incarne le temps dans Amos’ World. court-métrage d’1 minute 30, dans lequel on découvre l’actrice Guslagie Malanda (Saint Omer, La Bête), qui incarne la dernière traductrice sur Terre, aux prises avec sa propre mémoire, qui lui échappe. Evans reprend le flambeau, chargé·e par Miuccia Prada d’imaginer le décor du défilé de la collection automne-hiver 2024-2025 de la maison Miu Miu. Il y a une phrase dans le court-métrage, alors que le personnage incarné par Guslagie reçoit la mémoire d'une autre femme. C'était très facile pour moi d'accepter car je connais très bien l'artiste qui s'est occupée de la scénographie du précédent défilé. Dans mon précédent film, c'était : comment la réalité est-elle construite, et comment pouvons-nous nous libérer de cette construction, une fois qu'on la perçoit ? Jessica ScemamaPlus de culture sur Vogue.fr : À la Bourse de Commerce, Arca repousse les limites de la musique8 expositions à voir absolument en mars à Paris (et ailleurs en France)Le sacre de Mati Diop à la Berlinale 2024, symbole du rayonnement mondial d'un nouveau cinéma françaisPlus de culture sur Vogue.fr :Plus de Vogue France en vidéo :Plus de Vogue France en vidéo : En fait, je suis les collaborations de la maison Miu Miu avec le monde de l'art depuis un moment : je suis familière des travaux de Meriem Bennani ou même des films de Janicza Bravo, qui a participé aux Women's Tales, une série de courts-métrages initiée par la maison. Dans Saint Omer, son deuxième film en tant qu'actrice, on voit transparaître la question de lignée, et de la transmission d'une génération à une autre. Pour vous donner une idée, en tant qu'artiste je travaille ordinairement sur un projet pendant deux ans. C'est en lien avec une grande partie de mon travail d'artiste, qui traite la technologie et les données comme des éléments physiques. , installé·e à La Plaine Saint Denis, Cécile B. Evans réfléchit, depuis ses débuts, la matérialité des éléments qui nous entourent, et qui font partie de nous, de la technologie aux émotions qui nous parcourent. Une sorte de thriller contemporain, qui a servi de point de départ pour une collection qui mêlait les archétypes vestimentaires de tous les âges, de l'enfance à l'âge adulte.
2 notes · View notes
mardinoir · 2 years ago
Photo
Tumblr media
DROIT AU SÉCHAGE RIGHT TO DRY MOVEMENT ! 
B&W copies, X55, binder clips, étendoir, 106 x 58 x 108 cm.
Des reproductions miniatures de vêtements sont accrochées sur un séchoir à linge et volent au gré des courants d'airs. L'installation est à la fois un présentoir pour les habits et une œuvre qui joue des éléments avec le vent qui s'y engouffre ou le soleil qui projette l'ombre des silhouettes. Une averse ? Vite, rentrons l'étendoir !    L'expression droit au séchage se réfère à un mouvement né aux États-Unis suite à l'interdiction de faire sécher son linge en extérieur ou de façon visible dans la rue. En France, les règles stipulent que l'étendage doit être discret dans les jardins des lotissements, interdisent d'étendre son linge sur la rambarde de son balcon, mais tolèrent les petits séchoirs. Certaines municipalités prennent des arrêtés concernant l'ensemble des habitations de la commune : pour des raisons esthétiques, il est interdit d'exposer son linge aux fenêtres s'il est visible de l'extérieur. L'intervention contourne ainsi l'interdit à travers le dispositif de présentation des habits : l'étendoir est ici exposé dans l'espace public, à l'image de ceux abandonnés dans la rue parmi les encombrants. 
Rendez-vous à Saint-Briac, Salon du dessin contemporain et de l'édition d'artiste. Capsule Galerie. 
Right to dry here !
2 notes · View notes
emiliefranceschin · 2 years ago
Text
Tu ne te souviendras pas #3
Conférence- performance sur mon livre d'artiste “Tu ne te souviendras pas” présentée pour le salon des éditions avec l'Artothèque de Caen le 3 décembre 2022. Ce dernier découle d’une réflexion autour de la trace dans la performance. J’ai entrepris un projet de congélation de vêtements de performances comme processus d’archivages de ces dernières. Ces diverses recherches entre performances, installation, photographies, m’ont amenées à un concevoir un livre d’artiste au delà de la seule documentation de ce projet.
En collaboration avec les graphistes Rovo, nous avons pensé ce livre dans une dimension évolutive et modifiable gardant cette idée de transformation et de mouvement présent dans mon travail artistique. Il peut être activé et visible de diverses manières ( livret / plan / objet dans l’espace ). Ce temps de conférence - performance permet de déployer et d’activer cette réalité « imprimée » dans le livre.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
crédits photographiques ©Florence Carbonne.
0 notes
omagazineparis · 8 months ago
Text
Discrète, mais si sensuelle Samantha Gradoville nue
Tumblr media
Samantha Gradoville est un mannequin américain, née le 1er janvier 1990 à Omaha, Nebraska. Elle a déménagé à New York pour soutenir sa carrière et a participé à des campagnes remarquables avec les versions française et italienne de Vogue Magazine, La Perla, Emporio Armani et Calvin Klein Underwear, et a fait de la publicité pour diverses marques, dont Gas Jeans, Vilshenko, et bien d'autres. Au printemps 2009, Samantha a commencé à travailler en Haute Couture, où elle a présenté des défilés pour Christophe Josse et Zuhair Murad. L'année suivante, son statut de célébrité a commencé à croître avec l'ouverture et la fermeture de la collection Prada automne 2010 à Milan. Elle est apparue au défilé Miu Miu à Paris une semaine plus tard et est devenue l'un des personnages les plus discutés de la saison. Avant de devenir mannequin professionnel, Samantha se consacrait à de nombreux sports, tels que le volley-ball, le baseball, la natation et la piste. Afin de rester en bonne santé, elle privilégie désormais la maîtrise de son régime alimentaire, mais apprécie également faire de longues balades ou des randonnées ponctuelles. Samantha apprécie consommer de l'énergie excessive pendant la journée entre les tournages et avoir un bon sommeil la nuit. Samantha est végétarienne, ce qui signifie qu'elle évitera la plupart des fast-foods, à l'exception du Jamba Juice et du Taco Bell. Lors d'une interview avec FashionTV en 2012, Gradoville évoquait les difficultés de la fashion week : "Certaines personnes te traitent comme un mannequin, comme un morceau de plastique juste là pour les vêtements mais on est aussi très bien traités... C'est un travail difficile, c'est vraiment le cas : nous ne dormons pas, nous ne faisons que manger des sandwichs toute la journée, ce n'est pas la chose la plus luxueuse et la plus glamour de la semaine de la mode, mais il y a des gens qui comprennent. » Carrière de mannequin de Samantha Gradoville Gradoville a été casté plusieurs fois pour Calvin Klein, photographié par Marion Sorrenti et Steven Meisel. Elle a également été choisie pour des campagnes de mode avec Roberto Cavalli, D & G et Emporio Armani. Amis et famille Face aux personnalités parfois difficiles et puissantes du monde de la mode, Samantha revient à ses racines du Nebraska et suit le conseil de sa mère de « les tuer avec gentillesse ». Elle raconte au New York Mag "le soutien de ma mère est ma seule constante". À l'école, on disait que Samantha était une bonne élève, une perfectionniste qui aimait lire des livres et recherchait toujours la note parfaite au test. Enfant, elle était connue pour être réservée et timide, et a choisi le mannequinat comme moyen de sortir de cette coquille. Les amis sont importants, et le champion de Boggle sera repéré en train de faire du shopping vintage avec d'autres amis modèles, ou en train de dîner et de jouer. Pendant son temps libre, Samantha poursuit ses études. En grandissant, elle a été exposée à des artistes comme les Rolling Stones et les Beatles par son père, et sa musique préférée comprend de nombreux Oldies, aux côtés d'artistes rock et alternatifs plus modernes comme Blink 182. L'article le plus cher de son placard sont des chaussures, et elle entretient une grande collection. Vie personnelle, petit ami De décembre 2013 à septembre 2014, Samantha Gradoville est sortie avec le mannequin brésilien Marlon Teixeira, qui a un an et demi de moins qu'elle. Cependant, cette relation n'a pas duré longtemps, et il n'y a pas eu d'autres relations publiques, donc pour le moment, Samantha est célibataire, ce qui est une excellente nouvelle pour tous les gars du monde entier. Faits intéressants sur Samantha Gradoville Samantha Gradoville est amie avec des mannequins, Karlie Kloss, Jac Jagaciak, Ylonka Verheul et Vanessa Hegelmaier. Sam est obsédée par les chaussures et possède une énorme collection de chaussures, il est donc naturel que ses chaussures soient les articles les plus chers de son placard, tandis que lorsqu'elle voyage, elle porte toujours son maillot de bain. Gradoville était très active dans le sport auparavant, car en plus de la natation – elle aimerait également devenir une plongeuse certifiée – elle jouait au volley-ball, au softball et au basket-ball. A lire également : Kendall Jenner, en quelques photos Elle aime cuisiner et le mieux qu'elle puisse faire est des enchiladas, alors qu'elle préfère les aliments sucrés aux aliments salés. Gradoville a un Springer Spaniel anglais nommé Keely. Ses films préférés sont "Léon: The Professional" (1994) et "Eternal Sunshine of the Spotless Mind" (2004); son livre préféré est "The Lizard King" de Jerry Hopkins, ses créateurs préférés sont Gucci, Balmain, Prada, Miu Miu, Versace, Valentino, tandis que ses icônes de style sont Marilyn Monroe et Jim Morrison. Samantha Gradoville nue En maillot de bain Shooting topless A la plage pour une séance photo mode Mode et fashion , shooting magazine Topless pour un shooting mode Read the full article
0 notes
audreygianelliart · 9 months ago
Text
Salut tout le monde ♥️.
Suite à la vidéo où j'évoquais mon envie de changer de compte et d'explorer toute ma créativité, j'aimerais vous expliquer plus précisément ce que j’ai en tête.
J’ai toujours imaginé beaucoup de choses , en tout cas dès que j’ai pu tenir un crayon dans les mains.
Je suis un artiste, et pour être clair, que vous gagniez votre vie avec votre art ou non, que vous ayez un travail alimentaire et que vous créer à côté, que vous ne soyez jamais aller dans une grande école, tant que vous avez besoin de créer, imaginez plus que de respirer, vous êtes un artiste, personne ne peut dire qui est artiste ou pas.
Mon imagination va régulièrement dans des endroits inattendus, mais je me censure souvent d'une manière ou d'une autre. Maintenant j'ai fini, je veux essayer autant de choses, type d'art, médium, techniques… tout 😂
Pour vous donner une idée de ce qui va se passer sur cette page à partir de maintenant, je dessine toujours des dessins nerd/geek (je ne peux pas changer qui je suis😂), je veux continuer à expérimenter différentes techniques et médiums (encre, acrylique …) . Je vais faire plus de portraits d'artistes, de musiciens, de personnes qui m'inspirent.
J'aimerais dessiner des trucs de merchandising, comme j'ai essayé de le faire pour les sacs Cruella (mais clairement un manque de technique pour le moment, donc je travaille là-dessus), des trucs que j'achèterais pour moi.
Au lycée, je dessinais beaucoup de costumes inspirés d’univers de cinéma, de télévision et de musique.
J'ai aussi envie de dessiner encore une fois des objets de mode, des vêtements, des sacs, des chaussures.
Revisitez un personnage traditionnel comme la princesse Disney par exemple
Travail sur la perspective : Dessiner des décors autant réalistes (lieu de vie, chambre, bus, van …) que fantastiques.
Des illustrations de maquillage s’ inspirante de personnages populaires (comme celle de Harley Quinn)
J’aimerais également réalisé des maquillages créatifs (pas du genre body panting)
Dessiner sur un t-shirt et d'autres vêtements
Peut-être revenir à la pyrographie
Et des bijoux
Et bien plus🤪
Alors oui, ce compte va rendre fous tous les community manager, pas de style homogène, pas de niche spécifique, ben oui ça va être un pur chaos, comme moi 😜
Je comprends que ça va être déroutant pour beaucoup de gens et pour ceux qui voudraient ne plus suivre, pas de problème, merci pour la balade et tout l'amour, je vous souhaite le meilleur. Pour ceux qui souhaiteraient rester, bienvenue dans cette nouvelle aventure, j'espère qu’on va bien s’amuser 🤪♥️
Je vous envoie plein d’amour et des ondes positives♥️💋♥️💋♥️
0 notes
730jours-a-montreal · 10 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Miami - Partie 5 - Le quartier Art-Déco
un des quartier les plus reconnus a Miami, pleins d'Artistes de rue s'amusent a colorier sur les murs de magnifiques oeuvres d'art....
Quartier étonnant ou, dans la même boutique, on peut : manger, acheter des vêtements, essayer des guitares et acheter de magnifiques voitures de collection...... On adore des US pour ce coté décalé aussi :D
0 notes
maikagervais · 1 year ago
Text
Réflexion sur l'exposition
Dans le cadre de mon cours d'art, nous avons eu la chance de visiter une exposition à la galerie d'art Pangé. Au deuxième étage de cette galerie, deux expositions d'artistes aux styles totalement différent étaient présentées, ce qui encourage l'appréciation artistique plus diversifier. Étant particulièrement attiré par la peinture, c'est l'exposition "Phantasma" de Brittany Shepherd qui a retenu mon attention.
Ce projet artistique se distingue par son caractère unique et innovant. Chacune des peintures de Shepherd explore le thème des fétichismes, qu'il s'agisse de pieds, de soie, de dentelle, ou d'autres motifs. En art, les fétichismes sont souvent des significations cachées ou déguisées dans l'œuvre, car ils sont souvent perçus comme tabous. De tels sujets suscitent souvent des réactions controversées de la part du public, il est donc rare de voir des œuvres qui les représentent pleinement, comme le font les siennes. Ce qui différencie sa représentation du thème vient en partie de l’absence de honte ou dégoût dans celle-ci. Au lieu de cela, elle représente ces aspects sans préjugés ni jugement .
L'installation des œuvres joue aussi un rôle dans l'exposition. Les œuvres sont disposées de manière à créer une atmosphère intime, donnant l'impression d'explorer un espace personnel plutôt que de parcourir une exposition traditionnelle. Les salles d'exposition, neutres, offrent un environnement idéal pour se concentrer uniquement sur les œuvres. L'emplacement de l'exposition contribue aussi à renforcer cette sensation d'intimité. Puisque la galerie Pangé se trouve dans une vielle maison nous avons l'impression d'explorer la maison d'un étranger.
Les œuvres exposées se caractérisent par leur réalisme. Chaque détails est représenté avec une telle précision que nous avons l'impression de pouvoir sentir la texture des matériaux et la transparence des vêtements sur la peau si on y touchait. La qualité du rendu est réaliste au point de croire qu'il s'agit de photographies.
Cette exposition a eu un impact profond sur ma perspective artistique. Ayant toujours voulu suivre les règles à la lettre par peur de l'échec, elle m'a montré qu'il est possible de sortir des sentiers battus et de poursuivre une carrière artistique. Sa pratique m'a également inspiré à explorer différents styles et médiums afin d'élargir mes horizons.
Parmi les œuvres exposées, celle qui a le plus captivé mon attention est celle représentant une chemise mouillée collée sur un torse. Cette pièce se démarque non seulement par sa magnifique représentation du corps féminin mais aussi par la technique incroyable utilisé par Shepherd. Ce qui m'impressionne le plus dans cette œuvre, c'est la manière dont l'artiste a réussi à reproduire avec précision la transparence du vêtement collé sur la peau. Cette transparence crée une profondeur et un réalisme impressionnants dans l'œuvre. Aussi, la texture de la chemise, où certaines parties apparaissent plus froissées que d'autres, est représentée avec précision. On dirait presque qu'on pourrait toucher les plis du tissu tellement elles sont réaliste.La texture de la chemise est aussi représentée pour que certaines parties paraissent plus froissées que d'autres.
Dans l'ensemble, cette exposition a réveillée en moi une profonde appréciation pour l'art et a enrichi mes connaissances sur la diversité artistiques.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
artaddict · 2 years ago
Text
Construire une image d'artiste forte : comment choisir la photo de profil parfaite pour se faire remarquer
Dans le marketing musical, on recommande généralement aux artistes émergents de choisir une photo de profil qui met en valeur leur visage. En effet, le visage est l'élément le plus important dans la construction de l'image d'un artiste, car c'est ce qui permet aux fans de se connecter émotionnellement avec lui ou elle.
Cependant, il est important de choisir une photo qui reflète également le style musical de l'artiste et qui attire l'attention des fans potentiels. Par exemple, si un artiste est dans le style hip-hop, une photo plus urbaine ou streetwear pourrait fonctionner. Si l'artiste est plus dans un style pop ou folk, une photo plus naturelle ou d'extérieur pourrait être plus adaptée.
Voici quelques exemples de photos de profil qui pourraient fonctionner pour différents types d'artistes :
Pour un artiste de hip-hop : une photo en noir et blanc d'eux portant des vêtements streetwear, avec une expression confiante et déterminée sur leur visage.
Pour un artiste de pop : une photo en couleur d'eux souriant, peut-être avec un arrière-plan lumineux et coloré, donnant une impression joyeuse et énergique.
Pour un artiste de folk : une photo en extérieur, avec un paysage naturel en arrière-plan, donnant une impression authentique et décontractée.
En revanche, il est important de noter qu'un logo ou une illustration peuvent fonctionner si l'artiste souhaite créer une image de marque plus distinctive ou originale. Cependant, cela dépendra également de son style musical et de son public cible. Par exemple, un groupe de rock alternatif pourrait opter pour un logo plutôt qu'une photo, pour donner une impression plus subversive et créative.
Dans l'ensemble, le choix de la photo de profil d'un artiste doit être réfléchi en fonction de leur style musical, de leur public cible et de leur image de marque globale. Une photo de profil bien choisie peut aider un artiste à se faire remarquer et à se connecter avec ses fans potentiels.
1 note · View note
vg11k · 3 years ago
Photo
Tumblr media
Art by RC Prakash
MJ : @MadBhaal
Bard, humain barde : @sakuyaneesama
Cob, halfelin barbare : @Th_Brt
Beiro, elfe ranger : @yaka2812
Grigor, demi-elfe moine (dit Chergoba) : @vg11k
Arrivés à Alcantla, la capitale d'Amn, notre groupe était pour le moment chargé d'escorter Rih- la prêtresse de Lathander. Elle nous offrit cependant quartier-libre, celle-ci avait à faire au temple local. Ce temps libre était le bienvenu pour moi, après tout ces cauchemars étranges liés à Sara durant le trajet. Avons quitté les quais malodorants. La promenade de Waukeen, le grand cirque, la boutique des couronnes de cuivre, les temples de Lathander Tempus et Ohm. Ce sont les différents choix qui s'offraient à nous. C'est le second que nous avons décidé de visiter, abandonnant ce pot de colle de cornu à bord du Conquérant d'Ivoire.
De notable sur le cirque à savoir, était un sort d'illusion avait tourné entropique il y a quelques années et coûté pas mal de vies, de spectateurs comme d'artistes. Événement qui aujourd'hui encore nuisait à la réputation de l'édifice. Cela ne nous dissuada pas d'aller y jeter un œil. Après tout, s'ils avaient une ménagerie d'animaux exotiques - réels ou illusoires - cela pouvait valoir le coup d'œil.
Sur le chemin, Cob souhaita s'attarder à la forge d'un marchand d'armes du coin. Tenue par un nain installé depuis plus de deux siècles d'après la pancarte à l'entrée, il semblait être un artisan de talent. Talentueux ou pas, je maintiens qu'il a entubé notre halfelin. "Toucher c'est acheter" peuh, conneries d'arnaqueurs ça. Néanmoins, cela n'a pas semblé déranger Cob qui ressortit avec une épée aussi grande que lui pour faire des moulinets.
En reprenant notre chemin vers les artistes, je remarquais deux types louches à capuche nous ayant emboîté le pas après notre visite chez le nabot. Non pas que tout les individus à capuche pendant le jour soit louche, après tout j'arborais la mienne, mais eux ne m'inspiraient pas confiance. L'air de rien, je me laissais distancer par les trois autres pour tenter d'engager la conversation avec nos nouveaux amis en les prenant au dépourvu. À défaut de les surprendre, je parvins à échanger avec eux. Impressionnés par les moulinets maladroits du barbare, ils souhaitaient l'embaucher pour quelques services nébuleux. Cela en disait long sur leurs coups d'œil pour s'intéresser ainsi à Cob, mais j'avais flairé juste. Pas moyen de leur tirer les vers du nez. Si ce n'est un plan foireux de, si je changeais d'avis, d'aller jeter une pierre porteuse d'un symbole sur le phare de la ville. Symbole qui ne m'était pas inconnus suite à mes errances passées : la guilde des voleurs locale, assez influente pour que les gardes ferment les yeux sur leurs méfaits. Je gardais la pierre et cette proposition originale comme ils s'en retournaient avant de rattraper les trois autres.
Ils avaient commencé à étudier les animaux de la ménagerie, dotés de formes et couleurs originales - peut-être trop, mais au vu du passif local c'était à prévoir. Mais Bard manquait à l'appel. Très vite un gnome en tenue tape-à-l'œil était venu les accoster, le ménestrel lui ayant tapé dans l'œil. Sieur Loyal de l'établissement, il était en quête d'un nouvel annonceur des numéros et la profession du barde ne lui avait pas échappé. Pour son audition, Bard se vit offrir une tenue avant d'effectuer sa performance devant une elfe toute d'orange vêtue et un humain portant de multiples coutelas en bandoulières. Respectivement Belamantine et Angelo, lanceur de couteaux et responsable des victimes des lancers. Malgré deux tentatives décevantes, Belamantine en sa position de seconde du cirque insista pour intégrer Bard à quelques numéros avant de lui tirer les cartes. Vérité, Mensonge et Destin. La vérité fut une rose fanée "vous ne vous sentez pas vous et souhaitez tourner la page. Le mensonge fut Pierrot retirant son masque "Vous vous répétez à vous-même ne pas être compétent". Quant au destin… lorsque Belamantine tira la carte, son expression changea. Son sourire malsain rappela à Bard celui de Ka', le faisant déchanter et, l'instant suivant, il se retrouvait à l'extérieur avec nous trois.
Cob et Beiro réfléchissaient à monter ensemble une arnaque aux tournois de pugilat locaux lorsque Bard revint, la tête dans les nuages et affublé de vêtements jaunes affriolants et tape à l'œil, escorté d'une elfe tout en orange.
Malgré son échec et sa troublante absence, Bard convint de passer le mot en ville quant à l'offre d'emploi du cirque. Beiro se proposa alors, vanta ses qualités d'archers pouvant faire office de numéro à défaut d'être annonceur. Il fit rapidement démonstration de ses talents sur cible, Bard ayant le courage de se poster en-devant comme le trait fusait juste au-dessus de sa tête. Inspiré, le halfelin se proposa à son tour en annonceur et, à la surprise générale, se débrouilla plutôt bien. À aucun moment je n'aurais imaginé le semi-homme faire preuve d'autant d'assurance dans un exercice oral, et pourtant. Le gnome l'engagea pour le spectacle du soir-même avant de nous introduire au reste de la troupe. Gardant sous silence ma présence inutile, après tout je me voyais mal passer pour quelques guignols, je suivis mes compagnons.
Nous rencontrâmes alors plusieurs spécimens de foire. Marlin, un demi-orque "le plus fort de toute la côte des épées" qui aurait probablement perdu au bras de fer contre notre barbare. Audika, une femme à barbe dont la prothèse se décollait au niveau des oreilles. Henri, un elfe encapuchonné qui balayait dans son coin en se faisant oublier.
Arriva alors une quatrième personne qui marcha droit vers le gnome Loyal et, sans préambule, le gratifia d'un revers cuisant avec un lapsus révélateur "mon escl… mon Loyal !". Ainsi s'introduisit la "Mère nourricière", directrice du cirque d'Alcatla. Et, avec cette gifle, tomba le masque. Le chapiteau jusque-là tape à l'œil devint miteux. Les estrades flambant neufs devinrent poussiéreux et moisis. Le marbre d'entrée devint terre battue. Les vêtements jaune de Bard le laissèrent nu comme un ver.
Pincée, la Mère nourricière s'excusa pour le comportement de son gnome illusionniste leur ayant fait miroiter quelques pièces d'or : le cirque ne recrutait pas et était au contraire au bord de la faillite. Plus personne ne venait assister aux spectacles depuis l'incident des illusions, bien que le Loyal ne soit pas le mage responsable. Pour éviter les problèmes, les artistes s'efforçaient de rester discret et garder cacher les talents du petit bonhomme.
Dans son coin, Henri continuait de balayer, fuyant leurs regards, jusqu'à ce que Cob ne se porte à sa hauteur. Gêné par le statut et malaise des artistes, en particulier de l'elfe, il s'efforça d'engager la conversation. Celui-ci ne murmura qu'un mot en elfique à l'adresse du barbare : "Illusions". Puis repris son ménage avec frénésie, jusqu'à ce que le halfelin ne lise un mot inscrit à même le sol par ses coups de balais : "Fuyez".
Aussitôt, il s'efforça de prendre congé et pousser le groupe vers la sortie. Mais la Mère nourricière, discutant avec moi, proposa brusquement de l'argent à qui les aiderait à redorer leur blason, ce qui m'interpella. Après tout, elle avait mentionné juste quelques instants plus tôt être fauchée comme les blés. Ce n'est qu'alors que je remarquais l'apparition de craquelures sur son visage.
Beiro le remarqua également de plus loin et fut foudroyé comme tombait une seconde fois le masque dans ce chapiteau plein de surprise. Habitué à lutter contre les morts-vivants, il venait de reconnaître l'un d'eux en discussion avec moi et dégaina son épée avant de charger.
Beiro se fit mettre KO par la Mère après l'avoir pourtant blessé sans éclaboussure de sang. Cob se fit engager par Angelo et le gnome. Belamantine resta figée, incapable de se mouvoir comme fuyaient les trois autres artistes. Je parvins à retenir la directrice morte-vivante comme Bard venait littéralement arracher le rôdeur aux griffes de la mort d'un enchantement dont il avait le secret (tout en étant encore cul nu). Encerclée, la Mère se replia, s'écartant de côté. Soucieux de ne pas laisser le barbare se faire déborder, je le rejoignis et assommais le gnome comme le lanceur de couteaux se faisant découper en deux dans un sanglant étalage de violence. Beiro cribla de flèche la morte-vivante sans parvenir à lui infliger de blessures sérieuses, en apparence. Bard tenta de tirer l'elfe vêtue d'orange de sa torpeur d'une baffe, en vain. Alors la Mère se jeta sur le cadavre d'Angelo pour lui sucer le sang, puis sur le barbare qu'elle entrava avant se planter ses crocs dans sa gorge. Reconnaissant là un vampire, j'eus un éclair de génie et m'empressais de déchirer la toile du chapiteau plutôt qu'affronter la créature, la baignant dans la lumière du jour. En quelques instants, elle s'effondra en petit tas de cendres.
Des gardes arrivèrent juste après cela, comme ayant attendu la fin des festivités pour se manifester. Comme toujours. Ils étaient à la recherche d'utilisateurs illégaux de la magie sur le territoire d'Alcatla, dirigés par un mage encapuchonné. Tous désignèrent le tas de cendre, mais Belamantine, redevenue elle-même, s'accusa. Dans l'instant, le mage la téléporta dans un autre lieu, puis remis en doute la présence de quelques vampires malgré le tas de cendres. "Et ça c'est des Merguez ?" leur opposa Cob avec animosité en désignant son cou sanguinolent où la marque des crocs était clairement visible. Il fut malgré tout ignoré, le mage s'intéressant au gnome inconscient avant de lui aussi le téléporter en un autre lieu. Le "conseil des six" se chargerait de leur procès. Cob se proposa alors en témoin de l'affaire pour les deux arrêtés et, avant que l'on put protester, fut lui aussi téléporté. Les gardes nous informèrent les avoir envoyés à "l'asile de Spellhold". Puis, après leur avoir réclamé la raison de leur présence dans le chapiteau, puis à Alcatla, les escortèrent au temple de Lathander retrouver Rih.
Celle-ci, passablement agacée par ce contretemps, attesta de notre bonne foi. Puis après le rapport qui lui fut réalisé, nous apprit que le nom de Belamanti nene lui était pas inconnu. Celle-ci était une prêtresse de Lathander, disparue plusieurs mois auparavant. Rih nous apprit également que le procès pouvait prendre jusqu'à quatre ans. Que l'asile se trouvait sur une île au large, dénuée de portes et gardée par des mages.
Quelque peu agacés par la tournure des événements et le sort du barbare, quelques heures seulement après avoir accosté, nous primes le chemin d'une taverne pour décompresser. La taverne du pont, construite au-dessus d'un pont enjambant la baie d'Alcatla. L'intérieur était bondé et sentait mauvais. Il comportait également une estrade et un cercle de pugilat. Tandis que Bard se faisait huer sur l'estrade, je narrais à Beiro ma rencontre avec deux émissaires de la guilde des voleurs locale, avant d'accéder au cirque. Que, potentiellement, ils pourraient nous aider à faire s'évader Cob, mais nous attireraient immanquablement d'autre problèmes. Or, connaissant le tempérament du halfelin, si celui-ci s'était rendu il était peu probable qu'il cherche à s'évader…
Remettant ces problèmes à plus tard et cherchant à me défouler, je pris la direction du pugilat. Un vieil homme aux yeux dévorés par la cataracte tenait les paris. Néanmoins, son handicap ne semblait nullement le gêner pour suivre les combats et tenir les comptes. Celui-ci perçut ma présence avant que je ne prenne la parole. Après quelques échanges, je compris avoir à faire à un ainé de ma voie, un adepte des arts martiaux d'une autre génération. Dacen pour être précis, dont je reconnus le nom. Exilé de l'ordre de la rose jaune il y a plus de cent cinquante ans, le vieil homme était supposé mort dans le monastère où j'ai effectué ma formation. Pour un macchabée il était certes ridé et couvert de cicatrices, mais en apparente bonne santé. Celui-ci se faisait de l'argent en entrainant des combattants et montait son propre dojo. Mais ses apprentis avaient tous déserté à l'exception d'une, "la puce", que j'eus la chance de pouvoir affronter dans le cercle.
Sympathisant, Dacen nous invita bientôt dans sa demeure à l'écart de la ville et son tumulte, les gardes faisant profil bas devant le moine aveugle. Nous primes le thé et partageâmes nos aventures avec lui. Il s'avéra que quelques décennies plus tôt, il s'était lui-même évadé de l'asile. Mais que sa tranquillité vis-à-vis de l'autorité s'était payée dans le sang et l'or. Or nous n'étions pas particulièrement riches et je n'avais nulle envie de me frotter à toute une garnison… Nous prîmes alors congé en profitant de l'hospitalité du maître, la nuit portant conseil.
previous
5 notes · View notes
cruellaflim · 4 years ago
Text
Enfermez vos chiots: comment Cruella de Vil est devenue une icône de la mode
À l'ère du bien-être, du véganisme et de la consommation éthique, Cruella de Vil, avec sa fumée de cigarette verte toxique et sa soif de sang dalmate, est l'icône ultime du style transgressif.
Cruella Full Movie Regarder en ligne gratuitement
Regardez de nouveaux films en ligne
Passant ses journées à intriguer, à noyer des chatons et à rire de façon folle, Cruella est la plus grande méchante de la mode d’Hollywood depuis qu’elle a battu les 101 Dalmatiens dans le film original de 1961. Sa plus proche rivale, Miranda Priestly dans le diable s'habille en Prada, a peut-être donné à ses subordonnés des regards très flétris, mais elle n'a pas enlevé de chiots pour améliorer sa tenue.
Tumblr media
Le look de Cruella en a fait une icône de style. Tout comme Karl Lagerfeld, Anna Wintour ou Suzy Menkes, elle a non seulement des cheveux affirmés, mais une esthétique caractéristique. Qu'elles soient représentées par les traits de crayon exigeants de Marc Davis ou interprétées par Glenn Close dans le film de 1996, ses vêtements sont extraordinaires. Son look le plus célèbre - un énorme manteau de fourrure crème avec une doublure rouge sang, des gants rouge sang assortis et des chaussures à talons hauts - reste horriblement glamour. Et tout en elle est tranchant et pointu: nez, pommettes, sourcils, menton.
Tumblr media
Ce mois-ci, un nouveau film, qui se déroule dans les années 1970 à Londres, ouvre dans les cinémas. Dans Cruella, Emma Stone incarne Estella, une jeune créatrice de mode en herbe et en herbe dont la rivalité avec sa patronne (Emma Thompson) alimente sa métamorphose en un alter ego dérangé. Hors écran, le look de Cruella connaît également une résurgence improbable. L'industrie de la mode, qui sort d'une année meurtrière au cours de laquelle le glamour a été annulé, semble se tourner inconsciemment vers le méchant ultime du style pour un regain de confiance. Les panneaux sont partout sur les podiums et dans la grande rue, où le monochrome prend son envol, après plusieurs années où les couleurs vives ont dominé. La veste de costume monochrome de Balmain, par exemple, avec des épaulières surdimensionnées, est presque identique à celle portée par Close dans le film de 1996. Pendant ce temps, aux Grammys, en mars, Beyoncé portait des gants noirs Schiaparelli avec des ongles dorés en trompe l’œil qui ressemblaient étrangement aux accessoires griffes de Close’s Cruella. Aux Oscars, la tenue Gucci à franges de Celeste Waite - haut pied-de-poule rouge et noir avec pochette anatomique en forme de cœur - avait une grande énergie Cruella. Même la matriarche de Schitt’s Creek, Moira Rose, qui est devenue un phénomène de verrouillage Netflix, est Cruella-esque, avec ses perruques bicolores et son engagement pour un monochrome aux silhouettes agressives.
Désormais, une palette encore plus diabolique de rouge, noir et blanc domine les collections d'automne. Le dernier défilé de Michael Kors - des tailleurs-jupes à imprimé léopard et zèbre manteaux en fausse fourrure rouge rubis, crème et noir - ressemblaient au cosplay de Cruella de Vil. Burberry a également acheté la Cruellanaisance. La marque a tenté d'éloigner les clients des vestes matelassées qui sont devenues des couvertures de confort pendant les verrouillages, avec une procession d'énormes fausse fourrure crème, complétées par de fausses garnitures d'oreille de lapin d'aspect malicieux.
Même l'imprimé dalmate apparaît partout, des chaises d'appoint inégales aux papiers peints et aux murs décoratifs - le tout affiché sur Instagram. Il est porté par les stars de la télévision aux heures de grande écoute (Tess Daly lors de Strictly la saison dernière), la royauté de la génération Z (Kendall Jenner a acheté à Hailey Beiber une paire de curseurs imprimés dalmatiens moelleux pour son anniversaire), et certains qui sont peut-être aussi sans cœur que Cruella elle-même (Ivanka Trump ). La vraie fourrure, cependant, est notablement absente. Dans ses incarnations précédentes, 101 Dalmatiens n'était pas nécessairement une histoire anti-fourrure. C’est la voracité et la tendance de Cruella à kidnapper des chiots mignons qui sont jugées sans équivoque problématiques. Dans le film de 1961, le fleuret de De Vil, la blonde angélique Anita, dit qu’elle aussi aimerait un manteau de fourrure - la suggestion est seulement qu’elle est trop altruiste et modeste pour en acheter un. L'académique Chantal Nadeau lit même le film de 1996 comme «un morceau burlesque, voire provocateur de rhétorique pro-fourrure», à un moment de renaissance de la traite des fourrures, alors que sa suite de 2000 ne présente pas les manifestants anti-fourrure sous un jour flatteur. .
Tumblr media
En 2021, cependant, apparemment, même les méchants ne portent pas de fourrure. En fait, Disney a du mal à souligner dans les notes de production que «dans notre film, le personnage Cruella ne fait aucun mal aux animaux… Cruella ne partage pas les mêmes motivations que son homologue animé». Dans la mode également, la fourrure est maintenant considérée comme si peu appétissante qu'elle est interdite par presque toutes les marques. Même Anna Wintour - une ancienne défenseure de la fourrure qui aurait déjà fait jeter un raton laveur mort dans sa soupe dans un restaurant de New York par un manifestant - porte la «fausse fourrure durable» de Stella McCartney.
Tumblr media
Au lieu de cela, la garde-robe 2021 de Cruella est largement inspirée par Londres des années 1970 et 1980, y compris la chanteuse allemande de la nouvelle vague Nina Hagen, Vivienne Westwood et BodyMap, le favori des enfants du club post-punk: comprenant 47 costumes conçus par Jenny Beavan, dont une veste militaire avec des épaulettes dramatiques empilées de figurines et d'une gigantesque jupe cramoisie. Il y a aussi des combinaisons noires scintillantes et des Dr Martens. La créatrice de cheveux et de maquillage du film Nadia Stacey, quant à elle, s'est inspirée d'artistes qui ont utilisé leur esthétique pour construire de toutes nouvelles identités, notamment David Bowie, le drag artiste David Hoyle et Alexander McQueen, ainsi que la photographie de style punk street - à un moment donné, Stone apparaît avec «le futur» écrit sur son visage dans la police Sex Pistols.
Stacey dit que le grand thème du film est «d’être qui vous êtes; il y a tout un récit selon lequel elle cache ses cheveux noirs et blancs et a ensuite la confiance nécessaire pour les embrasser ». Finalement, ce «défaut» est, bien sûr, ce qui rend Cruella emblématique - un arc très moderne qui pourrait provenir directement de RuPaul’s Drag Race.
En effet, si ce n’était pas pour la peau de chiot, Cruella aurait déjà été réclamée comme un héros féministe: ce personnage féminin plus âgé et rare avec ses propres intérêts, dirons-nous. Un psychopathe, oui, mais qui passe le test de Bechdel. (Le moment le plus daté du film de 1996 survient lorsque Anita de Joely Richardson dit à Cruella qu'elle arrêtera probablement de travailler si elle se marie.
Tumblr media
Cruella est également l'icône de style dont nous avons besoin alors que nous sortons du verrouillage et que nous nous rappelons comment nous habiller. Elle refuse de se fondre dans l'arrière-plan. Elle sait faire une entrée: dans le dessin animé, nous voyons son imposante silhouette aux cheveux hérissés à travers une vitre, et entendons son air de thème, avant de balayer en disant: «Anita, chérie!», Se déclare «misérable comme d'habitude. Parfaitement misérable! et met sa cigarette dans un petit gâteau.
Tumblr media
Comme le film n'a pas encore été projeté, il est impossible de savoir dans quelle mesure la nouvelle Cruella a été défangée et défrisée, mais elle se positionne comme un anti-héros, plutôt que comme un méchant pur et dur. Nous savons cependant que son air est rebelle. Ce sera forcément une amélioration par rapport aux princesses qui plaisent aux gens - et aux robes pastel associées - qui ont dominé Disney pendant des décennies. Car il y a quelque chose chez Cruella qui sera toujours cool, même si les fourrures sont déclassées. Le reste de son look et son ambiance sont classiques: une robe noire soignée, une paire de chaussures rouges et un engagement sans faille pour son propre plaisir et ses désirs. Cruella est dans les cinémas et sur Disney + avec un accès privilégié le 28 mai.
3 notes · View notes
juliedudouit14 · 4 years ago
Text
La culture artistique un effet de mode.
 La culture est présente partout autour de nous. Dans la culture, nous avons plusieurs points, comme la culture sociale, la culture artistique, religieuse, ….
 Nous connaissons aujourd'hui différents espaces qui habitent ces cultures. Nous pouvons parler des théâtres, des cinémas, des musées, des salles de spectacles, des jardins, ou des églises, des mosquées et encore plein d'autres espaces. Ces espaces font partie de notre quotidien, nous passons quotidiennement devant, pourtant ils nous laissent souvent indifférents.
 Cependant, aujourd'hui, nous constatons que la culture artistique apparaît de plus en plus dans notre quotidien de manière différente. 
 L'art dans la mode :
 Le monde de l'art inspire de nombreux créateurs de Luxe aujourd'hui, certains allant même jusqu'à reproduire de véritables œuvres d'art sur textile et, ainsi, brouiller les frontières entre les deux disciplines, mode et art.                        Dans ce cas précis, nous pouvons évoquer le travail de Louis Vuitton en collaboration avec Jeff Koons. Effectivement depuis 2014, la Fondation Louis Vuitton soutient la création artistique contemporaine. Nous avons ici une collaboration entre le monde du luxe et celui de l'art, celle entre la maison de maroquinerie française et le travail artistique de Koons. Le but est de rendre plus accessible le monde de l'art, ce qui pourrait être absurde par les prix que propose la marque Louis Vuitton. Cependant, cela permet d'implanter de manière quotidienne l'art, puisque le sac devient lui-même une pièce d'art et de plus il est mobile et vous suit partout. L'art est donc propagé dans les villes avec les créations que proposent aujourd'hui les créateurs de mode.
 L'art n'est pas que dans le luxe, nous avons une propagation massive de la représentation de l'art dans les sac tote bag . Ce sac est une nouvelle forme de communication et de diffusion de manière massive. Aujourd'hui, nous retrouvons un peu partout dans les rues ces petits sacs, que cela soit sur les hommes, les femmes ou bien les enfants. Les différentes impressions souvent basées sur le domaine artistique deviennent rapidement un effet de mode. Les musées, les spectacles, les artistes se mettent aussi à vendre leurs propres tote bag afin de créer une sorte de publicité mobile de leurs productions. Ce sac devient alors leur moyen de promotion !! 
 L'art devient un accessoire de mode, mais aussi il est aussi un '' effet de mode '' par l'envie de suivre la tendance actuelle. 
 Un but marketing :
 L’Art-keting, autrement dit l’utilisation de l’art à des fins marketings, n’est pas un phénomène récent. Les plus grandes marques se sont souvent nourries de l’art au point de développer leur propre identité. L’art a toujours été utilisé par les marques à la fois comme source d’inspiration et comme moyen de promotion.
 Elle est présente sous différentes formes, dans les expositions ou de  publi-expositions la réalisation de packaging ou d'emballage par des artistes plus ou moins reconnus , des collaborations avec des artistes ou encore l'utilisation de l'art dans la communication publicitaire (artvertising). Il y a aussi les modèles ou marques reprenant des noms d'artiste comme la Citroën Picasso. 
 On pourra dire que la culture artistique se fait plus riche et plus virulente autour de nous. Elle s'inscrit dans un effet de tendance. Il y a 20 ans, l'art était plus ciblé pour les personnes riches, aujourd'hui, elle se positionne partout.          Tout ce nouveau fonctionnement permet aux lieux artistiques d'attirer une nouvelle clientèle et de se populariser. Les lieux artistiques deviennent alors des éléments plus proches de nous. 
- Quand le vêtement se fait oeuvre d'art
- https://www.marieclaire.fr/mode-art-une-histoire-amour,1245246.asp
-  L'Artketing, ou l'art au service de la marque
- https://www.ilec.asso.fr/article_revue_des_marques/8591
Article n°1 - Julie Dudouit
ESAAB 2020
1 note · View note
emiliefranceschin · 3 years ago
Text
Tu ne te souviendras pas #2
Conférence- performance sur mon livre d'artiste "Tu ne te souviendras pas" présentée à la galerie Florence Loewy à Paris le 18 juin 2022. Ce dernier découle d’une réflexion autour de la trace dans la performance. J’ai entrepris un projet de congélation de vêtements de performances comme processus d’archivages de ces dernières. Ces diverses recherches entre performances, installation, photographies, m’ont amenées à un concevoir un livre d’artiste au delà de la seule documentation de ce projet.
En collaboration avec les graphistes Rovo, nous avons pensé ce livre dans une dimension évolutive et modifiable gardant cette idée de transformation et de mouvement présent dans mon travail artistique. Il peut être activé et visible de diverses manières ( livret / plan / objet dans l’espace ). Ce temps de conférence - performance permet de déployer et d’activer cette réalité « imprimée » dans le livre.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
crédits photographiques ©Matthieu Blond.
0 notes
omagazineparis · 8 months ago
Text
Discrète, mais si sensuelle Samantha Gradoville nue
Tumblr media
Samantha Gradoville est un mannequin américain, née le 1er janvier 1990 à Omaha, Nebraska. Elle a déménagé à New York pour soutenir sa carrière et a participé à des campagnes remarquables avec les versions française et italienne de Vogue Magazine, La Perla, Emporio Armani et Calvin Klein Underwear, et a fait de la publicité pour diverses marques, dont Gas Jeans, Vilshenko, et bien d'autres. Au printemps 2009, Samantha a commencé à travailler en Haute Couture, où elle a présenté des défilés pour Christophe Josse et Zuhair Murad. L'année suivante, son statut de célébrité a commencé à croître avec l'ouverture et la fermeture de la collection Prada automne 2010 à Milan. Elle est apparue au défilé Miu Miu à Paris une semaine plus tard et est devenue l'un des personnages les plus discutés de la saison. Avant de devenir mannequin professionnel, Samantha se consacrait �� de nombreux sports, tels que le volley-ball, le baseball, la natation et la piste. Afin de rester en bonne santé, elle privilégie désormais la maîtrise de son régime alimentaire, mais apprécie également faire de longues balades ou des randonnées ponctuelles. Samantha apprécie consommer de l'énergie excessive pendant la journée entre les tournages et avoir un bon sommeil la nuit. Samantha est végétarienne, ce qui signifie qu'elle évitera la plupart des fast-foods, à l'exception du Jamba Juice et du Taco Bell. Lors d'une interview avec FashionTV en 2012, Gradoville évoquait les difficultés de la fashion week : "Certaines personnes te traitent comme un mannequin, comme un morceau de plastique juste là pour les vêtements mais on est aussi très bien traités... C'est un travail difficile, c'est vraiment le cas : nous ne dormons pas, nous ne faisons que manger des sandwichs toute la journée, ce n'est pas la chose la plus luxueuse et la plus glamour de la semaine de la mode, mais il y a des gens qui comprennent. » Carrière de mannequin de Samantha Gradoville Gradoville a été casté plusieurs fois pour Calvin Klein, photographié par Marion Sorrenti et Steven Meisel. Elle a également été choisie pour des campagnes de mode avec Roberto Cavalli, D & G et Emporio Armani. Amis et famille Face aux personnalités parfois difficiles et puissantes du monde de la mode, Samantha revient à ses racines du Nebraska et suit le conseil de sa mère de « les tuer avec gentillesse ». Elle raconte au New York Mag "le soutien de ma mère est ma seule constante". À l'école, on disait que Samantha était une bonne élève, une perfectionniste qui aimait lire des livres et recherchait toujours la note parfaite au test. Enfant, elle était connue pour être réservée et timide, et a choisi le mannequinat comme moyen de sortir de cette coquille. Les amis sont importants, et le champion de Boggle sera repéré en train de faire du shopping vintage avec d'autres amis modèles, ou en train de dîner et de jouer. Pendant son temps libre, Samantha poursuit ses études. En grandissant, elle a été exposée à des artistes comme les Rolling Stones et les Beatles par son père, et sa musique préférée comprend de nombreux Oldies, aux côtés d'artistes rock et alternatifs plus modernes comme Blink 182. L'article le plus cher de son placard sont des chaussures, et elle entretient une grande collection. Vie personnelle, petit ami De décembre 2013 à septembre 2014, Samantha Gradoville est sortie avec le mannequin brésilien Marlon Teixeira, qui a un an et demi de moins qu'elle. Cependant, cette relation n'a pas duré longtemps, et il n'y a pas eu d'autres relations publiques, donc pour le moment, Samantha est célibataire, ce qui est une excellente nouvelle pour tous les gars du monde entier. Faits intéressants sur Samantha Gradoville Samantha Gradoville est amie avec des mannequins, Karlie Kloss, Jac Jagaciak, Ylonka Verheul et Vanessa Hegelmaier. Sam est obsédée par les chaussures et possède une énorme collection de chaussures, il est donc naturel que ses chaussures soient les articles les plus chers de son placard, tandis que lorsqu'elle voyage, elle porte toujours son maillot de bain. Gradoville était très active dans le sport auparavant, car en plus de la natation – elle aimerait également devenir une plongeuse certifiée – elle jouait au volley-ball, au softball et au basket-ball. A lire également : Kendall Jenner, en quelques photos Elle aime cuisiner et le mieux qu'elle puisse faire est des enchiladas, alors qu'elle préfère les aliments sucrés aux aliments salés. Gradoville a un Springer Spaniel anglais nommé Keely. Ses films préférés sont "Léon: The Professional" (1994) et "Eternal Sunshine of the Spotless Mind" (2004); son livre préféré est "The Lizard King" de Jerry Hopkins, ses créateurs préférés sont Gucci, Balmain, Prada, Miu Miu, Versace, Valentino, tandis que ses icônes de style sont Marilyn Monroe et Jim Morrison. Samantha Gradoville nue En maillot de bain Shooting topless A la plage pour une séance photo mode Mode et fashion , shooting magazine Topless pour un shooting mode Read the full article
1 note · View note
hichamkiy · 5 years ago
Text
Interview de Miyazaki traduite et publié dans “courrier international” en entier (et gratuit)
ERIKO CHIBA Lors de l'inauguration du musée Ghibli [en 2001], vous aviez déclaré dans une interview : "Maintenant que le musée a ouvert, je ne pourrai pas profiter de mes vieux jours?!" C'est bien le cas, non??
HAYAO MIYAZAKI Oui, mais c'est plutôt parce que j'ai dit vouloir travailler [sur un nouveau film]. Alors que j'avais annoncé mon départ à la retraite à plusieurs reprises.
L'équipe en place à Studio Ghibli n'était pas assez nombreuse pour faire ce film. Il y a plusieurs années [en 2014, après une des multiples annonces de départ à la retraite de Miyazaki], le département de production du studio a été fermé. Nous avons donc décidé de recruter 11 jeunes pour les former, mais il n'a pas été facile de les sélectionner sur plus de 2?000 candidatures?! Vu la manière dont ces jeunes se donnent aujourd'hui à leur travail et les efforts de leurs aînés pour les former, on peut dire que ça a marché.
Depuis que le studio a décidé [en avril 2019] de changer ses conditions de travail, nous sommes tenus de quitter le bureau à 8 heures du soir. Au début, j'ai résisté, mais comme tout le monde suivait la consigne, je me retrouvais seul à fumer et, au bout d'une heure, je n'en pouvais plus. (Rires) Alors moi aussi, j'ai fini par rentrer à 20 heures. Le problème, c'était que j'arrivais toujours assez tard au bureau, si bien que c'était moi qui travaillais le moins dans l'équipe. Comme le studio est fermé le week-end, j'ai donc décidé de travailler le samedi après-midi pour compenser.
Récemment, je suis allé au studio un dimanche car j'étais pris la veille. Les effets se sont fait sentir dès le lundi. Je ne peux plus travailler toute une semaine d'affilée, sans me reposer un seul jour. Avant, travailler le dimanche ne me posait aucun problème, mais ce n'est plus possible. Même sans la réforme, je ne voudrais plus travailler jusqu'à minuit et, dans ces conditions, la production du film n'avancerait pas. En ce sens, la décision de nous faire rentrer à 20 heures n'est pas mauvaise. Au moins, tout le monde part en même temps. Plus personne ne traîne au bureau. L'ambiance est telle que tous les employés partent d'eux-mêmes aux alentours de 20 heures.
D'ailleurs, depuis la mise en place de la réforme, tout le monde a meilleure mine. En ne travaillant pas le week-end, on peut retourner travailler le lundi de bon coeur.
C'est en formant une équipe après une longue pause que vous avez ressenti le changement, non??
Oui. Comme je leur fais confiance, je leur transmets les tâches qui étaient de mon ressort. Et je le fais sans aucune crainte. La façon de dessiner des plis de vêtements, par exemple, est plus moderne que ce que je faisais auparavant. C'est très intéressant, ça apporte du nouveau.
Est-ce un changement d'esprit de votre part qui est à l'origine de cette transmission??
Je suis obligé de partager mes tâches. Je ne le fais pas par envie. Si j'avais laissé tous les documents sur mon bureau, ils n'auraient fait que s'accumuler. Il fallait agir. Et puis ce changement m'a permis de faire des découvertes. Avant de partir pour l'au-delà, je préfère observer diverses choses plutôt que d'en apprendre de nouvelles. (Rires)
D'où vous viennent votre passion et votre motivation??
De ma maladresse. J'ai toujours été maladroit et j'agis sur des coups de tête. Je ne me souviens plus du nombre d'années qu'il m'a fallu pour faire la version manga de Nausicaä de la vallée du vent [série de livres publiés entre 1982 et 1994, traduite en français chez Glénat], mais c'est parce que je suis étourdi. Pendant toute la durée de la production, j'ai été déprimé?; je n'arrêtais pas de soupirer. (Rires) Quand je prends une décision, je suis persuadé de réussir. Mais je me rends compte très vite que je n'avais pas réfléchi aux conséquences.
Votre prochain film a-t-il été lui aussi décidé sur un coup de tête??
Absolument?! (Rires)
D'où vous viennent vos idées?? Comment germent-elles dans votre esprit?? Dans une précédente interview, vous avez déclaré que c'était au collège que vous aviez découvert Kimi-tachi wa dô ikiru ka ["Comment vivez-vous??" inédit en français], le roman de Genzaburo Yoshino, publié en 1937, que vous avez décidé d'adapter.
Quand on me demande quel est l'ouvrage qui m'a le plus marqué dans ma jeunesse, c'est celui qui me revient avec le plus d'éclat. Les livres sont des rencontres prédestinées?; certains continuent à rayonner longtemps après. Quand j'ai lu Kimi-tachi wa dô ikiru ka [l'ouvrage, un grand classique de la littérature japonaise, raconte l'histoire d'un adolescent de quinze ans qui apprend à penser par lui-même, guidé par son oncle], je me suis dit que je ne pourrais jamais vivre comme son protagoniste, mais j'ai été très ému.
L'exposition comporte des croquis du musée. Selon quels concepts avez-vous créé ce lieu??
J'ai voulu adopter une démarche propre au musée : faire des films exclusifs, organiser des expositions sur des thèmes spécifiques. Il fallait abandonner l'idée que, puisqu'on était un studio d'animation, on devait tirer profit de nos personnages. Si le lieu lui-même manquait d'attrait, le musée ne ferait pas long feu. Si on avait exposé des oeuvres d'art classiques, dont la valeur est déjà reconnue, on aurait pu se contenter de faire des expositions. Mais ce n'est pas le cas, car l'animation est une sous-culture. Notre priorité est de faire plaisir aux visiteurs, c'est pourquoi nous avons investi beaucoup d'efforts dans le projet.
Je ne sais pas ce qu'il en est pour le public, mais nous, on en parle comme d'un musée, car, à nos yeux, c'en est un. Ce n'est pas l'Espace Totoro, ni l'Espace Ghibli. Et le programme n'est pas décidé par le Studio Ghibli. Le succès que l'établissement connaît depuis vingt ans est le fruit des efforts de nombreuses équipes. Un nombre considérable de visiteurs en sont devenus fans et reviennent régulièrement, mais il ne faut pas baisser la garde et négliger le service. Si nous ne voulons pas que les clients du café repartent déçus, il faut poursuivre ces efforts.
Dans la présentation des expositions, il est écrit que le musée doit être "un lieu de divertissement".
Je ne pense pas que les visiteurs se rendent dans ce genre d'endroit pour apprendre quelque chose. S'ils ne se divertissent pas, cela n'a aucun intérêt. Il faut qu'ils puissent se changer les idées?; pour moi, c'est la raison d'être du musée.
La position de producteur d'oeuvres d'animation diffère-t-elle de celle d'organisateur d'expositions??
Non. Simplement, pour produire une oeuvre d'animation, il faut énormément de patience. De la patience, de l'endurance et de la persévérance. En comparaison, le cycle du musée est plus court. Il y a des moments où l'on est si épuisé qu'on a la tête qui tourne, mais cela ne dure pas très longtemps.
Parmi les phrases que vous avez écrites à l'occasion de l'inauguration, en 2005, de l'exposition consacrée à Heidi, fille des Alpes [une série d'animation sortie en 1972, très novatrice en son temps, et à laquelle Miyazaki a collaboré], il y en a une qui m'a particulièrement marquée : "L'animation devrait avoir des possibilités plus vastes et plus riches. Si Heidi, fille des Alpes a vu le jour, c'est grâce à l'association d'artistes qui partageaient cette idée."
C'est toujours comme ça. [À l'époque, dans les années 1970, les oeuvres d'animation] étaient vraiment médiocres. C'était n'importe quoi. Même si beaucoup d'oeuvres qui nous inspirent aujourd'hui de la nostalgie sont restées, on trouvait alors que le niveau était assez faible. Tout ce qu'on voulait, c'était produire des oeuvres qui ne déshonorent pas la profession.
Que pensez-vous des possibilités de l'animation aujourd'hui??
Tout dépend des talents qui vont émerger. Est-ce qu'ils vont être mis au service du profit?? Toutes les oeuvres ou presque qui relèvent de cette catégorie sont sans intérêt, mais, dans le lot, il peut y avoir de véritables joyaux. Le fait de pouvoir ou non collaborer à ces chefs-d'oeuvre est une question de chance.
Il y a des artistes doués qui n'ont pas de chance. En collaborant à des projets médiocres, ils finissent par perdre leur talent. S'ils travaillent avec acharnement, en s'y consacrant corps et âme, ils peuvent arriver à quelque chose. Mais il y a des limites...
Dix courts-métrages ont été réalisés spécialement pour le cinéma du musée Ghibli.
Oui, nous lui avons accordé cette exclusivité. Quand on réalise un court-métrage, la question est de savoir quelle histoire raconter. Le livre pour enfants des soeurs Rieko Nakagawa et Yuriko Omura, Iya Iya En ["L'École maternelle : non, non?!" publié en 1962 et resté inédit en français], a été publié à l'époque où j'étais étudiant et il m'a laissé une impression inoubliable. C'est un livre qui traduit magnifiquement les sentiments des enfants. Comme on ne pouvait pas adapter l'oeuvre entière, je me suis inspiré de l'épisode où ils jouent à la chasse à la baleine.
Pour moi, un livre et un film ne doivent pas entrer en concurrence, car je ne veux pas avoir à décider lequel est le meilleur. Les oeuvres tributaires de leurs personnages sont elles aussi risquées, étant donné que ces derniers peuvent être populaires un jour et tomber dans l'oubli le lendemain. C'est pourquoi, quand je réalise un film ou que je crée un personnage, je m'efforce de ne pas altérer la motivation première. Peu importe que l'opération ne soit pas lucrative. L'essentiel est que les gens viennent au musée, qu'ils découvrent qu'on peut aussi y voir des films et qu'ils jugent leur visite plus intéressante que prévu.
Pour le court-métrage Boro la petite chenille, j'ai commencé par utiliser des images de synthèse, mais je me suis aperçu que c'était mieux au crayon, et j'ai fini par devoir tout dessiner à la main. Après avoir esquissé le mouvement, j'ai utilisé le numérique pour animer les images. C'était très intéressant.
J'en suis arrivé à la conclusion qu'il y a des animateurs sympathiques aussi bien chez les partisans du numérique que chez ceux qui dessinent à la main. Le numérique permet de faire des choses dont on était incapables avant. Ou alors il fallait user beaucoup de crayons pour y parvenir. Il n'est pas forcément indispensable de dessiner des lumières transmises intenses. On peut bâtir un monde dans lequel les enfants peuvent s'immerger même si chaque image n'est pas éblouissante.
Depuis que les progrès de la technologie permettent de capturer la lumière créée de manière analogique, nos équipes de tournage peuvent réaliser beaucoup de choses, dès lors qu'elles ont le matériel adéquat. Il n'est pas nécessaire de leur demander de créer telle ou telle lumière, il suffit de leur fournir les équipements.
?Il ne faut pas mettre en opposition le dessin numérique et le dessin à la main. Auparavant, le chef opérateur était aussi photographe, mais désormais ce travail est réalisé numériquement. La frontière entre les deux est floue et elle le restera. L'option numérique ne doit être retenue que quand le dessin à la main n'est pas envisageable.
Dans l'exposition en cours, on peut lire : "Les visiteurs comprendront que la création est un drôle de processus, à la fois douloureux et passionnant, dans lequel on surmonte les problèmes par des tâtonnements, des intuitions et des idées." Cela signifie-t-il a contrario qu'on a aussi tendance à s'ennuyer au travail et à trouver ses créations inutiles??
Je n'y ai jamais réfléchi. Si l'on s'ennuie, c'est que l'on fait un travail ennuyeux. Il suffit donc de créer quelque chose d'intéressant. Mais c'est dur de ne pas pouvoir dessiner comme on le souhaiterait. Et cela peut se traduire de diverses façons : on peut être affligé, dégoûté, énervé, en colère contre soi-même ou contre l'entourage qui se moque de vous. (Rires) Ce sont les aléas du travail.
L'organisation d'un musée est une tâche modeste, mais elle permet d'observer tout ce qui s'y passe. Les variations parfois brutales de fréquentation, la difficulté à recruter de bons éléments, les résultats en dents de scie... Il faut beaucoup de patience et de persévérance pour surmonter l'énervement. Mais tous les efforts sont faits pour permettre au musée de perdurer.
Propos recueillis par Eriko Chiba
11 notes · View notes