Tumgik
#vêtement fait main
4nuttyaddict · 2 years
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Jupe mi-longue en coton à motifs patchwork. Lien facebook: https://www.facebook.com/4-nutty-addict-850962241666113
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Un nouveau projet d'automne commence dans mon atelier de cousette... Petit aperçu ! 🥰🍂🪡
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elfaen · 1 year
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Customisation d'une salopette (hirondelles + ceinture), boucles d'oreilles et grigris / clothe customize (birds + belt), earings and keychain
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waltergoldpreppy · 3 days
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Good Golden morning for Anthony
The next morning, at exactly 7am, Anthony is woken from his sleep by a notification on his phone. A message from Waltergold containing a video. Still half asleep, he unlocks his phone and opens the video. The screen flickers with a strange mix of white and Gold lights, hypnotic. The soundtrack, a low, repetitive melody, fills his ears as he instinctively puts on his headphones.
He hesitates for a moment. He knows the video is an hour long, but he can't help but stare at the screen, fascinated by the Golden sparkles dancing before him. "It's just a video," he tells himself. Yet something about the flicker captivates him more than he would like. Gradually, his eyelids become heavy, and his mind blurs, as if he's dissolving into the Golden flow.
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Lorsqu’il cligne enfin des yeux, une heure s’est écoulée sans qu’il ne s’en aperçoive. Il regarde l’horloge de son téléphone, incrédule. Il est 8h15. « Merde, je suis en retard ! » Son cœur s’emballe. Il sursaute, se précipite vers la salle de bain. Sous la douche, une pensée étrange lui traverse l’esprit. Il se souvient d’un détail presque oublié ; lors de son entretien d’embauche, son patron avait évoqué un code vestimentaire au travail. À l’époque, Anthony n’y avait pas prêté attention, préférant ses vêtements décontractés. Mais aujourd’hui, pour une raison qu’il n’arrive pas à expliquer, cette règle lui paraît soudain indispensable.
En sortant de la douche, ses mains s'attardent plus longtemps que d'habitude sur son visage, son menton, ses cheveux. Il se sent étrangement préoccupé par son apparence. Il ouvre son placard et, au lieu de prendre sa tenue décontractée habituelle, il se retrouve à chercher des vêtements plus formels. Son esprit est embrumé, mais une certitude émerge : il doit se conformer. C'est comme si une voix intérieure lui disait que suivre les règles est la seule option.
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Il sort une chemise en coton blanc immaculé. La matière est douce, presque soyeuse sous ses doigts. Il la fait glisser sur son torse, ajustant chaque bouton avec une précision méticuleuse. Puis, il attrape un pantalon gris anthracite, en laine légère. Il ne se souvient même plus pourquoi il a ce pantalon, mais il le trouve parfait aujourd'hui. Enfilant de fines chaussettes noires et des chaussures de ville en cuir noir brillant, il est surpris par la sensation du cuir sur sa peau, raide et structurée, à l'opposé du confort de ses baskets habituelles.
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Devant le miroir, il hésite avant d’ajouter une cravate bleu marine, à peine texturée. Il l’enroule autour de son cou, serrant le nœud avec une précision surprenante pour quelqu’un qui en a à peine porté une. La soie de la cravate glisse doucement entre ses doigts, et il ajuste le nœud jusqu’à ce qu’il soit parfaitement centré et serré. Un dernier détail saute aux yeux : ses cheveux. Il ramasse un pot de gel qui traînait dans son tiroir, se demandant brièvement pourquoi il fait ça, puis l’applique généreusement, en peignant ses cheveux sur le côté avec une raie parfaitement visible. Le gel brille à la lumière, fixant ses cheveux impeccablement. En voyant son reflet, il se sent à la fois étrangement satisfait et troublé. Pourquoi cette obsession soudaine ?
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As he leaves for the office, a feeling of absolute control washes over him. The tight, well-fitting clothes reinforce a sense of discipline he has never felt before. The wool of the pants gently rubs against his legs with each step, the collar of his shirt is slightly tight around his neck, and the knot of his tie exerts a constant, almost reassuring pressure.
At the office, reactions are quick to come. As soon as he walks through the door, his colleagues look up, surprised. This sudden change in style does not go unnoticed.
“Wow, Anthony, this is the first time I’ve seen you dressed so smartly!” exclaims one of his colleagues.
“Do you have an interview with the bosses or something?” jokes another.
Anthony sketches an awkward smile, his cheeks slightly red, not really knowing what to say. He shrugs, mumbling something unintelligible about a “change of mood”. But that’s not the real reason. He knows it. There’s this inner voice, this impulse that pushed him to put on these formal clothes. He has a hard time understanding it, but it’s there, still echoing in his head.
Throughout the day, he receives compliments on his appearance. He finds himself enjoying the admiring glances. Yet, every chance he gets near a mirror, he can’t help but check his hair, running his hand through the gel to make sure his parting is still well defined. His tie knot becomes a silent obsession, which he adjusts constantly, even when no one is looking.
Despite the remarks and questions, Anthony easily focuses on his work. His thoughts also often drift to that morning video, to that strange feeling of obedience that now seems anchored in him. A part of him still resists, trying to understand what is happening, but another part, deeper, feels good in this new version of himself, more disciplined, more compliant.
The day finally ends. Anthony quickly greets his colleagues, escaping their curious glances, and goes home. He breathes a sigh of relief as he closes the door to his apartment behind him, but even at home, he cannot get rid of this strange feeling of discomfort and satisfaction mixed together.
(End of Part 3)
(Part 2)
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noctambulbe · 1 month
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Ce matin, j’ai esquivé un pigeon kamikaze, le genre de bestiole qui te fait croire que même les volatiles ont un contrat sur ta tête. La bestiole s'est tirée avec un croissant, me laissant avec la désagréable sensation que même le petit-déj' est une lutte pour la survie. Alors, je me suis dit, "ok, si même les oiseaux se foutent de ma gueule, c’est peut-être le moment de réévaluer mes priorités." J’ai continué ma route, enfilant les rues comme des perles sur un collier bon marché, avec ce sourire en coin qui dit “la vie, c’est une farce, et moi, j’en suis le clown involontaire”. Entre deux regards mal interprétés et une poignée de mains moites, j’ai croisé un type qui semblait avoir perdu une bataille contre ses propres vêtements. Ça m’a rappelé que, finalement, on est tous là à essayer de ne pas se vautrer, que ce soit sur un trottoir bancal ou dans nos foutues existences. Alors ouais, j’ai rigolé, parce qu’au fond, qu’est-ce que tu veux faire d’autre ? Rire, c’est l’ultime pied-de-nez à cette mascarade qu’on appelle la réalité.
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ascle · 1 month
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La lettre S
S’adonner
Bien s’entendre
Sacoche
Sac à main.
« Vieille sacoche » = détestable femme âgée
Schnolle
Testicule, couille
Scraper
Détruire, démolie
Sécheuse
Sèche-linge
Secondaire
Deuxième palier d’enseignement. Après les 6 premières années du primaire, les étudiants passent 5 ans au secondaire, de 12 à 17 ans.
Secousse
Un intervalle de temps assez long. Exemple: Ça fait une secousse qu’on n’a pas eu de photo de Carole!
Senteux
Personne curieuse, indiscrète
Séraphin
Avare, pingre
Serrer
Ranger, mettre de côté, à l’abri, remiser ou entreposer.
Siffleux
Marmotte
Slush
-> granité
-> mélange des neige fondante et d’eau qui se forme sur les routes où les trottoirs l’hiver.
Sparage
Gesticulation, manifestation nerveuse, déplacer de l’air dans le seul but de distraire.
Expressions
S’énerver le poil des jambes
S’exciter exagérément, perdre patience rapidement, céder à la panique.
S’habiller en mou
Porter des vêtements très conformes le, comme un survêtement sportif ou un pyjama.
S’enfarger dans les fleurs du tapis
Se compliquer la vie pour des riens. S’arrêter à des détails insignifiants.
Sans bon sens
À un degré très élevé. Beaucoup.
Exemple: c’est long sans bon sens avant d’avoir une photo de Carole.
Sauter la clôture
Commettre l’adultère
Se faire passer un sapin
Se faire avoir, se faire duper, se faire tromper.
Se peinturer dans le coin
Se placer soi-même dans le pétrin, se faire prendre à son propre jeu, être acculé au pied du mur par sa propre faute.
Sentir la chnoutte
Sentir mauvais. Dégage de mauvaises odeurs (chnoutte = 💩)
Sentir le fond de tonne
Empester l’alcool
Se sécher les dents
Sourire niaisement ou faussement.
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chic-a-gigot · 11 months
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Le Petit écho de la mode, no. 45, vol. 20, 6 novembre 1898, Paris. 1. Costume tailleur et Vêtement d'Hiver (Modèles de Mlle Thirion, 47, boulevard Saint-Michel, Paris. Voilettes en tulle de soie à pois, chenillées à la main, nuances: blanc, noir et blanc à pois noirs. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
No. 1. I. Costume tailleur en drap satin, composé d’une jupe coupée en trois lés, doublée, garnie d’une jolie broderie faite à même l’étoffe et disposée en rond et d’un corsage-veste ajusté du dos, avec petits côtés de dos et de devant. Devant demi-ajusté par une pince, découpé au bas et garni de deux revers de soie. Ce corsage s’ouvre au milieu sur un plastron bouffant retenu à la taille par une ceinture en gros grain. Ce gilet est posé sur une doublure ordinaire fermée au milieu du devant. Garniture de broderie rappelant celle de la jupe. Manche à coude brodée dans le haut. Collet rond fait en drap et velours garni de mongolie et surmonté d’un col Médicis doublé de fourrure. Manchon assorti. Chapeau en velours orné de plumes et de velours.
No. 1. I. Tailored costume in satin cloth, composed of a skirt cut in three lengths, lined, trimmed with pretty embroidery made on the fabric and arranged in a round and a fitted back bodice-jacket, with small sides of back and front. Half-adjusted front with a pleat, cut at the bottom and trimmed with two silk cuffs. This bodice opens in the middle onto a puffed bib held at the waist by a grosgrain belt. This vest sits over a regular lining closed at the center front. Embroidery trim reminiscent of the skirt. Elbow sleeve embroidered at the top. Round collar made of cloth and velvet trimmed with Mongolia and topped with a fur-lined Medici collar. Matching sleeve. Velvet hat decorated with feathers and velvet.
Matériaux: 6 mètres de drap pour le costume, 0m60 de soie.
II. Vêtement Noël d’une forme très gracieuse, composé d’un grand collet, arrondi et croisé devant, en velours noir ou drap garni de deux bandes de chinchilla. Col Médicis doublé de chinchilla; doublure du vêtement en satin de couleur ou noir. Capote en jais et roses roses avec oiseau posé sur le devant.
II. Christmas garment of a very graceful shape, composed of a large collar, rounded and crossed in front, in black velvet or cloth trimmed with two strips of chinchilla. Medici collar lined with chinchilla; lining of the garment in colored or black satin. Jet and pink roses hood with bird placed on the front.
Matériaux: 2m50 de drap ou 4 mètres de velours, 5 mètres de satin.
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sh0esuke · 4 months
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" Nothing On Me "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Jason Todd / Arkham Knight
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Une vie passée cachée de tous n'en était pas vraiment une. Plus que consciente, elle acceptait ce train de vie sans même un regard en direction de son existence passée. Tant qu'il était là, elle pouvait bien tout mettre en l'air, peu lui importait. Car après tout, sa vie c'était lui. Qu'elle s'en aille loin de tous, qu'elle abandonne ses études, qu'elle fuie sa famille, tout ça n'eut aucun impact sur elle, pas même alors qu'il lui était revenu d'entre les morts. De nouveau, sa vie ne tournait plus que autour de son existence même, son premier et dernier amour. C'était ainsi le destin qu'elle avait choisi.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟖𝟐𝟏.
Song : Nothing On Me - Kai
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Passant ma main sous le pommeau de douche, je frissonnai. L'eau était glacée.
La salle de bain était répugnante, du sol au plafond. Une odeur d'humidité flottait dans l'air, mélangée à celle d'herbes trempées, c'était pourquoi j'insistais toujours pour laisser la petite fenêtre entre la douche et le lavabo ouverte. Elle permettait d'aérer, elle apportait une certaine pointe de fraîcheur à la pièce. Elle n'effaçait pas les traces de crasse au sol, ni ne faisait disparaître les champignons qui avaient commencé à pousser sous l'évier, tout était dans le même état, rien n'avait bougé depuis ce matin. L'odeur était d'ailleurs toujours présente. Parfois je me demandais pourquoi je laissais cette fichue fenêtre ouverte ⸺celle-ci pourtant à côté d'une gare agitée. Cependant, lorsque j'oubliais de le faire et que je devais faire face à une odeur de renfermée chaude et intoxicante, je savais me montrer reconnaissante. Depuis le temps, j'avais retenu la leçon.
Malgré la condition sanitaire de la pièce, je laissais choir mes vêtements à même le sol. Ma brassière, mon boxeur et une vielle paire de socquettes blanches qui ��taient à présent plus noires qu'autre chose. Tout traînait près du panier à linge qui débordait de vêtements malodorants.
Pendant que l'eau de la douche se réchauffait ⸺ce qui durait depuis déjà plus de cinq minutes⸺ je me lavais le visage. Je terminai de malaxer ma peau, évitant de faire tomber ma brosse à dents qui reposait sur le rebord du lavabo. Je venais à peine de me finir de me nettoyer la bouche, je n'avais pas pensé à la ranger immédiatement. Je n'avais aucune idée de quelle heure il était, je savais juste que nous étions bien loin de minuit, et que j'aurais dû être couchée depuis longtemps. Alors que je m'observai dans la glace brisée face à moi, cela m'importa peu.
J'essuyai mon visage d'une serviette à peu près propre et descendis jusqu'à ma nuque. Je tapotai la surface. Mes gestes furent très délicats.
Nue dans ma minuscule salle de bain, je chouchoutai mes traits autant que je le pouvais, de mes produits restants et avec les minutes de plus que j'avais à cause de la condition de ma douche.
Même après tous ces mois écoulés, je ne m'étais toujours pas faite à cette vie. Cet appartement miteux ne me revenait pas, ni le quartier violent dans lequel j'habitais. J'étais chanceuse lorsque le bruit des trains passants près de mon immeuble me réveillaient, parfois c'étaient des hurlements, le pleur de femmes battues, ou même des coups de feu.
Mais j'étais heureuse.
J'étais épanouie autant que je pouvais l'être dans une telle situation. C'était déjà ça, à mes yeux. C'était un sacrifice, il coûtait cher, mais je ne regrettais absolument rien.
Reposant ma serviette sur le petit crochet fixé au mur, j'ignorais la manière dont celui-ci se lit à trembloter pour faire volte-face. Je me chargeai rapidement de ma chevelure, parce que j'étais bien trop fatiguée pour les nettoyer ce soir, puis j'entrai dans la douche. J'aurais bien voulu refermer la porte coulissante derrière moi, cependant la porte en question était portée disparue. De l'eau éclaboussait le carrelage; c'était le cadet de mes soucis. J'étais bien trop occupée à passer mes doigts sur mon corps, partant de mes clavicules jusqu'à mes coudes. J'étais désormais trempée. De la tête aux pieds, des gouttes d'eau roulaient le long de mon  épiderme, chaudes et empestant la rouille. Autrefois, j'aurais questionné la qualité de l'eau, je serais sortie en vitesse de là, sanglotant et beuglant à l'assassin, néanmoins, ça n'était pas le cas. La moi actuelle s'en fichait éperdument.
J'étais heureuse d'être là.
Mes mains glissaient jusqu'à entrer en contact avec mes hanches, elles tombaient dans le bas de mon dos jusqu'à effleurer mon derrière. Je tâtai de ma chair, la tête renversée en arrière, le regard rivé sur le plafond doré de moisissures. Je n'étais même pas sûre de cligner des yeux. C'était délicieux. Cette chaleur s'emparant de moi, cette fumée brûlante qui envahissait la pièce et ce silence. J'en oubliai tout. Je me souvins de tout.
Mes pensées se bousculèrent, mon cœur s'emballa.
Et tandis que je remontai mes mains en direction de ma gorge, mes paupières se fermèrent. Je précipitai mes doigts entre les racines de mes cheveux, trempant mes poils et tâtant de la chaleur de mon cuir chevelu. Le flot d'eau provenant du pommeau de douche continuait à me tremper, telle une cascade, j'étais son socle, de l'eau me coulait entre les jambes, sur la pointe de mes seins, jusqu'à mes coudes, mes chevilles et orteils. Même mon dos ne put y échapper. De la tête au pied, j'étais noyée, enfouie sous ce tsunami de chaleur, il m'en brûlait la peau, il me marquait au fer rouge.
Ce ne fut que quelques minutes plus tard que je me décidais à bouger, le temps de reprendre possession de mon corps. Je me saisis d'un gel douche à la senteur fruitée, et fis usage de mes ongles et paumes afin de récurer ma chair jusqu'au sang.
Je snobai les picotements qui survinrent un peu partout sur mon corps, me mettant en garde.
J'ignorai le creux dans mon estomac me prévenant que je me situais sur une pente dangereuse.
À nouveau, j'oubliais tout.
À nouveau, je me souvenais de tout.
C'était une addition divisé, un oxymore qui me brûlait les neurones, un feu glacé qui me rendait malade. J'en avais les larmes aux yeux. Et je frottais. Mais je frottais. Je me nettoyais jusqu'à ne sentir que mes mains me toucher, j'ignorais le souvenir de ces mains violentes entre mes jambes, j'ignorais cette sensation d'être pincée et explorée un peu partout. J'ignorais ce sentiment d'humiliation, cette impression d'être réduite à l'état de proie.
Une simple brebis face au Prédateur.
Ce ne fut qu'étant pleinement satisfaite que j'acceptais de descendre en direction de mon ventre. Jugeant mes bras suffisamment purifiés, je les abandonnais à leur triste sort.
Frôlant la surface de mon nombril du bout de mes doigts, je sursautai. Une étrange réaction survint. Je levai le menton vers le pommeau et, les sourcils froncés, me mordis la lèvre inférieure. Je laissai mes bras retomber le long de mon corps. Un soupir fébrile s'échappa d'entre mes lèvres pendant que mon cœur s'emballait. Ses battements se firent plus désordonnés.
Et alors que je tentai de retrouver mon calme, une énorme secousse suivit d'un bruit assourdissant me prirent par surprise.
Je tournai la tête et vis une silhouette se dessiner devant l'entrée de la douche, quelque peu assombrie par l'absence de lumière ⸺il n'y avait qu'une vieille lampe torche sur l'évier pour faire le travail. Celle du plafond avait rendu l'âme deux mois plus tôt. Il avait laissé la porte grande ouverte, donnant sur le salon d'une obscurité angoissante, presque surnaturelle.
Une de ses mains se fraya un chemin sur la vitre de la cabine, il s'y tint.
« Je t'ai cherchée partout. »
Un sourire se dessina sur mes lèvres.
« Je suis là. »
Je me reculai de la source d'eau, ouvris mes bras et le laissai s'approcher. Jason passa ses bras autour de ma taille. Sans attendre, il me pressa contre lui, enfonçant son visage dans le creux de ma nuque.
« Il est quelle heure ? » demandai-je.
« Deux heure. »
« Mhh, tu rentres tard, ce soir. Qu'est-ce que tu faisais ? »
Il ne répondit pas.
« Jason ? »
« On s'en fiche, je suis rentré c'est le principal. »
Sa manière d'éviter ma question me contraria légèrement. J'aurais voulu en savoir plus, j'aurais voulu l'épauler, malheureusement, je n'étais plus l'oreille contre laquelle il pouvait se confier. Depuis qu'il était revenu d'entre les morts ⸺quelques mois auparavant, il était devenu méconnaissable. Jason me cachait tant de choses, j'étais d'ailleurs l'une d'entre-elles. Enfermée à double tours dans ce vieil appartement miteux, je n'étais pas mieux que le reste de ses secrets.
« Mhh, tu as raison. Bon retour à la maison, mon amour. »
Mes bras étaient passés autour de sa nuque, je les dépliai avec pour objectif de caresser ses joues. Tout en pressant la pulpe de mon pouce contre sa cicatrice, je plongeai mon regard dans le sien. Jason sursauta au contact. Il ne me repoussa cependant pas. Il conservait ses bras autour de ma taille trempée, lui toujours habillé.
Sa peau était chaude, de lui émanait une odeur métallique. Il n'était vêtu que d'un simple t-shirt vert foncé et d'un pantalon noir suivit de chaussettes. Rien ne me parut suspicieux et j'étais si comblée à l'idée de le retrouver que rien d'autre n'attira mon attention. Jason me serra contre lui. Il plaqua mes seins nus à son torse, mon bassin contre le sien et fit se toucher nos fronts. Je glissai mes doigts dans sa chevelure, soupirant un peu. Puis, je murmurai gentiment :
« Tu veux te doucher avec moi ? »
Jason hocha la tête.
Je reculai donc à l'intérieur de la douche et l'emportai avec moi. Immédiatement, nos lèvres se rencontrèrent. La cascade d'eau retomba du sommet de ma tête jusqu'à mes pieds pendant que je m'accrochais à lui si désespérément que j'en avais fermé mes paupières. Jason avait fait de même. Je le sentis se débarrasser de ses vêtements en même temps, il avait commencé par en bas, déposant de léger baisers sur mes lèvres lorsque ses mouvements nous forçâmes à nous séparer. Puis il s'était dépêché de faire pareil avec son t-shirt pour venir se presser entièrement contre ma silhouette.
Jason m'enferma dans une étreinte ardente, si chaude que la température brûlante de l'eau qui nous tombait dessus en aurait presque eu honte. La sensation de ses bras autour de moi, de nos torses se frottant l'un contre l'autre, nos lèvres se rencontrant sans une once de répit... C'était divin. À l'instar d'un festin royal dont les saveurs faisaient exploser mon cœur dans une symphonie de pulsations.
Je le sentais partout autour de moi.
Jason et moi ne faisions qu'un, nous étions à présent le socle de cette cascade humide, rongés par cette même eau, bougeant au même rythme et notre épiderme fusionnant de part cette chaleur qui nous faisait petit à petit fondre. J'en avais des vertiges. Mes poumons se fidèrent de dioxygène à la vitesse de l'éclair, je m'accrochais à lui, me cramponnais à sa chair et goûtais ses lèvres humides. Jason répondait à ma vivacité avec passion, il s'agrippait à la chair de mes hanches, frottait son corps nu au mien dans des mouvements erratiques. Ça n'avait rien de pressé ni de sexuel, c'était sensuel et séducteur. L'effort que nous faisions à nous embrasser ne signifiait pas notre empressement quant à ne faire qu'un, c'était plutôt sous l'emprise d'un fort sentiment de soulagement que nous agissions. J'étais heureuse de le retrouver, c'était de même pour lui.
Jason remonta une main en direction de ma nuque, il s'en saisit et rapprocha nos visages. Il contrôlait le tempo et l'intensité de notre baiser.
Ses lèvres se moulaient parfaitement à la forme des miennes, notre salive ne faisait qu'un, gênée à répétition par l'averse qui nous tombait dessus. Le goût métallisé provenant du pommeau de douche me fit grimacer, cependant les caresser qu'exerçait Jason sur ma nuque suffirent à me distraire. J'en venais à gémir contre lui.
Je poussais une petite plainte dans sa bouche, il répondit dans un grognement grave.
C'en était presque animal, primitif, la manière avec laquelle j'étais pressée contre lui, comme si sans lui je risquais de manquer d'air. C'était bien plus que ça en soi. Son étreinte était bien plus que deux simples mains qui me pressaient contre lui, c'était notre fusion; corps et âme, c'était une connexion qui allait au delà des mots, qui transcendait toutes les réflexions que j'avais pu avoir jusqu'à présent.
J'aurais pu mourir ainsi, les poumons écrasés par ma cage thoracique, la respiration saccadée et la gorge ravagée par des brûlures enflammées. Tout ça pour rester auprès de lui. Pour toujours et à jamais.
Toutefois, il fallut que Jason se recule.
Ses paumes de mains se posèrent sur mes épaules, il embrassa doucement mon front, puis l'arête de mon nez, et imposa quelques centimètres entre nous afin que nos regards puissent se croiser. Je papillonnai des yeux. Il nous fit sortir du dessous du pommeau, en direction de la sortie de la douche et arrangea ma chevelure avec une minutie attendrissante. Elle me fit fondre sur place, les pupilles pétillantes et le bas ventre en compote.
« Tu es encore plus belle que dans mes souvenirs. » il murmura.
« Jason... »
J'avais l'impression que mon cœur allait exploser.
« Merci d'être venue avec moi, merci de m'avoir suivi jusqu'ici. »
Jason embrassa le coin de ma bouche, puis ma mâchoire, puis ma tempe et il finit avec le milieu de mes sourcils. Il me dora de baisers, la prise de ses mains sur mon visage plus ferme que jamais.
« Je t'ai promis mondes et merveilles et j'y arriverai. » insista-t-il. « Tu mérites pas moins que ça, mon cœur. »
« Tant que tu me reviens. »
Je le pris par surprise en interceptant ses lèvres, je l'embrassai à mon tour.
« C'est tout ce que je veux. Toi. Toi et juste toi. Seulement toi. »
« Je t'aime. »
Une armée de papillons s'en allèrent chatouiller mon bas ventre. Je frémissai contre lui, incapable de réprimer le rictus qui prenait place sur mes lèvres.
« Moi aussi. »
Je l'embrassai.
« Je t'aime. Je t'aime. »
Tout était inhabituel depuis qu'il m'était revenu. J'avais appris son décès et m'étais immédiatement enfermée dans une dépression qui me fit frôler la mort du bout des doigts plus de fois que j'aurais aimé l'admettre. Malgré l'aide de ses frères, et de ses amis, il m'avait été impossible de tourner la page. Passer à autre chose après avoir aimé Jason Todd n'était pas une mince affaire. J'avais refusé tout type d'aide. Je m'étais enfermée dans ma chambre pendant des semaines entières et j'avais vécu avec pour simple compagnie le souvenir de son sourire et son odeur corporelle enduite sur ses vêtements. Lorsqu'il m'était revenu, j'avais cru devenir folle. Il était resté flou, je ne connaissais que les grandes lignes, la seule dont je me souvenais était sa proposition. Tout quitter le temps que les choses s'arrangent ou le quitter et définitivement tourner la page.
Alors oui, tout était inhabituel. De ce vieil appartement qu'il avait trouvé dans un des quartiers les plus miteux de Gotham, jusqu'à notre routine. Jason disparaissait presque tous les jours à faire je ne savais quoi. Parfois, il ramenait des tonnes de liasses d'argent qu'il cachait dans l'un des murs de notre cuisine, d'autre, il me revenait tout égratigné et m'empêchait de le questionner. Ce Jason était différent de celui que j'avais autrefois connu.
Celui que j'avais face à moi était plus sérieux, il avait perdu son éclat d'antan. Lorsque nous nous retrouvions, dans ces moments là, cette différence me dépaysait.
Cependant, une chose me restait familière : l'amour que je lui portais.
Lorsqu'il me caressait, m'embrassait, lorsqu'il me susurrait des mots doux au creux de l'oreille ou même lorsque nous ne faisions qu'un, il réveillait cette flamme de passion au sein de mon cœur, cette même flamme qui s'était embrasée la première fois que nos regards s'étaient croisés. Elle n'avait jamais disparu. Malgré tout Jason ne cessait de la raviver. À chaque toucher, parole, coup d'œil, il me faisait davantage l'aimer.
Je m'en fichais de ce qu'il me cachait.
Je me fichais de la provenance de tout cet argent.
Je me fichais de sa rancœur à l'égard de son père.
Je me fichais de tout tant qu'il me revenait vivant. Ma plus grande peur était de le perdre à nouveau, alors je refusais de le faire fuir avec toutes mes questions. J'avais juste besoin de savoir qu'il m'aimait et que jamais il ne me quitterait. Pour l'instant, Jason s'en sortait à merveille. Malgré le côté redondant de mon quotidien et mes conditions de vie inquiétantes, la pensée que je n'avais besoin que de lui pour être heureuse s'était rapidement certifiée.
Le sol à mes pieds aurait bien pu s'écrouler, il me suffisait d'entendre le son de sa voix et de sentir sa peau sur la mienne pour savoir que tout irait bien. Car tant qu'il était là, j'étais saine. J'étais complète. J'étais comblée.
Ma bouche trouva la cicatrice sur sa joue. Jason tourna la tête sur le côté, alors je le chassai et déposai un baiser sur sa mâchoire. Nous ne tardâmes pas à nous laver, l'eau de la douche ayant suffisamment coulé comme ça. Nous sortîmes de la salle de bain une dizaine de minutes plus tard. Vêtue d'un bas de jogging à lui et d'un simple soutien-gorge, je le suivis, main dans la main, jusqu'à notre lit ⸺un simple clic-clac dans le salon. Jason s'assit dessus et me guida sur ses cuisses, je pris place sans mal, ma poitrine collée à ses clavicules et mes bras passés autour de ses épaules.
L'appartement était minuscule, il n'y avait que deux pièces, un salon ⸺plus un petite cuisine, et une salle de bain. Dans un des murs était incrustée une armoire dans laquelle le peu de vêtements que nous avions étaient rangés. La qualité de l'endroit laissait à désirer, les murs, le sol et le plafonds manquaient d'isolation, les secousses provenant de la gare à côté handicapaient notre quotidien malgré les mois que nous avions déjà passé ici, nous n'avions jamais pu nous y habituer. Le frigo contenait mal nos restes de nourriture, il n'y avait pas de four et le micro-onde m'avait lâché la semaine dernière lorsque j'avais cherché à réchauffer mon bol de soupe. Sans parler du bazar qui traînait un peu partout dont nous étions responsables; entre bouts journaux, miettes de gâteaux, vêtements et sous-vêtements, objets parfois indescriptibles, CDs, cassettes, fils d'électroniques.
Nous vivions dans un chaos pur, avec au centre, juste lui et moi. Nous deux.
Je le sentais, toujours aussi proche de moi. Je le regardais dans le blanc des yeux, le corps chaud et un stupide sourire dessiné sur mes lèvres. Jason avait abandonné ses mains sur mes hanches, il jouait du bout de ses doigts avec l'élastique de mon ⸺son⸺ jogging. De cette manière, je me sentais invincible. Pas dans le sens où je me sentais forte, capable de tout surmonter, non. Je n'avais pas l'étoffe d'une héroïne. Malgré tout, je me sentais bel et bien invincible, je le devais à Jason. À ses côtés j'avais l'impression de ne rien risquer. J'étais certaine qu'il resterait à mes côtés, qu'il me protégerait : d'autrui, de mes souvenirs et traumatismes, de n'importe quoi. Tout ce qui aurait pu me blesser d'une quelconque manière.
J'aurais tout donné pour rester ainsi.
« T'as mangé ? » il me demanda.
« J'avais pas faim. »
Jason releva un sourcil.
« Tu m'as attendu, c'est ça ? Je t'ai déjà dit de pas le faire. » pesta-t-il dans un soupir. « Je t'avais laissé un peu d'argent sur le comptoir, t'y as même pas touché. »
« Je sais.. Mais m'en veux pas, j'étais persuadée que tu rentrerais tôt. »
« Je t'ai manqué ? »
« Quelle question... »
Il me pinça les hanches.
« Réponds, je sais que c'est vrai. »
« Eh ! »
Je plissai les yeux à la vue de son rictus taquin.
« Bien sûr que tu m'as manqué. Je t'ai attendu du matin jusqu'au soir. » marmonnai-je en roulant des yeux. « Tu mérites même pas que je te réponde. »
« Tu m'as manqué aussi, mon cœur. »
Je gloussai et me rapprochai de lui. Jason en profita pour lâcher mes hanches et plutôt les entourer de ses bras. Il me pressa contre lui, de nos bassins jusqu'à nos ventres et ma poitrine contre son torse. L'étreinte fut splendide, si romantique et passionnée. J'en eu des frissons. Le bout de nos nez se frôlèrent, finalement, nos fronts entrèrent en contact. Doucement, je vis ses yeux se fermer. Jason expira ensuite un doux soupir.
« Tu vas dormir ? » je l'interrogeai et passai mes doigts dans sa chevelure.
« Ouais, je suis crevé. » il répondit.
Son emprise sur mon corps me forçait à le suivre lorsqu'il me fit pivoter sur le côté et entrer en contact avec le matelas du clic-clac. Jason nous fit juste après reculer. Nous arrivâmes au niveau de nos oreillers respectifs, et il s'allongea sur moi, sans jamais lâcher mon estomac. De sa bouche, s'échappait un soupir d'aise. Sa tête se frotta à ma poitrine, il y trouva grand réconfort, sans ouvrir les yeux ne serait-ce qu'une fois. Je l'accueillais à bras ouverts. La vue de son expression détendue me sut suffisante. Ses traits étaient relâchés et les rayons lunaires provenant de la fenêtre juste à côté l'éclairait si joliment. J'en avais des papillons dans le ventre, le cœur qui pétillait. Il était magnifique, il m'était impossible de me lasser dès que mes yeux se posaient sur lui. J'étais irrésistiblement attirée par lui, charmée, envoûtée. Il m'était impossible de détourner le regard.
Jason déposa de doux baisers sur mon décolleté, il embrassa ma peau, me pressa contre lui. La manière dont il s'accrochait à moi était autant désespérée que passionnée. Je faisais de même en retour. Mes doigts se noyèrent dans sa chevelure corbeau, je l'agrippai et abaissai ma tête de manière à coller ma joue au sommet de son crâne.
C'était d'une perfection inconcevable.
Plus rien ne vint polluer mon esprit, je ne me souvenais plus de rien, n'omettais plus rien en retour. Tout ce qui comptait en cet instant se trouvait en mon sein, au creux de mon cœur. C'était lui, Jason Todd. Rien d'autre.
Je le vis s'assoupir, l'eus accompagné à l'aide de tendres caresses. Sa respiration s'était calmée, la force avec laquelle il m'eut précédemment maintenue en place disparue simultanément. Une demie heure s'écoula. Ne trouvant toujours pas le sommeil, j'étais malgré tout restée là, à ses côtés, attendrie par l'expression adorable sur son visage et tout autant intriguée par la cicatrice en forme de J incrustée dans sa joue. Je l'avais frôlé de mon pouce, j'avais ensuite embrassé sa tempe.
J'avais pris soin de lui aussi longtemps que possible. Morphée ne tarda pas à me voler, lorsque ma garde s'était baissée et que la fatigue avait commencé à me cueillir. Il m'accueillit à son tour et m'emporta dans le même monde de douceur dans lequel Jason avait déjà trouvé réconfort. Je l'y rejoignis avec hâte.
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wandajetaime · 5 months
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The Alchemy
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♡ Ship: Jason Mendal x Ysaline
♡ résumé : Ysaline se réveille dans le même lit que Jason Mendal...
♡ words: 1283
♡ ps : Bonjour! Avec la sortie d'Amour sucré NewGen, j'ai eu une envie d'écrire quelque chose sur Jason Mendal et... j'en suis plutôt fière de ce one shot ^^ qui continuera peut être ou peut être pas. Il n'y rien d'explicite. Merci de prendre le temps de lire ! <3
♡ ps 2: je l'ai écrit en écoutant Fortnight et The Alchemy de Taylor Swift ^^ beaucoup de mes écrits seront inspirées de ses chansons :D
♡ ps 3: Pas besoin d'avoir joué au jeu pour lire ;)
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Le doux soleil de printemps caressait avec délicatesse le visage d'Ysaline. Elle ouvrit légèrement ses yeux avant de les refermer aussitôt à cause de la lumière vive. La brune se retourna avant de cacher son visage du soleil et de gagner quelques minutes de sommeil en plus.
Néanmoins, elle heurta un mur. Enfin, ce qu'elle pensait qui était un mur n'était autre que le dos d'un homme, torse nu à côté d'elle. Aussitôt elle se souvint.
Pourquoi avait-elle fait ça ? La personne avec qui elle partageait ce lit, n'était autre que Jason Mendal, qu'elle avait rencontré la nuit dernière. Enfin, " rencontré " si l'on peut dire... Jason l'avait invité à dîner dans un restaurant privé d'Amoris.
Ce qui était étrange, c'était les circonstances de leur rencontre. Les deux amants travaillent dans des boîtes concurrentes dans l'événementiel. Ysaline, suite à sa démission dans son ancienne boîte, a déménagé chez sa mère et a posé ses bagages dans cette ville. Bien vite, la jeune femme a retrouvé du travail, avec un entretien téléphonique d'à peine dix minutes. À l'entreprise Devenementiel.
Ysaline s'est très vite accommodé à cette entreprise et ses collègues plus... loufoques qu'elle n'ait jamais eu ! Elle les appréciait énormément.
Elle sentit une pointe de culpabilité lui provoquer une douleur à son cœur à cette pensée, ses yeux ambrés toujours fixés sur le dos nu de Jason, qui semblait dormir à poing fermés.
Que penserait ses collègues en la voyant ainsi ? Dans le lit de leur concurrent ?
Contrairement à ce que la scène pourrait laisser croire, il ne s'était rien passé entre les deux tourtereaux. Enfin, hormis des baisers langoureux, rien de plus. Ysaline ne souhaitait pas franchir ce pas, ça rendrait sa trahison trop... réelle pour elle.
Et Jason l'avait compris, sans qu'elle n'ait eu besoin de le verbaliser. Ils avaient un lien particulier où ils semblaient se comprendre par un regard, sans parole.
Après une longue contemplation de ce dos nu, Ysaline se tourna et regarda l'heure du le réveil high tech à sa droite. 8h13.
Elle pourrait s'éclipser discrètement, en laissant un petit post-it... ou rester ici et faire la grasse matinée, c'était Mercredi, elle ne travaillait que d'après-midi. Sa mère était en déplacement en Allemagne et sa sœur chez leur père. Personne ne l'a dérangerait.
L'idée de s'éclipser discrètement lui semblait être une bonne idée, elle se décala doucement du matelas afin de ne pas réveiller Jason. Elle rattrapa ses vêtements éparpillés dans la pièce et les enfila à une vitesse impressionnante. Ysaline remit son pantalon en état et s'arrêta à l'encadrement de la porte.
Pendant quelques secondes, elle ne bougea pas et réfléchit. Elle ne pouvait pas laisser Jason dans ce si grand lit. Elle mordait sa lèvre inférieure de culpabilité, décidément elle ne savait pas s'y prendre.
La brune se rapprocha donc du lit et se glissa par-dessus la couette, s'approchant du jeune homme. Son visage fin et séduisant semblait tellement… apaisé quand il dormait, Ysaline se surprit à apprécier cette moue. Elle passa une douce main dans les cheveux décoiffés de Jason, jouant délicatement avec les mèches grisées.
—  La belle au bois dormant... on se réveille... Roucoula Ysaline, un sourire taquin aux lèvres.
La dite belle au bois dormant, grimaça un peu et ouvrit difficilement les yeux. Jason n'était pas quelqu'un de matinale, et encore moins avec quelqu'un qui partage son lit. Il mit quelque secondes à émerger de son réveil, Jason remarqua enfin Ysaline, qui était quasiment allongée sur lui.
— Bonjour à toi aussi chaton... Croassa Jason en glissant avec tendresse sa main droite dans les mèches rebelle de la femme au dessus de lui. Tu es déjà habillé ? Dit-il en baissant les yeux sur les vêtements d'Ysaline.
— Hmm hmm. Répondit la brune, sans entrer dans les détails. Avec son majeur et son index, Ysaline traça très délicatement les traits de Jason, partant de l'implantation de ses cheveux à la naissance de son oreille gauche, puis glissa avec douceur sur les traits fins de sa mâchoire avant d'arriver à ses lèvres, sans qu'elle ne le contrôle, son pouce passa instinctivement sur les lèvres légèrement rosées de Jason, celui ci l'a regardait avec tendresse.
— Je sais que je ne devrais pas mais... j'ai très envie de t'embrasser. Murmura Ysaline, de façon si discrète que Jason ne l'aurait pas entendu s'il n'y avait pas toute son attention sur elle.
Un sourcil levé, un petit air de défi sur son visage et Jason renchérit.
— Il n'y personne pour te retenir. Pendant qu'il parlait, les mains qui s'était, plus tôt, glissé dans la chevelure de Ysaline, descendirent sur les hanches de la jeune femme, les mains de Jason s'était refermé sur leur prises, tenant fermement la brune.
Ysaline hésita quelques secondes. Ce n'était pas du tout correct ce qu'elle faisait...On ne fricote pas avec l'ennemi... Enfin, dans ce lit, les deux n'étaient plus concurrents... Non ?
Ysaline se positionna correctement, enroula ses bras autour des épaules de Jason, une de ses mains passa derrière la tête de son compagnon et attrapa ses cheveux, elle faisait ça pour ne pas perdre pied, et puis ça ne dérangeait pas du tout Jason.
— Ferme là et embrasse-moi. Répondit Ysaline, ses lèvres frôlant celle de Jason, leurs souffles étaient liés. Elle avait bien senti que le corps de Jason s'était crispé à sa phrase. Il pouvait dire ce qu'il voulait mais il aimait bien quand Ysaline lui donnait des ordres.
Ni une ni deux, Jason suivit les ordres de son amante et l'embrassa. Il avait dû se relever et était désormais assis avec sa bien-aimée sur lui. Pendant une quinzaine de secondes, leurs baisers se contentaient d'être des baisers vifs. Mais Jason n'était pas satisfait, il en voulait plus, il était complètement addict à ses lèvres.
Sans hésitation, Jason attrapa la nuque de la brune et l'allongea rapidement sous lui. Leurs lèvres ne se quittant jamais. Désormais, Ysaline était sous lui. Sa main toujours sur sa hanche, se décala sur le côté de sa cuisse et la souleva doucement.
Jason allait retirer le t-shirt de son amante pour couvrir son ventre de baisers. Mais la poigne d'Ysaline dans les cheveux du brun se fit plus forte, lui disant d'arrêter
— Jason... avertit Ysaline. Jason releva la tête et eut un petit rire nerveux, heureusement qu'elle était là pour le ramener à la raison.
— Désolé...Répondit Jason, avec un petit sourire désolé, en remettant le t-shirt de la femme sous lui. Elle lui était reconnaissante de ne pas tenter plus. Jason se leva et s'allongea juste à côté d'elle. Il la contempla quelques secondes.
— Je peux t'embrasser ? Demanda Jason sa main droite caressant la joue d'Ysaline qui accepta d'un geste de la tête. Elle aimait qu'il lui demande son autorisation.
Après une longue séance de baisers humide, Jason allait renchérir pour un nouveau baiser quand une Ysaline essoufflée et rouge bloqua les lèvres de Jason avec sa main, il était presque 9h00 elle devait d'abord rentrer chez elle se changer et prendre une bonne douche.
— T'es mignon Jason mais je vais devoir y aller. Dit Ysaline un petit sourire aux lèvres. Jason fronça un peu les sourcils, il aurait voulu rester toute la matinée dans ce lit avec elle.
—  Un dernier ? Demanda Jason en enlevant la main de la brune. Elle soupira, il avait le comportement d'un enfant de huit ans. Mais Ysaline lui posa un baiser vif sur ses lèvres avant de se lever. Elle caressa doucement les cheveux de Jason avant de s'en aller.
— Passe une bonne journée. Rit Ysaline en voyant la moue de Jason, puis elle s'en allait enfin.
Quand la porte d'entrée claqua, Jason tomba dans son grand lit vide qui sera froid dans quelques minutes. Il soupira. Elle lui manquait déjà.
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9-alex-9 · 7 months
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L'orgasme d'une femme
on n'obtient pas quand on enlève ses vêtements,
ou quand tu touches son corps.
L'orgasme d'une femme commence
quand tu lui envoies un message,
disant que tu as pensé à elle
pour commencer la journée.
Ça commence quand tu la vois,
et au lieu de parler de toi et de ta journée,
Tu l'écoutes, tu la fais sourire,
tu lui tiens la main,
tu la regardes dans les yeux au lieu de rester sur ton portable.
L'orgasme d'une femme ne commence pas sans vêtements,
ni dans une chambre d'hôtel,
commence dans les petites choses,
quand tu l'étiquettes dans une phrase de Ron,
dans cette blague que tu as faite quand la seule chose
qu'elle voulait, c'était pleurer.
Orgasme n'est pas une capacité physique,
c'est une sensibilité émotionnelle !
Ce n'est pas tenir les cheveux,
et la faire se sentir en sécurité,
c'est prendre son âme
et l'inviter à danser.
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Deuxième T-shirt de septembre, toujours d'après le modèle "Jasmin" de Cozy Little World... 💕🪡🧵
Coupé dans un joli jersey coton Poppy Fabrics.
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judieccfinds · 3 months
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--Winnie Legacy--
Règles de base :
Codes de triches interdits, mods pour rajouter du gamepaly autorisés (voire même conseillé)
Aucune limite d’enfant par génération.
Vous pouvez choisir quel enfant deviendra l’héritier.
Chaque génération possède une couleur dominante. A vous de jauger selon vos envies (vêtements, décoration…)
Vous pouvez choisir la durée de vie.
Pour valider une génération, compléter l’aspiration, la carrière et les compétences.
GEN 1 (vert) :
La vie n’a pas toujours été tendre avec vous. Ballotté de foyer en foyer toute votre enfance durant, vous n’avez jamais eu la chance de vous épanouir dans une famille aimante.
A votre majorité, quand l’orphelinat ou vous avez grandi a décrété que vous étiez capable de vous prendre en main, ils vous ont mit à la porte… sans aucun bagage.
La seule chose qui vous a maintenu pendant tout ce temps, c’était la nature.
Dans votre dortoir, assis face à la fenêtre et observant le monde extérieur, vous vous étiez juré que si vous vous en sortiez vivant, vous vivrez dans une maison entourée par la nature, et donnerait amour et chaleur à vos enfants.
Alors quand vous vous êtes retrouvé dehors, vous n’aviez qu’un objectif : réaliser ce rêve.
Ville : Henford on Bagley
Aspiration : Botaniste indépendante
Traits de caractère : Adore la nature, généreuse, proche de sa famille.
Carrière : Jardinage
Compétences : Education, jardinage
Règles & objectifs (au début) :
Vous débutez sur un terrain vide à Willow Creek (votre ancien orphelinat s’y trouve)
Vous commencez la partie avec 0 simflouz
Avant de pouvoir quitter Willow Creek pour Henford on Bagley, vous devez avoir réuni la somme de 5 000 simflouz. Vous pouvez utiliser n’importe quelle méthode pour y parvenir (sauf triche).
Règles & objectifs (à Henford-on-Bagley) :
Vous vous installerez sur le terrain de votre choix, mais celui-ci doit contenir une maison plus ou moins délabrée ou vieillotte, que vous allez retaper par la suite. Pour vous installer sur le terrain, le code de triche “freerealestate on” est autorisé.
Une fois sur votre terrain, retirez 5 000 simflouz de votre budget. (vous pouvez le faire avec le code “money X”)
Vous activerez le défi de terrain vie simple
Vous devez posséder minimum 5 plantes d’une qualité excellente
Vous devez vous marier
(facultatif) Vous adopterez tous vos enfants, pas de grossesse ni de bébé éprouvette
GEN 2 (jaune) :
Vous avez grandi au milieu de la campagne d’Henford-on-Bagley, et avez supplié vos parents pour qu’ils adoptent un chien. Et pour cause : Depuis très jeune, vous êtes un amoureux des animaux.
Vous passiez votre temps à les dessiner, rêvant enfin de ce jour ou vous pourriez à votre tour donner tout votre amour à un animal.
En grandissant, cette passion s’est transformée en une véritable ambition de vie.
Tenir une clinique vétérinaire afin de redonner santé et vigueur à tout un tas d’animaux, c’était un projet qui vous animait.
Alors en quittant le cocon familial, vous prenez la décision d’ouvrir votre propre clinique.
Non loin de l’air marin, Brindelton Bay vous a semblé idéale pour lancer votre entreprise.
Et si votre futur âme sœur se trouvait parmi les clients de votre clinique ?
Ville : Brindelton Bay
Aspiration : Ami des animaux
Traits de caractère : Amoureux des chiens, adore les animaux, ambitieux
Carrière : Vétérinaire
Compétences : Dressage
Règles & objectifs :
Vous débutez sur le terrain de votre choix à Brindelton Bay
Vous activerez le défi de terrain vie simple
Vous devez adopter au moins un chien et un chat, si vous en voulez davantage, vous pouvez
Vous n’êtes pas obligés de vous marier
Vous pouvez avoir recours à n’importe quelle manière pour avoir des enfants (naturellement, adoption ou bébé éprouvette) mais vous aurez deux enfants maximum
GEN 3 (bleu) :
Vous avez été l’enfant surdoué de votre famille. Diplômé du baccalauréat en avance, et entré à la fac alors que vous étiez encore adolescent, vous faites la fierté de vos parents.
Vous avez visé le diplôme prestigieux d’histoire dans un seul but : Devenir militaire et vous engager dans l’armée.
Malgré vos rêves de grandeurs, vous gardez une petite place dans votre cœur à votre désir de devenir un jour parent, et espérez parvenir à lier une vie de famille et votre carrière très prenante.
Ville : Oasis Springs
Aspiration : Culturiste
Carrière : Militaire (Vous pouvez installer ce mod pour avoir une carrière militaire active ! (https://modsims4.fr/carrieres/carriere-militaire-active/)
Compétences : Fitness
Pendant l’adolescence de votre sim, vous devrez lui faire atteindre le niveau maximal dans deux compétences de votre choix (en plus de lui faire obtenir un A au lycée) afin qu’il puisse passer son baccalauréat en avance.
Sachez également que pour débloquer le cursus “histoire” à la fac, vous devez pratiquer les compétences logique, charisme et recherches et débats (sans pour autant avoir besoin de les compléter au maximum)
Règles & objectifs :
Vous débutez sur le terrain de votre choix à Oasis Springs, une fois votre diplôme d’histoire obtenu. Avant, vous pouvez vivre ou vous le désirez.
Vous devez vous marier
Vous aurez un enfant unique (naturellement, bébé éprouvette ou adoption)
GEN 4 (marron) :
Même si vos parents militaires ont fait de leur mieux, vous avez souffert de ne pas avoir vécu la même vie de famille que vos amis de l’école.
Oasis Springs ne vous convient plus, et depuis vos vacances passées à Chestnut Ridge pendant votre enfance, le monde équestre vous a attiré.
Vous désirez plus que tout au monde vous éloigner de l’armée qui vous a volé vos parents, et souhaitez participer à tous les concours équestres possibles et inimaginables.
Vos parents comprennent votre choix et vous soutiennent.
Si bien, qu’ils vous payent un terrain vaste ou vous pourrez vivre dignement votre passion pour les chevaux.
Ville : Chestnut Ridge
Aspiration : Cavalière de championnat
Carrière : Aucune (vous vivrez des concours hippiques et d’autres activités indépendantes si vous le souhaitez)
Compétences : Equitation
Règles & objectifs :
Vous débutez à Chestnut ridge, sur le terrain de votre choix
Le mariage n’est pas obligatoire
Le nombre d’enfant pour cette génération est illimité
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olympic-paris · 17 days
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saga: Soumission & Domination 266
Renouvellement des motos de la maison - GP de France
J'ai décidé de remplacer toutes les motos de la maison, celles de Marc aussi. Avec PH, nous sélectionnons les marques et modèles qui vont renouveler nos montures.
Pour Marc nous remplaçons son 850 VFR par le modèle 2013 tout comme son 900 CBR et le 1100XX par un VFR 1200 et un CBR 1000RR.
Pour PH, le Kawa FZ8 cède la place à un Z 1000SX chez le même constructeur. Quand à moi, ma YZF R1 noire mat 150CV est remplacée par sa nouvelle mouture avec une ligne d'échappements Racing titane, débridée elle aussi. Ma ZX10R de 2011subit le même changement, elle avec un échappement Akrapovic. Je ne remplace pas la Honda CB1000R qui, finalement faisait doublon avec elle. Je l'offre à Arnaud (notre voisin de la campagne) qui désirait changer sa première moto mais n'osait ni demander encore à son oncle (qui l'a à charge), ni entrer déjà dans mon écurie. Ma vielle 600 Diversion aussi part sans remplacement. J'achèterai une nouvelle moto en fonction de ce que la législation autorise aux nouveaux pilotes comme Kamal.
Nous utilisons les compétences de Daniel et le garage du père de Cédric pour regrouper les achats. Il sert aussi pour l'acquisition des pièces nécessaires aux modifications (kits full power de ma R1 et celui de la Z1000SX de PH). Car c'est dès l'achat que les fourches, durites aviation et autres améliorations autorisées en France sont commandées.
J'aime trop le noir mat et sur le nouveau ZX10R il est trop beau tout comme sur le R1. La première sortie avec nos nouvelles montures est le grand prix de France au Mans. Avec les amis c'est un groupe de 12 motards qui se déplace ensemble (avec nous trois, Eric et Cédric, Daniel, Phil et Luc, Arnaud qui étrenne son permis sur grande distance, Franck avec son petit Louis sur sa selle). Kamal insiste pour nous accompagner. Je me laisse faire et le prend sur ma selle...
Le temps est prévu plus que moyen, du coup Samir et Ammed nous suivent avec la 300C remplie de matériel (pantalons, blousons, vêtement de rechange et bouffe...). Marc a retenu, depuis déjà quelques semaines, un gite à proximité du circuit pour les 3 jours (vendredi soir au lundi matin). Il n'est pas question de rouler avec un milligramme d'alcool dans le sang.
WE Grand Prix de France
Si nous roulons de concert avec Eric et son passager, les autres nous rejoignent directement au gite.
Je dois calmer plus d'une fois mon petit passager (Kamal) très excité par la perspective de passer son premier WE sans son Alexandre depuis longtemps. Assis derrière moi sur les quelques cm² que lui réserve la selle passager de mon R1, il se colle à mon dos, ses mains bien accrochées à la protubérance de mon paquet recouvert du cuir de la combi. Dès l'entrée sur l'autoroute, et après quelques pointes de vitesse nous stabilisons à un niveau plus raisonnable. Je sens alors les doigts de mon petit passager masser mon entrejambe jusqu'à me faire bander à mort ! PH qui roule à mes cotés le menace d'une correction. Rien n'y fait et il continu à me maintenir bien raide jusqu'à notre premier arrêt carburant/café. Chose promise chose due, alors que nous allons payer nos pleins, PH attrape Kamal et lui coince le cou sous son bras pour lui frictionner la tête. Ruades de mon passager mais il n'a aucune chance contre mon PH qui me fait signe de le rejoindre. Nous le coinçons dans un des WC de la station et nous lui faisons son affaire, ce qu'il espérait, même pas secrètement !
Même en faisant attention, les bruits qui passent la porte ne sont pas ceux attendu dans ce genre d'endroit. Marc frappe bientôt à la porte et nous demande de le finir vite. A ce moment là, c'est moi qui suis en train de l'enculer. J'accélère et éjacule dans ma kpote alors qu'il fait juter PH contre le carrelage. Je passe la main sous son ventre et je sens qu'il a juté lui aussi.
Nous nous remettons corrects, pas la peine de se rhabiller puisque seuls les braguettes et le pantalon de Kamal étaient baissés. De l'autre coté de la porte, Marc avait été rejoint par les autres. Ils avaient veillé à vider la pièce avant que nos bruits ne soient compris et qu'il y ait scandale.
Eclatés de rire, nous sortons des toilettes hommes et regagnons nos motos. La fin du voyage est plus calme et nous trouvons le gite comme prévu. Les autres arrivent en début de soirée et nous passons un bon diner après un apéritif corsé. Du coup en fin de repas, lors de l'attribution des chambres, nous décidons d'utiliser la plus grande comme dortoir. Châssis de lits dégagés tout comme les quelques meubles présents, nous apportons tous les matelas et après un peu de " Tétris ", nous disposons de 20m² de surface de jeux. Ils sont aussitôt testés ! Ça commence à baiser alors que nos deux hommes de service finissent d'enfiler les couettes dans leurs housses. Nous les recevons sur le dos tout comme les oreillers et traversins. Vu la proximité du repas, les pipes ne sont pas aussi profondes que d'habitude mais on se fait quand même plaisir ! Du coup c'est rapidement que les queues s'enfoncent dans les culs.
Phil et Luc, toujours ensemble et toujours objets sexuels des deux frères (de mes anciens clients), sont content de nous revoir. Même s'ils passent leurs vacances à trouver d'autres clients/baiseurs, ils apprécient le retour aux sources. Le calibre d'Eric leur fait toujours le même effet que quand ils apprenaient à piloter sous ses conseils. Ils se rappellent leurs premières touzes organisées à la maison quand moi aussi j'ai commencé l'apprentissage de la moto. Le Louis de Franck est mis à contribution pour son grand plaisir. S'il est toujours aussi amoureux de son mec, il n'a plus aucune appréhension aux baises multiples. Et son coté " salope " ressort dès qu'il en est à son troisième mec. Ce comportement étonne toujours Franck. Alors que je l'encule de face, Franck me dit qu'avec lui, Louis n'est pas aussi " libéré " même s'il est très chaud. Il n'en dit pas plus alors que mes coups de bite commencent à lui faire de l'effet dans son cul, plus rarement utilisé. J'aime ! Il est bien serré, ce que j'aime par-dessus tout avec une rondelle de mec. Marc me remplace bientôt et je vais butiner ailleurs.
Quelques mètres de reptation et je trouve Eric en train de labourer Arnaud. Roulage de pelle aux deux et je continue mon périple à 4 pattes. Je tombe sur Luc en train de limer Daniel. Ils m'excitent, surtout les insultes qu'ils s'échangent. Aux " enculé " succèdent des " salope ", " p'tite bite ", " trou à bite ", et autres compliments. Je m'enfile une kpote, pousse Luc sur Daniel et l'encule dans la foulée. Je ne pensais pas être le premier et n'avais pas ajouté de gel à celui présent sur le plastique. Luc s'en est bien aperçu et un rugissement à accompagné les quelques secondes qui m'ont suffi pour coller mon bassin à ses fesses. Tous les autres ont regardé vers nous puis sont repartis à leurs occupations.  Il nous faut quelques 10aines de secondes pour accorder nos rythmes et c'est parti pour une bonne baise à trois. Comme Luc était en train de baiser Daniel de face, je peux voir  sur le visage de ce dernier la montée de son plaisir. Luc alterne les pelles. Quand il tourne la tête pour me donner sa langue, c'est moi qui impulse le tempo de l'enculage occupé qu'il est à chercher à me manger la langue.
Daniel est le premier à céder et explose entre leurs abdos. Je vois même quelques gouttes de son jus arriver sur sa gorge. Luc explose dans sa kpote et ses spasmes annaux déclenchent mon plaisir. Daniel supporte vaillamment nos deux poids additionnés avant de nous faire glisser sur le coté. Je lève la tête. La plus part sont au même point que nous, seul Eric s'agite encore dans Phil. Nous les regardons tous finir. Il se retire à temps et kpote arrachée, recouvre le dos de Phil d'une belle couche de sperme blanc.
C'est le signal de fin de jeux. Nous nous répartissons dans les 3 salles de bain. Je me retrouve sous la douche avec Kamal. Je lui lave le dos et lui glisse un doigt dans le cul. Il rentre facile ! Je lui demande qui s'en était servi. Il me cite dans le désordre, PH, Franck et aussi Eric avant qu'il ne se finisse dans Phil. Je lui demande de serrer son anneau. Il comprime bien la phalange que j'y ai mise. Nous finissons nos ablutions et je nous nous séchons mutuellement. PH nous rejoint et me propose de le garder entre nous cette nuit. Petit grignotage et dodo.
Samedi
Petit dèj avec baguette fraiche, trop bon ! Merci Samir. Quelques minutes de moto et nous sommes au circuit. Les réjouissances ont déjà commencées et le rugissement des moteurs nous accueille. Après un passage en face des stands, nous déambulons le long du circuit. Nous ne nous cachons pas et mon bras droit enserre les reins de PH dont le bras gauche remonte dans mon dos sa main posée sur mon épaule. A nos cotés Cédric, lui, est collé à son Eric d'amant.
C'est plus nos combis de marques, assez moulantes, qui attirent les regards que notre comportement. Même si nos n'avons pas échappés à quelques remarques homophobes qui s'évanouissaient quand le groupe se retournait pour faire face aux " contradicteurs ". Seul deux conards un peu trop imbibés d'alcool ont poussé le bouchons suffisamment loin pour, qu'avec PH, nous mettions en pratique nos leçons de Krav Maga. Le reste du groupe s'est chargé d'écarter les éventuels amis de ces messieurs. Mise au tapis des deux malotrus en quelques minutes ! J'avoue avoir fait durer un peu le plaisir ! Ce qui nous a le plus amusé ce sont les applaudissements qui ont accompagnés les chutes provenant d'une 20aine de mecs venus nous encercler. Petites courbettes devant le public et j'ai attrapé mon PH pour lui rouler un patin de chez patin ! Nous abandonnons les deux cons et partons boire une bière.
Nous accaparons une table et quelques uns de nos " spectateurs " se joignent à nous. Ils sont ouverts et la discussion est sympathique. Ils nous demandent si c'était du karaté ou quoi. Je leur explique vite fait le Krav Maga. Evidemment il y en a un pour nous demander si PH et moi nous étions " ensemble ". Je me lève et arrivé dans le dos de PH, lui roule un patin puis je vais jusqu'à Marc et réitère la chose. Je finis par leur dire que ces deux là sont mes deux mecs et que les autres sont nos amis. Ils sont un temps sciés par ce qu'ils ont vu. Nous discutons encore un peu et leur disons au revoir. Entre courses (moto) et courses (boutiques), le samedi après midi passe vite. Samedi soir nous rentrons tard mais pour diner quand même. Samir et Ammed avaient cuisiné toute l'après midi pour assurer les repas du WE (ce diner et celui du dimanche soir). Evidement nous n'oublions pas l'apéro. Comme la veille, la soirée se termine en touze. Je me fais plaisir avec la grosse bite d'Eric après m'être fait préparer par une sodo  bien hard de mon Marc et un assouplissement réalisé par Cédric. A se la prendre régulièrement dans le cul, il connait exactement le besoin d'ouverture nécessaire pour bien profiter du sexe de son mec.
Cédric ajoute donc au limage en règle de mon homme, une finition perso à grands coups de langue et de pénétrations graisseuses de ses doigts fins. Je suis tellement parti (sexe, poppers...) que je ne réagis que quand il essaye de me rentrer sa main entière dans mon trou. Il me calme en me disant qu'elle n'est pas plus grosse que la bite d'Eric. PH qui est arrivé à mes cotés me le confirme. Du coup je les laisse faire, j'ai toute confiance en lui pour m'éviter d'être " cassé ".
Doucement, il enfonce de plus en plus loin sa petite main dans mon fondement. PH me surdose de poppers et ajoute régulièrement de la graisse sur mon trou. Sensation de libération quand mon anus se referme sur son poignet. J'ai failli en éjaculer direct ! Les doigts fins de Cédric trouvent ma prostate et me la caresse au travers de la paroi intestinale. C'est hyper kiffant !!! Parti dans mon délire, c'est à peine si j'entends PH demander à Cédric s'il le faisait souvent vu sa dextérité sur ma rondelle. Cédric lui réponds qu'Eric aime bien qu'il prépare ainsi les culs qu'il va baiser à la suite. Je suis réellement entre ses mains. L'une à l'intérieur de moi et l'autre sur ma bite à me branler lentement il contrôle totalement mon excitation. Je n'ai encore jamais connu ça et pourtant je crois avoir essayé pas mal de truc et de bites différentes actionnées par autant de mec aux savoirs faire variés.
Il me " lâche " quand Eric lui dit que je suis prêt. Il appelle Marc et lui demande de se coucher pour que je le chevauche. Sa queue ballotte dans mon trou encore un peu trop grand. Je me doutais de ce qui allait m'arriver, Eric pousse sa bite dans mon cul et je gueule sous l'extrême sensation, qu'à deux, ils me procurent.
Sous le regard de PH en train de se faire pomper par Cédric, ils me font délirer grave et j'explose sous le limage intense qui ravage mon cul. Mon sperme couvre les pecs et le cou de Marc. Encore chaud, je le lèche et la bouche pleine, je roule un patin à mon mec. Je ne sais si c'est ça mais il jute peu après et je le sens en moi. Ça favorise encore les glissements d'Eric et il se retire bientôt. Je sens aussitôt après dégouliner sur mon dos de grosses coulées chaudes.
A PH qui vient de se vider sur Cédric, je souffle qu'il devra essayer ça rapidement tellement c'est bon !
Jardinier
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from-derry · 8 months
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Groupes et communautés
Vous qui aimez la sécurité, l’ordre, vous endormir en sachant que vous êtes entre les mains de gens qui ont à cœur de vous protéger (de vous, des autres, d’Eux), vous souvenir de votre vie passée dans un confort très normé… Eh bien, vous avez toutes les chances de vous retrouver au centre bourg. Traversé par Main Road, on y trouve certains établissements comme le diner, l’ancienne école, la station-service ou le bureau du shérif. Vous serez logés dans des maisons pavillonnaires, dotées d’un certain confort ! Il faudra par contre parfois vivre avec d’autres personnes au gré des arrivées – ne vous inquiétez pas, généralement on place les gens en fonction de leur arrivée ou quand il y a bonne entente. C’est le shérif qui s’en charge, s’il n’y a pas de vœux – vous inquiétez pas, elle sait être arrangeante. C’est qu’on a qu’un nombre limité de maisons – enfin, en vrai vous pouvez vous en construire, mais elles ne seront pas liées à l’eau ou à l’électricité.
Sinon, il y a la maison commune. Là-bas, sur la colline, c’est à quinze minutes du centre bourg. La grande maison de type colonial. Par contre, vie commune, on partage tout, même les vêtements. C’est un peu confus au départ, mais le doyen organise tout d’une main de maître. Tous les espaces possibles sont occupés dès qu’il fait nuit, et c’est un peu le jeu des chaises musicales pour le couchage. Mais là-bas, il y a toujours quelqu’un de réveillé, une bonne entente, de la musique, des rires. Il y a deux règles principales : l’hospitalité et le partage. Si vous jouez le jeu de la vie en collectivité, vous aurez à la fois la protection, la joie. Ils sont plus dans l’optique vivre au jour le jour, mais ne vous inquiétez pas, vous manquerez de rien, ou presque. Genre… l’intimité.
Si vous avez fait le choix – ou on l’a fait pour vous – de ne pas vivre en communauté, c’est une vie de solitude et de risques qui vous attend. Pas ou peu de confort, comme l’eau et l’électricité, la solidarité faut vous gratter… à part si vous avez des choses à échanger, comme des objets, vos bras ou votre tête. C’est une vie frugale, pleine de danger, mais y a pas à compter sur des petits chefaillons. Puis… y a vous, les gars qui venaient de débarquer. C’est pas une période facile, on sait – faut découvrir et accepter tout ça, s’adapter et le choix est rapide et brutal entre les communautés. Désolé, c’est en plus souvent définitif, mais on sait et surtout vous savez que c’est pour le meilleur. Vous aurez pas trop le temps de regretter, les nouveaux.
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frevandrest · 1 year
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On Hérault's Orgy Cave
@divinaaugusta I wrote about this in the past (my pet topic, guilty as charged), but I have trouble locating relevant info on my blog because Tumblr my beloved.
We learn about the sex/orgy cave from the book by his mistress Suzanne de Morency, "Illyrine ou l'Écueil de l'inexpérience". She describes their relationship, including how he bought her a lottery and rented a luxurious house for her near Champs-Élysées. In 18c, there was no avenue, but we know its approximate location, near the convent St Périne (now a hospital). Here is how the area looked in the 1730:
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So, near rue de Chaillot in 18th century.
As I understand, in 1790s that was a nationalized property that Hérault rented for Suzanne. As part of the complex, there was a garden with an artificial grotto. These grottos were all the rage in the 18th century. Here is one belonging to Frederick the Great: Neptune Grotto (although no idea if this one - or grottos in general - were used for the same purpose as how Hérault used it). Apparently, Hérault's grotto/cave included a little brook, flowers, and comfortable furniture (including a chandelier). She describes:
Chérubin [Hérault] me prie d'ôter mes bas , parce qu'il faisait chaud , et il se désha billalui-même, passa seulement une grande lévite de bazin doublée de taffetas bleu : il me prend la main , me fait traverser le parterre ; j'apperçois un petit portique du quel il m'avait toujours soigneusement écartée ; et il avait un grand soin de ne pas me perdre de vue depuis notre arrivée. Enfin , ouvrant la porte de ce portique , il me présente à l'amour , qui m'offre une guirlande de roses fraîches ; puis il me dit : Adèle ; vois son inscription. Je le regarde en souriant; il me donne un baiser , dé noue ma ceinture , marobe , et à l'instant je n'ai plus de vêtement que la guirlande que l'amour m'a donné : mon amant a la même parure : il ouvre la porte sacrée ; nos pieds foulent le gazon. Il me conduit à un lit de jonc dont le ciel était un grand myrthe. Mon amant s'était ménagé toute la soirée pour ce lieu enchanteur…. Je ne puis te peindre tous les plaisirs que nous goûtâmes : je ne trouverais pas de pinceau assez habile ; ils sont plus faciles à imaginer qu'à peindre. Mais Séchelles est plus qu'un homme si j'ai quelquefois dit que mon mari et Q…..te étaient autant au- dessus du vulgaire qu'étaient les anges au- dessus de l'humanité, je dirai maintenant qu'Hérault de Séchelles est autant au - dessus de mon mari et de Q…..te que la divinité est au dessus des anges. Nous nous restaurâmes par des glaces et des liqueurs ; tu en connais l'effet …. De nouveau nous nous épuisâmes : nous passâmes la nuit dans ce charmant réduit.
Illyrine ou l'Écueil de l'inexpérience, tome 3 , pages 273-274.
(If anyone would like to translate, that would be great! My French sucks for that, but even Google translate gives you the vibe).
The description starts on page 270, with the description of the house, and then the garden and the portico and the inscription "Fuyez loin d'ici , profanes , si vous n'êtes purs et nuds comme moi" ("Flee far from here, profane people, if you are not pure and naked like me"), to which Hérault - obviously - suggests them to undress. And they did. (Sadly, she doesn't describe the encounter, except that it was amazing and that he served drinks and ice-cream after).
Suzanne says that they visited the cave more than once, sometimes with another couple (so, not just sex cave but also an orgy cave). Again, she doesn't go into details, but she makes it clear what kind of activities went there.
So... that's the story of this particular 18th century spot! :)
About Hérault's Mistresses in another post, because it will be long (as one might imagine).
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