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Réalisme unilatérale: Besoin d'une liberté idéal en soi
La littérature sur l'histoire de la philosophie contient de nombreuses affirmations surl'influence générale sur Schelling. Dans « Enquêtes philosophiques sur l'essence de la liberté humain”, il y a aussi des commentaires plus spécifiques sur d'autres penseurs et traditions qui ont eu un effet particulier sur ce travail de transition. Dans les premières pages, il apparaît que Schelling est engagé dans l'argumentation contre le spinozisme, une position (souvent appelée «dogmatisme») qui était un objectif des penseurs philosophiques et religieux en Allemagne depuis des décennies. Schelling ne se souciait pas de rejeter tout ce que la pensée de Spinoza qui impliquait sous la forme de ce débat, mais de sauver quelque chose de la vision unificatrice (monisme) qui l'accompagnait, tout en laissant place à la liberté. C'est un problème à résoudre. Reformulation comme la question du panthéisme et du fatalisme chez Spinoza et Leibniz est tres important.
Il y a aussi idéalisme allemand contre mécanisme athée français; Wissenschaftslehre de Fichte. C'est une erreur de croire que l'idéalisme a simplement déplacé le panthéisme. La vraie conception de la liberté est la possibilité du bien et du mal qui est defini comme conséquence. Le mal qui est le consequence est nécessaire à la révélation de Dieu; exégèsede la «matière» chez Platon. Critique de la conception abstraite de Dieu est definit comme Naturphilosophie. Critique de l'immanence apparaît parallele au dessus de cette discussion. L'immanence est une notion qui met l'accent sur la pensée de soi ou la pensée subjective. Le terme d'immanence vient du latin immanere qui signifie «demeurer en». Immanent est l'opposé de transcendant. La première fois, ce terme a été proposé par Aristote qui signifie «esprit» d'un objet ou phénomène. Puis développé par Kant qu'est valable jusqu'à présent. En termes de Philosophie Divine, Dieu immanent signifie que Dieu est dans la structure de l'univers et participe aux processus de la vie humaine. Contrairement aux transcendants qui glorifient vraiment Dieu qui est si loin qu'ils sont très respectueux.L'immanence est plus proche et limitée à l'expérience humaine, comme le soutiennent
Hume dans la théorie du phénoménalisme empirique et Kant dans « la Critique de la raison pure ». Dans le domaine du flux religieux, l'immanence est fortement soulignée par les enseignements du panthéisme pour s'opposer à la transcendance. C'est pour que les humains soient plus familiers avec Dieu dans leur vie. Cependant, il y a une vue que cela ne limitera que Dieu qui est tout-puissant sur la vie humaine. Dieu perd son élément de mystère. Dans la théologie chrétienne, l'immanence peut être vue dans les enseignements de la Trinité, à savoir Dieu qui a une personne très réelle, Dieu devient très proche de son peuple. Dans la nature immanente d'Allah en Islam aussi qui amènera parfois les gens à penser qu'Allah est proche, ce n'est pas tout à fait juste, donc cela prend aussi une nature transcendante.
Le Dieu transcendant est le Dieu qui transcende tout ce qui existe. Un Dieu infini pour gouverner le monde.De la nait la conception formelle de la liberté. Pour les philosophes idéalistes, le conception de l'idéalisme définit la liberté. L'être de l'homme est sa propre action. Dans l'idée il y a prédestination est dans la structure de la fatalisme. Il y a la possibilité générale de mal et d'inversion de la place de l'individualité. Ils cherchaient à saisir la différenciation dynamique en Dieu et donc la qualité temporelle du divin dans la liberté de Dieu en soi. Il y a l'élément irrationnel dans les êtres organiques; disjonction de la lumière et des ténèbres. Leibniz dit que « Ces considérations, quelque métaphysiques qu’elles paraissent, ont encore un merveilleux usage dans la Physique pour établir les lois du mouvement, comme nos Dynamiques le pourront faire connaître. Car on peut dire que dans le choc des corps, chacun ne souffre que par son propre ressort, causé du mouvement qui est déjà en lui. Dieu n'est pas un système, mais une vie; vie finie chez l'homme ». D'une part, il existe des lois générales et relationnelles de la nature, comme les lois du choc: si A rencontre la décision de tel ou tel, alors A change de cette manière et l'autre change. Ces lois sont communes à tous les articles et à tous les organes. D'autre part, il existe des principes de changement (transformations) qui sont individuels et même individuels dans le sens de la spécificité de chaque substance, que Leibniz appelle aussi des lois. Ils permettent de les distinguer de tous les autres ingrédients. Cela nait une conception finite par avancer l'ordre du chaos dans le sens de Dieu. Donc, l'histoire est l’incompréhensible sans l'idée d'un Dieu humainement souffrant. Le sol primordial (Ungrund) est avant toutes les antithèses; l'absence de fondement se divise. Le mal est une parodie. La personnalité repose sur un fond sombre, qui est aussi le fondement de la connaissance.C'est la fondement historique de la philosophie.
La nature comme révélation et ses archétypes. En 1936, Martin Heidegger a donné une série de conférences sur l'essai de liberté de Schelling. Ceux-ci ont été publiés en allemand en 1971 et traduits en anglais en 1984. Heidegger a largement traité la Freiheitschrift comme une continuité avec la période de «philosophie de l'identité» qui y a précédé. Heidegger en 1941 avait durci sa ligne à la position que Schelling est toujours un théoricien d'une subjectivité englobante, tout en traitant la Freiheitsschrift comme le sommet (Gipfel) de la métaphysique de l'idéalisme allemand. Ce point de vue est toujours contesté: d'autres auteurs ont lu le livre comme le début de quelque chose de nouveau philosophie. Le débat est donc vraiment de savoir si la Freiheitschrift est culminante, séminale, ou peut-être les deux. Le probleme de Spinoza, contrairement aux croyances populaires , n'etait pas pantheisme, c'etait sur l'etre. Le dasein est qui produit le monde, production du monde, elle meme est gouverné par le monde, en direction du monde. Son mode est historial. Quand dieu est perçu comme chaque chose fini, il ne peut pas etre posé comme la fondement. Si c'est rien, la dieu ne distingue de rien. Tout est dieu(pantheisme) mais dieu est tout(theos-pan) n'est pas un argument , il n'y a pas la negation de pantheisme, possibilité de négation n'est pas possible. Principe d'identité et le judgement, poser a partir du judgement est possible. Probleme n'est pas le dieu , et le tout, la nature de la liaison
entre dieu et tout est le probleme, qui peut poser la question. Dieu et tout sont des notions differents, les relations et les problemes de relations entre dieu et tout, sera poser des questions en pantheisme, c'est l'identité.
Liberté en tant qu'elle est concrete, question central de liberté est l'homme. L'antropomorphisme de liberté est important. La position specifique de l'homme, et la position ontologique de l'homme, de la point de l'etre et observer sa finitude du point de vue de la liberte inconditonné de la fondement, inconditionalité conditionné, et de liberer la condition de l'inconditionalité, c'est le concept de l'incarnation. C'est la Dieu qui devient l'homme, soumis a la contexte de l'independence dependante de Spinoza , justement soumis a lois de l'etre avec ses actes, soumettre librement a la lois, avec l'independance a la regard de la systeme total de nature de Kant. La nature organisée en raison de la causalité de la finalité intrinsèque est la représentation de l'effet du terrain de possibilité de sa production. En termes d'intérêt théorique, la nature se réfère au travail de la catégorie de la cognition, si possible, comme un ensemble de règles et de lois fondées sur la raison.
Le concept de nature devient une idée s'il cherche l'unité inconditionnelle des phénomènes extérieurs à travers le monde. Cela ouvre alors une vision transcendantale plus précise de l'antinomie cosmologique. D'un seul point de vue rationnel, une approche critique systématique et ordonnée de l'unité des lois de la nature peut ne pas tomber dans la transgression transcendantale. À des fins pratiques, la nature n'a de sens que lorsqu'elle répond à l'exigence inconditionnelle de liberté de l'esprit. Le problème pratique est de nous transférer la nature en tant que groupe d'exigences et de besoins pathologiques.
Absoluité derivé, seconde chez Heidegger, qui peut se redoubler, s'imiter elle meme. C'est la conception de double parfait, c'est qui se dedouble. Interpretations de pantheisme que tout est dieu, chaque chose particulier est dieu, et la troisieme, toutes les choses dans
leur ensemble ne sont rien, appartient a l'idée de Geschiscte, le phenomene de la histoire
entiere. Monde d'articulation entre les systemes philosophiques qui definit le systeme lui- meme, chez Descartes aussi, le changement du argument premierement du sujet que
l'articulation qui commence avec “je pense” et la continuation changeant devient central
chez Heidegger. L'articulation d'etre devient la question comment l'etre vient-il a lui- meme, l'etre s'articule avec lui meme avec sa donné etre, donne de l'etre va preceder la
question d'articulation, determination de l'objectivité de l'histoire (geschiste de Heidegger- l'histoire de l'etre chez Heidegger) ,aussi pour la conception de l'histoire philosophique
chez Hegel.
Il faut trouver ou est l'homme, si ontologique change a theologique. C'est la pantheisme qui aide de faire la retourne de theologique a ontologique. C'est une sorte de critère de déterminisme. Donc, quel est le sens de cette identité quand ne designera pas la pareillité?
Par exemple, A et A, et A est A. Ce signifie rien. Mais par identifiant qu'une identité disjoint ( A et E) , A lui meme ne reste pas A, c'est E. C'est pour le parfait et l'imparfait et le bien et le mal de Schelling qui a des relations dialectiques pour les cause et les consequences des termes si on n'inclut pas le synchronisme dans le travail.
Etre est le fondement, sujet est le fondement qui fonde a l'avance. Le bien a prirori , le mal a posteriori que le mal est la consequence. L'etre se projete lui-meme, mais naitre est differente. La projection differencié est construire la liberté authentique, l'essence generale a partir de soi meme, delivrer de soi meme sans taxe, s'engager a quelque chose. Concept inauthentique de liberté est de differer de soi-meme, etre proche de soi meme mais pas authentique, dans la domination des pulsions et tendances et la sensibilité. Dans le systeme de normalisation en 1850, une nouveau forme de psychiatrie, convulsions des comportements, est etabli dans un société politique bourgeoise. Ce n'est pas pour etre seulement maitriser sur la nature, mais l'autonomie psychiatrique est devenu le sujet par les hommes de science. Le sujet était de laisser le nature a l'exteriuer de la systeme de liberté. Parce que c'est l'homme dans la situation inauthentique quand on pense de liberté. Mais par abolir les circonstances et des pulsions derivatives que l'homme forcera l'authenticité avec la méditation sur laquelle il va definir que son etre en soi. L'histoire de verité est basé sur la liberté sans fonde et a l'autre coté avec la totalité de l'etre. La justice est la realisation de la histoire avec l'etre a arriver en soi mais il dépende de la certitude en soi dit Heidegger. Il y a des systemes de savoir qui dépende aussi de l'intelligibilité des choses que la divinisation de l'homme et le mystere d'eucharist devient
un liberté pour chacun mais pas avec la realité en soi que la divination ne corresponde pas a l'intelligibilité. La relation de l'etre a l'etre qui ne corresponde pas a une incertitude que les outils de savoir. L'eglise a réflechi qu'elle delivre l'homme a l'homme premierement aux normes mathematiques.La catégorie structurelle du mathematique de Heidegger est que les actions qui definit l'algoritme comme outil de prevoir le systematique en cadre sociologique l'essence de l'homme, et radicaliser la civilisation pour penser son originaire.Les prejugées metapsychiques pour distinguer est pour le sensibilité du corps et l'ame. La revendication du politique change avec mathematique qu'un virage apparait dans le corps européen avec dasein etre et étant avec l'elucidation des formes. L'essence de l'homme est viré, est de liberer l'homme par le systeme mathematique et avec render le rapport technique primaire avec maitriser l'etre. L'independance a la rapport de la nature, le rapport performative avec matematisation du monde et avec legislation du genie commence la critique de l'unilateralité de Hegel. Avec le rassemblement de soi en rassemblant a l'un d'une autre, dans l'unité , les choses deviennent perçu et visible. Les fondement des phenomenes deviennent le premier sujet devant ces perceptions autrui. Pour la conclusion on peut dire que tous ces conceptions autour de la liberté est conçu pour la deliberation humaine qui poursuivit la mathématisation des legislations des genies autour des algorithmes qui jouent leur roles autour des croyances perçus en soi . Donc, maintenant pour bien deliberer les tractoires des philosophies en recherchant le divine qui ne corresponderait pas a la nature humaine, c'est par contrairement dans l'evolution genetique que les croyances changeant autor d'une technologie progressive que les lois de la nature ne veut pas inclure dans le systeme de paix d'humaine.
Batu Baltaoğlu
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