Tumgik
#un petit livre d'or
sabinerondissime · 10 days
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Journal
Le mariage est passé et la pression qui l'entourait aussi. Me voilà avec un nouveau nom et pas mal de paperasse à faire. Cette journée de samedi 07 septembre restera dans ma mémoire. Même si mon mariage était petit, il était à mon image. Pourtant, je n'y suis pas pour grand chose, ce sont mes enfants et en particulier ma belle-fille et ma fille qui se sont occupées de tout. Ma fille m'a coiffé et elle m'a rendu plus jolie et plus sûre de moi dans ma robe champêtre. Mon mari quand à lui, était tellement paniqué à l'idée de ne pas porter de veste sur sa chemise, qu'il est allé en acheté une 1 heure avant la cérémonie. Il a aussi prit une autre chemise, celle que nous avions choisit étant trop cool pour être porté avec une veste de costume. Nous avons rejoins nos invités sur le parking de la mairie et tous mon complimenté sur ma robe, pourtant simple et peu cher (acheté sur Temu, c'est dire ! ) mais qui m'allait à ravir et me correspondait tout à fait. Nous avions demandé aux invités de ne pas s'habiller exprès mais les témoins étaient magnifiques. Mes fils en chemise rose pale et nœud papillon bleu et ma fille et ma belle-fille en robe longue rose. Avant que la cérémonie ne commence, je me suis renseignée sur un point avec l'adjointe au maire qui me regarde et me dit : Mais ce n'est pas vous la mariée ? ... Pour elle, une mariée doit forcément porter une robe blanche et être âgée de moins de 50 ans, je présume. Ensuite, elle s'est trompée dans le prénom du mariée et elle n'a pas vu que les 4 témoins n'ont pas tous signés sur les documents. Mais elle nous a fait une belle photo avec mes 12 invités alors, je lui pardonne ! Nous sommes allés boire un café et faire des photos avant d'aller au restaurant à midi. Les enfants avaient préparé une voiture ballait, celle qui ferme le cortège, avec des plumeaux colorés sur les rétroviseurs et un déambulateur gonflable sur le coffre ! Après un délicieux déjeuner, nous étions tous invités chez mon fils et ma belle-fille pour manger les gâteaux préparé par ma belle-fille. Mon mari a fait duré le plaisir en passant en voiture dans le centre ville, tout en klaxonnant. Les autres ont suivit. Un petit cortège mais un cortège bruyant tout de même . Chez mes enfants, le salon avait été merveilleusement décoré, dans les tons rose et or. Il y avait des ballons partout, une table avec des gâteaux dont une pavlova en forme de cœur, un livre d'Or, deux mariées en résine (encore plus vieux que nous), un coin photo avec des accessoires pour se déguiser et un fond musicale année 80. C'était vraiment génial et l'ambiance était super. Ma tant redouté belle-mère, la femme de mon père, m'a même dit s'être plus amusée à mon mariage qu'à celui de sa petite-fille, quelques semaines auparavant. Ce fut un mariage tout simple, à notre image, entouré des gens que nous aimons, même si tous n'ont pas pu être présent, car nous vivons très loin de ma famille. Mais mes enfants étaient là, mon petit fils aussi, mon père avait également fait le déplacement ainsi que la sœur de mon mari et tous ont contribués à faire de ce jour une belle réussite que nous garderons à jamais dans nos cœurs.
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promises-of-paradise · 2 months
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Paul Gavarni and the Junots
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A portrait of Constance Aubert, née Junot d'Abrantès, by Paul Gavarni, December 1839.
In the appendix of a biography of Laure Junot sent to me by my friend @apurpledust, I found some poems and an article by the French writer and illustrator Paul Gavarni relating to the Junot family. Laure Junot and her daughters Josephine and Constance were all published writers, and inhabited the same artistic social circle that Gavarni did.
Article by Gavarni about the last volume of the second edition of "Memoirs of the Duchess d'Abrantès", published after her death:
original French:
Nous voici arrivés à la dernière page de ces mémoires d'une grande dame écrits par une femme artiste: livre dans lequel se confondent deux célébrités, dont chacune aurait suffi à bien des ambitions. Et quelque frappé qu'on soit d'une organisation si riche, on l'est plus encore du sentiment de dignité personnelle qui la soutint et la développa. Mme d'Abrantés a été un exemple bien rare de cette véritable grandeur que les événements ne sauraient atteindre. Un orage emporte un empire autour d'elle, puis les années viennent; elle a perdu presque un trône; et cependant elle est restée le front élevé au-dessus de la foule. Voilà ce que trouveront d'abord dans les livres qu'elle a faits ceux qui cherchent la vie sous ses beaux aspects. Lisez! Pétillante d'esprit, jolie femme, avec ce grand nom, cette couronne ducale, tout cet or, toute cette gloire, de combien d'hommages, et de quels hommages a dû être entourée la jeune duchesse d'Abrantés! Et il lui a falla se résigner à perdre tout cela, et, tout cela perdu, trouver dans la supériorité de son intelligence une consolation pour tant de regrets! et se faire à cinquante ans une nouvelle vie! une autre gloire! A-t-on bien songé à ce qu'il y avait de vraie noblesse dans ce courage? Nous ne saurions contester celle-là, nous autres artistes, nés du peuple, si fiers de notre aristocratie parce qu'elle vient de nous, mais qui voyons tant de noblesse dans le travail. Mme d'Abrantès travaillait comme pas un de nous ne le pourrait faire. Elle n'écrivait pas seulement quatre fois autant qu'un homme de lettres, elle dessinait encore, elle jouait la comédie, elle composait de la musique; ou bien elle bêchait les fleurs de son jardin, ou classait son herbier, ou même brodait quelques tapisseries. Faut-il joindre à ces travaux les soins du monde, les visites dont elle était assiégée tout le jour, les longues causeries du soir, une correspondance affairée, pour admirer cette existence si prodigieusement active! Voilà de quelles louables choses fut remplie la seconde moitié de cette vie douée de renommées si di-verses. Les jours de la duchesse avaient été brillants, sans doute ; mais ceux-ci n'étaient-ils pas aussi glorieux pour l'auteur de l'Amirante de Castille? Ne devait-elle pas voir avec un bien légitime orgueil se presser autour d'elle ce jeune essaim d'artistes dont elle était devenue la reine? Ces potes diront que c'était une abeille d'or arrachée au manteau de l'Empire et tombée au milieu de nous. Aussi les hommes qui se réunissaient d'habitude chez la duchesse d'Abrantès étaient-ils de deux âges et de deux sortes: des hommes à cheveux blancs portant des noms faits avec des batailles gagnées, et des hommes nés avec le siècle et se faisant des noms avec des livres, des opéras ou des peintures. On la voyait sourire à ces deux aristocraties qui la revendiquaient à titre égal, et dont elle était également honorée. Je me rappelle aujourd'hui un mot charmant qu'elle dit un soir à propos de ces doubles affections : le vieux M. Suchet, le frère du duc d'Albuféra, était venu souffrant ce soir-là se mettre dans le coin d'un petit salon où elle accourut inquiète de lui, s'écriant: "C'est que j'aime bien mes vieux amis, moi!" Puis, elle se retourna vers quelques uns de nous autres, et nous tendant la main, comme pour nous empêcher d'être jaloux, elle ajouta: "Et mes jeunes aussi, au moins !" Nous l'aimions tous; jeunes et vieux, nous nous sommes acheminés vers Chaillot pour lui faire une triste et dernière visite, un dernier cortège, et nous l'avons ramenee jusqu'au cimetière de Montmartre: là, quand on nous a eu jeté un peu de terre sur ce cercueil qui nous a pris à jamais cette bonne amie, pour toute oraison funèbre nous avons pleuré.
English translation:
Here we have arrived at the last page of these memoirs of a great lady written by a woman artist: a book in which two celebrities merge, each of which would have sufficed for many ambitions. And as struck as we are by such a rich organization, we are even more struck by the feeling of personal dignity which sustained and developed it. Madame d'Abrantés was a very rare example of this true greatness that events could not achieve. A storm carries away an empire around it, then the years come; she lost almost a throne; and yet she remained with her forehead raised above the crowd. This is what those who seek life in its beautiful aspects will first find in the books she wrote. Read! Sparkling in spirit, a pretty woman, with this great name, this ducal crown, all this gold, all this glory, with how many tributes, and with what tributes the young Duchess of Abrantés must have been surrounded! And she had to resign herself to losing all this, and, having lost all this, find in the superiority of her intelligence a consolation for so many regrets! and make a new life at fifty! another glory! Have we thought carefully about the true nobility in this courage? We cannot dispute this, we artists, born of the people, so proud of our aristocracy because it comes from us, but who see so much nobility in the work. Madame d'Abrantès worked as none of us could do. She not only wrote four times as much as a man of letters, she also drew, she acted, she composed music; or she dug the flowers in her garden, or classified her herbarium, or even embroidered a few tapestries. Must we add to these works the cares of the world, the visits with which she was besieged all day long, the long evening chats, a busy correspondence, to admire this existence so prodigiously active! These are the laudable things the second half of this life endowed with such diverse fame was filled with. The duchess's days had been brilliant, no doubt; but were these not also glorious for the author of the Amirante de Castille? Shouldn't she have seen with legitimate pride crowding around her this young swarm of artists of whom she had become the queen? These friends will say that it was a golden bee torn from the mantle of the Empire and fallen among us. Also the men who usually gathered at the Duchess of Abrantès' house were of two ages and of two kinds: white-haired men with names born from battles won, and men born with the century and becoming names with books, operas or paintings. We saw her smile at these two aristocracies who claimed her as equals, and by whom she was equally honored. Today I remember a charming remark that she said one evening about these double affections: old Mr. Suchet, the brother of the Duke of Albufera, had come unwell that evening to sit in the corner of a small living room where she runs worried about him, exclaiming: “It’s because I really like my old friends!” Then she turned to some of us, and holding out her hand, as if to stop us from being jealous, she added: “And my young ones too, at least!” We all loved him; young and old, we headed towards Chaillot to pay her a sad and last visit, a last procession, and we took her back to the cemetery of Montmartre: there, when we had a little earth thrown on this coffin which forever took this good friend from us, for every funeral oration we cried.
Below the cut are two poems written by Paul Gavarni on the album of Constance Aubert, the second daughter of Laure and Jean-Andoche Junot:
The first poem:
original French:
Les Rêves.
Quel autre monde rêvez-vous? Et que voulait votre âme errante? Loin d'un présent qui désenchante, Où sont vos pensers les plus doux?
Quels chants vous sont mélodieux? Qu'attend la foi qui vous est chère? Et de quel autel solitaire Voyez-vous le ciel de vos dieux?
Si, de beaux jours trop inconstants Vous avez vu venir l'automne, Pour les roses d'une couronne Regrettez-vous quelques printemps?
Où votre âme dans le lointain, Voit-elle un ange sur la route? La magique voix qu'elle écoute Lui dit-elle: "hier" ou "demain"?
Votre orgueil était-il jaloux Du faste des rois de la terre? Et sur un trône imaginaire En secret vous endormez-vous?
Livrez-vous de vastes Etats A des conquêtes idéales? Rêvez-vous l'éclat des cymbales, La palme ou la mort des combats?
Flattant de plus humbles désirs, Peut-être une muse pensive De quelque image fugitive Rajeunit-elle vos loisirs...
Mais, au charme du souvenir, Tout ce qu'on a se décolore: Le passé, que son prisme dore, Brille aux dépens de l'avenir.
Laissez le poète chanter Des plaisirs où son luth convie: Il prodigue à rêver la vie Le temps qu'il a de la goûter.
Dans les plis d'un manteau royal L'ennui s'enveloppe et se cache, Et, dans les combats, le sang tache Les panneaux du char triomphal.
Un moment peut éterniser Les regrets que laisse une idole Dont la scintillante auréole S'évapore au premier baiser.
Mais l'amour, ce léger sommeil, Ce rêve d'un jour vaut la vie... Et qu'importe à l'âme ravie Ce qu'en peut coûter le réveil?
English translation:
The Dreams
What other world do you dream of? And what did your wandering soul want? Far from a disenchanting present, Where are your sweetest thoughts?
What songs are melodious to you? What does the faith that is dear to you await? And from what lonely altar Do you see the sky of your gods?
If, beautiful days too fickle You saw autumn coming, For the roses of a crown Do you regret some spring?
Where you soul in the distance, Does she see an angel on the road? The magical voice she listens to Did she tell him: "yesterday" or "tomorrow"?
Was your pride jealous Of the splendour of the kings of the earth? And on an imaginary throne Do you fall asleep in secret?
Do you deliver vast states To ideal conquests? Do you dream of the brilliance of cymbals, The palm or the death of combat?
Flattering the humblest desires, Perhaps a pensive muse Of some fleeting image Rejuvenates your leisure...
But, to the charm of memory, Everything we have is fading, The past, that its prism gilds, Shines at the expense of the future.
Let the poet sing Of pleasures where the lute is suitable: He lavishes on dreaming of life The time he has to taste it.
In the folds of a royal cloak Boredom wraps itself up and hides, And, in the battles, blood stains The panels of the triumphant chariot.
A moment can last forever The regrets that an idol leaves Whose sparkling halo Evaporates with the first kiss.
But love, this light sleep, This one-day dream is worth life... And what does it matter to the delighted soul What can waking up cost?
The second poem:
original French:
La Pie de la Prison
Du grain qu'ils ont semé, laissez la fleur éclore. Allez! Margot; la loi leur a permis des fleurs. Eh! quoi, méchant oiseau, vous revenez encore De ce triste jardin becqueter les primeurs!
N'en privez pas au moins leurs jours que rien n'abrège; Les ans laissent ici de bien longues saisons, Margot, et de l'hiver ils n'ont eu que la neige; N'allez pas du printemps leur ôter les bourgeons;
Et qu'au moins du soleil un bouquet les console. Demain, le savez-vous! ils attendraient en vain Ce printemps qu'aujourd'hui votre audace leur vole. Margot, les prisonniers vous donnent de leur pain!
Comme cet oiseau noir il est une pensée Qu'ici le malheureux apporte avec ses jours, Qu'il nourrit et son âme et qui, toujours chassée, Dès qu'il voudrait sourire, hélas! revient toujours.
C'est le deuil qui le suit, c'est la voix qui le raille, C'est le regret qui veut de son moindre bonheur; Tourment qui de son lit a remué la paille Et out le bec aigu lui cherche au fond du cœur.
C'est la faim d'être libre. Un oiseau mord la cage; Vous voulez à la vôtre attacher un roseau, Souvenir des jardins dont vous aimiez l'ombrage, Amis, et vous coupez les ailes d'un oiseau!
English translation:
The Prison Magpie
From the seed they sowed, let the flower bloom. Come on! Margot; the law allowed them flowers. Hey! what, wicked bird, you come back again From this sad garden to peck at the early fruits!
Do not deprive them at least of their days which nothing shortens; The years leave many long seasons here, Margot, and all they had in winter was snow; Do not go and remove their buds in the spring;
And may at least a bouquet console them from the sun. Tomorrow, do you know! they would wait in vain This spring that today your audacity steals from them. Margot, the prisoners give you their bread!
Like this black bird, there is a thought That the unfortunate brings here with his days, Which he nourishes and his soul and which, always chased away, As soon as he would like to smile, alas! always comes back.
It is mourning that follows him, it is the voice that mocks him, It is regret that wants his least happiness; Torment which from its bed stirred the straw And the sharp beak searches the depths of his heart.
It's the hunger to be free. A bird bites the cage; You want to attach a reed to yours, Remembrance of those gardens whose shade you loved, Friends, and you clip the wings of a bird!
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laurierthefox · 11 months
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Bonjour à toustes !
J'espère que vous allez bien (moi bof j'ai chopé le covid, mais j'ai déjà ranté à ce propos en story y a 2 semaines 😆) !
Aujourd'hui je vous montre une petite illustration au crayon de couleur de Julie et sa dragonne Flèche d'Or (du livre jeunesse "Je m'appelle Julie" aux editions @onnecomptepaspourdubeurre)
Pour celleux qui ne le saurait pas j'ai ouvert une page Patreon depuis l'année dernière pour pouvoir continuer à vivre de mon travail malgré mon handicap, avoir plus d'indépendance et surtout travailler sur des oeuvres persos sans pression ni obligation éditoriale.
Ici une de mes mécènes à pris le plus gros abonnement "Arbre Vénérable" et reçois donc tous les mois : une illustration au format A4 faite sous Manga Studio et imprimé sur du papier 300g et une illustration A5 au crayon de couleur (en plus de l'accès aux coulisses de mes projets, d'illustration en avant première et de fichiers HD de BD et illustrations).
Celle ci (au format A5 donc) date de janvier 2023 et ma mécène voulait une illustration de Julie avec sa dragonne.
Je posterais régulièrement d'autres illustration déjà vu en avant-première par mes mécènes.
J'espère que cela vous plairas ! Si vous voulez me soutenir c'est par ici : https://www.patreon.com/LaurierTheFox
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xvi-1 · 1 year
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The Gentleman from the bar - part 2
#theoriginals #klausmikaelsonxreader
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Tu étais donc chez les Mikaelson pour passer la nuit. Klaus était en train de te faire visiter la demeure. Sûrement l'un des plus beau bâtiment de la Nouvelle Orléans à ton avis. Tu trouvais chaque pièce plus magnifique que la précédente.
Klaus t'emmena ensuite dans ta chambre pour la nuit. Elle était ravissante, toute ornée d'or, pour une petite étudiante tu étais époustouflée.
"- Si as le souffle coupé pour cette chambre tu devrais venir voir mon bureau, se moqua t-il gentiment.
- Oh non je ne vais pas déranger plus que nécessaire, souris-tu
- Mais tu ne me dérange absolument pas luv, repondit Klaus d'un air sérieux.
- Tu habite seul ici ?
- Non mes frères et ma sœur reviennent demain. Tu les rencontreras peut être avant de nous quitter."
Tu hocha doucement la tête. Tu avait à la fois hâte de rencontrer sa famille et en même temps tu étais stressée, après tout ils étaient riches, élégants et tu n'étais qu'une étudiante qui boss comme serveuse et qu'il c'est incrustée chez eux.
Comme si Klaus pouvait entendre tes inquiétude il posa doucement une main dans ton dos et caressa légèrement avec son pouce.
"- Alors tu veux le voir ce bureau, ou pas ? Tu sais il sert de bibliothèque aussi, tes yeux s'illuminèrent.
- Avec joie !"
Klaus rit légèrement et te dirigea vers la pièce somptueuse. Tu en avais le souffle coupé, tous ces livres anciens magnifiques. Ton regard se posa sur le bureau au centre de la salle.
Tu t'approcha de l'imposant bureau en bois. Passa délicatement le bout de tes doigts sur ses rénures. Tu sentis Klaus dans ton dos. Il était si près que tu pouvais sentir la chaleur qui émanait de son corps irriguer me tien.
Son souffle s'avança vers ton oreille et il chuchota, "Je peut te sentir frissonner"
Tu ferma les yeux quand ses lèvres se posèrent dans ton cou. Tu pouvais sentir le suçon qu'il creusait dans ta peau.
Tu te retourna vivement vers lui et il s'avança encore plus dans ta direction. Tu te retrouva collée au bureau, les mains sur le bois pour te maintenir.
"- Avoue que tu en meurs d'envie luv. Dit que tu me veux...
- Klaus, je te veux. Je te veux en moi, gemis-tu."
Il saisit brutalement tes lèvres et t'embrassa. A bout de souffle vous vous séparairent. Tu le fixa quelques instants et le réembrassa enfin. Il posa sa main sur ta nuque et approfondit le baiser, il passa sa langue sur ta lèvre inférieure. Tu ouvris un peu la bouche pour le laisser entrer dans ce qu'il prit joyeusement, il enroula ses bras autour de ta taille et t'attira incroyablement près de lui. Il a ensuite déplacé sa main du bas de votre taille pour serrer vos fesses, vous avez gémi dans sa bouche à ses actions. Il s'écarta légèrement de ta bouche, « saute », te ​​dit-il et tu suivis ses ordres.
" Klaus et si quelqu'un entre ?"
Tu n'obtiens pas de réponse, à la place sa bouche est dos à la tienne et il te tient contre lui avec tes jambes autour de sa taille. Il vous a ensuite assis sur le bureau et s'est complètement éloigné de vous, il a apprécié à quel point votre visage était rouge et à quel point vous étiez à bout de souffle juste après qu'il vous ait embrassé. Il sourit en déboutonnant ton pantalon et le glissa lentement le long de tes jambes.
"- Klaus c'est ma première fois.
- Je vais prendre soin de toi luv."
Il glissa un doigt sur tes plis mouillés.
"- Tu est tellement mouillée pour moi luv.
- Mmmh... Continue s'il te plaît.
- C'est ce que je pensais, te sourit-il à nouveau avant de tomber à genoux pour te dévorer."
Klaus avait sa main sur le bas de votre ventre pour vous maintenir en place alors qu'il léchait un long stipe jusqu'à vos plis. Il a sucé votre clitoris pendant une seconde, puis a retiré et léché ses doigts avant de frotter des cercles sur votre clitoris avant de les frotter et de les insérer à l'intérieur et à l'extérieur de sa bouche sur vous. Vous avez jeté votre tête en arrière et mis votre main sur votre bouche pour réduire vos bruits. Tu cambrais le dos et t'agrippais aux cheveux de Klaus. Il le faisait si bien et c'était si nouveau, ça t'excitait honnêtement plus que tu ne l'as jamais été auparavant quand tu es toute seule. La combinaison de ses doigts entrant et sortant de vous à un rythme si rapide et sa langue travaillant si bien votre clitoris, vous avez joui.
"Je n'ai pas l'intention d'arrêter l'amour."
Vous avez souri, "Je n'en demande pas moin."
Klaus avait débouclé son pantalon qui commençait sérieusement à le serrer et en sorti sa verge. Il voulait presque se moquer de toi, ton visage vira au pourpre et il pouvait sentir l'inquiétude dans tes yeux ; c'est vrai qu'il était plutôt gros rt assez long. Quoi qu'il en soit, Klaus s'est caressé plusieurs fois et tu as écarté tes jambes autant que possible et enroulé tes cuisses autour de sa taille, Klaus a ensuite poussé à l'intérieur. Tu rejetas la tête en arrière à cette sensation et Klaus t'inspira, tu n'avais jamais ressenti ça avant et tu ne voulais pas que ça s'arrête. Klaus s'était agrippé à tes hanches assez brutalement et t'avait baisé impitoyablement, tu étais au point d'avoir les larmes aux yeux à cause du plaisir. Klaus avait mis sa main entre vous deux et frotté votre clitoris, vous vous tortilliez encore plus maintenant.
"Tu corp est si sensible a mon touché luv."
Vous avez juste hoché la tête à son commentaire et agrippé plus fort ses bras alors que vous vous rapprochiez de plus en plus de l'éjaculation. Klaus est venu et il vous a rapidement amené à votre orgasme peu de temps après, vous avez de nouveau cambré le dos et vous vous êtes accroché à lui pour ne pas basculer du bureau.
"- Oh luv ce qui est sur c'est que tu es faite pour le sexe, dit-il avec un sourire en coin."
Il posa son front contre le tien. Tu étais en sueur, souriante et lez cheveux en bataille quand tu pris la joue de Klaus dans tes mains et déposa un petit baisé sur ses lèvres.
"- C'était fantastique."
Klaus sourit, satisfait et se retira de toi. Vous vous rhabillèrent et allèrent vous coucher, épuisés. Bientôt évidemment tu dormis avec Klaus dans sa chambre.
Here is the second part of the story on Klaus Mikaelson. Would you like a part 3 ?
Tell me what you have thinking about this chapter pls.
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havaforever · 1 year
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ANATOMIE D'UNE CHUTE - Brillant, Subtile, Captivant.
On peut dire d' Anatomie d’une chute de Justine Triet (Palme d'or 2023 amplement méritée) que c'est un film sur le réel, sur l'impossibilité de capter le réel, sur l'effort incessant de l'humain pour le comprendre.
C'est un film subtil et fort sur cette part manquante à laquelle nous nous heurtons tous, sur la façon dont nous comblons les failles, les pièces du puzzle qui nous manquent avec l’imaginaire. Nous accumulons les grilles de compréhension, comme des filets, que nous jetons sur le réel en espérant le capturer et il nous échappe toujours.
Nos grilles de lectures s'accumulent sans succès. Ici, cinq au moins se confrontent: la subjectivité de chacun, la psychanalyse et ses interprétations, la justice et ses enquêtes, la littérature et la fiction et bien sûr, le cinéma et sa manière de se jouer des images.
Ceci pour le réflexion générale qu'inspire ce magnifique film.
En ce qui concerne plus précisément le récit, un enfant, Daniel, retrouve son père, Samuel, mort devant la maison, alors qu'il revient d'une promenade. Seule sa mère, Sandra, était présente au moment de la chute. Mais elle dormait. Comment cet homme est-il mort ? Sa femme l’a-t-elle tué ? S’est-il suicidé ? Le film ne répondra pas.
Ce que Justine Triet met en scène, c'est le procès de cette femme trop forte, trop dure, trop fermée, trop libre surtout, et à travers ceux qui gravitent autour : la recherche incessante, universelle qui nous confronte tous à notre impuissance à accéder à l'absolue Vérité. Les avocats ne cessent de s'interrompre les uns, les autres, de s'attaquer ( exceptionnel duo d'acteurs pour les deux avocats, Antoine Reinartz en avocat général teigneux qui ne lâche pas sa proie et Swann Arlaud en amour de jeunesse transformé en chevalier servant).
Ils se renvoient mutuellement à la figure qu’un procès n'est pas le lieu de l'imaginaire, de la création, de l'invention, mais celui de la preuve réelle, irréfutable, de la pièce à conviction, du témoin à charge, le lieu de la reconstitution exacte des faits. Et pourtant, c'est ce qu'ils ne cessent de faire :" imaginer". Tout comme cette femme accusée qui est un célèbre écrivain. Tout comme son mari mort qui enregistrait sur son téléphone les scènes de leur vie quotidienne pour s'en inspirer pour écrire enfin un livre à son tour. Parce que "imaginer" c'est ce que l'humain fait de mieux et notre rapport au réel est un aller retour constant vers l'imaginaire.
Discussion percutante en plein procès sur la différence entre ce qui est "probable" et ce qui est "possible". On ne peut pas condamner une femme parce qu'une histoire est "possible", tant de choses sont possibles, mais pas davantage sur ce qui est "probable". Le probable, c'est ce qui serait crédible dans cette affaire, or nous ne sommes pas là pour croire en une version, le procès ne doit pas être le lieu de l'opinion, ni de la conviction, même de l' "intime conviction"( film génial d'Antoine Raimbault , en 2019). Il doit être le lieu de la vérité judiciaire et c'est un effort constant de se le rappeler et de souffler sur toutes ces images qui assaillent notre cerveau au cours du procès, tous ces films, tout ce petit cinéma qui se met en marche sans qu'on le veuille dans notre esprit.
Les experts et leur ton grave de scientifique se succèdent et donnent leurs versions possibles des faits qui sont aussitôt démenties par d’autres expertises, d’autres hypothèses. Le psychanalyste du défunt, à son tour, vient à la barre et témoigne contre l'épouse. Il donne sa version du réel, celle qu'il a bâtie séance après séance dans son cabinet en écoutant son patient et l'accusée s'insurge : depuis quand confond-t-on l’interprétation psychanalytique et le réel? La vérité des faits et le ressenti du sujet qui s'exprime sur un divan? Le psychanalyste n'est pas un enquêteur, il ne recherche pas la vérité mais à comprendre son patient pour le soigner. Il ne sait que ce qu’a bien voulu lui dire son patient, le réel passé au crible de sa subjectivité et de sa souffrance. Il ne connaît rien, au fond, de la vie objective de ce couple…
On tourne autour de la vérité, on ne la connaît pas. La caméra ne nous montre que des subjectivités en concurrence, elle accroît le doute. On ne pourra s'appuyer que sur des photos du couple et une scène de dispute exceptionnelle. Une scène qui montre sans hésitation possible que ce couple allait mal mais que cet homme allait mal aussi. Cette scène de dispute, où la souffrance de Samuel est au coeur de ce qui les oppose, lui, la rendant responsable de cette souffrance, elle, le renvoyant à sa propre responsabilité face à son sentiment d'échec, peut nous faire autant pencher vers l’idée du suicide que vers celle du meurtre. Comment trancher?
C'est un couple qui ne se supporte plus et l’on voit qu'entre eux deux non plus, il n’y a pas de vérité. Ils ont beau crier, se gifler, briser des verres, personne ne l'emporte. Ils disent tous les deux la vérité. La vérité, c’est qu’ils ont vécu une tragédie, leur enfant a été victime d'un accident qui l'a rendu malvoyant et comme l’enfant était sous la responsabilité du père ce jour-là, c'est lui qui en porte la culpabilité. Il ne s’en est pas remis. Elle, si. Peut-être un peu trop bien, et en définitive ce serait ce dont elle est accusée. Elle a continué à vivre, écrire, aimer. Il s'est effondré. C’est une économie. Un équilibre. Et il la hait de cela.
Il la hait de sa force, jouée remarquablement par Sandra Hüller. Elle est inaccessible à la culpabilisation. Elle refuse de porter sur elle son échec à lui. Elle refuse de se flageller car elle est un écrivain à succès et qu'il n'a pas réussi à écrire son roman. Elle le tue à petits feux, c’est vrai, par ce qu’elle est : sa dureté, sa résistance, son absence de culpabilité, sa force, sa réussite, son appétit de vivre, son appétit sexuel qui la pousse à chercher ailleurs ce qu'il ne lui donne plus. Mais peut-on dire qu'elle ait tort? Est-ce faux que Samuel s’enferme dans une position de victime et d’échec, car il a peur de vivre, d'écrire, de s'exposer? et s'il l’étouffe de ses reproches, de sa jalousie, de ses complexes, de sa culpabilité n'est-ce pas pour l'entraîner dans sa chute précisément?
Et l’enfant est au milieu de cet affrontement où personne n'a tort, personne n'a raison. Et comme tout enfant face à un couple qui se déchire sous ses yeux, procès ou non, il est en position de juge, d’enquêteur, il veut comprendre. Qui fait du mal à qui ? Pourquoi tant de souffrance sous son toit ? Et il n’a pas toutes les pièces car il n’est qu’un enfant. Et il est "heurté" comme il le dit à la juge. On voudrait l'épargner mais c'est trop tard. Juger ses parents n’est pas sa position. Et la vie l'assigne pourtant à cette place.
Tel Oedipe à la fin de son enquête chez Sophocle, l’enfant du film est malvoyant. La cécité est à la fois le drame de cette famille, l’accident originel qui déchire ce couple, mais c’est aussi métaphoriquement l’impossibilité de voir le monde des adultes, l’enfant n’a pas les ressources pour juger ses parents. Il est dans le noir, comme nous tous face au réel, et il décide de sauver sa mère. Dans un geste précisément œdipien. Il n’est pas sûr de ce qu’il dit pour la sauver mais il suit son cœur. Puisqu’on ne pas comment la chose est arrivée, dit l'enfant, on peut au moins se demander pourquoi elle serait arrivée. Pourquoi la mère aurait-elle tué le père ? Il ne trouve aucune raison à cela. Pourquoi le père se serait-il suicidé ? Ça oui, il peut se le figurer. L’avocat général n’est pas convaincu. Mais c’est pourtant l’être qui vivait au plus près de ce couple, les connaissait le plus intimement qui parle et qui dit ce qu’il sent.
On ne saura jamais la vérité exacte de cette histoire, tout comme nous ne parviendrons jamais à pénétrer les secrets du réel qui recule dès que nous avançons. Nous ne connaîtrons que l'acte de cet enfant, celui de sauver sa mère. L'avant dernière image du film est très évocatrice à ce titre, les bras de l'enfant s'ouvrent et reçoivent la tête de la mère dans un geste extrêmement paternel et protecteur. Son visage s'approche et il baise ses cheveux. Face aux limites de la raison, la seule vérité, peut-être, alors, est-elle celle du désir de vivre au delà de tout ce qui est depuis toujours déjà mort?
NOTE 17/20 - Palme d'Or largement mérité pour un film magnifiquement filmé, juste, sensible et passionnant.
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needtowriteaf · 10 months
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《Voilà pourquoi nous disons retenir par coeur, car ce qui touche le coeur, se grave dans la mémoire 》- Voltaire
« Si j'te disais que j'me souviens,
Par coeur, de ton beau regard lubrique, plein d'envie,
S'poser sur moi, la première fois, tout autant que que la dernière,
Me croirais-tu ?
Charismatique, transperçant de profondeur.
Transpirant de vérité, enfin quelqu’un d’authentique,
J'ai abaissé les barières, dès le début, j’étais foutue..
Fatalité dramatique.
Je me souviens aussi par coeur, de ton sourire enjoleur,
Tes expressions excessives.. contrastaient ton calme
d'or.
Un magnifique oxymore. Réchauffant par la
froideur.
Intuitive... la connexion cognitive, reliais déjà déjà nos
corps, avant d’abattre nos peurs.
J'aimais ta voix par dessus tout, tantôt dure autant que
douce. Le meilleur de mes amants.
J'me souviens avec excès, de l’odeur de ton parfum, qui
s'est ancrée doucement, dans mon âme et dans mes
draps, je voulais qu'elle reste là..
Imprégnée à tes vêtements.
Pour que tu parte pas vraiment.
Je me souviens et je perçois, toujours par coeur, toute la
chaleur de ton souffle dans mon coup, et ta main frôlant
ma joue.
Un dimanche après-midi, réuni par le hasard, ou l’destin,
dirons les fous.
Sur cette plage de mon Sud, dans ce décors idyllique.
C’est le genre d’image qui marque, et qui fait écrire des
livres.
J’me souviens par dessus tout, de la douceur de tes
mots, se glissants à mon oreille.
Quelques chose de mélodique, aussi sucré que le
miel :
« Il n'y a que moi dans ta tête, bébé, il n'y a que moi dans ton coeur ? »
C’était follement poétique, depuis rien n’est plus pareil.
Voilà ce que tu m'avais dit, j’ai tout mes sens en éveil.
Ces paroles raisonnent encore, c'est comme si c'etait la
veille.. J’ressens l'echo dans mon corps, et le tiens qui se
raidit.
Mémoire dites sensorielle, j’pourrais jamais l'oublier.
Ça tu me l’avais prédit.
Je me souviens incessement, tant par coeur que tout le
temps, de moi, tremblotante de désir, toute émue.
J'sens les frissons m'assaillir, et ta langue sur mes seins
nues..
Éprouvant ces emotions, je me suis alors promise, de
sublimer nos ébats.
D’en faire les plus beaux romans, des recueils de
poésies. Ainsi figer à l’écrit, j’pourrais les vivre cent
fois, en boucle et à l’infini !
J'me souviens par coeur aussi, de tes mains avec ardeur,
qui s'baladaient sur ma peau.
Stimulant l'excitation, de tes doigts tout doucement, tu
augmentait la pression, on simule pas la passion.
De la tête j'ai acquiéssé, au travers d'un gémissement,
inaudible quasiment.
Pourtant ma respiration, vacillante hurlais que oui.
Tu l'savais déjà sûrement, il n'y avais que toi seulement.
Question juste réthorique.
C'est là qu'on s'est enlassé, embrassé.. Enivrantes
sensations.
Poussant jusqu'au paroxysme, le jeu de la seduction.
C'etait dejà orgasmique, j'aurais jouis sous la tension.
Putain comme je me souviens, du moindre petit instant.
Et partout ou je regarde, je te vois me revenir.
Tout autour de moi me blesse, me ramenant à toi sans
cesse.
Tu sais que j'sais pas mentir, alors je te le confesse..
J'ai bien su tout retenir, de nous, de chacunes des
étapes. Du meilleur et puis du pire.
J'me souviens de tout mon coeur, de nos âmes qui
s'attirent, qui s'animent, et l'air qui se rarefie..
À quel point j'était humide, frôlant presque l’asphyxie,
sous la force de l’attraction.
Il aurais suffit d'un rien, pour que ce moment dérape,
qu'on céde à la tentation, tant l'action etait torride..
On s'est tellement désirer, sans pouvoir se consommer,
on consumait, c'etait splendide..
Appuyé sur ce rocher, face à l’Océan Indien, j’aurais
arrêté le temps, fait se taire le bruit des vagues.
Pour ne pas qu'il nous rattrape.
Malgré tout l'instant m’échappe.
C’est tellement dingue, si tu savais,
À quel point je me souviens, de tout, mon coeur.
Même de ce dernier baiser, sous des torrents d'pluie
tombé.
《Est-qu'on s'embrasse ?》
C'etait une question merdique !
Y'avais rien de plus logique, c'est mon passage favoris.
Tout d'un coup c'etait comme si, y'avais plus personne
autour.
Mais la plage était bondée, on aurait dit un vieux film,
dégueulasse qui pue l’amour !
C'est à cet instant précis, que j'ai céssé les détours, et
puis que j’ai accepté.
Oui j'allais m'laisser t'aimer, en profondeur, sans me
brider, sans avoir peur, de me briser. Je te l’confie par
ces lignes, car ma bouche n’oserait le dire..
j’te le jure j'me souviendrais, pour toujours et à jamais,
de mon coeur tout entier, du goût de mon antillais » 🫶🏽
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swedesinstockholm · 8 months
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1er janvier
j'ai lu quelque part que cette année le 1er janvier était un full reset parce qu'on est lundi et y avait tout un tas d'autres paramètres que j'ai oubliés mais moi ce matin je me suis réveillée je me suis masturbée et puis j'ai pleuré sur le canapé en lisant le message de bonne année de r. qui me souhaitait plus de joie que jamais, il l'a répété trois fois, joie joie joie, et ça m'a fait pleurer qu'il sache à quel point j'en manque et à quel point elle m'est difficile d'accès. j'ai l'impression d'exsuder de la tristesse par chacun de mes pores et que mon incapacité à accéder au fun repousse les gens. je pleurais aussi parce que la personne la plus susceptible de m'apporter de la joie c'est lui justement. je lui ai répondu et puis je suis allée me promener sur la plage, j'ai pris des selfies avec la mer et je lui en ai envoyé un en mettant bisous de la mer et moi et puis j'ai passé la journée à y penser parce qu'il me répondait pas et c'est pas comme ça que j'avais envie de commencer l'année.
j'ai écrit les prémisses d'une nouvelle chanson en marchant sur la plage, ça c'était trop bien par contre, et les paroles n'ont rien avoir avec r. ce soir j'ai regardé the punk singer parce que je me rappelais que kathleen hanna parlait de la maladie de lyme dedans et si j'avais un seul regret à avoir dans ma vie c'est de pas avoir commencé à faire de la musique toute seule dans ma chambre et de chanter dans un groupe de punk en culotte sur scène quand j'en avais l'âge. parce que je suis trop vieille pour être kathleen hanna maintenant. j'ai quand même décidé que mon futur costume de scène serait tshirt-culotte-collants. à part ça, ma priorité numéro un cette année c'est d'écrire aux gens. reach out, proposer d'aller boire un verre, ne pas avoir peur du rejet, ne pas me dire que je suis un repoussoir, et essayer de m'entourer. l. de paris m'a écrit bisous lara aujourd'hui comme ça sans raison. les gens m'aiment ok.
hier soir j'ai mangé seule sur le canapé avec mon masque mon bol de chips et gaïa qui me tenait compagnie couchée à mes pieds parce que j'avais pas envie de rester seule dans ma chambre avec mes pensées. je me sentais tellement seule que j'étais contente de recevoir des messages de m. en espagne. mon seul plaisir de la soirée: voir f. apprécier ma playlist et chanter sur des vieux trucs en faisant des petits commentaires. il est tellement reposant après une semaine de b. et aller souhaiter la bonne année à la mer à minuit aussi.
2 janvier
ce soir j'ai regardé la suite de 1991 the year punk broke et le début de dig! le doc sur le brian jonestown massacre, j'ai envie de me repasser tous les documentaires de musique de mon disque dur, ce disque dur est une mine d'or j'avais vraiment bon goût avant. journée moins désespérée que hier, j'ai développé ma chanson, je l'ai chantée sur la plage, j'ai vu seul au monde en arrivant mais je l'ai esquivé en escaladant une dune je sais pas pourquoi, j'avais peur de lui parler. j'ai marché jusqu'au phare en chantonnant et j'ai vu le coucher du soleil sur la mer assise sur la plateforme en béton devant le phare avec les deux pêcheurs qui pêchaient rien. en regardant une mouette raser la surface dorée je me suis dit que je devrais recommencer à faire plus attention aux petites choses magiques. et arrêter d'être obsédée par mon téléphone.
en passant devant la vigie j'ai vu la terrasse sans le mûrier. hier h. m'avait dit qu'ils l'avaient coupé. mon mûrier. le mûrier qui me protégeait du soleil comme personne même au plus chaud de l'après-midi. le mûrier qui lisait mon journal par dessus mon épaule depuis mon adolescence. ce mûrier connaissait toute ma vie et maintenant il est parti.
3 janvier
je suis tellement obsédée par la musique que je suis même plus intéressée par mon livre, je veux pas être écrivaine je veux être chanteuse. dans the punk singer au début on voit kathleen hanna qui fait du spoken word et elle raconte qu'un jour kathy acker lui a dit why do you wanna do spoken word? nobody listens to those things, if you have things to stay and you wanna be heard you should start a band. dès qu'on est rentré j'ai pris une douche j'ai changé mes draps et j'ai écouté julie ruin l'album qu'elle a enregistré toute seule dans sa chambre à trente ans quand elle a arrêté bikini kill. elle a acheté un synthé un sampler et une boite à rythme et elle l'a fait. mais la toute première chose que j'ai faite en arrivant, avant de me doucher, c'est allumer mon téléphone que j'avais pas allumé depuis hier soir et quand j'ai vu que j'avais pas de message de r. je suis devenue légèrement mélancolique et je me suis dit que je pouvais pas continuer à le laisser affecter mon humeur comme ça, c'est pas tenable, j'en peux plus d'être triste.
j'ai réussi à me remonter vers la surface en écoutant l'album de kathleen hanna et puis je suis allée essayer ma nouvelle chanson au piano et j'ai mis des accords très basiques dessus mais il faut bien que je commence quelque part. c'est basique mais j'aime bien. la prochaine chanson que j'écris je veux faire un truc moins mélancolique. j'ai envie d'avoir cette résidence à la kufa rien que pour pouvoir utiliser l'argent de la bourse pour m'acheter un microkorg et un micro et une carte son pour tout brancher et je sais pas quoi encore. hier h. et f. sont passés nous dire au revoir pendant que j'écrivais des paroles dans mon carnet sur le canapé et f. m'a demandé qu'est-ce que tu fais? tes devoirs? et j'ai rigolé en disant oui parce que jamais de la vie j'aurais osé lui dire que j'écrivais une chanson, c'est pas trop un truc qui se fait dans la famille.
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tintinintergalactique · 10 months
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Le trésor de Beng Meala
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Le temple de Beng Meala était impressionnant. Il était recouvert de lianes et de mousses, et ses tours s'élevaient vers le ciel. Il semblait abandonné depuis des siècles, et aucun signe de vie humaine n'était visible. Tintin et Titine s'approchèrent avec prudence, en scrutant les alentours. Ils remarquèrent une ouverture dans un mur, qui semblait être l'entrée du temple. Ils décidèrent de s'y engouffrer, en espérant y trouver le trésor.
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Ils se retrouvèrent dans un couloir sombre, éclairé par des torches. Ils avancèrent avec précaution, en évitant les toiles d'araignées et les ossements. Ils arrivèrent à une salle circulaire, où se dressait un autel orné de sculptures. Sur l'autel, il y avait un livre ancien, relié de cuir. Tintin s'en saisit et l'ouvrit. Il y avait des inscriptions en khmer, qu'il ne comprenait pas. Il décida de le garder, en pensant qu'il pourrait le traduire plus tard.
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Ils continuèrent leur exploration, en suivant le couloir qui partait de la salle. Ils arrivèrent à une porte en bois, fermée par un cadenas. Tintin sortit son couteau et essaya de forcer la serrure. Il réussit à ouvrir la porte, et ils entrèrent dans une nouvelle pièce. Celle-ci était remplie de statues de Bouddha, disposées en cercle. Au centre, il y avait un piédestal, sur lequel reposait une clé en or. Tintin s'approcha pour la prendre, mais il déclencha un mécanisme. Des flèches empoisonnées se mirent à jaillir des murs, en visant les intrus. Tintin et Titine se jetèrent à terre, en se protégeant avec le livre. Ils attendirent que les flèches cessent de voler, puis ils se relevèrent. Tintin prit la clé en or, et ils sortirent de la pièce.
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Ils reprirent le couloir, qui les mena à une autre porte. Celle-ci était en fer, et portait une inscription en khmer. Tintin essaya de la déchiffrer, en se basant sur le livre. Il comprit qu'il fallait prononcer un mot de passe pour ouvrir la porte. Il essaya plusieurs mots, sans succès. Il se souvint alors que la clé en or avait une forme particulière. Il la regarda de plus près, et il vit qu'elle formait le symbole du soleil. Il eut une idée. Il prononça le mot "Surya", qui signifiait soleil en khmer. La porte s'ouvrit, et ils entrèrent dans la dernière pièce.
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Celle-ci était la plus grande et la plus belle. Elle était décorée de fresques et de mosaïques, représentant des scènes de la vie du roi Jayavarman VII, le fondateur du temple. Au fond, il y avait un trône, sur lequel était assis un squelette, vêtu de bijoux et de brocart. Devant lui, il y avait un coffre en bois, fermé par un cadenas. Tintin inséra la clé en or dans la serrure, et ouvrit le coffre. Il découvrit alors le trésor de Beng Meala: des lingots d'or, des pierres précieuses, des statues, des armes, et des objets d'art. Tintin et Titine étaient émerveillés. Ils avaient réussi à trouver le trésor, après avoir surmonté les épreuves. Ils se félicitèrent, et se préparèrent à emporter leur butin. Mais ils ne se doutaient pas qu'ils n'étaient pas seuls. Des hommes armés, qui les avaient suivis discrètement, les attendaient à la sortie du temple. Ils étaient les hommes de main d'un trafiquant d'antiquités, qui convoitait le trésor. Ils s'apprêtaient à attaquer Tintin et Titine, pour les éliminer et voler le trésor. Tintin et Titine prirent la fuite par le chemin de fer de la petite ceinture.
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Ecrit par GPT4
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claudehenrion · 1 year
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''Fiat Lux''... comme disait quelqu'un de connu...
  De doute en doutes... jaillit parfois la lumière ! Un des aspects les moins publicités du ''métier'' (?) de blogueur, c'est qu'on se demande en permanence si on fait bien d'exposer ses propres pensées... même si on retourne sept fois sa langue dans sa bouche et ses doigts sur son clavier avant de les raconter. La balance, en effet, n'est pas égale : vous savez, amis lecteurs, à peu près tout ce que je pense, crois, espère, voudrais ou rêve... et la réciproque n'en est pas une. Je sais : c'est un choix, et j'aurais mauvaise grâce à m'en plaindre. Mais c'est parfois lourd à porter.
C'est pour cette raison qu'on est si heureux, chaque fois que, au détour d'une lecture, on tombe sur un texte que l'on trouve génial et qui reprend –en général en mieux dit, en plus clair, en mieux structuré, mais reprend, donc, vos idées, vos hypothèses, vos analyses et vos conclusions. Et cette fois, cerise sur le gâteau, c'est l'immense René Brague qui se met dans le rôle du ''fact checker'' –à ceci près que au lieu de se gargariser de contre-vérités et de psittaciser des mots dont il ignore le sens, comme le font les nuls qui usurpent ce titre dans nos ''JT'' rendus mensongers-au-carré par leur intervention... ce grand penseur, lui, parle d'or. Alors, Chrysostome (= bouche d’or) Brague, ''Santo, Subito'' ? Je vous en laisse juges...
René Brague est un immense universitaire aux titres innombrables et à l’œuvre quasi-pharaonique. Il vient de publier chez Gallimard un ouvrage remarquable : ''Sur l'Islam''... titre qui précise, limite et révèle le sujet ! Petit détail important, pour moi : il est très rare, depuis la disparition du regretté Malek Chebel –et mis à part Bouallem Sansal-- qu'un penseur, historien ou philosophe parle de l'islam... et que j'approuve chaque mot avec, même, une très forte envie d'applaudir. Ce n'est pas que de la prétention de ma part : en mêlant arabophilie, arabophonie et intérêt pour les religions en général, je ne suis pas facile à faire bouger, sur ce sujet... (NDLR : catho-catho, j'ai lu le Coran à 14 ans pour la première fois –sur ordre paternel, rassurez-vous ! Mon Père nous répétait : ''Nous sommes chez eux. ils savent notre langue, nous devons connaître la leur. Ils savent nos ''us'' : nous devons connaître leur code civil, qui est le Coran''. Et, quelque 50 ans plus tard, j'ai suivi le cycle des Lundis du Grand Rabbin Sitruk sur ''la Foi d'Isra-ël''. Je trimbale un lourd passé !).
Ce ''énième'' livre de René Brague est aussi brillant et aussi profond que tous les autres, et c'est de lui qu'est tirée cette phrase qui mériterait d'être ''panthéonisée'' si nous étions dirigés par des sages : ''L'islamisme n'est peut-être pas l'islam... mais c'est un islam''... qui résume tout, résout tout, explique tout... et repose sur des bases entièrement nouvelles toute la problématique qui sépare nos pseudo-élites (très ? trop ?) convaincues face à un islam entièrement réinventé selon ce qu'elles croient qu'il pourrait ou devrait être, c'est-à-dire relu et revu ''à la sauce chrétienne'' –ce qu'il n'est évidemment pas... de populations (= de nous tous !) qui, jugeant ''sur les faits'' (disent-elles), s'en tiennent à des faits soigneusement choisis pour ne pas voir ce qui peut gêner, comme l'arbre qui, mine de rien, cache la forêt.
Car les occidentaux, remarque justement René Brague, encore très marqués par le christianisme, voient donc le monde –donc l'islam, ce qui est absurde !--  à travers des catégories chrétiennes, au lieu de le voir comme il est, et tel qu'il se voit lui-même. C'est une erreur fondamentale, et définitive dès le premier mot : ''Religion''. L'Occident met dans ce mot des actes (comportements, prières, fêtes, pèlerinages, jeunes  ou sacrements, et ''aller à la messe'') clairement séparés de ceux de la vie courante et a donc un mal fou à accepter que, pour un musulman pieux (pour ''un croyant'' disent-ils comme si tous les autres humains ne croyaient en rien... ce qui est exactement ce qu'ils pensent), des interdictions alimentaires (la viande de porc –Cor #4), des recommandations relatives à l'habillement (Ô fils d’Adam, munissez-vous de votre parure en tout lieu de prière -7:al-A`râf:31) ou la pilosité (le Hadith sur la barbe) sont des parties intégrantes de la religion qui, en fait, est très souvent plus proche de notre ''code civil'' que de notre ''pratique religieuse''... d'où une désillusion dramatique pour nos politiciens qui s'imaginent qu'il serait possible d'aligner la pratique des musulmans sur leur laïcité... Pour ça, Mustapha Kémal a tout essayé, par la contrainte... Résultat : Erdoğan ! Ils sont vraiment très bêtes. 
En règle générale, l'homme de la rue ne connaît que très ‘’à peu près’’ sa religion, le musulman étant aussi ignare sur sa foi que les chrétiens... ce qui n'est pas peu dire.  Mais cette ignorance n'est pas symétrique : les occidentaux, même les plus enragés des bouffeurs de curés, sont culturellement encore trop ''chrétiens'' pour se détacher de cette vision du monde, tandis que les musulmans témoignent tous d'un manque d'intérêt total pour les dogmes et pratiques de la chrétienté qu'ils croient connaître une fois pour toutes à travers ce qu'en raconte le Coran… qui, pour nous, ne correspondent à rien de vrai : le musulman croit, dur comme fer, qu'il ''sait'' mieux que nous ce qu'est le christianisme : son Livre Sacré, divin et incréé, le lui a dit...  en lui précisant même que les deux autres monothéismes bibliques ont été falsifiés par ou avec le temps, et ne correspondent plus à ce que disait Abraham et que ‘’Moïse avait transmis’’ à celui que le Coran nomme ''Issa'' (= notre Jésus)...
Deux autres facteurs créent une impossibilité ontologique et définitive de véritable dialogue : le premier, et ce n'est pas rien, c'est la définition de ''l'Homme'' qui pour un chrétien, est ''tout humanoïde vivant'', notion à laquelle le musulman ajoute, sans discussion possible : ''et croyant ou converti''. Lorsqu'il parle de l'égalité entre les hommes, le musulman ne peut concevoir qu'une égalité entre les seuls croyants... dans une conception ‘’fermée’’ face à notre ouverture, confusion qui explique tous les déboires de l'Occident : que de milliers d'heures ont été perdues par le seul refus de cette évidence que l'Occident refuse absolument d'accepter tant cette limitation lui paraît impossible alors qu’elle est ‘’de définition’’.
Le second, c'est le refus par l'islam de la possibilité d'existence non seulement de quelque ''loi naturelle'' que ce soit, mais de toute ''loi humaine'' : le seul législateur ''légitime'', c'est Dieu –non pas celui qui nous parle, à nous chrétiens, par la voix de la conscience... mais le seul Allah, qui a dicté le Coran où sont toutes ses volontés (il n'en existe aucune autre) à travers ''le bel exemple'' du Prophète (Cor. XXXIII-21) contre lequel aucun pouvoir humain ne peut prévaloir, fut-il prétendu ''représentatif''. Il est d'ailleurs bien précisé (Charia'a) que la raison est impuissante devant le sens de la vie profane, devant le choix entre ce qui est bien et ce qui est mal... la Révélation ne dit rien sur la Nature d'Allah mais indique Sa volonté. On comprend pourquoi nos ''libres penseurs'', nos ''laïcards'' et même tous les laïcs ''buggent grave'' : impossible pour eux de comprendre un seul mot et d'accepter la mort à leur rêve d'un '’islam-de-France’’ qui est impossible à jamais.
Quant à ce que l'Occident et lui seul désigne par ''l'islamisme'' (le seul mot, en arabe –qui est, ne l'oublions pas, ''la langue de Dieu, celle que parle Allah''-- est : ''islam'', la soumission)... nous pinaillons pour inventer des degrés et des nuances qui ne peuvent exister en aucun cas, jamais ! Le pauvre Occident se déchire, chicane, chipote, coupe les cheveux en quatre et le sexe des anges en 8, 16 ou 24, il byzantinise ou il talmudise –comme vous voudrez-- dans la confusion et le ridicule, sur la phrase imbécile qui encombre les Prétoires de nos tribunaux, nos radios, nos télés et nos débats, tous idiots : ''Tous les musulmans ne sont pas des islamistes''. Mais si, justement, ils le sont et c'est même eux qui le disent... et ils y tiennent : c'est la base de leur ''être croyants'' ! Mais comme il est pitoyable de voir nos magistrats pontifier, en robe herminée mais toujours dans le sens le plus... insensé, sur un sujet pour lequel ils n'ont pas la plus élémentaire connaissance.
Une conclusion (même si je sais que Flaubert disait ''Seuls les imbéciles veulent conclure'') ? Elle sera triple : tout d'abord, lire et relire René Brague est toujours un bonheur enrichissant dont on ne se lasse jamais. Ensuite, apprécions la chance que notre ex-belle et ex-douce France produise encore de telles intelligences : que c'est beau, une tête bien faite qui tourne dans le bon sens ! Et enfin, ''c'est pas demain la veille'' que nous allons sortir de notre pétrin actuel, car autant il faut s'extasier sur une grande intelligence, autant il faut pleurer sur la bêtise crasse de ceux qui, devant l'évidence, refusent encore et toujours de voir le soleil en plein midi. Sauf un réveil que rien ne permet d'espérer, ''on n'est pas sorti de l'auberge'' !
H-Cl.
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filledebois · 2 months
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Ma petite mine d'or
Y'a rien de plus vrai, de plus vif, de plus brut que la maternité.
Tu penses que tu sais un peu dans quoi tu t'embarques après avoir lu le Mieux vivre, plein de Naître et grandir, des livres de Sarah Hamel et de Mélanie Bilodeau... après avoir consulté une doula, ta gynécologue, ton médecin de famille, des intervenantes spécialistes en périnatalité et en allaitement, une nutritionniste... après avoir parlé à toutes les mères que tu connais... et surtout la tienne! Après t'être abonnée à tous les groupes Facebook de mères et de femmes enceintes... mais non.
La vérité c'est que tu sais pas PENTOUTE dans quoi tu t'embarques!
C'est un peu vertigineux quand tu réalises qu'au fond, tu fais ben ce que tu peux avec ce que t'as pis ce que tu sais, pis ta mère aussi a fait ça avec toi, pis ta grand-mère, pis ton arrière-grand-mère pis tout le monde au fond! On sait pas pentoute ce qu'on fait. Mais c'est ça qui est beau. On s'embarque dans une aventure incroyable, pis on le fait avec tout notre coeur pis nos trippes!
L'Amour d'une mère. On a beau en parler, on sait pas ce que c'est tant qu'on l'a pas vécu. Ça fesse! C'est fort, ça pourrait soulever des montagnes. C'est doux, ça pourrait guérir tous les bobos du monde. C'est profond, on peut pas en voir la fin. Mais c'est surtout viscéral, inconditionnel et sans limite. Ça fait même peur des fois!
Une chose est sure, c'est que je remuerais ciel et terre pour ma fille. Je combattrais un ours à mains nues. Je pourrais tuer pour la défendre. C'est pas une façon de parler. J'avoue avoir été sous le choc le jour où je l'ai réalisé.
Et on apprend. On apprend qu'on sait pas grand chose de la vie et que c'est ce petit bout d'humain là qui va nous enseigner des choses comme personne avant. Cet enfant qui va nous en apprendre sur nous-mêmes et sur la vie. Sur la maternité et tout ce qui l'entoure. C'est une petite mine d'or qu'on fabrique avec son corps!
-Filledebois
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fafou-en-finlande24 · 6 months
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Mercredi 13 Mars :
Le ciel ne s'est malheureusement pas dégagé dans la nuit, j'ai vérifié lors de chacun de mes réveils après 1h du matin.
On sentait un peu le frais sur les zones à découvert mais sinon on aurait du mal à imaginer qu'il fait -5°C dehors, le chalet ayant une très bonne inertie.
On rallume un peu le poêle pour le petit déjeuner (porridge au menu) et on range nos affaires.
On met un petit mot dans le livre d'or et on part vers 9h du chalet. On parcourt les 1,7 kms assez rapidement puis on s'avance au bout de la piste pour aller marcher un peu plus sur des pistes.
On fait 1 petit kilomètre puis on reprend la voiture afin de prendre une autre piste qui mène à un autre refuge où on peut faire du feu.
En effet on devait trouver un endroit pour faire cuire nos saucisses, tradition oblige, du coup on s'installe et on prépare du petit bois avec le couteau lynx de Sam (j'ai laissé le mien dans le sac).
On déguste nos saucisses bien fumées au bois de pin sylvestre en observant un pic épèche qui fait de la musique à grands coups de bec sur un tronc mort en face.
On retourne à la voiture et faisons la route pour revenir à la maison. On arrive vers 13h et on passe un peu de temps à se reposer, je m'endors presque.
On fait un repas léger vers 14h quand Lumi rentre du collège. On l'a aperçue de loin avec sa classe quand on rentrait quand ils avaient ski se fond.
Après déjeuner j'aide un peu à la cuisine pour faire une bolognaise pour ce soir, et coupe les carottes et les oignons.
Susana était restée travailler de la maison et ce soir elle accueille quelques personnes pour une réunion du parti Vert.
Sam reste ici pour préparer et moi j'enfile les crampons et je pars marcher jusqu'à l'île de Selkasaari.
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Je passe près du château de glace, descends sur la mer Baltique sous les cottages, passe par la digue, longe le port, passe devant des jeunes qui viennent de s'installer pour pêcher au trou et trace tout droit vers l'île sur la piste repérée.
Une fois dans l'île je suis la piste de ski de fond. Je m'arrête un moment photographier un nouveau pic épèche et m'enfonce dans les 50 cm de neige (j'ai plus les raquettes).
Je retrouve le bord de la mer un peu plus loin et trace tout droit vers chez Sam. Je m'arrête dans une épicerie pour prendre de la bière et des gâteaux apéro.
J'ai fait une belle boucle de 8,3 km, en 1h45 de marche et seulement 20m de dénivelé positif (et oui c'est tout plat ici...).
Je retrouve Sam, Susana et ses collègues des verts en pleine réunion. Je vais me doucher puis on dîne tous entre la cuisine et le salon.
On fait un peu plus de Schotten Totten avec Sam avant d'aller se coucher vers 22h30.
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28 février : la Journée de l’Andalousie
La Journée de l'Andalousie (Día de Andalucia), célébrée chaque 28 février par un jour férié, commémore le référendum de 1980 qui a rendu région pleinement autonome. Ce jour-là, les rues des villes et des villages sont pavoisées de vert et de blanc, les couleurs de la région (comunidad) d’Andalousie.
La fin de la dictature du général Franco qui permis une transition vers la démocratie et l’annonce de l’autonomie de certaines régions (Catalogne, Navarre, Pays basque et Galice). L'article 2 de la Constitution espagnole reconnaît et garantit le droit à l'autonomie des nationalités et des régions espagnoles. Les Andalous voulurent eux aussi bénéficier de ce nouveau régime. Ainsi, le 4 décembre 1977, autre grande date du peuple andalou, près d'un million et demi d'Andalous dans les huit départements (provincia) andalous descendirent dans la rue pour exiger l'autonomie de l'Andalousie.
Cette manifestation massive avait été convoquée par l'Assemblée des parlementaires. À Malaga, cette journée s'est terminée par une tragédie : la mort de Manuel José García Caparrós, un jeune syndicaliste de CCOO, ouvrier de l'usine Cervezas Victoria, décédé après avoir été abattu par la police pendant la manifestation. Le jeune Caparrós est considéré comme l'un des symboles de la lutte du peuple andalou et de son autonomie. 
La manifestation du 4 décembre a abouti à la convocation du référendum du 28 février 1980, qui a permis la constitution d’un gouvernement local, la Junta de Andalucía en juin 1979. Ce processus a été le premier et le seul référendum en Espagne proposé de cette manière. Toutes les provincia ont voté oui, à l’exception de celle d’Alméria, où l’autonomie a été instituée d’une autre manière.
Le soulèvement révolutionnaire de Topete à Cadix, au XIXe siècle, considéré comme le germe historique de l'autonomie, et la signature du Manifeste andalou de Cordoue (1919), qui décrivait l’Andalousie comme une réalité nationale, auraient pu aussi servir de date au Día de Andalucia. Les autorités ont préféré célébrer un événement contemporain.
Le Statut d’autonomie a été approuvé en 1981 comme la norme la plus importante pour les Andalous après la Constitution espagnole et qui accorde à l'Andalousie le statut de nationalité historique. En avril 1983, le Parlement d'Andalousie a reconnu Blas Infante comme Père de la Patrie andalouse. Vingt-six ans plus tard, en 2007, les Andalous ont ratifié par référendum un nouveau Statut d'autonomie , dont le préambule reconnaît la réalité nationale andalouse telle que décrite dans le Manifeste andalou de Cordoue de 1919. Le texte final compte au total 250 articles, 11 titres, cinq dispositions complémentaires, deux dispositions transitoires, une disposition abrogatoire et trois dispositions finales.
Depuis 1981, les écoles sont fermées à l'occasion du 28F et de la Semaine Blanche dans certaines régions d'Andalousie. Le vendredi précédant la Semaine Blanche est souvent une fête culturelle dans les écoles. Le traditionnel petit-déjeuner composé de pain à l'huile d'olive est servi et une grande variété d'activités culturelles est proposée.
On chante également l' hymne , une composition de José del Castillo Díaz avec des paroles de Blas Infante inspirées du Saint Dieu, un chant religieux populaire que les paysans et les journaliers de certaines régions andalouses chantaient pendant les récoltes.
Depuis 1983, c’est le jour de la remise des médailles d'Andalousie. Lors d’une cérémonie dans le théâtre de la Maestranza de Séville, le gouvernement local nomme les « fils (ou filles) andalous (es) préférés (es) » d’Andalousie. Les noms des personnes récompensées par le titre sont inscrits dans un registre appelé « Livre d'Or de l'Andalousie ». Le prix consiste en une médaille avec l'inscription Fils préféré d'Andalousie et une plaque d'argent gravée expliquant en détail le motif du prix. Dix médailles au maximum sont attribuées annuellement. Les lauréats porteront le titre de Son Excellence Monsieur (ou Madame). Pour 2024, sont notamment distingués : José Mercé, chanteur de flamenco, et Jerez de la Frontera Santiago Muñoz Machado, le directeur de l'Académie royale espagnole.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 27 février 2024
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monsieurhihat · 7 months
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La tempête qui vient
"La tempête qui vient" de James Ellroy est le deuxième volume de sa quadrilogie en cours de rédaction, et que son éditeur français appelle le  deuxième quatuor de Los Angeles. C'est encore un bon gros volume de près de 750 pages et de fait on retrouve la métropole dans l'état où on l'avait abandonnée à la fin de "Perfidia", le tome 1 : c'est à dire livrée toute entière à la corruption et au vice, en plus de la peur panique puisque Pearl Harbor vient tout juste d'avoir lieu. On retrouve aussi les ambitions carnassières et les immondes manigances de toute la petite population qui est prise comme une foule de lapins dans des phares dans les jeux d'alliances et de trahisons induites par la rivalité entre Whisky Bill Parker en pleine rédemption et ce fou furieux de Dudley Smith qui a plus que jamais lâché les bords. C'est le fil rouge du volume. Bien plus que l'enquête autour d'un triple homicide à mener proprement à bien, plus aussi, que la quête d'un inestimable trésor en lingot d'or disparu suite au braquage d'un train, plus encore que le démantèlement de la cinquième colonne, du rapprochement qui s'opère déjà en anticipation de l'après-guerre d'une frange de l'extrême droite et d'une frange de l'extrême gauche. Ce qui agite vraiment tous les personnages, c'est la haine réciproque que se vouent Parker et Smith, et dans laquelle ils engagent comme des pions tous ceux qui les entourent. À part la très maline et très tordue Kay Leigh, personne n'est sauvé dans cette mélasse humaine, personne n'est intact. C'est vraiment le bûcher des vanités. Pour dire, j'ai trouvé à admirer un peu de droiture de la part d'Elmer Jackson quand j'ai eu fermé le livre, alors qu'Elmer Jackson est un flic corrompu, assassin sang vergogne et qu'il est à la tête d'un réseau florissant de prostitution. Et dans le lot, c'est mon gars sûr ? C'est un livre époustouflant, qui pousse plus loin les enjeux déjà poussés loin dans le tome 1. Il faudra que je fasse une cartographie d'Ellroy, peut-être un oujoporama, à usage personnel, parce que je l'ai beaucoup lu, et pas forcément dans un ordre cohérent. Mais bon, l'œuvre procède elle aussi par aller-retour. Ce deuxième quatuor aussi raconte des événements qui se déroulent avant le premier quatuor avec foule de personnages communs, et d'ailleurs Élisabeth Short est encore vivante - Et Élisabeth Short, c'est le dahlia noir. J'ai commandé sur le bon coin "ma part d'ombre" parce que je ne pense que je puisse dire quoi que ce soit d'un peu cohérent sur ce bonhomme, sans l'avoir lu quand il parle du gamin qu'il a été, et de cette photographie de lui a onze ans juste après qu'on lui a annoncé l'atroce meurtre de sa mère. Je lui dois ma première gifle de l'année.
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omagazineparis · 7 months
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"Tout Vouloir, Tout Avoir" : le guide destiné aux femmes
L'ouvrage de Sarah Zitouni, "Tout Vouloir, Tout Avoir" est disponible en librairie depuis la rentrée. Véritable guide d'émancipation féminine, l'auteure confie dans ces quelques pages tous les secrets d'une bonne insertion professionnelle. Entre statistiques et conseils, ce livre publié aux éditions Kiwi donne aux femmes les armes nécessaires pour se battre pour avoir ce qu'elles veulent. O Magazine a interviewé l'auteure, Sarah Zitouni. Être une femme dans le monde professionnel : un défi au quotidien ""Tout Vouloir, tout avoir" est un livre qui permet de partir du bon pied, loin des idées reçues sur ce qu'une femme a le droit de vouloir", explique l'auteure lorsqu'on l'interroge sur ce qui l'a motivée à écrire cet ouvrage. Ce livre a pour but d'accompagner les femmes dans leur vie professionnelle afin qu'elles soient épanouies au travail. L'auteure ajoute : "La société demande tellement des femmes sans aucune forme de reconnaissance... je veux que les femmes puissent identifier en premier lieu leurs vrais désirs". Entre les lignes, la fondatrice du compte Instagram @PowHER_ta_carriere, décrit le quotidien des femmes dans le monde professionnel. Elle souligne notamment les difficultés auxquelles ces dernières doivent faire face. Parmi lesquelles, se trouvent : apprendre à dire non, se faire confiance, négocier son salaire ou un prix, etc. Dans ce guide, le choix a été fait de se consacrer pleinement aux femmes. "Le monde du travail fait par les hommes et pour les hommes challenge plus les femmes et la société ne les prépare pas à ce challenge"SARAH ZITOUNI - "Tout vouloir, TOUT AVOIR" Un guide rédigé par une professionnelle du coaching Sarah Zitouni est une femme d'affaires mais aussi une coach. Issue de parents étrangers et d'une famille modeste, l'auteure ingénieure se décrit comme une "anomalie statistique". Sur Instagram, elle a monté une entreprise de coaching destinée à aider les femmes à développer leur potentiel. "Je me suis mise donc en quête d'aider les autres femmes à s'en sortir aussi", confie l'auteure. Sur les réseaux sociaux, ce sont près de 20 000 abonnés qui suivent Sarah Zitouni. "J'ai commencé mon compte instagram parce qu'il me semblait que c'était le moyen le plus simple de partager l'information avec le plus grand nombre de femmes", dit-elle. "Je reçois plusieurs dizaines de messages par jour pour discuter de cas particuliers ou qui me remercient", ajoute l'auteure. Elle ajoute : "je lis et réponds moi-même à tous mes messages, c'est mon rappel que ce que je fais est utile". Une mine d'or de tips et de conseils "Dans ce livre, je m'appuie sur les erreurs que j'ai faites dans ma vie et ma carrière pour les épargner aux autres", décrit l'auteure. Ce guide est construit en chapitres et traite de thèmes très variés dont le syndrome de l'imposteur. Par ailleurs, l'auteure elle-même raconte avoir souffert de ce syndrome. "Être fière de mon parcours, c'était l'aboutissement d'années de lutte aussi contre mon syndrome de l'imposteur"SARAH Zitouni - "tout vouloir, tout avoir" Pour écrire, elle s'est fondée sur les croyances limitantes communes aux femmes. Elle explique : "Du syndrome de l'imposteur à la peur de l'échec, ces croyances empêchent les femmes d'être confiantes et d'exiger leur dû au travail". Les obstacles que rencontrent les femmes dans le monde professionnel Dans le chapitre 1, l'auteure traite justement de ce syndrome de l'imposteur. Elle explique que "le syndrome de l'imposteur est à l'origine du plus grand gâchis de talents en entreprise. 75% des femmes déclarent souffrir du syndrome de l'imposteur". "C'est notre construction sociale qui crée ce syndrome de l'imposteur en exigeant du calme, de la patience, de la modestie et de la discrétion de la part des petites filles, dans une mesure qui est sans équivalent pour les petits garçons"SARAH ZITOUNI - "Tout vouloir, TOUT AVOIR" L'auteure explique ainsi que, depuis l'enfance, les femmes sont conditionnées à avoir moins confiance en elles que les hommes. "Ces derniers sont plus invités à prendre la parole en classe, prennent plus de place dans la cour de récréation, reçoivent des compliments qui mettent plus en valeur leur personnalité", explique la coach. Sur ce thème, lire également : La charge mentale en cinq questions Le livre se termine sur un chapitre dédié à la négociation de salaire. "L'argent est à la fois tabou mais aussi indispensable au quotidien", résume l'auteure. Elle ajoute : "l'argent, c'est aussi un marqueur de la valeur en entreprise". Vous retrouverez ces outils dans l'ouvrage disponible en librairie et en ligne. Un guide axé sur la confiance en soi et la bienveillance L'ouvrage contient également des informations sur des thématiques de la vie quotidienne comme la confiance en soi. "C'est un effet secondaire du livre et de mon coaching : quand on prend confiance en soi, c'est toute sa vie qu'on regarde différemment", décrit Sarah Zitouni. Avoir confiance en soi, c'est la clé. Lorsqu'une personne a confiance en elle, tout dans sa vie change. "On se met à aussi demander son dû dans la famille, à poser des limites saines à ses proches, à se respecter et donc se faire respecter", confie la coach. Dans sa démarche d'accompagnement dans la bienveillance, la fin de l'ouvrage est constituée d'un kit de survie légale en entreprise. Sarah Zitouni répond à des questions de droit du travail, en indiquant ce qui est légal et ce qui ne l'est pas. L'auteure revient sur les éléments incontournables pour s'en sortir dans le monde professionnel. "J'ai pris conscience que ce manque de connaissance nous causait du tort, le code du travail ne nous protège que si on sait comment s'en servir et où trouver de l'aide et de l'information", conclut Sarah Zitouni. Le mot de la fin Le mot de la fin revient à l'auteure interviewée : "le pouvoir est déjà en vous" ! Les coachings de l'auteure sont disponibles sur son compte Instagram et sur son site web. Alors n'hésitez plus : reprenez le pouvoir ! Read the full article
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christophe76460 · 8 months
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ÉTUDE BIBLIQUE~PROVERBES 16
👉Proverbes 16:1-15
Rappelons que la plupart des pensées et maximes contenues dans ce livre des Proverbes ont entre elles des liens qu'il est important de rechercher et de dégager.
Les projets du cœur sont « à l'homme », déclare le verset 1. « Le cœur de l'homme se propose sa voie… » reprend le verset 9. Et ces projets, ces voies, peuvent paraître purs (verset 2) et droits (verset 25) à quiconque ne connaît pas son cœur et ne juge pas ses motifs.
Par exemple une aumône, chose bonne en soi, peut être faite pour être vue par autrui (Matthieu 6:1). Mais Dieu, qui pèse les esprits et les cœurs (chapitre 21:2), discerne dans nos intentions telle voie de chagrin ou de mort (verset 25; Psaume 139:24).
Suivons le conseil du versets 3 et remettons-Lui nos affaires, petites ou grandes (Job 5:8). Le laisser agir, tracer nos voies, dicter nos paroles, c'est cela la dépendance, attitude qui plaît au Seigneur et assure notre sécurité.
Les versets 10 à 15 nous apprennent ce qui convient à des rois. À ce propos, souvenons-nous de la dignité à laquelle la grâce du Seigneur nous a fait accéder (Apocalypse 5:10). Noblesse oblige, dit-on quelquefois (comparer Ésaïe 32:8). La justice et la droiture doivent caractériser les cohéritiers du royaume.
👉Proverbes 16:16-33
Qu'on annonce la découverte de gisements d'or en un point du globe, et l'on verra en peu de semaines des villes entières s'y construire.
Une publicité signalant un moyen facile de gagner de l'argent recevra d'innombrables réponses. En revanche, acquérir la sagesse ne suscite aucune compétition (comparer verset 16).
Seul en connaît la valeur le disciple de Jésus qui prend garde à sa Parole (verset 20; Psaume 119:127).
Le butin partagé avec les orgueilleux n'a pas d'attrait pour lui. Il se plaît avec les humbles et les débonnaires (verset 19).
C'est le cœur du sage qui rend sa bouche sensée (verset 23). L'amour lui dicte « les paroles agréables » et douces qui seront comme un baume pour les âmes malades.
En contraste avec l'homme droit (verset 17) et « sage de coeur » (verset 21), les versets 27 à 30 font le portrait de « l'homme de Bélial », « pervers », « violent ». Il « creuse à la recherche du mal », colporte ce qu'il a découvert, sème des querelles, divise, entraîne à mal faire.
Gardons-nous de ce compagnon dangereux et suivons dans ce monde le chemin des hommes droits qui oblige à beaucoup de prudence pour éviter le mal (verset 17; 2 Timothée 2:22).
Méditons enfin le verset 32. La plus belle victoire qu'un homme puisse remporter consiste à maîtriser son propre esprit (en contraste avec chapitre 25:28).
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pascal-et-sarah · 8 months
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Séance du Mercredi 2024-01-10
Guess who's back (et backupé dans le cloud loin de tumblr)?
Je crois que le monsieur il est mort
Charlie et la Chocolaterie - Netflix - 1h55 - 🇺🇸🍫🐿️
Je suis grand fan de Roald Dahl même si le monsieur est un immonde antisémite et donc j'ai adoré petit (et même moins petit) le roman dont est tiré ce film. Le petit Charlie est pauvre (Dickens pauvre pour ceux qui ont la réf) et il n'aime que deux choses dans la vie, sa famille et le chocolat qu'il ne peut manger qu'une fois par an. Quand le mystérieux Willy Wonka, le plus grand chocolatier du monde organise un concours pour visiter sa chocolaterie vous vous demandez bien qui c'est qui va gagner le ticket d'or...
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Le film est une adaptation (trop?) fidèle d'un livre pour enfant. Tim Burton maîtrise son sujet, la production design est au top, les enfants jouent pas mal et les petites chansons sont entrainante. Il faut parler aussi de Johnny Depp qui est absolument terrifiant en Wonka, à l'époque il jouait encore un peu dans ses films (maintenant il ne fait plus que se jouer lui même...). Au global le film est un compte, un poil trop sage par rapport à l'original car trop respectueux du matériaux d'origine.
6/10
Ah mais ouais il a fait 13 films non?
Le Garçon et le Héron - 君たちはどう生きるか - Cinéma - 2h04 - 🇯🇵🪿🏹
Le plus grand réalisateur de film d'animation japonais (le plus grand c'est Ozu deal with it) revient après un énième départ à la retraite pour ce qui ressemble quand même à son dernier film (83 ans tout de même). Le film est un film "à tiroirs" donc il ne faut pas s'attendre à tout comprendre "ceux qui cherchent à comprendre mourrons" annonce rapidement le procédé narratif.
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Le flm est d'une virtuosité folle et passe en 4ème vitesse l'ensemble des obsessions du maître Myazaki (le rapport de l'Homme à la nature, les civilisations anciennes, la technologie, les avions, les anciennes créatures, la maternité...) parfois un poil trop vite. Au final on pleure beaucoup si on a un rapport particulier (comme toute ma génération) à ces films qui ont participé à donner à l'animation ses lettres de noblesse.
8/10
C'est la suite du précédent en attendant le suivant
Les trois mousquetaires: Milady - Cinéma - 1h54 - 🇫🇷🤺⚜️
La suite direct de "Les trois mousquetaires: D'artagnan" continue de dérouler la fresque épique de la littérature française, le chef d’œuvre de Dumas... Les trois mousquetaires. Ici c'est le siège de La Rochelle et les conséquence de l'assassinat déjoué dans l'opus précédent. Comme il a été tourné dans la foulée et bien c'est un peu la même chose.
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Toujours incapable de filmé une baston correctement Mr. Bourboulon (si il n’existait pas on voudrait l'inventer) se réveille dans les 12 dernières minutes où finalement une formidable baston dans le feu se révèle plaisante à regarder. Au global le film est moins intéressant que le premier car plus linéaire. La fin annonce un troisième opus, à mon avis ça va être compliqué au vu du box office, mais comme Netflix l'a acheté à l'international (je crois) ça devrait le faire en 2026.
6/10
Pour les plus attentifs vous remarquerez que les liens de cette Newsletter ne sont plus vers The Movie DB mais vers LetterBoxd. C'est du lobbying honteux puisque je tente de me détacher d'amazon et de son toujours plus complet IMDb.
Bisous.
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